| | Tu veux jouer ? Jouons ... [PV. Hisae] | |
| | Blake Wright | Age : 42 Localisation : Quelque part Emploi/loisirs : Rabatteur en Chef Multi-Compte : Athenais, Hope Knight | | | | Profil : MP : Email : | | ![Tu veux jouer ? Jouons ... [PV. Hisae] Empty](https://2img.net/i/empty.gif) Lun 7 Mai - 15:04 |
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- Je crois surtout que ton équipe de gros bras et toi avez attrapé du menu fretin. La canne à pêche n'était pas assez longue pour attraper le gros poisson ?
- Ce n'est pas la longueur de la canne qui compte mais l’appât que l'on utilise. Attraper les petits poissons et s'en servir ensuite pour attraper un plus gros poisson, c'est ça une bonne pêche. Si tu penses pouvoir me provoquer avec ce genre de pics, il faudra placer la barre plus haut, ma jolie.
Encore une preuve du sang froid dont tu pouvais faire preuve. Cette femme semblait te défier, soit, cela t'amusait beaucoup et au final, dans quelques heures à peine, elle serait tienne. Tu t'amuserais alors encore d'avantage ... Une fois dans la voiture, cette dernière ne pipait mot, c'est toi qui la sorti de sa torpeur et elle ne semblait déjà pas t'apprécier. Ce n'était pas un problème en soit. Tu n'étais pas du genre à vouloir te faire aimer, encore moins par les esclaves.
- Premièrement, je ne suis pas "Beauté", donc tu vas me faire le plaisir d'arrêter de m'appeler ainsi. Je ne veux plus aucune mention de ce genre, à moins que tu souhaites un coup à chaque fois ? Et deuxièmement, je m'appelle Hisae, satisfait ?
Tu haussas un sourcil, un sourire amusé apparaissant sur tes lèvres. Puis tu te rapprochas de la jeune femme. Peur des coups, toi ? Si peu ... Tu ne pensais pas qu'elle pourrait te faire pire qu'une balle dans la tête. Tu attrapas de nouveau son menton avant de prendre sans ménagement possession de sa bouche dans un simple baiser.
- Premièrement, tu es une esclave, tu n'as pas ton mot à dire. Deuxièmement, tu es une asservie, tu n'es donc rien du tout aux yeux de cette société. Troisièmement, je t’appellerai comme bon me semble puisque tu m'appartiendras. Mais j'avoue que Hisae est un joli prénom pour une si belle femme.
Tu te reculas et te calas dans ton siège. Tu étais resté calme et froid, comme à ton habitude. Tu la laissas ensuite tranquille, tu reprendrais ce petit jeu une fois dans ton bureau. Après tout oui, ce n'était qu'un jeu pour toi. Et les femmes en étaient tes jouets favoris. Il fallu presque une heure entière pour atteindre le bâtiment du centre de dressage. Tu étais un peu agacé par cela, perdre autant de temps pour des bouchons. Tu sortis du véhicule et attrapas de nouveau la chaîne des menotte de l'asservie pour qu'elle te suive en silence. Tu la fis rentrer dans l'aile prévue pour l'annexe et réservée aux rabatteurs. Tu montas directement à l'étage et conduisis ta "proie" jusque dans ton bureau.
- Assieds-toi, Hisae. On en a pour un moment toi et moi. Tu attachas soigneusement ses menottes à son siège. Une fois derrière ton bureau en bois sombre, tu attrapas le combiné et appela un hybride rabatteur pour que ce dernier t'amène deux plateaux repas qui serait mis sur ton compte. Chose promise, chose due, tu auras à manger.
Tu enlevas ensuite ce sweat qui te tenait chaud, te retrouvant ainsi en t-shirt. Tu allumas ton ordinateur qui émit ce son familier de démarrage. Tu sais un paquet de clopes dans l'un de tes tiroir mais il était vide. Tu cherchas dans ta poche de veste posée sur le dossier de ton fauteuil. Bingo! Tu en pris une et l'allumas avec ton Zippo.
- J'espère que la fumée de cigarette ne te gène pas, je ne l'éteindrai pas pour toi.
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| Hisae | Age : 31 Multi-Compte : Eileen / Sarika / Juna / Isako / Kioko / Red / Camille Cimedroite | | | | Profil : MP : Email : | | Lun 7 Mai - 15:58 |
|  - Te provoquer avec si peu ? Oh non, je ne fais que constater le résultat de ta...descente dans le coin. Rabatteur ou pas, tu as l'air de bien t'amuser à te prendre pour un bon petit flic qui s'infiltre dans les quartiers chauds de la ville.
Son ton était clairement moqueur et un brin provocateur. Elle n'était pas en capacité de le frapper physiquement alors elle titillait, cherchait les limites à franchir allègrement et ce qui pouvait l'agacer voir le rendre fou de rage. Pour l'instant, elle frappait sur e qu'elle connaissait du bonhomme, autant dire pas grand chose. Mais cela vendrait. Elle en avait la certitude.
Une fois dans la voiture, elle espérait avoir la paix un moment mais raté. Après un échange verbal assez houleux, elle le fit s'approcher. Elle se raidit. Et quand il lui prit le menton, elle tenta de reculer...Dur quand on est déjà collé à la porte ! Elle sentit alors les lèvres de l'homme sur les siennes. Elle se débattit aussitôt, se tortillant pour tenter de lui échapper...et lui mordit alors la lèvre. Seule défense à sa disposition pour le moment.
- Ne me touche pas ! Je refuse de sentir tes sales pattes sur mon corps ! Asservie ou pas, tu peux toujours rêver pour obtenir ce genre de choses !
Le reste du trajet, elle resta à bonne distance de lui, n'ayant aucune envie de le sentir à nouveau la toucher ou l'embrasser. Finalement, le véhicule s'arrêta. Elle observa le grand bâtiment qui ne lui présageait rien de bon. Il semblait austère, vraiment peu accueillant. Lorsqu'il tira sur ses menottes, elle suivit comme elle put même si jusqu'à se retrouver hors du véhicule, elle s'était plus fait tracter qu'autre chose.
