C'était le petit matin... Meiko, revenait de son service auprès d'un riche japonais à qui elle avait dévoiler les merveilles de l'exotisme de Togi... Un client de plus satisfait, mais pas de pourboire, malheureusement. Les russes et les américains sont un peu plus généreux, si on leurs faits voir les étoiles... Les français aussi, donnent mais avec un peu plus de difficulté et il faut pousser les ronronneries ensuite pour ne pas faire regretter leurs dons. Les asiatiques, demeurent encore beaucoup dans le bien immatériel et donc, pour remercier Meiko de ses services, bien qu'il ait déjà payé sa nuit en sa compagnie par carte au centre de location, il avait noyé la neko de compliment qui remplissait son ego et la faisait sentir comme une déesse de la compagnie de luxe.
Déesse... Et toujours sans maître cependant... Ne dit-on pas que la plus belle des femmes, est celle qui est libre ? Qu'en est-il des hybrides alors ? Qui croupissent en location car jamais personne ne s'est réellement attardé sur eux au point de les vouloirs définitivement. Trop vieux, abimé, pas assez attachante, trop commune, pas assez rare ou c'est mieux d'en avoir pour "une ou deux heures"... Meiko connaissait les excuses par cœur de tout ces hommes ou femmes qui ne souhaitait pas s'engager et s'alourdire d'un hybride mais en bénéficier des avantages pour une durée limité.
La chatte... Connaissait le chemin du retour par cœur, elle avait foulé tant de fois ce sentier qui doit la ramener à la "maison". Le centre, n'a rien de chaleureux et même si on peut penser que l'annexe dédié à la location est un peu plus souple en matière de règle, ça reste une prison et la discipline est de fer. Meiko, ré-ajustait son kimono pour l'occasion... Il était doux, chaud et revenir au tissu synthétique de l'uniforme de centre... C'est un retour à la réalité amer. Meiko, aurait pu s'échapper, mainte fois... Mais non, la neko connait trop bien le prix de la désobéissance et pas une fois elle a envié ses congénères qui sont rentrés dix minutes en retards, à cause d'un détour, ou qu'importe l'excuse et de leurs séjours dans le service de redressement... Lorsque la porte est mal fermé, on entend les cries de souffrance des malheureux et ça peut vous hanter toute la nuit.
C'est une hybride model dans son travail... Efficace, ponctuel mais en dehors... Un caractère de chien. Voilà le problème. Meiko, pénétrait dans le secrétariat et une gardienne sans plus de cérémonie passait le détecteur de métal autours de son corps avant de passer à une fouille.
_ Tu ne dis pas bonjour ? Meiko ?
La gardienne... Humait sa longue chevelure blanche tout en laissant ses mains gantés parcourir son corps à la recherche d'un quelconque objet ou souvenir de la nuit, illicite.
_ Bonjour.
Répondit-elle, simplement. La gardienne, déçu de ne rien trouvé reculait en prenant soin de détacher son obi.
_ Je vais mettre ça sur le compte de la fatigue... Mais tâche d'être un peu plus "heureuse" en revenant ici.
La gardienne... Fouillait derrière son bureau et tendis un uniforme beige.
_ Tu connais la musique... Allez circule.
Du regard. Elle invitait l'hybride à passer la porte sécurisé. La lampe verte scintilla et Meiko pénétrait dans l'annexe de location. Rapidement, elle jetait un coup d'oeil à l'horloge mural... A peine 8h, avant de dormir, pourquoi ne pas prendre un petit déjeuné ? Mais d'abord, elle se dirigeait au vestiaire, elle y rendit le kimono et enfilait cette uniforme qu'elle maudissait ! Il était sec, avec une odeur de lessive bon marché et l'étiquette au dos la grattait parfois.
Meiko... Prit ensuite le chemin vers le self, toutes les hybrides n'étaient pas encore présentes. Fatiguée, lassée de sa nuit, Meiko voulait juste avaler quelque chose en vitesse, histoire d'avoir quelque chose dans le ventre avant de tomber dans les bras de Morphée. La Neko ne prit pas la peine de faire la queue comme toute les débiles ou nouvelles... Ici, elle est considéré comme une ancienne, certaines la respecte, d'autres...
_ Non mais pour qui tu te prends ?! C'était MON verre de jus d'orange.
Meiko, lui lançait un regard noir, mais ce n'était pas suffisant... Alors elle bu d'une traite le verre avant de le déposer sur le plateau de la gémiarde.
_ Bha voilà, je te l'ai rendu.
Déclarait-elle avec un sourire des plus cyniques dont elle a le secret. Un sourire, qui rend fous.
_ Salope ! _ C'est ça, c'est ce qu'on fait toute ici chérie.
