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 Une pointe de miel pour le palais d'une anaconda [avec Kali]

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Une pointe de miel pour le palais d'une anaconda [avec Kali] EmptyDim 14 Oct - 17:16
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Une pointe de miel pour le palais d'une anaconda

ft. Kali

Une collègue (peut être amie) curieuse de découvrir le monde en dehors de Togi
















Plusieurs semaine après le premier contact physique entre l’anglais et sa collègue hybride ont permis à Léonard se sentir mieux à ses côtés, bien plus que lorsqu’il ne savait rien. Il dû néanmoins faire attention à ne pas l’appeler Kali à la boutique, cependant quand ils prennent le fourgon pour faire des interventions et uniquement quand ils sont seuls. Cobalt se permet de l’appeler par son prénom tout en faisant attention et discutant de différent sujet.

Il y a quelques jours il annonce à Kali durant un moment de seul à seul, que Seira est désormais libre. En effet la féline souhaitait vivre dehors, l’anglais a accepté de la laisser vivre dehors, mais non sans bagage, en effet. Léo lui avait préparé un sac avec tout ce dont elle pourrait avoir besoin pour vivre dehors.

Aujourd’hui, Léonard se réveil doucement sous le sous de la pluie venant s’écraser sur la vitre. Pour lui, ce temps n’était rien, mais pour certains cela semble être le Ragnarok. La journée de l’anglais fut simple, trajet, travail, trajet. La seule chose notable qui soit arrivé durant la journée de l’anglais, c’est que Kali accepte de venir chez lui après leurs horaires.

Léo finissant plus tôt que sa collègue, cela lui permet de préparer diverses choses, dans le salon il installa le système de réalité virtuelle en plaçant les capteurs de la console afin de former un carré autour du canapé, des petits amuses gueules très légers afin de ne pas faire souffrir l’anaconda, du moins son estomac et surtout, ce que l’anglais prévoit car le temps s’est empiré, ce qui était une fine pluie quand il s’est levé est devenue un déluge, pour remédier à la possible situation où Kali serait trempée, Léonard prit plusieurs serviettes ainsi que couverture.

L’attente de l’anglais se fait sentir, l’ennui le prend petit à petit et lorsqu’il jette un oeil sur son téléphone, il voit le temps s’écouler rapidement. 19h40...19h 55. Chaque fois que son regard se porte sur les numéros composant l’heure, il a l’impression de subir un cycle de prométhée, ce qui le sort de sa torpeur est le bruit de la sonnette qui retentit.

Cobalt se relève d’un coup et marche rapidement vers la porte afin de l’ouvrir, il s’attendait à pas grand chose, Kali avec une tenue la protégeant de la pluie, mais il tomba un peu de haut en la voyant totalement détrempé. Léo la prend dans ses bras pour la tirer à l’intérieur et la mettre à l’abri. Il la conduisit dans le salon assez vite tout en s’assurant qu’elle n’ait pas trop froid. Il est certain que c’est elle avec ce regard bleu aux bord d’un magnifique améthyste.

-Ne bouge pas, je reviens de suite.

Léonard s’éloigne rapidement afin d’aller chercher les serviettes ainsi que les couvertures puis il les lui ramène, l’aidant à se débarrasser de ce qu’elle accepte de retirer, passant les serviettes autour d’elle puis il vient passer une couverture autour d’elle.

-Tu vas mieux? Je vais mettre a sécher tes vêtements.

Chose dite et chose faite, c’est avec les bras chargés des vêtements humides de l’anaconda qu’il se dirige vers la salle de bain à l’étage dans laquelle il accroche les tissus alourdis sur l’étendoir à linge puis une idée germe dans sa tête. Il prend son téléphone et le connecte à la télévision afin de la faire mettre un peu de musique afin de faire attendre Kali.

Une fois le linge bien placé et bloqué par des pinces, Léo revient vers son invité en souriant, espérant qu’elle apprécie pour le moment son arrivée chez lui. Il passe devant afin de rejoindre la commande pour descendre les volets automatiques du salon puis une fois cela fait. Il s’approche tout doucement pour venir derrière elle et chuchoter.

-Je me demande bien ce que tout ces artifices cachent? Un joyau d’une beauté inestimable? Une anaconda si charmante qu’elle se cache pour éviter de faire chavirer les coeurs de tous ceux qu’elle croise et qui sait, peut elle qu’elle ferait aussi chavirer ceux de celles qu’elle croise.

Léonard aime bien la taquiner par rapport à ces artifices pour se cacher, il sait très bien ce qu’il y a en dessous et il est très honorés de faire partie de ceux qui savent, cependant il trouve cela grotesque qu’elle ait à se cacher, cependant il connaît les raisons et les comprend. C’est pour cela qu’au lieu de tenter de lui faire changer d’avis et qu’elle s’expose, il la taquine simplement après lui avoir expliqué pourquoi il le faisait, cela est aussi un moyen pour lui d’être avec Kali tout en étant entouré de monde qui voit Séréna à la place.

Le rapprochement des deux ont d’ailleurs fait un peu de bruit dans la boutique, l’américain pestant de plus en plus qu’une telle beauté n’ait qu’un regard de dégoût à son égard et à chaque petite attention de l’anglais afin de l’aider à se sentir mieux quand les températures descendaient, Anthony tentait également à sa manière, d’avoir l’attention de l’hybride camouflée, sans grand succès apparemment, même si Léo se demande ce qu’il s’est passé la fois où elle est partit dans la ruelle non loin de la boutique. L’américain semblait satisfait, mais pour quelle raison il aurait pu l’être? Cela Cobalt n’a pas cherché à savoir.

Léo vient doucement chercher le regard de sa collègue en se penchant dans le canapé.

-Je vais te faire un thé à l’anglaise.

L’anglais s’éloigne du salon afin de rejoindre la cuisine, il prend la bouilloire qu’il remplit suffisamment pour faire quelques thés puis une fois que l’eau commence à chauffer, il prépare le sachet de thé, un thé vert qui aura une magnifique couleur dorée qui irait parfaitement avec les cheveux de Kali. Il place le sachet dans une tasse en verre transparent puis quand de la fumée blanche s’échappe de la bouilloire, sa main la prend par l’anse afin de doucement faire couler l’eau chaude dans la tasse.

Il continue la préparation en faisant le fameux teabag avec son sachet de thé afin que l’eau s’imprègne et qu’elle ait la couleur dorée, cela lui prend un peu de temps afin que le thé soit bien infusé. Léo jette le sachet après utilisation avant de venir prendre un pot de miel puis avec une cuillère, mettre une fine pointe de miel dans le thé et commence à touiller pour mélanger le tout.

Une fois le thé prêt, il le prend avec douceur afin de rejoindre le salon et le poser sur la table basse vide qui se trouve entre Kali et la télévision. Il sait quels clips sont actuellement en train de tourner, l’anaconda voulait un peu découvrir la musique, elle a de la chance, une partie de ce qu’elle a certainement dû regarder sont des clips fait à base d’image de film proche de la réalité tout en restant fictive.

Léo s’installe doucement dans le canapé et se gratte la tête.

-Tu es venu à pied pour être autant mouillée?





musiques/clips à la tv:




Dernière édition par Léonard Cobalt le Ven 19 Oct - 8:29, édité 1 fois
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Une pointe de miel pour le palais d'une anaconda [avec Kali] EmptyLun 15 Oct - 18:02
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Une pointe de miel pour le palais d'une anaconda [avec Kali] 7d789a94c81aae5cafe708e913b4b9f3

Les semaines.
S'étaient écoulés après toutes ces révélations. Pour le plus grand soulagement de Kali, Léonard tenait parole et en rien son attitude avait changé, pas plus qu'il n'avait trahit le secret de son identité. Autre bonne nouvelle, Seira, l'hybride de son collègue anglais a retrouvé la liberté, la vrai. Il est certain que Léonard n'est pas un maître odieux, mais... Vivre pleinement, en autonomie, ça n'a pas de prix et Kali en avait prit pleinement conscience le jour de sa propre libération. Elle avait rassuré l'anglais, qui un peu papa poule avait eu la bienveillance de préparer un package de survit pour cette dernière. Les hybrides ont plus de ressource dans la nature, qu'un humain et puis, Seira serait libre de passer chez lui par la suite, pour lui donner des nouvelles ou passer un hiver au chaud si nécessaire. Ce n'était en rien des adieux, juste... Une remise en liberté nécessaire. De toute façon, il aurait été difficile pour l'hybride anaconda de se présenter chez lui, comme égal, en voyant sa consœur traitée comme inférieur même si il n'en n'était rien.

Malgré la compagnie qui coulait...
Kali, demeurait la même, professionnel, souriante avec les clients et distante avec ces collègues. Bien sûre, certains avaient notés un changement d'attitude entre elle et Léonard, mais d'aucun ne saurait dire ce qu'il s'est passé. Suite à l'automne, la température dégringolait progressivement et l'anglais veillait à ce que la boutique soit correctement chauffé, avant l'arrivée de Kali et jusqu'à la fin de son service. Anthony, imitait comme il pouvait son collègue anglais, mais l’américain n'était clairement pas aussi efficace que Léonard qui lui avait l'information essentiel pour servir, aider et protéger Kali. Elle n'est pas une femme comme les autres, pas totalement. Alors, la couvrir d'attention c'est une chose, mais il y a des besoins spécifiques que seul, ceux qui connaissent son hybridation peuvent se douter. Elle n'en n'était pas désagréable pour autant envers Anthony, appréciant son changement d'attitude, moins beauf et lourd...

Quoiqu'il en soit.
C'était à Kali de fermer la boutique ce jour, peut-être pour la dernière fois étant donné le chiffre d'affaire qui n'a de cesse de descendre. Au matin, il faisait pluvieux mais l'hybride ne pensait pas qu'il en serait de même en fin de journée. Elle avait choisit de ne pas prendre son parapluie, quel erreur ! Les pluies sont parfois longue, diluvienne... Même si son appartement n'était qu'à deux pas de là, ici, il s'agissait de retrouver Léonard chez lui, dans le quartier résidentiel. La dizaine de minute en bus ne suffisait pas à la sécher et à la réchauffer. Ses lèvres tremblaient et l'hybride brûlait ainsi de nombreuses calories pour conserver une chaleur corporelle digne de ce nom. Elle ne risquait pas l'hypothermie mais c'était clairement inconfortable, ce froid qui la mordait ici et là. Le cuir de ses vêtements n'arrivait plus à rester suffisamment étanche pour la protéger.

La dernière ligne droite !
Elle descendit du bus et se mit à courir dans le quartier, serpentant entre les maisons pour enfin trouver celle de son collègue. Il ouvre la porte et sans plus de cérémonie où qu'elle n'ait le temps de lui expliquer quoique ce soit. L'anglais l'attrape et l'emmène au chaud, à l'intérieur. Le corps de la belle se raidit par cette spontanéité imprévu.

-Ne bouge pas, je reviens de suite.

_ Euhm...  Oui, d'accord.

Que dire d'autre ?
Ils s'étaient déjà vu plus tôt dans la journée. Enfin arrivée à bon port, elle n'allait pas rebrousser chemin, mais la blonde n'en demandait pas tant. En tout cas, la chaleur de la maison lui fit un bien fou. Comme une bouffée d'oxygène. Elle n'avait pas traversé le Pôle Nord, mais c'était presque tout comme. Léonard revient ensuite, les bras chargés de couverture et de serviette. Dans son élan d'initiative, il voulut l'aider mais Kali d'un geste ne lui permit pas un tel contact.

_ Je préfère me changer dans la salle de bain.


Ce qu'elle fit.
Avant de revenir emmitouflé dans une serviette et une couverture par dessus. Léonard, se saisit de ses vêtements trempées pour la débarrasser, perruque brune comprise. Puis, il s'attelait à sécher ses cheveux blonds avec une serviette sèche.

-Tu vas mieux? Je vais mettre a sécher tes vêtements.
_ Oui, merci beaucoup... Je n'ai pas eu de chance.

