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 Qui sera la proie et qui sera le prédateur ? [PV Kayden]

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Qui sera la proie et qui sera le prédateur ? [PV Kayden] EmptyMar 23 Mai - 19:19
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Depuis quelques jours, Maeko était enfermée dans cette cage, si petite, et si...bouclée de tout les côtés. En fait, elle avait déjà tenté de fuguer...quatre fois. Et visiblement, le vendeur en avait marre alors il l'avait mis dans une petite cage à barreaux, bouclée à double tour avec deux cadenas. Ce serait bien plus dur de réussir à s'échapper désormais. Pourtant elle essayait. Elle était tenace, cela on ne pouvait pas le nier.

Régulièrement ses mains tripotaient les cadenas, cherchant une faille, quelque chose à exploiter. Et quand elle se faisait surprendre, un coup de bâton retentissait sur les barreaux. Oh, il ne la frappait jamais directement, mais il savait que s'il ne frappait pas suffisamment fort la cage, cela ne marcherait pas. Pourtant, il avait tenté de seulement l'engueuler...totalement inutile, elle l'avait fixé droit dans les yeux avant de l'ignorer royalement pour reprendre son activité.
Visiblement, ce pauvre vendeur en avait marre d'elle et espérait la vendre à toute vitesse. Pourtant, son physique plaisait, elle était belle, vraiment belle et atypique, mais dès qu'il commençait à parler de son glaucome...le client changeait d'avis et n'en voulait plus.

Alors que Maeko était assise dans sa cage à ruminer, à chercher une solution, le vendeur s'arrêta devant elle et soupira.

- Qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire de toi ?
- Me libérer ?

Qui ne tente rien, n'a rien après tout. Il se contenta de lui lancer un regard désapprobateur, coupé dans son élan par la sonnette de la porte. Il se précipita pour aller accueillir son client. Du coup, elle en profita pour se pencher à nouveau sur les cadenas, tirant dessus pour tester leur solidité. Ses doigts se baladaient, cherchant toujours une faille. Ils étaient vieux, elle le sentait.
Soudainement, quelque chose passa dans son champ de vision, se postant face à elle. Elle fit un bon, ne l'ayant pas remarqué avant et se redressa.

- Quoi ? Encore un importun ? Qu'est-ce que tu veux ? Va plutôt te prendre une petite chatte bien docile, ou une petite chienne, ça te conviendra surement bien mieux, et surtout, fous moi la paix !

Elle ne leva même pas les yeux sur la personne qui s'était arrêtée devant elle. Elle était concentrée sur les cadenas, mais comme il était pile en face, elle voulait tout de même ses jambes. Ah ces humains, voyons voir s'il était du genre têtu ou si son mauvais caractère allait le faire fuir.
Le vendeur s'approcha, menaçant, bâton en main.

- Celle-là demande un dressage, monsieur. Il faut avoir une bonne poigne pour la maitriser...

- Eh je suis pas une vulgaire poupée ! Va te faire voir !

Nan mais sérieusement, il espérait la rendre aimable en parlant d'elle ainsi ? Elle soupira, déconcentrée dans sa tentative de se libérer.
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Qui sera la proie et qui sera le prédateur ? [PV Kayden] EmptyMar 23 Mai - 20:19
Anonymous
« Patron… » - Chuuut.

Pensif dans mon bureau, concentré sur le dossier que je lis tranquillement et dérangée par une employée qui espère avoir un petit plus pour éviter un fin de mois difficile. Mais la damoiselle qui n’est pas spécialement un élément prometteur ni même des plus intéressant semble pressée et ne pas comprendre que quand je fais comprendre de se taire, il faut se taire. Cela ce voit qu’elle est nouvelle, je n’ai pas encore eu le temps de la remettre à sa place pour qu’elle s’autorise ainsi à insister.

« Excusez-moi… pour le dérange… » - Chuuut.

Je la coupe car franchement sa voix n’est pas des plus agréable à entendre, surtout quand je veux avoir la paix. C’est pourtant évident non, chut, cela veut tout dire où je dois prendre une pancarte avec écrit « la ferme » dessus pour qu’elle comprenne que je ne veux rien entendre, rien savoir et que dans son intérêt elle devrait juste sortir, refermer la porte et rentrer chez elle. Mais non, c’est bien une femme, quand cela a quelque chose en tête cela ne veut rien écouter. Et après ce sera au scandale si je lui colle une mandale pour avoir le silence demandé.

« C’est important… je… je ne peux pas rester mais j’ai… besoin de… » - Je sais ce dont tu as besoin, c’est de remettre ta tenue, prendre tes affaires et dégager d’ici pour ne jamais revenir.

Me contenant sagement de ne pas lui hurler un ta gueule violent et d’ajouter un pseudonyme rabaissant qui pourrait faire pâlir une femme aux mœurs les plus contestables. Tout cela sans avoir jamais haussé le regard une seule fois sur elle, cette maudite qui devrait apprendre qu’il ne faut jamais me déranger, ni venir me quémander quoi que ce soit. Je récompense que quand je considère cela mérité, mais je dis toujours non aux demandes. Même si ce serait pour venir m’annoncer que son gamin est mourant et qu’elle doit acheter un traitement, je dirais non. La corde sensible, pas mon genre. Mais comme si je n’avais pas été assez claire, elle insiste encore, surtout choquée par ma réponse.

« Quoi… Non j’ai besoin de ce travail… vous ne pouvez pas… j’ai rien fait de mal… » Dans un soupire, relevant enfin mon regard sur elle, je reprends la parole d’une voix assez ferme et stricte. – Certes, mais tu n’as rien fait de bien, tu ne comprends pas quand je demande juste le silence alors j’imagine que si un jour tu as des consignes plus complexes, ton cerveau n’y arrivera pas. En plus tu n’es même pas baisable. Alors maintenant ouste… Dégage.

Indignée, choquée, elle se retourne en baissant la tête pour sortir du bureau, claquant la porte. Bon débarras, je n’avais de toute façon rien à faire d’une femme si médiocre dans l’Exoticana, elle n’arriverait qu’à faire fantasmer des clients qui étaient réellement en manque. Mais du coup tout cela m’a déconcentré, m’a coupé dans ma lecture et me fait une employée de moins. Désespéré je range le dossier dans un tiroir, le refermant avant de me lever pour suivre l’idée du moment, se rendre à l’animalerie pour trouver à la fois une nouvelle employée mais aussi un défouloir personnel, ce serait bien non ? Un peu de compagnie et d’animation, de plus ce sera une employée sans salaire qui sera choisi par mes propres soins. Voilà, il me faut un peu d’exotisme, quelque chose qui sort du commun, du Neko ou de la Louve, un truc qui a du peps.

Ainsi me rendant à l’animalerie je commence à faire le tour des différentes offres du moment, regardant ce qui sort de l’ordinaire, me caressant le menton du bout des doigts en réfléchissant alors que le vendeur essaye de me parler de certaines offres, me montrant une femme serpent mais une queue à la place des jambes, même si cela me semble amusant ce n’est pas réellement idéal pour le travail attendu. Puis bon dieu, vous avez vu la place que cela prend. Y avait aussi une belle petite chatte, très mignonne avec des grands yeux, mais bon le genre dont je vais me lasser après avoir fait quelques tours de piste. Puis voilà que je remarque une petite cage avec quelque chose dedans dont la couleur me plait déjà, ce coté blanc, proche de la pureté et correspondant à mon style. Sans un mot je me rapproche, quelques pas avant de m’arrêter devant pour voir ce que c’est cette chose… Axo quoi ? Je sors mon Iphone pour commencer une petite recherche rapide sur la bestiole en question, voir les détails de l’animal alors que le vendeur vient exprimer le fait que cette hybride demande une poigne pour la maitriser. Intéressant, c’est tout bonus ça non ? J’hésite du coup sur quel visage offrir en premier, me montrer charmant pour créer une belle désillusion plus tard dans la journée ? Ou directement me montrer des plus odieux pour montrer comment cela va se passer entre nous. Allez j’ai envie de jouer surtout après son commentaire.

- Voyons, je suis sûr que vous aussi seriez peu enclin à coopérer si vous étiez enfermé dans une si petite cage. Elle m’intéresse, j’ai besoin d’une employée au bar mais surtout d’une compagnie avec qui discuter.

Tu parles… J’ai besoin d’une danseuse qui fera baver les mâles en rut, et besoin d’une compagnie qui sait écarter les cuisses et encaisser quand j’ai besoin de vider la pression. Et vu son comportement, ces quelques mots, je suis déjà persuadé qu’elle ne va pas venir pleurer et supplier au moindre geste de travers, ni se laisser abattre dès le premier soir.