Renchérissait-elle. Sans plus d'animosité et en attrapant un morceau de pain qu'elle avalait sur le chemin de sa "cellule". Un gardien lui ouvrit et refermait aussitôt. Sa prochaine sortie dans l'annexe serait pour midi. Pour l'heure, son coin ne lui offrait que peu d'intimité. Derrière elle, la porte, à gauche et à droite, des murs de béton gris et en face, les barreaux de métal et le couloir ou les potentiels visiteurs/locataires d'hybrides passe pour voir la marchandise et la choisir. Meiko soupirait et rejoignait péniblement son lit froid. Elle aurait au moins du prendre un petit café... Tant pis !
Sa longue queue en panache, blanche. Se rabattait sur elle en guise de couette supplémentaire, plus douce. Elle songeait à combien de temps elle resterait là encore, jusqu'à ce qu'un habitué veuille de sa compagnie, ou un nouveau... Pour combien d'heure... A peine rentré et sa seule envie c'est...
Sortir.
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Mar 25 Juil - 23:16
Cela faisait un petit moment que Luka était arrivé à Togi, près d'un an, il avait pu étudier et dresser toutes sortes d'hybrides, des plus simples aux plus farfelus, des plus faciles au plus difficiles, il savait être juste même s'il était particulièrement cruel avec les petits récalcitrants. Aujourd'hui Luka était décidé, il avait envie d'adopter une Hybride, il avait pour projet de prendre plutôt une femelle, une femelle de caractère, ni trop ni trop peu, qui reste tout de même obéissante, pas forcément pour un désir sexuel, il n'avait pas que ça a faire dans la vie mais peut-être pour l'aider au foyer, il rentrait de plus en plus tard en partant de plus en plus tôt, et lorsqu'il était chez lui, l'homme se sentait de plus en plus seul, il avait pourtant l'habitude, mais il était aussi bon d'avoir quelqu'un à la maison lorsque l'on rentre chez soit, que le repas soit pret, que le linge soit propre sans avoir forcément besoin de penser à l'emmener chez le pressing. Et puis, quelques rebondissements de temps en temps n'étaient pas de refus, bref, il avait besoin de pimenter un peu sa vie et un hybride avec un minimum de caractère pourrait peut-être l'y aider. Il avait regardé les fiches de suivit de la plupart des hybrides et en avait repéré une, elle était plutôt docile mais disons que son caractère se rapprochait de celui de ces fameux chats capricieux et indépendants, cela avait de bons et mauvais côté, d'une part il n'aurait pas besoin d'être présent toute la journée, de l'autre il n'était pas là pour la servir mais bien l'inverse. Alors il se rendit au niveau des cages dans lesquelles étaient ces hybrides de location et s'arrêta devant celle de la jeune minette aux poils blancs et soyeux et il n'hésita pas une seconde à entamer la discussion :
- Bonjour Meiko, c'est bien ton prénom n'est-ce pas ?
Il avait ouvert la cage sans attendre de réponse pour aider la jeune chatte à s'y extirper en lui tendant sa main gantée de cuir avec beaucoup de délicatesse comme si la jeune femme était précieuse. Il fallait avouer qu'avec son regard d'or et ses cheveux blanc et soyeux elle était plutôt jolie mais ça n'était qu'un détail, ce n'était pas pour cela qu'il l'avait choisie, après tout de jolies hybrides encore plus dociles ne manquaient pas, seulement, la plupart du temps ces hybdrides en question attendaient toujours au fond d'elles une reconnaissance et de l'affection, Luka n'était pas là pour en donner en priorité même s'il en était tout à fait capable. Il savait faire de rigueur et de poigne autant qu'il savait être doux et soigneux. Il devint clair avec elle d'entrée de jeux, que les choses ne restent pas floues ou ambiguës, sa voix était neutre et d'un volume ni trop faible ni trop fort :
- Bien, saches que je compte t'adopter
Il fallait préciser la chose car en effet jusqu'ici l'hybride n'avait connu que la location, donc jamais quelque chose de particulièrement stable, elle avait dû en voir de toutes sortes et de toutes les couleurs, et pourtant elle était une hybride modèle bien que tout les dresseurs soient au courant qu'elle n'était pas toujours très tendre avec ses semblables hybrides. Mais cela importait peu le bosniaque qui trouvait que cela était une force de caractère, elle était un electron libre dans sa captivité, c'était paradoxal mais tellement réaliste. Il reprit avec un regard neutre, presque avec galenterie mélangé à une certaine fermeté qui démontrait qu'il n'était pas la bonne poire chez qui l'on pouvait faire le pacha, pas ce fameux humain qui se fait servir par son chat comme l'illustre si bien le cliché dont tout le monde a au moins entendu parlé une fois dans sa vie :
- Je compte sur toi pour m'aider dans ma vie personnelle, peut-être professionnelle un jour mais cela reste à voir...
