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 Quand le Diable se met à jouer [PV Aiden]

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Quand le Diable se met à jouer [PV Aiden] EmptyLun 8 Oct - 10:04
Anonymous

Encore un nuit bien remplie pour le Moonlight Garden, les derniers clients "traînards" venait juste de passer la porte que l'un des imposants vigiles, refermait derrière eux. Mirabelle s'assurait de son côté que chaque "Fleur" ait regagné sa chambre. Elle savait pertinemment qu'il valait mieux que ce soit le cas, la pauvre hybride en avait la charge et au moindre faux pas, elle écoperait d'une punition au même titre que le ou la coupable. Une fois de plus, L'Écossais t'accompagnait dans ton bureau afin de procéder aux comptes des recettes du jour. Vous étiez arrivés au terme de votre accord des deux semaines d'essai. Tu avais voulu que ton esclave observe et participe au déroulement des nuits, même si son rôle serait en réalité celui de comptable. Tu voulais qu'il comprenne bien le fonctionnement, vendre les plaisirs de la chair n'avait rien à voir avec une vente de petits pains dans une boulangerie.

Aiden s'était montré particulièrement studieux et respectueux. Pas de jugement, il se contentait de regarder, d'écouter, de te suivre partout dans le but d'apprendre tout de ce monde nocturne, jugé très souvent comme inconvenant. Tu avais été surprise, il faut l'avouer, par un certain "enthousiasme" dont il avait fait preuve, même si tu doutais que ce soit le bon terme à employer ici. En tout cas, il semblait bien déterminé à te prouver de quoi il était capable et ... ça avait plutôt bien marché. Ce matin-là aux aurores cependant, tu ne dis rien, te contentant de vérifier une fois de plus ses résultats avant de ranger tes recettes dans le coffre et de quitter ton bureau en sa compagnie. C'est au moment de vous quitter pour rejoindre vos chambres respectives que tu t'adressas enfin à lui en ces termes.

- L'Ecossais. Tu viendras m'apporter mon petit-déjeuner à mon bureau demain. Ta période d'essai étant terminée.

Tu n'en dis pas plus, tu ne voulais pas lui laisser le moindre espoir. Tu préférais le laisser douter, voir stresser et se torturer l'esprit durant les quelques heures de répit qu'il aurait. Ce serait tellement amusant de le voir fatigué et impatient de savoir si il t'avait convaincu, ou si au contraire il devrait se contenter de ce rôle de majordome qu'il semblait détester. Lire l'anxiété dans son regard. Dire que tu allais jubiler à ce moment-là est un peu trop faible.

En attendant, ta "nuit" fût calme et reposante. Rien de bien passionnant à tout cela. Une fois réveillée, comme à ton habitude, tu passas d'abord à la salle de bain pour prendre ta douche et te préparer avant de rejoindre ton bureau. Tu étais installée devant ton ordinateur que tu venais d'allumer et qui déjà émettait ce petit son familier mais discret. Aiden apparut quelques instants plus tard avec ton petit-déjeuner. Tu la remarquais bien cette anxiété palpable.


- Bonjour, l’Écossais. Merci, tu peux disposer pour le moment, je t'appellerai quand j'en aurai fini.

Tu allais le faire poiroter encore un peu ou non, mieux encore ... tu allais attendre qu'il craque de lui-même, ce serait tellement plus amusant. C'est une heure plus tard que tu actionnas le petit bouton d'un interphone qui communiquait avec tes autres pièces privées, que tu sommas au jeune rouquin de venir te rejoindre. Lorsqu'il réapparu dans ton bureau, tu lui montras d'un signe de tête ton plateau.

- J'ai fini, tu peux tout débarrasser. Aiden semblait hésiter, c'était le moment idéal pour le torturer encore un peu. Et bien, l’Écossais ? Y a t'il un problème ?
Aiden Leroy Bull
Age : 24
Multi-Compte : Viktorya & Maïwen
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Quand le Diable se met à jouer [PV Aiden] EmptyJeu 11 Oct - 0:18
Aiden Leroy Bull

Deux semaines s’étaient écoulées depuis que j’avais commencé ma période d’essais, cette nuit c’était la dernière fois que je ferais de l’observation et normalement je deviendrais son comptable. J’avais l’impression de lui avoir fait bonne impression, pas une seule fois je ne m’étais trompé, toujours irréprochable dans mon comportement et mes façons d’agir. Jamais je n’avais émis de jugement, de dégoûts ou autres sentiments vis à vis du travail des « Fleurs » de ma maîtresse. Pourtant ce matin, après avoir fait les comptes et laisser La Bourgeoise tout ranger dans son coffre, elle ne dit rien, aucune remarque ou information. Nous nous dirigions vers nos chambres et la seule chose auquel j’avais eu le droit, c’était un nouvel ordre m’informant que je reprenais mon travail précédent, que je redevenais un simple majordome et la seule chose que je pouvais faire c’était accepté cela sans un mot.

Bien maîtresse. Je vous souhaite une agréable nuit.

Je regardais s’éloigner ma maîtresse avant de rejoindre ma chambre, récupérant une serviette et un caleçon propre avant de rejoindre la salle de bain pour prendre une douche avant d’aller enfin me coucher. Pourtant ma douche dura un long moment, j’arrêtais pas de réfléchir au fait qu’elle n’est rien dit sur la suite mise à part que je reprenais mon rôle de majordome. Elle n’avait pas fait de bilan, rien. Pas même une conclusion sur ces deux semaines. La douche me permettait souvent de réfléchir et de passer un peu de temps tranquille, c’était censé être un moment de détente, de repos, pourtant j’angoissais de savoir ce qui se passerait le lendemain. Peut être était-elle juste fatiguée et elle n’avait aucune envie d’en parler. En tout cas c’est ce que j’espérais en rejoignant mon lit.

La nuit fut interminable, tournant et retournant dans mon lit, sans réussir à m’endormir. Je me levais pour aller boire, tourner en rond dans ma chambre, j’avais même essayé de lire sans réussir à m’endormir. Finalement alors qu’il restait très peu de temps avant que mon réveil ne sonne, je trouvais enfin le chemin pour rejoindre Morphée et de dormir un peu. J’étais censé me lever plutôt que la maîtresse des lieux, tout préparer pour elle, toujours faire en sorte que la salle de bain soit propre et rangée pour son lever, être en train de préparer tout pour son petit déjeuner, mais je dormais encore. Oups le réveil un peu compliqué que je n’avais pas entendu.

Je sortis rapidement du lit, me préparais le plus vite sautant l’étape douche au réveil, j’enfilais un jean accompagné d’une chemise et d’une cravate en essayant de rien froissé. De toute façon j’aurais le temps de me changer un peu plus tard, il fallait que je prépare tout pour Kathleen et il était hors de question que je la fasse attendre. Un coup de peigne rapide dans les cheveux, un début de barbe naissante, ça serait une exception pour aujourd’hui ou à moins le temps de faire le petit déjeuner.

En sortant de ma chambre, je pus m’apercevoir qu’elle était déjà dans la salle de bain il faudrait faire un rapide petit déjeuner, tout en respectant la qualité de celui-ci. Un petit déjeuner anglais ferrait l’affaire, je savais le faire rapidement et efficacement, sauf qu’il n’y aura pas d’haricots. Sur un plateau je plaçais un petit peu de confiture, du beurre, les œufs et le bacon bien grillés, des petites pomme de terre accompagnées de tomates et de champignons, sans oublier des toasts enveloppés pour qu’ils restent au chaud dans une corbeille et un bon café comme elle l’aimait.

Alors que je me dirigeais vers son bureau je regardais rapidement mon allure générale qui me semblait quasiment correct, de toute façon après lui avoir apporté son repas j’irais me changer et me mettre dans une tenue correcte. Mais plus je me rapprochais de son bureau et plus je stressais, c’était un geste de mon quotidien, mais depuis ce matin je me demandais quand elle amorcerait le sujet sur la possibilité que je devienne véritablement son comptable ou que je reste un simple majordome.

Je toquais doucement à la porte avant d’entrer et de me diriger vers le bureau de Kathleen et de poser le petit déjeuner sur celui-ci. Je n’étais pas très à l’aise, sentant que j’avais les mains moites, j’étais un peu patraque et ma tenue n’était pas là plus approprié.

