| | Dans les ruelles de par un beau matin...(feat. Aumérine) | |
| Invité | Invité | | | | | Profil : MP : Email : | |  Jeu 25 Oct - 21:13 |
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Un matin de fatigue...
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Aujourd’hui le réveil n’avait pas été de tout repos pour Terry. Il avait eu beaucoup de misère à se lever ce matin… beaucoup plus qu’à la normale. Il n’avait pourtant pas eu de misère à trouver le sommeil la nuit dernière. L’ornithorynque avait un sommeil un peu étrange ces dernières années. Il dormait mais, ne semblait pas vraiment se réveiller en forme. À chaque fois c’était la même chose. Il n’arrivait donc pas à dormir comme il avait eu l’habitude quand il était plus jeune. La fatigue le hantait ainsi à tous les jours mais, il faisait avec. Il n’avait pas vraiment le choix. Ses yeux étaient à demi fermés et il errait dans les ruelles de la ville. Dès fois il fermait ses yeux et lorsqu’il les ouvrait, il se trouvait ailleurs. Terry n’y comprenait plus rien. Le filou souffrait de dépression mais, cela faisait bien dix ans qu’il n’avait aucun repos. Il regarda ce qu’il avait dans ses poches. Il n’y avait pas grand-chose. C’était une de ses parties creuses du mois. Il n’avait pas vraiment réussi à faire rouler ses arnaques ou sinon à voler de quoi de valeur. Faudrait-il qu’il vole encore un bout de pain où quelque chose du genre?
Terry tentait du mieux qu’il le pouvait de rester les yeux ouverts pour suivre la route. L’ornithorynque avançait à tâtons. Il connaissait bien les rue et ruelles mais, ses moments de sommeils debout lui engendrait bien des troubles. Il fallait toujours qu’il se repositionne et c’était vraiment énervant à la longue. Terry se donna quelques claques de ses mains palmées pour essayer de se réveiller. Dès fois il arrivait ainsi à rester réveillé mais, ce n’était pas toujours le cas. Aujourd’hui ce n’était pas vraiment la meilleure des journées… sa méthode ne fonctionnait pas vraiment.
*Voyons pourquoi est-ce si difficile de rester réveillé aujourd’hui. Je n’ai pourtant rien fait de différent de la normale. Tout ce que je veux c’est vivre une vie normale. Faudrait-il vraiment que je me recouche? J’ai pourtant un bon dix heures de sommeil derrière moi. Bon j’ai dormis sur un banc hier soir mais, je n’étais quand même pas trop mal. Faudrait que j’essaie de rester réveillé jusqu’au marché ou une place comme celle-là. Je pourrais essayer de me reposer un peu sur le côté de la ruelle. Il n’y a personne à cette heure-ci. Il y a pleins de personnes qui font cela. Bon regardons à droite et à gauche et reposons nous.*
Terry regarda donc des deux côtés de la ruelle et ne vit bien personne. Il s’accota sur un mur à sa gauche et mit ses écouteurs sur sa tête. L’ornithorynque s’assit quelques instants sur le bord de la ruelle et fermis ses yeux. Il devait essayer de faire qu’un petit somme pour ne pas venir gruger sa journée. Terry resta là une minute, puis deux, dix, vingt, trente et une heure. Son système était vraiment tout bousculé de par sa dépression. Il avait des sauts d’humeur, n’éprouvait plus de plaisir pour rien et avait aussi de la misère à se concentrer. Son corps agissait n’importe comment à son avis. En se réveillant, il sentit quelqu’un de près de lui mais, il devait réhabituer ses yeux au soleil donc il ne voyait que des ombres assez basiques. Terry changea sa bouille de fatigue pour un grand sourire. Il ne voulait surtout pas qu’on le voit autrement que souriant. Nul ne devait savoir qu’il avait de quoi de différent. Il retira ses écouteurs et dit d'un ton jovial.
-Bon matin… j’ai dormis plus que je croyais je crois. Krrrrrrr!
Sa vision s’améliorait doucement pour voir la forme d’une femme qui l’observait.
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| Aumérine Lefèvre | Age : 25 Emploi/loisirs : Assistante vétérinaire pour hybrides. Discrétion garantie. | | | | Profil : MP : Email : | | Dim 28 Oct - 5:40 |
|  Epuisée.... J'avais demandé à découvrir "le monde de la nuit", à la clinique... Et je savais déjà que j'essaierai de ne pas y travailler. Pas que c'est été physiquement épuisant, mais... Sur une douzaine de patients reçus en urgence, 3 avaient été amené par les rabatteurs, et franchement quel intérêt de faire pratiquer des soins pour tout défaire ensuite en remettant les menottes?! Sans parler de la hanche déboitée de cet autre "mais je comprends pas, on était juste en train de dormir". Mais oui, bien sur... Ah puis le maitre de celui ci, il avait fallu limite souffler dans le ballon après avoir passé du temps en sa compagnie. Et ça c'était sans compter les cas "grave" qu'on gardait en observation, et qu'on était 3 (moi comprise) pour tout ce petit monde.