Et ce point là était surtout selon ce que la jeune femme désirerait, si elle était interessée pour le dressage d'autres hybrides et qu'elle se montrait tout aussi efficace que dans son travail actuel pourquoi pas ? Mais seulement si elle en avait envie, cela serait très certainement l'un des seuls points sur lequel elle aurait un libre arbitre. Luka lui épargna le collier et la laisse, ces instruments étaient fait pour humilier les hybrides à remettre dans le droit chemin ou même pour les parties un peu maso mais il n'en nétait pas du tout question sur cet instant. Luka reprit :
- En attendant, j'ai appris de toi que tu avais un sacré caractère... dis m'en un peu plus ?
II serait intéressant de voir si la minette essaierait de l'amadouer d'une quelconque manière, de mentir ou d'être dans la plus grande honnêteté avec lui, le dernier point serait le plus appréciable pour démarrer sur de bonnes bases, si ce n'était pas le cas il s'occuperait de cela comme il se doit.
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Dim 30 Juil - 19:21
La neko... Avait réussi à dormir, peut-être trois quart d'heure, plus d'une heure. Elle ne savait pas trop car, le réveil fut fort indélicat. C'est la voix d'un homme qui la sortie de ses songes bien plus colorés et libre que cette pièce, cet expo' d'hybride tel un rayon de supermarché. - Bonjour Meiko, c'est bien ton prénom n'est-ce pas ?
L'abordait-il. D'une voix décisive, tranché. Meiko, tendit son oreille blanche avant de se tourner mollement vers lui. Sur le coté, elle ouvrait ses pupilles dorés et fatigué sur l'homme en question. Impeccable dans un costume noir et blanc, carré et plutôt grand. La féline avait du mal à réprimer un bâillement, la nuit a été courte, trop courte et devoir enchainer là, maintenant avec un nouveau client ? Vraiment ? C'est ça la popularité mêlé à un travail de pro'... Les gens ne peuvent plus se passer de vous et ne vous donnes plus aucun répit. L'hybride, fixait de ses pupilles ce dernier et lui sourit simplement en guise de réponse, en réalité, elle était encore un peu trop dans le cake pour lui répondre une phrase cohérente et quelque part, Meiko regrettait que ce n'était pas une autre hybride qui ne l'ai pas réveillé... Au moins, elle lui aurait appris les bonnes manières.
L'inconnu... Fit alors quelque chose d'inattendue. Le son de sa porte métallique qui se déverrouille, vraiment ? On ne peut faire meilleur réveil, que se passe t-il ? Il veut la louer, dès maintenant ? C'est bizarre, ce n'est pas la procédure habituel. Il avait piqué la curiosité de la neko, qui se levait et s'étirait tant bien que mal dans la cage. Ses longs cheveux blancs parcourait son corps et camouflait sa longue queue blanche par endroit. Qui est-il ? Que veux t-il ? Et surtout, que fait-il ? Il lui tendait une main ganté... Tout est si sérieux. Un stress envahissait peu à peu l'hybride, est-ce qu'on va la piqué ? Machinalement, elle posait sa main dans la sienne pour sortir de la cage, très attentif à lui et ses propos.
- Bien, saches que je compte t'adopter
Vraiment ? Meiko, n'était pas certaine de ce qu'elle avait entendu. C'était comme un choc et à la fois, ça sonnait... Tellement étrange. Lui, il arrive de nulle part "Bonjour, je t'adopte". Oui, c'est vrai que ça se passe comme ça en théorie, à l'animalerie peut-être bien, mais ici... On prend, on jette et on reprend plus tard, peut-être. Donc là, une adoption, maintenant ? Meiko pensait toujours que si un désirait vraiment l'avoir, ça serait un habitué... Mais personne ne s'habitue en fin de compte. En tout cas, cet illustre inconnu était cash, et Meiko, pour une fois ne savait pas quoi répondre. Trop agréablement surprit ? Elle ne sautillait pas de joie, ni poussait la ronronnette... Méfiante, elle demeurait neutre dans son attitude, c'est peut-être un test ? Lui aussi, après tout semblait très calme.
- Je compte sur toi pour m'aider dans ma vie personnelle, peut-être professionnelle un jour mais cela reste à voir...
Précisait-il. Toujours très sérieux et c'est peut-être grâce à ce ton que Meiko compris... Que c'était vrai. La neko, avait les mains derrière le dos, l'observant de haut en bas. Il se tient vraiment droit et semble inflexible... Et donc, il cherche une bonniche ? Ah, y'a aussi l'aspect professionnel... Mais quel est sa profession ? Ou bien même son nom ?
- En attendant, j'ai appris de toi que tu avais un sacré caractère... dis m'en un peu plus ?
AH ! Elle peut enfin en placer une... Meiko sait qu'on ne fait jamais deux fois, une première impression... Simplement là, il avait bien choisit son jour pour l'adopter. A moitié vaseuse à cause de ses heures manquantes de sommeil, Meiko, baillait à nouveau, laissant entrevoir ses canines félines, puis, elle s'étirait sur la pointe des pieds. Même ça, ça ne suffisait pas pour qu'elle le rattrape en taille.
