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 Une des rares perfections génétiques entre mes griffes (Kali)

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Une des rares perfections génétiques entre mes griffes (Kali) EmptyVen 12 Mai - 18:33
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Tu seras à moi, toute à moi
Des mois que j’attends, des mois qu’un chasseur travaillant pour le laboratoire n’a qu’une seule et unique mission, une quête entièrement personnelle mais qui à mes yeux reste une priorité. La créature qu’un collectionneur avait adopté et nommé Kali, cet être qu’il avait perdu et cela surement sans jamais avoir un seul instant compris la réelle valeur de ce qu’il possédait. Faire d’une créature comme Kali un simple objet de collection ou de plaisir personnel était une honte, un manque cruel d’imagination mais surtout un manque de respect poussé envers une magnifique création. Comment certains se limitent à voir beauté ou luxure, humiliation ou collection, dans ce qui représente l’avenir, ce qui est une merveille de la science. Cette chose doit m’appartenir, elle ne doit pas vivre dehors en liberté ni être la possession d’êtres qui ne verraient en rien ce qu’elle est. Elle n’a pas le droit de finir juste ouverte sur une table d’opération ou d’être utilisée comme une simple humaine à des tâches limitées. La rechercher n’est pas simplement la dominer ou l’enfermer, la rechercher est lui ouvrir les yeux sur une réalité, lui offrir la lucidité pour qu’elle comprenne que sa meilleure place sera auprès d’un être qui saura voir en elle autre chose qu’un bien de qualité, un homme qui pourra lui montrer que sur les milliers de ces choses hybrides, elle fait partie d’une élite exceptionnelle, une pierre pour un autre avenir.

Des mois que je rentre chez moi en regardant cette porte fermée menant à ce lieu qui n’attend qu’à être habité, des mois que j’espère entendre des bonnes nouvelles tout en restant paisible et patient à chaque rapport de l’homme que j’ai engagé. Rappelant souvent les mêmes consignes, ne pas surveiller les mêmes lieux de façon répétées ou à des périodes fixes, penser à changer de vêtements, de passer au coiffeur, de changer de lunettes. De ne surtout pas la suivre d’une traite si il l’a voit mais par période, de ne pas camper un lieu, d’éviter d’interroger autrui. Certes je ne suis pas chasseur, je ne cherche pas à lui dire comment faire son travail, mais je réfléchis simplement à l’instinct animal que pourrait posséder la cible, aux détails qui pourraient trahir la situation et faire disparaître la proie. Aucun travail n’est facile et il n’existe aucun chemin direct pour obtenir ce que nous désirons, mais quand un homme est puissant, quand un homme possède l’intelligence, il a le pouvoir de faire d’un rêve une réalité. Bien entendu, plusieurs hybrides sont recherchés, traqués, ou désirés, mais Kali est une créature qui ne sera pas souillée par des êtres incompétents ou incapables de voir la beauté génétique de ma proie. Je me dois d’être le seul à avoir cet honneur, pour cela aussi que j’ai prévenu le chasseur qu’il a interdiction de l’endommager.

Bien heureusement, je ne m’étais pas trompé sur le professionnalisme de l’homme que j’avais recruté, un homme qui n’abandonnait pas et qui avait finalement apporté des nouvelles positives, comme quoi la cible avait été enfin détectée et que l’étude avançait pour trouver le moment et lieu idéal à sa capture. A cette bonne nouvelle, qui me rendait d’une magnifique humeur, j’avais du coup préparé à l’attention de mon chasseur un équipement adéquat pour une proie aussi royale. Certains penseront qu’une seringue hypodermique suffirait à s’occuper d’un cas pareil, mais si il venait à échouer ? Si elle esquivait… Ce serait une chance de perdue et elle pourrait fuir, disparaître à jamais ce qui n’était pas autorisé. C’est pour cela que je préférais lui fournir aussi un équipement médical, un pistolet cryogénique, pour pouvoir l’endormir grâce au froid et vu que c’est un gaz l’efficacité n’en sera que plus redoutable.

Le jour J, j’ai presque ressenti un brin d’impatience quand mon chasseur m’avait annoncé que la mission allait débuter. Mais j’attends simplement chez moi, laissant tranquillement infuser les feuilles de thé vert dans l’eau chaude pendant que l’homme donnait l’assaut, pénétrant dans les sources thermales de nuit pour atteindre l’appartement de la proie, une proie si précieuse que je pourrais dire qu’elle est l’apothéose du chasseur. Certes, le plan de sa capture devait surement faire perdre toute une part du plaisir de la traque, mais je tenais réellement à ce qu’elle soit indemne. Je le jure, si elle a la moindre blessure imprévue, cet homme devra en payer le prix et comprendre que je ne tolère ni l’échec, ni l’imperfection. Les sables du temps s’écoulaient, les aiguilles avançaient, le temps était comme au ralenti jusqu’à la vibration de mon téléphone, un message indiquant simplement un « c’est bon ». L’homme avait surement su s’introduire, endormir en douceur ma proie et la capturer, la nuit allait permettre de le cacher le temps de l’emmener dans un véhicule du laboratoire pour me la déposer ici, dans ma demeure prête à l’accueillir.

Trois coups à ma porte, enfin il est la et c’est dans le calme que je me dirige vers la porte pour l’ouvrir, réceptionner mon colis tout en interdisant à l’homme d’entrer en ma demeure. Il n’a pas besoin de la salir de sa présence.  Ainsi je la réceptionne, une main sous ses jambes, l’autre dans son dos, la portant personnellement… C’est dire comme le cas est précieux, laissant ma protectrice se charger de refermer la porte, ainsi que celle de la cave quand j’entame ma descente. Bien entendu, elle sait qu’elle n’a aucunement le droit de m’y accompagner, cette cave aménagée étant le seul lieu où personne d’autre que moi n’a accès. Enfin jusqu’à aujourd’hui. L’emmenant, je l’installe sur un futon placé dans une pièce assez neutre, une sorte de prison comprenant le strict minimum vital et dont les murs sont d’un blanc immaculé. Au plafond une demi sphère avec caméra intégrée, la même chose au sol et une fois la créature installée, je ne fais qu’installer à sa cheville une sorte de bracelet assez imposant. Certains pourraient vouloir profiter d’un corps aussi charmant, mais il n’en est rien, je ne fais que ressortir de cette pièce pour en fermer à clé les barreaux avant de faire coulisser le plexiglass de sécurité. Toujours se montrer prudent, surtout avec un serpent. Les seuls « trous » présents en ces murs sont des évacuations d’airs se trouvant au sol à la droite et la gauche de la pièce, des aérations tout en largeur mais avec une hauteur qui serait insuffisante pour faire passer une main.

