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 Je vois les anges depuis que Satan me tape sur les nerfs [PV Kathleen Duke]

Aiden Leroy Bull
Age : 24
Multi-Compte : Viktorya & Maïwen
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Je vois les anges depuis que Satan me tape sur les nerfs [PV Kathleen Duke] EmptyMer 25 Avr - 15:49
Aiden Leroy Bull


Je vois les anges depuis que Satan me tape sur les nerfs

Feat  Kathleen Duke
 
 
 


Trois mois que tu étais arrivé dans cette immense demeure, dès le premier jour tu avais réussi à te faire remarquer, ayant réussi à finir dans le grenier, qui servait de salle de torture à ta maitresse, puni pour avoir câliné l'hybride chéri de ta maîtresse. Tu avais très bien retenu la leçon puisqu'aujourd'hui tu ne t'approchais quasiment plus de l'hermine, les seuls moments où tu lui parlais c'est quand il s'agissait des tâches à réaliser pour ta maîtresse. Par moment, tu aurais bien pris la jeune Sushi dans les bras, lui refaire un petit câlin, mais les brûlures que tu avais reçues quelques mois plus tôt t'en dissuader fortement.

Ton travail était plus simple, tu alternais constamment entre l'appartement privé de ta maîtresse et son bureau, afin de vérifier qu'elle ne manquait jamais de rien, que tout aller parfaitement bien dans son appartement, ce que tu faisais à longueur de journée t'intéressait très peu, ce n'était vraiment pas ton truc d'être majordome. A chaque fois que quelqu'un rentrait dans la demeure de ta maîtresse tu l'accueillais ayant un faux sourire. Tu essayais tout de même de trouver un peu de bonheur dans ta vie, mais c'était bien difficile dans ces conditions, en tout cas tu faisais toujours de ton mieux ne voulant pas retourner dans le grenier, une fois t'avait largement suffi.

Tu avais adopté un rythme assez proche de celui de ta maîtresse, te levant en milieu d'après midi afin de tout préparer avant qu'elle se lève, tout en te couchant un peu plus tôt, vérifiant à chaque fois qu'elle ne manquerait de rien une fois que tu serais couché. Donc cette après-midi, tu te levas comme à ton habitude aux alentours de 15h, tu aimais bien au réveil rester un peu lit et réfléchir ou juste observer par la fenêtre ou le plafond, un moment simple et agréable avant de commencer une longue journée et surtout avant d'affronter Satan. Une fois levé, tu allas directement te doucher, habillé d'un simple caleçon et d'une serviette entourant ta taille, de toute façon la seule personne que tu pourrais croiser en ce moment c'était Sushi ou éventuellement Mirabelle, enfin tu étais en général seul à traverser ce couloir à cette heure-là.

Une fois sous la douche, tu commenças à te laver tout en réfléchissant, les activités que tu faisais aujourd'hui t'ennuyait au plus haut point et tu avais l'impression de servir à rien, il fallait que tu fasses bouger les choses, elle avait une maison close, tu étais contrôleur de gestion alors pourquoi pas lui proposer tes services en tant que comptable de son établissement La convaincre serait assez compliqué, encore plus que  tu étais un homme et tu avais bien compris qu'elle te détestait juste parce que tu étais un homme, tu avais déjà câliner sa petite hybride et elle te détestait encore plus pour cela, entre nous il n'y avait pas de discutions juste des ordres et des réponses claires, simples et polies, restant plus que docile pour l'instant.

Ta douche dura plus longtemps que prévu à force de te perdre dans tes pensées et à réfléchir comment tu allais aborder ta maîtresse, alors tu commenças à te dépêcher pour finir ta toilette, te raser proprement comme tu l'as toujours fait, te coiffer correctement et changer de sous-vêtements, avant de nettoyer rapidement la salle de bain avant que la Rose des lieux vienne faire sa toilette. Tu enfilas rapidement et de façon impeccable l'un des costumes qu'elle t'avait achetés, vérifiant bien qu'il n'y avait aucun faux pli, que ta cravate était bien droite ainsi que tes chaussures parfaitement cirées. Chaque jour tu veillais à être parfait, mais encore plus aujourd'hui, surtout face à la proposition que tu ferais un peu plus tard quand elle serait dans son bureau.

Une fois prêt, je descendis et rejoignis Mirabelle pour voir avec elle si tout allait bien, et si personne n'était passé ou si personne attendait même si Mirabelle faisait très bien ses tâches je préférais toujours vérifier que tout allait bien ne souhaitant pas retourner dans le grenier ou bien juste être puni, j'avais assez subi pour l'instant. Encore une fois, votre discussion était assez courte, préférant juste passer le plus de temps loin des Fleurs de ta maitresse, puis tu remontas dans les appartements privés de la Bourgeoise, passant par la cuisine afin de grignoter un petit truc. A chaque fois que tu croisais Sushi, tu ne disais rien l'ignorant à moitié ou juste la saluant poliment, mais tu évitais tout contact avec elle, les cicatrices que tu avais sur le corps te rappelait qu'il valait mieux éviter de s'approcher d'elle, et la marque qu'elle avait dans le dos servait aussi de rappels.