_ Hmm navrée... J'ai travaillé cette nuit et je ne suis rentré que ce matin même alors...
Introduisait-elle, avant de reprendre.
_ Oui j'ai mon caractère, c'est sûrement ça qui fait que je n'ai jamais eu de maître fixe et qu'on m'a collé ici... Je suis une neko, que dire... Vous aider dans votre vie ? Je n'ai fais que des tâches d'Escort Girl, pas de Cendrillon, donc prétendre changer votre demeure en château, serait clairement abusé... De même que vous avez une drôle d'allure pour un prince charmant... On dirait plus un tueur à gage.
Exprimait-elle, sans filtre.
_ Néanmoins... Je peux apprendre... Apprendre à vous convenir et peut-être que vous aussi, vous me conviendrez... Après tout, je suis un chat et on ne peut acheter mon affection contrairement à un vulgaire cabot.
Ajoutait-elle. Avant de ré-ajuster son uniforme, déjà froissé.
_ Est-ce que je peux au moins savoir à qui j'ai affaire ?
Questionnait-elle, curieuse à son égard en retour. Il n'était pas question pour elle d'étaler ses qualités et ses défauts... Il les sauras en temps et en heure si il tient vraiment à l'adopter.
Surprise !
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Dim 30 Juil - 22:38
Ce chat était un pacha. Elle avait son petit caractère en effet, elle était totalement indépendante, et en effet ce n'était pas une sexualité, une fille de joie que recherchait l'homme mais plutôt un chat utile, elle avait un veritable caractère de chat et cela plaisait à l'humain, cependant il ne tolérait pas le manque de respect. Pour le moment elle était tout a fait correcte avec lui, simplement un peu capricieuse, mais comme elle l'avait précisé et comme l'homme s'y attendait, elle n'était clairement pas comme un petit toutou qui vous accueil en battant de la queue le soir, qui ne fait pas la bonniche et n'est pas prête à tendre l'autre joue si on lui met une giffle. Les choses étaient très claires et sans surprise. Alors le bosniaque répondit à la jeune femme à la queue et aux oreilles touffues :
- Au temps pour moi, je suis Luka Milosevic, dresseur dans ce centre, j'entends donc les rumeurs et les bruits de couloirs.
Il regardait la jeune féline dans ses détails sans non plus être trop insistant au risque de l'indisposer, il reprit sur un ton franc, honnête, ne laissant pas de place aux doutes pour poser le cadre d'entrée de jeu afin que la jeune femme ne puisse se sentir trahie ou abusée, même s'il était dresseur et qu'elle était en position d'esclave l'homme pouvait être très doux dans la vie privée, se montrant même parfois attentionné. Et en effet il avait besoin de quelqu'un pour son chez lui, pour lui tenir compagnie ainsi qu'a Dimitry, que ses journées ne soient pas moroses. Un caractère de chat était donc interessant, distante, ne cherchant pas forcément d'affection mais capable de tenir compagnie. de l'aide pour s'occuper de l'appartement mais aussi des papiers était chose importante. Il n'avait pas besoin d'une escort, mais la jeune femme pouvait très certainement être attendrissante, comme un chat, et depuis le temps qu'il était sur Togi et qu'il était en contact avec les hybrides dans la vie professionnelle il était tenté de s'en procurer dans la vie privée :
- Tu ne me serviras pas d'escort, je n'ai pas besoin de ça, je te demanderais de l'aide pour certaines tâches administratives, je t'apprendrais et dans les tâches ménagères.
Il n'était pas particulièrement souriant mais très axé sur l'honnêteté. Il reprit donc avec le même ton après avoir refermé la porte de la cage de la féline alors qu'elle s'étirait :
- Tu ne seras pas seule la journée, je te laisserais faire les courses, ce n'est pas compliqué, je te laisserais un certain montant, tu seras relativement libre mais je te demanderais tout de même un peu de compagnie en cas de besoin.
Il invita la jeune femme à sortir de cet endroit puis il lui dit de façon un peu plus froide, refermant la porte et la regardant dans les yeux pour mettre un accent sur le fait que ce qu'il allait dire était un point important :
- On m'a dit que tu étais sérieuse dans ton travail et investie, si jamais tu me déçois tu risque d'en payer le prix, et cela peut coûter cher...
En effet il faisait partie de ceux qui n'ont pas d'états d'âme lorsqu'ils châtient leurs esclaves. Sur ce point il fallait être clair pour limiter toute tentative de trahison de sa part. La puce dont elle était équipée disposait d'un traceur gps, si elle fuyait il était évident que des rabatteurs seraient lancés à sa poursuite, elle n'avait donc aucun intérêt à entreprendre une telle folie, mais elle devait très certainement le savoir. L'homme lui demanda afin de s'assurer que la jeune femme soit pleine de bonne volonté pour le suivre !
