Une nouvelle à la maison [PV Viktorya] [Violence/Viol]

Toute souriante, tu regardais avec émerveillement le jardin, ça faisait très longtemps que tu n'avais pas pu profiter d'un petit coin de verdure sans que l'on t'embête, là tu pourrais en profiter autant que tu voudrais, un petit brin de liberté que tu apprécierais très souvent. Soudain tu entendis des ricanements et une voix moqueuse venant du groupe d'hybride qui se prélassait dans le canapé, tu grognas fortement en regardant l'individu, mais te calmas rapidement quand Isako leva la main et menaça le coupable. Il s'agissait d'un autre félin et celui-ci se ratatina dans le canapé après les menaces.

Bon ne pas la provoquer, ça tu l'avais déjà noté depuis ce qui s'était passé dans la cabine, mais cet hybride te le rappela, il valait vraiment mieux pour toi la brosser dans le sens du poil, cela te permettrait d'éviter quelques punitions, tu devrais donc à chaque fois bien réfléchir aux conséquences de tes actes. Tu lui souris doucement quand elle reporta son attention sur toi, tes tâches ça devrait aller vite vu le nombre que vous étiez donc ce jardin serait ton petit repère à longueur de journée. Profiter du jardin après le bain, c'était une super idée, oui tu irais profiter et tu y passerais un long moment.


Tu étais toute ravie et tu avais l'air d'une enfant, mais tu t'en moquais tu avais envie de profiter encore un peu d'une vie tranquille. Tu savais très bien qu'un jour elle parviendrait à te mettre dans son lit et valait mieux profiter avant que cela se fasse tout en essayant de rester enfant, profiter de ton innocence encore présente. Tu la suivis à l'étage sans faire d'histoire pressée de voir la suite et surtout ne plus être au milieu de tous les autres.

En haut tu observas le couloir, assez étonnée, cela te rappelait un peu le laboratoire en plus accueillant tout de même, mais des grands couloirs avec des portes tu en avais vu pas mal quand tu étais plus jeune et tu ne voulais en aucun y retourner et peut importe la raison ou le lieu. Tu te rapprochais un peu d'Isako, écoutant toutes ses indications, mais aussi ses recommandations qui pourraient te servir pour vivre tranquille ici. De toute façon pourquoi aurais-tu envie d'aller dans sa chambre ? C'était en aucun cas tes plans pour l'instant.

Tu souris doucement, contente de savoir, que vous seriez dans sa salle de bain privée et que tu pourrais encore passer un peu de temps avec elle afin de mieux la connaître. Lorsque tu pénétras dans la chambre, tu regardas dans toutes les directions, agréablement surprise. C'était là une très jolie pièce, très grande aussi, occupée par un immense lit à baldaquin, c'était une pièce vraiment magnifique. Claire et légèrement colorée, elle abritait aussi un très grand dressing composé de plusieurs armoires. Tu tournas un peu la tête et regardas ta maîtresse se dirigait vers la seconde porte de la chambre, tu suivis et souris doucement en observant la nouvelle pièce.

Tu te trouvais à présent dans une salle de bain assez grande avec deux coins d'eau, un coin douche et une baignoire assez grande, c'était aussi une belle pièce. Lorsque tu serais invité ici par la suite, il faudrait vraiment que tu profites de cet endroit, et même de la chambre. Tu vivrais dans une magnifique maison, les parties communes étaient très bien aussi.

Tu hochas vivement la tête, tu avais hâte de doucher, ça te fera le plus grand bien et en plus après tu pourrais t’habiller comme tu le souhaites. Tu choisirais après ta tenue, mais peut-être devrais-tu essayer de lui faire plaisir afin de la remercier. Non, tu t’habillerais comme tu souhaites et en plus tu devais aller profiter du jardin et rien que de mieux qu’un bon jean pour cela.

Tu la regardais se déshabiller, hésitante à venir l’aider, mais tu ne savais pas trop comment t’y prendre, tu préférais éviter de lui abîmer sa jolie robe, mais quand elle fut en sous-vêtements tu détournas un peu le regard, gênée et te tournas pour lui laisser un peu d’intimité alors qu’elle continuait de se dévêtir.

Ta réaction était complètement stupide, elle t’avait déjà vu à moitié nue et en plus de ça c’était toi qui lui avait demandé de venir avec toi. Tu relevais doucement la tête et rougit légèrement en la voyant nue devant toi, tu observais un peu ta maîtresse avant de baisser un peu la tête. Tu allais commencer à te déshabiller quand tu te tournas vers la porte de la salle de bain, il était hors de questions que son toutou de compagnie vienne alors que vous vous détendiez toutes les deux.

Tu fermas à clef la salle de bain tout en dirigeant ton oreille vers le bruit de l'eau qui coule, tu commenças à retirer ton haut puis ton jean et regardas vers ta maîtresse qui te montrait son dos, au moins tu étais sûre qu'elle ne te regardait pas et en plus ça te permettrait d'avoir un peu d'intimité. Tu retiras rapidement le reste de tes vêtements les posant sur le côté.