Plus ils avançaient, plus elle regardait autour d'elle, levant les yeux pour tout voir. Ils se retrouvèrent alors dans un bureau où elle fut attachée à une chaise.
- Et où est-ce qu'on est ici ?
Elle n'avait jamais entendu parler d'un tel endroit, les esclaves légaux, notamment les hybrides parlaient peu des autres bâtiments existant sur l’île. Alors là, elle nageait totalement dans l'inconnu.
Par la suite, elle se contenta de l'observer, il était musclé ce type. Voila qui expliquait pourquoi il arrivait à la maîtriser sans trop de difficultés...car même si elle était frêle et faible pour le moment, elle mettait un point d'honneur à ne pas être facile à maintenir en place quand même !
Elle regardait autour d'elle, lorsqu'il attira son attention en parlant de...cigarettes.
- J'en veux une ! Donnes-moi une cigarette !
Là, il pouvait facilement en conclure que la fumée ne la dérangeait pas. Elle avait longtemps fumé et avait parfois eu droit à quelques cigarettes pendant les deux dernières années. Pitié de clients ou un espoir de la maîtriser en lui donnant ce qu'elle désirait peut-être ? Elle ne s'était jamais arrêtée sur les raisons poussant ces sales types à lui en donner.
Les plateaux repas arrivèrent alors et dès que la douce odeur de la nourriture arriva ses narines, elle tourna la tête vers l'hybride l'apportant, comme un robot. Elle ferma les yeux un très bref instant, de peur que la nourriture ne disparaisse. Son ventre se mit à grogner de nouveau. Dès que les plateaux furent sur la table, l'hybride s'éclipsa à nouveau.
- Tu me détaches ?
Elle avait une faim monstrueuse mais ne pouvait manger en ayant les mains menottées à la chaise. Et elle espérait qu'il allait accepter parce que sinon, ce serait affreux de voir le plateau sous ses yeux alors que son estomac se tordait de douleur et de désespoir ! |
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| Blake Wright | Age : 42 Localisation : Quelque part Emploi/loisirs : Rabatteur en Chef Multi-Compte : Athenais, Hope Knight | | | | Profil : MP : Email : | | Mar 15 Mai - 16:01 |
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Du coin de l’œil, tu avais observé la jeune femme qui semblait curieuse de ce nouvel environnement. Le bâtiment du centre de dressage était connu pour son austérité, mais c'était son utilisation qui importait. L'annexe des rabatteurs, était située dans l'une de ses ailes, s'étalant sur deux étages. Tu n'avais pas jugé utile de faire visiter les lieux à ta prisonnière. C'est pourquoi tu avais simplement traversé les couloirs menant à ton bureau. Se faisant, l'esclave avait prouvé sa curiosité.
- Et où est-ce qu'on est ici ?
- Tu es au Centre de Dressage de Togi et plus précisément dans une partie réservée aux rabatteurs. Mais tu n'as pas besoin d'en apprendre d'avantage pour le moment.
Une fois dans ton bureau et installé, tu avais donc allumé ta cigarette. Tu tirais déjà dessus, démontrant ton manque de nicotine sérieux. Tu fumais beaucoup, sauf lorsque tu étais sur le terrain. Chez toi, tu diminuais aussi ta consommation puisqu'il te fallait sans cesse sortir à l'extérieur de la maison. Tu mettais un point d'honneur à ne pas imposer la fumée et les conséquences de la cigarette à tes enfants. Tu craignais aussi que ta femme vienne te hanter pour ça ...
- J'en veux une ! Donnes-moi une cigarette !
La voix féminine de ta prisonnière te tira de tes pensées et tu posas de nouveau ton regard métallique sur elle. Un sourire s'afficha sur tes lèvres avant que tu ne tende ta clope déjà entamée à la jeune femme. Si elle voulait vraiment fumer, elle n'aurait d'autres choix que de prendre celle que tu lui proposais. Tu rallumas par la suite une autre cigarette pour toi-même tandis que des coups furent donnés sur le battant de la porte, résonnant ainsi dans la pièce.
- Entrez !
Un jeune hybride rabatteur mâle entra dans ton bureau, les bras chargés d'un grand plateau. Dessus, deux assiettes remplies d'un ragoût avec dans chacune une belle cuisse de poulet. L'esclave servi les assiettes, couverts et verre et déposa également un pichet d'eau. Puis il reparti sans demander son reste et ne reçu pas un "merci" de ta part. Après tout, sa place ne t'obligeait pas à être poli envers lui.
- Tu me détaches ?
Tu te levas, une fois l'hybride parti et la porte refermée derrière lui, puis tu attrapas les deux poignets de la jeune femme, la fixant droit dans les yeux. Un grognement de son ventre t'indiqua sa faim face à cette assiette bien garnie.
- Je vais le faire, mais je préfère te prévenir avant, que si tu tente quoique ce soit ma jolie, je te rattraperai. Et je serai moins magnanime qu'au marché noir.
Tu libéras ensuite Hisae de ses liens, les rangeant contre ta ceinture comme à ton habitude, puis tu regagnas ta place pour te restaurer également. Tu mangeais rapidement, sûrement parce que tu mangeais souvent sur le pouce dans ton bureau, entre deux dossiers à traiter. Une fois tes couverts reposés sur ton assiette vide, tu observas en silence la jeune femme qui finissait à son tour. Tu bus un verre d'eau avant de reprendre.
- Bien, passons à cet interrogatoire. Tu viens d'où exactement ? Tu lui laissas le temps de répondre avant de poursuivre. Comment es-tu arrivée sur Togi ?
Tout en la questionnant et en gardant un œil sur l’asservie, tu avais commencé à faire des recherches dans ta base de données des rabatteurs, puis tu poursuivis toujours sur ta lancée.
- Quelle est ton identité complète, nom et prénom ? Tu n'as pas l'air d'être présente dans nos fichiers. Surtout si tu avais été condamnée à l'asservissement.
Tu te levas de nouveau, qu'elle te réponde ou non, n'avait pas réellement d'importance. Tu attrapas ton scanner et passa derrière la jeune femme, posant ta main sur sa tête pour la forcer à la baisser. Il te faudrait également dégager sa longue chevelure d'ébène pour atteindre sa nuque. Tu avais l'intention de vérifier la présence de puce, même si tu avais déjà ta petite idée sur la question. Tu te doutais déjà que cette femme avait été vendue clandestinement comme esclave.