- Es tu partante pour vivre cette vie là chez moi ? Si ce n'est pas le cas sois claire tout de suite sinon je n'hésiterais pas à te renvoyer ici.
En effet, il n'aurait aucune difficulté à agir de la sorte, après tout c'était lui qui l'extirpait de cet environnement, il pouvait donc l'y renvoyer à sa guise.
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Mar 1 Aoû - 18:40
L'étranger qui avait toute son attention finit par lui répondre.
- Au temps pour moi, je suis Luka Milosevic, dresseur dans ce centre, j'entends donc les rumeurs et les bruits de couloirs.
Meiko. Ne su réprimer une grimace lorsqu'elle entendit sa fonction, un frisson parcouru son échine également et ses poils s'hérissèrent... Un dresseur qui veut l'adopter ? On en est donc arrivé là, à cet extrême ? Ce n'est donc plus le commun des mortels qui peut prétendre l'adopter, non, on passe au cran supérieur... Le dresseur d'hybride. Un homme de la maison soit ! Il avait une attitude tellement militaire, le problème, c'est que Meiko en avait tellement à foison des hommes ou des femmes comme lui, que lorsque l'un d'eux, venait à elle vêtue différemment, bha elle n'était plus capable de le cerner. Trop dresseur, tue le dresseur probablement. Elle croisait à de nombreuses reprises son regard, ils s'examinaient, sans doute.
- Tu ne me serviras pas d'escort, je n'ai pas besoin de ça, je te demanderais de l'aide pour certaines tâches administratives, je t'apprendrais et dans les tâches ménagères.
Reprit-il, toujours directement. Au moins, il faisait preuve de compréhension concernant ses apptitudes, passer d'Escort à Cendrillon ou secrétaire, ça ne se ferait pas en un jour... Mais si il prétend pouvoir lui enseigner, Meiko est bien curieuse, car d'après les femmes qu'elle a coonue, les hommes ne sont pas vraiment des champions dans la propreté, l'hygiène... Alors, que lui apprendrait-il ? Luka, refermait la cage, comme si il était certains de son achat et ajoutait sur le même ton.
- Tu ne seras pas seule la journée, je te laisserais faire les courses, ce n'est pas compliqué, je te laisserais un certain montant, tu seras relativement libre mais je te demanderais tout de même un peu de compagnie en cas de besoin.
Un sourire... Naquit sur le visage de l'hybride féline. Être relativement libre ? Jusque où ? Oui, elle le ronronnerait, un peu, peut-être mais... Pourquoi ne développe t-il pas le point de la liberté ? C'est ESSENTIEL ! Cette phrase, était comme un rayon de soleil dans la vie jusqu'à présent pourrit de la Neko. Qui avait toujours eu la liberté de fermer sa gueule et de travailler. Comme charmer par ce serpent et ses promesses sifflantes de liberté, docilement, Meiko le suivait, quittant l'exposition des hybrides à louer.
- On m'a dit que tu étais sérieuse dans ton travail et investie, si jamais tu me déçois tu risque d'en payer le prix, et cela peut coûter cher... _ Il y a une différence entre faire un travail de quelques heures, subir n'importe qui, n'importe quel humeur pour une poignée de minute et... Partager sa vie de tout les jours avec la même personne, en tout temps.
Soulignait-elle. Meiko en a rencontrée des cons, mais seulement pour une heure ou deux, alors c'était supportable et payé ! Tandis que là... Si Luka se révèle être un tyran ou un ahurie... Il n'y a pas moyen de repartir au centre ou de feinté une arrivé de menstruation. Quelque part, Meiko ressentie une forme de pression... Elle allait devoir s'adapter à lui, de sorte à ce que ça fonctionne dans le bon sens entre eux... Hors, c'est là quel péchait ! Puisque la plupart de ses anciens adoptant la rendait tôt ou tard pour x raisons stupide. Oui, griffer la tapisserie du salon parce qu'elle est dégueulasse et donne la gerbe, est une raison stupide de rendre Meiko... Elle a un minimum de bon goût ! Et ce n'est pas le cas de tout le monde... La voix, direct et dur du dresseur, la sortie de ses réflexions.
- Es tu partante pour vivre cette vie là chez moi ? Si ce n'est pas le cas sois claire tout de suite sinon je n'hésiterais pas à te renvoyer ici.
Meiko... Relevait son regard doré vers ce dernier, il avait des petits yeux d'un noir profond. Puis, elle répondit avec légèreté.
_ Il n'y a pas pire qu'ici... Donc, je pense pas faire le mauvais choix en essayant d'apprendre à vous servir. Luka.
Répondit-elle, en appuyant son prénom.
_ Je ne vous ai jamais vu comme dresseur... Vous êtes dans la section canine ? Humaine ?