« Attention, je dois vous informer aussi qu’elle a un glaucome. Ce qui justifie son prix attrayant. »

Hum, encore plus intéressant, elle a des troubles visuels, un point que je pourrais utiliser pour m’amuser, la taquiner… drôle de mot pour dire torturer… et la châtier. J’affiche alors une moue un peu triste sur ce visage angélique en rangeant mon téléphone, ayant assez de données au sujet de l’Axolotl.

- Ce n’est pas grave, je m’informerai ce qu’il y a de mieux a faire pour l’aider et prendre soin d’elle.

Je suis quand même un divin faux cul… Les seules informations m’intéressant c’est comment pouvoir utiliser cette donnée contre elle, pas la soigner. Je confirme finalement au vendeur que je la prends, mais lui demande gentiment de me laisser d’abord un peu avec elle pour discutailler avant de la sortir de sa cage, mais aussi de préparer le nécessaire pour l’emmener avec moi. Une fois le vendeur reparti, je m’accroupi à sa hauteur pour lever mes yeux gris vers elle, les plissant légèrement en offrant un léger sourire des plus gentil qui soit, développant tout mon coté charmeur.

- Bonjour… Je m’appelle Kayden, et je suis déjà très heureux de faire ta connaissance.

La partie commence, et quoi qu’il arrive à la fin le game over sera pour elle quand j’aurai abattu mes cartes pour l’écraser ou installé les fils qui me permettront de jouer au marionnettiste.
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Qui sera la proie et qui sera le prédateur ? [PV Kayden] EmptyMar 23 Mai - 20:47
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Finalement, Maeko était bien trop déconcentrée dans sa tentative de fuite, et puis, ce ne serait pas judicieux de s'échapper devant deux humains, notamment le vendeur aussi proche. Peut-être qu'elle devrait attendre de sortir de cette animalerie et partir en courant ? Oui, c'était peut-être une bonne idée.
Finalement, l'homme qui était planté devant elle finit par parler...et prendre sa défense ? Surprise, elle leva les yeux vers lui. Il l'intriguait, c'était bien la première fois qu'un humain prenait sa défense. Mais elle restait méfiante, elle ne faisait pas confiance aux humains.

- Comme si j'allais travailler pour toi. Un bar ? Aucune envie d'en croiser d'autres comme toi.

Elle n'avait aucune envie de servir les humains. Déjà un c'était beaucoup demander, alors tout un troupeau venu pour se saouler en admirant les serveuses...non vraiment, ce n'était pas du tout dans ses envies actuelles.
Le vendeur enchaina, tentant d'attirer l'attention du client, lui parlant donc de son glaucome. Maeko s'attendait à ce qu'il parte en courant, comme tout les autres. Mais finalement, il la surprit de nouveau.

- Eh bien, eh bien, est-ce que je serais tombée sur un gentleman ? Étrangement, j'ai bien du mal à y croire...

A ses yeux, tout les humains étaient mauvais. Après tout, aucun ne lui avait prouvé jusqu'ici qu'elle avait tort. Mais de toute façon, comme on le lui avait bien fait comprendre, elle n'avait pas son mot à dire. Et bien qu'elle avait déjà réussi à faire fuir des clients, celui-ci était tenace et confirmait vouloir l'acheter. Et ensuite faire connaissance. Ordre étrange mais pourquoi pas. Elle l'écouta et l'ignora d'abord superbement, s'installant plus confortablement. Ses mains quittèrent les cadenas alors qu'elle s'asseyait en croisant les jambes, de façon à être bien face à lui. Elle ne tenait pas à ce qu'il soit sur les côtés et ne pas le voir. Elle lui répondit alors :

- Pas moi. Je vais être franche, je me fiche de toi. Qu'est-ce que tu veux savoir pour me foutre la paix ? Comment je m’appelle ? Maeko. 25 ans, Axolotl. Voila, j'espère que tu es content car je ne t'apprendrai rien de plus.

Elle s'appuya, dos contre les barreaux, attendant patiemment de voir s'il allait être toujours aussi gentleman ou si elle atteignait la limite de sa patience. Elle affichait un sourire amusé, alors qu'elle savait qu'elle avait omis des détails plutôt important dans sa description...comme sa capacité de régénération. Mais elle ne comptait pas trop parler d'elle à un inconnu, encore plus humain.
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Qui sera la proie et qui sera le prédateur ? [PV Kayden] EmptyMar 23 Mai - 21:47
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Oh je l’aime déjà elle, sa façon de répondre, de réagir, une petite rebelle à mater et à mettre à mes pieds. Comment je vais prendre plaisir à la faire déchanter en lui montrant comment cela marche en mon monde, lui ouvrir les portes pour faire comprendre qui est le Maitre, qui décide pour elle mais surtout qui va prendre plaisir à briser ses rêves, ses souhaits et surtout sa liberté de penser. J’ai bien envie de la rassurer en lui disant qu’elle ne croisera jamais quelqu’un d’autre comme moi, mais ce serait dévoiler mon jeu et pour ceux qu’elle servira, elle sera surement gâtée. Avec un corps pareil, les mains baladeuses seront surement monnaies courantes et vu son comportement sa réaction sera toute aussi immédiate ce qui m’offrira le plaisir de pouvoir appliquer une punition standard. En plus, une peau pareille doit faire de belles marques, et me permettre de voir longtemps sur elle les traces de mes passages, même si en contre partie d’autres marques de souillure plus intimes seront quant à elles trop discrètes. Il faut dire qu’elle fait déjà tout pour me donner le bâton pour se faire battre, venant rajouter une remarque de méfiance qui est assez raisonnable vu que je ne suis en rien un gentleman, mais pour l’instant ce qui compte est de jouer le jeu, gardant ce sourire bienveillant et ce visage délicat.

Restant accroupi, je la regarde s’installer sans chercher à balader mes yeux sur elle, concentré sur son visage alors qu’elle répond à notre premier échange direct. Bon, cette jeune femme ne doit pas venir du centre de dressage, c’est déjà une évidence vue comment elle réagit. Peut-être une de ces rebelles ou une sauvage qui a été capturée, voir une qui est née dans une famille et s’est retrouvée finalement ici après une vie normale. J’en ressens des petits frissons à son comportement, avec elle point besoin de chercher des excuses pour lui en coller une, pas besoin de se dire que le coup sera gratuit, elle m’ouvre toutes les portes pour se faire violenter. Je vais surement devoir d’ailleurs penser aux menottes… Non aux cordes pour notre premier rodéo, mais au moins cette dernière n’a point de griffes tranchantes comme celle qui m’avait marqué dans le passé.

- Je comprends que tu n’aies pas réellement envie de parler, être ici ne doit rien avoir de plaisant et j’ai l’impression que beaucoup des clients ne doivent pas se montrer réellement agréables.

Enfin, pas agréables… Je suis sur que la majorité sont des êtres d’une grande noblesse à coté de mes intentions personnelles pour cette Axolotl aux charmes exotiques. C’est bien la première fois d’ailleurs que je croise ce style d’hybride et c’est aussi cela qui est très plaisant, cela va me changer même si elle n’a pas d’appendice caudale pour tirer dessus.

- Je suis enchanté Maeko… Et je te promets que tu auras la paix le temps qu’il te faudra une fois que nous serons chez nous.

Ma voix reste celle de ce jeune homme qui aimait se rapprocher des jeunes femmes, abaisser leurs défenses en se montrant respectueux ou poli, le jeune homme qui savait donner une image bien différente de sa réputation quand il rencontrait certaines personnes. Et je sais exactement que faire ici pour continuer la conversation malgré son refus de me donner plus d’informations sur elle, des informations qui ne m’intéressent pas mais qui font parties du jeu. Après tout quand quelqu’un fait une partie d’échec, il ne peut pas traverser l’échiquier d’un coup pour mettre l’adversaire en échec et mat. Il doit d’abord déplacer les pions, mettre ses figurines aux bons endroits, tendre le piège pour coincer le roi. En restant dans cette comédie, je baisse un peu le regard, imitant la personne légèrement blessée par ces commentaires, ou un peu mal à l’aise, regardant ma main qui effleure le sol devant moi en reprenant la parole d’un ton légèrement plus bas.

- Pourtant… J’ai besoin de savoir juste certaines choses…

Marquant un éphémère silence, jouant à celui qui réfléchit, qui ne sait pas réellement comment s’adresser à elle ou comment expliquer sa demande. D’ailleurs je change de posture, ne restant point accroupi mais faisant comme elle, m’installant par terre en tailleur pour rester à sa hauteur et non en dominant.

- Juste en tout cas de quoi adapter le confort de ta chambre et de ton environnement pour être adapté à tes besoins. Je suppose qu’en tant qu’Axolotl tu auras besoin de plus d’humidité et d’avoir accès à la piscine ?

