Arthur Weidmann [Fini]

 Prénom : Arthur
 Nom : Weidmann
 Sexe :Masculin

 Âge : 30 ans
 Origine : Allemagne

 Groupe : Humain
 Rang : Neutre (Evolutif)
 Métier : Officielement barman à mi-temps à l'Exoticana, officieusement tueur à gage pour les plus offrants connu sous le nom de code de A.O.K.
 Statut financier : Moyen (Evolutif)
 Orientation : Hétérosexuel

La première chose que l’on remarque chez Arthur est un calme et une tranquillité à toute épreuve, assez difficile à perturber ou à gêner la plupart du temps, il s’arme de calme et de modestie pour sa vie quotidienne et pour sa vie professionnelle au bar. Mais ce masque est très facile à briser de plusieurs façons, la première est l’humour, Arthur est un bon public qui a le rire facile.

Une bonne conversation éveille facilement son intérêt, il a beau être calme il n’en reste pas moins quelqu’un de sociable qui peut avoir la conversation facile dans les bonnes conditions. Toutefois, il a tendance à être beaucoup trop franc et ses mots peuvent piquer un peu sans le vouloir, mais il n’a pas prévu de changer cela, tout est tellement plus simple avec un peu de franchise.

En continuant de fouiner son caractère, on se rend vite compte qu’il peut se montrer facilement taquin et joueur, en d’autres termes, c’est un bon vivant qui sait profiter de l’instant présent, il ne prévoit quasiment rien à l’avance. Il faut savoir qu’il n’a pas une très bonne éducation, n’étant pas vraiment allé à l’école de sa vie et ayant appris ce qu’il sait sur le tas, mais ça n’a clairement pas suffit à tout rattraper. Au moins il arrive à bien se débrouiller en langue, son passé l’ayant amené à en parler plusieurs, un allemand correct, un espagnol bien maîtrisé, un anglais basique et professionnel et un japonais suffisant pour vivre à Togi sans soucis.

Arthur est aussi quelqu’un d’assurément bordélique, incapable d’organiser quoi que ce soit, incapable de gérer des grands effectifs, incapable de penser au futur et se contentant simplement de vivre l’instant présent à fond. C’est un électron libre joyeux qui sait s’amuser et qui ne manquera jamais une occasion de se divertir, un homme qui a su grandir en gardant une âme d’enfant au fond. Il prend rarement les choses au sérieux, à l’exception des situations particulièrement grave qui concerne ses proches plus que lui-même.

Il y a toutefois quelque chose qu’il cache aux autres, c’est sa phobie de l’ennui, Arthur s’ennuie très facilement et se désintéresse des choses aussi vite qu’il s’y intéresse. Cela a pour effet de le rendre très sensible à tout ce qui concerne la drogue, l’alcool, les jeux d’argents ou autres outils qui peuvent le stimuler automatiquement. On ne peut pas dire qu’il est complètement addict à ces derniers… Mais ce sont des solutions de facilité qu’il utilise régulièrement.

Toutefois, il a une occupation qui sait maintenir constamment son intérêt même après tant d’année : la vie criminelle. Le frisson ressentis lors d’un assassinat, l’adrénaline constante lors des raids contre ses ennemis du moment, la tension ressentie dans son jeu de cache-cache avec les autorités. Arthur aurait pu arrêter sa légende criminelle depuis bien longtemps, mais l’adrénaline que cela lui procure le pousse à continuer encore et toujours.

Lorsque cela concerne son véritable métier, il est prêt à faire bien des efforts, quitte à s’organiser et prévoir quelques coups à l’avance, car ses efforts sont largement rentabilisés par cette activité qui comble à ce point son ennui. En ce qui concerne sa vie illégale, Arthur se montre sûr de lui à un point où cela peut être désagréable, ayant une confiance absolue en sa capacité à combattre et tuer qui représente son unique talent, pour certains il s’agit d’arrogance, pour d’autre d’assurance.