Tu préparas tout de même la salle de bain pour l’arrivé de ta maîtresse, avant d’aller vaquer à d’autres occupations, tout aussi inutiles les unes que les autres, voir par instant tu glandais littéralement dans un coin à attendre quoi faire. Au réveil de ta maîtresse, jamais tu allais la voir sauf si elle avait besoin de toi, tu préférais carrément la laisser tranquille et l’éviter dès son réveil t’arranger carrément, tu attendais toujours qu’elle rejoigne son bureau avant d’aller la saluer poliment tout en vérifiant qu’elle ne manquait de rien.

En l’attendant aujourd’hui tu décidas d’aller dans sa bibliothèque profitant du temps qu’il te restait pour lire un peu et surtout préparer quelques arguments afin de faire une demande plus que parfaite, même si ça risquait d’être compliqué de faire accepter Kathleen. En même temps, sa maison close de luxe était son gagne-pain et sa vie, et tu avais très bien compris qu’elle avait aucune confiance envers les hommes, alors pourquoi elle te laisserait gérer ses comptes. Enfin qui ne tente rien à rien, alors valait mieux tenter quitte à se faire envoyer valser par celle-ci.

Tu vérifias l’heure et vit qu’il était vingt heures passait, alors tu décidas de te diriger vers le bureau de ta maîtresse qui devait surement y être en sachant qu’elle n’allait pas tarder à ouvrir son manoir à tous ces clients en manque et qui allait profiter d’hybrides et d’humains asservis servant de prostitués dans cette demeure. Tu avais du mal avec cette idée, mais bon tu ne disais rien, et en plus il s’agissait du commerce de ta maitresse et pas du tien, donc ça te regardait pas plus que ça pour l’instant. Tu commenças à frapper à la porte avant d’entrer dans son bureau et de te diriger vers elle, puis de t’arrêter juste devant son bureau et de t’adresser à elle de la façon la plus correcte possible.

Bonjour Maîtresse, comment allez-vous aujourd’hui ? Puis-je vous servir quelque chose à boire et à manger ?


Tu attendis sa réponse, avant de t’exécuter et de revenir dans son bureau avec ce qu’elle avait demandé. Cette fois tu restais droit comme un « i » devant elle, et te mordit doucement l’intérieur des lèvres en la regardant.

Maîtresse, je voulais vous demander quelque chose … Comme vous le savez, j’étais contrôleur de gestion avant de devenir ce que je suis aujourd’hui … Et je suis votre majordome, je fais tout le travail que vous demandez de faire, mais je dois vous avouer que ce n’est pas vraiment ce que j’aime faire, je m’ennuie vraiment et je suis pas heureux ainsi. Bien sûr je sais que cela ne vous regarde pas du tout, mais j’aimerai vraiment que vous réfléchissiez à ce que je vais vous demander.


Tu fis une petite pause et reprit tranquillement.

Je pense avoir une tenue irréprochable depuis ce qu’il s’est passé en arrivant ici, et j’ai très bien compris que vous n’aviez aucune confiance envers les hommes, mais s’il vous plait, utiliser moi d’une autre façon, être majordome ce n’est pas pour moi, j’aimerai vraiment que vous preniez en tant que comptable, je suis doué dans mon domaine et puis j’ai pleins d’idées que je pourrais vous proposer pour augmenter votre chiffre d’affaire, même si je ne doute pas qu’il soit déjà excellent.


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Dernière édition par Aiden Leroy Bull le Dim 13 Mai - 2:08, édité 1 fois
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Je vois les anges depuis que Satan me tape sur les nerfs [PV Kathleen Duke] EmptyMar 1 Mai - 16:27
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feat. Aiden


Je vois les anges depuis que Satan me tape sur les nerfs

Pourquoi viens-tu m'ennuyer ?


DEPUIS QUAND
AURAIS-TU LE CHOIX,
DE FAIRE
CE QUI TE PLAIT ?







J'avais encore eu une nuit chargée et au final, peu d'heures de sommeil. Si bien que je me réveillais un peu plus tôt que d'habitude, un peu après 14h. En général, j'avoisinais plutôt les 15h voir 15h30. Ça ne me gênais pas au contraire, je ne pouvais de toute façon pas profiter du soleil qui paraissait plus souvent avec cette nouvelle saison printanière. Je me sentais fatiguée ce jour-là et irritée de surcroît. Je restais encore un peu allongée dans l'obscurité, les volets de ma chambre étaient fermés, ainsi que les rideaux de mon lit à baldaquin. Sushi avait déserté ma couche, sûrement afin de s'occuper de mon jardin privé. Depuis que j'avais une nouvelle esclave, j'avais chargé l'hermine de jouer le rôle de "jardinier". Elle était délicate et je lui enseignais comment s'occuper convenablement de mes fleurs.