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| Hisae | Age : 31 Multi-Compte : Eileen / Sarika / Juna / Isako / Kioko / Red / Camille Cimedroite | | | | Profil : MP : Email : | | Mer 16 Mai - 9:36 |
| Apparemment ils étaient au centre de dressage. Hisae découvrait donc un endroit qui effrayait tant d'hybrides qu'elle avait pu côtoyer...Étrangement, elle ne ressentait aucune peur. Elle se sentait tranquille, comme si elle ne risquait rien. Et puis, après tout ce qu'elle avait vécu, cela ne pouvait pas être pire ! Néanmoins malgré sa remarque sur ce qu'elle n'apprendrait pas plus, elle se contenta de l'ignorer et de continuer ses questions. Il avait face à lui une véritable tête de mule après tout !
- C'est donc ça le centre de dressage ? C'est moche franchement ! C'est ici que sont dressés tout les hybrides alors ? Mais vous les rabatteurs, pourquoi vous existez ?
Le silence se fit ensuite jusqu'au bureau où elle lui réclama une cigarette. Avoir celle qu'il était en train de fumer ne la dérangeait même pas. Ce n'était pas le pire endroit par où était passé une cigarette avant de finir dans sa bouche...ou inversement. Donc bon, elle n'eut aucune réaction de dégoût, se penchant seulement pour la récupérer entre ses lèvres. Elle s'appuya de nouveau contre le dossier de la chaise, fermant les yeux et savourant cette cigarette. Ah, cela faisait tellement du bien !
Finalement, le repas arriva ensuite. Une clope, de la nourriture...Punaise, c'était jour de rêve ? Et en plus, il la détachait ? Elle leva les yeux vers lui en l'entendant.
- Je t'ai déjà dis de ne pas m'appeler "ma jolie", et ensuite tu ne me fais clairement pas peur. Tu ne serais pas le premier à te montrer violent avec moi même si pour le moment, je ne vois pas d'intérêt à m'enfuir d'ici. J'ai une cigarette et un repas !
Sans oublier que son corps criait à chaque mouvement, ses jambes étaient toujours aussi raides et que si elle se fiait à ce qu'on lui avait raconté de cet endroit...Elle avait peu d'espoir de faire quelques mètres avant de se faire rattraper. Et puis bon, pour l'instant, elle n'en avait envie.
Elle se frotta les poignets où étaient déjà apparus des marques rouges. Sa peau était devenue si sensible aux entraves qu'elle marquait rapidement, des restes de ses deux dernières années. Elle ne comptait plus le nombre de fois où elle avait été attachée.
Elle attrapa ensuite les couverts et commença à manger, bien plus lentement que le type en face d'elle. Elle savoura son repas, but un bon verre d'eau puis reprit sa cigarette qui arrivait au bout. Un bon début de journée finalement ! Sauf s'il se mettait à l'interroger. Elle soupira.
- Du Japon...C'était pourtant évident entre mon prénom et mon physique, quand même !
Voila qu'elle se moquait ouvertement de lui.
- En tant que simple vacancière...
Ce qui n'était pas tout à fait vrai, voir pas du tout mais elle n'avait aucune envie de parler de son ex-mari. Et dire que ce salopard devait vivre la belle vie maintenant. Peut-être qu'il s'était remarié avec une potiche qui obéissait à tout et lui avait fait un nouvel enfant ? Elle fronça les sourcils et ses poings se crispèrent sur les accoudoirs de sa chaise. Elle revint dans la conversation en l'entendant à nouveau parler et surtout en le voyant se lever.
- Hisae Ts...Juste Hisae, le reste n'a pas d'importance.
Voila qu'elle avait failli citer son nom d'épouse comme par habitude ! Et pourtant, elle n'était plus mariée. Et ses parents n'avaient visiblement jamais chercher après elle, alors à quoi bon ? Elle n'avait aucun nom de famille, c'était plus simple ainsi, aucun lien qui la rattachait à qui que ce soit.
Quand il posa la main sur sa tête, elle résista et se leva aussitôt pour s'écarter de lui.
- Qu'est-ce que c'est que ce truc ? Qu'est-ce que tu vas faire avec ça ?
Elle reculait. Hors de question de rester à poster de mains et de cet objet étrange ! Ses yeux se posèrent sur la porte, finalement, ce ne serait pas une mauvaise chose maintenant qu'elle avait le ventre plein. Elle reculait alors lentement vers la porte, tout en fixant l'homme du regard.
- Je n'ai jamais été condamnée à quoi que ce soit si tu veux savoir, mon casier est totalement vierge du moindre crime !
Si ce n'est d'avoir accepté un mariage qui la dégoûtait depuis le début. Ou d'avoir finalement aimer un autre homme, d'avoir eu une relation extra-conjugale et de s'être tatouée...Mais bon, elle parlait surtout pour distraire son attention. Et soudainement elle se retourna, courut vers la porte qu'elle ouvrit à la volée et s'enfuit en courant dans les couloirs. Liberté ! Mais par où aller ? Elle ralentit à peine au premier embranchement, tournant au hasard, incapable de se souvenir par où ils étaient arrivés. Mais elle courrait comme si sa vie en dépendait. |
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| Blake Wright | Age : 42 Localisation : Quelque part Emploi/loisirs : Rabatteur en Chef Multi-Compte : Athenais, Hope Knight | | | | Profil : MP : Email : | | Mer 16 Mai - 15:35 |
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- Du Japon...C'était pourtant évident entre mon prénom et mon physique, quand même !
- J'ai précisé "exactement", ce qui veut dire que j'attend une réponse précise de ta part. Après, vous les asiatiques, vous vous ressemblez tous pour moi. Arrêtes de tourner autour du pot maintenant.
Ton regard s'était fait glaciale en se posant sur la jeune femme et cette dernière poursuivie ses réponses d'une manière effrontée.
- En tant que simple vacancière... Hisae Ts...Juste Hisae, le reste n'a pas d'importance.