Arthur n’a pas de concept de loyauté, pour lui tout n’est qu’une question de contrat à plus ou moins long terme où seules deux choses sont vraiment importante : la paie et l'adrénaline. Il peut être l’ami d’un jour et l’ennemi du lendemain aux yeux de tous ses employeurs.

Arthur possède un visage fin sur lequel il est difficile d’imaginer la moindre sévérité, on pourrait presque dire qu’il a une gueule d’ange, ce visage est encadré par ses cheveux blond coupé mi-long. Un élément qui ressort assez facilement chez lui est sa fâcheuse tendance à mettre des lunettes de soleil au moindre rayon un peu lumineux, cachant des yeux d’un marron plutôt banal.

Notre barman peut être facilement trouvé dans une foule, mesurant un bon mètre 88 et possédant un corps athlétique plutôt bien bâti à force d’entraînement et dû à une vie remplie d’action. Un corps dont le buste comporte pas mal de cicatrice plus ou moins grandes dû à sa vie criminelle, aussi Arthur aura tendance à ne pas se montrer trop souvent dénudé pour éviter les questions sur le sujet. À noter que son avant-bras droit possède lui aussi quelques cicatrices dû à une partie de sa vie passez chez les Yakuza, mais il se contente de les justifier en énonçant un grave accident de moto.

Arthur n’est pas quelqu’un de très doué avec les codes vestimentaires, portant toute sorte de vêtement et ne se gênant pas pour s’habiller d’un T-shirt non repassé ou autre, ne faisant pas vraiment attention à son look sauf en ce qui concerne ses deux travails, sa tenue de barman étant toujours impeccable afin d’éviter de se faire taper sur les doigts. Quant à sa vie criminelle, il a tendance à choisir la tenue en fonction des missions pour les discrètes, et garde en stock sa tenue d'action pour les opérations plus lourdes.

Dossier criminelle :

Je suis né il y a une trentaine d’années en Allemagne, d’un père scientifique et d’une mère militaire, elle avait stoppé son métier bien avant ma naissance, suite à un tir d’obus qui avait gravement endommagé son bras gauche. Les premières années de ma vie ont été agréables, j’avais un cocon familiale particulièrement stable et affectueux, et même si je n’en ai pas profité très longtemps ces moments lointains sont encore gravé dans ma mémoire.

Tout a commencé à bouger lorsque j’avais sept ans, mon père à reçu une offre importante pour mener des projets scientifiques au Mexique, cela concernait son domaine de prédilection, la chimie et la biologie. Il était ambitieux le vieux alors il n’a pas hésité une seule seconde et vu que rien ne nous attachait à l’Allemagne nous avons tous déménagé pour l’Amérique latine.

Les premiers mois furent plutôt agréables bien que flou dans mes souvenirs, j’avais intégré une école et le challenge de tous les jours était d’apprendre à parler la langue locale… Une vraie purge, heureusement que les gamins apprennent vite. Tout ce changement tourna à quelque chose de beaucoup moins agréable quelques mois après notre arrivée, ma mère et moi avons été kidnappé.

Les coupables venaient d'un cartel de drogue comme il en existe de nombreux au Mexique, notre capture leur a vite permis de mettre la main sur mon père qui était leur véritable cible. Le deal était simple, il travaillait pour eux en mettant en application ses connaissances poussé et en échange rien ne lui serait fait ni à lui, ni à ma mère, ni à moi, il n’a pas eu le choix que d’accepter.

Trois ans se sont écoulé après ça, trois années où j’ai été réduit à l’état d’otage avec ma mère pour forcer mon père à travailler pour eux, loin de toute aide extérieur. C’est ma mère qui a repris mon éducation, m’apprenant quelques astuces qu’elle connaissait de sa vie militaire, rien de bien poussé, juste des petites astuces pour être capable de me défendre… Elle voulait que je sois prêt pour la suite.