D’après ce que j’avais vite lu juste avant sur la page Wikipédia, c’est une créature aquatique, donc je ne me trompe pas réellement en parlant de ce genre de besoin, et puis j’indique aussi du coup que je recherche surtout ce qui pourrait lui être agréable à elle alors que mon esprit pense plutôt à si j’ai de quoi installer une lampe UV dans ma salle de rédemption. Bien de toute façon je verrais assez vite si j'arrive ou non à endormir le coté méfiant... Elle devrait profite de ce coté gentil que je lui offre car de toute façon, une fois chez moi elle va sentir mes flammes la consumer.

- Et aussi savoir ce que tu apprécies manger…
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Qui sera la proie et qui sera le prédateur ? [PV Kayden] EmptyLun 29 Mai - 12:00
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Tranquillement installée dans sa cage, Maeko observait l'homme qui tentait d'en apprendre plus sur elle. Peut-être qu'à force, il se lasserait et irait en choisir une autre ? Mais visiblement non. Elle soupira en l'entendant être aussi compréhensif. Qu'est-ce qu'un humain pouvait vraiment savoir d'un hybride ? En plus, elle savait parfaitement qu'elle ne faisait pas partie des races les plus courantes...peut-être qu'il était du genre à préférer les races exotiques que ces classiques chats et chiens ?

- En effet, mais c'est plutôt habituel. C'est rare de voir quelqu'un de vraiment aimable ici. De toute façon, je suis sure que tout les humains ont un vice caché...il le faut bien pour désirer acheter un esclave, non ?


Elle n'avait jamais croisé d'humains se montrant aimables envers les hybrides, alors non, elle ne pouvait y croire. Même si celui-ci semblait plutôt sympathique et s’inquiéter de ses besoins. Est-ce qu'elle pouvait lui faire un minimum confiance ? Lui expliquer ses différents besoins ? Ici, elle commençait à se dessécher, l'endroit était un peu trop chaud pour elle et on ne lui avait donné aucun bassin et pas assez d'eau pour compenser cette absence. Alors qu'elle réfléchissait sur l'attitude à avoir pour la suite de la conversation qu'elle le vit s'assoir puis parler...d'une piscine. Elle leva les yeux vers lui, brusquement.

- Une piscine ? Tu en as une ?

Bon, autant dire que son besoin d'eau était grillé...ou alors elle allait passé pour une personne désirant du luxe. Elle soupira, autant être franche sur ce coup là.

- J'ai, effectivement, besoin de plus...d'humidité. Un bassin ou une piscine en accès permanent est l'idéal...De toute façon, c'est très simple, je me dessèche un peu trop sans humidité.


Sous-entendu que s'il la privait trop d'eau, c'était lui qui allait en payer les conséquences. Il aurait des soins à payer s'il l'empêcher de rester assez humide pour sa propre santé. Mais de toute façon, elle comptait bien profiter de chaque moment où il aurait le dos tourné pour tenter de s'échapper. Elle n'avait pas peur des conséquences, et elle essaierait inlassablement, jusqu'à céder pour de bon ou réussir. S'il était vraiment aimable, elle gagnerait surement ce bras de fer très rapidement, s'il mentait, eh bien, ce serait juste un peu plus compliqué, mais elle ne lâcherait rien.
Elle l'entendit alors continuer sur l'alimentation. Elle pouvait bien le lui dire, c'était au même titre que l'humidité, nécessaire pour une bonne santé.

- J'ai un régime plutôt carnivore. Pas ce genre d'alimentation qui me rende malade...


Elle indiqua la gamelle dans un coin de la cage qui contenait une étrange mixture dont elle avait littéralement refusé de toucher.
Au final, elle ne lui avait donné que le strict minimum, sans parler de sa santé défectueuse surtout au niveau de ses yeux ou de sa sensibilité accrue à la lumière. Hors de question d'avouer des faiblesses à un humain. Elle s'étira longuement puis le fixa alors.

- Bon, tu comptes croupir ici indéfiniment ? Si tu comptes réellement m'acheter, on pourrait peut-être sortir ?

Maeko en avait marre de cette cage, de cette animalerie, et elle ne le cachait nullement. Même si la température extérieur semblait un peu trop élevé à son gout. Elle préférait les jours de pluies, ce n'était pas sans raison.
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Qui sera la proie et qui sera le prédateur ? [PV Kayden] EmptyLun 29 Mai - 16:50
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« Possible et heureusement j’ai envie de dire. » Oui, heureusement que tout le monde possède son vice caché sinon les êtres seraient tous fades, lisses et plats, sans grand intérêt. Enfin elle ne semble pas avoir de vices cachés, au contraire elle semble démontrer directement ses vices, son agressivité, ses provocations. « Je n’aime pas réellement le terme d’esclave… Je préfère celui d’employée. Après tout, c’est plus ce que je recherche, une employée sur mon lieu de travail. » Continuant le petite manège d’homme bon, celui du petit charmeur qui préfère corriger la vision de l’animal pour montrer qu’il ne voit pas cela de la même façon. Après tout d’un point de vue définition il y a une grande différence entre esclave et employée, même si dans ce cas la ce serait plus une forme de stagiaire non rémunérée, ce qui la se rapproche de l’esclavage. Enfin détail de terminologies.

Soudainement le mot piscine semble l’avoir intéressé, venant d’un coup me regarder comme si j’avais parlé du Graal. Bien, au moins c’est réellement intéressant comme information, l’eau semble lui convenir, lui plaire et d’après ce qu’elle m’offre ensuite comme informations cela semble même lui être primordial pour sa propre survie. Voilà qui tombe bien, m’offrant récompense comme punition. Bon sang j’ai envie de sourire à cette idée, m’imaginer occuper à me baigner tranquillement dans l’eau, savourer ce liquide sur ma peau, cet élément caressant les sillions de mes muscles alors qu’elle serait coincée sur le rebord à profiter du soleil, moi attendant qu’elle supplie pour avoir le droit de se baigner un peu.

« Oui… J’aime beaucoup l’eau, du coup j’ai une très grande salle de bain ainsi qu’une piscine. Tu pourras en profiter pleinement alors. »

Bon sang, c’est presque dégoutant de me dire que certaines personnes sont aussi gentilles que cela, seraient capables de prendre une hybride et lui offrir du confort gratuitement sans rien attendre en retour. Des pigeons oui… L’eau elle va devoir le mériter, et pas qu’un peu mais je suis sur qu’elle a les atouts nécessaires pour se montrer convaincante la petite demoiselle, elle saura faire surement preuve d’intelligence pour me donner envie d’être généreux. Quoi que je sens qu’elle va préférer souffrir au début avant de céder, mais cette souffrance je serai tout aussi heureux de la lui donner, je trouverai cela tout aussi délicieux de lui faire subir les maux que d’avoir plaisir de ses courbes.

« Hum je suppose alors qu’il faudrait ajouter un humidificateur d’air alors… Cela doit pouvoir se trouver. »

Réfléchissant par rapport à sa situation, même si ce genre d’option sera de toute façon nécessaire pour veiller sur le bien matériel que je viens d’acquérir. Quelques futilités sont encore échangées, des détails où finalement elle m’informe de ce qu’elle déteste, cette bouffe pour hybride. Attendez ? Elle espère avoir un steak comme cela, hop dans la gueule pour qu’elle soit contente ? Sa pâtée elle la mangera ou risquera de se laisser mourir de faim. J’hoche la tête à sa dernière remarque, presque comme un étudiant face à la maitresse, manquerait plus qu’un « oui madame » pour coller au rôle. Je me redresse alors retourner auprès du vendeur pour dire que je suis prêt à partir avec mon acquisition, ce dernier me donnant de quoi transporter mon hybride avec moi, de quoi l’attacher et en me redirigeant vers elle, je réfléchis rapidement à une excuse justifiant ces objets en accord avec le rôle du moment.

« Pardonne-moi, je dois te passer cela aux poignets avant de t’emmener, il craint que tu cherches à fuir encore et vu que je t’achète, c’est sous ma responsabilité. Mais dès que nous arriverons chez toi, je t’en débarrasserai. »

Ou pas… Après tout c’est déjà une attache qui me faciliterait la tâche et m’offre de belles options, me voyant déjà l’attache à une poutre, les pieds dans le vide mais à fleur du sol pour avoir accès à son corps et limitant ses chances de fuites ou de se débarrasser de moi. Comment cela ? Oui je suis déjà persuadé que cette femelle ne va pas se montrer coopérative, même pour danser, j’ai surtout l’impression qu’elle va tout faire pour m’en faire baver. Mais j’ai de la salive à revendre. Je laisse ensuite le marchand ouvrir la cage de l’Axolotl, venant lui tendre les bracelets pour m’approcher de ses poignets, mais restant malgré tout vigilant car je m’attends à ce qu’elle tente quelque chose, qu’elle cherche à me bousculer, me renverser ou fuir.