Ma nouvelle esclave, parlons-en. Elle n'était pas là depuis très longtemps, cela faisait à peine une semaine que je l'avais acheté. Un joli corbeau albinos à qui il manquait une aile, mais tellement jolie et surtout ... tout à fait à mon goût si on prend en compte son côté masochiste ... Rubiel était obéissante mais aimait la violence et je pouvais m'en donner à cœur joie. Maeko, quand à elle, était encore enfermée dans le grenier. Parfois seule, parfois avec Rubiel. Mais je ne lui avais pas encore permis d'avoir une chambre à elle. Elle se montrait trop rebelle, trop prête à s'enfuir à la moindre occasion. C'est qu'elle tenait bon la petite axolotl. Je ne l'aurai jamais pensé aussi résistante. Quand à mon majordome écossais, il faisait ce qu'il fallait pour me satisfaire. Ses punitions avaient eu l'effet escompté sur lui, il faisait en sorte d'éviter de me contrarier et il n'avait pas tenté de nouveau de toucher à mes jolies demoiselles. Il avait bien retenu la leçon.

Je consentais enfin à me lever, n'ouvrant surtout pas les volets de ma chambre. Je mis ma robe de chambre, je dormais toujours nue, surtout lorsque j'avais une belle créature pour me tenir compagnie et me réchauffer. Je me dirigeais ensuite vers la chambre de Rubiel afin qu'elle m'accompagne dans la salle de bain pour m'aider à me laver, à me coiffer et à me préparer. L'avantage qu'elle soit elle aussi albinos, c'est qu'elle calait parfaitement son rythme de vie sur le mien. Contrairement à mes autres esclaves, dès qu'elle se montrait obéissante, je la punissais, elle aimait la douleur, c'était parfait et ça pouvait comme ce  jour-là, me mettre de bonne humeur. J'allais donc mieux après ce passage au bain et j'étais habillée d'une ensemble décontracté avec un pantalon. Quand le Moonlight était fermé, ça me permettait de ne pas me cantonner qu'aux éternelles robes. Je me rendais ensuite dans mon bureau où je découvris la présence de Aiden.


Bonjour Maîtresse, comment allez-vous aujourd’hui ? Puis-je vous servir quelque chose à boire et à manger ?

- Bonjour l’Écossais. On va dire que Rubiel s'est montrée à la hauteur pour me rendre de meilleure humeur. Je suis mal réveillée, donc je veux un café noir, sans sucre et sans lait, bien chaud. J'ai un peu faim aussi, donc un petit déjeuner anglais sera parfait.

J'allumais mon ordinateur durant l'absence de mon majordome. J'avais quelques événements à coucher dans mon journal et je voulais poursuivre l'écriture de mon récit tant que j'avais un peu de temps libre. Peut-être que j'irai dans la bibliothèque un peu plus tard, mais cette dernière était exposée plein sud. Il fallait donc y fermer les rideaux en ma présence. Aiden revînt peu de temps après avec un plateau sur lequel il avait amené ce que je lui avais demandé. J'attrapais aussitôt la tasse de café. Je l'aimais très chaud, quitte à me brûler les lèvres. Ce n'était pas quelque chose qui me gênerait.

Maîtresse, je voulais vous demander quelque chose … Comme vous le savez, j’étais contrôleur de gestion avant de devenir ce que je suis aujourd’hui … Et je suis votre majordome, je fais tout le travail que vous demandez de faire, mais je dois vous avouer que ce n’est pas vraiment ce que j’aime faire, je m’ennuie vraiment et je suis pas heureux ainsi. Bien sûr je sais que cela ne vous regarde pas du tout, mais j’aimerai vraiment que vous réfléchissiez à ce que je vais vous demander.

Je levais la tête vers le jeune homme, arquant un sourcil et plongeant mon regard sanglant dans le sien. Qu'est-ce qu'il me voulait celui-là ? N'avais-je pas l'air suffisamment occupée pour qu'il me dérange de la sorte ? Qu'il n'aime pas sa situation m'était en effet complètement indifférent. Il n'avait certainement pas son mot à dire là-dessus. Mais il semblait bien parti et enchaîna presque aussitôt après avoir marqué une pause.

Je pense avoir une tenue irréprochable depuis ce qu’il s’est passé en arrivant ici, et j’ai très bien compris que vous n’aviez aucune confiance envers les hommes, mais s’il vous plait, utiliser moi d’une autre façon, être majordome ce n’est pas pour moi, j’aimerai vraiment que vous preniez en tant que comptable, je suis doué dans mon domaine et puis j’ai pleins d’idées que je pourrais vous proposer pour augmenter votre chiffre d’affaire, même si je ne doute pas qu’il soit déjà excellent.

Je venais de poser ma joue sur mon poing, faisant pencher légèrement ma tête sur le côté et je le fixais sans intervenir. Mon sourcil redescendit au même niveau que l'autre et je laissais un silence s'installer. Un silence pesant. Je reposais la tasse de café dont j'avais bu quelques gorgées déjà. Le son un peu sec, résonna sur le plateau.

- Non.

Ce "non" là était catégorique au son de ma voix. Je ne voulais pas en entendre parler. J'avais prévu d'écrire, je ne voulais pas perdre mon temps à autre chose, surtout pas à discuter avec mon esclave qui se devait de faire ce que JE lui ordonnais. Et je détestais qu'on tente de s’immiscer dans mes affaires d'argent. ma bonne humeur était sur le point de disparaître de nouveau.