Ta maîtresse t'avait déjà vu à moitié nue, alors cette fois tu te dirigeas vers le tabouret où était installé Isako, tu passas doucement la main sous l'eau chaude, afin de vérifier sa température, qui te semblait très bien. Tu t'approchais un peu d'Isako et posas doucement ta main sur son épaule tout en tournant autour d'elle pour te mettre devant elle. Une fois juste devant elle, tu regardais un peu son corps et l'embrassa timidement, posant quelques secondes tes lèvres sur les siennes et de lui sourire doucement, avant de venir te mettre à genoux devant elle et poser tranquillement ta tête sur ses genoux. Tu étais peu bavarde, mais tu voulais profiter du moment. Tu savais qu'en faisant cela tu cachais ton corps et que toi en revanche, tu pouvais la regarder entièrement ce que tu fis avant de regarder son virage en souriant.

A genoux devant ta maîtresse tu profitais de ses caresses, ronronnant doucement. Tu appréciais le moment, sa douceur, même si tu redoutais qu'elle te punisse à nouveau enfin pour l'instant tu espérais ne pas faire de bêtises. Tu la regardais appréciant l'eau qui te coulait dessus puis  tu l'écoutas attentivement. C'est vrai qu'elle t'en demandait beaucoup, mais tu essaierais de la satisfaire du mieux que tu pourrais, même si pour cela tu devrais réussir à te laisser amener dans son lit. Il fallait vraiment que tu passes au-dessus de ça, tu avais déjà fait un grand pas, tu étais nue avec ta maîtresse dans une salle de bain prenant ta douche avec elle. Y a encore quelques heures jamais tu n'aurais imaginé que tu en serais là.

Tu regardais doucement ta maîtresse en souriant et te décala un peu quand elle décida de te céder sa place, elle allait s'occuper de toi et toi tu profiterais. Faisait-elle ça pour te remettre en confiance, avait-elle fait ça avec tous les autres ou faisait-elle seulement avec toi. Tu la regardais un peu mal à l'aise, mais tu finis par t'asseoir sur le tabouret regardant Isako revenir avec les produits. Tu attendis qu'elle s'asseye avant de te tourner, lui présentant ton dos, essayant de ne pas penser à ce qu'elle pourrait entreprendre. Tu fermas doucement les yeux profitant du shampoing qu'elle te faisait tout en massant avec application le crâne. C'était vraiment agréable et cela faisait très longtemps que tu n'avais pu profiter de cela.

Tu commençais à lâcher quelques ronronnements appréciant réellement le massage, quand elle passa à ton corps. Elle entreprit un nouveau massage et cette fois elle s'occupait de ton dos. Mon dieu qu'elle massait bien, tu devrais essayer de te débrouiller par avoir de nouveau des massages comme ça, c'était tellement bon et tu savais qu'elle était capable de faire preuve de beaucoup moins de douceur alors au tant en profiter maintenant.

Soudain ses mains passèrent d'abord sur tes hanches puis elles vinrent sur ton ventre. Tu te raidis légèrement rouvrant les yeux vérifiant la direction que prenait ses mains. Tu les vis remontées et ne dit rien, juste tu observas puis tu lâchas un léger soupir avant d'essayer de te redétendre lentement. Tu ne devais pas refuser le contact parce qu'elle serait capable de forcer à l'accepter et autant l'accepter dans un moment agréable comme celui-ci. En même temps tu avais peur qu'elle revienne vers ton entre jambe, la première fois n'avait pas forcément été une partie de plaisir, du moins pour toi.

Alors que tu profitais et que tu étais perdue dans tes pensées quelque chose te fit peur, tu ne savais pas exactement quoi, tu n'avais pas fait attention à ce que ta maîtresse avait bien fait, mais ton instinct pris le dessus et tu mordis le bras d'Isako serrant assez fort enfonçant le plus possible tes crocs dans son bras. Avant de t'écarter partant à l'opposé de la pièce le plus rapidement possible et de te recroqueviller dans le coin, tout en grognant fort et en montrant les crocs. Tu regardais Isako dans les yeux, ton regard trahissant ta peur, tu n'osais pas bouger.

Tu ne bougeais pas regardant ta maîtresse, regrettant à présent ton geste, pourquoi avoir eu peur ainsi, comment d'un instant à un autre tu avais pu la mordre et t'éloigner d'elle, alors que juste avant tu appréciais ces caresses et sa façon de s'occuper de toi. Les larmes commençaient doucement à monter et tu baissais les yeux. Tu t'en voulais vraiment, il avait suffi de seulement un geste alors que tu étais dans tes pensées pour que tu bondisses d'un coup en la mordant. Tu t'avançais doucement vers elle, voulant vraiment t'excuser, mais tu ne trouvais pas vraiment les mots, tu la regardais seulement.

La peur avait pris le dessus à cet instant, tu n'avais pas contrôlé ce que tu avais fait, agissant tel un animal, après tout tu avais des gènes de tigron, soit de fauves, et c'est magnifique être ont peur de l'humain quel qu'il soit. Mais toi tu n'étais pas un vulgaire animal, pourtant tu avais agi tel quel, ayant eu peur de ce qu'elle faisait, alors que tu appréciais ce qu'elle faisait, ne souhaitant pas qu'elle ne s'arrête. Le premier réflexe que tu eus, ce fut de la mordre d'un coup au niveau du bras la relâchant quasiment immédiatement, ce qui lui arracha un sacré cri de douleur.