« Je sais qu’il faudra un temps d’adaptation… Mais nous allons y arriver Maeko. »
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Qui sera la proie et qui sera le prédateur ? [PV Kayden] EmptyMar 30 Mai - 12:57
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- Une employée ? Tu ne gagnes pas assez pour embaucher des serveuses ? Ou tu préfères voir des esclaves faire tout le travail pour toi ?

Maeko était franche jusqu'au bout et sous-entendait clairement qu'il pouvait n'être qu'un pervers ou avoir tout un tas d'autres défauts. De toute façon, elle ne contentait pas s'éterniser dans ce bar. Plus vite elle s'en irait, mieux ce sera. Elle tenait à retrouver sa chère nature, bien plus intéressante que tout ces humains.
La discussion enchaina sur la piscine qu'il possédait. Et cet homme semblait être un amateur d'eau. Bon au moins, il aurait de quoi lui permettre de ne pas se dessécher...après, elle n'avait pas tellement envie de trop le supporter pendant qu'elle faisait trempette.

- Très bien, mais seule. Aucune envie d'avoir de la compagnie si je me baigne.


Maeko était plus habituée à la solitude qu'autre chose, alors elle préférait largement être seule, surtout pour se baigner. Mais voila qu'il lui parle d'une possible modification à faire chez lui. Il achèterait vraiment ce genre de choses ? Était-il le genre d'humains manipulables à souhait ? Ce serait intéressant. Dans ce genre de cas, elle pourrait très bien vadrouiller et vivre sa vie comme elle le souhaitait, tout en prenant ce qu'elle désirait chez lui.
Finalement, ils allaient enfin sortir de cet endroit qu'elle détestait. Elle attendit patiemment et le vit revenir...avec des entraves. Elle fronça les sourcils. Voila qui ne lui plaisait pas ud tout. Elle leva les yeux vers cet humain.

- Tu as intérêt, j'ai horreur de ces trucs !

Elle attendit patiemment que le vendeur ouvre sa cage, le fixant alors qu'il ne semblait pas vraiment rassuré. Elle en sortit enfin, s'étira longuement puis regarda enfin celui qui était sensé être son nouveau maître. Il croyait vraiment qu'elle allait se laisser faire ?

- Certainement pas, tu peux aller te faire voir ! Je n'ai aucune intention de te suivre ou que ce soit !


Son ton était dur et à peine ses mots finis, elle bouscula les deux humains pour s'échapper à toute vitesse vers la porte. Et pourtant, à cause de ses nombreuses journées passées dans cette petite cage, elle était plus lente que d'habitude et ses membres étaient plus raides. Elle espérait que sa réaction les ait suffisamment surpris pour lui laisser un peu d'avance...Seulement, elle n'avait pas prévu qu'un hybride très docile et loyal envers les humains décide d'intervenir. Il tendit la main à travers les barreaux et lui attrapa la jambe. Emportée dans son élan, elle fit un léger vol plané qui lui permit d’atterrir dans l'entrée de l'animalerie, la tête et les épaules à l'extérieur. L'hybride lui, se tourna vers l'homme.

- Achetez-moi, je vous promets de toujours la surveiller de près !

L'hybride chien remuait de la queue, fier de son action. Maeko releva la tête et lui lança un regard noir.

- Connard ! Tu n'es qu'un vendu !

Elle tenta de se relever, mais c'est qu'il lui avait fait mal. Les griffes de l'hybride s'étaient plantées dans son tibia, laissant de belles trainées rouges qui pourtant semblait déjà en cours de guérison. Elle râlait, aussi bien contre l'hybride que contre elle. A cause de son glaucome, elle n'avait pas de visions périphériques et n'avait pas pensé, dans sa fuite, à vérifier tout autour d'elle...résultat, elle n'avait pas vu l'action du chien.
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Qui sera la proie et qui sera le prédateur ? [PV Kayden] EmptyMar 30 Mai - 17:47
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Je tente de prendre un air surpris à sa remarque ou question, jouant celui qui ne comprend pas réellement la réflexion ou la différence, notant dans mon esprit qu’au moins elle dit les choses clairement, ce qui sera facilement amusant entre nous deux, surtout de la corriger à chaque mot de travers. Je sens qu’elle va me donner toutes les raisons du monde de lui en coller une ou plus d’une.

« Cette remarque est un peu étrange, voir paradoxale… Une serveuse me couterait bien moindre vu que pour toi, en plus de ton salaire je paye l’achat en ces lieux. »

Faisant l’innocent, jouant comme si cette chose allait toucher de l’argent pour son travail à venir. Ce serait réellement stupide non ? Qui irait payer pour le travail d’un animal domestique, je paye déjà assez cher en l’achetant ici, surement plus que sa véritable valeur et de plus ce n’est pas qu’une question de radinerie, c’est surtout que l’exotisme des hybrides attire plus que les classiques humains dans un bar comme le mien. Après tout voir une femme se déhancher, vous pouvez le trouver dans touts les pays du monde, par contre voir une Axolotl qui dévoile ses courbes et sa souplesse, c’est exclusivement à Togi, à l’Exoticana. Continuant la feinte du charmant jeune homme, je fais celui qui vient de comprendre.

« Oh… Je vois, c’était une tentative pour m’offenser. J’aimerais que tu cesses de te comparer à une esclave, tu n’as réellement aucune raison de te rabaisser ainsi. »

Tu parles, je crois que l’esclave dans le sens pur du terme aurait plus de valeur qu’elle, je serai même capable de la punir car elle aurait versé quelques gouttes de sang sur mon tapis après que je lui en aurai collé une. Une nouvelle fois elle montre son envie de ne pas coopérer, même face à la générosité, exigeant la piscine pour elle toute seule comme un cadeau. Non mais elle sort d’où elle ? Elle croit que Hybride veut dire Reine ? Franchement, je ne vais pas tenir un jeu de prince charmant longtemps si elle continue à jouer sa petite précieuse ainsi.

« C’est naturel d’avoir envie de son intimité. »

Comme si cela pouvait justifier une telle demande, et bien elle n’aurait pas vécu longtemps dans le monde humain, imaginant cette Maeko se rendre à la piscine de la ville et demander à tous les autres nageurs de partir pour lui laisser son bassin tranquille. Bientôt elle va demander une manucure. Enfin, la comédie pourra bientôt cesser, une fois arrivé sa future prison qui arrivera surement à lui faire regretter cette animalerie, offrant un petit sourire quand elle me dit avoir horreur des entraves, donnant l’air que je compatis et comprends le désagrément. Pauvres entraves minables qui ne sont rien à coté des chaines qui vont envahir sa vie… Et encore les chaines seraient surement bien confortables à cotés des cordes ou des barbelés. Mais alors que j’allais pouvoir enfin l’attacher, cette dernière vient de commettre son erreur qui allait lui couper le plaisir de savourer un peu de gentillesse jusqu’à l’arrivé chez son tortionnaire. Elle ose me toucher sans mon autorisation pour me bousculer froidement et tenter de fuir… Elle ose malgré tous les efforts face à ses putains de caprices ?

Directement je me tourne vers ma chose qui se fait intercepter par un cabot qui en prime la blesse de ses griffes… Dommage corporel sans autorisation, lui il a de la chance qu’il ne m’appartienne pas, je n’ai demandé l’aide de personne ni autorisé qui que ce soit de toucher à mon bien. C’est un peu comme si à Noël, l’enfant sort une voiture de l’emballage cadeau et que le chien passe pour en casser le rétroviseur… Saleté… Enfin au moins cela m’évite de devoir courir après elle, me rapprochant alors qu’elle tente de se redresse, venant sans attendre prendre le dessus pour presque tomber sur son dos. Pour être plus précis j’atterris avec violence genou droit entre ses omoplates pour la plaquer à terre, pressant avec force pour qu’elle sente bien ma rotule sur son échine.

« C’est ça oui… Et dès que j’aurais le dos tourné tu vas sauter dessus pour la souiller de ta semence. Je devrais te briser les doigts de la main pour l’avoir griffé et m’avoir ôté le plaisir d’une petite chasse. »

Je pousse toujours avec force sur son dos alors que cette fois le ton de ma voix était pleine de rancœur, une voix bien moins agréable et bien plus agressive, dévoilant le vice caché, enfin… pas vraiment caché vu que maintenant c’est ce qu’elle verra chaque jour. Ma main vient dans sa belle chevelure pour pousser sa tête avec force contre le sol, voir claquer son minois contre si elle avait tenté de le redresser. De l’autre main je cherche du coup son premier poignet pour l’agripper, voulant le tordre dans son dos sans aucune douceur ou retenue, comptant très rapidement attacher ses mains ensembles, et pour me permettre cette manœuvre, tout en prenant appui sur sa tête, je glisse le genou le long de son échine, passer de l’entre épaule au creux de ses reins, soufflant entre mes dents quelques mots.