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Aiden Leroy Bull
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Je vois les anges depuis que Satan me tape sur les nerfs [PV Kathleen Duke] EmptyLun 14 Mai - 22:14
Aiden Leroy Bull


Je vois les anges depuis que Satan me tape sur les nerfs

Feat Kathleen Duke
 
 
 

Comme chaque jour, tu étais prêt avant que ta maîtresse soit arrivée dans son bureau et même avant qu'elle ne soit prête afin d'être là si elle avait besoin de ton aide pour n'importe quelle raison. Tu te tenais toujours prêt à la rejoindre si elle te demandait, mais aujourd'hui ça serait toi qui irait vers elle, tu avais besoin de faire autre chose de tes journées, tout ce que tu faisais t'ennuyer et ta passion c'était les chiffres, faire des comptes, créer des projets pour l'épargne et pleins d'autres choses tout aussi passionnantes.

A la vue de l'heure, tu te décidas de rejoindre le bureau de Kathleen supposant qu'elle arriverait d'ici peu. Lorsqu'elle arriva, tu la saluas poliment avant d'aller chercher ce qu'elle avait demandé, tout en pensant à Rubiel. C'était la dernière arrivée et elle avait l'air d'être sympa, mais tu n'avais pas osé l'approcher, juste la saluer rien de plus, en tout cas elle avait la même particularité que ta maîtresse d'être albinos et avait l'air de lui plaire. Tu commenças à préparer le petit déjeuner qu'elle t'avait demandé, un bon vieux petit déjeuner anglais, comme tu en avais toujours mangé et préparer.

Ainsi tu avais préparé une assiette avec des oeufs, du bacon, des haricots dans leur sauce tomate, un peu de pomme de terre sautées ainsi que des toasts que tu finis grillés au dernier moment, quant au café tu le fis juste avant de tout poser sur le plateau afin qu'il soit bien chaud. Tu pris le plateau et retournas dans le bureau de ta maîtresse lui déposant à côté de son ordinateur sans y toucher ou déranger quoique ce soit sur son bureau.

Tu avais attendu un instant avant de lui exposer ta théorie, enfin ton idée de devenir son comptable. Alors que tu faisais un monologue, tu essayais de ne pas détourner la tête fixant ses yeux rouges, qui d'ordinaire tu essayais d'éviter de croiser. Elle but quelques gorgées de son café, avant d'instaurer un long silence quelque peu pesant. Tu ne savais pas si détourner le regard maintenant ou continuer de la regarder était la solution, enfin tu ne bougeas pas et préféras fixer la tasse, jusqu'à ce qu'elle la repose en prononçant seulement trois lettres.

Comment ça « Non », elle ne pouvait pas dire non comme ça, tu la regardas, et soupiras doucement acceptant seulement à moitié sa décision, après tout c'était à elle de choisir. Tu fis un simple signe de la tête avant de te diriger vers la porte du bureau, tu préférais sortir pour l'instant et la laisser seule, et surtout tu avais besoin de réfléchir un instant.

Tandis que tu t'apprêtais à refermer la porte derrière toi une fois sortie, tu t'arrêtas dans ton geste. Non elle ne pouvait pas te dire non comme ça, sans y avoir réfléchis, c'était injuste, elle devait y réfléchir, peser le pour et le contre, mais pas dire non en un instant. Tu te tournas et revins au bureau de Kathleen plus déterminé. Tu posas les poings sur le bureau en la regardant dans les yeux, avant de l'interrompre de nouveau.

Non vous ne pouvez pas dire non comme ça, vous devez réfléchir un minimum, je n'ai pas besoin d'une réponse immédiatement, juste j'ai besoin que vous y réfléchissiez. J'étais très bon dans mon domaine, je sais exactement quand ça ne va pas ou quand ça va bien, je sais faire en sorte que ça aille encore mieux que ça ne l'ait déjà. S'il vous plaît laissez-moi une chance.

Tu la regardais dans les yeux, déterminé comme jamais, tu en avais vraiment marre de tes journées pourries à éviter tout le monde est à rester seul la plupart du temps. Avant qu'elle ne puisse te répondre tu repris la direction de la sortie.
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Dernière édition par Aiden Leroy Bull le Lun 28 Mai - 17:13, édité 1 fois
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Je vois les anges depuis que Satan me tape sur les nerfs [PV Kathleen Duke] EmptyJeu 24 Mai - 20:47
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feat. Aiden


Je vois les anges depuis que Satan me tape sur les nerfs

Pourquoi viens-tu m'ennuyer ?


DEPUIS QUAND
AURAIS-TU LE CHOIX,
DE FAIRE
CE QUI TE PLAIT ?