T'enfuir, avait été la solution, mais t'enfuir seulement à l'autre bout de la pièce, de toute façon à quoi cela t'aurait servi de t'enfuir, elle aurait réussi à te retrouver et la fuite n'était pas une vraie solution. Tu regardais à présent ta maîtresse et notamment le sang qui coulait de son bras, tu t'en voulais sincèrement et tes larmes coulant silencieusement sur tes joues voulaient tout dire. Tu t'avanças vers Isako, voulant t'excuser, mais sa remarque te coupa dans ton élan, tu la regardas un court instant seulement baissant les yeux en faisant non de la tête. Non tu n'étais pas une chienne enragée, tu étais hybride docile et qui connaissait ta place, mais la peur avait vraiment pris le dessus et tu n'avais pas su te contrôler.

Les remarques de ta maîtresse te blessaient au plus profond de toi-même, tu l'avais déçu, mais en plus de ça tu l'avais blessée, tu jouais avec tes doigts en regardant tes pieds un instant avant de parler d'une voix à peine audible.

Non je peux parler maîtresse …

La façon dont elle te parlait ne prédisait rien de bon, elle était vraiment énervée ça se sentait, tu n'osais pas bouger pour l'instant, la jeune femme était bien trop énervée pour que tu puisses faire quelque chose et la touchait maintenant afin de l'aider à faire un bandage n'était vraiment pas une bonne idée, enfin d'après toi il valait mieux ne pas s'approcher. Toujours avec un ton aussi dur, elle reprit et clarifia les choses, tu allais recevoir une punition ce qui ne t'étonna pas, de toute façon il fallait bien assumer ce geste peu glorieux. De nouveau tu hochas la tête, mais cette fois tu prix un ton un peu plus fort en regardant toujours le sol.

Pardon maîtresse, je suis sincèrement désolée ... Quelque chose m'a fait peur, mais je ne souhaitais en aucun vous blesser, cela n'a jamais été mon intention ...

Les larmes continuaient de couler sur tes joues et tu décidas tout de même de t'approcher d'Isako afin de l'aider, tu voyais qu'elle avait mal à sa façon de trembler, alors que tu t'approchais la porte s'ouvrit. Et quelle surprise c'était Keibisu qui était rentré, le toutou de madame était revenu. Le premier réflexe que tu eus se fut de reculer et de t'éloigner d'Isako, tandis que lui se rapprochait de toi. Il te décocha un sacré coup de talon dans le ventre ce qui t'arracha un petit cri de douleur alors que tu te recroquevillas sur toi pensant que c'était tout ce qu'il ferait, malheureusement pour toi il t'attrapa par les cheveux et de te jeter au sol. Tu amorties comme tu pus ta chute, mais ce ne fut pas très brillant.

Contrairement à d'habitude tu regardas Keibisu, en lui lançant un regard noir avec un grognement assez prononcé, tu ne supportais nullement sa façon d'agir, c'était vraiment un toutou et en plus son ton te déplaisait fortement, comment pouvait-il te parler ainsi, alors que tu étais une de ses congénères, tout aussi hybride que lui. Cette fois les pleures s'étaient quasiment arrêtés et tu te relevas lentement grimaçant un peu face à la douleur que tu ressentais au niveau de ton estomac. Tu regardas Keibisu en fronçant les sourcils et lui répondit de façon outrageuse grognant fortement.

Ne me touche plus ! Tu es tout aussi hybride que moi, tu n'es rien non plus !

Tu soufflas un peu et te rapprocha d'Isako te mettant à genoux devant elle, baissant les yeux reprenant un ton plus approprié regardant seulement vers le bas.

Je suis vraiment désolée maîtresse Isako, et si je dois être puni pour ce que j'ai fait je comprends tout à fait et je n'essayerai pas d'y échapper je vous le promets. Mais s'il vous plait pardonnez moi ...

Cette fois tu relevas la tête vers elle et la regardas de la façon la plus sincère possible.

A genoux devant ta maîtresse, tu exprimais une nouvelle fois des excuses t'en voulant vraiment de l'avoir mordu. Tu la regardais un peu, mais a priori elle n'avait pas du tout apprécier ta façon de parler à son toutou de service, vu sa manière de t'attraper les cheveux et de te relever la tête ce qui t'arracha un couinement de douleur et tu la regardas dans les yeux l'écoutant attentivement comme le montrer tes oreilles dressées, bien droite dans sa direction. Ce Keibisu, tu le détestais encore plus à présent, sa place de favori tu en avais rien à faire, qu'il soit le favori tant mieux pour lui, tout ce que tu voulais c'est qu'il te foute la paix, te laissant tranquille et faire ta vie et lui la sienne, mais a priori ça ne se passerait pas ainsi.

Tu regardais ta maîtresse et hochas la tête doucement alors qu'elle parlait, tu n'étais rien et ça tu le savais, mais cet abruti de Keibisu était tout aussi hybride que toi, sa hiérarchie était bidon, mais bon tu devrais l'accepter, te taire tout en disant à chaque fois « oui maîtresse », et obéir bêtement. Lorsqu'elle te lâcha les cheveux, tu regardas un instant son regard et baissas rapidement la tête, tu avais vraiment déçu ta maîtresse et tu t'en voulais énormément. Et ce regard qu'elle te lançait te fit comprendre qu'elle était ta place, tu étais vraiment rien pour elle, tu n'étais qu'un objet et tu avais bien compris cela. En fait tous les humains sont ainsi, toi qui pensais que la vie en dehors de laboratoires et de chez les rabatteurs étaient beaucoup plus sympa, tu avais tort.