Autant dire que ce matin, en quittant la clinique, j'avais une mine de déterrée, et encore, j'avais pu dormir une heure ou deux dans un moment creux. Heureusement, j'avais 2 jours pour m'en remettre avant de repasser de jour. Sauf que je me connais assez pour savoir que j'arriverais pas à dormir de suite, et qu'il était préférable de me faire un bon petit dej, avec une infusion calmante et de profiter de l'effet post prandial. Et vu que j'avais rien dans le frigo, petit détour par la supérette.
Dans la ruelle, je croisais un type, écouteurs sur le crane, immobile. Au début, vu sa dégaine, je craignais à un truc genre "toi la aboule la monnaie", mais une seconde d'observation me permis de constater qu'il dormait. Et vu sa tête, j'avais dans l'idée qu'il dormait régulièrement dehors. Je passais devant, arrivé à la boutique... fermée, elle ouvre dans 15 minutes. Au final, le temps de patienter, faire mes courses... J'ai bien mis une bonne demi heure. Mais le type est toujours là, et il vacille même.
"Eh, m'sieur?"
Pas de réponse. Ca, c'est pas normal. L'un de mes patients m'a justement expliqué ce matin qu'à force de dormir dehors, on dort très mal et on se réveille au moindre son. Donc si je me base là dessus, il aurait déjà du réagir à mon passage, et plus encore à mon appel...
"Eh! Ca va?"
Toujours rien, je commence à avoir quelques notions de cours qui me viennent sur les possibilités pour un homme d'être inconscient.
"Oh!"
Ah! Réaction! Clignements d'yeux, mouvement vague de protection contre le soleil matinal (ça non plus il s'est pas rendu compte que le soleil lui chatouillait les pommettes?) et... un sourire. "J'ai dormi plus que je croyais", hein? J'ai un doute.
"J'ai constaté. Vous allez bien?"
Je pose mon sac de courses, avec les céréales, la bouteille de lait, le pain et le jambon, et je lui attrappe doucement le poignet. Avec 2 doigts, hein? Je prends son pouls quoi. Je vérifie qu'il transpire pas. Ah tient au passage, c'est un hybride, j'avais pas tiqué. Faut dire que les cheveux c'est une teinture, et sa queue ben il est assis dessus. Reste donc juste ses mains palmées.
"On est quel jour? Vous connaissez votre nom?" |
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Invité | Invité | | | | | Profil : MP : Email : | | Dim 28 Oct - 23:46 |
| --------------------------------------- Le retour du fameux mal de tête...---------------------------------------
La vision de Terry s’éclairait totalement. Il put finalement voir le magnifique visage de l’inconnue. Elle avait de beaux cheveux blonds et des yeux bleus. Tout pour faire tomber l’ornithorynque. Terry devait savoir agir avec beaucoup de tact. L’avait-elle vu dormir durant tout son sommeil? Comment pourrait-il lui répondre? Il avait tant de manières différentes d’y aller. C’était vraiment au choix.
-Oui ça va bien maintenant que vous êtes là. Krrrrrr! Est-ce que ça vous a fait mal?
Oh la combine à deux balles qu’il essayait de lui sortir. Il ne connaissait pas vraiment d’autres méthodes pour accoster une damoiselle. Terry n’avait pas vraiment d’expérience et continuait à faire comment il avait appris. Il ne pouvait pas vraiment faire autrement. Il faudrait bien qu’on lui montre sinon comment faire. L’hybride était vraiment nulle avec les filles mais, il aimait bien leur compagnie.
Le pouls de Terry était monitoré de par cette belle inconnue dont il ne savait pas encore le nom. Il semblait être normal jusqu’à un point où son cœur sembla sauter un battement ici et là. Puis soudainement son rythme cardiaque s’accéléra un peu comme s’il tentait de se rattraper pour les manques. C’était bien étrange tout cela. Ce n’était pas du tout normal même pour un hybride.
-Et bien aujourd’hui si je me souviens bien on est lundi, la journée où je t’ai rencontré toi mystérieuse inconnue. Krrrrrr! Je me présente Terry l’ornithorynque mais, c’est Terry pour les intimes. Toi quel est ton nom oh gente damoiselle?