- Tu sais, c'est dans ton intérêt d'être un peu plus bavarde et de ne pas lésiner sur les détails. Si tu n'as rien fait de mal et que tu ne devais pas devenir une esclave. Il suffirait de le prouver pour te rendre la liberté. Mais puisque tu ne veux pas coopérer, je me ferai un plaisir de te laisser à ce statut.
En attendant, il te fallait déjà vérifier la présence d'une puce à la base de la nuque de Hisae. C'était possible après tout, tu ne savais rien d'elle et tu ne croirais pas ses dires sans les avoir vérifié au préalable. Mais la jeune femme ne l'entendais pas de cette oreille. Elle se leva et s'éloigna rapidement de toi. Ce n'est pas comme si tu pointais un pistolet chargé sur sa tempe ...
- Qu'est-ce que c'est que ce truc ? Qu'est-ce que tu vas faire avec ça ?
- Petite Nature, c'est juste un scanner, ça ne fais rien du tout ...
L'esclave reculait alors de plus en plus, se dirigeant doucement vers la porte. Tu n'étais pas dupe, tu avais bien remarqué ses regards furtifs, jetés à la volée. Et alors, elle se mît à parler. Pourquoi tout à coup ? Elle voulait t'entourlouper ? C'était pas gagné ...
- Je n'ai jamais été condamnée à quoi que ce soit si tu veux savoir, mon casier est totalement vierge du moindre crime !
- Ça reste à prouver ma belle. Tu comptes t'enfuir ? Vas-y.
C'est exactement ce que l'asservie fît. Se retournant, elle ouvrit la porte assez brusquement pour la faire claquer contre le mur, puis elle quitta la pièce en courant. Tu soupiras alors d'un air à la fois amusé et ennuyé. Une fois de plus tu te lançais à sa poursuite. Mais tu ne te poussas pas à courir bien vite. Elle ne pourrait de toute façon jamais sortir libre de ce bâtiment sans être arrêtée avant. La jeune femme tourna au bout du couloir et tu la suivie, te raccrochant au mur pour faciliter ton virage. Un rabatteur voulu se précipiter pour l'attraper.
- C'est bon je me charge d'elle !
Hisae allait se rendre compte qu'elle se retrouverait vite dans une impasse. Et effectivement, le bout du couloir qu'elle emprunta ne débouchait sur aucune sortie, aucune porte, rien, pas même une fenêtre à laquelle de toute façon, il y aurait eu des barreaux. Tu étais prévoyant. Tu t'arrêtas net, lui barrant le passage de ton corps massif, elle ne pourrait donc pas faire demi-tour non plus. Tu n'étais même pas essoufflé par cette petite course poursuite qui te faisait plus penser à une promenade de santé.
- Bon, "aux grands maux, les grands remèdes" ...
Tu te rapprochas de plus en plus d'elle, ton ombre la couvrant, cachant la seule source de lumière venant de derrière toi. Tu plaquas alors la nippone assez violemment contre le mur tout en lui saisissant les poignets pour bloquer une partie de ses mouvements de défense. Puis tu la fis se tourner et la plaqua de nouveau contre le mur. Tu saisis de nouveau tes menottes et les fixas encore une fois à ses poignets avant de prendre le scanner et de le passer enfin et tant bien que mal avec sa longue chevelure, sur sa nuque. Rien. C'est bien ce que tu pensais dès le départ. Tu rangeas l'objet, puis tu te collas à son dos pour lui murmurer à l'oreille.
- Tu vois, Petite Nature, t'avais pas besoin de prendre peur pour si peu. Par contre, c'est pour ce qui va suivre que tu aurais dû t'enfuir ...
Tu la retournas alors et dans un geste habituel et presque facile, tu la saisis pour la placer sur ton épaule droite. Bien sûr, c'est le trajet qui allait être mouvementé jusqu'à ton bureau et lent surtout, puisqu'elle n'arrêterait pas de gesticuler, sans grand succès.
- Tu peux me frapper, me mordre si tu veux aussi, je ne te lâcherai pas. Je n'en ai sûrement pas fini avec toi.
Une fois de retour dans ta pièce personnelle, tu la replaças sans ménagement et assez brusquement sur sa chaise. Puis tu attrapas une nouvelle paire de menotte dans un de tes tiroirs pour lier ses chevilles. Lorsque tu te relevas, ton regard métallique croisa un instant le sien si sombre avant qu'un gifle cinglante n'atterrisse sur l'une de ses joues. Tu pris ensuite le combiné et demanda à un de tes hommes de te ramener du matériel de puçage.
- Pas besoin d’anesthésiant, juste le pistolet près à fonctionner avec le numéro de série de la puce. Après avoir raccroché, tu reportas ton attention sur Hisae. Je t'avais prévenu.
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| Hisae | Age : 31 Multi-Compte : Eileen / Sarika / Juna / Isako / Kioko / Red / Camille Cimedroite | | | | Profil : MP : Email : | | Mer 16 Mai - 17:49 |
| Apparemment, ce n'était qu'un scanner mais Hisae ne croyait plus personne depuis que son ex-mari l'avait vendu pour un peu plus d'argent et pour se débarrasser tout simplement d'elle. Alors maintenant qu'elle avait un peu plus de marge de manœuvre, elle n'allait pas se priver d'en profiter. Ainsi, elle n'attendit même pas son "invitation" pour s'enfuir dans les couloirs. Elle tournait aux angles sans savoir où elle allait, esquivant de justesse un autre type prêt à se jeter sur elle...Mais évidemment, c'est sur ordre de son poursuivant qu'il ne bougea pas. Elle se retrouva bien vite dans une impasse.
- Et merde !
Elle se retourna alors. Il était déjà là ! Et il lui bloquait toutes possibilités de fuir. Ses yeux cherchaient pourtant la moindre issue alors qu'il approchait. Lorsqu'il fut tout prêt, elle tenta le tout pour le tout : lançant sa jambe, elle tenta de le frapper entre les cuisses. Elle eut à peine le temps de lever le pieds du sol qu'elle se retrouvait plaquée, avec violence, contre le mur derrière elle. Elle se débattit aussitôt, quitte à le frapper comme elle le pouvait avant qu'il ne saisisse ses poignets. Elle se retrouva rapidement face contre le mur, si violemment qu'elle laissa échapper un gémissement de douleur. Tout léger.