Chouette, super, génial, tu jubiles de joie, tu es plus que ravi que son abruti de toutou te punisse, ce traitre allait avoir le droit de me punir, comme si ce n'était pas assez humiliant d'être nue devant lui, tu devrais en plus accepter sans rien dire qu'il te punisse. Alors qu'elle sorti de la salle avec tout le nécessaire de soins, tu n'hésitas pas une seconde à la suivre avant que le larbin de Madame te force à le faire, en revanche tu t'arrêtas un petit peu en retrait derrière Keibisu, préférant rester un peu à l'écart et éviter de la remettre en colère.

Lorsqu'elle parlait à Keibisu, elle prit un ton doux et agréable, tu l'enviais pour le coup, mais quand elle s'adressa à toi, son ton froid te fit regarder le sol, t'en voulant encore plus, tu hochas doucement la tête et te dirigeas proche du mur avant de te mettre à quatre devant fixant plutôt tes mains que le mur, laissant de nouveau quelques larmes coulaient. Face à ton mur, tu avais le temps de réfléchir à ce qui t'attendait, et ce n'était surement pas quelque chose d'agréable, et puis présenter ton intimité et ton arrière train à ta maîtresse et son toutou te gênait énormément.

Qu'est ce qu'il allait bien te faire, tu n'étais pas dans la meilleure des positions et cela pouvait des idées plutôt mal placées à certaines personnes qui te verrait ainsi. En tout cas, tu espérais qu'aucun des deux ne touchent ton corps dans le but te s'envoyer en l'air, tu priais silencieusement, ignorant royalement ce qu'il se passait autour de toi, jusqu'à ce qu'Isako se mette à parler de nouveau. La punition serait des fessées sur ses genoux, et te devrais accepter ça sans rien dire, de toute façon tu n'avais pas vraiment le choix. Tu remuas un peu tes oreilles en entendant les pas de Keibisu se dirigeait vers toi, et avant que tu puisses faire quoique ce soit, il attrapa de nouveau ta chevelure, tu grognas légèrement, tu grognas notamment à cause de la douleur que tu commençais à ressentir au niveau du cuir chevelu, mais en plus, il te faisait bien rire avec ses petites dents d'hermine, tu restais un fauve à côté tes crocs étaient beaucoup plus imposants, mais bon tu ne dis rien et suis docilement.

Tu regardas Keibisu s'installer et tu te positionnas par la suite comme il le souhaitait préférant ne rien dire. Ta maîtresse avait de nouveau une vue sur ton intimité qu'elle finirait par connaître par coeur avant même d'avoir jouer avec, enfin là n'est pas la question. La première fessée s'abattit sur ton fessier ce qui t'arracha un cri de surprise, mais aussi de douleur ne t'attendant pas à ce qu'il te frappe avec autant de force, puis les fessées s'abattirent avec un rythme régulier et toujours avec la même force. Les premières t'avaient arraché des cris, mais à présent tu ne disais plus rien, sentant juste ton fessier rougir et chauffer au fur et à mesure qu'il appliquait sa main contre toi.

Tu ne voyais pas ta maîtresse et tu ignorais ce qu’elle faisait, mais tu te doutais fortement qu’elle prenait du plaisir à voir cela. Cette punition était à la fois humiliante et efficace, tu avais bien compris que mordre n’était pas la solution ici, ça tu l’avais compris avant que la punition ne débute. Au bout d’un moment, la douleur fut tellement intense que tu commenças à pleurer silencieusement avant de te débattre faiblement implorant les deux autres personnes dans la pièce.

S’il vous plait arrêtez … J’ai compris la leçon … Je ne recommencerai pas … Je ne mordrais plus maîtresse. Je promets de toujours parler correctement à Keibisu …

Tu regardas un instant Keibisu avant de regarder à nouveau vers le sol.

Posée sur les genoux de Keibisu, je subissais sans rien dire la punition qu’il m’infligeait. Recevoir des fessées de l’hybride que je détestais le plus à présent, m’énerver au plus au point, mais je subissais sans rien dire, les larmes qui avaient commencé à couler le long de tes joues, étaient plus des larmes de honte que de douleurs, c’est vrai qu’il y allait fort en même temps. Au début je trouvais que la douleur que cela impliqué n’était rien, mais au bout d’un certain nombre, mes fesses devinrent rouge écarlate la douleur se faisait largement ressentir et je pleurais cette fois à cause de la douleur.

Suppliait pour qu’il arrête, fut la bonne solution, même si ma maîtresse ordonna que j’en reçoive une dernière plus forte que les autres, ce qui m’arracha un petit cri ridicule. La main d’Isako se posa sur mon menton et elle m’obligea à la regarder dans les yeux, ce que tu fis sans rechigner, je la fixais et je l’écoutais calmement. Oui je sais qu’il est prêt à aller plus loin, et j’en suis sûre qu’il n’a pas besoin d’attendre tes ordres ma belle, mais il n’y aura pas de prochaines fois, ça je te le garantis, l’innovation c’est mieux, quoique mordre était en général ma solution de repli que me dictait mon instinct.