Bonjour Maîtresse, petit déjeuner anglais aujourd’hui.

Ma voix n’était pas aussi sûre que celle que j’avais eu ces derniers jours, je la regardais avant d’hochais la tête avant de repartir sans un mot. Ne perdons pas espoir. J’aurais aimé lui demander ce qu’il en était pourtant je partis sans un mot refermant la porte derrière moi. Je me dirigeais directement vers la salle de bain prendre une douche et me changeais, enfilant cette fois un vrai costume. Finalement, je décidais de garder un début de barbe, on verrait bien ce que dirait Kathleen face à cela, mais moi ça me plaisait. En attendant, j’avais décidé de récupérer un journal et mettais installer dans la bibliothèque pour lire tranquillement jusqu’à être sonné par le Démon des lieux pour sûrement discuter ce qui suivrait, j’avais vraiment envie de savoir, mais la seule chose dont elle me parla c’était de son plateau.

Elle avait juste fini de manger, même pas un regard juste un signe de tête. La discussion allait avoir du mal à s’engager. J’allais récupérer le plateau, mais m’arrêtais juste un avant, devrais-je lancer le sujet ou c’était à elle de le faire. Mais face à sa question, je me retrouvais un peu démuni, préférant mentir.

Aucun, je me demandais juste si ... vous vouliez que je vous apporte du thé ou du café ou autre chose pour attendre jusqu’au dîner.

Je la regardais attendant sa réponse avant de m’éclipser de nouveau, allant faire vaisselle et rangement, mais je m’ennuyais, je ne savais pas quoi faire, je tournais en rond. J’aurais pu aller lire, mais je le faisais trop souvent, rangé et m’occuper des quartiers privés du Moonlight , c’était déjà fait. Appeler ma famille, j’en en avais pas envie. Aller me balader dans les jardins, ce n’était pas une bonne idée si l’Anglaise avait besoin de moi.

Je décidais donc de faire quelque chose que jamais j’aurais pu faire, j’allais allé me poser dans le bureau de Kathleen. Je rentrais sans un mot en commençant par faire du rangement rapide avant de m’asseoir face au bureau. L’ennui avait pris le dessus sur l’anxiété, je posais mes couches sur le bureau puis ma tête sur mes mains, en regardant Kathleen.

Je m’ennuie ... je sais pas trop quoi faire. Alors peut être pourrions nous parler de mon rôle chez vous. Faire un débriefing de ses deux semaines.

Invité
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Quand le Diable se met à jouer [PV Aiden] EmptyLun 5 Nov - 10:34
Anonymous

Bien maîtresse. Je vous souhaite une agréable nuit.

Aiden se montrait particulièrement obéissant, il devait apparemment garder encore un goût amer de cette punition où tu avais brûler un peu de sa chair. En y repensant, tu pouvais encore en sentir l'odeur. Le jeune homme évitait soigneusement de te contrarier, i restait discret et faisait absolument tout ce que tu lui disais, sans même chercher à se rebeller. Il te faudrait un jour trouver ce qui pourrait le faire sortir de ses gongs, histoire de lui faire écoper d'une nouvelle punition.

Comme prévu le lendemain matin, ton asservi se présenta à toi avec le plateau du petit-déjeuner alors que tu venais de t'installer devant l'écran de ton ordinateur. Un petit-déjeuner qui se voulait typiquement anglais, accompagné d'un café noir comme tu l'aimes. Mais la tenue de ton serviteur laissait légèrement à désirer, en plus de présenter une barbe naissante. Tu n'en fis cependant pas la remarque, en vérité, cela t'amusait beaucoup. Cela démontrait qu'il n'avait pas l'air d'avoir passé une très bonne nuit.


Bonjour Maîtresse, petit déjeuner anglais aujourd’hui.

Aiden était reparti comme il était venu, aussi discrètement. Tu avais pris le temps de te restaurer avant de le faire revenir à tes côtés pour récupérer le plateau resté posé sur ton bureau alors que tu continuais de tapoter sur ton clavier, faisant résonner dans la pièce ce petit cliquètement familier. Tu avais pris l'habitude de taper ainsi et pourtant, tu affectionnais habituellement la plume. Du moins lorsque tu écrivais ton journal intime. Tu en avais déjà écris plusieurs volumes depuis ton adolescence et tu les gardais précieusement dans un coffre fermé par un cadenas dont tu étais seule à détenir la clé. Cette dernière se trouvait toujours pendue à ton cou grâce à une longue chaîne. Tu la cachais savamment sous tes vêtements. Ces fameux journaux ne devaient en aucun cas jamais être lu par quiconque. Ils renfermaient trop de choses à ton sujet, tes forces comme tes ... faiblesses, que tu ne tenais absolument pas à ce qu'elles soient découvertes.

Tu venais de poser la question cruciale à Aiden, attendant de voir ce qu'il répondrait à tout ça. Si il se jetterait enfin à l'eau, impatient de connaître enfin ta décision finale. Mais il semblait encore vouloir tourner autour du pot, de résister malgré la pression que tu lui faisait subir volontairement. Dans un sens, tu admirais sa détermination à ne pas céder à tes tortures mentales, c'était tout aussi amusant que de le torturer physiquement.


Aucun, je me demandais juste si ... vous vouliez que je vous apporte du thé ou du café ou autre chose pour attendre jusqu’au dîner.

- Non, ça ira très bien comme ça, l'Ecossais. Mais raser ta barbe naissante serait une bonne chose, on dirait un mendiant crasseux. je ne tolère pas cette liberté que tu prends ce matin, sans même me demander l'autorisation de le faire. Je te conseille vivement de lt'arranger avant de reparaître devant moi ... à moins que tu ne tiennes à ce que je le fasse moi-même ? A ton avis, si j'utilisais un de ces vieux rasoirs au manche d’ivoire ... un dérapage est si vite arrivé si on ne maîtrise pas bien son geste. Il paraît que ce sont des rasoirs très coupants ...

Aiden avait quitté la pièce, allait-il suivre ton conseil avisé avant de reparaître devant toi ? Quoiqu'il en soit, ta tranquillité fut de courte durée, puisqu'au bout de moins d'une heure, le jeune homme avait refais son apparition dans ton bureau. En silence, il rangeait les quelques livres ou bibelots qui traînaient sur les divers meubles. Il remettait un ou deux fauteuils en place, pour finalement s’asseoir sur l'un deux face à toi. Tu lâchas un long soupir avant de reporter ton attention et ton regard sanglant sur lui. Il avait nonchalamment posé ses coudes sur la surface en bois et sa tête dans ses mains, comme un gamin qui attendait un peu d'attention.

Je m’ennuie ... je sais pas trop quoi faire. Alors peut être pourrions nous parler de mon rôle chez vous. Faire un débriefing de ses deux semaines.

- Nous y voilà enfin ... avais-tu marmonné plus pour toi-même. Pour commencer, tu vas te redresser l'Ecossais, tu n'es pas chez tes parents ici, mais chez moi, dans mon bureau qui plus est. Tu avais hésité à lui asséner un coup, mais tu t'étais ravisée, cela viendrait bien assez tôt. Ton rôle ? C'est celui d'être mon esclave et de faire ce que je veux quand je le veux. Pour le reste, c'est juste du détail. Tu marquas une petite pause avant de reprendre. Un débriefing, rien que ça. A ton avis, ais-je des raisons d'être satisfaite de tes deux dernières semaines ?

Et c'était reparti pour le faire tourner en bourrique de nouveau, le faire poiroter, ne pas lui donner l'illusion d'avoir gagner un peu de terrain pour te satisfaire. Tu l'observais, ne le quittant pas des yeux. Tu avais croisé tes mains devant toi, assise droite comme un piquet. Tu avais gardé bien malgré toi et ton côté rebelle, le maintien qu'on t'avait imposé toute ton enfance, celui d'une Lady dont tu n'avais que le titre au final.