Il ne me reste plus qu’à attendre son éveille, venant simplement rester debout dos contre le mur, flanc droit vers cette prison et donc cette créature. Mes bras se croisent sur mon torse et mes yeux se ferment en partie, telle une forme de méditation, ne permettant à cette dernière que de voir une seule pièce d’où elle est, une sorte de bureau comprenant plusieurs dossiers sans aucun écrit hors un code de classement alphanumérique. A nouveau je vais devoir faire preuve de patience, mais cette dernière sera évidente vu que finalement l’objet de mon désir le plus profond est entre mes mains. Je me demande juste si elle sera combler mon espérance, mais aussi je m’attends surtout à bien des obstacles, me doutant qu’elle ne voudra pas se montrer raisonnable ou coopérative. Mais bon, je tenterai surtout d’user de mots pour la faire accepter son sort et pour ce qui est d’artifices, ce ne sera qu’en cas d’extrême recours, où si je dois la rejoindre dans cette cellule.


claude gueuse
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Une des rares perfections génétiques entre mes griffes (Kali) EmptyDim 14 Mai - 10:24
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Kali...
Avait remplis son rôle de chef remplaçante de la Révolution jusqu'à l'arrivée de ce nouveau chef. Un nouvel espoir, du sang neuf, rapidement, ils se sont rapprochés et elle devint son bras droit, comme pour Enjin avant son départ. L'hybride avait retrouvé sa place de suppléante, avec plaisir... Guider un trop grand groupe, ce n'est pas ce qu'elle aimait mais si il fallait le faire. Il eut aussi l'élection du nouveau maire, Kali jouait la carte de sa pseudo identité humaine pour aller voter, pousser par une volonté d'un changement. Et là, miracle, celui en qui elle avait espoir fut élu ! Les changements sont en marches à ne plus en douté et la blonde, avait porté sa petite pierre à l'édifice qui concernait les droits de ses congénères et les siens. Après avoir vécu dans l'ombre, la clandestinité ou dans l'asservissement... L'évolution de leurs conditions est lancé ! A ne plus en douter.

Puis...
Les jours sont passés, puis les semaines et à son plus grand étonnement, le centre de dressage ne fermait pas, il y avait même des rumeurs que... Des humains y seraient exploité désormais ! Kali, ne voulait pas y croire, on ne peut pas régresser à ce point. Pourtant, la jeune femme ne pouvait pas se mentir à elle même, indéfiniement... Son train train est resté le même, sa rue, son quartier... La relation entre humanité et hybride et pire que ça, Togi est resté la même. Peut-être que ses actions n'ont été que des gouttes d'eaux perdu dans un océan immuable, et qu'une vague plus importante à raser la volonté du changement.

Alors...
Tout demeura comme tel, inchangé... Son travail, la Révolution... Sa vie sur Togi. Enfin de compte, croire en un quelconque changement, c'était ça l'illusion. Kali, se demandait si elle ne traversait pas une période de dépression post-hivernal... Les températures froides qui s'était installé, le temps qui est ralentie, comme les flocons qui tombaient mollement au sol. Pourtant, les beaux jours étaient à présent revenus, la nature reprenait ses droits et à nouveau la chaleur revenait.

Est-ce...
Alors, cette routine qui aurait piégé notre hybride ? Tant ancré dans son monde, dans sa vie qu'elle a si difficilement et bien construit. Elle se pensait en sécurité, puisque chaque rouage avait été soigneusement placé par ses soins. Pourtant, la règle première d'une fugitive, c'est de ne jamais se laisser tromper par ce calme, et de succomber à une baisse de vigilance. Kali, revenait de sa journée de travail, comme tous les jours de sa semaine. Elle pénétrait dans son appartement et après avoir ôté ses lentilles, comme d'habitude... L'odeur d'un étranger dans son appartement, est arrivé trop tard à son nez. Kali, senti une première fléchette dans sa cuisse, puis... Black Out.


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L'hybride...
Ne sentie rien du voyage, ni du reste. D'ailleurs, à son pseudo réveil elle fut simplement prise de nausées à cause de l'anesthésiant et d'un mal de tête atroce. Autre agression, la blancheur immaculé des murs qui l'emprisonnait. Sa pupille reptilienne se raidit en une fine brindille noir, autours de son iris amethyste. Kali, conservait un calme apparent. Visiblement, elle n'était plus chez elle, et déjà, première bonne nouvelle, elle est entière. Ses sens étaient en éveil, sa prison blanche était à bonne température, l'air n'était pas sec, mais humide... Et il y avait une odeur étrangère qui planait mais qui était impossible à identifier pour l'heure. Chancelante, elle réussit à se mettre sur ses jambes et elle prit une profonde inspiration... Il y a une autre personne, mais à cause de la blancheur des murs, au delà de cette vitre de plexiglas, le reste est encore obscur et incertains. Kali, analysait la pièce, une caméra, deux... Et ce bracelet à la cheville. L'hybride anaconda grimaçait, être enfermé, comme une bête lui ravive des souvenirs peu agréable et surtout lointain. Elle qui pensait avoir échappé à ce genre de traitement pour de bon, c'est raté. Rapidement, elle décelait les arrivés d'air, mais... Pas d'issus interessante, elle avait longée les murs pour y détecter une faille, en vain.

Après quelques minutes...
Le sédatif disparaissant, elle retrouvait à nouveau ses facultés et en s'approchant de la vitre, toujours silencieusement, elle distinguait enfin une ombre humanoïde... Qui l'observait ? Sans aucun doute, son ravisseur ou un pion. La raison de ce kidnapping est-ce la Révolution ? Ou rien à voir ? Il y avait peu d'indice dans la pièce, juste un bureau et aucune source de lumière naturelle ailleurs. Kali reculait d'un pas, définitivement piégé pour l'heure. Elle fixait la silhouette, attentive, presque aussi immobile que lui.


Ca va bientôt commencer.
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Une des rares perfections génétiques entre mes griffes (Kali) EmptyDim 14 Mai - 11:35
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Tu seras à moi, toute à moi
Enfin un signe de vie, un éveil loin de sa torpeur, le début de ce qui va se montrer être une relation intéressante et semée d’embuches. Alors que je n’imagine même pas à quel point celle que je vois comme un Graal est carrément le Saint Graal, je me détache lentement de mon mur pour me tourner entièrement vers elle, sans pour autant m’approcher. Attendant, scrutant, analysant, je cherche à voir chaque détail du langage corporel qu’elle va dévoiler en premier lors de se retour à la réalité. Première bonne surprise, elle me surprend… Pas de cris, pas de rage, pas de larmes ou de désespoir, pas de supplications ou de questions sur son état, juste des réactions semblant presque calculée, une forme de calme qui finalement se place face à moi pour s’immobilier. Serait-elle à faire comme moi ? Chercher à m’analyser pour comprendre sa situation ? L’anaconda me satisfait déjà, son instinct doit être réellement développé et elle ne fait pas parti de ces créatures qui se sentent proie, qui agissent en usant de peur face à la menace. Même dans cette situation, elle reste un prédateur. Une petite étincelle dissimulée en moi se met à briller, non pas uniquement face à cette première découverte mais sa tenue, heureux hasard, correspond parfaitement à ce que j’aurais pu lui livrer comme vêtement pour sa vie en ces lieux. Oui, ne pensez point que je compte faire que son entité physique finisse par se retrouver sur la table de vivisection, je compte au contraire faire qu’elle finisse par marcher à mes cotés en ces lieux, acceptant une nouvelle condition et quelques désagréments qui lui offriraient aussi une forme de sécurité.

Lentement je me décide à avancer vers elle et cette prison, un pas des plus léger, un pied caressant le sol dévoilant assurance et maitrise de soi, point d’écho vu que je n’ai pas mes getas chez moi mais suis juste sur mes tabis, venant me poser dans cette posture droite, sérieuse et digne. Une tenue totalement classique chez moi, ne cherchant pas à m’imposer comme supérieur car même si tel est ce que je suis face aux hybrides, ici je suis face à une des rares exceptions scientifiques qui mérite autre chose qu’être juste le jouet d’êtres incapables de comprendre la beauté régnant dans le sang et la moelle de cette femelle. Oui quand je la regarde, je ne fixe pas uniquement un physique bien agréable, qui en soit est une forme d’arme pouvant attirer l’ennemi ou lui faire baisser sa garde, mais je fois aussi les veines et artères la traversant, je vois ses organes ayant subit quelques modifications, ses muscles qui doivent posséder une force de compression puissants, ses yeux qui sont la preuve physique de sa nature mais qui nuisent en rien à cette œuvre, et je ne me demande pas quelle est sa douceur au contact de mes doigts, mais quels sont ses sens les plus développés, ses réactions face à l’environnement.