Questionnait-elle, faussement intéressé en fait. Tout d'eux avançait vers l'accueil, passant une dernière porte de sécurité. Déjà, ça sentait moins le moisi et bien plus l'air frais. En revoyant sa copine à l'entrée de l'annexe, Meiko ne pu réprimer un sourire provocateur "Et ouais ma grosse dégueulasse, j'me casse !". Pensait la Neko, une étincelle d'arrogance dans son regard, ça n'échappait pas à la surveillante qui l'avait fait rentré plus tôt dans la matinée.
_ Monsieur Milosevic, vous êtes sûre de votre choix ? Je ne pensais pas que vous la choisiriez... Elle.
Déclarait la surveillante, dégoutée de voir une de ses paires de seins et de fesses préférée partir.
_ Bha, à ta place j'aurais pas parié que je passerais ma vie ici... Contrairement à toi... Quel ambition, ma pauvre.
Se moquait ouvertement Meiko, sur un ton prétentieux. Le sang de la dresseuse ne fit qu'un tour et par réflexe, elle attrapait la matraque à sa ceinture, Meiko s'accrochait au bras de Luka, un peu derrière lui.
_ Non non non, tu n'as plus le droit de lever la main sur moi... C'est monsieur ici présent qui en a le droit, désormais.
Luka.. avait ainsi un petit échantillon du caractère de la Neko, qui narguait ouvertement la dresseuse. L'humaine homosexuelle s'en mordait la lèvre, limite à sang.
_ Vous devriez investire dans du matériel de correction... Vous savez qu'en étant de la maison, vous avez un prix, monsieur Milosevik ? Prenez un collier étrangleur, une cravache... Mattez la, c'est une peste.
Meiko haussait les épaules. Quel rage, c'est son son seul droit, aussi pathétique soit-il... Allez, qu'elle amène les papiers, que Luka signe et ciao !
Tu l'as dans le cul grosse vache !
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Mer 2 Aoû - 20:30
Le dresseur avait bien observé et comprit le jeu de la créature, il avait vu bien pire dans sa carrière, cependant, pour une première approche elle n'était pas très discrète et son principal trait de caractère se dessinait déjà, avant même de pouvoir observer à quel point elle pouvait être assidue l'homme remarquait que la féline était avant tout une sacré boule de poils au caractère fort et provocateur, une vrai petite princesse... Un chat en somme... Il n'était pas étonné de cela, cependant, il faudrait revoir son éducation quant à sa politesse, en effet, il est possible de combiner savoir vivre et fort caractère, elle était affirmée dans sa façon de faire, mais il n'était certainement pas une bonne raison pour parler de la sorte à la dresseuse qui conseillait à l'homme de prendre un autre animal. Luka regardait la féline qui se mettait en retrait derrière lui, s'accrochant à son bras, elle faisait sa maline en nargant la dresseuse, pensait-elle réellement que Luka serait de son côté et qu'elle échapperait aux remontrances ? Elle se mettait le doigt dans l'oeil jusqu'au coude, et le bosniaque ne tarderait pas à le lui faire remarquer. Il saisit le bras de la jeune femme aux yeux dorés pour la faire lâcher, il la fit tourner d'un quart pour qu'ils se retrouvent l'un en face de l'autre et lui dit d'un ton glacial, afin de lui montrer qu'il n'entrerai pas dans son petit jeu : - Ne te méprends pas jeune fille, je ne suis pas là pour être ton protecteur...
Il ne plaisantait pas, il l'attrapait par le menton, fermement mais sans violence ni brutalité :
- Ne crois pas que je sois là pour te servir, n'oublie pas la politesse, rappelles toi quelle est ta position, tu n'es là que pour servir, si quelqu'un a quelque chose à dire à cette dame c'est moi, alors apprends à te taire lorsque c'est nécessaire, Comprit ?
Il ne plaisantait pas, son regard rouge était planté dans les yeux de la féline, Une fois sa réponse donnée il prit une paire de menottes qu'il avait à la taille pour lui attacher les poignets avec rapidité et dextérité, il avait l'habitude. Il regarda la dresseuse et lui répondit en tirant sur les poignets la féline au pelage blanc pour la ramener vers lui: - J'ai ce qu'il faut, je sais comment m'y prendre merci.
Sur ce, il se plaça lentement comme un prédateur derrière l'hybride, essayant de contenir son envie de la torturer en privé, ce n'était pas pour le travail, il n'y prendrait pas autant de plaisir et cela serait inutile, cependant, face à ce manque de respect et à cette attitude dont elle venait de faire preuve il était inconcevable de ne rien faire. Avec son pied il contraint la jeune femme à se retrouver à genoux en exerçant une pression rapide juste derrière ces derniers. L'homme aux yeux bordeaux se pencha à l'oreille blanche et touffue de Meiko pour lui dire d'un ton froid mais autoritaire : - Demande lui pardon...