Ainsi, j'avais donné ma réponse à mon esclave, que ça lui convienne ou non. Il n'avait pas quitter mon regard sanglant, sauf un instant où il avait fixé la tasse que je tenais. Suite à mon refus catégorique, il me salua brièvement. J'avais bien perçu sa déception et surtout son désaccord sur son visage. Il était comme un livre ouvert à cet instant. L’Écossais se tourna et s’apprêtait à quitter mon bureau. Je pourrai ainsi, enfin écrire tranquillement. La porte se refermait sur lui tandis que je commençais à relire un passage sur mon ordinateur. Mais je n'en avais apparemment pas fini avec l'homme. Je soupirais et levais les yeux au ciel lorsque je le vis revenir sur ses pas.

- N'en avons-nous pas encore fini ... je pensais avoir été clair pourtant ...


Les deux poings du jeune homme se posèrent dans un bruit mat sur mon bureau en bois sombre. Je reportais donc à contrecœur, mon attention et mes yeux sur lui.

Non vous ne pouvez pas dire non comme ça, vous devez réfléchir un minimum, je n'ai pas besoin d'une réponse immédiatement, juste j'ai besoin que vous y réfléchissiez. J'étais très bon dans mon domaine, je sais exactement quand ça ne va pas ou quand ça va bien, je sais faire en sorte que ça aille encore mieux que ça ne l'ait déjà. S'il vous plaît laissez-moi une chance.

- Bon, je ne vois pas l'utilité de tergiverser d'avantage, mais puisqu'il le faut, j'y réfléchirai. C'est bon comme ça ?

En réalité, je voulais juste me débarrasser de l’intrus au plus vite. Qu'il me croit ou non, il devrait me laisser tranquille. Il était sorti de la pièce avant que je ne m'en rende compte. Je pu donc me concentrer un minimum sur mes écris. Mais à peine une heure plus tard, il revint à la charge, trouvant de nouveaux arguments à avancer. Je le renvoyais une fois de plus. Mais à présent, je ne pouvais plus écrire sans que ses paroles ne résonnent dans ma tête. Bon, je n'avais plus le choix, je devais au moins y réfléchir. Au moins, je pourrai pleinement me concentrer sur moi-même après cela.

En soi, son idée n'était pas mauvaise. Juste que je n'aimais pas que d'autres personnes fourrent leur nez dans mes affaires. Encore plus lorsqu'il s'agissait d'argent. Et puis à un esclave ... un humain asservi qui plus est ... Je n'avais vraiment pas confiance. Si j'acceptais, j'allais devoir le surveiller et il devrait me prouver sa valeur. Je soupirai de nouveau, quittant mon bureau pour me rendre finalement à la bibliothèque. Le soleil avait décliné et ne présentait plus de risque pour moi dans cette pièce. J'attrapais un livre et tentait, assise dans un fauteuil, de me concentrer sur sa lecture. Mais le regard de l’Écossais était dans ma mémoire, il avait l'air véritablement déterminé et sûr de lui pour une fois. Et puis, j'étais un peu curieuse au final d'en apprendre d'avantage sur ce qu'il avait à me proposer. Je devais régler cette affaire avant que ça ne m'énerve d'avantage. Je demandais donc à Sushi qui lisait non loin de moi, d'aller chercher Aiden pour que je puisse discuter avec lui. Lorsqu'ils revinrent tous les deux, je congédiais la jeune hermine qui pourrait sans peine poursuivre sa lecture dans sa chambre ou ailleurs.

- Quelles idées tu as pour gonfler mon chiffre d'affaire ?

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Aiden Leroy Bull
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Je vois les anges depuis que Satan me tape sur les nerfs [PV Kathleen Duke] EmptyLun 28 Mai - 12:36
Aiden Leroy Bull


Je vois les anges depuis que Satan me tape sur les nerf

Feat Kathleen Duke
 
 
 

Tu avais commencé à quitter le bureau, mais tu ne pus t'empêcher de revenir à l'assaut et d'essayer de renégocier avec l'Anglaise. Non on en pas encore fini ma belle, tu n'avais pas envie qu'elle réponde comme ça, sans y réfléchir. Et pour cela tu posas un peu fort tes poings sur le bureau de ta maîtresse la regardant droit dans les yeux, au moins tu avais réussi à attirer son attention et tu avais gagné le fait qu'elle y réfléchisse un peu. Tu étais assez vite ressorti de la pièce et te dirigeais dans la cuisine faire la vaisselle que tu avais utilisée pour lui préparer son petit déjeuner.

Une fois la vaisselle tu étais retournée dans ta chambre afin de récupérer de quoi écrire et réfléchir, quand tu réfléchissais à quelque chose tu aimais beaucoup noter ce qui te passait par la tête et dessinait enfin plutôt faire des gribouillis qui étaient censés ressembler à quelque chose. Tu te dirigeas dans la bibliothèque où tu pourrais réfléchir tranquillement, au calme, mais à peine au bout d'une heure tu rendis compte que la réponse de Kat était surtout là pour te faire sortir de son bureau afin de la laisser tranquille faire je ne sais trop quoi sur son ordi. Alors tu y retournas.