Un instant de silence juste à l’observer, un instant de paix pour laisser le temps à la créature de se sentir en possession de ses moyens. Je ne souhaite pas qu’elle pense que je pourrais profiter d’un état de faiblesse actuel pour tenter quoi que ce soit, voulant au contraire qu’elle voit que je lui laisse le temps sans venir la mettre directement sous le poids de l’inquisition. Evènement rare, j’affiche un sourire léger mais sincère, heureux de mes premières constatations sur cette prédatrice qui ne vient pas s’humilier dans un comportement indigne, en tout cas pas encore en tout cas. Encore quelques pas pour venir presque au contact du plexiglass, les bras pendant naturellement le long de mon corps se croisent finalement dans mon dos.

- Strauss…

J’use du nom qu’elle a décidé de prendre, un nom qui n’est surement pas à elle vu que les expériences du laboratoire n’en possèdent point, juste pour certains un prénom, d’autres juste un matricule, mais jamais de nom. Seules certaines productions naturelles et clandestines en possèdent un, cas qui ne la concerne donc point.

- Bienvenue dans ce nouveau milieu de vie. Certes actuellement peu confortable, mais cette situation ne pourra qu’évoluer favorablement si tu me fais l’honneur d’agir sans opposition.

Ma voix, toujours aussi différente de mon apparence, une voix sur la douceur qui ici ne se montre pas vide ou monocorde, simplement parce que je n’ai pas envie de porter de masques ou de chercher à faire preuve d’une manipulation inutile. Je dois quand même me battre contre une part de moi qui meurt d’envie de venir la découper, d’ouvrir son organisme pour en étudier chaque trésor, mais non… Ce serait un gaspillage, une perte trop importante alors que vivante je pourrais faire plusieurs analyses au travers du temps, une étude comportementale, mais aussi… Hum non rien, cela je vais le taire pour l’instant.

- Avant toute chose, et avant que tu ne cherches à te rebeller ou faire preuve de ton libre arbitre, je tiens à te prévenir que toutes les formes de menaces ou d’hostilités ne seront que futilités et surtout seront non productives. Alors passons cette étape.

Non point une mise en garde, juste un espoir de passer outre tout échange pouvant se montrer agressif, ou naturellement insatisfaisant à cause d’une soif de liberté. Elle doit bien se douter que les efforts présents n’ont pas été mis en place pour la libérer sous demande ou pour accepter de changer d’avis à un simple sourire. Menaces ou apitoiement, cela ne changera rien à la situation, elle sera mienne d’une façon ou d’une autre et ce sera surement plus confortable pour elle que ce soit de sa volonté. Mon corps n’a point bougé et mon silence revient en attendant la réaction de cette dernière, attendant simplement qu’elle réagisse et se dévoile peut-être.

claude gueuse
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Une des rares perfections génétiques entre mes griffes (Kali) EmptyDim 14 Mai - 16:18
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Kali...
Demeurait immobile, patiente jusqu'à ce que son geôlier se dévoile puisqu'elle, elle se sait belle et bien piéger. Donc, pas de temps à perdre à essayer quoique ce soit qui gâcherais son énergie. Elle demeurait impénétrable et concentré sur l'instant présent. Il n'était pas question de se laisser submerger par des théories qui pourrait attirer son moral vers le bas, ou par des scénarios plus ou moins glauque. Kali sait qu'elle saura bien assez tôt ce qu'on lui veut, pour le reste, difficile à savoir si elle voudra le céder.

Enfin du mouvement.
Pourtant, le son des pas de la silhouette est à peine perceptible. Il se mobilise avec une rare élégance dans l'obscurité et peu à peu, la lumière de sa cellule l'éclaire, et dévoile une forme masculine aux traits asiatiques. Aux premiers abords, il ne disait rien, de physique en tout cas à Kali. Elle ne le connaissait clairement pas. Un homme à l'allure si soigné, ça marque l'esprit et cette longue chevelure aux reflets bleutés... Kali, demeurait la championne niveau longueur capillaire mais pour un homme moderne, celui-ci se démarquait clairement. Il donnait l'impression de venir d'un autre temps. L'homme, s'approchait encore avec une expression que Kali qualifierait de jubilatoire, elle sentait les battements de son coeur, fort, rapide... Une forme d'excitation et pourtant physiquement, il est très serein.

-Strauss…

L'hybride.
Ne réagit pas quand à l'entente de son faux nom. Il n'était pas dur à avoir, il est indiqué sur sa boite au lettre ou dans l'organigramme des sources chaudes. La voix de cet homme, était à l'image de son attitude, calme, posé.

-Bienvenue dans ce nouveau milieu de vie. Certes actuellement peu confortable, mais cette situation ne pourra qu’évoluer favorablement si tu me fais l’honneur d’agir sans opposition.

Une demande de coopération.
D'accord, dans quel mesure et quel but ? Kali, demeurait très attentive à lui. Il avait toute son attention, ses pupilles fines le fixant sans relâche. Elle ne battait que très lentement des paupières et régulièrement. Il lui souhaitait la bienvenue mais... Bizarrement, ses qualités d'hôtes sont tout de même à revoir. Il se veut calme, peut-être gentil mais Kali n'est pas dupe sur sa condition, même si il y avait des rubans, une fanfare... Elle est prisonnière, c'est un fait.

-Avant toute chose, et avant que tu ne cherches à te rebeller ou faire preuve de ton libre arbitre, je tiens à te prévenir que toutes les formes de menaces ou d’hostilités ne seront que futilités et surtout seront non productives. Alors passons cette étape.
_ Certes, j'ai déjà constaté que je ne saurais sortir d'ici par mes propres moyens... Je serais même un peu prétentieuse en pensant que cette prison blanche, a été conçu pour moi.

Des barreaux...
Si rapprochés, afin qu'elle ne puisse se tordre ou user de sa souplesse pour s'échapper, doublé de plexiglas, comme une vitrine sur ce qu'elle est. Kali, balayait à nouveau son regard sur sa cellule, seul l'air, était libre d'entrée et de sortir. Il y avait même une humidité dans l'air, plus haute qu'à la normal. L'hybride, prit une profonde inspiration et soupirait... Combien de temps cela vas t-il durer ?

_ Et à quoi dois-je me plier pour espérer recouvrer ma liberté ? Et surtout... A qui ?

Demandait-elle calmement.
Elle n'avait pas bougé, son corps, son attitude ne trahissait aucune hostilité ou comportement défensif. A quoi bon, elle ne peut pas l'atteindre...

Et réciproquement.