Car ouais, il n'y en avait pas un pour rattraper l’autre et mes vieux n’étaient pas du genre à se laisser faire éternellement, mon père à toujours eut une confiance absolue dans ses capacités scientifique pour le tirer de bien des situations… Et ma mère en tant qu’ancienne combattante n’était pas une enfant de chœur. Ils ont commencé à travailler sur un plan pour s’échapper, alliant l’expérience de ma mère et le talent de mon père.

Ça aura pris du temps et c’est lorsque j’avais 10 ans qu’ils ont tenté le coup, mon père fit exploser le labo du cartel et déclencha un feu dans la base, la panique causée donnant une occasion en or pour s’enfuir et c’est ce que nous avons fait. Malheureusement ça n’a pas suffi, alors qu’on pensait être tiré d’affaire, on s’est fait rattraper et la fusillade a eu raison de mes deux parents. Je me voyais déjà mort à ce moment-là, je servais d’otage pour faire travailler mon père, maintenant qu’il était mort, ils n’avaient plus besoin de moi vivant.

Mais à ma surprise, ils m’ont gardé, avec ce qui venait de se passer ils ne pouvaient pas cracher sur une paire de bras supplémentaire et cette organisation avait la fâcheuse tendance de faire travailler pas mal d’enfant pour eux. On faisait de bonnes sentinelles parfaitement innocente aux yeux des autorités, ce qui permettait au cartel de vendre sa drogue et d’écouler ses stocks pendant qu’on guettait, en plus de former dès le plus jeune âge leurs futurs bras armés bien docile.

Je me suis résigné à ma situation pendant un temps, puis j’ai décidé de saisir cette seconde chance et de réussir ce que mes parents avaient essayé, m’échapper d’ici ! Ils ont été patients… Mais pas assez, j’allais prendre le temps nécessaire pour y arriver. J’ai donc commencé à travailler directement pour la criminalité organisée du coin, enchaînant les tâches plus ingrates les unes que les autres pour gratter un peu de confiance ici et là, ce n’était pas facile vu les dégâts qu’avaient causé mes parents, ils étaient méfiants et à raison.

Mais j’ai fini par trouver des alliés assez fiable, d’autre gosse arraché à leur famille comme moi, obligé de faire les mêmes activités à risque, ils allaient être ma porte de sortie. Mais pour l’heure, on avait besoin de temps et on avait surtout besoin d’apprendre tout ce qui pourrait nous être utile. J’ai donc joué le jeu, faisant toutes les activités illégales qu’on me demandait, prenant les risques qu’il fallait pour diminuer les soupçons qui planaient sur moi.

J’ai fait ça pendant six années, six ans où j’ai appris que tout est permis pour survivre, pour vivre dans ce milieu criminel et m’y faire une place. J’étais une sentinelle correcte, un vendeur médiocre par contre, mais j’ai vite compris comment faire en sorte qu’on ne me marche pas sur les pieds, les menaces, la violence sous toutes ses formes, ça au moins on peut dire que j'étais doué.

Je m’étais habitué à cette vie mais je n’en avais pas oublié mon objectif principal, je travaillais dessus dès que j’en avais l’occasion, mais les choses ont évolué d’une manière assez favorable à mes objectifs, le business avait suffisamment grossi au point que les têtes pensantes du groupe voulaient implanter des membres du cartel dans d’autre pays pour agrandir le réseau.

Je fus sélectionnée parmi ceux qui devaient partir au Japon, ce qui allait clairement me faciliter la tache pour m’éclipser à jamais de ce groupe. Nous avons donc mis le pied au Japon, sous couvert de fausse identité et on s’est mis au travail, repérage d’une planque, installation, achat du matériel puis enfin la revente de la drogue sur le territoire.

Le business tournait vraiment bien, le cartel s’en mettait plein les poches et nous avec, mais les choses sont assez vite devenus tendu quand le clan yakuza du coin à commencer à s'intéresser à nous. On agissait sur leur territoire et ça ne leur plaisait pas donc les menace ont commencé et nos dirigeants les ont ignorés, ce fut une grossière erreur.