Explique t-elle.
Tandis que l'anglais file à son tour dans la salle de bain pour étendre le linge. A peine une poignée de seconde plus tard, Kali se tourne vers la télévision qui semble possédé. La machine s'est mise sur une chaine musical. Kali l'observe, intriguée un instant, autant que par les drôles de casques disposés. Qu'est-ce donc que tout ça ? Léonard revient, naturellement et visiblement pas surpris du show par la télévision. Les volets descendent automatiquement. Tout est géré informatiquement ici ? C'est ce que se demandait l'hybride, tandis que son hôte reprit derrière elle.

-Je me demande bien ce que tout ces artifices cachent ? Un joyau d’une beauté inestimable ? Une anaconda si charmante qu’elle se cache pour éviter de faire chavirer les cœurs de tous ceux qu’elle croise et qui sait, peut elle qu’elle ferait aussi chavirer ceux de celles qu’elle croise.

NANI ?!
Le corps de Kali se raidit, si elle aurait pu s'empourprer, sans doute que ça serait le cas. La blonde, le fixe du regard, mal à l'aise et se demandant à quoi il joue ? Lui, s'amuse à la taquiner un peu, comme toujours... Peu habituée à être titillée, la bras droit de la Révolution marche à tout les coups dans ce genre de stratagème. Léonard, détendu reprend.

-Je vais te faire un thé à l’anglaise.

A l'anglaise ?
Est-ce différent à ce point ? Pendant qu'il s'affaire dans la cuisine, Kali reporte son attention vers la télévision... Ce ne sont pas des musiques douces, c'est le moins qu'on puisse dire. Quel contraste avec le caractère de Léonard qui est si calme. Comme quoi, elle aussi ne devrait pas se fier à son attitude. Des guerriers défiles sur l'écran, les clips sont plutôt étrange, de son point de vue.

-Tu es venu à pied pour être autant mouillée ?

_ Oui, le bus et à pieds. Je pensais pouvoir venir entre deux averses... Je me suis trompée.

Répondit-elle.
Avant de prendre place près de lui, ré-ajustant la couverture autours d'elle et libérant ses cheveux de la serviette. Ils étaient un peu plus sec. Kali, pose son regard ensuite sur le thé, plutôt doré.

_ C'est une couleur inhabituelle...


Commente t-elle.
En prenant le verre et respirant son parfum qui a une note sucré, connu. Kali tourne son visage vers Léonard.

_ Tu as mis du miel dedans. J'en suis certaine, pour en avoir mangé il y a peu... Tu en met dans toute ton alimentation ? Est-ce une spécificité anglaise ?

Se demandait-elle.
Avant de porter la boisson à ses lèvres et de boire quelques gorgées. Bingo ! Ses sens de serpent ne se trompent jamais en matière de goût et d'odorat.

_ C'est différent et délicieux. J'aime bien.


Approuvait-elle.
Finissant sa phrase par un sourire sincère.

_ Ça va ? Tu ne souffres pas trop de l'absence de Seira ? Revient-elle de temps en temps ?

Questionnait-elle.
Se trouvant encore un peu maladroite sur le tutoiement, qu'elle emploie depuis qu'il sait sa véritable nature. Être soi même en compagnie de quelqu'un d'autre, d'une autre espèce... Ça n'étais pas arrivée depuis...

Des années !
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Une pointe de miel pour le palais d'une anaconda [avec Kali] EmptyMar 16 Oct - 1:41
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Une pointe de miel pour le palais d'une anacondar

ft. Kali

Une collègue (peut être amie) curieuse de découvrir le monde en dehors de Togi
















Lors de la réponse de l’anaconda, Léo remarque alors que le haut de la poitrine de sa collègue est nullement caché par la serviette pendant qu’elle réajuste la couverture qu’elle a sur le dos. Il rougit d’un coup en comprenant alors qu’elle est nue ainsi que chez lui. Heureusement pour lui, la voix de Kali le fait sortir de son esprit et se concentrer sur ce qu’elle dit.

La découverte de la jeune hybride fait sourire l’anglais, elle semble apprécier le thé, les quelques gorgées ainsi que les douces paroles qui sortent de ses lèvres. En venant se rapprocher d’elle, son regard se porte doucement sur la peau du cou de Kali dont une goutte de pluie perle. Il entend dans la question que l’anaconda pose une compassion qu’elle semble uniquement montrer à Léo, cela lui plait et tandis que la goutte commence à s’approcher du bas du cou de l’hybride, son doigt vient doucement la récupérer tout en venant délicatement remonter sur son chemin.

Cobalt plonge doucement son regard dans celui de Kali et sourit doucement.

-Cela fait bizarre de se retrouver une nouvelle fois seul dans cette maison et ça pèse avec le temps. Content que le thé te plait, cela doit te changer de ceux qui viennent de la culture nippon.

Il se lève doucement en gardant le contact visuel et souriant.

-Je vais te chercher quelque chose pour te couvrir...disons que...il y a un certain joyau qui se doit d’être découvert...avec un certain accord...et il n’a pa été fait…

C’est en rougissant que l’anglais s'éclipse, se dirigeant vers sa chambre et une fois à l’intérieur, il rejoint une armoire où il stocke ses vêtements d’été. Il prend dans une main un short ainsi qu’un débardeur avant de se tourner pour rejoindre une commode et prendre un boxer. Les vêtements en main, il marche doucement en sentant son coeur battre ainsi que se serrer petit à petit. Il se bloque soudainement quand il est proche du salon puis une idée lui vient en tête.

Léonard rentre rapidement dans la salle de bain afin de poser les vêtements qu’il va prêter sur le sèche serviette puis il met ce dernier en route afin de chauffer les tissus. L’anglais s’assure de la chaleur en ayant une main au-dessus puis une fois que c’est suffisamment chaud, bien plus que pour lui en tout cas, il les prend difficilement en main, la chaleur l’embêtant un peu et se déplace jusque dans le salon.

Il rougit doucement en revenant vers Kali puis dépose les vêtements non loin d’elle.

-Tu peux les mettre, si ce temps continue, je sens que je vais te faire dormir ici, dans la seconde chambre qui est chez moi.

En effet, c’est en entendant la pluie qui continue de s’abattre et l’anglais à même l’impression que cela s’intensifie. Il rigole doucement tout en cherchant le regard de l’anaconda.

-On a une soirée chargée, je pense qu’on a de quoi s’occuper le temps que la pluie s’arrête.

Léonard prend la direction de son bureau afin de commencer à préparer le petit terminal pour les lunettes de réalité virtuelle, il commence à lancer et tester différents endroits ainsi qu’époque. Les arènes de Rome, Paris après l’ouverture de la tour Eiffel au public ou encore un soleil couchant sur une plage paisible. Une fois les tests effectués, il apporte doucement les gants ainsi que les lunettes dans le salon, le matériel réagissant à la présence des capteurs.

-Kali? Tu as finis de te changer?





Dernière édition par Léonard Cobalt le Ven 19 Oct - 8:29, édité 1 fois
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Une pointe de miel pour le palais d'une anaconda [avec Kali] EmptyJeu 18 Oct - 17:31
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Léonard.
Se permit de chasser une goutte de pluie qui faisait son chemin sur le corps réchauffé de l'hybride. Kali, sentie son corps se raidir à l'approche de la main de son hôte, elle le savait gentil, bienveillant mais c'était un réflexe qu'elle avait entretenue depuis des années. Cette distance, cette réticence à se faire toucher. En revanche, qu'on la regarde ça, elle en avait l'habitude au point qu'elle ne se rendait plus compte de l'effet qu'elle pouvait produire chez certains. Une si belle femme, vêtue de cuir ou de kimono traditionnel la plupart du temps. Les regards ne l'atteignent pas, parce que personnes ne la connait et qu'à avoir passé son enfance, observé sous toute les coutures... On n'y prête plus attention. Kali ne souffre pas de pudeur, elle est plus à se soucier de l'état désagréable/particulier que la personne qui la touche, peu ressentir.

L'humain.
Avait franchit bien des barrières mais celle-ci resterait sans doute la plus délicate. Dévoiler son identité est une chose, être accepté tel que l'on est aussi... Mais accepter d'être touché, comme n'importe qui. Malgré son apparence forte, il y a des mauvais traitements qui ne disparaitrons jamais et le corps en garde les stigmates. Kali, s'était retenu d'attraper sa main et de la repousser au pire, de la broyer si il avait été un genre de loubard. Ici, seulement ses pupilles reptiliennes se sont fendus, désapprouvant ce geste imprévu et son estomac se crispait. Prêt à réagir, mais ici, les menaces étaient nulles. C'était un stress pour rien, elle en avait conscience mais son instinct en pensais tout autrement. Le regard doux de l'anglais, calmait la tension.

-Cela fait bizarre de se retrouver une nouvelle fois seul dans cette maison et ça pèse avec le temps. Content que le thé te plait, cela doit te changer de ceux qui viennent de la culture nippon.


Kali hochait la tête, alors que Léonard se lève, mal à l'aise à son tour.

-Je vais te chercher quelque chose pour te couvrir...disons que...il y a un certain joyau qui se doit d’être découvert...avec un certain accord...et il n’a pas été fait…


L'hybride.
Fronçait les sourcils avant de comprendre à quoi il faisait allusion. Elle comprit alors sa gêne et pouffait un peu de rire, amusée entre le fait qu'il la complimente sans crier gare, mais si le corps de Kali est un peu dêvetue, l'anglais perds alors tout ces moyens. Il est respectueux et même dans sa manière de parler, l'hybride serpent comprit qu'ici, Seira devait être très bien. La blonde, reportait son attention sur la télévision et une poignée de seconde plus tard, Léonard revint avec des vêtements qu'il déposait à ses côtés.

-Tu peux les mettre, si ce temps continue, je sens que je vais te faire dormir ici, dans la seconde chambre qui est chez moi.
_ Je n'oserais pas m'imposer.

Reprit-elle.
Bien décidé à essayer de partir, même si c'est le déluge qui l'attends.

-On a une soirée chargée, je pense qu’on a de quoi s’occuper le temps que la pluie s’arrête.

Bien !
L'hybride prit les affaires et disparu à nouveau dans la salle de bain pour enfiler les vêtements agréablement chaud. Les vêtements étaient un peu trop grand, mais c'était bien plus pratique que le duo serviette-couette, d'ailleurs elle mit sagement le tout dans le bac à linge.

-Kali? Tu as finis de te changer?
_ Oui, un instant.

Elle revint à ses côtés.
Observant le matériel sortie tout droit d'un film de science fiction.

_ Tu es sûre que c'est sans risque ?


Demandait-elle.
L'observant faire les divers ajustements nécessaire.

Vers l'infinie et au delà !
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Une pointe de miel pour le palais d'une anaconda [avec Kali] EmptyLun 22 Oct - 3:11
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Une pointe de miel pour le palais d'une anacondar

ft. Kali

Une collègue (peut être amie) curieuse de découvrir le monde en dehors de Togi
















Une ange a atterri sur Togi, une ange que le monde ne comprend pas et la voit comme une succube car sa peau est aussi lisse que froide telle la peau des serpents. Son iris est certes fendu, mais cela permet à une lumière chaleureuse et amicale en émaner. La sublime créature ne vient guère d’un livre, un film ou bien un jeu vidéo, en effet, l’hybride anaconda revient de s’être habillé et il est difficile de nier une chose. Elle est magnifique, même avec une tenue de rechange qui est ample pour elle.

L’anglais recommence à avoir une nouvelle série de couleur au niveau des joues tout en venant doucement prendre une paire de lunettes ainsi que de gant avant de venir s’approcher de Kali. Léo place doucement les lunettes sur le visage de sa collègue, venant doucement placer la lanière qui permet de bien tenir l'accessoire sur la tête.

-Cela fait plusieurs décennies que c’est étudier afin de minimiser le plus les risques, mais dit toi simplement que vu que cela sera ta première fois avec cet appareil, tu risques fortement de perdre un peu l’équilibre ou bien de te sentir perdu. Je te rassure, je serais là avec toi.