- Bien. Je dois avouer que tu as su me prouver tes compétences en tant que comptable, que ta maîtrise des calculs et surtout du chiffre d'affaire n'est plus à faire. Cependant, si j'accepte enfin que tu accèdes à tous mes comptes et par extension à mes recettes, tu seras responsable en cas de vol, que soit légitime de ta part ou non. Suis-je bien claire ? De plus, tu tiendras toujours ce rôle d'intendant auprès de mes esclaves personnels en attendant un ou une remplaçant(e). Tu devras donc toujours veiller à mon confort personnel. Tu marquas un nouveau silence avant de reprendre. Tu participeras également à l'achat de tout nouvel esclave, tu devras donc m'accompagner à l'animalerie au besoin. Et une fois par semaine, tu devras me faire un rapport détaillé de la situation du Moonlight Garden et me proposer les meilleurs solutions pour l'améliorer. Certaines de tes idées ne sont pas mauvaises, mais il faudra du temps pour en mettre quelques unes en place. Cela te convient-il ? De toute façon, tu n'as pas beaucoup de choix, si tu refuses mes conditions, tu redeviendras un simple majordome.
Aiden Leroy Bull
Age : 24
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Quand le Diable se met à jouer [PV Aiden] EmptyJeu 8 Nov - 11:55
Aiden Leroy Bull

Ce matin, tu avais déposé le petit déjeuner de ta maîtresse, avant de t'éclipser le plus rapidement possible, il fallait absolument que tu te changes, pourtant quand tu étais arrivée dans son bureau elle n'avait fait aucune remarque sur ta tenue. Ce qui t'étonna, mais tu ne dis rien repartant te changer et t'occuper de toi. Pourtant, tu avais pris la décision de garder ta barbe naissante, tu aimais bien et pourquoi pas la laisser pousser pour obtenir une jolie barbe. Mais aujourd'hui ce n'était pas la question.

Quand tu revins dans son bureau, elle avait fini de déjeuner et continuait à tapoter sur son ordinateur, tu te demandais bien ce qu'elle pouvait taper à longueur de journée, surtout qu'elle avait souvent l'air d'être absorbée dedans. Finalement ta venue l'interrompu et elle te posa une question à laquelle tu répondis en esquivant le véritable sujet. Suite à sa réponse, tu te dis que tu aurais mieux fait de répondre simplement en l'informant que tu te posais des questions par rapport à ta place ici. Elle te mit en garde par rapport à ta barbe, finalement tu devrais t'en séparer, c'est dommage peut-être était-ce un artifice qui pouvait t'aller comme un gant, mais il valait mieux que ça soit toi qui la rase plutôt qu'elle. Si ça devait être elle, tu avais comme un mauvais pressentiment, ses fameux rasoirs coupaient extrêmement bien et ce qui était sûr c'est qu'elle devait très bien les manier, mais pas seulement pour raser.

Non ça ira, je vais m'en occuper. Je ne vais pas vous faire perdre inutilement votre temps, même si je ne doute pas de votre capacité à vous en servir.

Tu souriais doucement avant de t'éclipser le plus rapidement possible, encore une fois tu avais parlé un peu trop vite. Tu rangeas tout et te dirigeas dans la salle de bain pour te raser correctement, avant de t'ennuyer. D'habitude tu trouvais toujours quelque chose à faire, mais là tout t'ennuyer. Rien ne t'intéressait, tout ce que tu trouvais à faire ne te disait rien. Tu aurais pu aller te balader un peu dehors, mais tu avais peur de ne pas pouvoir répondre rapidement au demande de ta maîtresse. Finalement, tu avais réussi à t'habituer à ta vie d'asservi, même si parfois tu aimerais retrouver ta liberté, retourner en Ecosse où tu avais grandi, ton ancienne vie te manquait quand même.

Au final la seule chose que tu avais trouvé à faire, c'était de t'installer dans le bureau de ta maîtresse, tu avais prétexté de ranger pour au final s'asseoir devant elle en posant la tête sur tes coudes eux-mêmes sur le bureau de la dame. Tu avais l'air d'un gamin, mais tu lui fis quand même part de ton ennuie. Aurais-tu dû faire ça ou non ? En tout cas tu avais obtenu un peu d'attention de sa part et ça te convenait très bien.

Tu te redressas rapidement baissant un peu les yeux, c'est vrai qu'avec l'ennuie tu n'avais pas forcément agit de la meilleure façon, mais au moins elle t'avait juste fait la remarque, la connaissant un peu ça aurait pu être pire. Tu murmuras rapidement des excuses la laissant poursuivre. Tu levas légèrement les yeux au ciel, si c'était pour recommencer cette discussion que vous aviez déjà eue, autant ressortir de cette pièce, tu avais déjà bien compris qui tu étais et ce que tu étais, mais tu ne dis rien. Tu réfléchis un instant à la question avant d'y répondre.

Et bien, je pense avoir fait de mon mieux, d'avoir réussi à vous satisfaire, mais vu que vous laissez rien transparaître je ne serais dire si ma façon de travailler vous a plus. Si c'est le contraire, je ne vois pas où j'ai pu faire une faute, puisque je pense avoir fait mon travail de la meilleure des façons et avoir fait tout ce que vous m'avez dit.

Tu t'étais redressée et la regardas, mais tu n'aimais toujours pas quand elle posait son regard sanglant sur toi, rendant l'atmosphère de plus en plus pesante. Sa stature aussi droite te rappelait ce que tes parents t'avaient appris sans forcément s'acharner sur cela. Vous aviez beau avoir une certaine stature avec ta famille, vous étiez plutôt décontracté quand vous étiez tous ensemble et votre éducation avait toujours été faite de façon à être bien vue en public, mais sinon à la maison vous étiez comme une autre.

Cette fois tu la laissas parler, tu l'écoutais, bon tu avais marqué de très bons points. Au lieu de jubiler de joie, tu ne disais rien, à présent tu avais beaucoup plus de responsabilités, ça ne devrait pas t'effrayer, mais pourtant tu en avais peur. Ca serait une sorte de défi pour toi, tu devrais assurer le rôle d'intendant ce que tu faisais déjà et que tu devrais poursuivre jusqu'à avoir un remplaçant. Mais arriverais-tu à céder cette place plus tard, maintenant que tu avais l'habitude de t'occuper de ta maîtresse, commençant à connaître pleins de petites choses pour son bien être. Toutefois tu hochas la tête, les conditions n'étaient pas si terribles à accepter, mais lourdes et nombreuses. Devoir aller dans des animaleries et surveiller et avoir accès aux comptes de madame serait sûrement fatiguant.

Tu te levas et avanças la main droite vers ta maîtresse prête à lui serrer la sienne, en souriant ne cachant pas complètement ta joie d'avoir réussi à la persuader, même si la peur d'échouer te traverser l'esprit. Tu restais tout de même un peu sur tes gardes.

Cela me convient très bien. Merci pour votre confiance. Quand est-ce que je commence ?

Invité
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Quand le Diable se met à jouer [PV Aiden] EmptyMar 13 Nov - 17:23
Anonymous

Non ça ira, je vais m'en occuper. Je ne vais pas vous faire perdre inutilement votre temps, même si je ne doute pas de votre capacité à vous en servir.

Ton asservi avait suivi ton conseil, sûrement de peur que tu ne t'en charge toi-même, il était réapparu cette fois-ci impeccable comme à son habitude. Et il devrait le rester puisqu'il allait à partir de ce jour, tenir le rôle de comptable personnel pour toi. Un homme si respectable, au travail si important, se devait de posséder un maintien et une tenue parfaite. tu y veillerai personnellement.

Et bien, je pense avoir fait de mon mieux, d'avoir réussi à vous satisfaire, mais vu que vous laissez rien transparaître je ne serais dire si ma façon de travailler vous a plus. Si c'est le contraire, je ne vois pas où j'ai pu faire une faute, puisque je pense avoir fait mon travail de la meilleure des façons et avoir fait tout ce que vous m'avez dit.

Par la suite, lorsque tu lui avais demandé s'il était capable de connaître ton ressentiment au vu de ses deux dernière semaines en tant que comptable, Aiden avait bien joué le jeu et paraissait des plus sincères. En effet, tu ne montrais jamais ce que tu pouvais penser, du moins, lorsque tu parvenais à te maîtriser. N'ayant aucun facteur pouvant provoquer ton courroux, tu étais restée très calme et maître de toi. De ne rien laisser paraître ainsi, permettait de surprendre le moment venu et ... tu adorais ça. Les gens restaient pendus à tes lèvres et le moindre mot prononcé de ta part finissait par retenir toute leur attention. Tu avais donc fini par révéler les points forts de ton esclaves, le gratifiant en quelques sortes de son travail bien fait. Il n'avait jamais bronché et c'était encore un bon point pour lui.