Cette fois je ne la regardais pas comme la gentille fille que j’avais su être, non mon regard exprimé plutôt de la haine, toutefois je me retins de grogner après elle, la fixant juste. De liberté, tu crois vraiment que je serais libre un jour, ce n’est qu’une fausse liberté que tu souhaites m’accorder, et ta considération, tu peux te la garder si je devais devenir comme ton petit toutou. Je connaissais ma place, mais jamais je ne laisserais un humain me rendre complètement docile au point d’en devenir une sorte de légume automatisé. Et j’ai très bien compris que cette femme voulait que je devienne seulement qu’un objet qui obéirait comme bon lui semble.


Quand elle prit ma main je me laissais faire, même si la récupérer était ce que je souhaitais faire le plus à cet instant, mais je la regardais simplement. J'aurais pu à cet instant pincer ses lèvres ou les griffer, mais je ne fis rien de tel pour l'instant il fallait rester calme, ne rien dire et subir. ses lèvres intimes étaient bien humides, alors le fait d'être puni l'exciter tant que ça, c'était peu étonnant venant de sa part, j'avais su qu'une fois certaine aimée quand les parties de jambes en l'air était un peu violente, peut-être était-elle ce genre de femme ?

Dès qu'elle me lâcha la main, je la récupérais fronçant légèrement les sourcils et leva les yeux au ciel quand elle reprit la parole. Maîtresse de ma destinée, c'est cela, dis plutôt que c'est toi qui es maîtresse de ma destinée, et que je n'ai pas d'autres choix que de subir et il était vraiment hors de question que je devienne comme ce Keibisu, j'étais peut-être docile, mais pas un vulgaire toutou. Te rendre fière de moi, c'est ce que j'essaye de faire depuis le début, mais a priori les efforts que j'ai faits n'ont pas suffi.

Je la regardais un instant et quand ses lèvres rencontrèrent les miennes, je dus résister pour ne pas répondre à ce baiser, embrasser cette femme c'était une vraie torture lorsqu'on était énervé, comment je pouvais rester en colère après elle alors que ces baisers étaient toujours tendres et agréables, j'essayais de ne pas réagir, de rester de marbre face à ce baiser. Comment elle pouvait changer d'un instant à l'autre passant de tendre comme avec ce baiser puis elle trouvait une façon assez humiliante pour te punir.

Je la regardais se redresser et s'étirer puis je m'écartais rapidement de Keibisu une fois qu'il m'avait relâché les observant tous les deux. Sa proposition me fit sourire et rire doucement, alors maintenant tu souhaitais finir cette douche avec moi. Non c'était hors de questions que tu retournes dans cette salle de bain avec elle. Je me rapprochais d'Isako et l'embrassai doucement avant de venir doucement lui embrasser le cou et de lui murmurer à l'oreille de façon qu'elle seule puisse entendre.

Non je ne retournerai pas dans cette salle de bain et encore moins avec toi. La personne qui prononce la sentence doit l'exécuter et ça tu ne l'as pas respecté.

Je souris doucement, mes yeux reflétaient la haine que j'éprouvais à cet instant, la punition, que j'avais subie, était tellement humiliante pour toi que tu en voulais vraiment à Isako de t'avoir fait subir ça. Tu souriais de façon espiègle avant de la pousser violemment de façon qu'elle se cogne contre le mur. Tout à l'heure tu t'en voulais de l'avoir mordu et tu n'aurais pas dû, mais tu n'aimais pas sa façon d'agir avec toi. Puis je me jetai sur elle la plaquant contre le mur, grognant fort devant elle.

Plus jamais tu ne me toucheras et je ne prendrais plus jamais ma douche avec toi, tu n'es pas quelqu'un de bien. Je te déteste toi et ton Keibisu chéri, tout autant que les humains qui m'ont retiré mon oeil.

La punition, que j'avais subi, n'aurait peut-être pas l'effet escompté finalement.

Appuyé contre le mur et surtout contre ta maîtresse, tu la regardais avec ton oeil valide qui exprimait toute la haine que tu éprouvais à la suite de la punition que tu avais subie. Tu venais de l'envoyer contre le mur et tu avais dû y aller un peu fort puisqu'elle n'avait pas l'air bien. Tu continuais de la regarder quand soudain tu reçus un violent coup au visage, avant d'être projetée au sol, par quelqu'un. Tu te tournas vers la source de cette force qui t'avait mis à terre et regardas Keibisu, sa menace de mort te fit peur, tu essayas donc de te relever ou au moins d'éviter son coup, mais il parvint tout de même à t'envoyer un violent coup de pied dans ton ventre.

Le premier coup te coupa un instant le souffle, mais ceux qui suivirent te le coupèrent complètement, tu commençais à manquait d'air et essayas de reprendre un peu ton souffle comme tu pouvais. Mais cela n'était surement pas l'idée de Keibisu qui t'attrapa de nouveau par les cheveux, te défendre à cet instant n'était pas une bonne idée et de toute façon tu n'avais pas la force pour l'instant. Lorsqu'il vint s'asseoir sur toi et poser ses mains sur ton cou ce n'était plus de la haine que ton regard reflétait, mais de la peur. Le manque d'air causé par les coups précédent ne t'aidait pas à te défendre, tout ce que tu arrivais à faire c'était tenir les poignets de Keibisu tout en agitant de façon absurde tes jambes.