L’hybride tenta de se lever mais, sans aucune réussite. La clinophilie, ce mal qui vient souvent affecter ceux qui souffrent de dépression. Il se caractérise de par le fait qu’une personne n’arrive pas du tout à se lever après s’être couché une heure ou plus. Les preuves s’accumulaient un peu contre lui. Terry avait un certain égo et ne voulait pas que l’inconnue aussi belle qu’elle puisse l’être l’aide à se lever. La motivation était la clé du succès. Il se disait capable de se lever comme un grand garçon. Il força de ses bras un peu affaibli de par sa dépression. L’ornithorynque prenait de grandes respirations. Terry ne détestait pas les humains. Il avait juste un égo qui l’empêchait de demander de l’aide.
À chaque effort, son souffle devenait plus irrégulier. Peut-être avait-il vraiment besoin d’aide. Finalement, il réussit à se lever et à se mettre sur ses deux pieds. L’hybride était à bout de souffle. Son pouls était très rapide et ne laissait rien présager de bon pour lui. De son mètre quatre-vingt-dix il regarda l’inconnue et lui dit en souriant :
-Et voilà je suis debout. Krrrrrrr! Alors vous vous promeniez ou est-ce que j’ai attiré votre attention de par mon sommeil?
Terry porta sa main à sa tête. Son mal de tête reprenait. Ça lui faisait vraiment atrocement mal. C’était comme si sa tête était dans un étau qui ne cessait de serrer et de serrer.
-Maudit mal de tête que je traine depuis trois jours déjà.
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| Aumérine Lefèvre | Age : 25 Emploi/loisirs : Assistante vétérinaire pour hybrides. Discrétion garantie. | | | | Profil : MP : Email : | | Mer 31 Oct - 16:23 |
| ... Ok, première phrase, et il me donne juste envie de le planter là avec un "pauvre type"en français. Qu'est-ce qu'il croit cet ahuri, que j'ai que ça à foutre, de m'arrêter pour lui?! J'ai déjà eu droit à ces remarques vaseuses trois fois cette nuit, autant dire que ma patience est déjà écornée. En soit la seule chose qui m'empêche de le laisser se démerder, c'est son pouls qui est irrégulier.
On est lundi, oui, en soit c'est déjà ça, et il est capable de sourire, et de se présenter. Et de dire "ornithorynque" sans bafouiller. Ca élimine toute suspicion d'AVC. Le fait qu'il se lève est une connerie sans nom, mais m'évite de lui pincer discrètement bras et jambes pour vérifier sa sensibilité, et l'existence d'un AIT. Mon nom? Secret d'état, mon coco, j'le donne déjà pas à mes patients, j'vais pas te le donner à toi!
Bon, pour autant, difficultés à se lever, clignements d'yeux un peu fréquents, souffle court et pouls irrégulier... sans le mur, pas sure qu'il tiendrait debout. Et il se masse les tempes et parle de céphalées... Bon.
"Bien, maintenant que t'as prouvé que tu pouvais te lever, rassieds toi avant de perdre tous tes effets en te cassant la gueule comme un blaireau devant la fille que t'essaie de draguer."
Mon ton est léger, ironique, mais mes yeux ne sourient pas vraiment. Je suis passée en mode "soigneuse de patient chiant", premier pallier: je réponds à la blague, et je recadre en même temps. C'est le ton de "vous voulez plaisanter, ok, mais moi j'suis là pour bosser". Je me demande si c'est le même ton qu'ont les serveuses par exemple, "obligées" de rire des blagues des clients, mais qui pour autant préfèreraient travailler tranquille. Dans mon cas, je préfèrerai rentrer chez moi et roupiller...
"Suis mon doigt des yeux. Tu as souvent ce genre de maux de tête?"
D'une main, je promène mon doigt devant ses yeux, de gauche à droite, droite à gauche, en bas, en haut... Vérifier s'il suit corectement, ça fait partie du test de glasow. J'évalue déjà visuellement qu'il est assez haut, mais je sais que j'ai un deuxième score à vérifier. Voyons un peu... Ah oui... Evaluation cognitive et spatio temporelle, recherche de désorientation mnésique...
"Tu peux me donner la date exacte? Me dire où on est?"
Bon, puis tant que j'y suis on va pas être chienne... Je sors mon roll on, je l'essuie sur un mouchoir et le lui montre...
"Ca va soulager un peu ton mal de tête. Bouge pas..."