Cela me convient très bien. Merci pour votre confiance. Quand est-ce que je commence ?

Il s'était redressé et avait tendu sa main dans ta direction dans l'intention que tu la serre, comme pour un accord. Mais il n'y avait pas d'accord, tu restais celle qui contrôlait la situation et toutes celles à venir, maître des Enfers dans lequel il se mouvait. Tu fixas longuement sa main avant de croiser son regard. Après un court silence, tu déposas une claque cinglante sur le dessus de sa main.

- Tu rêves pour que je m'abaisse à ton niveau, l'Ecossais. Je suis ta maîtresse pas ta patronne. Il n'y a pas de "contrat" entre nous. et tu commences immédiatement bien sûr, ce n'était pas un entretien d'embauche. Non mais tu es vraiment idiot des fois ... Tu soupiras avant de te lever de ton fauteuil, tu éteignis alors ton ordinateur et quittas ton bureau. Suis-moi. Nous allons sortir, prends ta veste et mon manteau, puis rejoins-moi à la réception du Moonlight Garden.

Tu descendis au premier étage dans un premier temps, rendant une petite visite à Mirabelle. La jolie louve se reposait, un livre dans les mains. Tu la taquinas un peu, rien de tel qu'un peu d'excitation avant de se rendre dans une animalerie. Puis tu lui ordonnas de garder la "maison" en ton absence puisque tu emmenais Aiden avec toi. Elle devrait également bien surveiller Maeko dont tu te méfiais. Tu rejoignis ensuite ton esclave au rez-de-chaussée, près du comptoir où tu accueillais habituellement les clients. Tu mis ton manteau puis te saisi d'un parapluie. Non, il ne pleuvait pas ce jour-là, mais tu ne pouvais laisser ton corps être exposé à la lumière extérieure.

Tu quittas donc le Moonlight Garden en compagnie de ton nouveau comptable, il gardait cependant cette fonction d'intendant et avait donc la charge d'ouvrir et de fermer la portière pour toi. Il n'avait pas à conduire, tu avais déjà ton fidèle chauffeur pour ça. Fidèle ... à ton porte-monnaie bien sûr. Tu n'avais pas besoin de lui dire la destination, laissant ainsi ton asservi dans l'ignorance totale. C'est au bout d'une demi-heure que le véhicule s'arrêta juste devant l'animalerie de luxe où tu te rendais habituellement.

- Tu reconnais l'endroit ? C'est ici que je t'ai acheté pour presque rien. Mais aujourd'hui, tu vas te comporter comme un comptable qui vient négocier quelques esclaves en compagnie de sa maîtresse. Je te conseil donc de bien te tenir.

Une fois sortie de la voiture, tu te dirigeas vers la porte qui, lorsque tu l'ouvris, émis un petit bruit de sonnette. Aussitôt, la gérante qui était occupée à ranger une étagère d'objets divers de soumission, se retourna sur toi et vint t’accueillir comme il se devait. tu étais après tout, l'un de ses principaux revenus.

- Miss Duke, vous avez bien reçu mon mail ? Je les ai gardé juste pour vous. Elles sont arrivées hier. Si vous voulez bien me suivre ?

La gérante jeta un rapide coup d’œil à Aiden, s'étonnant sûrement qu'il te suive jusque dans l'arrière boutique. Deux vendeurs se chargèrent d'y conduire cinq jeunes esclaves, toutes de sexe féminin, quatre hybrides et une asservie. La première leçon d'achat allait commencé pour Aiden.

- Restes bien attentif, l'Ecossais, la prochaine fois, tu devras faire les bons choix, ne t'attardes donc pas sur leurs charmes. Il pourrait me prendre l'envie de te "diminuer" un peu plus.

Tu n'avais alors pas idée que ce genre de menace ne servait à rien pour ce jeune homme qui avait déjà été privé de sa "virilité" ...
Aiden Leroy Bull
Age : 24
Multi-Compte : Viktorya & Maïwen
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Quand le Diable se met à jouer [PV Aiden] EmptyMer 21 Nov - 17:31
Aiden Leroy Bull

Assis en face de ma maîtresse, j’écoutais sa réponse, j’étais donc pris pour être son comptable. J’avais donc réussi à la satisfaire, ce qui n’était pas forcément le plus facile avec elle. J’étais satisfait de moi, et me levai pour lui serrer la main. Tout ce qu’elle fit c'était me regarder. Pourquoi elle ne venait pas la serrer ? J’attendais un instant avant de croiser son regard, comprenant que ça ne lui plaisait pas du tout. Sauf que je l’avais compris trop tard et je reçus une violente claque sur la main que je récupérais pour venir la frotter et serrer puis desserrer le point. J’émis en même temps une petite plainte de douleur. Je frottais ma main en la regardant, elle avait un sacré don pour faire mal cette Anglaise.

Je baissais un peu les yeux venant regarder l’état de ma main tout en l’écoutant parler, je ne comprenais pas vraiment pourquoi elle se fâchait ainsi. Je n’avais pas voulu être désobligeant, je ne voulais pas non plus la fâcher, je pensais simplement pouvoir détendre l’atmosphère entre nous. Je soupirai doucement avant de venir m’excuser.

Veuillez m’excusez Maîtresse, je ne voulais pas vous contrarier.

Je la regardais éteindre son ordinateur puis se lever et quitter la pièce tout en la suivant. J’hochai rapidement la tête. Je restais dans l’appartement particulier de ma maîtresse, commençant par récupérer ma veste. Il s’agissait d’une simple veste longue de couleur noire que j’enfilais rapidement, puis j’allais récupérer la veste de Kathleen.

Une fois en bas à la réception, j’attendis l’Anglaise qui avait dû faire un arrêt quelque part dans le manoir, puisqu’en arrivant en bas je ne l’avais pas trouvé. Je n’avais pas non plus pris la peine de la chercher au cas où elle arriverait avant moi. Je faisais souvent tout pour ne pas qu’elle m’attende par peur de représailles mais aussi parce que tu ne trouvais pas ça politiquement correct.

Une fois qu’elle était arrivée, je lui avais tendu sa veste afin de l’aider à la mettre avant de la suivre vers la sortie. Je lui ouvris la porte du manoir avant de tenir la portière de la voiture. Cette sortie improvisée ne me rassurait pas tellement, mais bon je n’avais pas vraiment mon mot à dire là dessus. Je pris un peu de temps pour venir m’installer au côté de Kathleen sans un mot. Le chauffeur démarra et prit la direction de la ville, mais où allions-nous ? Je n’en savais rien. Seul Kathleen et son chauffeur le savait.

Je ne disais rien, angoissant en silence, attendant quelconques informations sur notre destination. Pourtant seul un silence de mort s’installer tranquillement dans l’habitacle de la voiture. Après un certain temps de route, le véhicule s’arrêta juste devant l’animalerie d’où je venais. Je commençais un peu à angoisser, elle n’allait tout de même pas me revendre à l’animalerie, ou m’échanger contre un autre. L’angoisse que je ressentais devait sûrement se lire sur mon visage pourtant je ne disais toujours rien.

J’écoutais les dires de ma maîtresse qui répondaient en partie à ma question et j’hochais la tête répondant à sa question et en même temps son conseil. Cela venait me rassurait tout de même puisque je savais à présent ce que nous faisions ici et elle comptait me garder. Je récupérais le parapluie et sortis en premier de la voiture pour ouvrir la portière de ma maîtresse ainsi que la couvrir avec le parapluie pour protéger sa peau fragile.

Je lui ouvris la porte du magasin avant de refermer le parapluie et de le poser dans la corbeille dédier à cela, avant de suivre ma maîtresse. Je ne disais pas un mot baissant même le regard en voyant la directrice et personne qui m’avait vendu à mon Anglaise, se rapprochait pour l’accueillir comme il se devait. Je suivis ma maîtresse sans rien dire, ignorant le regard étonnée de la directrice.