Ton regard se tourna vers Isako, qui s'était relevé et approché de toi et Keibisu, tu t'affaiblissais rapidement, l'air te manquant de plus en plus, quand elle stoppa Keibisu. C'était comme un soulagement, tu aurais bien voulu récupérer un peu d'air, mais tu n'eus pas vraiment le temps, même si tu pouvais respirer de nouveau librement. Tu couinas doucement puis la regarda dans les yeux lorsque de nouveau elle vint te tirer les cheveux, et après ces quelques mots, tu émis un nouveau grognement bref et faible à cause de ta respiration pas encore retrouver, te demandant vraiment de quoi elle était capable.

Tu te rallongeas le temps de retrouver complètement ta respiration le temps qu'Isako installe son machin de bois, qui ne te rassurait pas tellement, mais tu avais vraiment besoin de remplir ton corps à nouveau d'air. Tu regardas un instant Keibisu puis l'objet en bois et essayas de te t'enfuir ou au moins échapper à cet objet en bois, mais tu en étais incapable, Keibisu avait beaucoup plus de force que toi. La position que tu dus prendre t'énerver au plus au point et tu essayais de te sortir de la situation en t'acharnant sur le carcan en bois, même si c'était de l'énergie dépensait inutilement.

Tu te demandas avec quoi Keibisu pourrait bien s'amuser, même si l'annonce du fouet ne te rassurait pas du tout, et tes peurs ses confirmeraient quand tu reçus un premier coup et un premier cri sorti. Les premiers coups tu essayais de ne pas leur donner satisfactions en hurlant, mais les coups qui s'abattaient sur toi étaient relativement violents et marquaient ton corps, laissant par endroit des gouttes de sang coulaient. Tu serrais les poings tout en hurlant de douleur, n'arrivant pas à les retenir. Tes jambes commencèrent à trembler tant la douleur était présente, tes hurlements à chaque coup et quelques larmes qui coulaient, ainsi que le sang, qui était apparu sur ton dos, prouvaient la violence des coups que tu subissais.

Le bruit du martinet qui tomba au sol te rassura un instant, dirigeant ton oreille dans le sens des pas d'Isako, espérant que cela soit fini, tes jambes tremblaient un peu, ton corps tremblai à cause de la douleur et de la position peut confortable. Soudain une vive douleur traversa tout ton corps, provenant de ton arrière train, qu'avait-on introduit en toi ? Tu grognas et balanças un coup de pied en arrière espérant toucher le responsable, mais tu perdis assez vite l'équilibre, alors tu te ravisas. Ses paroles te faisaient peur, tu n'avais vraiment pas envie que quelqu'un revienne en toi, comme tu avais déjà subi dans ta vie antérieure, non tu ne voulais pas être pris de nouveau, tu avais déjà mal vécu les premières fois.

Lorsqu'elle bougea l'objet qui y était en toi, tu émis un nouveau grognement, même si ça t'accentuait la douleur qui provenait des différentes traces laissaient par les coups de martinet et de cravaches. C'est vrai que le grognement que tu avais lâché ressembler plus à un miaulement de chaton inoffensif. Soudain quand la main de ta maîtresse passa entre tes cuisses, tu écartas l'angle entre tes deux jambes préférant éviter qu'elle touche les endroits où elle t'avait frappé avec son martinet et lui avec sa cravache, tu les avais écartés pour le côté pratique et non par plaisir, mais quand elle inséra deux doigts dans ton intimité, tu envoyas un violent coup de pieds dans la direction d'Isako, quitte à perdre l'équilibre et t'arrachait un gémissement de douleur, provenant toujours des traces sur ton corps laissaient pour le précédent jeux du duos.

Tu grognais légèrement quand elle joua dans ton intimité à l'aide de ses deux doigts, les coups reçus plutôt ne t'aidaient pas à essayer de te défendre, tu avais atrocement mal surtout aux endroits où le sang avait réussi à apparaître. Tu profitas du moment où elle retira ses doigts, tu essayais de se reprendre un peu de force même si ce que tu entendais te faisait simplement peur. Dès qu'Isako indiqua que tu étais tout à lui, et qu'il pourrait s'occuper de toi en premier, tu commenças sérieusement à paniquer, en tirant sur le carcan en bois, sachant très bien que ça ne cédera pas, mais tu essayas quand même, et quand il commença à rentrer en toi tu te mis à pleurer suppliant doucement.

Non ... S'il te plait ... Pas ça ... S'il te plait Keibisu ...

De toute façon tes suppliques ne servaient à rien et il était déjà lancé dans ce qu'il faisait, et toi tu devrais encore une fois subir sans rien dire. Tu ne disais rien, juste quelques larmes silencieuses qui coulaient sur tes joues, ton corps souffrait, les blessures sur ton corps te faisait souffrir et lui te faisait souffrir et pas que physiquement, mais aussi psychologiquement, elle devrait pas craquer et essayer de rester forte, mais la situation ne l'aidait pas.

Tu la regardais se diriger vers le placard et s'armait d'un objet que tu n'avais jamais connu, mais cela ne disait rien qu'y vaille puisque qu'il ressemblait fortement à un sexe masculin, mais en plastique ou je ne sais quelle autre matière. Tu la regardais faire tout en gémissant de douleur par moment et quand elle s'approcha de toi avec son objet, tu fronçais les sourcils en couchant tes oreilles dans tes cheveux trempés, avant de cracher au pied d'Isako pour lui exprimer clairement ton désaccord avec ce qu'elle t'indiquait.