Elle serra les mâchoires alors qu'il lui mettait de nouveau les menottes. Elle sentit qu'il s’activait au niveau de sa nuque, surement pour passer son soit-disant scanner mais rien de plus ne se passa. Par contre, quand elle le sentit se coller dans son dos, elle se raidit aussitôt.
- Ce n'est certainement pas ce genre de choses qui va me faire peur !
Non, ce n'était rien pour elle, tout comme les attaches étaient désormais une habitude dans sa vie de tout les jours. Par contre, quand elle se retrouva sur l'épaule de l'homme, là, c'était une nouveauté ! Elle resta un moment sans bouger, surprise avant de se remettre à se défendre.
- Fais-moi descendre de là !
Elle se débattit férocement jusqu'à entendre parler de mordre. Elle s'arrêta juste après lui avoir mis des coups de pieds entre le torse et le ventre. Elle soupira.
- Je ne suis pas un animal, je ne mords pas !
Elle croisa les bras, affichant un air clairement mécontent jusqu'à ce qu'ils retournent dans le bureau. Elle se retrouva de nouveau assise sur la chaise, sans aucune douceur. Elle afficha pendant un coup instant, une grimace.
- Un peu de douceur, espèce de brute !
Elle le regarda attacher ses chevilles, sans un mot de plus. Un silence plein de mépris de sa part avant qu'il ne se relève...et ne lui mette une gifle soudaine et totalement inattendue. Et surtout, douloureuse. Sa joue devint rapidement rouge, affichant la marque du coup qu'il venait de lui donner. Malgré la chaleur et la douleur qui irradiait de sa joue, elle resta droite à le fixer, l'écoutant passer son appel.
- Parce que tu croyais sérieusement que j'allais faire confiance au premier venu ? Et maintenant tu crois qu'une simple claque va me calmer ? Tu ne connais rien de moi, tu ne sais pas ce que j'ai vécu pendant ces deux putains d'années sur cette ile pourrie ! Alors ce n'est pas cette simple gifle qui va me faire le moindre effet !
Elle lui envoyait un regard glacial, nullement gênée de lui avoir parlé sur un ton aussi cinglant que la gifle qu'elle venait de recevoir...ou d'avoir utilisé un vocabulaire peu adapté à ce que son éducation exigeait d'elle. Mais elle l'envoyait chier son éducation, ce n'était pas cela qui l'avait sauvé de sa situation actuelle...bien au contraire ! |
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| Blake Wright | Age : 42 Localisation : Quelque part Emploi/loisirs : Rabatteur en Chef Multi-Compte : Athenais, Hope Knight | | | | Profil : MP : Email : | | Sam 19 Mai - 19:16 |
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- Fais-moi descendre de là !
Tu étais resté implacable, la jeune femme c'était défendu un moment et tu avais dû luter pour la retenir en même temps que la porter. Elle était légère pour toi, mais à bouger dans tous les sens, tu avais dû faire des efforts et tendre un minimum tes muscles pour la maintenir. Mais Hisae avait fini par s'arrêter d'elle-même. La raison, tu l'ignorais et tu t'en moquais, le principal, c'est que tu l'avais ensuite remise sur son siège.
- Un peu de douceur, espèce de brute !
- Avec toi ? Non. Je peux me montrer très doux, mais tant que tu agiras bêtement, je ne le serai pas. Tu as bien besoin d'être dressée.
La claque que tu lui avais donné alors avait marqué sa joue devenue rouge, tu pouvais même distinguer parfaitement, les contours de trois de tes doigts. Alors que tu t’apprêtais à reposer le combiné après avoir appelé un de tes hommes pour qu'il t'apporte du matériel, l'esclave se mit à te gueuler dessus, c'est le bon mot. Tu avais simplement arqué un sourcil en la fixant de nouveau.
- Parce que tu croyais sérieusement que j'allais faire confiance au premier venu ? Et maintenant tu crois qu'une simple claque va me calmer ? Tu ne connais rien de moi, tu ne sais pas ce que j'ai vécu pendant ces deux putains d'années sur cette île pourrie ! Alors ce n'est pas cette simple gifle qui va me faire le moindre effet !
Tu t'assis alors calmement sur ton bureau, attrapant de nouveau ton paquet pour t'allumer une nouvelle cigarette que tu avais placé entre tes lèvres. Tu pris ton temps pour l'allumer, laissant un silence plus que bienvenue, s'installer. Puis après une première taf, tu repris toujours sur un ton calme.
- Tu as fini ? La gifle n'était pas là pour te calmer, juste pour te faire comprendre que tu n'as pas le contrôle de la situation. Mais apparemment, ce n'est toujours pas très clair. Ça n'a pas d'importance pour le moment. Pour ce qui est de ton vécu, je peux être une oreille attentive, mais puisque tu ne veux rien me dire, je garderais mon opinion que j'ai de toi. Si tu veux changer cela, ça ne tient qu'à toi.
Par la suite, tu attendis simplement d'entendre le frappement habituel à la porte de ton bureau, t'indiquant la venue du pistolet de puçage, près à l'emploi. Le rabatteur se contenta de te remettre la petite mallette dans laquelle il se trouvait et fixa un moment la jeune femme. Tu croisas son regard et tu lui lanças sur un ton désagréable ...
- Tu peux retourner à ton travail ! Y a rien d'intéressant à voir ici.
Après le départ de ton employé direct, tu reportas ton attention sur le contenu de la mallette que tu venais d'ouvrir. Tu pris d'abord une compresse désinfectante que tu appliquas sur la nuque de Hisae. Tu saisis ensuite le pistolet et le sorti bien en évidence pour que la nippone puisse le voir. Puis, tu te levas calmement et te plaças dans son dos. Tu posas ta main sur le dessus de sa tête, agrippant quelques mèche de cheveux avant s'apposer une pression pour la forcer à la baisser. Tu dégageas sa nuque de ses cheveux grâce à ton petit doigt de la main qui tenait l'engin.
- Je te conseilles de ne pas trop remuer, Petite Nature, sinon tu vas vraiment souffrir inutilement.