Léonard vient délicatement placer un premier gant sur la main de Kali, caressant délicatement du bout des doigts, sentant la douceur rafraichissante de sa peau écaillée. Il l’aide également pour le second gant puis il commence doucement à mettre en route les accessoires de Kali en appuyant sur des petits boutons orange qui sont dessus.

-Dis moi si tu te sens mal ou non et retire tes lentilles s’il te plait.

Cobalt prend le terminal afin de commencer en douceur et mettre une simulation où Kali peut découvrir quelque chose d’unique. L’agora d’Athènes est un bon début afin de lui montrer le monde. Les pierres blanches ainsi que la couleur artificielle d’un soleil se levant et rayonnant à travers les colonnes du temple le plus proche. Les fleurs ainsi que les branches des arbres les entourants.

Léo voit Kali se matérialiser petit à petit devant elle puis s’approche doucement d’elle afin de venir délicatement prendre les mains de l’anaconda. L’anglais commence doucement à faire quelques pas de danse tandis qu’ils sont au centre même de cette place très importante dans la culture de la Grèce antique.

Cobalt tente tant bien que mal de permettre à son invitée de pouvoir observer les lieux, se remplissent petit à petit de personnes en tenue de l’époque les entourer, vivre leur vie sans faire attention à eux. Les tenues des voyageurs temporels commencent doucement à changer pour eux. Léo voit les habits de la jeune hybride s’alléger, arborant une tenue de femme noble de l’époque. Ce que l’anglais remarque et le fait sourire, c’est que l’iris pourpre de l’hybride est au naturel, même en simulation, elle reste magnifique.

-Kali..tu es magnifique…

Léo rougit doucement, une nouvelle fois, il faut croire qu’il va devoir prendre des actions chez Ferrari afin de leur donner un peu de cette couleur qui les rendus célèbres. Il se reprend doucement en avalant sa salive.

-Dans cette...tu es magnifique...dans cette tenue...et en général aussi…

Ces quelques derniers mots ont été dits bien plus bas dans les octaves, mais certainement audible pour une hybride. L’environnement qui les entoure évolue doucement au fil du temps, les personnes s’approchent petit à petit d’eux sans pour autant les dévisager ou bien les prendre pour des anomalies.




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Une pointe de miel pour le palais d'une anaconda [avec Kali] EmptyJeu 25 Oct - 17:31
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Les sens de Kali.
Détecte la coup de chaleur dont est éprit Léonard. Elle déglutie, comprenant le mal aise... Les vêtements la mette sans doute en valeur et plus elle le repousse, plus l'anglais semble s'éprendre. Elle essaye de faire fit de ses rougeurs, ignorant ses dernières, comme si de rien n'était et l'anglais fit comme si de rien n'était, d'un commun accord. Il s'approcha pour placer les lunettes ainsi que les gants sur la jeune femme qui avait l'impression d'être un cheval qu'on harnache.

-Cela fait plusieurs décennies que c’est étudier afin de minimiser le plus les risques, mais dit toi simplement que vu que cela sera ta première fois avec cet appareil, tu risques fortement de perdre un peu l’équilibre ou bien de te sentir perdu. Je te rassure, je serais là avec toi.


Rassure t-il.
Soit. Kali fais confiance, si l'informaticien a lui même confiance. En plaçant les gants elle sentie ses mains chaudes et c'était pas désagréable, ce n'est jamais désagréable quand c'est chaud. Puis, il retourne à la console pour lancer le tout.

-Dis moi si tu te sens mal ou non et retire tes lentilles s’il te plait.


Kali fait la moue.
Et si jamais quelqu'un débarquait à l'improviste ? Prudence... C'est contrariée qu'elle s’exécutait et retirait ses artifices oculaire. La voici alors au naturel, mains libres à la peau froide sous les gants et les yeux améthystes, avec une pupille reptilienne, inquiète face à tout ce matériel étranger. Le processus de virtualisation commence, à peine à t-elle remit ses lunettes que la voici plongée dans une époque étrangère, avec la langue qui va de paire. Les citoyens sont vêtues de tissus et à voir le soleil c'est à supposé qu'il fait chaud.

Sans ses artifices et perdu dans cet endroit qu'elle ne connait pas.
Kali, d'abord intimidée reculait contre une pierre blanche dans un reflexe purement instinctif, se replier pour mieux bondir ou réagir. Ses sens sont perturbés, elle voit les oliviers qui vacillent sous le vent, sans le sentir. Le soleil couchant est là, mais elle n'en sent pas les rayons. L'environnement est extrêmement réaliste, la pierre blanche, les fleurs et les nuances de couleur. D'ailleurs, elle remarquait être vêtue de la même façon que les femmes de l'époque, une robe de tissu blanc, les épaules et bras dénudé et aux poignets, des bracelets en cercle doré. Kali se fondait dans le décore, personne ne la remarquait malgré la couleur de ses yeux improbables pour un humain. Ils ne la voient donc pas ?

Léonard.
Est arrivé à son tour, se matérialisant tout comme elle et vêtue aussi d'époque. Il semble dans son élément, habitué du voyage et repérant sans peine l'hybride pseudo-caché. Il s'approchait et prenait ses mains, et lui, il était réel, elle le sentait. L'anglais l'entrainait, la faisait sortir de sa cachette pour qu'elle visite.

-Kali..tu es magnifique…

Déclarait-il, comme envouté.
Derechef, l'hybride baissait le regard, mal à l'aise face à ses compliments comme toujours et ses pomettes ne rougissaient pas contrairement à celle de Léo. Elle le sent, il rougit, au delà du casque ce n'est pas virtuel. Il reprend, toujours bien décidé à gagner ses faveurs.

-Dans cette...tu es magnifique...dans cette tenue...et en général aussi…


Ca va trop loin.
Une alerte résonne dans la tête de Kali qui lâche ses mains. Il faut qu'elle arrête cette idylle qui est "mort né".

_ Tu es fatigué Léonard, ça te fais dire n'importe quoi.

Répondit-elle.
Sur un ton détaché et percutant que sous le mal aise... Elle l'a tutoyé ! La blonde se racle la gorge et s'écarte avant de donner à contre coeur, un coup de grâce.

_ Il n'y a rien que je puisse t'offrir et que je le veuille. Alors... Ne dis plus des choses ainsi, s'il te plait. C'est gênant.


Gênant.
Oui, car elle ne pourrait satisfaire qui que ce soit avec son statut de Révolutionnaire. Si elle tient à lui, la moindre des choses, par amour, serait de l'écarter de sa vie dangereuse. Ce qui fit comprendre quelque chose de réellement mal aisant... Elle tient à lui. Kali décide de se perdre dans la foule, volontairement et déclare à l'attention de son hôte.

_ Tu ferais mieux de te concentrer sur quelqu'un comme toi, une humaine. Elle te mériterait, fonderais la famille que tu souhaite en toute sécurité.

Caché dans la foule.
Elle invitait les jolies femmes d'Athène à se concentrer sur le beau pseudo grec qu'est Léonard.

_ Avec moi, tu ne connaitrais que la difficulté, le stress et peut-être la mort... Alors... Restons en là, même si tes compliments sont plaisants, tout comme ta compagnie.


Admit-elle, mais il fallait rester amis.
Avant de franchir un temple, frais et éclairé par des braseros. Il y avait une immense statut d'un Dieu dans le fond. La fraicheur du lieu, aurait été des plus appréciables si elle pouvait la ressentir, pour une fois. Face à la statut, Kali baissait son visage... Venait-elle de briser le cœur d'un homme qui n'avait rien demandé ? Elle se sentie monstrueuse et s'en mordait les lèvres de regret. Et quoi ? Elle devrait céder à sa passion ? Le prendre dans ses bras au risque de l’étouffer ? Tout comme son ancien fiancé ? Allons... Kali a eu tant de mal à se remettre de cette rupture. Ce n'est pas pour remettre le couvert. Non, elle décidait d'ignorer les sentiments de Léonard, tout comme les siens. La raison l'emporte sur la passion, l'anaconda y veillait et ses doigts frôlaient les inscriptions, sans doute le nom du Dieu en question... Et si il y avait un Dieu pour les hybrides ?

Comment se nommerait-il ?
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Une pointe de miel pour le palais d'une anaconda [avec Kali] EmptyJeu 25 Oct - 21:52
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Une pointe de miel pour le palais d'une anacondar

ft. Kali

Une hybride qui lui fait battre son cœur, comme elle peut le stopper.
















L’anaconda stop net l’anglais qui commençait simplement à s’ouvrir également à elle, mais malgré les mots, il sent qu’il est vraiment proche d’elle, ce n’est pas la première fois qu’elle le tutoie, une chose qu’elle ne fait que pour ceux qui lui sont proches, chose qu’il a apprise à ses côtés. Elle reprend doucement la parole après avoir raclé sa gorge, certainement afin de pouvoir prononcé chacun de ses mots comme elle le désire.

Chaque son qu’elle fait en prononçant ces paroles blessent petit à petit Léo qui comprend et voit bien, que Kali se referme doucement sur elle-même, mais surtout qu’elle semble encore voir le chemin de sa vie tout tracé.

Le regard de l’anglais se porte sur la jeune hybride qui s’enfonce dans la foule, parlant une fois qu’elle est bien cachée. Les paroles de Kali sont censées, c’est vrai, mais pour l’anglais, cela reviendrait à redevenir celui qu’il était à son départ de l’aéroport de Londres et surtout manquer de respect envers la femme qu’il a en face de lui.

Kali tente en vain de faire bouger les femmes de la citée mère de la démocratie, mais ils sont comme invisibles pour eux et la vie de ces programmes suit lentement leurs cours comme si de rien était. Léo réfléchit à tout ce qu’elle a pu dire, il sait très bien que si cela va plus loin, cela le mettrait en danger tant face aux révolutionnaires qui serraient contre elle et verraient un moyen a traver lui de l’atteindre ou bien en danger avec les rabatteurs. Aider une hybride révolutionnaire et pris la main dans le sac, c’est finir asservi.

Il voit l’ange reptilienne entrer dans un grand temple non loin de l’agora, il la suit doucement avant de marcher lentement à l’intérieur de cette bâtisse de marbre. Les pas résonants à entre les colonnes. Il reste à quelques mètres d’elle, la regardant avec tristesse et compassion.

L’anglais vient doucement à ses côtés, respectant l’espace vitale de la jeune femme puis regarde la statue d’Athéna. Une fois proche d’elle, il vient doucement passer le dos de sa main sur la joue de Kali. Léo se doute qu’elle peut le prendre de bien des manières et il se prépare tout de même à une possible réaction agressive de l’hybride qui aurait prit son geste comme trop intime, réaction qu’il se doute qu’elle ne lui provoquera que plus de douleur, mais cette fois-ci physique.

-Lève doucement la tête…

L’anglais le fait également avant de sourire.

-Athèna, déesse de la guerre, la pensée et la sagesse, patronne des artisans, protectrice de différent héros. Elle est l’une des quelques déesses grecques à n’avoir eu aucune relation charnel. Elle est la divinité protectrice de la ville dans laquelle nous sommes, Athènes, elle devient ceci pour cette ville durant un défi entre elle et Poséidon, le dieu des mers. Ils devaient donner quelque chose au roi de la cité et ce dernier laissa son peuple choisir, ma majorité gagne.

Léo se penche doucement vers ses mains pour appuyer sur un petit bouton qui fait comme apparaitre un écran au-dessus de son bras, il pianote un peu dans le vide afin de lancer une reconstitution de ce qu’il a commencé à énoncer. Le jour finit alors de se coucher puis une nuit éclairée par les étoiles qui surplombent le haut d’une crête, d’un simple geste, il se téléporte avec Kali afin d’être aux premières loges.

