Jeux De Mains, Jeux De Vilains [Hentai][PV: Alyssia]

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		Sam 30 Juin - 8:13

Ft. Mashiro Shinsen

Jeux De Mains, Jeux De Vilains

Après avoir mis le bandeau Mashiro ne s’approche de moi tout de suite il me laisse seule sur le lit. Je ne vois rien et n’entends que de petit bruit, pendant un instant je pense même qu’il m’a laissé ici. Mais finalement il revient vers moi, lorsqu’il pose une main sur moi j’ai un petit sursaut, mais je me détends rapidement. Ses lèvres se posent sur les miennes et j’entrouvre légèrement la bouche. Avoir un bandeau sur les yeux offre une sensation différente que lorsque je ferme instinctivement les yeux, comme si ses gestes étaient plus appuyés. Il allonge mon corps et je suis ses mouvements, il vient me chuchoter à l’oreille une question qui me fait sortir un petit rire.
Je le savais qu’il allait se venger et qu’il n’allait pas juste finir la partie.

Mon corps se courbe lorsque son membre entre de nouveau en moi, ses mouvements sont toujours lents mais puissants, de petit gémissement m’échappe. Mes mains s’accrochent aux draps pendant que les siennes se baladent sur mon corps et que mon corps frémi sous ses à-coups. Mes mains se soulèvent pour chercher son corps mais finalement elles sont attrapées par les siennes. Il les remonte au-dessus de moi mais je n’y fais pas réellement attention me concentrant sur sa virilité qui s’immisce plusieurs fois en moi et sur les sensations que ça me procure. La seule chose qui manque et que je ne peux pas regarder son expression, l’indication de ce qui me prépare.

Puis d’un coup mes mains se retrouvent coincées dans un tissu. Je tire un peu dessus comme pour tester la résistance, mais je suis bien attaché les bras levés. Sa tête se rapproche de la mienne et le bas de mon corps bouge d’impatience lorsque ses dents se posent sur mon lobe. Puis de nouveaux mots arrivent jusqu’à mon oreille. Un petit sourire apparaît alors, s’il pense que je vais l’appeler comme ça c’est qu’il est vraiment trop sûr de lui, je ne serais pas comme une esclave.

Un petit couinement de frustration m’échappe lorsque son membre me quitte une nouvelle fois. Mais cette fois je ne peux rien faire pour l’obligeais à me le rendre. De plus il recommence à simuler l’acte sans me rendre ce que j’ai gagné, ses mains se baladent de nouveau sur moi, sur mon corps qui est maintenant bloqué, impuissant. C’est une sensation à la fois excitante et frustrante, mon corps se dandine comme pour se défendre ou pour diminuer la frustration.
Je souris à sa nouvelle question.

« C’est donc comme ça que tu te venges. » Dis-je sur le ton de la provocation.

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		Dim 15 Juil - 1:16

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ft. Alyssia

Tu viens jubiler, autant intérieurement qu’extérieurement, tu te trouves bien trop excité pour réussir à garder intact ton masque de l’homme parfait. L’idée que tu avais eue de lui bander les yeux venaient te sauver la mise ou peut-être qu’il s’agissait de l’expression de ta bête voulant surgir pour vous satisfaire tous les deux. Ton bassin venait toujours bouger de façon à interpréter un acte sensuel entre mari et femme, voilà le seul exemple qui te venait en tête sur le moment.

Ton corps se serait presque laissé aller à cette simple domination envers elle, la frustration circulant dans tes veines étant presque arrivée à ronger ton esprit lucide. Fort heureusement pour toi, les paroles de la demoiselle venait t’offrir une belle baffe mentale pour te remettre sur le droit chemin. Tu sens une certaine provocation dans sa tirade, cela vient t’amuser. Tu penses qu’elle agit ainsi de par sa situation, elle sera frustrée à son tour, comprendra ce qu’était ta place, tu comptes l’initier à tes propres plaisirs.