Déjà que tu ne lui avais pas administré d’anesthésiant local puisqu'elle voulait tant que ça faire la forte tête, mais là, l'asservie avait tout intérêt à suivre ton conseil. Tu posas le canon du pistolet sur sa nuque avant d'appuyer sur la gâchette. Une petit bruit t'indiquas que la puce était à présent logée dans la nuque de Hisae. Tu lâchas cette dernière avant de ranger le matériel dans la mallette. Toujours calmement et sans faire plus attention à ta prisonnière, tu t'installas de nouveau derrière ton bureau, les yeux rivés sur ton écran d'ordinateur. Les seuls sons qui raisonnèrent ensuite étaient le tapotement que tu provoquais avec tes doigts sur ton clavier. Tu étais en train de remplir les informations que tu avais de la demoiselle, directement sur la puce, grâce à son numéro de série. Tu n'oublies pas bien sûr de rajouter la mention ...
Maître : Blake Wright
Une fois ta tâche terminée, tu reposas ton dos sur le dossier de ton fauteuil d'un air satisfait et reposas alors tes yeux bleus sur la jeune femme. Ton regard était à présent inquisiteur.
- Hisae, tu m'appartiens désormais. Sais-tu ce que cela signifie ?
Tu te levas de nouveau pour quitter ton siège et rejoindre ta nouvelle esclave. Tu te penchas vers elle, ton visage proche du sien. Mais c'est ta main qui agit le plus en cet instant, se posant alors sur l'une des cuisses de la jeune femme dont tu ne quittais pas le regard. Tu attendais une réaction de sa part, car tu avais bien compris maintenant, qu'il y en aurait une. Tu ne comptais pas aller plus loin, du moins pas pour le moment, tu t'amusais en vérité.
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| Hisae | Age : 31 Multi-Compte : Eileen / Sarika / Juna / Isako / Kioko / Red / Camille Cimedroite | | | | Profil : MP : Email : | | Lun 21 Mai - 9:35 |
| Hisae fixait le sale type droit dans les yeux, lui adressant ainsi un regard particulièrement noir. Il savait visiblement se montrer brutal, mais elle savait, elle, être particulièrement obstinée. Il lui en faudrait plus pour flancher ! Et les mots qu'elle entendait n'arrangeait rien à la colère qui naissait petit à petit à force de le côtoyer.
- Va te faire voir avec ton dressage ! Pendant deux ans il a essayé mais n'a jamais réussi à obtenir quoi que ce soit de moi, si ce n'est pas la force. Alors, tu n'obtiendras rien de moi toi non plus !
Elle le regarda s'allumer une cigarette. Ah voila quelque chose qu'elle aurait bien aimé aussi en cet instant ! Cela lui aurait du bien ! Et moi, c'était la seule qualité qu'elle lui reconnaissait...Elle allait pouvoir lui piquer régulièrement des paquets et fumer à sa guise. Pas en échange d'une quelconque faveur !
- Ah oui ? Et quelle est ton opinion de moi ? J'imagine qu'elle ne doit pas être très bonne vu comment tu te comportes ! De toute façon, je m'en fiche, je ne te porte aucun intérêt !
Ce qui n'était pas tout à fait vrai, puisqu'il réussissait à s'attirer sa rancune dès les premiers instants. Et désormais, elle ne s'embêtait plus à cacher ce qu'elle ressentait, sauf quand il s'agissait de faiblesse. Mais montrer sa colère, sa rancœur ou tout autre sentiment similaire n'était pas un soucis. Bien au contraire. Cela lui permettait de se sentir encore vivante, de ne pas avoir l'impression d'être une simple poupée...
Finalement quelqu'un toqua encore à la porte. Elle regarda le nouvel arrivé, le fixant d'un regard glacial alors que lui aussi la fixait. Eh bien quoi ? Il n'avait jamais vu de japonaise celui-là ?
- Quoi ? Tu veux ma photo ?
Ah c'était fini la politesse ! Maintenant ils allaient découvrir son charmant caractère. L'homme fut renvoyé hors du bureau alors elle se remit à surveiller les gestes du chef des lieux. Elle ne broncha pas lorsqu'il sortit une compresse et du désinfectant pour en appliquer sur sa nuque. Néanmoins, quand elle aperçut l'étrange pistolet, elle se raidit. Qu'est-ce que c'était que ce truc ? Et qu'est-ce qu'il allait en faire surtout ?
Rapidement, il eut la main sur sa tête et la força à la pencher en avant. Elle tenta bien de résister, de se libérer de sa poigne mais en sentant qu'il dégageait sa nuque et surtout l'engin à cet endroit, elle se figea instantanément. Et les mots qu'il prononça ne l'aidait pas vraiment à avoir confiance. Et comme d'habitude, il ne lui expliquait rien ! D'après ce qu'elle avait compris c'était du matériel de puçage...mais elle ne voulait même pas y penser !
Le cœur battant la chamade, elle n'eut pas à attendre longtemps avant qu'il n'appuie sur la gâchette. Elle sentit une douleur soudaine transpercer sa nuque et lui envoyer des décharges dans tout le corps. Sur le coup, elle avait laissé échappé un un léger gémissement de douleur...Et pourtant, elle faisait toujours en sorte de ne jamais émettre la moindre plainte face aux douleurs qu'on lui causait depuis son arrivée ici !
Elle ne prononça pas un seul pendant un petit moment, ne bougeant pas plus. Elle attendait que la douleur cuisante de sa nuque diminue. Ce fut la voix de l'homme qui la tira de ses pensées. Elle releva alors la tête, et braqua sur lui un regard furieux.
- Je refuse de t'appartenir ! Je ferais de ta vie un enfer, tu es prévenu !
Elle le suivit du regard alors qu'il s'approchait de nouveau. Qu'est-ce qu'il avait en tête ? Rapidement, elle sentit une main sur sa cuisse. Elle se raidit alors, détestant ce genre de contact souvent imposé ces derniers temps. Les hommes d'ici étaient-ils tous des pervers ? En tout cas, elle refusait de se laisser faire. Elle leva les deux pieds, puisque tout deux menottés ensemble et écrasa violemment le premier pied de l'homme à sa portée.