La mer est juste en dessous d’eux, l’air marin souffle sur l’herbe et ils peuvent voir un homme qui doit avoir aux environs de la quarantaine, la couleur brune de ses cheveux commencent à peine à s’éclairer et tout comme l’anglais, il est en tenue traditionnelle. L’homme qu’ils font face est Cécrops, le roi serpent, fondateur de la cité d’Athènes et premier roi de l’Attique. Léonard sourit doucement en voyant l’iris reptilienne d’un marron noisette de l’homme quand il se tourne vers un feu et s’en approcher.

Un bruit d’eau se fait entendre tandis qu’atterissant non loin du roi, le seigneur des mers arrive de manière souple et précise, son légendaire trident en main. Une chouette s’approche avant de devenir une femme dans un léger effet lumineux cachant cette transformation. La femme vêtue tant de la tenue traditionnelle grecque que d’une armure de guerrière. Accompagnée de son légendaire bouclier et hibou, la déesse Athéna prend forme.

Le roi serpent s’agenouille devant les divinités avant de descendre du lieu pour rejoindre les prémices de la cité grecque, quelques bâtiments nécessaires pour les débuts d’une ville ont déjà été fondés. Le roi explique à son peuple dans sa langue natale et l’anglais parle doucement à Kali.

-Poséidon, celui au trident, dieu des mers ainsi qu’Athéna, celle au bouclier et dont tu as pu voir une statue à son temple se disputent pour la région, ils ont choisi Cécrops, le roi serpent que tu as pu apercevoir sur la crête comme arbitre, chacun des dieux devra offrir un présent au peuple de la ville et ce sont eux qui décideront quel dieu les protégera.

D’un geste puissant, Poséidon plante son arme mythique dans ce qui deviendra l’acropole, la terre tremble alors puis de cet amas de calcaire jaillit un cheval noir, le dieu d’une voix autoritaire ainsi que calme et douce, annonce que cet animal dont il a donné vie est invincible. Le peuple émerveillé tant par la présence des dieux que de part l’action et de la proposition du don du seigneur des mers.

Athéna, bien plus humble dans ses gestes ainsi que dans son présent, fait apparaître un olivier du sol, elle explique avec sa voix douce et stricte que cet arbre représente la sagesse. Les femmes de la future ville discutent entre elles de ce don que l'on pourrait imaginer peut rivaliser avec celui du patron des mers.

Le roi Cécrops regarde les deux présents et se tourne vers son peuple afin de parler.

-Il dit que tous peuvent choisir quel présent ils désirent et donc, quel dieu les protégerons.

Les hommes ainsi que les femmes discutent entre eux, débattant dans le calme et se séparant afin de créer deux groupes distincts, ceux qui sont pour l’étalon et l’autre pour l’olivier. Le roi s’approche des deux groupes.

-Il leur demande pourquoi ces groupes si distinct, un représentant des hommes dit qu’ils se sont placés ainsi car, les hommes convoitent l’animal qui peut leur apporter de nombreuses victoires sur les champs de bataille. Tandis que la femme que tu vois, qui sort de son groupe, explique qu’elles désirent l’olivier qui peut leur apporter nourriture pour le peuple.

Cécrops commence alors à compter le nombre de personnes dans chaque groupe, tous reste alors dans le calme et laisse le seigneur de ces terres faire puis une fois finit, il revient doucement vers les dieux, s’agenouillant et parlant.

-Il dit que son peuple à faire son choix, l’olivier est bien plus désirer d’une âme que l’étalon.

Le seigneur des mers plante son arme dans le sol sous la colère d’avoir perdu, transformant ce qu’était son don en poussière puis retourne dans son royaume marin, la déesse de la sagesse redevient animal et repart également. Le roi serpent se tourne pour regarder son peuple puis son regard vient se porter sur Kali avant de parler.

-Il dit que...les fils et les filles de cette ville ont fait leur choix, que ces terres leur tendra toujours les bras, que la déesse Athéna les protégera, même si les enfants de la ville ne s’y trouvent plus et peut importe que le temps ait fait son oeuvre, cela ne changera nullement qu’ils et qu’elles seront aux toujours yeux des dieux...athéniens.

L’anglais se gratte doucement la tête, un peu gêné pour cette scène, car il ne l’avait tout simplement jamais vu. Il s’approche doucement d’elle et vient doucement lui caresser une main, la tirant doucement contre lui tandis que ce qu’ils ont devant leurs yeux disparaitrent. Ils se retrouvent lentement dans le temple. Léo chuchote doucement à l’oreille de Kali en prenant une voix douce et chaleureuse ainsi qu’un peu navrée.

-C’était...la création de la ville...selon les légendes, mais on ne sait pas comment ça s’est réellement passée, donc qui sait.

Un léger sourire se dessine sur le visage de Léonard avant de venir délicatement se placer devant elle, venant doucement planter son regard dans celui de l’hybride, les bras de l’anglais viennent délicatement enlacer Kali et tente comme il peut, d’enlacer la femme, lui donnant de sa chaleur quand ils sont l’un contre l’autre. Léo arrive à sentir la poitrine de la demoiselle se presser doucement contre son torse, le parfum de l’hybride vient titiller les narines de l’anglais qui ferme les yeux en murmurant doucement, sa voix supplie presque la femme.

-S’il te plaît...reste avec moi, à mes côtés, je sais ce que je risque, mais je ne peux pas faire ce que tu me demandes Kali...car...je...t’aime.

L’anglais rougit rapidement tout en ne sachant plus vraiment où se mettre et quoi faire, il maintient le contact avec l’hybride, il aime ce contact froid et doux. Le coeur de Cobalt bat rapidement, la réponse de révolutionnaire peut tant l’arrêter, que le combler.

-Sinon..as tu des questions?

Léo détourne le regard, changer de sujet est un peu un moyen qu’il a pour éviter les questions ou moments gênants.


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Une pointe de miel pour le palais d'une anaconda [avec Kali] EmptyMar 30 Oct - 14:29
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Voilà.
Les choses ont étés dites, clairement. Kali avait conscience qu'elle venait d'éteindre quelque chose de sincère et sans doute fort, mais c'était nécessaire pour le protéger. Elle se devait de briser ses espoirs aux quels elle n'aurait su répondre. Lui, un humain des plus banal avec une hybride des plus complexe et engagé ? Ca n'aurait jamais rien donné de bon... Et pourtant, Léonard, dans sa simplicité a toujours été comme une pause dans la vie complexe de l'hybride. Il était la preuve que toute les difficultés qu'elle se met, ne sont que des barrières issu de son propre esprit. Les limites de Kali ? C'est elle même qui se les aient rigoureusement infligé. Après tout, tous les Révolutionnaires ne sont pas si stricte avec eux même et leurs vie privée.

Dans le temple.
L'hybride blonde respire, presque de façon imperceptible. Elle culpabilisait d'avoir blesser un homme aussi honnête que lui, mais ils sont bien trop différent et elle en a conscience. L'hybride s'attendait à ce qu'il éteigne cet univers imaginaire passé, et elle serait ensuite, simplement partie. Comprenant que sa présence n'était plus supportable, elle même se dégoute un peu sur le coup. Elle aurait dû changer de poste, de boulot dès l'instant où elle sentait qu'il se rapprochait et encore plus certainement, une fois qu'il savait pour son hybridation... Mais elle n'en n'a jamais rien fait et pour cause... Elle s'était attaché à ce semblant de vie "humaine et simple" qui lui offrait. Elle s'était attachée... A lui.

C'est alors.
Qu'elle sentie la main chaude. Pas virtuellement, non. Réellement. Léonard était à ses côtés, loyalement qu'importe la situation. Kali fut surprise un premier temps et machinalement elle posait sa main sur la sienne, comme pour chercher un "Pardon pour ce que je t'ai dis".

-Lève doucement la tête…

Demande t-il doucement.
Elle sent, au travers de sa main, une sorte d'appréhension de sa part. Il n'en serait rien, jamais elle ne lui ferait de mal, malgré les mots douloureux qu'elle lui a prononcé plus tôt. Kali essayait de se convaincre que c'est pour son bien et rien d'autre. Qu'elle a fait le bon choix. La blonde, lève son regard vers ce dernier qui ne laissait en rien transparaitre sa tristesse ou autre chose. Sa concentration était dirigé... Ailleurs. Léonard se mit même à sourire, malgré tout.

-Athèna, déesse de la guerre, la pensée et la sagesse, patronne des artisans, protectrice de différent héros. Elle est l’une des quelques déesses grecques à n’avoir eu aucune relation charnel. Elle est la divinité protectrice de la ville dans laquelle nous sommes, Athènes, elle devient ceci pour cette ville durant un défi entre elle et Poséidon, le dieu des mers. Ils devaient donner quelque chose au roi de la cité et ce dernier laissa son peuple choisir, ma majorité gagne.


Explique t-il.
Passionné dans sa voix. Léonard illustre ensuite le tout part un mythe que l'hybride peut voir directement comme spectatrice. Elle observe la scène, et surtout cet homme serpent. Un hybride ? Ils existaient déjà avant ? Il s'agit ici d'une négociation et le peuple doit choisir. Kali, suit attentivement la scène qui se révèle être la naissance d'Athène. La voix de Léo' la guide et elle comprend ce qu'il se déroule sous son regard améthyste. A l'aise, elle ne s'était même pas rendu compte que l'anglais s'était rapproché. Toute défense franchit, il reprend à son oreille.

-C’était...la création de la ville...selon les légendes, mais on ne sait pas comment ça s’est réellement passée, donc qui sait.


Kali...
Aurait aussi opté pour l'olivier. A quoi servent les victoires, si les gens meurent de faim ? La nourriture pillé, ne fera jamais un bon buffet ni une fierté. Toujours doucement, Léonard vint se placer face à elle, pas seulement virtuellement mais elle le sent réellement, face à elle. De son initiative, il l'enlace et même si le corps de Kali se raidit, comme une machine rouillée qui n'a pas été touché depuis trop longtemps. Elle sent sa chaleur, bien réel aussi, comme la fois où il l'a retrouvé dans l'arrière boutique, gelée. D'une voix suppliante, l'anglais n'abandonne pas et reprend.

-S’il te plaît...reste avec moi, à mes côtés, je sais ce que je risque, mais je ne peux pas faire ce que tu me demandes Kali...car...je...t’aime.

_...

Elle entends ces mots.
Son cœur rate un battement. Il a entendu sa mis en garde, son rejet mais... Rien. Ses sentiments, sa loyauté reste inchangé. Elle observe le rougissement de ce dernier et sent à travers le torse de ce dernier, son cœur qui stress. Kali reste sans voix un instant, le visage impassible et pourtant dans son esprit, le coeur et la raison se dispute sévèrement sur le comportement et les gestes à adopter. Un véritable conflit intérieur "Et alors quoi ? Tu vas mourir connement toute seule pour une cause qui ne se souviendra même pas de ton nom ? Alors que lui, il est là pour toi, maintenant et peut t'aider à changer de vie ! Exister pour quelqu'un ! Mourir pour quelqu'un si tu veux ! Lui en l’occurrence !" et de l'autre "Vas t-en ! Ta place n'est pas ici et tout ceci, c'est de ta faute ! Tu veux le trouver, sa tête planté dans une pique d'un révolté ? Même si Wilson ne tolère pas la violence, tu sais ce qu'il se passera réellement... Ou pire, tu veux qu'il finisse asservit ? Passé sa vie, sans plus aucun statut ! Si il est découvert, et qu'on t'associe à lui c'est ce qu'il se passera et tu en sera responsable !". Kali, avait l'impression que sa tête allait exploser et perdu dans sa stupeur, elle n'entendit même pas la dernière phrase de ce dernier.

Elle ôtait le casque.
Sans crier gare. Et le retour à la réalité fut brute, migraineux. La lumière du salon agressait ses pupilles reptiliennes qui se fendait en un trait mince, noir. Sans peine, elle su se dégager de Léonard et reculer à en cogner le meuble télévisé. La vision de Léonard asservit, enchainé et traité comme un objet lui retournait l'estomac. Un traitement, qu'elle connait que trop bien.