Presque, instinctivement, tu montres un sourire, un air fier qu’elle ne pourra malheureusement pas voir, tu poses tes lèvres dans son cou, ne donnant pas de réponse pour le moment. Tu laisses finalement, ses lèvres qui sont les tiennes venir marquer la peau de ta prisonnière du moment. Tu laisses une marque de ton passage, une tâche qu’elle devra garder cachée. C’était un rituel pour toi de marquer les demoiselles passant par ton lit, mais pour elle cela était particulier. Sa résistance et cette bataille valaient le coup de la marquer ainsi.

“Attends, tu penses sincèrement que ma vengeance se résume à ça ? Je pensais que tu te doutais que j’allais faire mieux que ça. Moi qui voulais te faire patienter, autant passer maintenant au plat de résistance !”

Ton corps et ta cervelle viennent quitter à contre-coeur la demoiselle, mais il le faut, afin de profiter encore mieux d’elle. Tu fais en sorte de faire assez de bruit pour évoquer en elle la curiosité, qu’elle essaye de s’imaginer ce qui pourrait lui arriver. Tu serais clément pour une première expérience de ce genre, simplement quelques éléments qui viendrait lui apporter encore un peu de bonheur, mais elle ne pourra pas le contrôler sur le moment, elle serait comme toi quand elle se jouait de ton corps.

Dans une de tes nombreuses boîtes à surprises, tu venais sortir quelques accessoires, assez petits pour la plupart, ce qui pourrait le plus surprendre était un rouleau entre tes mains. Tu étais de nouveau devant le lit, ce lieu de plaisir et de repos pour toi, il serait peut-être évocateur d’autres choses pour Alyssia, tu ne pouvais prévoir ça.

“Me revoilà, j’ai apporté pleins de surprise pour toi, tu vas te sentir comme à Noël !”

Oui, c’était une blague de mauvais goût, mais tu espérais que ce manque de sérieux ne viendrait pas l'alerter, sur les choses que tu avais osé ramener. Tu décrochais une bande noir du rouleau, cela ressemblait à de l'adhésif, c’était vrai, mais celui-ci était uniquement à usage sur le corps humain. Tu prenais un objet en forme d’œuf, légèrement plus petit, c’était bien ça, un petit jouet vibrant. Soudainement, tes mains venant alors poser l’objet, sans doute un peu froid pour la demoiselle à quelques millimètres au-dessus de son bouton d’amour et le fixant avec le bout noir.

Encore un instant de jubilation pour toi, tu t’armais de la télécommande pour lentement faire glisser le curseur et faire grimper les vibrations. Tu le laissais au milieu pour le moment, elle devrait profiter de ce léger moment de répit. Tu viens continuer ton œuvre, prenant alors deux pinces légères, aux pressions assez faibles, tu ne voulais pas laisser trop de marques ou transformer ce moment en douleur pure et dure. Tes doigts appuyaient sur les bouts pour laisser s’écarter les deux pinces, venant les guider lentement vers les boutons dressés de sa compagne de ce soir.

Tu relâches lentement cette pression pour laisser l’étau coincer ces formes dressées entre eux et ainsi encore une fois stimuler ta compagne. Il est temps maintenant de passer à ton petit plaisir personnel, te jouer un peu plus d’elle. Tu prends alors la télécommande en main, plaçant ton corps près du visage d’Alyssia, passant une de tes mains dans sa chevelure, pour faire ainsi se rencontrer ton membre et ses lèvres. C’était une situation dégradante, mais tu voulais marquer dans son esprit sa position à présent.

“J’ai succombé aux charmes de tes lèvres tout à l’heure, tu ne peux me refuser à nouveau ce plaisir ? Si ?”

Tes doigts font alors monter le curseur au maximum, faisant vibrer au plus haut l’œuf, un petit coup de pression, tu allais contrôler son plaisir et sa frustration, sans pour autant lui offrir ta verge qu’elle semblait désireuses d’avoir rapidement entre ses jambes.

Ft. Mashiro Shinsen

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Mashiro ne répond pas à ma question, il se contente de glisser ses lèvres sur mon cou. Un petit picotement vient s’abattre sur mon cou et j’ai compris qu’il m’a laissé une marque. Sur le coup la seule réaction que je peux avoir et un nouvel élan de désir, mon corps frissonne. C’est une marque que je devrais cacher au travail et je suis sûr que ça lui fait plaisir de savoir que je vais devoir me cacher.