Avant de le lui appliquer sur les tempes et le front, laissant une délicate odeur d'huiles essentielles dans mon sillage. Hmm, je me demande quand même si je devrais pas appeler une ambulance, parce que ça m'a l'air chelou, son truc... |
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Invité | Invité | | | | | Profil : MP : Email : | | Ven 30 Nov - 21:28 |
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Pas l'hosto...------------------------------------------- @Aumérine Lefèvre
Terry vit bien que son ton changea immédiatement quand il lui avait sortit sa phrase à deux balles. Il se doutait bien que ça donnerait cet effet... il ne connaissait pas vraiment d'autres moyens pour séduire une jeune femme. Elle le força alors à se rassir. Il n'avait pas vraiment de choix. S'il voulait passer quelques instants en sa compagnie, il devrait faire fit de ce qu'il lui avait dit et se rassir. Il n'eut pas vraiment de problème à se rassir. Une fois qu'il s'était levé il n'avait aucun problème. Terry soupira en s'assoyant et lui dit:
-Je m'excuse... Je ne voulais pas...
Ça semblait être vraiment sincère sans aucune arrière pensée. Il sembla quelques instants perdre un peu son sourire. Ensuite elle lui demanda de suivre son doigt. Pour qui elle le prenait. Il le suivit quelques instants puis son attention fût portée ailleurs observant un chat qui passait dans la rue. Son temps d'attention n'était pas si normal que cela. Il devait avoir suivit son doigt 5 secondes gros maximum. Il lui dit alors:
-Bah... oui quand même assez souvent mais, c'est normal... non? Tu veux savoir ça fait combien de temps que j'en ai? Krrrrrr. Plus de 10 ans.
Elle lui demanda la date et où on se trouvait... Il y avait une partie qui était bien facile et l'autre un peu moins. Je vous laisse deviner. Il lui répondit très rapidement :
-Bah on est dans les ruelles.
Pour le reste... il y pensa. Du mieux qu'il le pouvait. Quelle journée on était. Il ne trainait pas de calendrier avec lui... Comment pouvait-il le savoir? Il se frotta alors la tête de la main droite. Il ne voyait vraiment pas. Il n'était pas ti-Joe connaissant. Il s'appelait Terry et n'avait rien à faire si on était le 13 ou le 20... cela lui importait peu... il voulait juste survivre.
-Je n'ai aucune idée sur la date krrrrrrr. Je n'ai jamais été très bon avec les dates de toute manière. On est en automne de toute manière.
Il faisait un peu de je m'en foutisme à ce sujet. Quand on ne sait pas on saute la question. Il trouvait toutes ces questions un peu étrange. Elle sortit quelque chose... il n'en avait jamais vraiment vu et l'appliqua sur un mouchoir... étrange... vraiment étrange. Cette inconnue s'approcha de lui et lui dit de ne surtout pas bouger. Elle lui appliqua ce qu'elle avait sur son mouchoir sur ses tempes et son front. Cela lui fit du bien. Il voulait pourtant en savoir un peu plus sur toutes ces questions.
-Pourquoi toutes ces questions? Je ne suis pas sûr de comprendre. Veux-tu évaluer s'il faut que tu appelles l'ambulance? Si c'est le cas et bien je vais filer. Krrrrrrr.
Terry se leva alors d'un trait comme s'il n'avait jamais eu de misère à se lever. Il attendait de voir la réaction de cette belle inconnue. Il avait ses pieds de positionné pour s'enfuir... même s'il courrait pas si vite que cela.
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| Aumérine Lefèvre | Age : 25 Emploi/loisirs : Assistante vétérinaire pour hybrides. Discrétion garantie. | | | | Profil : MP : Email : | | Lun 3 Déc - 9:07 |
| Alors... Au moins il se sent piteux, et a bien compris que non, je n'étais pas d'humeur. Je me détend un peu en comprenant que c'est "juste" un idiot, un "gamin" comme dirait Dany. Qu'il drague et réfléchit ensuite, un peu comme moi quand j'appelle mes patients "princesse", ou "beau garçon". Y compris les hybrides de + de 40 balais. Plus une tentative de converser plaisamment qu'une véritable drague, même s'il y va fort avec la blague éculée de "vous êtes un ange tombé du ciel". Sérieux, celle là elle est dans tous les jeux de drague!
Dix ans de migraines?! C'est quand même beaucoup, ça. Et une complète incapacité à donner la date, quand à la réponse du lieu... J'espérais obtenir le nom de la ville ou de l'île. Même le moins instruit des hybrides sait ça, non? En tout cas ça ne semblait pas l'inquiétait outre mesure. Et je n'avais pas l'impression qu'il mente, pour faire style "non je m'en souviens pas mais je vais pas vous le dire pour pas que vous me preniez pour un cinglé". Par contre, je crois qu'il a un instant d'adrénaline, à l'idée d'une ambulance. Si j'avais encore des doutes, je crois que je confirme, c'est un errant.