_ Pardon ! Pardonne moi.

Introduit-elle.

_ Je suis perdu. J'entends bien ce que tu m'offres, ce que tu souhaites de moi, de nous... Mais... Ça me semble impossible et si jamais il t'arrivait quoique ce soit, je ne m'en remettrais jamais Léonard. Ne peux tu comprendre que mon refus est la seule preuve d'amour que je puisse te donner ?


Finit-elle par avouer.
Avant de frapper le mur de son poing, celui-ci tremblait un peu, preuve de sa force et de son état désorienté.

_ Et combien même, tu penses que la menace est extérieur, mais si je te disais qu'elle pouvait aussi venir de moi ? J'ai faillit étouffer mon fiancé par le passé. J'ai sentie ses os, ses côtes se briser sous mon étreinte passionné. J'étais amoureuse, et pourtant, j'ai faillit lui donner la mort à cause de ce que je suis ! Une prédatrice, une tueuse. Penses tu pouvoir étreindre une femme qui a donné la mort ? Et qui par mégarde, pourrait te la donner ? Pitié Léonard, ne soit pas si bête.

Le prévenait-elle.
Tout en dévoilant une autre partie de son passé. Cette partie, qui la poussé à rompre toute relation social, qui serait vaine puisque sa force demeure incontrôlé. Kali ramenait ses bras contre elle, la chaleur de Léonard l'ayant quitté et installant volontairement un froid entre eux. C'était nécessaire. Pour son bien. Se répétait-elle à tue-tête.  

_ Je dois partir. Je m'en fiche qu'il pleuve, qu'il gèle... Je n'assumerais jamais ta mort ou quoique ce soit.

"Je suis lâche".
Aurait-elle voulu ajouter, mais c'était tellement évident. L'hybride, prenait la direction de la porte d'entrée pour en sortir. Sortir de cet horreur, de ce rêve qui lui était à porté de main, mais impossible en réalité.

_ Que l'hiver m'emporte. Je m'en moque pas mal. Si l'homme que j'aime ne peut pas me toucher, et que je ne peux pas l'aimer en retour. Alors la mort me convient. Personne ne m'aura, ni les Révoltés, ni les rabatteurs, ni les scientifiques.


Admit-elle, défaitiste.
Et résolue en ce sens. La main sur la poignée, elle ouvrit la porte de la maison et un vent froid mêlé à de la pluie s'engouffrait dans la pièce.

Avis de tempête.
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Une pointe de miel pour le palais d'une anaconda [avec Kali] EmptyMer 31 Oct - 17:34
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Une pointe de miel pour le palais d'une anacondar

ft. Kali

Une hybride qui lui fait battre son cœur, comme elle peut le stopper.
















Léonard s’attendait à ce qu’elle le repousse, que l’anaconda lui dise que malgré le rapprochement qu’ils ont eu, Kali avait quelque chose ou quelqu’un, il s’attendait à tout type de refus ou d’excuse. Il sait très bien avec tout le temps qu’il a passé avec elle, que Kali se refuse d’avoir quelqu’un, mais cela a nullement empêché le fait que la reptile a réussi à se frayer un chemin sans qu’elle le veuille vers le coeur chaleureux de l’anglais.

Cobalt voit l’avatar de son amie disparaître dans la simulation puis elle reprend la parole, brisant le silence qui s’était installé en s’excusant, il continue de l’écouter sagement avant de commencer à retirer ses équipements puis il entend un bruit d’impact, une fois le casque retiré, il voit le poing de l’hybride contre le mur. Un regard désolé luit malheureusement sur le visage de l’anglais, il est navré de voir celle qu’il aime ainsi et la voir ainsi le tiraille, il ne sait pas ce qu’elle a pensée, il ne peut que tenter d’imaginer.

Elle le prévient de ce qui peut arriver et de ce qui est arrivé, il est triste pour elle, peut-être qu’elle peut le voir, peut-être que son chagrin actuel l’en empêche. Il la regarde s’éloigner de nouveau avant de s’approcher de la porte en restant défaitiste. Léo pose son regard sur elle, il se demande bien quoi faire et il a une idée en tête de comment l’aider.

Cobalt se place rapidement derrière elle après qu’elle ait ouvert la porte qui laisse voir un déluge s'abattre dans la rue. Une main de l’anglais vient doucement contre le dos de Kali afin de commencer doucement à le caresser à travers le tissu puis elle se glisse vers le ventre de l’hybride pour la faire se tourner. Il ne sait pas ce qu’il va avoir en retour, une gifle peut être, seule Kali le sait.

Une fois que l’hybride lui fait face, il vient doucement déposer un baiser sur ses lèvres, un léger baiser simple, timide et sincère. Le regard de Léonard revient se plonger dans celui de l’anaconda, cherchant la lueur d’amour qu’elle semble dissimuler derrière tant de tristesse. Il vient doucement lui caresser une joue.

-Kali, tu as deux chemins qui sont devant toi et seule toi peut choisir celui que tu vas prendre. Tu peux rester dans la révolution, continuer à te battre et continuer à survivre. De l’autre côté tu peux commencer à enfin commencer à vivre la vie que tu mérites après tant de sacrifice.

Léo vient doucement prendre les mains de l’anaconda dans les siennes afin de l’éloigner un peu de la pluie qui arrive de temps à temps à pénétrer les lieux ainsi que pour la ramener au chaud tout en profitant de l’instant pour reprendre le sourire auquel elle est habituée de voir, caressant doucement la peau reptilienne des mains de Kali.

-Ce choix t’appartient entièrement et je respecterais ta décision, quand bien même si tu décides qu’on ne se croise plus.

Il vient doucement prendre le visage de l’hybride entre ses mains, ses yeux remplis d’amour, de compassion et de chaleur pour celle qu’il a en face de lui. Il vient doucement lui murmurer à l’oreille avec une voix suave et douce comme le miel.

-Sache que je t’aime Kali, ma porte te sera toujours ouverte et tu auras toujours mon coeur.

L’anglais vient doucement l’embrasser avec la plus grande des délicatesses et avec la plus légère des douceurs, il prolonge cet instant le plus possible avant de rompre le baiser et s’éloigner vers le salon, regardant les yeux reptiliens de celle qui fait battre son coeur faire son choix. Tiraillé entre le désir de la laisser choisir et celui de l’avoir à ses côtés pour le reste de leur vie, Léonard se retrouve dans une situation dans laquelle, sa voix ne peut que faire pencher la balance en sa faveur.

Il sait qu’il devrait continuer à faire plus, quitte à risquer d’en faire trop afin de lui montrer que malgré son calme apparent, il a des émotions qui sont bien plus vives, mais non. Cobalt préfère attendre, la laisser faire son choix et il accepterait, quoi qu’elle choisisse, se préparant à toute réponse possible.



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Une pointe de miel pour le palais d'une anaconda [avec Kali] EmptyJeu 1 Nov - 13:50
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Il suffisait maintenant.
De franchir la porte et d'affronter une autre tempête, climatique cette fois. Kali s'en sentait capable après cette épreuve et les mots qu'elle regrettait déjà, cependant, l'anglais ne lâche rien, fidèle à ses origines sans doute et bien décidé à rester calme, romantique et passionné plus que jamais pour exposer ses sentiments ouvrir son cœur comme jamais. Pour couper court à sa panique cependant, il usa d'un baiser des plus chaste, comme si Léonard entendait lui aussi, la discorde dans la tête de l'hybride.

Une fois encore.
Elle n'avait pas vu le coup venir et le résultat fut efficace. Que pensée ? Plus rien. Limite une mort cérébral sur l'instant. C'était doux, et pourtant déjà trop fort pour elle, qui n'avait plus donné ou reçu de baiser depuis des années. C'est intense dehors, mais à l'intérieur aussi et la main chaude qui caresse sa joue est comme une "pause" dans tout ce bordel. Doucement, Léonard reprit.

-Kali, tu as deux chemins qui sont devant toi et seule toi peut choisir celui que tu vas prendre. Tu peux rester dans la révolution, continuer à te battre et continuer à survivre. De l’autre côté tu peux commencer à enfin commencer à vivre la vie que tu mérites après tant de sacrifice.

Il savait.
Il savait le dilemme qui l'habitait présentement. Avec précaution et calme, il l'éloignait de la porte histoire que sa maison ne soit pas atteint par le déluge extérieur. Kali, se laissait faire, pantoise et touchée par ce qu'il venait de se passer. Lui, demeurait serein et confiant... Car il sait à quoi il s'expose, même si l'hybride s'évertuait à croire le contraire. Pas de surprise pour Léonard qui serait capable de plonger la tête la première dans l'illégalité donc, pour elle. Lui, son choix est fait mais il soulève un autre point essentiel.

-Ce choix t’appartient entièrement et je respecterais ta décision, quand bien même si tu décides qu’on ne se croise plus.


Elle baisse le visage.
Comme prise au dépourvue. A renié ses sentiments pour lui, la situation entre eux, Kali n'a pas réfléchit sérieusement à la suite de sa vie. Elle s'était voilé la face, sur un chemin qu'elle avait toujours tracé mais qui venait de disparaitre soudainement. Il n'y a plus de chemin, tracé où marcher les yeux fermés. Est-elle perdu alors ? Pas vraiment, elle plonge son regard dans celui de l'anglais, qui la rassure... Ce point de repère est immuable, il est là, toujours là qu'importe la vérité, le mensonge qui ont étés nécessaire. Léonard est là, dans sa sincérité et simplicité redoutablement efficace, pour une hybride à la vie qui a toujours été complexe.

-Sache que je t’aime Kali, ma porte te sera toujours ouverte et tu auras toujours mon cœur.


Reprend t-il à son oreille.
Tout doucement, comme une étreinte et alors, à nouveau il l'embrasse pour accompagner ses mots, sa tendresse. Ce fut comme un électrochoc. Le premier l'a plongé dans la stupeur, l'inaction... Le second, le ramène à la réalité et fait battre son cœur. Léonard s'éloigne, essayant d'être le plus neutre concernant le choix de Kali, mais il ne faut pas être un génie pour comprendre qu'il souhaite la garder à ses côtés, la préserver de la violence et des combats qu'elle a mené toute sa vie. La blonde, baisse son regard et se mord la joue intérieur. Léonard est là, il attends une décision, un signe de sa part et qu'importe son choix, il sera toujours là, elle le sait... Et c'est ce qui la fait décider.

A grande enjambé.
Elle le rejoint et pose sa tête contre lui. La porte d'entrée claque, se refermant sur le couple. Kali a choisit, il la mérite plus que personne et continuer à se mentir, serait insupportable. Maîtrisant son étreinte des plus légères, elle lève son visage vers lui, les yeux brillant d'une compassion, d'affection que plus personne n'avait vu depuis des années.

_ Nous sommes probablement inconscients... Je ne sais pas si ça finira bien... Si je fais le bon choix...

Elle déglutie, en avouant.

_ J'ai peur... Peur pour toi Léo. Plus que pour ma propre vie. Je ne supporterais pas qu'on t'enchaine à cause de moi, mais tu ne veux pas le comprendre... Est-ce que tous les anglais sont dénués d’instinct de survie ?


Questionnait-elle.
avec un léger sourire sur le coin de ses lèvres. Doucement, elle levait à son tour son bras droit pour caresser de sa main froide, la joue de ce visage, de cet homme qui entrainait un énorme changement dans sa vie.

_ Tu as toujours été mal rasé... C'est rugueux... Je me suis toujours plu à croire, que tu n'avais pas assez de temps le matin pour te raser correctement. Préférant quelques minutes de sommeil en plus.


Commentait-elle, le taquinant à son tour.
Avant d'approcher son visage du sien, fermant les yeux pour l'embrasser à son tour. C'est un baiser timide, hésitant... Kali n'avait plus fait de geste d'attention depuis tellement longtemps, et elle se savait rouillé à ce sujet. Simplement, se sentir désiré, qu'une personne est là, exclusivement pour elle, à l'aimer. C'est égoïste quand on est dans sa situation, mais bientôt, elle ne serait plus Révoltée et sa retraite... Sera pour bientôt. La blonde, culpabilise déjà à ce principe du "penser à soi". C'est d'ailleurs cette pensée, qui la fit rompre le baiser et reculer un peu. Elle sentie la douleur à son épaule, lorsqu'elle s'est cogné contre le meuble et grimaça.