Ça réplique me donne un nouveau frisson mais cette fois il y a un mélange de curiosité et de peur. Que me prépare-t-il ? En venant ici je savais que ça pouvait être dangereux et j’ai sauté dans son piège sans crainte. Cette fois je suis en face d’un prédateur qui veut jouer avec sa proie, sans défense, bloqué…

Un soupir m’échappe lorsque je le sens quitter le lit puis j’entends de nouveau du bruit. Qu’est-ce qu’il fait ? Que me prépare-t-il ? Ma curiosité me pousse à lever les mains pour aller voir de moi-même, mais bien sûr je suis bloqué par mes liens et mon corps retombe doucement sur le lit. Mon corps se dandine sur le lit d’impatience. Le fait qu’il sorte quelques jouets sexuels m’excitent un peu, je sers les jambes essayant de calmer mon excitation. J’ai un peu peur qu’il sorte quelque chose qui puisse me faire mal mais je n’arrive pas à me l’imaginer.
Même si je ne peux pas le voir, je le sens revenir vers moi.

« Je me sentirai comme à Noël quand tu m’auras donné ce que je veux. » Dis-je d'une voix plus sensuelle que provocante.

Je sursaute lorsqu’il vient poser un objet froid sur moi. Je n’arrive pas à savoir ce que c’est, ni ce qu’il va faire avec. Mais l’explication ne met pas très longtemps à arriver, une fois fixé à moi celui-ci se met à vibrer.

« Ahh » Un mélange de surprise et de plaisir sort sans que je puisse le contrôler.

Enfin ça fait un petit moment maintenant que je ne contrôle plus rien.
Mais mains s’agrippent au montant de son lit pendant que mon corps s’habitue à cette légère torture. Mon corps est déjà plein de désir et très sensible, cette sensation me donne envie de le plaquer au sol et de l’obliger à me donner ce que je veux. Mais malheureusement je ne peux pas bouger, je suis une souris en cage.

Ma punition n’est pas finie, il a décidé d’installer autre chose à un autre niveau de mon corps. C’est quelque chose que je n’avais pas expérimenté et je ne comprends pas réellement mais ma curiosité l’emporte et j’attends de voir la sensation que ça me procurera. Ces deux choses stimulent le haut de mon corps et l’autre objet le bas. De légers gémissements s’échappent et mon corps commence à onduler doucement.

Je le sens bouger sur le lit une main passe dans mes cheveux et son membre rencontre mes lèvres, ce qui bizarrement, me stimule aussi. Je réponds à sa question par un léger sourire.
Et tu succomberas encore. Pensais-je.

Alors que je commence à lécher délicatement le bout de sa virilité, l’objet qui taquine ma partie inférieure se met à vibrer plus fort. Un gémissement sort encore, il a tout ce qu’il veut et je n’arrive plus à contrôler mon corps. Mes jambes glissent l’une sur l’autre essayant désespérément de contrôler mon plaisir.
Ma tête, elle, ce penche en arrière et prend pleinement le membre du prédateur, l’aspirant brutalement et en le taquinant de ma langue.

Les répliques de ta nouvelle soumise viennent t’arracher un long sourire que tu ne peux lui faire voir. Tu pouvais la sentir perdre pied fasse à ta façon de faire, c’était une récompense des plus jouissive sur le moment, tu allais bientôt mettre fin à ta frustration, tu allais faire cela avec son corps, lui faire vivre ce genre d’expérience. Cela serait peut-être plus douloureux, car tu allais lui retirer un plaisir qu’elle avait déjà connu, elle savait déjà ce que tu pouvais lui offrir et elle en serait privé.

La voir ainsi se comporter après ta simple proposition vient gonfler la fierté et le narcissisme déjà bien profond en toi. Pourtant, tu ne venais pas t’attendre à une telle réaction en jouant de tes ustensiles, une fois la surprise passé, tu respires lentement pour contrôler ton plaisir déjà bien taquiné par les actions audacieuses de la demoiselle. Tu la laisses profiter du moment, autant que le plaisir que tu en retires, ta main libre vient relâcher la chevelure de la demoiselle pour jouer avec l’une des pinces présentes sur ses monts rosés.