« Vraiment aucune gratitude… J’ai voulu t’offrir un visage agréable et tu m’as prouvé que j’avais raison… Les Hybrides ne sont que des animaux qu’il faut dresser avec force, non à apprivoiser avec douceur. »

Passant le bracelet à son premier poignet, serrant sans aucune hésitation cette entrave, quitte à ce que cela la marque, je tente maintenant de chercher le second pour venir le rapprocher, comptant maintenant l’attacher dans le dos pour diminuer la liberté des mouvements de ses mains, demandant aussi au vendeur une laisse et un collier pour rajouter une nouvelle décoration à mon animal à domestiquer.

« Tu vas regretter de ne pas être juste une esclave… Et crois moi, je vais installer des lampes à U.V. avant de penser à te mettre un humidificateur d’air. »

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Qui sera la proie et qui sera le prédateur ? [PV Kayden] EmptyMar 30 Mai - 18:29
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Ne pouvant qu'écouter l'humain, Maeko l'entendit alors lui parler d'un salaire. Parce qu'elle serait payée en plus ? Pour le coup, elle avait bien du mal à y croire. Elle n'avait de base, aucune confiance dans les humains, ce n'était pas maintenant que cela allait commencer.

- Un salaire ? Du genre, 1 yen par semaine travaillée ? C'est vrai que ce serait tellement généreux...

Son ton était ironique. Elle se moquait franchement de lui et de sa soi-disant générosité.
Et après cet échange assez calme malgré tout, les choses sérieuses débutèrent enfin. Elle tenta de fuir et se fit violemment intercepté par un hybride chien qu'elle insulta sans aucune retenue. Mais alors qu'elle cherchait à se relever, elle sentit quelque chose tomber lourdement sur son dos, la plaquant au sol dans un grognement de douleur. La pression qu'il exerçait lui faisait mal, et ceci couplé aux mots qui suivirent, elle comprit bien vite qui il était en réalité.

- Qu'il essaie de me toucher ! Je le castrerais avant qu'il puisse faire quoique ce soit !

Maeko n'était pas non plus le genre pure et innocente, elle avait eu sa part mais elle ne se laissait pas toucher si elle n'en avait pas envie.
Soudainement, elle sentit une main dans ses cheveux, s'y agripper et lui plaquer le visage contre le sol. Elle eut à peine le temps de tourner la tête pour réussir à respirer malgré la situation. Visiblement, malgré ce qu'il lui avait montré tout du long de leur conversation, il était loin du parfait gentleman. Et d'ailleurs quand il parla de sa tentative d'être agréable, elle eut un rire sarcastique. Du moins, autant qu'il était possible de rire en étant aussi compressée.

- Et là le masque est tombé ? De toute façon, je m'en doutais...et je ne suis pas un animale, et tu vas vite regretter de m'avoir acheté !


Elle n'avait aucune peur de le menacer alors même qu'il était au-dessus en position de supériorité. Mais cela ne durerait pas, elle en était certaine. Quand il glissa ses genoux plus bas dans son dos, cela lui permit d'un peu mieux respirer, même si la pression était pour le coup beaucoup moins agréable. Mais elle avait bien d'autres choses à penser : il tentait de lui attacher les mains. Elle tenta bien de résister, mauvaise idée car elle eut l'impression que dans le geste de l'homme, son épaule allait se déboiter. La position de son bras était douloureuse mais tenable alors même qu'elle sentait l'entrave manger sa chaire. Elle sentit qu'il amenait son deuxième bras dans son dos et elle tenta, à nouveau de résister, mais le résultat fut le même. Il avait de la force et elle, elle était dans une position bien peu pratique pour se défendre.

- Va te faire voir avec ta laisse ! Je refuse que tu m'en mettes une, je ne suis pas un vulgaire chien que tu vas promener ainsi !


Son ton était aussi dur que celui que l'humain pouvait avoir envers elle désormais. Elle tenta de se débattre malgré la position, aussi désagréable qu'humiliante. Elle entendit alors son nouveau maître lui promette une installation chez lui, bien loin des premières promesses. Elle fronça les sourcils, sentant que les prochains jours allaient surement être un véritable calvaire. Mais même si elle souffrait, elle n'en montrerait rien.

- Fais ce que tu veux, je m'en fiche. Je réussirais à me barrer ! Sans ce foutu cabot, je serais déjà bien loin d'ici, alors la prochaine fois, je disparaitrais pour de bon !

Maeko en était sure, sure d'elle, sure d'arriver à retrouver sa liberté, qu'importe les souffrances qu'elle subirait avec cet homme. Mais pour l'instant, avec les entraves et le collier et la laisse qui arrivaient, elle savait qu'elle avait bien peu de chance d'y arriver tout de suite. Elle allait devoir bien réfléchir à sa future tentative, car elle se doutait qu'il n'était pas idiot et qu'il allait prévoir beaucoup de choses pour éviter une fugue.
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Qui sera la proie et qui sera le prédateur ? [PV Kayden] EmptyMer 31 Mai - 3:02
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« Rassures toi… C’est un privilège qui me sera totalement réservé. »

Ma voix malsaine accompagnée de ces mots laisse clairement entendre que ce dit privilège est plutôt une façon de lui faire comprendre qu’elle sera ma catin personnelle. D’ailleurs je me demande pourquoi je ne l’ai pas dit ainsi assez ouvertement ? Peut-être parce que ce serait rabaisser le noble métier des filles de joie que de le comparer à cette créature qui n’a aucun droit, aucun mérite, aucune vie outre celle que j’accepterai de lui octroyer. D’ailleurs, si ce n’était pas si « public » en ce lieu, je serai surement déjà occupé à profiter de la posture pour la violer sans aucun état d’âme et la mettre au courant directement de ce que sera ses jours à venir. Mais patience, une vertu que je possède pour le moment alors qu’elle pense pouvoir me faire regretter mon acquisition. Ah si elle me voyait la, la langue qui caresse ma lippe d’excitation, tel un prédateur matant le gibier dans lequel il va croquer.

« Oh non, tu m’as déjà bien prouvé que tu vas être un jouet très plaisant à briser… Mmmm oui je ressens déjà tout le plaisir que je vais prendre avec ton caractère rebelle. Un vrai fantasme blafard. »

Je ne mens aucunement, d’ailleurs point de comédie dans ma voix faite d’excitation et de plaisir alors que je donne déjà un avant gout de comment je vais la traiter à l’avenir, surtout dans ma façon de lui attacher ses fins poignets, usant de force, de mouvements brusques, insistant un peu plus quand elle résiste quitte à devoir lui faire encore plus de mal. Je n’ai aucune retenue sous aucune forme, en me disant qu’au pire une épaule déboitée, cela se remettra en place. Je tire un peu sur sa chevelure pour redresser sa tête quand elle râle pour cette laisse qu’elle va porter, et sans aucune honte je lui crache au visage, en plein sur sa joue pour voir cette salive glisser sur sa peau aussi pâle que le linceul des morts. Elle a bien de la chance que je n’ai pas mon équipement avec moi sinon ce ne serait pas un simple collier comme rapporte le marchand que je le lui passerai au cou, mais un collier étrangleur pour pouvoir serrer et marquer cette gorge à chaque fois qu’elle commencerait à me taper sur le système. Sentir qu’elle commence à remuer, à chercher à se défaire de cette emprise m’amuse, vu notre posture elle n’a aucune chance en dehors de celle de s’épuiser et je tire un peu plus sur sa tête tout comme je presse de mon genou à sa chute de reins, gardant cet air enjoué en préférant de loin cette partie de notre rencontre que les tentatives de charme.

« Ta seule délivrance se trouvera auprès du fossoyeur ou de ta soumission la plus complète. Alors vu ton caractère je ne pense pas que la seconde option soit envisageable… Chérie…»


C’est vraiment dommage de devoir quitter les lieux, cette posture a quelque chose de prometteuse, mais bon je me rattraperai une autre fois, venant cette fois prendre le collier que me donne le marchand pour le passer autour du coup de l’Axolotl, serrant juste ce qu’il faut pour laisser respirer convenablement, mais pour qu’il soit désagréable à porter. D’ailleurs une fois cela fait, je me penche un peu sur elle pour en sentir le parfum une dernière fois avant de repousser sa belle tête de créature contre le sol, allant même jusqu’à prendre appui dessus pour me redresser et me relever. D’ailleurs, petit bonus pour sa tentative de fuite, à peine debout en enroulant bien la laisse autour de mon poignet et de mes doigts, je donne un coup de la pointe de mon pied dans ses cotes.