_ Tout se fera progressivement, tu en as conscience ? Je ne peux pas les laisser tomber comme ça...


Prévenait-elle.
Ramenant ses bras devant elle.

Nerveuse.


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Une pointe de miel pour le palais d'une anaconda [avec Kali] EmptySam 3 Nov - 18:59
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Une pointe de miel pour le palais d'une anacondar

ft. Kali

Une hybride qui lui fait battre son cœur, comme elle peut le stopper.
















L’anglais regarde l’anaconda puis une fois qu’elle se lance à grande enjambée vers lui, il ouvre les bras afin de la réceptionner, la laissant blottir la tête contre son torse tandis qu’il lui caresse doucement les cheveux. Le regard de Kali est empli d’une lueur qu’il n’avait jamais vue, une magnifique lumière qui émerveille honnêtement son visage. Les doigts de l’anglais continuent de parcourir les fins fils d’or de l’hybride avant de délicatement caresser les joues de cette dernière. Léo l’écoute en souriant puis un petit rire s’évade sa gorge quand elle le taquine.

Cobalt fut surpris quand les lèvres de l’anaconda, mais ce doux contact n’est qu’appréciable. Il ferme doucement les yeux afin de profiter le plus possible, savourant le toucher des lèvres de Kali ainsi que sa fraîcheur. Il la rapproche doucement de lui, sentant la faible étreinte de l’hybride, Léo la ramène encore plus contre lui, voulant laisser le moins d’espace entre eux puis elle rompt doucement le moment.

L’anglais rouvre doucement les yeux avant de la regarder, il a aperçu qu’elle semble avoir un peu mal à l’épaule. Une fois qu’elle finit sa phrase, il vient lui prendre les mains pour la tirer vers le canapé et la fait s’installer afin de venir commencer à lui masser l’épaule où semble souffrir. Il appuie doucement sur sa peau ainsi que sur son articulation, il veut éviter de mal faire en allant lentement et précisément.

-Je sais Kali, ça se fera petit à petit et c’est mieux ainsi, ils ne te verront pas comme une traître, ils pourront également te comprendre s’ils cherchent à savoir.

Léonard la regarde en souriant avant de doucement venir passer une main dans les cheveux de l’hybride, son regard plonger dans le sien, avant de venir doucement lui chuchoter doucement à l’oreille avec son ton un peu taquin.

-Au lieux de te jeter sous la pluie, je peux te faire couler un bon bain chaud à la place.

L’anglais ricane doucement avant de venir doucement déposer un baiser sur le front de l’hybride avant de s’installer non loin d’elle dans le canapé et réfléchit à ce qu’ils peuvent faire. La pluie s'abattant toujours contre la maison, l’anglais refuse de laisser rentrer l’hybride sous ce temps et le mieux pour la faire rester, c’est de l’occuper.

Un léger sourire vient sur les lèvres de Léonard avant de se lever pour aller chercher les casques de réalité virtuelle afin de les poser sur la table basse qui est devant le canapé. Son regard croise celui de Kali avec un air détendu ainsi qu’amoureux.

-M’accorderais tu une danse?...une danse à une époque tu désires explorer et dans le pays que tu souhaites.

Léo vient doucement lui tendre la main afin de l’inviter à le rejoindre. Une simple danse où et quand elle désire peut tant lui faire plaisir que lui faire découvrir une autre partie du monde. De mémoire, Cobalt se souvient qu’elle semble avoir été intéressée par les différentes révolutions du monde, du moins, celle dont il avait parlé et il note dans un coin de sa tête que lui montrer les moments où King et Gandhi ont marqué l’histoire peuvent  beaucoup lui apporter car, quitte à ce qu’elle quitte la révolution, qu’elle puisse voir qu’il est possible de le faire sans violence et que de cette méthode, les engrenages se déverrouillent principalement seuls.

Léo ne peut s’empêcher de continuer à se perdre dans les iris améthyste de Kali, il a l’impression de la découvrir enfin, il se doute qu’elle ne cachera plus rien ou n’esquivera nullement désormais.  L’anglais se perd encore plus facilement dans son regard et sourire sincère se dessine sur son visage.

-Je me demande si tu es du genre de femme a aimer les hommes qui préfère grappiller plusieurs minutes au chaud sous les couvertures avec celle qu’ils aiment, quitte à ne pas avoir de temps pour se raser.




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Une pointe de miel pour le palais d'une anaconda [avec Kali] EmptyMar 13 Nov - 19:21
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Avenant.
L'anglais entraine la belle hybride sur le canapé, et il lui masse l'épaule, là où elle s'est cogné précédemment. Encore peu habitué à ce contact, le corps de l'anaconda se raidit même si Kali ne lui ferait aucun mal. Ça fais tant d'année qu'elle n'a pas été touchée et qu'elle n'a pas été si proche de quelqu'un, intime pour ainsi dire.

-Je sais Kali, ça se fera petit à petit et c’est mieux ainsi, ils ne te verront pas comme une traître, ils pourront également te comprendre s’ils cherchent à savoir.
_ Je ne veux pas qu'il sache pour toi. Moins ils en sauront, mieux ça sera.

Tranchait-elle.
Bien décidé à rester secrète sur sa vie privée, jusqu'au bout. Elle sentie les doigts de Léonard dans ses longs cheveux blonds, elle l'hybride anaconda affichait un visage satisfait et souriant. C'était agréable.

- Au lieux de te jeter sous la pluie, je peux te faire couler un bon bain chaud à la place.
_ Oh oui. Avec plaisir.

Acceptait-elle, sans hésitation.
La pluie s'écrasait sur la demeure de l'anglais. Ce serait presque une tempête automnal. Ici, à l'intérieur au chaud et avec Léonard, c'était rassurant et très confortable. Léonard, revint avec les casques de réalité et proposait pour s'échapper du mauvais temps.

-M’accorderais tu une danse?...une danse à une époque tu désires explorer et dans le pays que tu souhaites.

Pendant qu'elle réfléchissait à une époque, une destination, l'anglais reprit.

-Je me demande si tu es du genre de femme a aimer les hommes qui préfère grappiller plusieurs minutes au chaud sous les couvertures avec celle qu’ils aiment, quitte à ne pas avoir de temps pour se raser.
_ Hmm... Tu vas finir hipster alors, à ce rythme.

Elle rit légèrement.
Imaginant Léonard avec une barbe réellement bien fournit. Ça ne lui irait pas et ça gâcherait son visage plutôt expressif.

_ J'ai choisit... Emmène moi en Angleterre mais pas pour danser, montre moi... Où tu as grandis. Je veux savoir, je veux... Mieux te connaitre, encore.

Demande t-elle.
Curieuse sur l'origine si lointaine de cet homme, qui désormais savait tout de sa vie... Et qui lui, ne venait pas d'un laboratoire. Est-ce qu'un jour, il lui montrerait ses parents ? Sa famille ? A son tour, elle voulait connaître son pays, ses traditions... Sa rue, l'école qu'il a fréquenté, sa maison. Qu'est-ce qui fait que Léonard...

Est l'homme qu'il est, aujourd'hui ?
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Une pointe de miel pour le palais d'une anaconda [avec Kali] EmptySam 17 Nov - 3:19
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Une pointe de miel pour le palais d'une anacondar

ft. Kali

Une hybride qui lui fait battre son cœur, comme elle peut le stopper.
















La réponse de l’anaconda fait rire l’anglais, il est vrai qu’à ce rythme, il va rapidement devenir un hipster dans son look, chose auquel il se refuse. L’hybride fait une demande particulière et l’anglais sait difficilement comment lui montrer des détails ainsi qu'événement qui peuvent particulièrement intéresser Kali.

Léonard vient doucement se rapprocher de la reptile afin de délicatement caresser ses joues, souriant avant de venir glisser ses mains sur les épaules de la reptile et lui chuchote doucement à l’oreille avec une voix douce et délicate afin d’essayer de faire vibrer l’échine de son invitée.

-Prend tes aises pendant que je te prépare ton bain et pendant que tu te détendra dans l’eau chaude, je préparerais le maximum pour ravir ta demande..

Léo s’éloigne de Kali afin de se diriger vers la salle de bain puis une fois qu’il disparaît presque de son champ de vision, il la regarde avec un sourire taquin puis tout en gardant sa voix précédente, il fait un clin d’oeil à Kali.

-Si tu désires, je pourrais te prêter d’autre vêtements après, a moins que tu veuilles...te réchauffer contre moi...peau contre peau.

Léo finit de s'éclipser en rigolant, lui-même trouve que ce qu’il vient de dire est gênant, seulement il se doit de rester lui, être taquin avec Kali était devenu quelque chose pour franchir les barrières qu’elle s’imposait, désormais et à ses yeux, un moyen de la taquinerie au sein d’un couple.

L’anglais rejoint la salle de bain, préparant le sèche-serviette pour faire en sorte qu’il chauffe quelques serviettes pour Kali une fois qu’elle devra se sécher. Cobalt commence à faire couler l’eau tout en tournant le robinet pour faire glisser l’eau chauffée dans les tuyaux, une fois l’eau à un peu plus de la moitié de la baignoire, il vient doucement passer son bras dedans en grimaçant un peu, l’eau était un peu trop chaude à son toucher. Il remue doucement l’eau de manière à ce que la température du liquide soit uniforme.

Il se sèche le bras avec une serviette que Kali avait usée puis il rejoint doucement le salon, venant délicatement chercher les mains de l’hybride. Léo lui indique  dans un geste souple qu’elle peut y aller en glissant doucement une main dans le dos de la reptile pour lui caresser le bas du dos avant de la pousser doucement pour la faire aller vers la salle d’eau.

-Profite bien de ce bon bain, fais toi plaisir et laisse toi aller, tu es en sécurité ici, alors deviens un peu celle que tu désires être.

Léo la regarde en souriant et une fois qu’elle rejoint la salle de bain, l’anglais prend le terminal de la réalité virtuelle afin de recréer Londres, son Londres, la rue qui l’a vu faire ses premiers pas, la maison où il a grandi puis une idée vient à l’esprit de Cobalt. Il regarde l’heure avant de calculer la différence du décalage horaire et prend son téléphone pour appeler ses parents, une dizaine d’heures les séparent et comme il s’y attendait, sa mère répondue rapidement.

L’anglais reprit sa langue natale afin de lui dire ce qu’il devient, sa situation ainsi que du pourquoi il lui passe ce coup de fil, la discussion dure un moment et Cobalt ne se rend même pas compte qu’en marchant, il passe quelques fois devant la salle de bain en continuant de parler anglais.

Léonard explique comment est la vie sur l’île, ce que sont les hybrides, les rabatteurs ainsi que ce qu’il risque dans sa relation avec Kali, car en effet, il ne cache nullement dans quelle pente il s’est engagé. Les parents de l’anglais s’inquiètent, mais il leur coupe rapidement l’herbe sous le pied en leur indiquant qu’ils ne peuvent faire que trop de choses afin de changer ce qu’il se passe.

En effet, il ne compte pas revenir sur ce qu’il a pu dire à l’anaconda et il ne peut quitter l’île avec elle, une fois ce point abordé, la mère de Léo rigola en disant qu’ils viendront pour la rencontrer, Cobalt rigola aussi en se disant que cela pourrait plaire à Kali.

Le réparateur demande à ses parents de leur envoyer par mail des photos de leur maison ainsi que de lui qu’ils ont pu faire au fil des ans. Ni une ni deux, les parents raccrochent en demandant à leur fils de prendre soin de Kali, chose auquel il répond qu’il fera son maximum, mais qu’il ne pourrait pas s’assurer des natifs de l’île à l’égard de l’hybride.