J’attendais sagement regardant les demoiselles arrivaient avec les vendeurs. J’observais les cinq filles devant nous, il s’agissait à coup sûr de quatre hybrides et sûrement une asservie n’observant aucun signe distinctif rappelant une quelconque hybridation. Je vins poser mon regard sur l’Anglaise.

Bien maîtresse, vous inquiétez pas, vous n’aurez pas à le faire, vous ne pourrez pas faire plus court.

Je fronçais doucement les sourcils, je venais de faire une grave erreur, c’était une faiblesse mais en même temps une force pour moi. Jusqu’à présent elle n’avait rien tenté mais ses menaces ne m’affectait pas du tout. Je regardais Kathleen ma respiration s’accélérant un peu. Puis je commençais à fuir un peu du regard tous les gens qui étaient autour de moi, dans cette pièce au moins une personne était déjà au courant mais cela ne me rassurait pas du tout. J’attendais à présent la réaction de l’Anglaise, soit elle avait pas compris mais ce qui n’était sûrement pas le cas, soit elle comprenait et là c’était pas forcément bon pour la suite. Mais surtout j'espérais pouvoir en parler un plus tard.
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Quand le Diable se met à jouer [PV Aiden] EmptyDim 9 Déc - 11:33
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Tu avais bien senti la tension dans la voiture durant le trajet, Aiden dans l'ignorance de la destination ni de ce que tu comptais faire, semblait stresser. Ce fût pire lorsque le véhicule s'arrêta devant l’animalerie de luxe où tu avais pour habitude de te rendre. Était-ce les souvenirs de cet endroit ? Ou la peur que tu ne retournes ta veste au dernier moment pour le vendre ? Tu doutais de cette dernière hypothèse, n'importe quel esclave rêverait de pouvoir échapper à tes griffes, du moins c'est ce que tu te disais et ce que tu croyais. Mais une fois tes explications données sur votre venue en ce lieu, l'Ecossais sembla quelque peu soulagé, mais il avait raison de rester tendu, tu n'allais pas le ménager dans ce "travail".

Aiden n'oubliait cependant pas son rôle principal, te satisfaire et veiller à ton bien-être. Ouvrir la porte, prendre ton parapluie pour le ranger en attendant, des petits détails qui pour toi avait son importance. Une fois dans l'arrière boutique, tu avais lui avais donné tes directives en premier lieu avant que la vente ne commence.


Bien maîtresse, vous inquiétez pas, vous n’aurez pas à le faire, vous ne pourrez pas faire plus court.

WHAT ? Tu avais bien entendu ? En réalité tu avais un doute sur la signification des dernières paroles du jeune rouquin. Mais un simple regard sanglant dans sa direction sembla le confirmer ... Il semblait tout  coup très mal à l'aise, comme si il venait de révéler quelque chose qu'il ne fallait pas. Mais quoi ? Il parlait bien de CA ? De ce que tu risquais de lui couper ? Pourquoi plus court ? Tu n'avais pas le temps de te pencher sur son cas, mais tu allais lui faire savoir que sa réaction t'intriguait grandement ...

- Peu importe ... nous en reparlerons plus tard ... Tu avais susurré tes derniers mots pour que seul ton esclave puisse les entendre et ces derniers promettaient un échange qui ne plairait pas forcément au jeune homme. Tu reportas ton attention sur les cinq esclaves féminines. Bien commençons les présentations !

Ton ton était celui d'une patronne donnant ses ordres plus que celui d'une simple cliente, ce que tu n'étais pas bien sûr. La propriétaire des lieux s'empressa alors de rejoindre les jeunes femmes. Elle se tenait à présent devant la première, une hybride de type canin à n'en pas douter.

- Voici Akina, c'est une hybride renarde. Elle a 23 ans. Elle sait s'occuper d'une maison, faire la cuisine et d'après nos informations, elle aime jouer d'un instrument, la guitare. Elle porte peu de cicatrice et ...

- Suivante !

Cela signifiait clairement que l'hybride ne t'intéressait pas. Déjà de part son physique qui était assez commun, tu ne recherchais pas une esclave personnelle mais bien une futur Fleur. Le fait qu'elle ne semble pas avoir d'attraits correspondant, elle présentait donc peu d'intérêt à tes yeux.

- Bien Miss Duke. La suivante ... La patronne se décala près de la deuxième hybride, une grande brune doter d'ailes noires. Melissa est une hybride de type "corneille", elle possède toujours ses ailes, mais ne vous inquiétez pas, elle ne peut plus voler avec puisqu'on lui taille les plumes régulièrement depuis sa plus tendre enfance. Elle a 19 ans. Elle est exempte de toute marque sur son corps et elle est particulièrement docile. Elle a appartenu à un couple qui ne pouvait avoir d'enfant, donc elle ne connait rien en ce qui concerne votre type de commerce. Mais comme vous pouvez le constater, elle est plutôt jolie.

Tu avais cette fois-ci, laissé parler la femme jusqu'au bout. Tu avais donc un certain intérêt pour l'hybride en question, mais tu attendrais de connaître toutes les autres avant de te prononcer. Tu reportas un instants ton attention sur ton asservi, l'observant alors que lui-même semblait attentif aux cinq esclaves féminines.

- J'espère que tu suis bien, l’Écossais ? Puis tu murmuras à son unique intention. Dis-moi, à ton avis, pourquoi ne me suis-je pas attardée sur la première hybride présentée ?
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Quand le Diable se met à jouer [PV Aiden] EmptyDim 23 Déc - 19:25
Aiden Leroy Bull
J'avais suivi ma maîtresse jusqu'à son véhicule, avant de m'y installer juste après elle. Je ne savais pas du tout quelle était la destination ou ce qu'avait en tête l'Anglaise, mais il était vrai que plus on s'éloignait du manoir et plus je stressais. Je ne voulais surtout pas qu'elle m'abandonne, même si beaucoup des Fleurs aimeraient pouvoir le quitter et même si j'avais eu envie de m'enfuir à mon arrivée, aujourd'hui je ne voulais pas retourner dans une animalerie ou servir une autre famille. J'avais quasiment trouvé toutes mes marques ici et au final si je faisais mon travail correctement et qu'elle était satisfaite, elle me laissait tranquille et j'avais une vie paisible.

L'animalerie où nous étions arrivés, je la connaissais, j'y avais déjà mis les pieds au moins une fois et j'avais pu rencontré l'Anglaise, j'espérais qu'elle n'avait pas l'intention de m'y laisser et prendre quelqu'un d'autres à ma place. Cependant, ce n'était pas du tout son intention et même si j'étais soulagé, je ne me détendais pas complètement et continuais à servir au mieux ma maîtresse, faisant tout pour son bien-être.

La directrice de l'établissement ne semblait pas tout à fait habituée à ce que ma maîtresse ait de la compagnie lors de ses achats, encore plus une présence masculine d'un asservi. Cependant quand elle me donna ses consignes je ne pus m'empêcher de parler trop vite, divulguant une information trop précieuse pour qu'elle soit partagée. Je lançais un regard angoissé en direction de madame la directrice, puis vers ma maîtresse, les deux avaient compris. Kathleen se posant sûrement plus de questions que mon ancienne propriétaire, qui n'en avait pas parlé à l'Anglaise au moment de la vente. Cela avait été un très grand avantage jusqu'à présent, face aux menaces de ma maîtresse.

Kathleen avait parfaitement compris qu'il y avait quelque chose derrière ma dernière prise de parole puisqu'elle m'informa que nous aurions une discussion plus tard. En effet, ce n'était peut être pas le moment d'en parler, mais le futur échange serait sûrement assez houleux, il s'agissait après tout d'un sujet assez délicat. Au moins elle ne comptait pas s'attarder dessus pour l'instant, puisqu'elle indiqua ou plutôt ordonna qu'elle souhaitait qu'on commence les présentations des demoiselles face à nous.