"Doucement. Je n'appellerai pas d'ambulance si tu ne le veux pas, inutile de t'enflammer. Tranquille"
J'ai encore un autre ton, plus doux, plus... je dirai que le mot serait "caressant". C'est le ton chantant, basse fréquence que j'utilise pour apaiser des animaux effrayés. Et parce que lui, là, c'est pas un animal, je reprends, toujours avec ce ton, pour qu'il comprenne.
"Tu as des pertes de connaissance, tu titube, tu es épuisé. Ca peut signer une maladie grave. Je ne te connais pas. Je suis obligée de te demander, et si tu as un risque de me tomber raide mort dans les bras, bon, déjà, je te met deux claques pour le cliché, et ensuite j'appelle l'ambulance." Je cligne de l'oeil en disant ça, je plaisante, et je surjoue un peu en parlant du cliché. Parce que je sais que c'était une perche tendue à une nouvelle réplique de drague, à laquelle je préfère couper court de suite... et réutiliser pour amoidrir, rassurer, avant d'enchainer aussitôt. "Tu me dit que tu as des maux de têtes depuis dix ans, donc en théorie tu n'es pas en danger de mort immédiat, mais vu ton état, il vaut mieux ne pas rester sans rien faire. En parler à un médecin de confiance, si tu as. C'est pas parce que ça va pas depuis longtemps que tu dois laisser continuer".
Je suis restée assise. J'emploie des mots simples. Enfin, à mon sens. Et je laisse les sous entendus faire le travail. "Si je ne me soigne pas, je pourrais mourrir?" S'il part je ne pourrais pas le retenir. Et tu pourras rentrer dormir. S'il reste, eh bien... Je suis repassée en mode soignante. La fatigue, je gèrerai plus tard. Quand j'aurais fini avec lui!
[Je mettrais en forme à mon retour!]
Dernière édition par Aumérine Lefèvre le Mar 4 Déc - 20:07, édité 1 fois |
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Invité | Invité | | | | | Profil : MP : Email : | | Lun 3 Déc - 15:58 |
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La question troublante...
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Il la vit alors changer un peu de regard et aussi changer d’expression faciale. Il avait dont bien fait de s’excuser. Terry se passa longuement la main sur le front. Il ne voulait pas non plus la retenir… elle semblait revenir chez elle avec une longue journée dans le corps.
*Qu’est-ce que les jeunes femmes aiment de nos jours? Les hommes qui s’excusent tout le temps. Je n’en ai aucune idée. J’imagine que notre discussion va être un peu moins entre chat et chien. C’est bien mais, je n’ai aucune idée comment approcher des femmes. Serait-ce une mauvaise idée de lui demander des conseils? Je ne sais pas vraiment… elle semble plus vouloir traiter ce que l’on a que de vouloir répondre à nos questions… enfin… j’imagine.*
Elle tenta alors de le calmer un peu en lui disant qu’elle n’allait pas du tout appeler l’ambulance. Était-ce cela bien vrai. Il se le demandait bien. Il la voyait de plus en plus réagir un peu comme une vétérinaire. Était-elle une vétérinaire? Ce serait certainement quelque chose du genre. Elle continua par la suite en lui disant qu’il titubait et qu’il devait être malade. Un petit sourire vint se dessiner sur son visage. L’inconnue continua en lui disant qu’elle pourrait lui foutre deux claques pour le cliché et qu’ensuite, elle appellerait l’ambulance. Oh non, elle repartait avec cela mais, il la vit lui faire un clin d’œil et comprit qu’elle lui faisait une farce.
Il hocha de la tête quand elle lui dit qu’il n’était pas mort tout de suite. Il soupira quand elle lui parla d’un médecin de confiance. Il haussa un peu des épaules.
-La vérité… je n’ai pas de médecin de confiance que je connais. Ce n’est pas vraiment le genre de personnes que je connais. J’ai un peu d’argent ici et là mais, ce serait bien difficile pour moi de pouvoir avoir un médecin… je suis un hybride. Je ne peux pas trahir les humains… ma queue d’ornithorynque est très visible.
Terry lui tend la main pour l’aider à se relever. L’ornithorynque n’était pas vraiment méchant… il avait juste besoin d’un peu d’aide et d’amitié… il était seul et ne voulait surtout pas mourir seul dans une ruelle. Il était bien le seul de sa race… enfin… il n’avait jamais vu un autre ornithorynque que lui dans les ruelles de la ville alors il imaginait bien qu’il était bien le seul.
-J’ai une question à te poser.
Il attendit quelques instants. Il ne voulait surtout pas semblé vouloir être trop insistant. C’était un peu étrange comme question. Il ne savait pas trop comment la poser à cette inconnue.
-Comment approcher les femmes? Je n’ai aucune expérience… enfin… juste celle d’un vieux fou qui m’a enseigné.