Tes doigts viennent alors faire tourner la pince qui entraîne aussi le téton de la belle, tu allais venir tester son corps, cela devait être une initiation. Puis, l’idée d’en faire un entraînement pourrait être amusant, tu pourrais la convertir ou en faire une compagne de jeu, cela viendrait te changer des esclaves. Une jeune femme dominante que tu viendrais soumettre, cela serait délicieux, en plus de ça, tu n’allais pas hériter d’une petite tête blonde. Alyssia était loin d’être une idiote, tu gagnais sur tous les plans de la convertir à ton art.

Les palpitations de ton membre viennent te sortir de tes réflexions plus que délicieuse, ta main libre laissant l’un des seins de la jeune femme pour la tenir par les cheveux. Un peu brutal sur le moment, mais une simple impulsion s’emparant de toi, tu lui retires lentement ton membre, caressant ses lèvres de l'extrémité de ta verge, pour la tenter encore un peu. Il te faut passer à l’étape suivante, un changement plus brutal, mais qui viendrait lui offrir autant de plaisir et enfin la satisfaction qu’elle attendait.

Tu voulais lui faire associer son plaisir salvateur avec ce sentiment de soumission, de te laisser faire ce que tu désires de son corps, la malmener encore une fois. Ainsi, tu te levais du lit pour aller chercher d’autre cravate, tu comptais encore attacher son corps, mais pour lui offrir un spectacle des plus plaisant encore. Tu n’avais pas arrêté l’objet pour autant, continuant de vibrer sur la peau si sensible de la belle. Une fois tes nouveaux jouets en mains, il était temps d’en faire profiter ta compagne. Sans rien lui dire, tu venais passer tes mains sous ses cuisses à la pliure de son genou.

Tu remontais alors ainsi ses jambes, lui faisant cambrer le bassin et le dos pour la relever, tu usais de la souplesse de la demoiselle, courbant surtout son échine pour éviter de ne lui laisser que douleur dans cet acte. Enfin, ses pieds et mollets venaient rencontrer ses bras tendus, la demoiselle était entièrement à ta merci, la poussant dans ses limites les plus physiques pour le moment. Finalement, tu venais user de tes cravates pour accrocher chaque cheville à ses bras, la laissant ainsi, sans user de ta force, mais de la sienne pour la maintenant ainsi soumise. Elle participait elle-même à n’être que ton jouet.

Pourtant, tu n’étais pas que cruauté, tu lui faisais une fleur en retirant le bandeau couvrant ses yeux, la laissant voir la scène à présent, pouvant ainsi admirer son propre corps offert à ta personne. Tu ne comptais pas t’arrêter là, tu voulais aller encore plus loin, lors de votre petite chevauchée, tu avais senti que cela ne lui déplaisait pas de découvrir de nouveau horizon, de nouvelle zones érogènes. Maintenant qu’elle pouvait te voir, tu allais encore plus la taquiner.

Pour commencer, tu avais sorti de quoi venir aider la demoiselle en la lubrifiant, tu savais qu’elle n’avait pas besoin de ça pour venir s’amuser de façon conventionnelle, vos rapports l’avaient déjà prouvé. Sauf, que cela allait servir à préparer l’anus de la belle, tu caressais lentement, te montrant sensuel, sans brutalité dans tes gestes, tu savais comment lui rendre ça moins douloureux et tu voulais contraster avec le reste. Finalement, le nouveau jouet venait rejoindre la partie, un plug d’une taille normale, rien d'extravagant, à par le fait que ce dernier soit aussi vif que l’œuf collé à son bouton d’amour.

Toujours dans la douceur, tu faisais passer l’objet en elle, lentement, étendant le moment à faire croire qu’une seconde représentait une minute, c’était amusant d’avoir ce contrôle sur son corps, elle ne pouvait que regarder et te laisser faire. La tâche réalisée, tu prenais en main une nouvelle télécommande pour faire fonctionner le plug, le faisant vibrer à moitié, une simple sensation en plus de la présence.