Je suivais avec une grande attention n'attirant plus l'attention. La première, Akina était sûrement jolie mais il me semblait avoir déjà vu des renards dans le manoir, elle était encore jeune ce qui était un avantage, pourtant ses qualités ne lui laissèrent aucun chance face au choix de ma maîtresse, qui coupa la parole à la vendeuse pour qu'on passe à la présentation suivante. Je ne pus m'empêcher de lancer un petit désolé silencieux à l'hybride, ma maîtresse était direct, mais j'avais encore dû mal avec ça, alors je m'excusais à sa place, enfin très discrètement pour pas qu'elle me voit.

La suivante était assez originale. Une jeune femme assez grande avec de belles ailes noires, je m'attardais beaucoup plus à l'observer observant chacune de ses caractéristiques physiques. Elle pourrait plaire à beaucoup d'homme, le seul bémol pour toi était son âge et son innocence lisible sur sa frimousse. La pauvre hybride pourrait se retrouver à 19 ans dans un bordel alors qu'elle ne connaît quasiment rien à la vie, j'étais comme ça, je préférais la voir libre ou avec d'autres propriétaires que chez Kathleen, connaissant son futur avenir. J'avais pourtant subi à plusieurs reprises des châtiments infligés par d'autres humains à cause d'hybride, pourtant je leur voulais encore pour certains que du bien.

J'étais plongé dans mes pensées, quand j'entendis la voix de l'Anglaise, me tournant vers elle, avais-je l'air un peu surpris ? Oui en effet, j'étais en pleine réflexion et en plus elle me demandait mon avis sur sa décision. Même si j'étais devenu son comptable jamais je ne contesterai ses décisions, c'était encore elle qui décidait. Je lui répondis avec un ton assez faible pour qu'elle seule entende.

Je dirais qu'elle n'a rien de spécial. Ses qualités, sont celles d'une hybride de maison et non d'une hybride pour votre commerce. Même physiquement je dirais qu'elle n'a rien de spécial car elle est trop … Ordinaire.

La patronne c'était arrêté dans ses présentations attendant que nous finissions notre discussion. J'attendis la réaction de ma maîtresse, avant de reporter mon intention sur les jeunes esclaves. La troisième esclave ne t’interpellait pas plus que ça, enfin elle avait des très beaux yeux, de longs cheveux ondulés châtains en bataille, elle avait une taille qui s'inscrivait dans la moyenne, mais elle ne t'interpellait pas plus que ça et sa présentation confirmait tes pensées.

A présent, il s'agit d'une hybride neko Hinami, elle possède des yeux vairons un bleu et un vert comme vous pouvez le voir. Elle a vingt-cinq ans et sort toujours du centre dressage, c'est une ancienne sauvage qui a pris un peu trop goût à la vie d'une humaine, puisqu'elle a vécu pendant plusieurs années comme une humaine, cachant ses attributs animaliers comme ses oreilles et ses canines.

Cette fois ce ne fût pas Kathleen qui coupa la vendeuse, mais bien moi, enfin je ne l'avais pas fait comme l'Anglaise, je m'étais directement adressé à mon Angaise. Je connaissais parfaitement son avis sur le centre dressage et le fait qu'elle considérait que le dressage qui y était prodigué n'était pas celui qu'elle souhaitait. Je la regardais parlant cette fois assez fort pour que tout le monde entende.

Celle-ci ne conviendrait pas. Elle est très jolie et encore c'est grâce à ses yeux atypiques, mais son dressage serait à revoir et cela serait juste une perte économique s'il fallait que vous la dressiez comme vous le souhaitez.

Le regard de l'hybride était parfaitement clair, elle n'avait qu'une envie s'enfuir et je savais très bien que ma maîtresse serait capable de briser cette petite chose, mais elle sera juste une perte économique et de temps. J'eus un léger frisson en repensant ce qu'elle avait fait à Maeko.

Les présentations se poursuivirent après l'avis de ta maîtresse, j'étais peut-être aller un peu plus loin que ce qu'elle avait demandé, pourtant aujourd'hui je savais que c'était le moment, que je pouvais essayer de voler de mes propres ailes pour plaire encore plus à l'Anglaise, lui montrait que j'étais plus que le simple écossais. La quatrième hybride était un reptile, une belle femme d'une vingtaine d'années aux yeux tout aussi sombre que sa chevelure ébène avec quelques reflets bleus foncés. Celle-ci te plaisait bien, elle avait l'air d'être parfaite pour le travail qu'elle devrait faire. Jenny, hybride couleuvre asiatique docile, ayant déjà servie chez un homme riche, elle savait se tenir en compagnie d'humains. Cette fois, je ne dis rien observant simplement la réaction de ma maîtresse mais aussi de l'hybride, pour moi c'était elle qui fallait emmener.

Enfin elle passait à l'asservie, ce n'était pas une bonne idée selon moi de prendre une asservie, une blonde aux yeux bleus avec des origines européennes. Cela devait plaire à certains hommes, pourtant une asservie dans les locaux ne me disait rien de bon, elle pouvait avoir des relations ou bien réussir à s'échapper bien plus facilement qu'une hybride. J'étais aussi un asservi, j'aurai pu tenter de m'enfuir ou faire jouer certaines de mes relations, mais j'avais été tellement anéanti lors de ma condamnation que j'avais rien fait pour me sortir de cette galère et aujourd'hui il me serait impossible de m'en sortir, sauf si j'arrivais à retourner en Écosse.

Je me tournais un instant vers Kathleen lui demandant si je pouvais vérifier quelque chose avant qu'elle fasse ses choix. Je regardais de nouveau Mélissa et me rapprochait d'elle, elle m'intriguait en même temps, je ne souhaitais pas la voir au Moonlight. Je parlais rapidement lui demandant de façon qu'elle seule puisse entendre, si elle était encore vierge et si quelqu'un avait déjà toucher, elle répondit timidement que non. Alors, d'un coup je tirais sur son aile, pas de façon violente, mais j'avais pincé une partie sensible ce qui lui avait arraché un cri de douleur et des larmes se mirent à couler silencieusement sur ses joues. Je souriais doucement, ce que je voulais qui arrive, arriva, peut être cela pourrait lui éviter un sort beaucoup plus terrible. Je retournais au prés de ma maîtresse espérant que ma stratégie marcherait pour sauver cette petite hybride.

Elle est trop fragile mentalement pour votre commerce. Si un client la choisit et qu'elle se met à pleurer ainsi cela ne fera qu'entacher l'image de votre établissement et même avec le temps cela ne risque pas de s'améliorer je pense. Et cela ferait un ou plusieurs mécontents qui ne reviendrait pas.

Je me mordis un peu la lèvre, j'avais vraiment était beaucoup plus loin que ce qui était convenu à la base, mais j'espérais que mes prises d'initiatives plairait à ma maîtresse et lui montrerait qu'au final je m'impliquais complètement dans mon nouveau rôle.
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Quand le Diable se met à jouer [PV Aiden] EmptyDim 6 Jan - 15:22
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Tu restais bras croisés, debout face aux cinq esclaves qu'on avait amené devant toi. Tu les observais, surtout physiquement, mais ce n'était pas forcément le plus important à tes yeux. C'est pourquoi tu restais attentive à la description de leur caractéristiques et de leurs compétences. la première d'entre-elles n'avait pas éveillé d'intérêt à tes yeux, mais la seconde un peu plus. tu avais donc demandé à Aiden si il était capable de savoir pourquoi tu avais réagi ainsi.

Je dirais qu'elle n'a rien de spécial. Ses qualités, sont celles d'une hybride de maison et non d'une hybride pour votre commerce. Même physiquement je dirais qu'elle n'a rien de spécial car elle est trop … Ordinaire.

Tu laissas un sourire traversé tes lèvres tandis que tu faisais un simple signe affirmatif de la tête, de quoi faire comprendre à ton asservi qu'il était dans le vrai. Votre petit aparté terminé, la patronne reprit les présentations des esclaves suivantes.

A présent, il s'agit d'une hybride neko Hinami, elle possède des yeux vairons un bleu et un vert comme vous pouvez le voir. Elle a vingt-cinq ans et sort toujours du centre dressage, c'est une ancienne sauvage qui a pris un peu trop goût à la vie d'une humaine, puisqu'elle a vécu pendant plusieurs années comme une humaine, cachant ses attributs animaliers comme ses oreilles et ses canines.