Il rougit un peu en demandant cela. Cela devait vraiment sembler étrange.
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| Aumérine Lefèvre | Age : 25 Emploi/loisirs : Assistante vétérinaire pour hybrides. Discrétion garantie. | | | | Profil : MP : Email : | | Sam 8 Déc - 8:43 |
| Sans blagues, bien sur qu'il n'avait pas de médecin, mais...Est-ce que c'était moi qui imaginait des trucs? Je veux dire, franchement, l'homme étant ce qu'il est, je serais surprise que personne ne cherche à se faire du blé sur les sauvages. Je veux dire des médecins marrons, ou un marché de faux papiers? Je me souviens, enfant, des discussions entre ma mère et mon père ou certaines de ses amies, sur les réfugiés en France, sur les passeurs, les "marchés périphériques"... Evidemment JE ne les connais pas. Je n'en ai jamais eu besoin. Et je suis une "gentille fille", les gentilles filles ne cherchent pas les marchés noir, ne sortent pas du cadre de la loi... Lui, c'est pas une gentille fille. Ni un gentil hybride. Sinon, il serait sagement avec son maitre ou sa maitresse et pas à errer tout seul. Donc, en temps que "vilain hybride", il devrait pas connaitre?
"L'argent ouvre pas mal de portes. Faut "juste" savoir lesquelles."
Et se méfier aussi des gens prêts à jouer sur deux tableaux. Un grand classique des JDR. Enfin, là aussi, j'ai la théorie, mais pas la pratique.En soi je commence à me demander si je devrais pas me renseigner, parce que j'ai l'impression que, que ce soit la fille serpent la dernière fois ou ce gars... Onythorinque. Chelou comme hybride quand même. Y a des gens qui se sont amusé à imaginer ça... A quand les hybrides raptors? S'ils en arrivent à là, je rigole. Et je me casse avant que ça finisse en Jurassic World 3... Je saisis sa main pour me relever. Une question?
"Bah, vas-y?"
Euh... Je la lui colle la claque ou pas? Mon opinion doit se lire sur mon visage. J'ai déjà ma nuit dans les pattes, je suis en train de grapiller sur mon temps de sommeil pour lui venir en aide. Et là, "je sais pas comment parler aux filles" c'est pas un symptome, là.
"J'ai une tronche à savoir?"
Pis ça veut dire quoi "parler aux femmes?" Je sens mon côté "féministe" bouillir. On parle aux femmes comme à tout le monde! C'est idiot de vouloir parler différement à la moitié de la population!
"C'est comme avec les mecs. Tu les traite comme tu voudrais qu'on te traite toi."
Bon, voyons, je sais quoi, moi? Il a des maux de tête récurrents, des troubles du sommeil, il est arythmique... Il parle lentement, mais j'ai du mal à savoir si c'est "habituel" ou si c'est la fatigue? Bon, évidement, je me doute qu'il n'a pas de fièvre ou de signe plus aigu. Donc un truc chronique...
"Difficultés à respirer? Des douleurs ailleurs que la tête?"
Tiens, il se concentre mal aussi... Serait-il possible... Comment vérifier ça?
"Tu pense quoi de ta situation, toi, là, maintenant?"
Question ouverte. J'atends de voir comment il décrira son état. On verra son champs lexical, surtout.
[Envoyé de la tablette, MeP à faire.] |
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Invité | Invité | | | | | Profil : MP : Email : | | Dim 9 Déc - 0:32 |
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Une révélation après l'autre...------------------------------------------- @Aumérine LefèvreTerry observa l’inconnue quand elle lui dit que l’argent ouvrait bien des portes. Il eut un petit sourire en coin qui vint se dessiner sur son visage. C’était bien facile disant cela étant humain. L’argent aidait mais, aussi le fait qu’il est un hybride cela lui bloque beaucoup de porte… la plus part. Il n’a pas vraiment de connaissance dans ce domaine non plus. Il ne connait pas vraiment de personne qui voudrait le diagnostiquer pour une bouchée de pain.
-Oui je comprends que l’argent ouvre bien des portes, krrrrrrr, mais moi je n’ai pas beaucoup d’argent quand j’en ai. Dès fois il faut que je me serre un peu la ceinture pour pouvoir y arriver. Ce n’est pas facile de vivre seul dans les rues. Même si krrrrrr j’arrivais à en trouver un qui accepte une bouchée de pain pour me diagnostiquer… je ne suis pas sûr de savoir quoi faire avec.
