La Rainette face à l'Anaconda [Kali]

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		Ven 7 Juil - 16:46

Cela faisait quelques mois que tu avais pris tes quartiers, te forgeant ta place dans la ville où tu étais réapparu. Un taudis comme demeure, un nouveau nom, une nouvelle identité. Tu regardais la carte entre tes doigts, ton pousse glissant sur ta photo et un sourire te vint.

Il est temps.

Tu as toutes les données nécessaire. La rousse est morte, un nouveau chef est entré en scène et toi tu veux te joindre à la danse. Ça fait des mois que tu te prépares, que tu te renseignes, que tu les espionnes. Tu as fouillé, fureter, extorquer, soudoyer les uns et les autres, inconnus humains comme hybrides pour des rumeurs puis pour des données plus sensibles. Tu t'es accroché et a exploré, prenant des risques et te mangeant des échec jusqu'à aujourd'hui... Enfin. Tu prends ton sac, y fourre quelques documents et attrape ta veste. Tu as envie de faire une entrée en beauté, surement la plus risquée qui soit mais bon tu aimes ça non ? Tu souris en quittant ton nid et plonge dans les ruelles morne où la bruine suinte en un épais brouillard glauque. Le temps idéal pour s'infiltrer n'est-ce pas ?

Tu quittes la cité des pleurs et rejoins en moto les bois. Tu parcours une petite distance et te gares avant de descendre, observant les alentours où tu as trainé à de nombreuses occasions sans pour autant vraiment cherché à te faire voir. Ils sont sensibles ici, leurs odorats, leurs sens, leurs pièges. Mais tu as déjà tenté plusieurs fois, avec tes fuites et tes nouvelles tentatives jusqu'à ta découverte de leur faille, surement la seule qui soit d'ailleurs. Elle doit être fraiche et récente car tu n'en as pas eu vent avant tes explorations diverses et variées des derniers mois. Mais une fois cette dernière trouvé, tu les as laissé en paix jusqu'à ce morne matin où tout est encore figé, endormi. La nuit n'est pas encore fini et le jour point à peine. Heure idéale pour une visite mais encore faut-il que ton passage soit encore viable....

Tu te glisses et te faufiles, trouvant l'entrée du trou traître, non surveillé. La faille dans le système, surement fait par un révolté qui voulait un échappatoire à ses corvées, qui sait. Tu pousses les feuilles le recouvrant, matelat invisible pour ceux qui ignorent la voie souterraine et t'y infiltre en silence, sans lumière, tes mains pour seul guide. Pourtant une question te taraude : sera-t-elle là ou lui ? Tu ne veux pas rencontrer un larbin, tu veux les têtes du jeu. Pourquoi ? Ha parce que tu es mégalo sans doute...

Soudain une lueur au détour d'un virage et tu ralentis. Une toile cache l'ouverture qui se limite à un étroit trou au ras du sol, sous un lit. Bien. Tu reprends ta route, sur tes gardes jusqu'à arrivé enfin à destination. Tu attends, tendant l'oreille, percevant un souffle régulier et tire alors délicatement le tissu pour découvrir qu'il te faudra passer sous un lit pour t'extirper de là.... Ho joie... Tu t'éxécutes et une fois hors de ton terrier tu constates l'état des lieux et le domicilié de ce trou à rat qui n'est autre qu'un Usagi affalé dans ce qui semble être le dit lit sous lequel tu es passé. Tu te glisses dans le couloir, rabattant mieux ta capuche sur ton crâne, couvrant le bas de son visage avec un bandana formant la mâchoire d'un squelette puis t'engage dans la tanière du loup.

D'après tes informations glanées depuis de longs mois, son bureau est un des rares avec une porte en bois alors tu explore comme une ombre, glissant ici et là pendant de longues minutes, semblable à l'éternité, esquivant les patrouilles qui vont et viennent dans ce labyrinthe avec leur torche. Au bout d'un moment, après avoir découvert une salle de réunion et les cuisines, tu ouvres une nouvelle porte. Cette fois tu sembles être tombé juste et te glisse à l'intérieur, la refermant derrière toi sans un bruit. Tu fais quelque pas, humant l'odeur ambiante et observe ici et là les documents que tu lis sans aucune gêne. Ton regard glisse, survole et s'intéresse à tout. Quelque vêtement de femme, que tu effleures et humes doucement alors que ton regard glisse, explore ce qui semble être un genre de bureau/chambre où elle doit passer parfois. Le lit semble avoir peu servi malgré son état déplorable et tu le humes à son tour, confirmant tes pensées. Elle ne sembles pas s'être établie ici.... Dans ce cas il te faudra l'attendre au risque de la voir arrivé en charmante compagnie. Penses-tu que ça en vaille la peine ?