Celle-ci ne conviendrait pas. Elle est très jolie et encore c'est grâce à ses yeux atypiques, mais son dressage serait à revoir et cela serait juste une perte économique s'il fallait que vous la dressiez comme vous le souhaitez.

Aiden était intervenu avant même que tu n'ai le temps d'en entendre d'avantage. Tu avais donc tourné la tête vers lui, ton regard furieux et tes sourcils froncés montrant parfaitement ton mécontentement à ce sujet. Il se trompait lourdement et tu allais le lui prouver.

- Une perte économique dis-tu ? Il n'y en a aucune lorsque je dresse moi-même un esclave, j'ai bien dû te redresser toi, parce que tu as désobéis à un ordre pourtant simple. Je n'ai rien perdu au change, puisque tu sembles avoir compris à qui tu avais affaire et tu n'as pas à te plaindre puisque tu as un poste intéressant pour un esclave comme toi, l'Ecossais. Tu as encore beaucoup à apprendre à mon sujet ... Poursuivez !

La présentation reprit son cours et tu reportas ton attention sur la prochaine hybride. Cette dernière était une couleuvre, particulièrement charismatique et apparemment docile. Mais ça tu devrais le vérifier par toi-même si tu la choisissais. La dernière esclave proposée était une asservie apparemment de type européenne, très jolie aussi. Mais pour ton commerce, tu préférais de loin les hybrides car tes clients voulaient toujours plus d'exotisme. Aiden te tira de tes pensées en te soumettant une requête. tu lui indiqua par un signe de tête qu'il pouvait faire sa vérification. Il s'était alors avancé vers Mélissa, l'un des employé sembla tiqué mais tu lui somma de laisser faire ton asservi. Ce dernier attrapa alors l'aile de l'hybride ce qui la fit émettre un petit cri de douleur. Ton Démon frétilla alors à l'intérieur de toi, l'excitation s'emparant de ton être. Aiden revint alors auprès de toi pour faire par de son avis, mais ce qu'il venait de faire ... allait faire basculer ta décision finale ... et ses mots ne servirait à rien.

Elle est trop fragile mentalement pour votre commerce. Si un client la choisit et qu'elle se met à pleurer ainsi cela ne fera qu'entacher l'image de votre établissement et même avec le temps cela ne risque pas de s'améliorer je pense. Et cela ferait un ou plusieurs mécontents qui ne reviendrait pas.

- N'essayes pas de me dissuader d'acheter cette petite chose après lui avoir fait subir de la douleur. Je pensais que tu avais appris à me connaître un minimum l'Ecossais. De plus, ce que tu ne sais pas encore mais auquel tu vas bientôt assister ... c'est que je forme moi-même mes Fleurs avant de les offrir en pâture à mes clients. Tu marquas une pause avant de te tourner vers la patronne. Bien j'ai fait mon choix. Melissa, Hinami et Jenny. Avec ce petit lot, vous aurez fait une bonne recette aujourd'hui. Préparez-les à partir, mettez-leur des colliers et laisses simples, elles auront mieux en arrivant à destination.

Tu suivis ensuite la femme jusqu'au comptoir pour signer toute la paperasse et rêgler ta note. Aiden était toujours à tes côtés et lorsque les trois hybrides furent amenées, tu le chargeas de prendre les laisse pour les "tenir".

- J'espère pour toi que tu sauras les gérer jusqu'à ce que nous rentrions. Si l'une d'elle s'échappe ou commet le moindre impair, tu en paieras le prix.

Une fois tout réglé, tu passas la porte la première, ton chauffeur n'étant pas encore revenu, tu l’appela sur son téléphone portable. Il était impossible de rester garer dans cette rue, il avait donc dû se poster dans un parking non loin de là, mais vous devriez l'attendre une peu ...
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Quand le Diable se met à jouer [PV Aiden] EmptyMer 16 Jan - 20:21
Aiden Leroy Bull

Dans l'animalerie, dans laquelle j'avais été vendu à l'Anglaise, je me trouvais de nouveau, dans cette pièce assez angoissante. Celle où Kathleen décidait de si ou non, on pouvait partir avec elle, ici j'avais eu le droit à ma première leçon quand j'avais commencé à lui répondre et de me revendiquer mes origines écossaises qui sont, nous pouvons le dire, les meilleures au monde. Pourtant, aujourd'hui je n'étais ni à vendre ni à acheter, j'étais là pour suivre et apprendre le processus d'achat et de formation des nouvelles Fleurs du Moonlight.

Je regardais l'Anglaise et répondis à sa question, espérant avoir vu juste. C'était assez angoissant de ne pas tellement savoir si j'avais vu bon ou pas. Elle sourit doucement et fit un mouvement d'affirmation, j'avais envie de soupirer de bonheur, mais je ne fis rien, restant de marbre  et professionnel si on pouvait le dire.
La patronne continua ses présentations et j'avais osé lui couper la parole. Je trouvais un peu plus d'assurance en ce moment, mais ce ne fit en aucun cas plaisir à l'Anglaise, qui me foudroya du regard, un regard qui montrait que Milady n'allait pas être tendre pour la suite. Je baissais un peu le regard avant de la regarder dans les yeux, écoutant sans un mot sa leçon. Elle n'avait pas tort, j'avais compris qui elle était et comment je devais me tenir à présent, elle n'avait effectivement pas eu de perte économique et finalement aujourd'hui j'étais son comptable et je pourrais peut-être et c'était le but, lui faire augmenter ses revenus.

Les présentations continuèrent dans le calme et le silence, cette fois je n'interviendrais plus, j'avais déjà fait une boulette, je n'en ferais pas une deuxième. Je pus tout de même aller faire une vérification après l'autorisation de ma maîtresse. Pourtant, je m'arrêtais et attendit de nouveau son autorisation quand un employé voulu s'interposait à mon intervention. Je pus faire tout de même ce que je souhaitais faire. Mon expérience me semblait concluante, pourtant quand je revins auprès de Kathleen ce fut l'effet inverse que j'avais dû provoquer. Après lui avoir fait mon rapport, elle me rappelait qui elle était et ses goûts particuliers.

J'aurais pu lever les yeux au ciel ou bien soupirer, mais je restais de marbre, c'est vrai, j'avais oublié son démon intérieure, son double qui la faisait réagir au moindre témoin de douleur, je l'avais oublié, cela faisait un moment que je ne l'avais pas provoqué et ça ne devrait pas se produire de sitôt, en tout cas je ne le voulais pas le provoquer de nouveau, une fois m'avait suffit.

J'attendis la décision de ma maîtresse, ayant compris qu'à présent c'était sûr que Mélissa nous suivrait, pourtant elle en prit trois. Elle prit la petite Himani, celle sur laquelle j'avais fait une erreur. Kathleen me le reprouverait encore plus quand cette hybride, qui te semblait bien trop ordinaire serait prête à rejoindre les Fleurs. Elle avait aussi choisi d'emmener Jenny, elle était sûrement la plus parfaite pour leur futur travail, elle était belle et était assez exotique pour plaire à plusieurs clients.

Tandis que les employés préparaient celles qui devaient partir et ranger les autres, je suivis l'Anglaise pendant qu'elle remplissait la paperasse. Je connaissais un peu cela, j'avais déjà dû en remplir moi-même. Les puces de ces pauvres filles seront mises à jour et elles appartiendraient pour de bon à l'Anglaise et son commerce.

Quand elles firent prêtes, j'eus la lourde charge de les tenir et de les garder à l'oeil. Je n'avais pas vraiment l'habitude de faire ça, même avec mon propre hybride, jamais je ne lui avais mis de laisse ou de collier, il était comme un ami ou un colocataire utile pour moi, pas un vulgaire objet. Pourtant, aujourd'hui, je portais un collier et je devais tenir trois femmes comme de vulgaires animaux avec une laisse et des colliers. Cela me mettait un peu mal à l'aise pourtant, j'allais essayer de ne pas la décevoir.

Bien, Sasannach.