Lorsqu'elle te présenta son objet devant les lèvres, ton premier réflexe était de mordre dans l'objet, mais c'est vrai que la punition précédente t'avait fait comprendre qu'il ne fallait pas mordre, alors contrainte tu pris la réplique en bouche et pleura silencieusement, acceptant ton sort, mais tes sourcils et tes oreilles restèrent à la même place que précédemment.

Attaché au carcan, tu émettais des signes de mécontentements face au traitement que tu subissais, le violent coup de pied qui avait atteint le tibia d'Isako te satisfaisais, enfin un court instant vu la fessée que tu avais reçue sur ton arrière train et la nouvelle douleur qui traversa tout ton corps, ils n'étaient vraiment pas allés avec une main légère. Tu essayas un mouvement de tête vers l'arrière comme tu l'aurais fait en temps normal pour regarder Isako, n'ayant pas bien compris ce qu'elle insinuait par « tu agissais ainsi, car tu ne la connaissais pas encore ». Que voulait-elle bien dire ? En tout cas pour l'instant tout ce que tu savais d'elle, c'était qu'elle avait une sacrée libido et un toutou bien obéissant pour la protéger.

Keibisu rentra soudainement en toi, pénétrant tes chairs, rentrant entièrement en toi, tu gémis de douleurs avant de grogner faiblement face à son enthousiasme de te prendre maintenant. Cet instant lui plaisait fortement et le simple fait de le supplier ne fit qu'accentuait son envie, selon toi, puisqu'il t'agrippa bien fermement avant de commencer à faire son affaire. Il prit un bon rythme afin de faire de long vas et viens en toi, prenant tout le plaisir qu'il pouvait tandis que toi, tu luttais encore un peu, essayant de refuser le gode qu'elle te proposait. Finalement tu n'eus pas d'autre choix que de t'occuper de l'objet.

Les larmes coulaient le long de tes joues, il s'agissait de larme de douleurs, mais aussi des larmes dues à l'humiliation que tu subissais, tu essayais de ne pas trop y réfléchir et d'agir telle une poupée de chiffon qu'on manipulerait à sa guise. Subissant des assauts des deux côtés essayant de suivre les mouvements de bassins des deux, fixant ton regard vers la base du membre en latex, n'allant jamais poser ton regard vers celle que tu avais attaqué précédemment. Lorsqu'elle s'arrêta, tu fus soulagée, gémissant un tout petit peu en suivant le rythme de Keibisu, même si le peu de force qui restait en toi commençait à s'en aller, ne sachant pas si tu tiendrais la position encore un longtemps.

Tu regardas rapidement Isako et fermas un instant les yeux quand tu sentis Keibisu se retirait pour aller aider votre maîtresse, tu savais très bien que ce n'était pas fini, mais tu aurais un petit temps de repos, ton corps était déjà à bout, ton dos te faisait déjà bien souffrir et tu devrais réussir à trouver un peu de forces afin de survivre à la suite. Tandis qu'il installait la potence et les angles, tu essayas de venir te mettre à genoux, complètement épuisée, tu étais vraiment à bout. Dès qu'il se dirigea vers toi, afin de t'installer sur le nouveau jouet, tu te relevas rapidement, tu ne voulais pas qu'on te tire de nouveau par les cheveux. Et lorsque tu fus enfin libre tu vins doucement te redresser et frotter ton cou puis tes poignets, tout en prenant la direction de la potence, ne laissant pas le temps à Keibisu de t'attraper par les cheveux, tu t'arrêtas devant la potence et te laissas installer sans rien dire, à quoi bon se rebeller une nouvelle fois.

Une fois installée, tu regardais les deux face à toi, mais surtout Isako revenir avec un bâillon, tu avais déjà eu le droit de porter des bâillons, mais jamais dans cette situation. A bout de force et t'estimant complètement perdante, tu ouvris la bouche avant même qu'elle te le demande, de toute façon le seul endroit où il pouvait aller c'était là. Si tu n'avais pas été dans cette situation, tu aurais bien ri à son nez, pitié de toi, en ce moment, cela t'étonnait grandement, et si c'était pour te rassurer un peu, c'était raté.

Tu la regardas préparer du lubrifiant sur ses doigts puis l'étalait, avant de regarder droit devant, ne voulant pas la voir réintroduire ses doigts en toi. Tu gémis doucement en sentant le plug sortir, mais te crispa aussitôt que ses doigts qui entrèrent en toi, cette fois tu n'envoyas pas de coups, rien, tu subissais simplement espérant que cela serait bientôt fini. Est-ce que tu étais prête à subir un nouvel assaut ? Toute personne normalement constituait ne devait jamais être prête à cela, surtout lorsqu'il s'agissait d'un viol. Oui c'était bien un viol que tu subissais, essayer de résister à présent. Tu répondis à sa question juste avec un petit hochement négatif, sachant très bien que cela servirait à rien.

Lorsqu'elle vint claquer ton arrière train, tu couinas en te courbant un peu, les douleurs étaient encore vives à causes des coups reçus plutôt, puis te laissas de nouveau faire telle une poupée, crochetant tes jambes autour de la taille d'Isako, tout en gémissant doucement quand elle te pénétra avec le gode. Tes larmes coulèrent de nouveau et tu le regardas, avant de détourner le regard, non tu n'étais pas une chienne et ce n'était pas complètement ta faute non plus, bon peut-être que tu l'avais quand même bien cherché.