Les conflits armés et règlement de compte ont vite commencé et ce qui semblait être un job facile est devenu très vite bien plus dangereux que prévu. On a répliqué bien entendu mais cela nous a vite enfoncer dans une guerre non-productive avec un clan implanté dans la région depuis bien longtemps, on n’était pas vraiment en position de force. Pour moi c’était l’occasion d’agir, mais j’allais devoir prendre des risques, m’éclipser reviendrait à me retrouver seul face aux Yakuza tout en étant considéré comme traitre par le cartel, donc prit entre deux feux, pas le meilleur plan.

Je suis donc entré en contact avec nos ennemis pour passer un marché avec eux, une nouvelle identité, une place dans leur rang, en échange de quoi je les aidais pour annihiler le reste de mes collègues implanté au Japon. Oui, c’était une trahison en bonne et due forme, mais bon, après ce qu’ils avaient fait à mes parents je pense qu’on me pardonnera ce manque de loyauté non ? Ils ont accepté et j’ai donc fait en sorte de leur donner l’emplacement de nos dernières planques.

Une fois le problème réglé via un nettoyage méthodique, ils ont tenu leur part du marché à leur tour et j’ai donc intégrer le clan Yamato, j’étais sorti du cartel pour au final arriver dans un autre groupe criminel. Mais ça ne me dérangeait pas, j’en voulais à mes bourreaux, c’est sûr, mais je m’étais habitué à ce style de vie illégal, je n’avais connu que ça après tout et les yakuzas avaient une vision un peu plus professionnelle du sujet qui me convenait mieux.

J’avais dix-sept ans quand j’ai intégré le clan, et j’y suis resté neuf ans il me semble. Ils m’ont appris beaucoup de choses pendant tout ce temps, notamment à être moins violent et impulsif dans ma vie de tous les jours. Canaliser la violence pour la faire exploser seulement quand c’est nécessaire, ce n’est qu’une fois ces atouts canalisés que j’ai commencé à leur être particulièrement utile.

Ces types sont quand même bien bizarre, je suis d’accord qu’avoir des connaissances de combat au corps-à-corps est toujours utile… Mais être à ce point obsédé du katana, sérieusement ? Ils m’ont mis un paquet de racler pendant les entraînements, et ceux à armes réel m’ont laisser de belles cicatrices aux bras.

Les 3 premières années, j’ai travaillé en bas de la chaîne de commandement, cela ne me changeait pas de ma vie au Mexique bien que l’ambiance fût un peu plus calme que ce dont j’avais l’habitude. Les choses sont devenus bien plus intéressant après, je n’étais pas un bon gestionnaire, impossible de me filer des postes à responsabilité, ce fut donc mon talent meurtrier qui me fit gravir l’échelle, me permettant d’intégrer l’équipe d’intervention de la famille, chargé des missions les plus ignobles et dangereuse quand cela était nécessaire.

Ce style de vie me changea radicalement, les missions étaient extrêmement difficiles, c’est vrai, toutefois elles n’étaient pas nombreuses et en dehors de cela je n’avais quasiment aucune autre tâche. Je pouvais donc vivre de manière tout à fait normale en dehors de ces dites missions, ce fut la découverte d’un monde nouveau pour moi, loin de tout ce qui avait composé mes journées jusque-là.

J’ai commencé à profiter, à m’amuser, à voir des gens pour rigoler, à me faire des amis en dehors du clan, c’était une véritable bouffée d’air frais pour moi. Je me laissais donc allez à cette vie, entre mission sanglante et vie paisible où je pouvais dépenser sans compter, m’autorisant de plus en plus d’excès au fur et à mesure que le temps passait, c’était une vie agréable et je dois avouer pleine de débauche parfois.