Je regardais les trois demoiselles que je tenais avec la laisse, priant silencieusement qu'elles n'essayent pas de faire quoi que se soit. Je surveillais surtout Hinami, celle qui semblait avoir besoin de recevoir un nouveau dressage. Je suivis ma maîtresse qui sortait de la boutique, je soupirais doucement n'aimant pas du tout la responsabilité qu'elle m'avait confiée. Je marchais juste derrière elle et ne vit pas la voiture, le chauffeur avait dû aller se garer ailleurs le temps qu'elle fasse ses achats. J'avais demandé poliment aux trois femmes de ne pas bouger et d'attendre sagement. Si elles souhaitaient discuter entre elles, cela ne me posait pas de problème tant qu'elles ne bougeaient pas.

Je pensais à la situation présente, pensant à ce qu'allait découvrir Mélissa, cette pauvre enfant si pure. Je devrais la protéger du Démon que pouvait être Kathleen et je ferais tout pour la protéger même si elle n'était qu'une Fleur, une simple prostituée dans une maison close de luxe. S'il fallait je pourrais être comme un frère pour elle, toujours être là pour elle quand elle aurait besoin de parler, pleurer, s'exprimer librement. Cette jeune fille, m'avait fait quelque chose. Ce n'était en aucun de l'amour, j'avais déjà ressenti ce sentiment auparavant, j'avais un peu l'impression de revoir ma soeur, pure et innocente. J'étais complètement perdu dans mes pensées., venant à présent penser sur ce qui pourrait se passer dans l'attente du chauffeur.

Est-ce que je stressais en ce moment ? Oui. Avais-je peur de faire une erreur ? Avais-je peur que l'une d'entre elles essaye de filer ? Oui. Pourtant, je ne laissais rien paraître restant tranquillement à attendre ne sachant pas vraiment quoi faire. Soudain je sentis comme une pression sur l'une des laisses que je tenais, me retournant pour voir laquelle c'était. Ma première réaction fût inattendue, puisque je vins déposer de façon assez une violente une claque cinglante sur la joue d'Hinami. La pauvre s'était simplement un peu décalée pour ne pas être complètement collée à ces deux congénères.

Je regardais ma main venant bouger un peu les doigts et serrer le poing. C'était la première fois que je levais la main sur une femme. Jamais je n'avais osé le faire, j'avais toujours utilisé les mots et j'étais toujours resté calme auprès d'elle. Pourtant, à l'instant je venais de claquer une jeune femme, hybride certes, mais ça restait une femme. J'étais aussi entrain de me rendre compte que c'était la première fois que je levais la main sur quelqu'un, même enfant je ne m'étais jamais vraiment bagarré de telle sorte à frapper mon frère.

Je regardais Hinami qui était entrain de se caresser la joue qui devenait rouge au fur et à mesure que l'événement s'éloignait dans le passé. Je fronçais doucement les sourcils et la regardant, puis, je pris une voix plus douce qu'on aurait pu penser.

Hinami, je t'ai demandé de ne pas bouger. Je suis désolée, mais la prochaine obéis s'il te plaît.

Je me tournais vers Kathleen, voulant savoir ce qu'elle en pensait. Je venais tout de même de frapper l'une de ses nouvelles acquisitions et je ne savais pas si j'en avais le droit. Cela avait été comme un réflexe, la claque était partie toute seule, je ne me pensais pas capable de faire ça. Ce qui était quasiment certain c'est que si elle approuvait ton geste, la façon dont tu avais réprimandé l'hybride puis de venir t'excuser ne lui plairait peut-être pas.

Je suis désolée Sasannach, je n'aurai pas dû lever la main sur votre propriété.

J'attendais qu'elle me réprimande, je ne savais pas vraiment comment elle réagirait, mais au moins j'étais près psychologiquement à être réprimandé.
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Quand le Diable se met à jouer [PV Aiden] EmptyMer 13 Fév - 16:24
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Bien, Sasannach.

Aiden ne semblait pas se réjouir de la tache que tu venais de lui confier, tu le voyais bien en observant un instant son comportement alors que vous n'aviez pas encore quitté l'animalerie. Il semblait très mal à l'aise et ne paraissait pas savoir quoi faire dans une telle situation. Tu avais bien remarqué son regard qui traîna sur les colliers et les laisses. Autant dire que ça ne lui plaisait pas, mais toi par contre, tu étais tout à fait satisfaite.

Une fois à l'extérieur, vous étiez contraint d'attendre le chauffeur et au vu de la circulation, il mettrait encore quelques minutes après que tu n'es appelé pour le prévenir de votre sortir de la boutique. Durant ce temps, tu observais les alentours, les passants, les autres magasins de la ru où vous vous trouviez. Certains d'entre-eux commençaient à descendre leur rideau métallique, informant ainsi leur clientèle qu'ils allaient bientôt fermé. Tu avais perçu l'ordre de Aiden envers tes trois nouvelles esclaves, de ne pas bouger. Un ordre, non pas du tout, juste une demande comme on aurait commander un repas au restaurant du coin. Sérieusement, il pensait vraiment pouvoir les amadouer avec si peu d'autorité ?

Rien que pour ça, tu te retournas pour l'observer dans son attitude et voir comment il s'en sortait avec ces trois jeunes hybrides. Elle restait relativement docile, mais tu le savais, ça ne durerait pas. Hinami justement se décala légèrement, voulait-elle vraiment s'enfuir ou juste un peu plus d'espace, toi-même tu n'aurais su le dire, mais la réaction de Aiden te surpris. Une gifle cinglante s'abattit sur la joue de cette jeune esclave, connue pour être rebelle. un sourire se dessina sur tes lèvre, mais pas n'importe lequel ... un sourire sadique. Tu avais même ressenti des frissons parcourir ton échine et ton Démon frémir lui aussi. mais ce n'était pas encore suffisant pour l'attiser d'autant plus.


Hinami, je t'ai demandé de ne pas bouger. Je suis désolée, mais la prochaine obéis s'il te plaît.

Il était vraiment sérieux ? Il lui parlait comme si elle était une victime ? C'était une putain d'esclave bordel ? A quoi jouait-il ? Et en plus de ça il était en train de s'excuser auprès d'elle ... Tu te rapprochas au moment même où il se tournait pour observer ta réaction à ce qui venait de se produire.

Je suis désolée Sasannach, je n'aurai pas dû lever la main sur votre propriété.

A peine avait-il fini sa phrase, dont tu n'avais d'ailleurs pas écouté un traître mot, qu'il reçu à son tour une de tes gifle cinglante dont tu avais l'art et la manière. Aucune retenue, aucune délicatesse, une claque violente, sans équivoque et si au passage tu le griffais avec tes ongles et bien, ce serait même un bonus en prime.

- Crois-tu que je vais m'excuser comme tu viens de le faire, pour t'avoir gifler ? Ce sont des esclaves ! Elles n'ont pas leur mot à dire, on se fou de ce qu'elle pense ! Qu'elles aiment ou non en recevoir c'est le cadet de tes soucis ! Frappes-les si elles n'obéissent pas, mais ne t'excuses jamais. C'est aussi une façon de ne pas assumer tes actes, hors, tu te dois de te montrer ferme ... si tu veux continuer à être mon comptable bien sûr.

Le ton était donné et Melissa la jeune et prude petite chose pouffa de rire dans son coin. A son tour, elle reçu une de tes claques qui avaient le don de marquer la joue durant de longues minutes. Tu plongeas ton regard sanglant dans le sien, ne cillant pas. Puis tu reportas ton attention sur ton asservi.

- Tu vois l’Écossais, pas d'excuse, pas de retour en arrière possible, le mal est fait et c'était amplement mérité. Maintenant, fais-les monter dans la voiture et je te conseil vivement de te montrer bien plus ferme à l'avenir ! Tu as beau être "diminué", tu n'en reste pas moins un homme, non ? Si ce n'est pas le cas, je me ferai un plaisir de t'affubler d'une de mes robes et de te faire chevaucher par un de mes clients.

La voiture venait en effet de se garer juste devant vous alors que tu réprimandais Aiden. Tu attendis que ce dernier exécute l'ordre que tu venais de lui donner avant de monter à l'avant, du côté passager. Il était rare pour toi de prendre cette place, mais tu n'avais pas trop le choix au vu du nombre de marchandise qui s'était déjà entassée à l'arrière. Il était hors de question pour toi de subir cela. Tu avais fait une allusion à ton asservi qui lui ferait comprendre que tu avais deviné une partie de sa "condition particulière", mais les explications en détails viendraient plus tard ...
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