« Il est temps d’y aller et de profiter du beau temps bien ensoleillé… Cela nous fera du bien avant de découvrir la fraicheur de ta nouvelle cage et des liens qui sauront te faire partir toutes les envies de fuite…»


Différentes attaches avec des cadenas à codes, des codes différents que je pourrai régulièrement changer par rapport à des chiffres aléatoires comme la recette du jour précédent à l’Exoticana. Ajoutant à cela des cadenas à clés de très bonne facture pour d’autres liens, et veiller à ce qu’elle ne puisse pas accéder à tous… Cela pourrait créer une forme de casse-tête amusant, surtout à l’espionner pour voir comment elle s’amuserait à les défaire. J’ai aussi l’idée soudaine de la laisser sans chaussures dans une cage en cave et entre sa cage et la sortie, un véritable tapis de verre pillé pour faire en sorte que même si elle s’enfuit, elle se blesse assez pour laisser des traces mais aussi empêcher cette dernière de courir trop rapidement. Est-ce que cette petite créature deviendrait-elle une muse ? Celle pour créer de nouveau défi et jeu contre sa ruse de fugitive. Mais cessons de se faire plaisir avec quelques petites pensées, il est temps comme j’avais dis, temps de tirer sur la laisse pour la pousser à se relever. Oh qu’elle ne joue pas sur le feinte, sans mains il y a moyen de se mettre debout surtout qu’en plus je l’aide par cette pression à son cou sur laquelle elle peut prendre appuie pour son plus grand inconfort. Et franchement si il faut que je la traine jusque dehors, je le ferai et elle comprendra vite que la voir les genoux écorchés ne fera qu’ajouter un peu de charme.

« Tu verras… Après un moment tu abandonneras tout espoir et ta vie n’en sera que meilleur… Et oui je sais déjà ce que tu vas me dire… Va crever ? Va te faire foutre ? Avec un connard pour pimenter ?»
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Qui sera la proie et qui sera le prédateur ? [PV Kayden] EmptyVen 9 Juin - 23:27
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- Tu peux rêver, même toi, je me ferais un plaisir de te castrer si tu me touches !

Maeko n'aimait pas le ton malsain dont il faisait preuve quand il lui adressait ces quelques mots. Cette promesse de tant de douleurs et désespoirs à venir...Mais pourtant, elle ne comptait pas se laisser faire. Elle se battrait jusqu'au bout, autant que possible. Malgré tout ce qu'il envisageait de lui faire subir et elle ne mentait pas. Si elle en avait la possibilité, elle comptait bien lui faire payer s'il abusait d'elle.

- Je dirais surtout que c'est ta motivation qui va se briser. Mon caractère va rester intact, ça je peux te le jurer !

A peine eut-elle fini sa phrase qu'elle sentit un crachat lui atterrir sur la joue. Elle ferma les yeux alors qu'une grimace de dégout s'affichait sur son visage. Elle ne voyait pas l'intérêt d'un tel geste, si ce n'était l'envie de l'humilier peut-être ? Elle sentit le fameux crachat couler, sans qu'elle eut la possibilité de s'essuyer. Mais cette petite scène ne lui permit pas pour autant de ne pas entendre la suite. L'homme lui annonça les seules possibilités pour sa délivrance...mourir ou se soumettre. Eh bien, voila des choix peu intéressants. Mais ce fut surtout le "chérie" qui la fit réagir. Elle rouvrit les yeux et tourna autant que possible la tête au vu de la situation et lui lança un regard noir.

- Ne m'appelle pas "chérie" ! Connard ! Et tu verras à quel point tu te trompes !


Mais elle n'avait plus envie de perdre son temps et son énergie à le lui rappeler. Il le verrait quand elle réussirait à s'échapper.
Et visiblement, lui aussi semblait vouloir passer à autre chose. Elle le sentit se relever, être libérée de son poids, ne pouvant pas faire grand chose alors qu'il s'appuyait sur sa tête. Au moins, elle put par la suite, essuyer à peu près ce qui restait du crachat. Après tout, ce n'était pas tellement agréable comme sensation...pas plus que de sentir la pointe de la chaussure dans ses côtes qui la fit presque grogner. Mais le message était clair, elle devait se relever, à moins de vouloir se faire étrangler...En l'impossibilité de pouvoir se servir de ses mains, elle dut se contorsionner, tout en sentant cette désagréable pression sur la gorge qui la fit tousser plusieurs fois. Néanmoins, elle finit par être debout, fixant l'homme droit dans les yeux, d'un regard particulièrement mauvais. Elle soupira en l'entendant.

- Oui, oui, en effet, tout ça te correspond très bien !


Elle innoverait dans le choix de ses mots pour l'envoyer bouler ou pour l'insulter, car apparemment, elle était devenue beaucoup trop prévisible. Et cette idée ne lui plaisait pas du tout. Malgré la situation bien déplaisante, elle le suivit alors.

- Et comment je suis sensée t'appeler ? Ne me sors pas "maitre" car je ne t’appellerais jamais ainsi !

Si cela arrivait, c'est qu'elle commençait alors à remettre en cause ses principes et certainement à perdre du terrain. Elle regarda autour d'elle puis leva les yeux au ciel. Il faisait trop beau, la journée était trop ensoleillée...Elle espérait que cela n'allait pas lui causer d'ennuis. Attachée comme elle l'était, elle ne pouvait pas vraiment tenter de fuir, alors elle allait tenter d'autres méthodes. Trouver des points faibles peut-être ? Mais cela signifiait discuter avec lui...et cela ne l'enchantait pas vraiment. Alors pour l'instant, elle se contentait de marcher.
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Qui sera la proie et qui sera le prédateur ? [PV Kayden] EmptySam 10 Juin - 18:46
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Sa remarque m’a arraché un petit sourire amusé, le style « défi relevé », surtout que la toucher je ne vais pas m’en priver et si elle préfère que je sois obligé de la violer pour profiter de son corps, je ne m’en priverai aucunement et sans lui donner la possibilité de pouvoir se venger ou de m’attaquer. Si j’ai l’envie soudaine de passer une nuit de folie et de chair, elle n’aura point son mot à dire alors qu’elle provoque, cela ne changera aucunement son sort, elle est à moi, son corps m’appartient et ses libertés sont mortes maintenant. Je ferai en sorte que rapidement elle apprenne à écarter les cuisses pour moi et pour éviter de souffrir inutilement car à chaque fois qu’elle se rebellera, je serai odieux, cruel, sadique et j’obtiendrai quand même ce que je désire. Au moins quand elle se soumettra elle évitera une partie du jeu… Enfin, de temps en temps car rien ne m’empêchera d’être aussi salaud pour le plaisir. Je la trouve de plus en plus prometteuse en terme d’amusement, je ne sais pas pourquoi mais je pourrais presque la renommer Punching-Maeko, j’ai la sensation très poussée que cela lui correspondra parfaitement.

« Tant d’espoir illusoire, une si belle naïveté, tu en serais presque touchante. »

Dis-je quand je l’entends parler de la fin de ma motivation et de sa promesse de ne pas craquer. Elle est réellement dans une brume d’espoir futile car elle ne se rend pas encore compte que toutes ses résistances ne vont pas me blaser ou me lasser, que cela n’aura aucune influence sur ma motivation, car le seul effet qu’elle obtiendra est de m’offrir le plaisir du jeu et des châtiments. C’est si encourageant de la voir se montrer ainsi forte, ainsi guerrière, cela n’en sera que plus plaisant à la détruire. Mais passons, il était temps de partir et j’avoue que je suis impatient de balader mon nouvel animal de compagnie, de pouvoir l’affaiblir un peu par une balade au soleil et la voir en état amoindrie pour se défendre ensuite. D’ailleurs j’ai adoré la voir galérer pour se relever, ce genre de petit plaisir très agréable, surtout quand elle montre ne point apprécier comment je la nomme. Ce qui fini d’ailleurs par la pousser à demander comment me nommer, ce que je trouve intéressant, surtout avec la perche qu’elle me tend ouvertement.

« Cela dépend de toi, si tu veux m’avoir de bonne humeur, Monsieur ou Maitre, si tu veux te faire pardonner ou essayer de me supplier, je te conseille surtout le Maitre. Mais je sens que tu n’es pas grande fan à l’idée de la supplique n’est ce pas ? » Affichant un petit sourire amusé, me doutant qu’elle va préférer m’insulter ou se mordre la lèvre à sang que de me faire le plaisir de quémander ma pitié en m’appelant par un titre rappelant sa condition de chienne. « Si tu veux rester sur la neutralité tu peux me nommer Kayden, et si tu veux subir des coups, du fouet, ou connaître certains de mes jouets… Tu peux m’appeler par une de ces insultes que tu dois être occupée à chercher pour tenter de me blesser ou de me rabaisser. »

Une réponse claire, faite dans la bonne humeur avant d’ajouter un très ponctué. « Chérie. » Comme une belle conclusion, surtout qu’elle ne semble pas réellement aimer ce terme. Allez hop, fini de rire, je lui mets une petite claque aux fesses, assez forte pour faire résonner le son de l’impact mais sans trop de violence pour l’instant. Il est temps d’y aller, de tirer sur son collier alors qu’elle a toujours les mains entravées dans le dos, l’entrainant hors de la boutique d’un pas tranquille mais ne me dirigeant pas vers une voiture, non… la pauvre, le coffre lui serait trop confortable, tout à l’ombre. Une petite balade sera idéale avec ce beau soleil.