"Toujours"

Ce mot s'échappe, murmure délicat, plaisir inavouée qui disparait dans le silence ensommeillé. Tu vas prendre place sur la chaise de ton hôte ignorante en t'interrogeant sur sa réaction quand elle verra un être masqué et encapuchonné dans son bureau, si c'est bien le sien d'ailleurs... Bah si ce n'est pas le cas, tant pis. Tu auras de quoi jouer avec ta vie et à cette pensée tu souris, ravi.

Il fallut surement une bonne heure avant que la porte ne s'ouvre. Tu as pris le temps de relire les papiers sans importance. Du ravitaillement à première vue mais malgré tout tu enregistres quand même, on ne sait jamais. De l'autre côté du panneau, la vie reprends et des voix s'élèvent ici et là. Le moment fatidique approche.
Soudain une voix de fille, douce, délicate et puis le panneau s'ouvre sur une délicieuse neko. Elle se fige de surprise en te découvrant. Elle te regarde, tu la regardes et le temps semble s'étirer pendant quelques secondes alors que tu n'entends plus rien désormais. Bon tu es fixé, tu t'es gourée. Qu'importe, tu souris et susurre d'un voix suave, presque dragueuse.

"Salut."

Et là tout explosa, la fille hurla et s'enfuit alors que tu te levait pour bondir à la porte en éclatant de rire, détalant dans les couloir en courant comme une demeurée, amusée et exaltée. Il faudrait que tu te calme car c'est jamais bon quand tu es autant en joie et tu le sais. Si tu cafouilles tu es dans la merde. Mais tu n'y arrives pas, ton coeur est en liesse alors que les cris redoublaient dans ton dos.

A un croisement, tu te fis plaquer par un hybride qui t'envoya au sol avec force, te coupant la respiration et éteignant ton éclat de rire dans un "OUFRRRrr..." douloureux. Outch, pas trop délicat le bovin dis donc. D'ailleurs tu n'as pas le temps de reprendre tes esprits que ta gorge est prise à pleine main alors qu'on t'arrachait ton bandana et ta capuche. Tu ouvris la bouche et leva un doigt en tendant de parler d'une voix faible, rauque dans un souffle difficile, le coup ayant anéanti ton timbre de voix.

"A ta place, je retirerais ma main... J'suis contagieux...D'toute façon, tu m'as défoncé le ventre.... Juré, j'bouge pas..."

Le minotaure te lança un regard suspicieux mais il eut soudain un tremblement et te lâcha, sentant alors son corps lui faire défaut. Au fond tu l'avais prévenu et tu glissas contre le mur jusqu'au sol sans plus de manière tel une vulgaire marrionette, la main sur ta poitrine explosée, levant ta main gantée pour remettre ta capuche et ton bandana en lâchant un :

"Vaut mieux que je remette ça, je voudrais éviter de blesser encore quelqu'un...."

Tu voudrais surtout éviter qu'on te voit un peu trop et tu t'appuies contre le mur alors que ton agresseur est en train d'entrer dans un petit trip à ta sauce. Vu sa corpulence et la durée du contact il ne planera pas longtemps mais bon ça risque pas d'arranger ton cas tout ça, surtout que le reste de la cavalerie arrive après la scène et risque de penser que c'est ta faute toute cette merde -ce qui ne serait pas complètement faux d'ailleurs....-. Bon y'a bien deux trois témoins mais au fond faut toujours se méfier des témoins... Tu lèves donc gentiment les mains à leur approche, restant assise contre le mur comme une merde et lance simplement.

"J'pourrais voir votre chef ou sa compagne... Faut que j'leur parle... Et pour lui...."

Tu désignas le minotaure de la main d'un petit geste

"Il risque de planer un petit quart d'heure je pense puis il ira mieux... Par contre évitez de me toucher si vous voulez pas finir comme lui. C'est mieux. D'toute façon j'suis seul et non armé alors...."

Devant leur air méfiant tu hausses les épaules et ne dit rien, attendant de voir la suite. Tu voulais ton entrée en beauté et bien bravo, tu l'as...

Dernière édition par Shin le Sam 5 Aoû - 14:42, édité 1 fois

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		Mar 1 Aoû - 17:30

La Rainette face à l'Anaconda [Kali] Giphy

Kali...
Avait enfin passé le flambeau de chef à Wilson.... Il était déterminé, motivé et il apprenait plus vite que prévu. L'hybride anaconda, s'affairait dans la grotte pour expliquer au chef, les différentes caches et passer en revue tout les espions au services de la Révolte. Ce fut long et fastidieux, compte tenu de ceux qui sont adoptés et sous couverture, ceux qui sont libres et joignable qu'à certains moment et encore d'autres subtilités qui fait que la Révolution a un œil partout. La veille, elle avait monté un petit dossier pour faciliter un peu la tâche à ce dernier, ce document deviendrais son bouquin de table de nuit, et pour l'heure, elle le laissait potasser et réfléchir sur chacun tandis que de son côté, elle finissait une tasse de café.