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Une des rares perfections génétiques entre mes griffes (Kali) EmptyDim 14 Mai - 17:07
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Tu seras à moi, toute à moi
Que dire en dehors d’une nouvelle satisfaction, pas de coups sur le plexiglass pour vérifier la solidité, pas de flots de noms d’oiseaux peu gracieux, pas de tentatives de venir toucher une quelconque forme de compassion. La créature à la longue chevelure dorée semble faire preuve au contraire d’un certain calme, de rester terre à terre et de me dévoiler un coté plus rationnel que la normal. Elle aurait pu m’insulter, tenter de se jouer de moi, ou même me dire que je rêve, mais non elle est la, me regardant, me scrutant surement et surtout elle est là à venir analyser sa situation et son environnement, comprenant que sa présente était attendue et préparée. C’est un point qui fait que justement elle est plus intéressante conscience et en pleine possession de ses moyens que droguée ou physiquement et psychologiquement diminuée. D’ailleurs elle arriverait presque à me surprendre quand elle démontre une nouvelle fois son calme en me demandant ce que je veux et qui je suis. Je crois que je n’ai jamais vu une créature agir de la sorte et pourtant j’en ai croisé des hybrides enfermés… Zéro, elle était agressive, violente, enragée, prête à se battre contre n’importe qui si ses attaches lui étaient retirées et c’était justement ce qui m’avait aidé à la dompter. Je ne m’étais pas opposé à sa colère, je n’avais pas fait preuve de peur devant elle, je n’avais pas vu un échec ou un monstre, juste un être magnifique que j’avais libéré et pris sous ma coupe, personnellement. L’Anaconda elle ne montre aucune haine envers moi, aucune agressivité, elle me donnerait presque envie de rentrer dans sa cellule pour lui faire l’honneur d’un face à face sans barrière mais je ne suis pas aussi crédule. Je sais au fond de moi que cela reste une redoutable prédatrice qui agira dès qu’une occasion lui sera permise, qui cherchera à retrouver sa liberté qu’elle avait surement difficilement gagnée avant.

- Comprends bien que je ne pouvais point juste vous donner une invitation. Cela aurait été te donner l’occasion de disparaître dans la nature et ne jamais réapparaitre, alors je me devais profiter de cette occasion pour organiser cette rencontre, certes peu accueillante mais qui pourrait se montrer très constructive.

Ainsi je m’exprime, presque comme une forme d’excuse pour mes méthodes dont je n’éprouve aucun regret. Mais surtout je ne démens aucunement la situation ainsi que la fabrication de cette cellule. Mon esprit se permet aussi d’imaginer et de se questionner alors que mon regard la balaye de haut en bas, me demandant si son corps dissimule quelques écailles ou non, si ses yeux sont le seul trait animal qu’elle possède… Mais j’aurai tout mon temps pour vérifier cela.

- Je me présente, Kisada Shentaku, Généticien et Directeur du Laboratoire de Togi.

Elle voulait savoir qui, ne tournons pas autour du pot, une réponse simple et précise, d’une voix accueillante et légère mais manquant cruellement de fluctuation qui montre que malgré un visage que je veux naturel, tout chez moi semble être minutieusement sous contrôle. Ce n’est pas pour un subterfuge mais c’est devenu naturel, contrôler mes pensées, mes émotions, mes actes… Tout devoir calculer car un homme de pouvoir n’a jamais le droit de se laisser influencer par autrui, ni même par ses propres ressentis. Cela permet de rester des plus efficace mais surtout de ne pas perdre la face ce qui est dans mes origines un point très important car l’image est bien plus importante que la réalité.

- Avant que tu ne poses la question, je te rassure, tu n’es point au laboratoire, tu te trouves ici dans un lieu totalement privé et ta présence est tenue dans le secret le plus complet. Je ne tiens pas à ce que tu sois sujet à débat ou à des expérimentations quelconques. Donc tu ne dois pas craindre pour ta fausse identité, elle n’a pas été dévoilée.


La personne qui s’est occupée de son enlèvement est de confiance et grassement récompensée, je sais que je peux compter sur son silence. Certains pourraient se demander pourquoi je me donne la peine de lui offrir ce détail sur sa localisation, information qu’elle n’aurait pas su obtenir de cette cage. Et bien c’est simple, c’est une façon de tenter d’abaisser des barrières défensives, lui montrer que sa vie n’est pas pour autant perdu et que son travail pour rester la plus discrète possible n’est pas non plus perdu. Elle se trouve face à celui qui sait, mais aussi du coup à la personne qui empêche cette information de circuler. C’est, à mes yeux, une forme de présent pour cette créature, pour qu’elle ne devienne pas le dernier sujet de conversation de Togi ou la proie à d’autres personnes aux intentions qui ne me conviendraient point. La patience dans mes actes, la suavité dans ma voix, le calme présent montre bien que je ne suis pas pressé, que je ne vais pas commettre d’erreur pour aller plus vite droit au but, le temps est une arme qui est actuellement de mon coté.

- Bien commençons par ma première proposition.

Oui la première car je me doute que tout ceci ne sera pas aussi facile, d’ailleurs si elle vient à accepter je ne pourrais pas croire sur parole qu’elle se plierait à moi ainsi. Prédatrice libre n’a point désir de trouver laisse, c’est dans sa nature. Bref, il me faut exprimer clairement mon offre, lui montrer une part du destin que j’ai en tête pour elle, m’attendant déjà à son opposition sur plusieurs points.

- Je désire ta pleine collaboration, tu récupéreras une puce par sécurité qui annoncera que tu es ma propriété. Ainsi quelque soit le contrôle, mon nom sera ta protection et tu ne devras point craindre que ta nature soit découverte.

Une liberté pour une prison invisible, une entrave qui la lierait à moi et qui surement sera bien trop symbolique pour être un point facilement acceptable. Mais qui sait, elle pourrait aussi me surprendre sur ce détail si elle se montre logique. Enfin, qu’elle ait la même logique que moi.

- Ton logement restera ici car j’aurai besoin de faire surement divers prélèvements sur ton être ainsi que diverses analyses. Mais je t’assure, j’ai une pièce bien plus confortable et totalement adaptée à tes besoins.

Un nouveau point qui risque de lui donner la sensation que tout cela n’est qu’une prison plus grande mais toujours autant une prison. Il faut dire que malgré la douceur dans mon intonation, mes mots ne sont pas calculés pour paraître plus doux ou agréables, ils sont purement la réalité. Après tout, évitons de mettre un bel emballage à ce qui est, autant jouer sur un point de franchise qui sait se montrer plus tranchant mais qui au moins ne deviendra pas un reproche pour avoir osé dissimuler certains détails.

- Et tu travailleras ainsi avec moi sur la création d’un génome « hybride » qui ne sera pas voué à devenir juste un objet de luxe ou de luxure, mais à être comme toi. Une réussite de l’évolution.

Je dévoile en cet instant un point capital de cette histoire, elle n’est pas à mes yeux un jouet comme ces hybrides qui se trouvent à l’animalerie, elle n’est pas conçue pour faire des tâches ménagères ou pour assouvir des besoins charnels. Elle est une forme d’évolution, plus proche de l’humanité que de l’hybride, mais je pense que ce point de ma vision serait surement le plus complexe à lui faire comprendre. Enfin, je ne doute point de son intelligence sinon je n’aurais pas proposé de « travailler » avec moi, de m’offrir donc aussi sa vision, mais je me doute que sa condition et sa vie jusqu’à aujourd’hui, entourée d’esprits inférieurs, n’a point du l’aider à avoir une vision plus « sacrée » de ce qu’elle est, génétiquement parlant. D’ailleurs après ses paroles je fais un simple geste pour l’inviter à s’asseoir, laissant entendre que la conversation pourrait durer et sans attendre sa réponse ou sa réaction, d’un geste fluide et paisible je viens m’installer face à elle, glissant pour me mettre genoux en terre dans une posture appelée seiza, les mains se posant sur mes cuisses sagement alors que ma chevelure est en partie allongée sur le sol.

claude gueuse
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Une des rares perfections génétiques entre mes griffes (Kali) EmptyDim 14 Mai - 19:06
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Les deux personnages...
Avaient 100% de l'attention de l'autre. Tout était calculé, observé et les réactions allaient en conséquence. Kali, sait qu'on ne fait jamais une deuxième première impression, et de son comportement, la suite en découlera naturellement en positif ou en pire. L'homme, toujours d'un calme implacable reprit la parole après avoir été assez poli pour l'entendre. L'hybride sait qu'il y a des ravisseurs, bien moins sympathique et qui lui aurait déjà fait du mal sans aucun doute ni remord.