- Ne me touche pas ! Tu es bien comme tout les autres en fait, à prendre ce qui ne t'appartiens pas et à te croire au-dessus ! Mais je te promets qu'à chaque fois que tu poseras la main sur moi, tu en ressentiras une souffrance bien particulière, suis-je claire ? Alors, dégages tes mains de là !
Ne pouvant pas vraiment se défendre plus, elle serrait les cuisses, histoire de l'empêcher de remonter si c'était son envie. Elle se sentait bien trop exposée en étant ainsi attachée et elle détestait la situation ! Mais il allait le lui payer. Puisqu'il avait décrété qu'elle lui appartenait, il allait apprendre ce que cela signifiait...et le regretter amèrement.
- File-moi une cigarette !
Et d'abord, cela commençait par réclamer ce dont elle avait envie. Et elle n''avait aucun soucis à donner des ordres à un type sensé être son maître.
- Au fait, c'est quoi ton nom ? Quoiqu'en fait, je m'en fous. Je vais t'appeler P'tit Con, ou Connard, ça t’ira très bien !
Elle posa sur lui un regard amusé. Chacun son tour de s'amuser, et puis, plus elle provoquait, plus elle se sentait vivante. Comme d'habitude, elle testait les limites pour voir ce qui pouvait l'énerver...et ce qui allait lui valoir une punition ou pas. Non pas qu'elle aimait les punitions, mais au moins, elle ne s'avouait jamais vaincu ! |
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| Blake Wright | Age : 42 Localisation : Quelque part Emploi/loisirs : Rabatteur en Chef Multi-Compte : Athenais, Hope Knight | | | | Profil : MP : Email : | | Jeu 24 Mai - 15:19 |
| blockquote> - Je refuse de t'appartenir ! Je ferais de ta vie un enfer, tu es prévenu !
- Ah, mais je ne te demandais pas ton avis. De toute façon, tu n'as pas de libre arbitre. Si je veux faire de toi ma servante, tu n'auras d'autre choix que d'obéir à mes ordres. Si je veux posséder ton corps et en abuser, je le ferai sans ton consentement et tu veux savoir ? Ce ne sera même pas considéré comme un crime, puisque tu m'appartiens désormais. Tu n'as plus rien, plus de biens, plus d'argent, plus d'histoire, ton passé on s'en fou. Tu n'as plus de droit non plus. Tout ce qu'il te reste au final, c'est ton joli petit cul pour me satisfaire. C'est ça être une humaine asservie sur l'île de Togi.
Tout en parlant, tu avais posé ta main sur sa cuisse, plus par amusement et par jeu que dans l'optique d'aller plus loin. Ce n'était pas le bon endroit pour ça, même si tu étais le chef et que tu étais dans ton bureau personnel. Tu vis alors la jeune femme relever ses genoux, mais tu n'eus pas le temps de réagir et de te reculer que l'un de ses pieds écrasa le tien. Elle avait beau être un poids plume, elle y avait mis toute sa force apparemment. Tu grimaças en te reculant d'un pas.
- Ne me touche pas ! Tu es bien comme tout les autres en fait, à prendre ce qui ne t'appartiens pas et à te croire au-dessus ! Mais je te promets qu'à chaque fois que tu poseras la main sur moi, tu en ressentiras une souffrance bien particulière, suis-je claire ? Alors, dégages tes mains de là !
Tu la regardais d'un air furieux, mais tu n'étais pas du genre à perdre ton sang froid pour si peu. L'asservie était effrontée, non seulement, elle refusait sa condition d'esclave alors que tu t'étais montré magnanime jusque là, mais en plus, elle avait le toupet de te réclamer une nouvelle cigarette.
- Tu veux une clope ? Vas falloir faire un effort avec moi si tu en as tellement envie. Tu avais repris contenance et de nouveau un sourire s'était installé sur tes lèvres. Règle n°1 : si tu veux quelque chose, il faudra m'obéir et le demander poliment.
Le silence retomba de nouveau et tu posas de nouveau ton cul dans ton fauteuil, prenant une cigarette lentement de ton paquet presque vide et prenant bien le temps de l'allumer, juste devant la jeune femme. Tu tiras ta première taffe, recrachant la fumée dans sa direction. Plus tard, elle repris la parole, toujours aussi médisante.
- Au fait, c'est quoi ton nom ? Quoiqu'en fait, je m'en fous. Je vais t'appeler P'tit Con, ou Connard, ça t’ira très bien !
- Blake Wright. Mais tu peux continuer à m’appeler comme tu le souhaites. Cependant, je ne répondrai qu'à mon prénom ou à mon nom. Donc, c'est à toi de voir, Hisae. Tu vas apprendre à me connaître malgré toi. Je peux déjà te dire que je suis très patient. Mais si il le faut, je n'hésiterai pas à te faire dresser comme il se doit. Tu regardas l'heure à ta montre, ta cigarette étant presque terminée. Tu tiras une dernière taffe et l'écrasas ensuite dans le cendrier posé juste devant ta nouvelle esclave. Dire qu'il en restait presque la moitié ...
Tu te levas et détachas juste Hisae de son siège, mais elle garderait les mains liées. Tu avais cependant libéré ses pieds. De nouveau tu attrapas la chaîne des menottes pour traîner la jeune femme derrière toi. Avant de sortir de ton bureau et d'en fermer la porte à clé, tu attrapas le sweat que tu avais enlevé plus tôt, le plaçant sur ton épaule. Tu sortis ensuite avec l'asservie à l'extérieur et te dirigea vers le parking et ta voiture. C'était une Porsche Panamera. Tu adorais les voitures de cette marque. Tu aurais préféré t'acheter une 911, mais tu avais tes enfants, une quatre places étaient évidemment plus pratique dans ces conditions.