Ensuite la belle inconnue lui dit alors de l’aider à se lever vu qu’il l’avait proposé. Il la tira sans trop de problème. Il semblait normal… enfin… pas tout à fait, mais bon. N’ayant aucune idée, l’inconnue ne l’aidait vraiment pas à savoir comment parler aux femmes. Ensuite elle lui dit que c’est comme les mecs… comme son maitre? Il n’avait pas vraiment de filtres alors ce ne doit pas du tout être ainsi.
-Je ne sais pas comment j’aimerais que l’on me traites. J’ai toujours un peu été mis à l’écart des autres étant différent. As-tu vu d’autres hybrides ornithorynques dans les environs? , dit-il en montant le ton. Je m’excuse krrrrr si je semble un peu plus fâché à propos de cela. Je suis le seul de ma race ou enfin… le seul de ma connaissance.
Son visage changea un peu d’humeur. On ne le voyait plus vraiment sourire. On pouvait même y déceler de la tristesse. Il essaya quand même de garder un sourire sur son visage même s’il était triste. Ensuite l’interrogatoire continua. Du mal à respirer… des douleurs ailleurs que la tête…
-Oui j’imagine que j’ai mal une fois de temps en temps ailleurs mais, ce n’est pas normal? Bah j’ai comme tout le monde une fois krrrrr ici et là du mal à respirer. Ce n’est pas cela qui va dire ce que j’ai. Ça arrive à tout le monde… quoi que je ne connaisse pas beaucoup de monde… surtout que je n’ai jamais été attrapé. Je me demande bien ce que c’est… krrrr Certainement douloureux et pas très confortable.
Ensuite c’est le tour de la situation… comment décrire sa situation? Pauvre??? Sans le moindre doute ce qu’il a? Il n’a vraiment aucune idée. Il porte son majeur et son pouce de sa main gauche proche de ses yeux au niveau de la jonction avec le nez. Il se mit à penser. Comment se décrire? C’était si difficile.
-J’imagine que je pourrais me considérer parmi ceux en dessous du seuil de pauvreté. J’ai beaucoup de misère avec le sommeil et cela joue nécessairement sur mon humeur en général. Je ne me drogue pas… y’a pas s’en faire krrrr avec cela. Je suis clair sur ce sujet. Je n’ai pas vraiment eu une vie facile alors je me compte chanceux d’en être rendu là.
Il soupira et fermi ses yeux. Il avait un peu plus mal à la tête là. |
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| Aumérine Lefèvre | Age : 25 Emploi/loisirs : Assistante vétérinaire pour hybrides. Discrétion garantie. | | | | Profil : MP : Email : | | Jeu 20 Déc - 19:59 |
| J'écoute. J'écoute et je dit rien. Enfin, si. J'accompagne les réponses de ces petits sons qui servent à encourager à poursuivre sans pour autant répondre. Certains pourraient soupçonner que j'en ai rien a faire, ce qui n'est pas tout à fait faux, en général: Faire parler le patient me sert surtout à le canalyser, à le distraire pendant que je reste concentrée sur autre chose. Pour autant, il suffit de voir mon visage pour comprendre que j'entends. Et que j'analyse aussi. Déprime, colère, défaitisme... Je suis pas médecin, mais je m'y connais assez pour savoir qu'il est sur une pente savonneuse. Sauvage depuis toujours, hmm? Etrange qu'il me dise avoir peu de contacts. Je veux dire il a quoi? Un peu plus vieux que moi? Il a certainement pas vécu "seul" depuis toujours, ne serait-ce que parce que y a un âge où on a besoin d'aide pour survivre.
"Je ne m'en fais pas pour ça."
Non, la drogue là c'est pas vraiment son problème. C'est plutôt le reste. Ma voix est redevenue un peu douce, toujours calme. Je suis redevenue la Soignante, celle qui Sait.
"Pour autant, tu m'as l'air en mauvaise posture. Je t'écoute parler, tu ne me donne pas de... "bon" que ce soit à ton sujet, a sujet de ta situation. Genre tu n'as aucune qualité, y a rien qui va bien dans ta vie, rien qui te fait te lever le matin."
Je me doute que mes mots sont surement dur à entendre surtout si ce que j'intuite est vrai. Pour autant je ne juge pas. J'énonce un fait, avec douceur.
"Je dirai que tu es méchamment au bord, voire carrément dans la dépression. C'est une maladie pernicieuse qui t'empêche d'être heureux. Et qui peut t'amener au suicide, si tu n'y prends pas garde."
Bon, maintenant on va pouvoir essayer de le remonter... Histoire de pas le précipiter un peu plus vite dans les idées suicidaires.
"Tu es un survivant, représentant une espèce rarissime, oui, mais qui a traversé les millénaires. ET qui existe. Crois moi, j'en ai vu des hybrides "uniques". Toi, tu respire sans aide, tu te cogne pas à tous les murs parce que perturbé par une écholocalisation défaillante, crois moi, tu es plutôt bien loti."