C'est alors...
Qu'on les dérangea suite à une intrusion à quelques méandres de là, dans la grotte. Dans un premier temps, Kali paniquait, craignant que ce soit un humain mais l'hybride expliquait que ce n'était pas le cas, mais que l'intrus souhaitait parler à un supérieur. L'anaconda, préférait que le nouveau chef reste concentré plutôt que de s'occuper du petit malin qui aurait "empoisonné" son poursuivant. Y'a toujours des sacrés histoires dans cette grotte, voilà pourquoi Kali aime sa quiétude dans son appartement et venir que lorsque c'est nécessaire.

Le cliquetis de ses bottes en cuir.
Retentissait dans le couloir de la grotte, jusqu'à arriver au regroupement qui maintenait l'intrus, camouflé d'une cape. Kali, portait son attention sur le malheureux aussi qui divaguait et irrité, elle ordonnait.

_ Conduisez le à l'infirmerie au lieu de le regarder bêtement.

Trois d'entre eux, s’exécutaient.
Puis, la jeune femme portait sa pupille amethyste sur le responsable de la situation. Un sourire au bord des lèvres de celui-ci, de son côté, Kali demeurait impassible. Elle l'abordait directement, face à lui, ou elle car son physique est quelque peu ambiguë.

_ Je suis une des responsables de cette grotte.

Introduisait-elle sans plus de cérémonie.

_ Donne moi une bonne raison de ne pas te coller en prison et de laisser mes soldats te torturer pour ce que tu viens de faire ? Sachant que le fait que tu sois un hybride, comme nous tous, n'en n'est pas une.

Kali, prenait soin de ses hommes et il n'était pas question qu'un petit malin face son show sans en subir les conséquences. Que cherche cet hybride ? A part attiré l'attention ? La blonde, espérait ne pas perdre son temps avec un promeneur égaré ou un petit malin provocateur.

A son tour...
Et avec un naturel déconcertant, ce "Shin" prend à nouveau ses aises et s'installe comme si il était chez lui depuis toujours, sur le bureau, non loin de l'anaconda. Qui, malgré ses airs de statue, le suivait du regard et demeurait sur ses gardes... Au cas où. Après tout, si il vend de la drogue, peut-être qu'il en consomme. En tout cas, même si ses manières sont discutables et sa discipline, quasiment inexistante à voir... Il répondait tout de même aux questions posés.

"Mes services sont multiples mais là où je me distingue c'est l'observation."

Kali...
Observe la main qu'il tend vers sa chevelure blonde. Elle le laisse faire, s'approcher, encore... Encore un peu mais avant qu'il ne franchisse la limite et qu'elle puisse attraper à coup sûre son poignet pour lui tordre. Il change d'avis et ramène cette main trop curieuse à lui. Sage décision. Kali et le contact, ce n'est pas une grande histoire d'amour et elle détestait être vu comme un objet de curiosité... Comme une hybride... Une bête qu'on peut soumettre, toucher, humilié dans tous les sens, comme les enfants le font avec leurs propres jouets et qu'importe si celui-ci casse.

"Après j'ai d'autres qualités mais c'est principalement pour cela que je suis ici. Ensuite je ne m'encombre guère de petits camarades et j'espère bien qu'ils ne le seront jamais. Quant au poison, je ne vous promets rien d'autre que de ne pas les encourager à venir me voir pour avoir un remontant. De plus je ne leur ferait aucune ristourne, ce la vous convient ?"

Ajoute t-il calmement.

_ Vous serez peut-être amené à travailler avec eux... Mais ensuite, pour vos affinités et le reste, c'est vous que ça regarde. Du moment que la relation demeure professionnel en publique et que tout fonctionne.

Répond t-elle avec honnêteté.
Tout aussi calmement que lui. Les histoires de cul, ça n’intéresse personne sauf les frustrés et Kali, avait déjà fait le ménage parmi les hybrides un peu trop débridé sexuellement et qui confondait "révolution" et "maison close". Elle relevait son visage du calepin et apercevait le sourire détendu de ce dernier et ses pupilles dorées, rieuses. Celles de l'hybride anaconda demeurait fine, reptilienne et ne laissait transparaitre que peu de chose. Il reprend, sur un ton plus sérieux en se rendant probablement compte, que fasse à lui... Ce n'est pas une comique.

"Si je suis là c'est pour vous offrir mes services ou plutôt mes renseignements. Cependant j'ai des conditions à poser. Je suis humain dehors et je tiens à être vu comme tel ici. Pas besoin de prétendre que je suis un hybride ou si cela est nécessaire, dites que je suis un pigeon, ça m'ira très bien. Ensuite je refuse de vivre ici. J'ai mes planques, ma maison et ma vie. Je viendrais vous faire un rapport à vous et vous seule ou seulement à celui ou celle qui vous gère. Je sais c'est peu commun mais je juge que si je dois vous aider, je dois malgré tout me protéger en priorité. D'ailleurs...."