- Comprends bien que je ne pouvais point juste vous donner une invitation. Cela aurait été te donner l’occasion de disparaître dans la nature et ne jamais réapparaître, alors je me devais profiter de cette occasion pour organiser cette rencontre, certes peu accueillante mais qui pourrait se montrer très constructive.

Kali...
Percevait une étrangeté dans ses dires... Il la tutoie et la vouvoie à la fois ? Ne sait-il pas encore comment la considérer ? Hôte ou prisonnière ? Égal ou infériorité ? Et il avait raison... Avec une invitation, Kali aurait prit toute les dispositions nécessaires pour se cacher et recommencer sa vie, autrement. Voir, quitter Togi si nécessaire.

- Je me présente, Kisada Shentaku, Généticien et Directeur du Laboratoire de Togi.

Se présentait-il.
Et comme prévu... Ce nom ne lui disait rien, par contre, entendre sa profession et son lieu de travail. Kali, sentie son corps se raidir, se rétracter malgré elle, comme un réflexe de défense suite à ses anciens traitement... Un scientifique, misère... Elle aurait aimer tomber sur n'importe qui d'autre, ou presque, mais pas l'un d'entre eux qui n'ont aucune limite, aucune éthique concernant ce qu'elle est. Kisada reprit.

- Avant que tu ne poses la question, je te rassure, tu n’es point au laboratoire, tu te trouves ici dans un lieu totalement privé et ta présence est tenue dans le secret le plus complet. Je ne tiens pas à ce que tu sois sujet à débat ou à des expérimentations quelconques. Donc tu ne dois pas craindre pour ta fausse identité, elle n’a pas été dévoilée.

Il a tranché.
Il choisit de la tutoyer, probablement pour montrer qu'elle n'est pas en bonne position. Kali n'aimait pas, peu de personne la tutoyait, car elle n'avait pas un cercle d'amis ou intime remplit. Elle mémorisait les informations mais, rien de ce qu'il dit est vérifiable. En ce qui concerne sa fausse identité, comme la vrai... Bien sur qu'on la cherchera, aussi difficile soit-il. Une humaine qui disparaît, laissant son appartement, son job en plan... Une bras droit également. Ce n'est pas parce qu'elle n'est pas populaire qu'elle n'a pas trouvé son utilité, sa place dans ce monde. Le généticien poursuit, d'une voie assuré, posé et l'hybride continue son analyse quant à sa personne.

- Bien commençons par ma première proposition. Je désire ta pleine collaboration, tu récupéreras une puce par sécurité qui annoncera que tu es ma propriété. Ainsi quelque soit le contrôle, mon nom sera ta protection et tu ne devras point craindre que ta nature soit découverte.

Estomaquée.
Comment ose t-il prétendre vouloir être son possesseur ?! Rien que ça ! Et elle devrait se satisfaire de son nom, gage de protection. Kali, a le sang froid, mais ce coup ci, elle ne l'avait pas vu venir... Depuis si longtemps. Contrarié par cette première annonce, elle s'en mordillait les lèvres, plissant le regard. En d'autres circonstances, elle lui aurait rit au visage, car c'est une blague, rien d'autre.

- Ton logement restera ici car j’aurai besoin de faire surement divers prélèvements sur ton être ainsi que diverses analyses. Mais je t’assure, j’ai une pièce bien plus confortable et totalement adaptée à tes besoins.

Sérieusement ?
Vivre ici afin que monsieur le scientifique fasse sa petite affaire ? Il était clair, qu'il portait atteinte à sa liberté, à sa vie qu'elle a si difficilement construite. Elle roulait des yeux, quant à sa promesse d'un meilleur confort... Vraiment ? C'est son appart' qu'elle veut. Sa vie. Elle n'est pas un rat de laboratoire, elle ne l'est plus depuis longtemps. Kali ne le coupait pas et Kisada ajoutait alors, vraiment convaincue quant à son plan et le déroulement des choses.

- Et tu travailleras ainsi avec moi sur la création d’un génome « hybride » qui ne sera pas voué à devenir juste un objet de luxe ou de luxure, mais à être comme toi. Une réussite de l’évolution.

Non.
C'est le seul mots qui lui venait à l'esprit quant à ses nombreuses propositions. Il s'installait, calmement face à elle, maîtrisant chacun de ses gestes comme pour éviter des mouvements inutiles, une perte de calorie injustifié. Kali, reprenait contenance après avoir entendu ses propositions, et à son tour, elle s'installait en tailleurs, face à lui... Si il y a proposition, il doit y avoir négociation.

_ Premièrement, monsieur Shentaku, j'apprécierais que même si je suis votre prisonnière à cet heure... Vous me vouvoyez. Je ne suis pas votre objet, vous le dites vous mêmes, alors prouvez le en me témoignant la base des politesses.

Une distance.
Nécessaire pour Kali, qui est amoureuse de sa dignité. Elle avait dit ça sur un ton calme et ferme... Sur le ton d'une femme qui a su se débrouiller seule dans ce monde, autonome et accomplis. Il n'avait pas en face de lui une hybride traumatisée ou qui se sentait inférieur. A vivre parmi les humains, comme les humains... Kali se sent comme eux et pas moindre.

_ Ensuite... Vous savez que je mène une vie humaine, j'ai des liens sociaux donc.... Ma disparition va donc attirer l'attention, ne pensez vous pas ? Il serait plus judicieux que je rentre chez moi, c'est là qu'est ma place. Non ici, dans cette cellule et d'ailleurs, je ne vois rien de l'extérieur donc rien me prouve à nouveau que tout ce que vous me dites est vrai.

Elle reniflait son odeur et surtout...

_ Pour votre petite expérience... Je sens sur vous une odeur non humaine. Pourquoi ne pas exercer vos idées sur vos propres hybrides ? Qui elles, seraient sans doute ravie de contribuer à votre bonheur.

Pour l'heure...
Impossible à savoir quel hybride l'accompagnait, comme l'odeur de ce dernier passait par le flux, c'était atténué.

_ Donc, vous l'aurez compris... Je vais vous décevoir, mais non. Je ne vendrais pour rien au monde une seule de mes cellule à la science, aussi joliment emballé ou présenté soit-elles. Vous vous êtes trompé d'hybride. Je mène juste ma vie le plus discrètement possible, je n'ai pas de famille, pas de lien... Donc aucun lien de pression pour vous, me faire chanter.

Kali lui souriait alors faussement.

_ Alors... Autant me relâcher et je peux faire comme vous, une promesse sans preuve de ne pas me venger, etc...