Encore une fois, tu ne comptais pas t’arrêter là, tu avais prévu un dernier cadeau pour la demoiselle, ton corps se redressant, pliant et forçant les muscles et nerfs de tes jambes à t’obéir. Ainsi, tu offrais à Alyssia, la vue de ton membre saluant de caresse l’entrée de son intimité. Elle l’avait dit d’elle-même, c’était ce qu’elle désirait le plus à présent, alors autant qu’elle vienne le prouver.

“C’est bien ça que tu désires n’est-ce pas ? Alors demande le moi, non-mieux, supplie moi de t’offrir enfin ce que tu désires tant, Alyssia !”

Faisant quand même preuve de bonne fois, tu lui offrais un avant-goût, le début d’une pénétration, glisser l’extrémité, le gland en elle.

Ft. Mashiro Shinsen

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Pendant que ma bouche s’active sur le membre de mon bourreau, sa main elle glisse sur mon sein et joue avec les objets qui y sont posés. Je ressens un pincement, un peu de douleur dans le plaisir, je n’arrive plus à savoir si je dois avoir peur ou si je dois gémir de plaisir. Je ne peux pas perdre pied je dois continuer à être moi, je ne peux pas me perdre totalement face à lui. Cependant c’est difficile avec toutes ses sensations qui sont en moi. J’aspire et lèche plus vigoureusement sa virilité emportée, tout de même, par mon excitation.

Mes cheveux sont tout d’un coup tirés brusquement en arrière me faisant lâcher son membre. Lorsqu’il le passe sur mes lèvres j’en profite pour passer ma langue délicatement dessus. Puis encore une fois il quitte le lit pour aller chercher autre chose. Mais que me réserve-t-il ? Je me vengerai une autre fois… Mais à présent j’ai juste envie qu’il me prenne une bonne fois pour toutes.

Ses mains se déposent sur moi et un frisson me parcours de nouveau, mon corps est plus sensible qu’il ne l’a jamais été. Et l’objet que j’ai entre les jambes n’arrange rien.
Mes jambes son pousser et mon corps suit instinctivement, se cambrant, comme si tous ses ordres devaient être suivis. Même si mon corps n’est pas aussi souple que je le voudrais il se plie tout de même. Je me retrouve dans une position qui n’est pas des plus agréables mais je n’y fais plus attention, je ne sais pas ce qu’il veut faire de moi mais je n’en peux plus, je suis bien trop stimulé.

Mes yeux se plissent lorsque le bandeau est retiré, je redécouvre alors le visage de mon prédateur et découvre ma position. Une soumise… Mais à présent je n’ai que faire de ça, ma tête se rejette en arrière les lèvres entrouvertes, le souffle court, je résiste au gémissement qui veut sortir.

Je sens quelque chose d’autre viens titiller une autre partie de mon corps. Je relève la tête, ma curiosité me pousse à regarder ce qu’il va faire. Un autre jouet s’introduit délicatement en moi, dans une zone inhabituelle. Je respire de plus en plus fort. J’essaye de bouger pour m’habituer à ce qu’il m’a introduit mais le moindre mouvement appuie l’autre jouet qui est en moi et un petit gémissement m’échappe.
Le nouvel objet en moi se met lui aussi à vibrer, il en fallait moins que ça pour me rendre folle. De petites larmes commencent à couler de mes yeux. La douleur et l’excitation qui s’en dégage en deviennent insoutenables.

Il en rajoute en venant caresser mon intimité de son membre. Il sait très bien que mon corps ne veut que ça, il profite… A vouloir jouer j’ai perdu… Enfin je crois, je ne sais plus.
Il me provoque encore en me demandant de le supplier. Et j’ai envie de le faire mais je ne peux pas faire ça…
Mais finalement le seul fait que le bout de sa virilité pénètre en moi plie mes derniers efforts et je ne peux me retenir.

« Mashiro, s’il te plaîit… plus loin. » Dis-je en le suppliant.

Je n’en peux plus, je ne peux plus tenir. Mes yeux se ferment, la fatigue, le plaisir et la douleur prennent possession de moi, je perds tout sens de la réalité.