« Tu vois, je pense à toi qui est restée enfermée dans un lieu si confiné, une petite balade en pleine air te dégourdira et tu pourras oublier les odeurs de l’animalerie. »

Que je suis gentil avec elle non ? Surtout avec un si beau ciel bleu dégagé, un temps bien appréciable. Au début je la traine sans honte, sans la cacher elle avec sa peau si laiteuse, marchant dans les rues de cette ville en sifflant un petit air, prenant mon temps pour faire quelques détours sans nous rendre directement à l’Exoticana, après tout nous ne sommes pas pressés n’est ce pas ? Je me retiens de lui dire de bien profiter car elle n’aura pas souvent cette occasion et je me permets un petit passage cadeau juste pour elle. Je décide de passer par le jardin botanique, un lieu agréable avec un parfum de nature, bien des fleurs, de belles plantes mais surtout un petit passage dans une serre pour quelques plantes plus exotiques demandant un ensoleillement plus poussé.

« Heureusement qu’il y a la piscine chez moi pour se rafraichir après… enfin pour me rafraichir vu que tu ne sembles pas d’humeur à vouloir t’ouvrir à moi… »

Après tout je pourrai la laisser juste au bord de la piscine, qu’elle arrive à effleurer l’eau du bout du pied, attachée, pendant que je profiterai tranquillement de l’eau. Ce serait parfait, surtout à la voir admirer sans pouvoir en profiter, j’en frétille presque d’avance. Mais en attendant je dois garder un œil sur elle, qu’elle ne devienne pas de la friture d’axolotl, ce petit voyage est pour l’affaiblir, pas non plus la tuer, cela me priverait de bien des plaisirs et je ne suis pas nécrophile. Toujours à la tirer dans cette serre, je profite, tranquillement, lentement, j’admire les quelques plantes comme si c’était une première visite.

« Oh j’ai oublié de te dire… Une fois chez moi, vu que tu as voulu jouer la maline, tu commenceras à zéro, donc même tes vêtements tu devras les gagner, donc j’espère que tu n’es pas pudique. »
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Qui sera la proie et qui sera le prédateur ? [PV Kayden] EmptyMer 14 Juin - 19:41
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Plus les minutes en compagnie de cet humain s'écoulait, plus Maeko comprenait qu'elle avait sans doute à faire au pire possible. Malheureusement, elle allait devoir faire avec pour réussir à s'enfuir. Elle ne comptait pas perdre son objectif de vue et puis, au final, chaque mot qu'elle entendait de ce sale type le confortait dans son choix. Elle n'avait aucune envie de rester auprès de ce genre de personne, qui se croyait réellement au-dessus de tout.
Néanmoins, il répondit tout de même à la question. Elle leva les yeux vers lui, il pouvait toujours espérer, mais aucun mot ressemblant trop à "maître" ne sortirait de sa bouche. Et aucune supplique non plus.

- Alors Kayden sera très bien...pour le moment. Du moins, si j'estime que tu mérites autre chose que des insultes.

Elle ne releva pas le "chérie", ayant parfaitement compris que dès qu'elle annoncerait ne pas aimer quelque chose, il ferait bien en sorte qu'elle l'entende ou le subisse plus souvent. Le silence serait surement plus utile si elle voulait éviter des situations trop...ennuyeuses pour elle. Mais elle se connaissait, le silence, ce n'était pas son fort. Elle préférait parler, insulter, provoquer...c'était bien plus amusant bien que toujours à ses risques et périls.
Soudainement, elle sentit une claque sur ses fesses, pas violente, mais la sensation suffisait à être...Dérangeante.

- Ne me touche pas ! Garde tes sales mains pour toi !

Elle détestait sentir quelqu'un la toucher sans son accord, mais elle savait parfaitement qu'il s'en foutait royalement de son accord. Mais elle comptait bien lui faire comprendre qu'il avait plutôt intérêt à tenter de l'avoir. D'ailleurs, n'ayant pas ses mains pour riposter, elle lui marcha tout simplement sur un pied, de tout son poids. Surement, qu'elle devait paraitre légère et ne pas vraiment lui faire très mal, mais ceci montrait bien qu'elle ne comptait pas se laisser abattre, même malgré la situation. Elle avança ensuite, comme si elle l'ignorait royalement.
En entendant parler de balade, elle le fusilla du regard.

- Ne tente même pas de faire le gentil qui pense à moi, ça ne marchera pas ! Tu n'es qu'un salaud, jusqu'au bout, et je vois très bien ce que tu essais de faire !

Il faisait bien trop beau à son goût, la fraicheur de sa cage lui manquait...mais pour rien au monde, elle ne se serait plains. Elle avança alors, suivant la marche, sans savoir où ils allaient. Elle commençait déjà à avoir chaud, trop à son goût quand ils entrèrent dans...une serre. Bien, c'était certes magnifique, mais elle n'allait pas supporter longtemps cet endroit. Et en plus, il la narguait à sa foutue piscine ? Elle préféra se taire, économiser sa salive et le laisser admirer ses foutues plantes...qu'elle avait seulement envie d'écraser rageusement. Mais ce geste lui demanderait beaucoup trop.
Il lui annonça alors qu'elle commencerait sans vêtements...pudique, elle ne l'était pas, mais elle se doutait qu'il chercherait à en profiter et c'était ce qui la dérangeait. Mais là actuellement, ses vêtements, bien que léger lui tenaient trop chaud. Le soleil tapait particulièrement fort à travers la serre. Elle avait l'impression de se dessécher alors qu'elle suait vraiment beaucoup.
Ses yeux repérèrent, par automatisme, la source d'eau la plus proche, un équivalent d'une petite mare qui hydratait quelques plantes...oui, elle s'y serait bien baignée, mais jamais elle ne l'admettrait. Mais elle commençait à se sentir mal. Elle était encore plus pâle que d'ordinaire...ce qui lui donnait un air de cadavre. Pour tenter de penser à autre chose que sa soif et son désir de plus en plus grand d'eau, elle finit par répondre à sa dernière remarque.

- Je m'en fiche. Ça ne m'empêchera pas de...de te castrer si tu me touches...


Elle ferma les yeux. Elle aurait mieux faire de se taire. Sa voix était plutôt faible, signe que son corps manquait d'eau. Sa propre voix trahissait l'état dans lequel il désirait la mettre depuis le début. Mais elle avait beau chercher, elle ne voyait pas d'échappatoire. Allait-il la laisser se déshydrater là, sitôt sortie de l'animalerie ? Elle en doutait, mais elle ne pouvait qu'attendre qu'il daigne enfin sortir de cet endroit maudit et trop sec à son goût.
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Qui sera la proie et qui sera le prédateur ? [PV Kayden] EmptyJeu 15 Juin - 14:20
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A peine je l’avais touché qu’elle demande déjà que je garde mes mains, souriant à cette remarque c’est réellement difficile de ne pas profiter d’une telle perche. Oui une perche, cette remarque me donne déjà des envies de réagir, pleins de petites idées pour venir la taquiner et l’offusquer. Alors oui quand elle vient salir ma chaussure en me marchant sur le pied, surement pour tenter de me faire mal, ce qui n’est point le cas mais reste une façon de salir une belle chaussure, je craque et je ne me retiens pas, venant murmurer d’un air assez salace quelques mots au lieu de la frapper. « Oh coquine… tu veux directement avoir la queue… Ce n’est pas bien d’être si impatiente. » Souriant après cette remarque, assez amusé je dois dire par la situation, transformant son refus de sentir mes mains sur elle par une invitation de prendre plus directement. Et oui, je ne suis pas en colère face à ses remarques de désapprobation, je prends cela comme un jeu pour riposter directement et lui renvoyer une balle encore plus sale que celle d’origine.

D’ailleurs elle continue à me tendre des perches en voulant se montrer désagréable avec moi, venant m’arracher un petit rire, légèrement psychopathe d’ailleurs, quand elle me fait remarquer qu’elle a compris que ma « gentillesse » était qu’un sale coup tordu pour lui faire du tord. Bien sur que cela l’était, l’affaiblir pour mieux la rabaisser et lui faire du mal ensuite, lui donner une bonne leçon face à sa conduite ainsi que montrer qui contrôle, qui est le marionnettiste. Si elle veut réellement se montrant offensante ou se rebeller par quelques mots, elle va devoir trouver beaucoup mieux que ce qu’elle dévoile pour le moment, elle va devoir chercher d’autres attaques car là elle rend tout assez plaisant. Me faisant répondre avec une forme de joie dans la voix, un coté plaisant montrant que je prends déjà mon pied juste par cet échange. Il est déjà bien loin le visage du gentil petit humain qui se voulait délicat avec elle.