L'hybride...
Savait que ça ne serais pas aussi facile, mais hors de question de lui céder ce qu'il souhaite en un claquement de doigt. Il est directeur, probablement riche et donc, tout dois toujours roulé avec une étonnante facilité pour lui. Kali sait que lui résister n'est pas indiqué, mais ce n'est pas tant pour jouer la rebelle... C'est surtout pour gagner du temps. Espérer que quelqu'un remarque son absence.
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Une des rares perfections génétiques entre mes griffes (Kali) EmptyDim 14 Mai - 19:56
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Tu seras à moi, toute à moi
Mon identité semble la faire réagir, une première action se démarquant du calme précédent qui me dicte qu’elle a bien connu le laboratoire et a déjà du passer entre les mains d’un de mes confrères. Il va me falloir me pencher un peu plus dans les archives pour trouver des origines à son sujet, d’autres qu’un ancien maitre collectionneur. Mais cela ne presse pas, j’aurai tout mon temps pour cela. Plus j’expose, plus elle semble s’exprimer, ce mordillement sur sa lèvre ne doit pas être un geste d’excitation mais surement de frustration, bien… Intéressant, je suppose que cette image de propriété doit être pour elle la cage rappelant la bête marquée au fer rouge. Un roulement des yeux, une autre expression, cela devient intéressant est ce que sa patience est affectée ? Mais malgré cela elle reste des plus convenable envers ma personne, faisant d’elle une femme qui aurait pu être redoutable en affaire, sauf que malheureusement ici je garde un certain avantage. Bien, j’écoute ses premières réactions, ce désir que je la vouvoie… Je pourrais l’interrompre sur le champ mais je n’en fais rien, la laissant continuer pour voir la suite.

Aucune contenance quand elle parle de sa vie humaine, un sourire se forme sur le recoin de mes lèvres, plus marqué mais je reste encore silencieux ne voulant point interrompre tant que je n’ai pas toutes les informations. Je note par contre que malgré l’étage et la porte, cette femelle a senti la présence de ma protectrice. Alors elle a un odorat surdéveloppé, information à noter sur son cas et des plus intéressante, mais je reviendrai aussi sur ce point plus tard, gardant chaque petite information en mon esprit. J’admire toute l’hypocrisie de son sourire, mais je reste toujours aussi impassible montrant que rien ne m’étonne réellement dans sa réponse hors son odorat. A la fin de son argumentaire, je prends une légère inspiration pour lui offrir une satisfaction dans ses demandes.

- Sachez que le vouvoiement est une formule de politesse qui se montre très rare dans bien des langues utilisées. A mes yeux c’est surtout car le « vous » est un signe d’hypocrisie et de faux semblant qui s’use entre diplomates cherchant à faire les yeux doux aux autres en se cachant derrière un masque. Mais si cela vous semble plus agréable. Soit.

Enfin c’est bien la seule chose que j’allais lui concéder, mais autant exprimer à cette dernière ma vision, un langage qu’elle trouve poli, un langage que je trouve utile pour la manipulation. Je ne sais pas pourquoi, mais je trouve cette conversation bien constructive et intéressante, possédant quelques points utiles à soulever.

- Pour la disparition de cette femme qui finalement n’existe pas, n’ayez crainte que certaines dispositions ont été prise. Qui ne toucheront peut-être pas vos amis hybrides mais qui suffisent à mes yeux… Je marque un silence… Oh mais comme vous dites, vous n’avez pas de liens. Par contre je vois que vous mettez en doute ma parole…

Je lève doucement la main pour venir la plonger dans mon kimono, déposant devant moi une télécommande après lui avoir retiré ses piles pour qu’elle ne voit point cela comme un objet de menace, mais comme un fait uniquement. Une fois celle-ci à terre devant moi, les piles à ses cotés, mon regard se redresse à nouveau sur elle, cherchant à se planter droit dans ses yeux.

- Comprenez ma bonne foi envers vous, si je l’avais souhaité j’aurais pu vous attacher en vous installant, comme je pourrais simplement descendre la température de la pièce pour vous amoindrir. Il ne serait point difficile en ces lieux de vous rendre inopérante, de vous injecter un relaxant musculaire pour vous priver de vos forces et vous garder conscience mais impuissante face à tout ce que je pourrais souhaiter faire sur votre entité physique.

Comme je disais, ce n’est point une menace mais une constatation que j’expose tranquillement, comme si je parlais de la pluie et du beau temps, prouvant par ces dires l’envie de vouloir coopérer avec elle et non d’user des méthodes les plus radicales contre son être. Mais je me doute que cela ne suffira point pour plaire à la créature.

- Et vous vous méprenez, ma protectrice est certes une œuvre magnifique de la génétique, mais si je vous voulais c’est parce que vous êtes unique, vous êtes surement une des plus grandes réussites du laboratoire et la plus proche de l’évolution. Aucun hybride ne pourrait offrir cela. Votre coté exceptionnel vous rend indispensable.

Presque dans un coté sarcastique, j’incline la tête de coté en affichant un grand sourire tout en douceur, comme un homme qui admirerait la beauté d’un enfant qui découvre son cadeau de Noël. Une expression assez contradictoire avec la situation actuelle mais qui pourrait trahir une part de ma personne à cette créature reptilienne. Laissant toujours les objets au sol, je la regarde encore et encore en inspirant comme si j’étais en méditation, comme pour mes leçons du temps passé et garder cette sensation de sérénité.

- Comme vous l’avez surement compris, je ne peux donc pas me montrer favorable à votre requête. Alors nous allons devoir travailler ensemble pour trouver un terrain d’entente, prendre le temps de nous découvrir et de se connaître.

Mes mains se joignent un peu comme dans une posture de méditation justement, mais cela pour annoncer que j’ai tout mon temps à lui consacrer aujourd’hui et pas seulement. Montrer ainsi que je me tiens prêt à faire perdurer notre entretient. Mais sur le moment j’adopte surtout un silence pour donner le temps à l’anaconda de bien comprendre la situation et mes différents arguments, lui laisser le temps de trouver peut-être ce qu’elle pourrait tolérer ou riposter contre moi sans la mettre sous la pression.

- Vous savez, tant qu’à faire des confidences… Cela me navre réellement de devoir vous enfermer ainsi. Chose que vous n’allez surement point croire ou qui fera naitre un rire en votre fort intérieur. Mais il serait bien plus agréable pour nous deux de travailler ensemble, et bien plus productif que de nous combattre futilement.

Par ces mots je veux montrer que je ne flancherai pas, que je ne compte pas la libérer avant d’obtenir ce que je désire, tout comme elle doit se douter que même en acceptant, je ne vais pas la libérer si facilement, prendre le temps que je puisse avoir confiance en sa parole. Après tout c’est un serpent, une créature créée et surement prête à bien des ruses pour obtenir ce qu’elle désire. Une telle création est si impressionnante, pourquoi n’y a t’il pas d’autres versions, pourquoi elle n’a pas été faite en série et surtout pourquoi elle s’est retrouvée dans les pattes d’un être qui n’avait aucune compétence lui permettant de comprendre à quel point cet œuvre est né des doigts d’un artiste d’exception. C’est comme donner un tableau de Magritte à un gosse de 6 ans, il ne comprendra rien à l’art qui s’en dégage. Quel gâchis, quel stupide gâchis alors qu’elle pourrait être la clé que j’espère tant, alors qu’elle est une des rares créatures, humains compris, dont la vie serait précieuse.

claude gueuse
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Une des rares perfections génétiques entre mes griffes (Kali) EmptyDim 14 Mai - 23:00
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A nouveau...
Son geôlier fais preuve de beaucoup de respect la concernant. Il l'écoute, sans sourciller. En faite, si son torse ne se bombait pas, Kali, douterais qu'il respire tant il est paisible.

- Sachez que le vouvoiement est une formule de politesse qui se montre très rare dans bien des langues utilisées. A mes yeux c’est surtout car le « vous » est un signe d’hypocrisie et de faux semblant qui s’use entre diplomates cherchant à faire les yeux doux aux autres en se cachant derrière un masque. Mais si cela vous semble plus agréable. Soit.

Bon...
Il semble plus ou moins de bonne foi sur ce sujet, cependant, ça notion d'hypocrisie est bien étrange... Il dit qu'elle n'est pas un objet cependant, entre ce qu'il dit et se passe, il y a clairement mal donne.