Tu faisais de mieux, véritablement, mais dans le seul but de cacher un grand sourire sadique. Ta victoire était totale, tu avais gagné, elle venait céder après s’être joué de toi, c’était le prix à payer dans ce genre de cas. Tu jubilais, c’était un grand moment d’extase, seul une émotion, un sentiment, une sensation pouvait te donner encore plus de satisfaction. Il s’agissait d’enfin goûter au fruit du plaisir, de te laisser aller et tu comptais bien le faire, lui donner ce qu’elle désirait après l’avoir autant frustré, lui avoir fait les mots que tu aimes tant entendre.

Les quelques larmes coulant sur ses joues, son regard venait encore plus te satisfaire, comme pour te montrer encore une fois compatissant, tu avais commencé à lui offrir le reste de ta verge, suite à sa tirade. Tu étais rentré avec rudeur, te faisant sauvage, la douceur n’ayant plus lieu en cette pièce à présent. Tu restais ainsi, lui laissant apprécier ce qu’elle t’avait mainte fois réclamée. Puis, le bal était parti, tu bougeais ton corps, tu redressais tes jambes pour presque te laisser tomber à nouveau, lui faisant à nouveau sentir ton membre dans les premiers mouvements, la stimulant plus que de raison par cette brutalité que tu avais du mal à retenir.

Une main encore libre à présent, tu venais saisir les deux télécommandes, venant les mettre sur le curseur maximal, sans pour autant quitter son jardin secret de ton membre, cette situation était beaucoup trop plaisante. Tu ne bougeais plus à nouveau, laissant ton sadisme légèrement transparaître dans ta voix aussi à présent.

“Tu l’as finalement réclamé ! Alors Alyssia, tu prends ton pied d’être ainsi soumise à moi ? Tu voulais jouer, tu as perdu, je me suis montré plus tordu que toi. Il te reste beaucoup à apprendre de ce genre de jeu dit moi ?!”

Tu ne voulais pas lui laisser le temps de répondre, les télécommandes quittaient tes mains au moment où tu relâchas la prise sur eux. Tu venais placer chacune de tes mains sur ses cuisses, ton but n’était pas de la plier encore plus, mais de prendre appuie. Tes genoux venaient s’enfoncer et froisser les draps, tu avais de bon appuie pour le reste de la situation. Laissant alors jouer un peu le poids de ton corps, tes assauts en elle, en sa zone la plus intime, se faisaient moins puissant.

Pourtant, tu étais plus vif, plus rapide, gardant un élan tout aussi sauvage. Tu sentais ton souffle devenir lourd sous l’effort, le plaisir revenait au galop, tu avais gagné du temps, mais ta limite ne tarderais pas à venir, te rappelant la frustration qu’elle avait réussi à t’affliger. Une dernière idée sordide te venait en tête, tu comptais lui montrer à nouveau sa nouvelle condition de soumise à ton égard et surtout le fait que tu étais meilleur qu’elle sur ce domaine, du moins pour ce soir.

Toute ta frustration se faisait sentir dans tes mouvements, la demoiselle te contractait férocement en retour, c’était l’impression que tu en ressentais. Le plaisir, la fatigue et l’euphorie ne te permettait pas de savoir si la jeune femme avait atteint à nouveau le plaisir, mais il fallait dire que si tu pouvais encore la frustrer, tu n’allais pas t’en plaindre.

Tu ne pensais qu’à toi sur le grand final, ton esprit des grandeurs te faisait tourner la situation que sur ta petite personne. Tu voulais juste enfin te soulager, ressentir tout le plaisir que tu espérais recevoir de cet échange. Tu gardais le même rythme, ton corps laissant perler le nectar créé de cet effort. Tu sentais ton sang frapper chaque passage dans tes tempes, le bruit de vos corps s’offrant… Non t’offrant du plaisir, tu avais l’impression que le bruit était étouffé par tes pensées, ta respiration.