D'un mouvement sec.
Il posait sa main sur le calepin. Kali plissait son regard, le fusillant presque même si elle comprenait et adhérait à son idée de protéger sa vie privée. Elle échappa juste un soupire à la limite d'un sifflement agacée.

"Je suis le seul à garder trace de ce qui se dit à moins que vous ayez un code. Sinon faite comme moi et usez de votre mémoire Kalista."
_ C'est Kaliste. Ou Kali si vous n'arrivez pas à le retenir.

Répondit-elle sèchement.
Plantant derechef son crayon dans le calepin, entre l'index et le majeur de la main de ce dernier. Volontairement. Il la cherche ? Il va la trouver. En croisant son regard, elle hausse les sourcils dans un "Tu ne m'impressionnes pas et appel moi correctement". Elle a le sang froid, de part sa nature, mais Kali a tout de même des limites, surtout face à un rigolo qui débarque, fout le bordel et ensuite veut poser ses conditions comme si il était indispensable... Personne ne l'est. Kali, retire le crayon et vos regards, s'accrochent... Il est sérieux et c'est ce qu'elle voulait. Un fin sourire se dessine sur les lèvres de la jeune femme.

_ Je préfère cette attitude, plutôt qu'au comique... J'ai déjà donné dans ce genre.

Petite pensée pour Esteban.

_ Vos directives sont tout à fait faisable, j'ai les mêmes principes pour ma propre sécurité. Par contre, vous êtes grands... Vous vous présenterez vous même aux autres et je suivrais simplement ce que vous donnerez comme info'... Libre à vous de vous faire passer pour un pigeon ou une autruche, c'est pas mon problème.

Pas question...
De prendre Shin par la main, et de le montrer à ses petits camarades et de faire une ronde de l'amitié par la suite. Kali, reprenait le stylo et jonglait avec, tandis que son autre main déposait le calepin où on pouvait clairement lire "Je t'ai feinté".

"Donc d'une certaine façon, oui je veux vous intégrer. Mais moi je ne serais pas un fervent défenseur de la cause, bataillant en plein jour, non. Je préfère de loin les ténèbres. Vous voulez des renseignements sur un lieu, une personne, soit. Je ferais en sorte de vous donner satisfaction. Cela vous convient-il ?"

Kali...
Cessait de jouer avec son stylo avant de le poser sur ses lèvres. Elle réfléchissait aux espions déjà présent dans l'unité... On en a jamais assez et certains disparaissent de la situation et lorsqu'on les retrouves, c'est rarement en bon état ou en vie. L'hybride anaconda inspirait profondément avant de tourner son visage vers lui et de répondre, tout en remettant le stylo dans le pot.

_ Oui. Un espion de plus, avec une couverture humaine... C'est toujours bon à prendre, surtout si vous êtes débrouillard, ça devient rare. Simplement, seul le temps nous diras si vous êtes efficaces ou juste un journaliste bavard sans intérêt.

Lorsque Shin...
Sort sa clope et s'apprête à l'allumer. Kali, derechef, bondit presque du bureau pour se rapprocher vivement et attraper son briquet dans sa main et l'interrompre. Les gants qu'elle porte en permanence, la protège de son touché toxique mais surtout, camoufle sa peau froide. Proche de lui, carrément en face, elle pouvait presque sentir son haleine et en fait, le regard doré de celui-ci, aussi intense soit-il possède de nombreuses nuance d'orange. Tout comme elle, son amethyste est mêlé à du mauve, du violet... Quel sorte d'hybride pouvait-il être ? Pour être si... Indéfinissable.

_ Ne faites pas ça ici...

Du regard.
Elle désignait des explosifs cachés ici et là, dans la pièce et dans la grotte au cas où... Ça se corserait vraiment. Le danger écarté, elle libère sa main et se recule, demeurant debout.

_ Nous vous montrerons comment fonctionne la grotte, qui la dirige... Pour ma part, je suis le bras droit du nouveau chef, Wilson.

Pas besoin...
De lui dire qu'elle a été au commande un temps. Tous le monde s'en fout et moins il y a de personne au courant, mieux c'est.

_ Il faudra me fournir une adresse, n'importe quoi de fiable pour vous contacter en cas de besoin, ou de réunion.

Précisait-elle, avant de demander à son tour.

_ Avez vous d'autres remarques ? Des questions peut-être ? Dans la mesure du possible, j'y répondrais.

Kali.
S'avançait vers la porte, sans pour autant l'ouvrir. L'entretien privé ne sera terminé que lorsque les deux, l'aurons pleinement décidé.