- Pour la disparition de cette femme qui finalement n’existe pas, n’ayez crainte que certaines dispositions ont été prise. Qui ne toucheront peut-être pas vos amis hybrides mais qui suffisent à mes yeux… Oh mais comme vous dites, vous n’avez pas de liens. Par contre je vois que vous mettez en doute ma parole…

Bien...
Au moins Ren ne souffrira pas de son absence, ni les sources si ce Directeur a prit les choses en main. Pour ce qui sont de ses liens... Quasiment désertique... Kali ne s'en faisait pas et à priori, il n'a pas eu vent de son appartenance à la Révolution. Tant mieux, ça fait un soulagement et l'hybride poussait un petit soupire de bien être. Kali, allait donc devoir voir cette incarcération un peu comme des vacances forcés de ce fait, puisqu'il n'a pas vent de son autre petite vie. Il ne faut donc pas s'alarmer inutilement, c'est gâcher de l'énergie. Le regard de son pseudo hôte se plante dans le sien, elle ne le dévie pas et demeure à nouveau calme.

- Comprenez ma bonne foi envers vous, si je l’avais souhaité j’aurais pu vous attacher en vous installant, comme je pourrais simplement descendre la température de la pièce pour vous amoindrir. Il ne serait point difficile en ces lieux de vous rendre inopérante, de vous injecter un relaxant musculaire pour vous priver de vos forces et vous garder conscience mais impuissante face à tout ce que je pourrais souhaiter faire sur votre entité physique.

Ca, Kali n'en doutait pas un seul instant.
Alors pourquoi ? Pourquoi ne l'a t-il pas fait ? Là est le mystère. C'est vraiment, seulement de la bonne foi ? Serait-elle tomber sur un saint ? C'est rare les traitements de faveur chez les hybrides... Et rarement sans conséquence ou sans prix.

- Et vous vous méprenez, ma protectrice est certes une œuvre magnifique de la génétique, mais si je vous voulais c’est parce que vous êtes unique, vous êtes surement une des plus grandes réussites du laboratoire et la plus proche de l’évolution. Aucun hybride ne pourrait offrir cela. Votre coté exceptionnel vous rend indispensable.

Sa.. Protectrice ?
Une hybride également donc, comme elle l'avait sentie, mais de quel espèce ? Mais de quoi parle t-il lorsqu'il parle de sa beauté ? D’œuvre ? Kali, comprenait plus ou moins son pseudo traitement de faveur, mais quand on a gouté à sa liberter et privilège, difficile de revenir à un échantillon de régime sans s'indigner. Pourtant, elle s'efforçait. Si elle avait du venin, elle le stockerais de coté, pour lui... Pour l'heure, elle ramenait ses bras contre elle, crispé par la contrariété de l'enfermement. Il dit pouvoir neutraliser sa force tout en maintenant sa conscience ? Vraiment ? Pour l'heure, elle ne voulait pas tester ses menaces. Si elle suit ce qu'il dit, c'est parce qu'elle est précieuse qu'il la préserve...

Le doux sourire de Kisada...
Sort Kali de ses réflexions. Il semble sincère, comme un enfant la veille de Noël. Était-elle une sorte de cadeau ?

- Comme vous l’avez surement compris, je ne peux donc pas me montrer favorable à votre requête. Alors nous allons devoir travailler ensemble pour trouver un terrain d’entente, prendre le temps de nous découvrir et de se connaître.


Hélas...
Elle lui concédait cet autre point. Pour l'heure, il fallait vraiment renoncer à une vengeance ou une pseudo liberté... Momentané.

_ Je ne suis pas une hybride des plus sociable ou populaire... Mais je pense que là non plus, je n'ai pas le choix.

Commentait-elle.
Quel image avait Kisada d'elle ? Kali se sait différente, on la considérait, enfant comme raté, puis Esteban lui a montré sa spécificité qui est devenue une force. Et là, Kisada qui la traite comme une oeuvre... Bizarrement elle ne s'en réjouit pas.

- Vous savez, tant qu’à faire des confidences… Cela me navre réellement de devoir vous enfermer ainsi. Chose que vous n’allez surement point croire ou qui fera naitre un rire en votre fort intérieur. Mais il serait bien plus agréable pour nous deux de travailler ensemble, et bien plus productif que de nous combattre futilement.

Ajoutait-il.
Kali, réfléchit un instant.... Elle ne voulait pas lui céder quoique ce soit, pas aussi simplement, rapidement. Elle voulait croire que là, dehors, quelqu'un va la chercher, la trouver et l'aider. Et peut-être que si la réponse ne vient pas de l'extérieur, elle viendra de l'intérieur alors mais pour ça, il faut attendre le bon moment. Quand sera t-il opportun ? Aucune idée, c'est là qu'entre la patience de l'hybride.

_ Très bien... Alors sachez que je suis patiente et obstinée. Je refuse de collaborer à votre projet et d'hériter de votre nom... Car je ne suis pas un objet, une possession. Je suis Kali, une hybride anaconda et je vais attendre monsieur Shentaku. Je vais m’accommoder de cette cellule.

Kali se levait, ses longs cheveux blonds caressaient le sol. Il n'y avait pas une once de colère dans sa voix, mais pour l'heure, elle était clairement dans une impasse. Si elle n'avance pas, Kisada n'avancera pas non plus et c'est toujours ça de gagner.

_ Si vous me permettez, monsieur... Je vais prendre congé dans mon... Modeste studio. Je suis encore prise de nausée suite à l’anesthésiant et j'ai bien peur qu'avec ma nouvelle situation, mon état ne s'améliore pas.

Elle inclinait la tête.

_ Si vous reconsidérer ma proposition de liberté... Ou si vous avez envie de faire "connaissance" ou de partager un peu de temps avec moi... Enfin, ça risque d'être délicat avec la cellule, mais je suis certaine que vous avez penser à tout.

Kali...
Chancelait un peu, s'était-elle relevé trop vite ? Elle massait ses tempes et gagnait un lit où elle s'assit, pensive. Comment allait-elle s'en sortir cette fois ? Il y a toujours une faille, dans toute les prisons, dans tout les cellules, dans tout les systemes... Rien n'est parfait, la preuve.

Elle s'est fait avoir.
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Une des rares perfections génétiques entre mes griffes (Kali) EmptyLun 15 Mai - 14:16
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Tu seras à moi, toute à moi
User d’un terme comme sociable me semble logique, mais populaire ? Que sous entendait elle en disant qu’elle n’est pas populaire ? Tant de significations possibles juste pour ce mot, tant de façon de tourner cette phrase quelle en prendrait des sens pouvant se montrer opposé. Mais étrangement, un des sens probables de cette phrase me rappelle quelqu’un, ma propre personne… Surement une coïncidence. J’affiche un léger sourire qui se met à grandir petit à petit quand elle me parle de son caractère, de son refus et du fait qu’elle sous-entend être prête à rester ici au lieu de céder à ma demande. C’est intéressant de voir qu’elle possède tout cela, cette force en elle qui ne fait que la rendre plus intéressante à mes yeux. Elle n’a pas peur… Elle ne craint pas que je tente d’user des moyens en ma possession pour la briser, pour lui voler sa fierté. Je pourrais tout a fait lui faire vivre l’enfer pour qu’elle accepte la vie bien meilleur que je lui propose, je pourrais la rabaisser plus bas que terre pour qu’elle réclame une miette de pain. La fin justifie les moyens. Et pourtant à aucun moment elle ne s’inquiète face à cela, alors soit elle a bien compris que je préfère l’avoir toute entière, avec son mental intact, soit elle est assez forte pour se préparer à subir de tels traitements. Heureusement, je suis patient aussi, je suis quelqu’un qui possède une vision claire et un projet précis alors la possibilité que je commence à me montrer à ce point odieux n’est pas envisageable en ce moment. Il est possible qu’un jour je passe à de telles méthodes, mais c’est qu’elle ne m’en aurait pas donné le choix, qu’elle m’obligerait à faire de la sorte et perdre du coup une part d’elle intéressante pour mon projet. D’un point de vue chiffré, si elle collabore cela représenterait avoir 100% de sa personne utilisable pour le projet, autant la Génétique que l’Esprit. Mais je préfère avoir juste 50% que rien du tout, donc quoi qu’il arrive, je n’abandonnerai pas.