Tu fis rentrer Hisae à l'avant du côté passager en la bousculant quelque peu. Tu te montrais toujours un peu brusque avec elle. Après tout, elle avait un caractère bien trempé, de la douceur serait inappropriée pour cette femme. Tu attachas soigneusement ses menottes à la poignée située au-dessus de sa tête. Puis, toujours silencieux, tu t'installas ensuite du côté du conducteur. Tu cherchas tes clés dans la poche de ton pantalon puis tu démarra le véhicule dans un vrombissement agréable à l'oreille. Ta voiture ronronnait littéralement et si toutes les femmes pouvaient faire pareil, tu serais aux anges. Tu écrasas la pédale et conduisit ton véhicule à l'extérieur du parking avant de prendre la direction de l'école de tes enfants. |
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| Hisae | Age : 31 Multi-Compte : Eileen / Sarika / Juna / Isako / Kioko / Red / Camille Cimedroite | | | | Profil : MP : Email : | | Ven 25 Mai - 19:17 |
| Alors que l'homme lui expliquait sa nouvelle condition, Hisae le fixait droit dans les yeux tout en fronçant les sourcils. Il croyait lui apprendre de nouvelles choses ? Oubliait-il que cela faisait deux ans qu'elle vivait cette vie quotidien ? Elle lui envoya alors un regard particulièrement glacial.
- Tu as déjà oublié le peu que je t'ai dis ? Je sais parfaitement ce que c'est que la vie d'asservie, je l'ai expérimenté pendant deux ans déjà. Mais ce n'est pas pour autant que je me suis laissée faire. Je te rappelle que tu sais pas ce que j'ai subi, ce qu'il a voulu me faire subir et à mon avis tu ne seras aussi cruel que lui. Tu ne t'en approcheras même. Je suis sure que tu n'es qu'un être faible profitant juste de sa force physique. Mais tu n'as rien d'autre.
Il était bien plus facile d'être agressive et méprisante envers tout ceux qui l'approchaient de trop près. Et lui qui se prenait pour son nouveau maître, il allait vite l'apprendre. Il allait prendre de plein fouet son foutu caractère.
Encore plus quand il commençait à avoir des mains baladeuses. Elle fut alors absolument ravie de le voir grimacer et reculer. Une victoire pour elle ! 1 point dans son camp ! Et elle comptait bien les cumuler.
Et ce petit air furieux sur le visage du rabatteur était un délice à ses yeux ! Preuve qu'elle avait touché sa cible !
Mais malheureusement, il se reprit bien vite et énonça sa première règle. Elle le regarda longuement et afficha un sourire amusé.
- Règle n°1 : Ne jamais rien demander, toujours se servir.
Sous-entendu très clair, elle allait prendre ce dont elle avait besoin sans lui demander son avis. Quitte à lui piquer ses paquets de cigarettes sans aucune honte !
Et elle comptait bien tourner chacune de ses règles dans un sens qui l'intéressait bien plus, tout en lui adressant un regard des plus provocateurs. Elle aimait voir cet air furieux qu'il avait affiché quelques secondes auparavant...et ferait tout pour le revoir, le faire sortir de ses gonds ! Voila ce qui était bon !
Il alluma alors une clope sous ses yeux. Elle le regarda faire, respirant la fumée, tout en tentant de ne pas broncher...mais elle ne pouvait s'empêcher de fixer cette cigarette qui finit...à moitié entamé seulement ! Dans le cendrier...Saleté. Ce gaspillage ! Mais il était hors de question d'émettre le moindre commentaire, sinon c'est qu'il aurait gagné un point.
- De toute façon, je me fiche royalement que tu ne répondras car je n'ai aucune intention de t'appeler. Et tu peux toujours essayer de me dresser, tu ne seras pas le premier. Bon courage !
Elle afficha un léger sourire ironique mais bien malgré elle, son regard se voila un instant. Elle avait subi tellement de tortures en deux ans qu'elle ne pouvait pas les oublier en un claquement de doigts...Et elle n'avait pas vraiment envie de recommencer. Pas du tout même. Mais elle ne pouvait pas se soumettre, c'était hors de question !
Rapidement, ses pieds fut libérée et il la traina dans les couloirs. Elle ne chercha même pas à savoir où ils allaient. Elle avait bien compris qu'elle obtiendrait peu de réponses de sa part.
Elle observa la voiture de son nouveau propriétaire.
- On ne se refuse rien à ce que je vois !
Son ton était parfaitement ironique alors qu'elle émettait un grognement puisqu'il l'avait poussé à l'intérieur sans douceur. Ce type était d'une telle brutalité ! Elle se retrouva même les mains attachées à la poignée au-dessus de sa tête. Elle ne s'en préoccupa pas, admirant de nouveau le paysage par la fenêtre...jusqu'à se retrouver devant une école. Elle grimaça en voyant tout ces gamins et surtout quand il s'arrêta pour s'approcher de l'entrée. Il revenait ensuite avec...des gosses ! Il avait des enfants ! Ce n'était pas du tout une partie de plaisir, ça !
Elle se raidit et fixa par le pare-brise droit devant elle, ignorant de toutes ses forces les enfants qui montaient à l'arrière. Ces voix ! Ces piaillements sur-excités ! Elle ferma les yeux. Ils lui rappelaient le fils qu'elle avait eu avec son ex-mari...Elle se mordit la lèvre inférieure. Les ignorer. C'était le mieux à faire !
Sauf quand le garçon s'intéressa à elle en se montrant curieux.
- Ta gueule !
Voila, c'était sortit tout seul. Foutu gamin ! Autant mettre les choses au clair maintenant, même si Blake n'allait surement pas apprécier.
- Bon, les mioches, on va faire simple. Ignorez-moi, vous n'existez pas pour moi, est-ce clair ? Et le premier qui approche, je n'aurais aucun remord à lui dire d'aller se faire foutre, accompagné d'une belle baffe, pigé ? Maintenant, vous la fermez que je n'ai plus à entendre vos piaillements insupportables !
Bon, elle avait été bien plus vulgaire et plus loin que prévu. Elle posa alors les yeux sur Blake, lui adressant un regard glacial l'air de dire "Quoi ? T'as un problème peut-être ?". Il n'avait qu'à pas lui imposer ses gamins sans la prévenir de leur existence ! Elle avait horreur des enfants, tant pis pour lui, il avait qu'à se renseigner !
Toujours aussi raide et mal à l'aise d'être aussi proche des passagers à l'arrière, elle fixa le paysage à travers la vitre de son côté, sachant parfaitement qu'il serait surement furieux. Mais tant pis, elle assumait pleinement, prête à se défendre ! |
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