Léonard revient vers le terminal de la réalité virtuelle et le connecte à son téléphone afin de prendre les photos reçues par mail afin de générer la maison, le quartier ainsi que ses écoles et la boutique où il travaillait. Il pose l’équipement pour Kali sur le canapé tandis qu’il prend le sien pour s’y plonger, tentant de peaufiner la simulation.

Il commence à les ordonner en partant de quand il était petit, il n’avait rien de spécial sur les quelques photos, un garçon normal qui grandissait avec les jouets de l’époque, puis vient les années d’études avec les différents hobbies, l’ancienne femme qui pouvait dire qu’elle avait le coeur de Léo, le groupe où il était avec son ex, un ancien festival et les dernières photos datent d’avant son départ.

Cobalt entend le bruit de la salle de bain s’ouvrir puis il soulève doucement le casque qu’il a devant les yeux de manière à la voir, mais sans trop en voir aussi, au cas où elle serait nue ou bien en serviette, il ne sait pas et n’ose pas vraiment regarder.

-Tu veux voir mon passé? J’espère que tu es prête, car tu pourras rire et ne te retiens pas.

Il attend qu’elle mette le casque afin de lui montrer une image d’une vie qu’il souhaite oublier pour certaines raisons, cependant il s’amuse de qui il était. Il use du terminal afin de permettre à Kali de voir un Léonard bien plus jeune dans une tenue simple, un t-shirt mettant en valeur le symbole de Frank Castle alias The Punisher sur un fond noir tandis qu’il a un jean en mauvais état, les cheveux de l’anglais à cette époque étaient en bataille ainsi qu’un peu gras, des cernes très marqués sont sous les yeux de ce Léo tandis que sa copine de l’époque, une brune à faible poitrine et dont les yeux noisette sont bien taillés pour ce visage fin ainsi que ce corps peinant à arriver à l’épaule du jeune Cobalt.

-J’avais quoi 16 ans et j’étais...idiot et naïf, je voyais le monde d’un autre oeil, que je pouvais le changer en ayant la volonté qu’il fallait, quel petit...con. Aujourd’hui je tente d’être quelqu’un de simple, pour certains je suis toujours naïf et pour d’autre je suis juste un homme voulant vivre sa vie, non celle d’un autre ou pour ceux qui n’en valent pas la peine…

Léo vient doucement chercher la main de Kali afin d’entremêler leur doigt.

-Mais toi, tu vaux milles fois toutes celles de l’île, je ne veux pas te promettre une vie de fortune et de santé, je ne sais même pas quel temps il fera demain, je veux seulement...vivre avec toi et faire battre ton coeur.

Il se rapproche doucement de l’hybride afin de doucement souffler de l’air chaud dans son cou, cherchant une réponse corporelle de l’anaconda ou bien quelques mots moqueurs de son look d’antan ou bien pour ces paroles.




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Une pointe de miel pour le palais d'une anaconda [avec Kali] EmptyDim 9 Déc - 21:02
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L'ambiance...
Se détend peu à peu et devient intime, progressivement pour ce nouveau couple qui a encore beaucoup à apprendre et connaître de l'autre. Alors que Léonard peine à résister au charme de Kali, elle, se fait encore relativement discrète, presque timide envers cet homme pour qui elle éprouve des sentiments qu'elle a fait taire. Par moment, la jeune femme se sent comme engourdit pour exprimer ses émotions, pourtant, elle est affectueuse mais comment retrouver le plaisir du contact alors que pendant des années, elle était froide, ignorant et repoussant chacun. Sans doute, lui faudra t-il du temps pour ré-apprendre à exprimer son affection, avec toute les précautions nécessaire, car Kali ne se pardonnerait jamais de lui faire ne serait-ce qu'un bleu, à cause d'une étreinte trop forte.

L'anglais.
Se veut avenant, charmant et lui n'a de cesse de la complimenter et de l'admirer, alors que la japonaise, bien que touché par toutes ces attentions, ne sait pas encore vraiment comment gérer cette nouvelle proximité et situation. Ce qui amuse bien son hôte, qui se fait plaisir en la taquinant de bon cœur.

-Si tu désires, je pourrais te prêter d’autre vêtements après, a moins que tu veuilles...te réchauffer contre moi...peau contre peau.


Kali déglutie.
Si son visage pouvait rougir, sans doute qu'il serait déjà rouge en cet instant. Il plaisante, et part préparer la salle de bain alors que l'hybride se remet de ses émotions. Son dernier peau à peau remonte à si longtemps... Kali secoue la tête, pour remettre ses idées en place. Un bon bain chaud est clairement la bienvenue pour se détendre, il a raison. A force de se méfier toujours de tout, elle en oublie les choses les plus simples et efficace en matière de bien être. Heureusement, Léonard veille désormais...  

A ses côtés.
Trouveras t-elle un vrai sommeil paisible ? Avec des nouveaux rêves et non plus, une main sur la gâchette en toute circonstance ? Sera t-elle à la hauteur d'une compagne idéale ? Elle a si peur de le décevoir, sans doute sa plus grande crainte actuelle... Après tant d'année de célibat', Kali ne se voilait pas la face, elle est rouillée !

Doucement.
Léo' sort cette dernière de ses réflexions pour l'entrainer dans la salle d'eau, chauffée idéalement.  Il l'accompagne, la pousse à prendre ses aises dans cette demeure et son échine frissonne lorsque les doigts de ce dernier caresse son dos.

-Profite bien de ce bon bain, fais toi plaisir et laisse toi aller, tu es en sécurité ici, alors deviens un peu celle que tu désires être.

Kali hoche la tête.
Puis il quitte la salle de bain, la laissant méditer sur cette phrase "Être celle que j'aimerais". Sans plus de cérémonie, Kali se déshabille et pénètre dans l'eau chaude. Délicieuse. Ça change clairement de sa douche à son appartement. Combien de temps restera t-elle dans l'eau ? Sans doute une dizaine de minute, ne voulant pas abuser de l'hospitalité de Léo', bien qu'ils soient un couple désormais. Elle se prélasse, se lave puis se sèche avec les serviettes chaudes laissés à disposition... Une bienveillance débordante de sa part. C'est si inhabituel et bon à la fois, elle y prendrait vite goût.

C'est alors..
Qu'elle entends Léonard parler... Etrangement. C'est de l'anglais, sans doute, Kali avait des notions bien basique de cette langue. Il lui semble entendre son prénom. A qui parle t-il ? Le stress la gagne peu à peu... Une traitrise ? Non, ça n'a pas de sens, Léonard n'a aucun contact... Et si c'est la police ? Elle se mord les lèvres, inquiète et sort de l'eau, enfilant simplement un t-shirt trop grand, un short trop grand aussi et un peignoir. La blonde sèche ses cheveux rapidement, avant de rejoindre Léonard.

Trop tard.
Sa conversation est déjà terminé.

-Tu veux voir mon passé? J’espère que tu es prête, car tu pourras rire et ne te retiens pas.


Déclare t-il.
Acceptant de se mettre à nu, et de dévoiler son histoire à son tour. Kali n'a qu'une envie, lui demander qui était-ce au téléphone, mais comment aborder le sujet sans paraitre brute et impolie ? Indiscrète ? C'est délicat. Ses sens sont en alerte, à la moindre chose de travers, elle décampe. Kali, entre dans son jeu et s'installe près de lui, enfilant le casque sur sa tête et en apprendre d'avantage sur lui.

Le voici.
Plus jeune, habillé bien différemment et entouré. Elle le reconnaitrais quand même entre mille. Les yeux fermés. Il lui semble que Léonard est plus svelte, aujourd'hui ses épaules sont plus larges et ses bras aussi. Sans doute le travail qui l'a formé.

-J’avais quoi 16 ans et j’étais...idiot et naïf, je voyais le monde d’un autre oeil, que je pouvais le changer en ayant la volonté qu’il fallait, quel petit...con. Aujourd’hui je tente d’être quelqu’un de simple, pour certains je suis toujours naïf et pour d’autre je suis juste un homme voulant vivre sa vie, non celle d’un autre ou pour ceux qui n’en valent pas la peine…
_ 16 ans... Tu transpires l'innocence... Nos vies ont étés tellement différentes, déjà là à cet âge... Je crois que je suis un peu jalouse.

Commente t-elle.

_ C'est ta simplicité qui fait ton charme, et ton honnêteté. Je suis las de ces fous sur cet île... Si tu savais, je n'ai connu que ça. Des mégalomanes, des scientifiques et des hystériques.... Non, vraiment, tu n'as rien à envier aux autres Léonard.


Explique t-elle.
Réussissant enfin à lui faire un compliment. Sans doute touché, Léonard ne peut s'empêcher de se rapprocher encore d'elle pour la touché. Ses doigts chaud contraste tant avec sa main froide. Elle sera vite tiède à ce rythme et avec lui, voir moite si il la rend nerveuse.

-Mais toi, tu vaux milles fois toutes celles de l’île, je ne veux pas te promettre une vie de fortune et de santé, je ne sais même pas quel temps il fera demain, je veux seulement...vivre avec toi et faire battre ton coeur.

Oh !
Cette déclaration aurait pu faire fondre n'importe quel iceberg. Quel lover cet anglais. Kali est mal à l'aise, touchée, émeut. Léonard s'approche et elle sent son souffle chaud sur son cou. Un nouveau frisson la parcoure, elle sent son cœur battre sous l'émotion et ses sentiments. Ils sont si opposés, de part leurs vie, leurs attitudes mais Kali se sent irrémédiablement attiré par lui également.


Léo...


Souffle t-elle.
Charmée par ses si bon soins et ses belles paroles. Son esprit devient confus par la proximité, ses pensées se perdent dans sa tête. Elle n'a qu'une envie, le toucher, lui faire ressentir ce qu'il lui procure. Kali, la bras droit révolté semble pourtant bien dépassé par la situation, elle qui est si confiante en temps normal. Ici, elle n'est maîtresse de rien. Timidement, elle ressert ses doigts autours des siens et se rapproche.

Via le casque.
Elle concentre son attention sur cette maison qui l'a vu grandir.

_ Tout est si différent... Votre langue, vos maisons... Tes racines sont là-bas. Tes amis ne te manque pas ? Et ta musique ?

Déclare t-elle.
En observant les instruments. Kali, finit par enfin lui demander, tout en retirant son casque.

_ Avec qui... Parlais-tu pendant que je prenais mon bain ? Je ... J'ai entendu mon nom.

Demande t-elle.
Un peu nerveuse tout de même.

Suspense maximal !


Dernière édition par Kali le Jeu 27 Déc - 15:39, édité 1 fois
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Une pointe de miel pour le palais d'une anaconda [avec Kali] EmptyLun 10 Déc - 1:17
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Une pointe de miel pour le palais d'une anacondar

ft. Kali

Une muse aux iris d'un améthyste brillant et d'une délicate peau fraîche qui redécouvre la vie.
















Kali chuchote doucement le nom de l’anglais pendant qu’ils enlacent leurs mains, la magnifique anaconda retire le casque qui cache les magnifiques améthystes qu’elle a dans les yeux. Les magnifiques yeux de Kali brillent de mille feu dans ce moment intime et réservé. Les questions qu’elle pose sont légitimes et l’anglais sait ce qu’il doit répondre, même à celle qui montre qu’il était trop bruyant. Cependant, elle a le droit de savoir, il sait que cela lui fera bizarre tout en la rassurant, il le sent au fond de lui que ce sera le cas.

Il vient délicatement caresser du bout des doigts de sa main droite une joue de Kali afin de sentir la fraîcheur de ce magnifique visage qui est si chaleureux. Léonard vient doucement embrasser l’hybride, passant une main dans son dos pour le caresser tandis que l’autre reste avec celle de son aimée. Il savoure ce contact avec lequel, il espère, il retire tout trac et nervosité de la jeune femme.