Finalement, tu sentais ta limite approché, ton membre palpitant au rythme de ton cœur, tu n’allais pas tarder à céder, finalement te laisser partir comme tu le désirais. Cependant, tu ne perdais point de vu, ton objectif de soumission de la belle demoiselle. Tu te retirais d’elle, avec une certaine précipitation, venant faire céder les accroches de ses jambes, lui rendant sa position initiale. Tu n’étais pas bon prince, non, tu voulais simplement plus de liberté pour attraper de nouveau la jeune femme par sa chevelure, venant lui laisser apprécier la saveur de ton membre, contre ses lèvres. Lui lançant alors, avec une voix autoritaire, un ordre comme tu l’aurais fait avec une hybride, ainsi soumise dans ton lit.

“Termine-moi avec ta bouche, montre moi tes fabuleux talents, Alyssia !”

Ft. Mashiro Shinsen

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Le regard plein d’envie, les larmes coulant sur mes joues, je n’attends qu’une chose qu’il me cède enfin ce que je veux. Lorsque sa virilité s’insinue enfin en moi, un long soupir se fait entendre. Puis il commence enfin a bougé et tout ce que je peux entendre c’est le son de ma propre voix que je ne peux retenir, toute la frustration que j’essaye d’évacuer. Même si ce n’est pas assez.

Puis les objets qui sont en moi vibrent encore plus ce qui me fait encore gémir, mon souffle est cour.
Je sais qu’il est en train de me parler mais je n’entends plus rien, je veux juste qu’il me libère de mes sensations pour m’en donner une plus vive.

« S’il... » Chuchotais-je.

Mais au milieu de ma phrase il s’accroche à moi et recommence à bouger en moi, plus rapidement. Mon corps réagis a chacun de ses assauts, j’essaye de regarder son visage mais ma vue se brouille. Je laisse donc ma tête se reposer sur le lit, profitant des sensations qu’il me procure. Plus il bouge en moi, plus je sent l’orgasme monter en moi. Je me contracte autour de lui pendant que mon orgasme explose. Mes yeux deviennent lourds mais je ne peux pas m’en aller avant qu’il finisse, sinon je me demande de quoi il serait capable. En y pensant je me demande ce qui pourrait faire de plus… Non je suis trop fatigué pour ça.

Je sens que lui est aussi à bout, qu’il est prêt à venir mais il se retire et libère mes jambes. Je reprends ma position initiale et étire discrètement mes jambes. Il attrape mes cheveux et me présente son membre. Un petit sourire satisfait se dessine sur mon visage, je ne sais pas vraiment pourquoi, peut-être à cause du nombre d'orgasmes que j’ai eu dans cette soirée.

Je donne un coup de langue au bout de sa virilité avant de la prendre entièrement dans ma bouche. Je fais des va-et-vient, tout en lui donnant des petits coups de langue.
Lorsque Mashiro cède finalement au plaisir je ne perds aucune goutte et passe ma langue sur la dernière goutte qui trône sur son membre avant de m’évanouir. La fatigue, l’alcool et le plaisir m’ont pris toute mon énergie, je ne peux plus lutter.

À mon réveillé Mashiro est à côté de moi, endormie. Mais qu’est-ce que j’ai fait hier ? Même si j’étais alcoolisé, je me souviens de tout. Ce n’est pas possible, je n’ai pas pu me comporter de cette manière, pas moi. Il faut que je m’en aille. Et dire que j’ai un risque de le recroiser à l’université. Il faudra vraiment que j’arrive à l’éviter. J’ai vraiment honte de mon comportement, et le pire c’est que j’ai vraiment aimé ça.

Je descends doucement du lit, espérant qu’il ne se réveille pas. Mes jambes sont vraiment lourdes, j’ai mal partout. Je marche silencieusement, enfin je fais du mieux que je peux, je récupère mes affaires, m’habille et trottine vers ma voiture. Je démarre et quitte cet endroit, pour toujours. Je ne peux plus jamais me comporter comme ça, ce n’est pas moi, même si c’est une expérience que je n’oublierais surement pas. Arrivé chez moi, je me recouche et continue ma nuit.