Tu récupéras tes affaires et te dirigeas dans ta chambre pour tout y déposer avant de retourner dans son bureau, tu pris tout de même la peine de frapper avant d'entrer dans la pièce, elle était toujours sur son ordinateur en train de taper quelque chose qui ne te regardait pas. Jamais tu ne te serais permis de regarder ou demander ce qu'elle faisait exactement, jamais tu étais passé derrière elle quand elle était à son bureau, tu te le refusais tout simplement. Cette fois tu évitas de cogner le bureau de Kathleen, tu restas juste devant elle, négociant de nouveau, apportant d'autres arguments, cette fois elle serait obligée d'y réfléchir, et puis même tu reviendrais à l'assaut s'il le fallait. Mais encore une fois tu dus repartir, ne préférant pas non plus l'énerver.

En repartant tu récupéras le plateau sur lequel tu avais amené son petit déjeuner pour aller de nouveau faire un peu de vaisselle, de toute façon tu n'avais que ça à faire en ce moment, quoique tu regardas la date du jour et tu pensas que tu pourrais peut-être appeler un peu ta famille pour discuter avec elle. Ca faisait longtemps que tu ne l'avais pas fait, et peut-être que tu pourrais demander l'avis de ta soeur ou au moins des conseils. Tu ne leur avais toujours pas dit ce que tu étais devenu et encore moins parler de Kathleen, tu savais qu'en le faisant ta famille débarquerait sans plus de cérémonies et ferait tout pour t'enlever ou te rendre ta liberté.

Une fois la vaisselle finit, tu récupéras ton carnet et ton stylo te dirigeant vers le téléphone, tu allais essayer de ne pas passer des heures avec ta famille, mais au moins ça te donnerait un peu de force pour continuer à vivre ton existence dont tu ne parlais à personne. Ta famille pensait que tu avais changé d'entreprise, travaillant pour une autre qui était beaucoup moins répandu sur l'île.

Tu commençais d'abord par parler à ta mère pour la rassurer, lui dire combien tu l'aimais et combien elle te manquait, tu lui avais toujours promis de revenir en Ecosse, mais aujourd'hui tu ne pouvais plus et tu ne pourrais plus retourner là-bas. Tu parlas rapidement avec ton père puis une longue conversation avec ton frère, avant de discuter, de tout et de rien avec ta soeur qui te manquait énormément. Ton frère aussi, c'est vrai que vous aviez toujours été fusionnels, mais depuis que tu avais quitté le Royaume Unis, il te manquait, tu aurais aimé qu'il te rejoigne à Togi. Tu aurais bien voulu poursuivre ta conversation, mais Sushi apparu et t'informa que l'Anglaise souhaitait te voir. Il était hors de question de la faire attendre, alors tu raccrochas rapidement embrassant fort ta soeur.

Tu suivis donc Sushi pour aller dans la bibliothèque et retrouvais Kathleen assise dans un fauteuil. Tu t'arrêtas à bonne distance avant de regarder Sushi sortir de la bibliothèque, avant de reporter ton attention sur Kathleen te demandant bien ce qu'elle voulait pour que vous soyez seuls dans la pièce. Tu le sus assez rapidement et restas étonné, comme figé, elle voulait vraiment connaître tes idées ? Et toi comme un con, tu restas devant elle ébahi. Il te fallut un court instant avant de ressaisir. Tu ouvris donc le calepin que tu avais et lui montra la page sur laquelle tu avais marqué quelques idées, en anglais, donc tout naturellement, tu t'exprimas en anglais cette fois.

Et bien pour commencer, vous ouvre seulement la nuit, mais certaines personnes préfèrent venir dans la journée, le cachant à leur famille. C'est plus pratique de dire qu'on est au travail dans la journée que le soir.

Tu jetas un rapide coup d'oeil sur ton calepin puis reportas ton attention sur la Bourgeoise Anglaise.

Je sais bien que vos fleurs travaillent toute la nuit, mais pourquoi pas investir dans plus d'esclaves et instaurer des rotations. Certaines travailleraient de jour et d'autre la nuit. Et bien sûr ça pourrait alterner en fonction d'un roulement que vous pourriez établir. Vous pourriez déjà augmenter vos revenus je pense d'au moins 25%, et sur le long terme je pense que vous pourriez doubler vos revenus, ce qui n'est pas négligeable.

Tu fis une petite pause pour voir si elle voulait intervenir, la laissant faire si c'était le cas. Puis tu poursuivis.

De plus, vous pourriez augmenter encore un peu vos tarifs, votre établissement est très connu et c'est tout de même une maison de luxe que vous tenez. Enfin vous pourriez faire du service à domicile, alors une nouvelle fois c'est un investissement. Entre l'essence et un chauffeur pour déposer et récupérer l'esclave, mais aussi un vigile ou quelqu'un viendrait inspecter l'endroit où la fleur est déposée. La sécurité de celle-ci avant tout. Vous pourriez instaurer certains critères indispensables pour bénéficier de ce service, sans oublier que cela resterait à un prix bien élevé, ce qui ferait une sorte de première sélection de clients. Quand pensez-vous ?