L'homme ne lui laissait pas le choix, si elle ne s'executait pas elle risquerait pire, et à ce moment là elle regretterait amèrement son comportement. Bien entendu il était évident que la jeune femme se doute qu'elle subirait les foudres du blond si elle allait à l'encontre de ses instructions, c'était la raison pour laquelle il était inutile de le lui préciser. La gardienne regarda suspicieusement la féline, elle attendait avec impatience les excuses, à présent c'était elle qui avait les commandes pensait-elle, ou presque puisqu'elle ne pourrait pas la battre, alors, qu'allait répondre cette petite chatte ? Serait-elle obéissante pour cette foi ?
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Jeu 3 Aoû - 16:30
Pour Meiko... C'était un délice de voir cette pauvre surveillante, mordre sur sa chique, dans l'impossibilité de réagir désormais. Il n'y a pas à dire, la vengeance est un plat qui se mange froid. Simplement, monsieur Milosevic ne semblait pas partager la joie de son hybride, au contraire, il jouait clairement les rabat joie en recadrant Meiko oralement et avec une certaine brutalité. Directement, de sa main ganté et tenant son menton, leurs regards se croisèrent... - Ne crois pas que je sois là pour te servir, n'oublie pas la politesse, rappelles toi quelle est ta position, tu n'es là que pour servir, si quelqu'un a quelque chose à dire à cette dame c'est moi, alors apprends à te taire lorsque c'est nécessaire, Comprit ?
Meiko... Mordait sur sa langue, gardant une gerbe de venin, non pas contre lui mais contre la sombre idiote qui assistait au spectacle. L'hybride neko sentait qu'elle jouait avec le feu, ce dresseur, ne faisait pas dans la dentelle et d'ailleurs il ne lui avait pas répondu sur la section du centre qu'il occupait. Soudain, une chose que la minette n'avait pas vu venir... Des menottes ! Celle qu'on lui passe d'habitude, sont en plume ou en fourrure... Celle-ci, sont froide, entravante et douloureuse, on pouvait entendre un petit râle de mécontentement de la féline. Cependant, ce n'était pas finit, avec un coup de pied, il la fit basculer en avant, à genoux devant la surveillante... Il exigeait un pardon ! Elle est bien bonne... Un moment de silence s'écoulait, le temps que la fierté de la neko s'apaise mais...
_ Je m'excuse que votre vie soit si pathétique et que mon comportement n'aide pas à vous la faire apprécier.
Il a demandé des excuses... Il a pas précisé la forme. Meiko, avait ses oreilles rabattues, et son poil félin hirsute face à cette femme qui lui donnait envie de vomir. Meiko était prête à recevoir une nouvelle correction mais qu'importe, la faire chier jusqu'au bout et partir au plus vite d'ici, c'est ça qui compte, même si ça fera mal.... Le souvenir d'avoir envoyer paître cette perverse de dresseuse la consolera ce soir. Meiko, fermait les yeux, prête à recevoir tout ce qui viendrait à l'esprit de son nouveau maître... Ca allait piquer, à ne pas en douter, mais une promesse est une promesse. Si elle peut encore parler ensuite à son maître, peut-être qu'elle lui expliquera les raisons de son comportement envers cette pouffe... Pour l'heure, elle n'est pas encore sortie et déjà, la surveillante allait se délecter de la scène de correction.
Profite, ça va pas durer.
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Ven 4 Aoû - 19:10
La jeune chatte à la fourrure blanche n'était pas mieux que Dimitry à ses débuts au final, entêtée et provocatrice avec un soupçon de moquerie. Très bien, qu'il en soit ainsi, l'humain n'insisterait pas sur ce coup là, mais elle risquait de le sentir passer une fois arrivés chez lui. La chanson ne serait plus la même, mais cela ne posait aucun problème à Luka, il aurait même une bonne raison pour s'amuser avec elle et apprendre ses réaction tout en lui inculquant la discipline à sa manière. En attendant, l'homme se contenta de relever la jeune femme en la serrant fermement par le bras, comme on le fait avec les simples prisonniers. Il avait de la force et une certaine carrure face à elle, c'était donc d'une simplicité évidente. Il ne poussa pas un soupir, il n'était pas exaspéré il avait l'habitude, ce n'était pas quelque chose de nouveau, avec lui, elle ne ferait pas long feu. Il s'adressa d'abord à la gardienne d'un ton neutre :
- Bien, qu'importe, elle le paiera en rentrant. Je vous souhaite une bonne soirée tout de même.
Il s'éloigna de la gardienne, la féline au bras et une fois sortis il dit à sa proie froidement, sans aucun sentiments, comme s'il parlait de la pluie et du beau temps, bref, allant droit au but alors qu'il la tenait avec une légère pression par le menton :
- Je t'annonce que tu vas regretter cette façon de faire que tu as.