Étrange sensation qui vient t’habiter, le regard de la jeune femme te laisse dans une situation perplexe. Elle semble avoir encore une étincelle briller dans le fond de ses yeux, peut-être a-t-elle encore de la volonté ou simplement passé du côté obscur de la force pour le moment. Tu ne pousses pas plus loin ta réflexion, l’appétit de la jeune femme sur ton membre ne te laisse pas le temps de divaguer sur un autre sujet. Tu soupires lentement de plaisir, ton membre venant tressauter sous le talent de ta soumise du moment.

Tu ne tiens pas longtemps, laissant une vague de chaleur, presque exploser en toi, te laissant une sensation groggy dans le reste du corps, quelques secondes après. Tu relâches alors la chevelure de la demoiselle, la voyant continuer d’agir d’elle-même, te donnant encore plus que tu ne pouvais l’espérer dans cette histoire. Tes iris se posent à nouveau sur Alyssia, la voyant alors succomber, laisser son corps se faire tirer par Morphée. Tu trouvais la situation ironique, il s’agit souvent des hommes venant céder au sommeil après ce genre de moment.

Cependant, vous n’aviez pas eu une relation basique, sans doute cela. Ta bête se retrouvait alors dans sa cage, te laissant redevenir humain, du moins l’humain sadique que tu étais de base. Tes mains venaient défaire les liens la retenant et de même pour les objets, c’était une situation étrange, comme manipuler un cadavre, car aucunes réactions ne venait de la demoiselle.

L’atmosphère de la soirée avait disparu pour laisser un moment légèrement vide, comme l’odeur du tabac froid, après avoir fumé une cigarette, une sensation bizarre. Peut-être qu’il y avait autre chose dans le fond, tu ne savais pas comment réellement interpréter cela. Tu n’en avais plus réellement le courage non plus, tu avançais lentement vers le lit, te laissant presque tomber dessus, Morphée ayant réussi à t’avoir à son tour.

Tes propres grognements venaient te réveiller, comme si tu venais te plaindre auprès du soleil de s’amuser à te sortir du sommeil, de ses rayons chaleureux. Pourtant, ton lit était froid, oui, il n’y avait personne à côté de toi, pourtant Alyssia était encore là, il y a quelques heures, la nuit étant encore présente lors de votre séance d’amusement. Tu venais te redresser lentement, venant décuver de la fatigue et l’alcool que tu avais consommé hier. La soirée avait totalement dévié de sa situation initiale, mais tu ne venais pas t’en plaindre, tu avais aimé.

Même plus, tu avais adoré, c’était un jeu délicieux de venir soumettre une forte tête et encore, tu voyais qu’elle avait sa volonté intacte à ce moment-là. Tu voulais recommencer, mais cela serait-il possible ? Elle semblait s’être lâchée sous l’effet de l’alcool, peut-être qu’elle ne voudrait plus boire, du moins pas en ta compagnie insolente.

Tu traînais ton corps jusqu’à la douche, laissant cette nuit coulé comme si elle n’avait jamais eu lieu, laissant simplement place à l’homme que tu étais aujourd’hui et pour les jours à venir. Du moins, c’est ce que tu aurais voulu, mais pourtant, tu gardais un souvenir agréable, une sensation qui ne voulait pas partir. Tu voulais encore continuer, entraîner une humaine libre de ses choix dans ton monde, ne pas avoir l’avantage de l’esclavage pour posséder tout les droits sur sa personne.

C’était une sensation amusante, tu avais bataillé, joué de tes mots et de tes mains pour en arriver et la récompense avaient été délicieuse. Voilà, c’était une bataille amusante, un affrontement comme tu n’en avais pas eu depuis longtemps. Ce n’était pas un plaisir arrivé sur un plateau d’argent, dans le fond, elle te ressemblait un peu. Il fallait peut-être seulement éveiller ses sens aux sadismes et au masochisme, cela, tu en prendrais un malin plaisir.

Une fois propre, tu prenais des clés sur le meuble présent en bas, décidant d’aller marcher pour te réveiller pleinement et surtout continuer de réfléchir comme tu le désirais. De toute façon, elle ne pouvait t’échapper, elle était à l’université et devait te revoir pour affaire professionnel, dans tous les cas, tu avais la chance de la faire danser dans le creux de ta main. La partie allait bientôt recommencer.