Je sais plus trop c'est quoi un ornithorynque. Un mammifère, oui, marin, oui, mais sinon... En terme de survivalité en milieu urbain, je vois pas trop en quoi l'hybridation lui sera plus pratique. Ah si, c'est venimeux ce truc là. Dans le doute, je vais reprendre mes distances. Bon, sans le laisser voir, hein? Genre juste en ramassant mon sac de courses, et en le tenant à deux mains. En soit, peut-être aussi qu'il faudrait l'amener sur un autre terrain de comparaison.
"Et sinon, au lieu de jouer à "qui a l'hybridation la plus pourrie", rappelle toi que t'es "juste" un hybride de plus. Et que t'es pas du tout obligé de te trouver une copine ornithorynque pour être heureux... Par contre, si je ne me trompe pas, tu vas devoir batailler plus fort pour ça. Parce que la dépression, elle essaie précisément de t'en empêcher."
Je ne sais pas quoi lui dire de plus. Après tout, même si officiellement je suis guérie je sais bien qu'en vrai, mon araignée noire elle est toujours là.
Dernière édition par Aumérine Lefèvre le Ven 21 Déc - 7:46, édité 1 fois |
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Invité | Invité | | | | | Profil : MP : Email : | | Ven 21 Déc - 2:13 |
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Ce n'est qu'une fin... pour un autre début...------------------------------------------- @Aumérine LefèvreTerry écoutait bien ce que cette inconnue avait bien à lui dire. Elle lui disait qu’il avait l’air en mauvaise posture… et quoi encore… n’est-il pas toujours en mauvaise posture comme tous les autres êtres vivants? Y a-t-il quelque chose qui le fait se lever le matin… Il n’y avait jamais vraiment pensé.
-J’imagine que juste le fait d’être encore vivant et vouloir survivre c’est peut-être assez pour me faire me lever le matin. Je n’ai rien dans la vie mis à part cela. Enfin… je peux toujours me rattraper sur mes jeux que j’organise. Ah leurs faces…
Elle lui dit qu’il était dans une dépression. Bah n’importe qui peut dire n’importe quoi. Terry ne sait même pas si ce qu’elle tente de lui dire est vraiment véridique. Cette inconnue pourrait bien essayer de le rouler pour le ramener et peut-être même faire des expériences sur lui. Mais… si ce qu’elle lui disait était vraiment vrai. Il était peut-être vraiment dans la merde.
-Comment je fais pour savoir si ce que tu dis est vrai? Quoi que c’est vrai que j’ai souvent passé proche du suicide… mais, c’est normal. Tous les gens font cela.
Il continua d’écouté étant de plus en plus agacé de par ce qu’elle lui disait. Son expression faciale changeait et pas pour le mieux. Ses traits devenaient beaucoup plus sérieux. Elle lui disait qu’il était rarissime et qu’il respirait et ne se cognait pas partout la tête.
-Bah cela j’imagine… ça dépend du moment… Les murs ne sont pas vraiment très gentils avec ma tête. J’ai bien essayé d’en finir avec un mur mais, j’ai perdu connaissance avant d’y arriver. C’est un peu difficile si même ton corps ne te laisse pas en finir avec ta vie…
Terry fit craquer son cou et observa longuement l’inconnue à la chevelure blonde. Elle prenait son sac de course. Il n’était donc qu’un vulgaire caillou sur son chemin. C’est bien tout le temps cela. Personne ne peut blairer l’ornithorynque. Tous les gens font toujours la même chose avec lui. Terry s’en foutait bien… au moins il avait pu passer un peu le temps en sa compagnie.
-Je ne crois pas non plus me trouver quelqu’un qui sera une ornithorynque. Ça sera impossible. Si je me trouve une personne je vais être bien chanceux car personne ne peut me sentir tout comme toi. Tu t’apprêtais à partir. Ne t’en fais pas je ne te retiendrais pas plus que cela. Continue ton chemin vers ton chez toi. Personne ne peut me piffer.
Terry se mit ses écouteurs sur ses oreilles et commença à partir de son bord. Il ne semblait pas trop s’en faire. L’habitude quoi… Il se revira une dernière fois avant de partir et dit :
-Si tes parents mourraient devant tes yeux tu comprendrais certainement mieux.
Terry se détourna de nouveau et se mit à courir. Il courrait vraiment mal mais avait quand même un bon rythme pour distancer cette femme. Très rapidement Terry disparu dans une ruelle laissant l’inconnue là. Il venait comme qui dirait de filer à l’anglaise.
*Si elle avait vraiment raison...*
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