Elle savait très bien de quoi il parlait, elle était maline et loin d'être idiote. Une féline espiègle. Ils sortirent définitivement des bâtiments et du centre pour se diriger vers le parking où attendait la voiture du dresseur, une simple voiture noire, plutôt élégante mais pas non plus un carrosse, il n'en avait pas les moyens, même s'il était à l'aise et ce n'était pas sa priorité. Il ouvrit la porte arrière passagère gauche (volant à droite) de la voiture puis il fit monter la féline, il s'assura que ses mains étaient bien menottées dans son dos, que l'attache soir fixe puis il lui attacha sa ceinture. Il monta à l'avant du véhicule puis il verrouilla les portes de sorte à ce que l'on ne puisse pas les ouvrir de l’intérieur. La féline n'avait aucune chance de fuir ou de s'attaquer à lui, il était trop vif si elle tentait quoi que ce soit il le verrait. Il restait tout de même méfiant. Il démarrait sa voiture pour rentrer chez lui, il gardait un oeil de temps à autre sur cette petite fourbe qu'était la féline. Il se demandait déjà ce qu'elle allait bien devenir chez lui, quel serait son comportement, si elle serait une tornade ou bien professionnelle, mais d'après ce qu'il comprenait, il y avait un fossé pour elle entre le fait d'être louée ou bien d'être adoptée par un humain. Quel serait donc ce fossé ? Il allait le découvrir et devoir l'ammener à s'adapter à sa vie et à ses habitudes. Elle rencontrerait également Dimitry, déjà très changé par les séances de dressage, si elle essayait de lui retourner le cerveau et de le rendre sauvage l'humain la briserai jusqu'à ce qu'elle obéisse. Mais pour le moment il évitait de se faire trop d'idées, il se rendait simplement compte que l'hybride au pelage blanc était finalement, en terme de caractère, une véritable surprise, restait à voir si cela allait lui convenir.
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Sam 5 Aoû - 21:04
Les secondes... S'écoulaient... Allait-il lui tirer les cheveux ? L'attraper par les oreilles ? Lui tirer la queue ? La battre à coup de pied ou de coup de poings ? Les dresseurs avaient beaucoup d'imagination en terme de souffrance à autrui. C'est avec la douceur d'un porc et pic, qu'il la fit se redresser, comme si il s'agissait d'une plume qu'il manipulait comme bon lui semble. Il déclarait comme une promesse de mauvais augure.
- Bien, qu'importe, elle le paiera en rentrant. Je vous souhaite une bonne soirée tout de même.
Meiko... Déglutie, son pelage immaculé risquait d'être taché ce soir. Quel tristesse ! Luka, embarquait sa féline, limite si il ne la prenait pas sous le bras pour que ça aille plus vite.
- Je t'annonce que tu vas regretter cette façon de faire que tu as.
Les menaces... Semblait lointaine à la féline qui pressait le pas. Aussi pressé de partir que lui en fin de compte. Meiko, avait du mal à le croire. Enfin, enfin elle quittait l'annexe de location, non pas pour quelques heures mais peut-être pour quelques jours. Elle ne pensait pas à sa punition, bien trop heureuse de son départ, d'ailleurs, elle avait un sourire impérissable et elle ne luttait pas contre Luka lorsque celui-ci l'envoyait dans sa voiture. L'espace d'un instant, elle cru quand même qu'elle irait dans le coffre mais non, ça va encore il n'est pas encore si méprisable que ça. Du moment qu'elle est dans la voiture et pas en dessous... Tout lui allait !
La voiture de Luka. Etait aussi noir que son regard. Il avait même prit le soin de l'attacher lui même et pour cause, avec des menottes c'est pas facile. Son nouveau maître, après avoir prit les mesures de sécurité nécessaire, prit la place de conducteur. L'ambiance était lourde, sans musique. Meiko, observait par de là la vitre, le paysage et d'un air détaché, elle reprit.
_ J'ai agis comme ça car cette surveillante est une frustrée... Elle me faisait des attouchements quand je partais travailler et quand je revenais. A moi ou à d'autres.
Expliquait-elle. Le ton de sa voix n'était pas celui de l’apitoiement... Se faire toucher quand on est Escort girl, c'est tout à fait normal. Simplement, Meiko supportait mal le fait que elle, c'était juste une grosse dégueulasse.
_ Elle, elle profitait de la marchandise sans payer, et je n'aime pas ça qu'on profite de moi gratuitement...
Ajoutait-elle, sur un ton plus agaçé. Elle n'espérait pas atténué sa punition avec son discours, juste qu'il comprenne qu'elle n'est pas du genre à se laisser faire par n'importe qui, sans en payer le prix... Et que accessoirement, elle n'est pas folle au point d'agresser les gens verbalement sans raison valable.
Meiko... S'adossait un peu mieux contre le dossier du siège de la voiture, Luka avait une bonne conduite. Il arrivait parfois que la neko supporte mal les trajets, ici, ce n'est pas le cas. Quel genre de demeure habite t-il ? Et quel son ses passe temps à part la persécution ? Si Meiko devait lui tenir compagnie, elle allait devoir apprendre à le connaître un peu plus. Sa queue duveteuse, se balançait joyeusement derrière son dos, malgré la situation.