Tu avais beaucoup parlé, mais tu avais pu exposer tes principales idées que tu avais eus et développé avant de lui proposer.
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Je vois les anges depuis que Satan me tape sur les nerfs [PV Kathleen Duke] EmptyLun 18 Juin - 10:35
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feat. Aiden


Je vois les anges depuis que Satan me tape sur les nerfs

Pourquoi viens-tu m'ennuyer ?


DEPUIS QUAND
AURAIS-TU LE CHOIX,
DE FAIRE
CE QUI TE PLAIT ?







Le jeune écossais se tenait droit comme un piquet devant moi. Je venais de lui poser une simple question et il resta un petit moment sans répondre. Puis il sortit un calepin qu'il ouvrit. Il avait donc bien réfléchit à tout ça depuis un moment. Apparemment, il comptait s’investir vraiment. Finalement, ça t'intéressait de plus en plus. Lorsqu'il ouvrit la bouche, ce fût pour te parler dans ta langue natale, ça ne te déplaisait pas.

Et bien pour commencer, vous ouvrez seulement la nuit, mais certaines personnes préfèrent venir dans la journée, le cachant à leur famille. C'est plus pratique de dire qu'on est au travail dans la journée que le soir. Je sais bien que vos fleurs travaillent toute la nuit, mais pourquoi ne pas investir dans plus d'esclaves et instaurer des rotations. Certaines travailleraient de jour et d'autres la nuit. Et bien sûr ça pourrait alterner en fonction d'un roulement que vous pourriez établir. Vous pourriez déjà augmenter vos revenus je pense d'au moins 25%, et sur le long terme je pense que vous pourriez doubler vos revenus, ce qui n'est pas négligeable.


- Ce n'est pas une mauvaise idée en soit, il y a juste une faille. Je suis la gérante, quand est-ce que je me repose ? Et tu sais pertinemment que je ne peux assurer le jour lorsque le soleil s'infiltre à travers les fenêtres de la "maison". Comment comptes-tu remédier à ça ?

Après avoir répondu à mes inquiétudes, Aiden avait ensuite poursuivis sur sa lancée et ses nouvelles idées. Plus il parlait, plus je me disais qu'il ne tiendrait pas seulement le rôle de comptable, mais aussi de directeur. Un asservi, un esclave, directeur ? Hum ... Je n'étais pas emballée par cette idée. Mais peut-être que je pourrai trouver une solution avec le temps, un palliatif à tout ça. Ça demandait réflexion.

De plus, vous pourriez augmenter encore un peu vos tarifs, votre établissement est très connu et c'est tout de même une maison de luxe que vous tenez. Enfin vous pourriez faire du service à domicile, alors une nouvelle fois c'est un investissement. Entre l'essence et un chauffeur pour déposer et récupérer l'esclave, mais aussi un vigile ou quelqu'un viendrait inspecter l'endroit où la fleur est déposée. La sécurité de celle-ci avant tout. Vous pourriez instaurer certains critères indispensables pour bénéficier de ce service, sans oublier que cela resterait à un prix bien élevé, ce qui ferait une sorte de première sélection de clients. Quand pensez-vous ?

Je ne répondis pas tout de suite, laissant le silence s'installer. Je me contentais de fixer l’Écossais de mon regard sanglant. Ce silence deviendrait sûrement stressant et oppressant. C'était fait exprès. Je refermais alors mon livre et le posais sur une petite table ronde prévue à cet effet.

- Tu as de bonnes idées, je dois l'avouer. Tu as l'air d'y avoir beaucoup réfléchi aussi. Je marquais une pause, me levant alors pour le rejoindre. Je m’approchais de lui pour réajuster sa cravate parfaitement. J'accepte que tu fasses un essai de deux semaines en tant que comptable uniquement. Si je suis satisfaite, non seulement je te laisserai ce poste, mais je considérerai également tes suggestions. En plus de tes deux semaines d'essai, tu devras me prouver que je peux avoir une certaine confiance en toi. Je te conseille vivement de ne pas me décevoir, L’Écossais.

Je lâchais sa cravate et croisais son regard. Puis je m'éloignais de nouveau de lui et replis place dans mon fauteuil, avant de poursuivre.

- Tu m'assisteras toute la nuit, sois en forme et tu devras rester silencieux. Tu vas observer comment ça se passe avec la clientèle, avec les Fleurs. Je veux que tu enregistres tout. Au matin, tu viendras avec moi dans mon bureau et je jugerai alors de ton travail de comptable avec les recettes de la nuit. Oui, tu commences dès ce soir. Prépares-toi bien, à la moindre erreur, tu seras recalé sans aucune possibilité de retenter ta chance, suis-je bien clair ?

Je congédiais ensuite mon esclave pour me replonger dans ma lecture avant le dîner et le début de la soirée. Aiden avait d'ailleurs la charge de t'informer lorsque le repas serait près.