Gémissant doucement à ses vas et viens, tu essayais de ne pas penser à ce qu'allait faire Keibisu, mais quand tu le sentis te prendre, tu paniquas et avec un regain d'énergie tu essayais de te débattre tirant essentiellement sur tes poignets, tu ne voulais pas qu'on te prenne par-là. Personne ne l'avait jamais fait, et cette fois c'était une vraie peur, t'affolant de plus en plus en tirant pour te défaire, détachant des jambes des hanches d'Isako, quitte à te faire mal, tu voulais échapper à cette pénétration forcée.

Attaché à un poteau à présent, les jambes entourant les hanches de ma maîtresse, j'avais décidé de ne plus me défendre, de toute façon, ça servait à rien, je n'avais pas vraiment le choix, maintenant la seule chose que je voulais c'était en finir rapidement. Une fois fini, je pourrais sûrement être un petit moment tranquille, sans qu'on me demande quoique ce soit. Les paroles de ma maîtresse me blessèrent intérieurement, c'était pas vrai, je n'étais en aucun cas une « chienne », ce que je subissais en ce moment me ne plaisait guère, mais autant prendre un minimum de plaisir si ça devait encore durée un petit moment. Couchant les oreilles, je lui lançais un rapide regard noir, mais je le perdis aussitôt que Keibisu frotta son sexe à mon arrière train.

Je commençais à me tendre un peu jusqu'à ce qu'il tente d'entrer, là avec je ne sais quelle énergie qui se cachait en moi, je réussis à me débattre un bref instant, la pression sur la gorge qu'exerçait à présent Keibisu sur moi ainsi que les ongles plantaient de ta maîtresse dans tes cuisses accompagnés d'une menace te firent rapidement obéir et laisser tomber l'envie de te débattre. A quoi bon à présent se débattre ? C'était un peu trop tard et cela ne servirait à rien, autant subir et attendre sagement la fin.

Au début le rythme, qu'ils m'imposaient, était plutôt « agréable » et supportable, mais quand Keibisu accéléra suivi d'Isako, ce fût légèrement différent, beaucoup moins agréable, ce qui m'arrachait quelques plaintes douloureuses. Les gémissements avaient en partis disparus, ne souhaitant en aucun leur donner satisfaction, de m'entendre de nouveau gémir de plaisir ou d'un plaisir simulé. A un moment, je croisais le regard d'Isako, me demandant ce qu'elle préparait de nouveau et l'écouta réfléchir à voix haute. Ce que j'entendis me plaisait guère, mais dire non ou se défendre à nouveau ne ferait que m'attirer des ennuies inutiles et la décision qui fut prise me semblait tout de même la plus acceptable. Il était hors de question que tu viennes lécher le sol pour nettoyer le sperme de cet hybride qui ressemblait plus au toutou de madame.

Subissant toujours les assauts des deux individus, espérant que Keibisu vienne assez vite, priant qu'il soit précoce afin d'en finir encore plus vite. Lorsqu'il vint enfin tu laissas une petite larme de honte coulait le long de ta joue et détourna le regard de façon qu'Isako ou Keibisu ne puisse te regarder dans les yeux. Après le dernier coup de reins infligés par la jeune femme, les deux une fois ressorti, tu cachas un léger soupir de soulagement en apprenant que c'était enfin fini. Je regardai rapidement Isako en l'écoutant, ce qui était sûr, c'est que ce ça me suffisait bien assez comme punition, et que l'envie de grogner, mordre ou désobéir m'avait passé.

Lorsque je fus enfin détachée, j'eus le réflexe de me frotter directement les mains tout en bougeant un peu la mâchoire et regardas Isako.


Oui promettre d'obéir à Keibisu était pas facile pour moi, j'en avais aucune envie de lui obéir, c'était qu'un profiteur que tu détestais, mais si ça te permettait d'avoir un peu de répits, alors  au tant faire plaisir à Madame. Tu continuais de regarder Isako, ignorant royalement Keibisu.

En tout cas Isako avait l'air satisfaite de ma promesse puisque je pus aller rejoindre la salle de bain de l'étage, marchant d'un pas peu rapide à cause des différentes douleurs que je ressentais dans tout ton corps. Une fois sous la douche, je pris tout le temps que je pouvais pour me laver entièrement et surtout essayer de faire disparaître la douleur encore vive provenant des blessures infligées par le martinet et la cravache, mais aussi provenant de mon intimité et arrière-train précédemment violés. Malgré la douleur, je passais plusieurs couches de gel douche et plusieurs fois le jet d'eau afin d'essayer de faire disparaître les traces du passage de Keibisu.

Ma douche finie, je pris un peu de temps avant de sortir de la salle de bain toujours nue, tout le temps que j'avais passé sous la douche, les larmes avaient coulé en continue sur mes joues, mais à présent il fallait sortir de cette pièce est allée rapidement dans ma chambre. Alors, je passai mon visage à plusieurs reprises sous l'eau froide, me séchas et marchai beaucoup plus rapidement afin d'aller m'enfermer dans ma chambre. Une fois là, j'enfilais rapidement une culotte et un de mes nouveaux sweat avant d'aller m'enrouler sous la couette et essayais de m'endormir un peu.