« Je sais que tu es pressée que nous rentrons chez moi pour que j’écarte tes cuisses, mais profitons d’abord du beau temps, nous aurons tout le reste de la journée pour faire des folies. »

Plus aucune pudeur dans les mots, plus aucune délicatesse, je vais droit au but en sachant parfaitement qu’elle ne veut pas que je la touche, qu’elle fera tout pour m’empêcher de l’avoir mais c’est justement ce qui rend tout cela que plus attirant. L’idée de la voir se débattre, s’énerver et de finalement la posséder, remettant cette créature à sa place de femelle soumise et usable. Oui Usable et non utilisable, je trouve que cela exprime mieux le traitement que je lui réserve. Après cette petite joute de mots, partant et nous baladant, c’est arrivé à la serre que les choses deviennent intéressantes, faisant toujours en sorte qu’elle soit hors de portée de toutes les sources pouvant la rafraichir, je prends mon temps, constatant que cela l’affecte finalement rapidement. Elle est en sueur comme après une nuit sauvage, son teint est encore plus proche du linceul qu’avant, comme si c’était possible, et sa voix trahit son état, une voix affaiblie. Ma viande sera bientôt très bien cuite, juste comme il faut.

« Je penser que tu ne pourras pas réellement faire grand chose si je te touche… Mais sois heureuse voyons, tu as un maitre qui va prendre son pied grâce à toi. » Je marque une petite pause en la regardant avec un sourire presque kawaii avant de reprendre à la fois la marche et les mots. « Tu me plais bien, du coup je vais en profiter seul alors qu’au début je comptais t’attacher à une table et offrir la tournée aux employés ou à certains clients. » Enfin, offrir la tournée voulait dire la faire tourner. Le pire c’est que j’annonce cela réellement comme si cela aurait été une bonne chose pour elle, avec ce coté enjoué presque comme si je l’invitais à se rendre à une attraction d’un parc. Mais elle va rapidement comprendre que tout ce qui m’amuse est souvent glauque, sadique ou malsain. « Mais comme je déteste passer dans le foutre d’un autre… Je vais m’occuper personnellement de toi. Apprécie ce geste à ton égard. » Je me montre un peu cru dans mes termes, le faisant intentionnellement pour la rabaisser, la traiter comme si elle n’était qu’une fille de joie achetée pour être prostituée à mon bon vouloir, un objet ou une poupée gonflable sans âme qui n’a pas besoin de donner son avis ou accord.

Sortant de la serre je me dirige vers une petite échoppe vendant quelques rafraichissements, puis juste avant je m’en détourne pour reprendre la route cette fois vers l’Exoticana, toujours d’un pas lent et léger, prenant notre temps vu le beau temps. « J’ai failli nous acheter à boire, cela aurait été idiot de dépenser alors que j’ai tout ce qu’il me faut chez moi. Tu tiendras bien jusque-là. » Narguer encore, laisser rêver à quelques liquides frais qui auraient pu couler sur sa peau ou dans sa gorge, mais non c’est encore reporté, encore éloigné d’elle qui souffre de cette température, me montrant très vite opportuniste quand il faut jouer sur une faiblesse, et surement que ce premier jeu indique facilement que je n’hésiterai pas à la faire souffrir de son moindre défaut pour avoir une emprise sur elle, ni pitié, ni cadeau, juste la briser pour la remodeler comme je le souhaite. C’est après de longues minutes que finalement nous arrivons juste devant l’Exoticana et que je m’y arrête pour me tourner vers elle, toujours attachée les mains dans le dos et la laisse au cou.

« Voilà ton futur chez toi, nous vivrons à l’étage, la piscine est sur le toit, la cave comprend les cages des employées Hybrides, et quand tu seras une brave bête bien dressée tu travailleras avec les autres danseuses… Tu vas voir, ta nouvelle vie sera merveilleuse. Alors... On dit merci à qui ?»
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Qui sera la proie et qui sera le prédateur ? [PV Kayden] EmptySam 8 Juil - 13:15
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A choisir, Maeko aurait préféré que cet homme la laisse à l'animalerie. Elle était tombée sur un tortionnaire, sur un malade mental qui allait la faire souffrir pour son bon plaisir...et elle n'avait visiblement aucune chance de le manipuler. Et il était hors de question qu'elle joue la docile pour tenter d'avoir des avantages. Non, elle n'arriverait jamais à se vendre en échange de...de elle ne savait pas quoi d'ailleurs. Il ne lui resterait donc plus que la fuite, mais elle n'avait pas intérêt à se rater.

En tout cas, jusque là, chacune de ses tentatives pour le repousser se transformait pour lui, en invitation à être encore plus...désagréable. Il enchainait les remarques particulièrement déplaisantes. Elle tenta de résister, de rester le plus...loin possible de tout cela, mais ce n'était pas son fort. Elle finit par craquer, une nouvelle fois.

- Non ! Je ne veux pas ! Je refuse que tu me touches ! Je ne veux pas sentir tes sales mains vicieuses sur mon corps et encore moins ce qui semble être ton unique cerveau entre tes jambes !


Alors qu'ils étaient dans la serre, Maeko tentait de supporter la chaleur, ses yeux cherchant désespéramment la moindre source d'eau...pourtant toujours trop loin. Il le faisait exprès et elle le savait parfaitement. Mais elle avait l'impression de cuire et cette impression n'était pas du tout agréable. Sa transpiration ne s'arrangeait pas, elle avait l'impression que toute l'eau s'échappait de son corps. Alors qu'elle commençait même à peiner à respirer, il s'arrêta soudainement et se tourna...pour lui lancer une nouvelle pique. Elle fronça les sourcils.

- Espèce de connard ! Essaie de me "donner" à tes employés ou clients, et ils viendront tous porter plainte par la suite. J'ai des dents, des ongles, et je sais parfaitement m'en servir !


Même lui il y gouterait s'il ne faisait pas attention. Qu'il essaie de trop la forcer et il s'en mordrait les doigts par la suite, même si le retour risquait d'être violent. Mais en plus, il continuait, insinuant qu'il était généreux de ne la garder que pour lui...il avait bien de la chance, si elle n'avait pas été attachée, elle se serait surement jeté sur lui pour le frapper de toutes ses forces. Et ce serait amplement mérité. Pour l'instant, elle lui envoyait un regard rempli de haine.

- Connard !

Mais sa voix était bien plus faible. S'être énervée juste avant n'étant décidément pas une bonne idée dans la situation actuelle. Elle avait chaud et sa respiration devenait vraiment difficile. Elle n'en pouvait plus mais elle luttait de toutes ses forces pour tenter de paraitre...bien. Ce qui n'était pas une grande réussite, mais elle refusait surtout de s'évanouir devant lui.
Finalement, ils se remirent à marcher et sortirent enfin de la serre. Elle put respirer un peu mieux, ayant l'impression d'être sortie d'un four. Résultat, même malgré la chaleur extérieure, elle se sentait mieux. Du moins, assez pour pouvoir respirer à peu près normalement. Et voila qu'il en rajoutait en couche en l'amenant proche d'un stand de boissons...avant de repartir. Malgré tout ses efforts, elle traina des pieds comme pour tenter de lutter et de s'approcher du stand...elle commençait à désespérer de pouvoir enfin se rafraichir. Elle lui lança un regard assassin avant de céder et de le suivre pour de bon, espérant atteindre vite son bar et que l'endroit soit climatisé.

Ils finirent par y arriver mais il la privait encore d'un air frais...pour la narguer. Elle le fixa, même si elle souffrait de la chaleur, son regard gardait encore cette haine dirigée entièrement vers lui.

- Je ne travaillerai pas avec tes danseuses. Et tu crois vraiment que je vais te remercier ? Tu m'as acheté, il y a quoi, une trentaine de minutes ? Et tu te montres déjà en tyran ! Alors tes remerciements, tu peux te les mettre au cul, compris ?


Tout en continuant de le fixer, nullement dérangée par sa propre vulgarité, elle attendit de pouvoir entrer. Elle savait très bien que s'il cédait et entrait, ce ne serait pas parce qu'il aurait perdu une bataille, mais parce qu'il aurait hâte de la punir. Il ne semblait attirer que par ce genre de choses et tout ce qui était malsain. Pour l'instant, c'était la seule chose qu'elle avait appris de lui et elle le détestait déjà.
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