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Aiden Leroy Bull
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Je vois les anges depuis que Satan me tape sur les nerfs [PV Kathleen Duke] EmptyDim 23 Sep - 20:52
Aiden Leroy Bull


Je vois les anges depuis que Satan me tape sur les nerfs

Feat  Kathleen Duke
 
 
 


J'avais commencé à exposer mes idées à ma maîtresse que dès la première elle me coupa. Elle ne pouvait vraiment pas attendre que j'ai finis, non, c'est impossible, elle avait toujours ce besoin de contrôle que j'avais appris à connaître au fur et à mesure des premiers mois que j'avais vécus ici. Sa remarque était tout de même pertinente, et c'était un détail auquel je n'avais pas vraiment pensé, j'y réfléchis un instant avant d'y répondre, au final ce n'était pas compliqué et surtout la réponse était plutôt provisoire pour moi le temps de vraiment y réfléchir.

Et bien ce n'est pas compliqué, mais du coup ça serait un investissement en plus qu'il soit financier et physique. Il y a deux possibilités, soit vous pourriez demander à Mirabelle qui connaît tout par cœur ici et éventuellement à moi de gérer dans la journée. Ou alors il faudrait sûrement engagé une sorte de directeur-adjoint qui vous remplacerait dans la journée, et je pourrais faire une liaison entre vous deux s'il faut, ce qui impliquerait aussi des changements de mon rythme de vie.

Si on devait en venir là, il faudrait que je fasse des nuits plus saccadés, ce qui jouerait beaucoup sur ma santé mentale et physique, mais si c'était un moyen pour changer de vie dans cette maison j'étais prêt à la faire, de toute façon j'avais besoin de changement je ne pouvais plus être un simple majordome.

J'avais poursuivi mon explication simple et efficace de mes différentes idées, j'avais essayé d'être synthétique ce qui me semblait être le cas. Je regardais l'anglaise qui instaura de nouveau un grand silence, elle faisait ça très souvent, et pourtant je n'avais toujours pas l'habitude et cela me stressait ou me mettait mal à l'aise. Elle rompit enfin le silence, je souriais doucement sans rien dire. En même temps, j'avais eu tellement d'occasion d'y réfléchir et puis c'était mon travail de toujours réfléchir à ce genre de choses. Je perdis mon sourire en la regardant se lever et revenir ajuster parfaitement ma cravate, tout en sachant qu'elle était très bien mise, j'avais en sorte d'être vraiment parfait et y reprochable aujourd'hui.

Quand elle poursuivit j'avais eu envie de sauter, de hurler dans tous les sens, de partager ma joie avec tout le monde, mais je n'avais rien fait, j'étais resté aussi sérieux que possible en la regardant, cette femme allait me laisser prouver ma valeur, et surtout elle me donnait la chance d'essayer de la satisfaire au mieux. Et en plus elle tiendrait peut-être en compte mais différentes idées, je ne devais vraiment pas la décevoir. Alors qu'elle lâcha ma cravate, je me retrouvais les yeux dans les yeux un court instant avec elle, ce dont j'étais sûr c'est qu'elle devait lire l'immense joie qui m'envahissait peu à peu. Cet instant dura un court instant puisque je détournais le regard, essayant le plus souvent de l'éviter, enfin surtout d'éviter le rouge sang de ses yeux.

Je l'écoutais attentivement quand elle continua à donner les consignes pour ce soir, une nuit d'observation, ça risquait d'être un peu long, mais tu ferais en sorte de ne rien montrer si tu commençais à fatiguer, mais ce qui était sûr c'est que le lendemain matin je serais en pleine forme quand je prendrais le vrai rôle de comptable qui m'avait tant manqué. Je levais la tête et la regardas dans les yeux.

Oui bien clair Maîtresse, merci.


Alors qu'elle me laissait repartir, une fois sortie de la bibliothèque à la limite du pas de course, je sautais en l'air exprimant à faible voie ma joie, afin que personne ne soit dérangé. J'avais passé la fin d'après midi à me reposer, tout en lisant les journaux sportifs ou d'actualités, ou bien à lire un livre et à écouter la musique. En tout cas, j'avais mis toutes les chances de mon côté afin d'être en pleine forme avant le dîner et avant cette fabuleuse nuit qui m'attendait. Lorsque le dîner fût prêt, j'allais chercher Kathleen dans la bibliothèque. Je toquais délicatement avant d'entrer restant proche de la porte de la pièce.

Le dîner est prêt Maîtresse.


Je la regardais et attendit tranquillement sans bouger qu'elle ferme et range son livre avant de fermer la porte une fois qu'elle fût sorti et de la suivre sans un mot, dès qu'elle devait passer une porte je venais toujours lui ouvrir. Avant qu'elle ne prenne place à table, je vins doucement tirer la chaise en arrière avant de la ré-avancer pour qu'elle puisse s'asseoir convenablement. Avant tout j'étais un gentleman, j'avais eu une bonne éducation, me rappelant de toujours prendre soin de la femme chez qui on vivait, peut importe son statut social. Tu avais l'habitude de mettre la table pour tout le monde, quatre assiettes étaient disposées afin que Kathleen soit en tête de table à présider. Je fis rapidement l'aller-retour pour aller chercher les plats avant de servir tout le monde est de m'installer et de commencer à manger rapidement, tellement j'étais impatient de commencer la nuit d'observation.


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