Malheureusement après seulement six années passé ainsi, j’ai commencé à très sérieusement m’ennuyer, pas assez d’action à mon goût et rien dans la vie de tous les jours ne me maintenait en haleine très longtemps. J’ai donc pris la décision de quitter le clan mais je ne voulais pas m’ajouter d’ennemi alors il fallait que je négocie cela avec eux. Leur réponse fut rapide, je pouvais quitter le à condition que je coupe plusieurs de mes doigts en offrande, ou bien je devais réaliser une mission jugé impossible pour eux, j’ai pris la mission.

Et j’ai eu le culot de la réussir, bah ouais il ne fallait pas aussi bien me former, ils ont du pas mal y gagner vu le ménage que j’ai fait. C’est avec cela que j’ai pu acheter ma liberté, mais comme vous vous en doutez ce n’était pas pour retourner à une vie plus calme, j’ai continué à faire ce que je faisais de mieux, mais en travaillant à mon compte. De cette manière, je pouvais continuer sans m’arrêter, plus de contrat, plus de mission, plus d’adrénaline, un cercle à la fois vertueux et vicieux pour moi.

C’est à ce moment que A.O.K à fait son apparition auprès des autorités, un criminel fou furieux qui semble n’avoir aucun objectif et qui fait flipper avec sa tête de clown carnassier sur son casque. En vérité ce ne me dérange pas, il faut bien mettre un visage sur ce qui vous fait peur, même si ce n’est qu’un dessin. C’est donc sous ce pseudonyme et cette apparence que j’effectuais mes missions les plus explosives, réservant les assassinats furtif à mon vrai visage.

Mon activité m’a amené à côtoyer beaucoup d’employeurs aux quatre coins du monde, ne leur donnant nullement accès à mon visage sauf pour les clients les plus réguliers. C’est pendant ces années criminelle indépendante que j’ai commencé à faire quelque passage à Togi pour des missions, j’y ai réalisé ma première rencontre avec des hybrides, dans des contextes normaux mais aussi dans le cadre de mon activité… Les aptitudes de certains d’entre eux donnent un challenge intéressant.

C’est l’une des raisons qui m’a donné envie de m’installer à Togi après trois années d’assassinat international, ça et aussi un élément qui m’amuse, juste en ayant gratter un peu la surface il est facile de voir que Togi est une poudrière prête à exploser. Les hybrides, les humains, les rabatteurs, les organisations criminelles, les révolutionnaires, tellement de force en présence sur un si petit territoire, ça ne m’a donné qu’une envie, de venir jeter de l’huile sur le feu dès que possible.

Je m’y suis donc installé il y a un an, mettant au placard A.O.K et me mettant en congé, ne prenant aucune mission pour éviter d’attirer l’attention. Je me suis trouvé un boulot à l’Exoticana, j’y ai appris le métier de serveur et j’ai commencé à m’intégrer à cette société à part qu’est Togi. Elle est vraiment spéciale, ce jeu de domination et de soumission vrille tellement le cerveau des gens qu’on peut y trouver des cinglés de toute sorte, mais je ne juge pas, je suis moi-même cinglé à ma façon.

Mais cette petite période d’intégration touche à sa fin, enfiler le masque de A.O.K maintenant ne devrait plus faire trop de rapprochement avec mon arrivée sur l’île. Je vais donc pouvoir me remettre au boulot, reprendre contact avec les rares employeurs que j’ai sur l’île et faire ce que je fais de mieux.

Prénom/Pseudo : Arthur/Ao
Âge : 22 ans
Fille, garçon ou autre ? Homme
Passions : Jeux vidéo, jeu de rôle sur table
Comment as-tu découvert le forum ? Via Noïd/Anodé
Que penses-tu du forum ? Intéressant, je suis pas un habitué des forum de ce genre donc curieux de découvrir tout ça
Autres : Pancake?
Avatar utilisé : Shizuo de Durarara
Question :  Ou sont vendu les humains asservis ?
Réponse à la question :