- Nous nous ressemblons sur ce point. Je suis quelqu’un de patient et comme vous représentez facilement l’œuvre de toute une vie, vous comprendrez que ce n’est qu’un moindre mal si je passe une partie majeure de la mienne à attendre que vous acceptiez.

Une façon simple d’exprimer que le temps n’est pas mon ennemi et qu’elle est nécessaire à mon projet au point de pouvoir sacrifier un temps précieux. De toute façon pendant qu’elle me fera patienter je continuerai à me pencher sur mes travaux pour la stérilisation virale des Hybrides et à veiller sur les progressions du projet Dédale, donc ce temps ne sera aucunement perdu, surtout maintenant que je me suis tant rapproché de mon objectif. C’est un peu comme en pharmacologie, quand les chercheurs essayent de trouver un médicament contre une maladie, une fois la bonne molécule trouvée et la source de cette dernière, une grande partie du travail est réussi. Si mon projet serait un remède, elle en serait la source de la molécule nécessaire à ce dernier.

- Ce temps sera surement bénéfique, vous allez pouvoir apprendre à me connaître et voir qu’à mes yeux vous n’êtes point un objet, à l’inverse des autres hybrides. Et vous comprendrez que mon accord proposé ne cherche pas à faire de vous un animal en cage pour un plaisir personnel.

Surement qu’en cet instant, la différence entre les deux est bien trop subtile, mais je suis sur qu’avec un peu de temps elle comprendra que je ne veux pas d’une poupée de chair à user pour satisfaire mes besoins, ni d’une créature à mettre en laisse. Non, elle est très différente de cette image d’hybrides conçus pour servir. Mon regard la suit alors qu’elle se redresse, qu’elle se montre humble dans son refus tout en m’exprimant qu’elle préfère se reposer. Enfin en tout cas, avoir un peu de temps à elle, chose qui est concevable avec ces changements soudains sans même parler de ce qu’elle a subi. Certains pourraient dire ou croire que la drogue laissant des traces dans son sang est suffisant pour déstabiliser une personne, mais d’un autre coté je pense aussi que la part de choc psychologique joue aussi, même si elle ne le dit point ou ne le montre pas, même si elle va se montrer forte. Après tout il y a une violente diminution de son espace vitale ainsi qu’un changement crucial d’atmosphère. J’incline respectueusement ma tête en réponse à son propre geste avant de me relever à mon tour tout en restant face à cette prison, à ce lieu qui risque de la garder bien longtemps ici avec moi. D’un geste je chasse la poussière, non présente mais le reflexe est la, de mes genoux avant de la regarder une dernière fois… Pour le moment en tout cas.

- Ne vous inquiétez point, je reviendrai rapidement à vous. Pour comme vous dites, faire connaissance et même vous tenir compagnie entre ces murs. Mais en attendant veillez plutôt à prendre des forces… Vous m’informerez de votre régime alimentaire plus tard, ainsi que de vos besoins vestimentaires.

Je me doute bien qu’il y aura des moments où cette cohabitation forcée lui sera des plus désagréables, des passages qui ne semblent point encore lui être passé par l’esprit sinon elle aurait surement profité de ceux-ci en les mettant sur le tapis. Enfin elle se doute bien que je ne vais pas la laisser par exemple se laver sans prendre les bonnes prédispositions, tout comme elle doit bien imaginer que vu mon style, je ne vais pas non plus la laisser baigner dans une forme de crasse.

- Point de questions avant que je m’en retourne à d’autres tâches ? Je suis surpris que votre curiosité soit comblée par notre bref et premier entretien.

J’ajoute ces quelques mots simplement et étrangement je n’attends pas réellement à ce qu’elle m’en pose, pour cela que je suis déjà occupé à faire demi tour sur moi même pour me diriger vers l’escalier, lui laisser quelques heures de tranquillité qui me permettront de veiller sur un renforcement de la sécurité. J’ai bien l’impression qu’elle va me donner plus de fils à retordre que je ne pensais et cela me motive encore plus.

claude gueuse
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Une des rares perfections génétiques entre mes griffes (Kali) EmptyMer 17 Mai - 21:05
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Kali...
Avait l'impression d'être tombé sur un de ces joueurs de poker professionnel. Cet homme, n'affiche rien, ou peu d'indice sur son état émotionnel... Elle avait l'impression d'être tombé sur un morceau d'elle même quelque part, même si ça lui faisait un peu mal de le reconnaitre. Ressembler à son adversaire, c'est un défaut et aussi une qualité, pour autant qu'on l'estime de taille à nous résister. Kisada parlait de temps... Combien de temps avant que la situation change en sa faveur ou non ? C'est flou... Même si pour lui, tout semble être une évidence. Elle résisterait, autant que possible. La voix de son geôlier vint à nouveau à son oreille, fine.

- Ne vous inquiétez point, je reviendrai rapidement à vous. Pour comme vous dites, faire connaissance et même vous tenir compagnie entre ces murs. Mais en attendant veillez plutôt à prendre des forces… Vous m’informerez de votre régime alimentaire plus tard, ainsi que de vos besoins vestimentaires.

L'hybride...
Affichait un sourire en coin. Dans un autre contexte, ça aurait pu être une charmante attention et encore... Préciser son régime alimentaire ? Hors de question de lui céder quoique ce soit de sa vie privé ou de son mode de vie, même si ce n'est pas difficile à cerner. Kali, espérait sortir rapidement de cette prison aux allures de vacance imposé.

- Point de questions avant que je m’en retourne à d’autres tâches ? Je suis surpris que votre curiosité soit comblée par notre bref et premier entretien.
- Non, j'imagine que ma capture a du nécessiter beaucoup de préparation...  Allez y, champagne.

Déclarait-elle sur un ton cynique.
Il s'éloignait et finit par sortir, Kali, repérait bien sûre le chemin... Un escalier ascendant ? C'est donc vraiment un étage inférieur ? Une... Cave comme il l'expliquait. Difficile de savoir l'heure qu'il est, sans horloge ou indicateurs naturelles. Le reste de l'anesthésiant n'aidant pas non plus, rendant son corps mou, lourd par moment avec un coup de fatigue. Kali, se redressait à nouveau et inspectait une nouvelle fois la pièce, sans plus de nouveauté.

A sa cheville...
Le bracelet était trop serré, impossible de glisser son pied pour le libéré de ce pseudo boulet. Kali, retournait à son lit et fixait les caméras. L'observait-il ? Il n'apprendrait pas grand chose... Y avait-il du son ? Une nouvelle vague dans sa tête l’assommait presque, elle retournait à son lit. Pensive. Si la question du centre thermal est réglé, quand sera t-il de la Révolution ? Y'aura t-il une aide ? Une piste pour eux, exploitable ?
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