Dans un murmure doux et délicat qui se laisse porter par le vent vers les oreilles de Kali tel une plume qui commence sa délicatesse descente, porté par l’air afin de se déposer au sol. L’anglais tente de dégager le plus de chaleur afin de tenter d’attirer l’anaconda afin d’avoir toute son attention quand il parle.

-J’ai eu au téléphone les seuls personnes que j’estime qu'ils ont besoin de savoir pour toi...mes parents.

Léo se recule doucement afin de venir doucement voir que la jeune femme a fait comme il a dit, elle a pris ses aises et il en est content.  La maison de l’anglais est désormais également celle de Kali.

Le jeune homme vient doucement commencer à ranger le matériel, n’ayant plus rien de son passé qu’il peut montrer à sa douce. Les divers composants mettent un certain temps afin d’être rangé dans les différents sacs. Il ne voit pas le temps qu’il met pour faire cela et à vrai dire, il ne saurait dire. Dans sa tête il repensait à quelques mots que Kali avait prononcés, la musique était un plaisir qu’il partageait avec son ancienne amante et il avait laissé tout cela derrière lui. La curiosité et l'intérêt de son aimé lui donne de nouvelle idée.

Une fois le matériel rangé, Léo marche doucement vers le garage. Une fois dans la pièce il cherche sur les étages de ces meubles qu’il avait montés il y a si longtemps à son arrivée. Il s’en souvient comme si c’était hier, les affaires qui restaient de cette époque sont encore sous carton, il n’avait pas envie d’y retoucher à son arrivée à Togi.

Cependant la chose qu’il cherche n’est pas sous carton, à cette époque c’était un bien précieux à ses yeux et d’un point de vue financier, il l’est toujours, car vieux et bien entretenu avant son départ du pays de la reine.

C’est entre une pile de cartons encore fermés ainsi qu’une armoire qu’il trouve le sac qui contient ce qui peut faire sourire Kali. Il se saisit alors du contenant afin de transporter le tout dans le salon. Dans un geste vif et contrôlé, il pose le sac sur le canapé pour commencer à l’ouvrir.

Léonard sort la vieille Gibson Walnut de 2018 que ses parents et grands-parents lui ont offerts à son départ du pays, cet objet n’a aucun lien avec son ancienne petite amie, seulement, il ne pouvait le toucher sans penser à elle. La guitare sortit, Léonard commence à vérifier l’état des cordes et en change quelques-unes en faisant attention à ne pas se blesser.

L’anglais vient se poser sur une chaise au centre du salon afin de jouer quelques notes pour retrouver les réflexes qu’il a avant de doucement jouer plusieurs notes à la suite. Au début des premiers accords, il ferme les yeux afin de décompresser, les quelques souvenirs de son ancienne aimée viennent à lui et cela l’attriste un peu, seulement cela ne dure qu’un peu. Le visage délicat de Kali vient se dessiner dans sa tête au fur et à mesure que les notes défilent. Léo met un peu plus d’amour dans ce qu’il joue.

Il entrouvre les lèvres afin de tenter de chantonner un air qui pourrait accompagner les notes qui défilent afin de charmer la reptile qui est dans la pièce, mais rien. Aucun mot, aucune parole, juste, la musique. Il espère que celle-ci parle aux oreilles de Kali et en rouvrant les yeux, il la voit vraiment et c’est là qu’il a un déclic.

Léonard ne veut pas être un héros, ni même  une personne importante, sauf dans un cas, il désir être le héros de Kali, comme elle est une source d’inspiration ainsi que celle qui lui donne envie de vivre en dehors de sa coquille. La jeune anaconda ne doit pas voir quelle changement positif elle apporte à la vie de Cobalt.

Il finit de jouer puis il se gratte la nuque en rougissant, se sentant un peu gêné et embarrassé, il craint avoir cassé les oreilles de la magnifique hybride reptilienne.

-Je suis un peu rouillé...navré si c’était désagréable...au fait, merci Kali, pour ce que tu as dit, j’ai maintenant un objectif dans ma vie, être ton héros.





Spoiler:

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Une pointe de miel pour le palais d'une anaconda [avec Kali] EmptyJeu 27 Déc - 16:28
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Suspendu à ses lèvres.
L'hybride anaconda attendit la réponse de ce dernier, nerveuse, tendu. D'ailleurs, Léonard se fait plus doux qu'une plume ou que de la soie, pour attirer l'attention de sa chère, et la rassurer dans un tendre baiser avant de lui répondre. Comme pour renouveler sa confiance et appuyer ses bons sentiments auprès d'elle.

-J’ai eu au téléphone les seuls personnes que j’estime qu'ils ont besoin de savoir pour toi...mes parents.

Des parents...
Kali se sent bête sur le coup, et à la fois... C'était un concept qui lui était étranger, elle, née dans un laboratoire. Pendant qu'il range le matériel, Kali tente de s'excuser tant bien que mal.

_ Excuse moi, je... Je suis sans doute un peu trop sur mes gardes et à vite me méfier de tout. Une habitude avec le temps.

Elle espérait.
Qu'il ne lui en voudrait pas trop pour cette maladresse. Léonard revient quelques instants plus tard avec un sac relativement gros. De celui-ci, l'anglais sort une guitare et il s'installe au centre du salon. Kali, observe de nombreux sentiments en voyant Léo' faire... Principalement de la nostalgie. Sans aucun doute, il tient à cet instrument. En digne auditrice, Kali prend place sur le canapé en s'emmitouflant au mieux dans le peignoir de Léo' et d'écouter en musique, ce qu'il a à lui dire.

Le musicien.
Joue quelque chose d'apparence simple, régulier et doux. Il n'y a aucune parole, mais l'ambiance est sans équivoque. Kali, en ferme les yeux pour encore mieux savourer cet instant. Quelqu'un qui joue de la musique pour elle, qui veut lui faire plaisir, sans arrière pensée... C'est une chose rare, précieuse sur l'île. Elle comprit alors, qu'elle ferait tout pour préserver cette nouvelle bulle paradisiaque que Léonard lui offrait, sans compromit. Le morceau de musique s'achève et Léonard, revient dans la réalité avec elle.

-Je suis un peu rouillé...navré si c’était désagréable...au fait, merci Kali, pour ce que tu as dit, j’ai maintenant un objectif dans ma vie, être ton héros.

Quel déclaration.
Dans un premier temps surprise, puis, Kali pouffe un peu de rire, un rire léger, pas moqueur du tout.

_ C'était un plaisir, je ne sais jouer d'aucun instrument, si ce n'est un peu de shamisen... J'ai appris à en jouer au thermes.

Explique t-elle.
Avant de se lever pour rejoindre Léonard. Une fois proche de lui, elle profite qu'il soit assit pour poser sa main dans ses sombres cheveux pour caresser ses derniers et pousser sa tête contre son ventre, qui est à sa hauteur.

_ Tu ne me dois rien... Et... Je ne veux pas de quelqu'un qui se sacrifierait bêtement pour me protéger. Tu me demande de ne plus être l'héroïne des hybrides, alors, ne soit pas le mien s'il te plait. Le monde est si brutal, violent... Il a une imagination sans fin pour nous torturer.


Demande t-elle calmement.
Avant de déposer un baiser sur le front de l'anglais.

_ Je suis épuisée par ces émotions et l'hiver qui a commencé si tôt... Je vais allez me reposer si tu me le permet. Le canapé me suffira.

Propose t-elle.
Sa condition de semi reptile, ne l'aidant pas dans ce climat froid, plus sombre à l'heure d'hiver et même lorsqu'elle vivait aux thermes, c'était difficile. Son esprit étant plus engourdit, moins vif par le froid. Kali, se reculait jusqu'au canapé qui était bien confortable et serait suffisant pour un soir.

Elle n'oserait s'imposer d'avantage.
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Une pointe de miel pour le palais d'une anaconda [avec Kali] EmptyVen 4 Jan - 17:36
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Une pointe de miel pour le palais d'une anacondar

ft. Kali

Une muse aux iris d'un améthyste brillant et d'une délicate peau fraîche qui redécouvre la vie.
















Les mots de Léonard semblent avoir un effet légèrement comique sur l’anaconda. Les mots doux de Kali font plaisir à l’anglais qui la regarde se lever pour se rapprocher de lui, il laisse l’hybride passer les doigts fin de son aimé dans ses cheveux avant de sentir doucement le ventre de la blonde à travers le peignoire quand elle pose sa tête contre son ventre.

Le simple baiser de la reptile fait doucement frissonner Léonard. Le regard de l’anglais se porte sur le visage fin de l’hybride quand elle vient délicatement s’installer sur le canapé en expliquant à quel point elle était fatiguée. L’anglais se doute que l’hybridation de la jeune femme influe sur cela et il hésite un peu, cependant il n’attend pas longtemps afin de venir poser la guitare sur le canapé. Son regard se plonge dans celui de l’anaconda avant de venir doucement l’embrasser et lui chuchoter.

-Je ne vais pas te laisser sur le canapé avec seulement un peignoirs pour te réchauffer.

Léonard vient délicatement commencer à porter sa douce tel un prince portant sa princesse. Les pas de l’anglais le font doucement monter les escaliers tout en faisant attention à ce qu’elle ne touche pas les murs ainsi que de ne pas lui faire mal. Une fois à l’étage, Cobalt la conduit doucement dans sa chambre en souriant.

Une fois la porte ouverte avec difficulté car, l’anglais n’avait pas d’idée de comment l’ouvrir avec Kali dans les bras, les pas de Léo l’amènent devant le lit dans lequel il installe sa douce dedans, plaçant les couvertures sur l’anaconda et venant déposer à son tour un baiser sur son front en souriant.

-Repose toi le temps qu’il faut et ne t’en fais pas pour moi, tu es ici chez toi, chez nous si tu le désires.

Léonard sort doucement de la chambre tout en fermant doucement la porte puis redescend dans le salon, marchant à pas léger de manière à faire le moins de bruit possible, ce qui pourrait permettre à Kali de commencer à se reposer. L’anglais revient vers le canapé après avoir attrapé un papier et un crayon. Cobalt prend sa guitare afin de commencer à jouer quelques notes tout en les notants sur le papier.

Il continue cela pendant une dizaine de minutes puis son regard se porte vers l’extérieur qui est aussi sombre que le jais. Léo commence à fermer totalement la maison et monte doucement dans la chambre à côté de la sienne puis commence à regarder dans les anciennes affaires de Seira. En espérant que Kali et l’ancienne féline de l’anglais fassent la même taille.

Il en sortit quelques vêtements simples qu’il prend sous le bras afin de doucement passer dans la chambre où le serpent se repose pour doucement déposer les quelques tissus sur la commode qui est du côté de Kali. Léo vient doucement caresser les cheveux dorés de l’anaconda quelques instants avant de sentir la fatigue le conquérir petit à petit.

Il s'éloigne doucement du lit afin de sortir de la chambre et rejoindre la commande du chauffage qui est dans le salon pour l’augmenter de manière à ce que cela soit soutenable ainsi qu’un peu doux pour Kali. Une fois cela fait, il retourne dans la chambre proche pour se mettre en boxer puis se glisse dans les anciennes couvertures de Seira, s’endormant petit à petit. Son réveil le lendemain est assez posé et calme.

Léo se lève lentement afin de descendre encore en boxer, encore un peu somnolent par la chaleur. Il n’a pas oublié qu’il avait une invitée et ses pas sont légers puis une fois dans le salon, Cobalt commence doucement à laisser la lumière du jour rentrer en ouvrant remontant quelques volets tout en laissant descendu ceux qui pourraient trahir la présence de Kali si quelqu’un les espionne. Désormais l’anglais aussi doit faire preuve de méfiance pour son aimée.

Cobalt se fait tranquillement quelques crêpes après avoir fait la pâte. Il profite de la lumière qui illumine le salon pour s’installer tranquillement dans le canapé pour manger les crêpes avec un peu de confiture ainsi qu’un peu de pâte à tartiner pour certaines.


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Une pointe de miel pour le palais d'une anaconda [avec Kali] Empty
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