Le calme avant la tempête. [PV : Rakuen]

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		Ven 7 Déc - 22:30

Le calme avant la tempête.

Hier soir
Alors que j'allais m'endormir , je reçois un appel téléphonique de mon manager.
-Heureusement que je dors avec ça dans mon lit.

Je décroche l'appel :
-Bonsoir Luann.
-Bonsoir… Vous allez bien ?
-Bien et toi ?
-Ca va, vous voulez quelque chose ?
-Ah oui ; cela ne te dérange pas de travailler demain ?
-Bien sûr que non.
-D'accord, je vais donc accepter la séance pour 15 heure.
-Il consiste à quoi ?
-C'est pour un parfum.
-D'accord, désolée, je vais aller me coucher, il est tard.
-Pas de soucis, dans ce cas à demain."
L'appel fut terminé, je me recouche délicatement en me mettant la couverture sur moi puis ferme les yeux.

Aujourd'hui ~

Le réveil se mit à sonné, me réveille doucement mais surement, en clair j'avais du mal. Lève les deux bras vers le ciel pour m'étirer, un grand bâillement comme jamais prends le dessus, met ma main droite devant la bouche.
Encore fatiguée, c'est ça de ce coucher super tard, voyons, il ne fallait pas s'attendre à autre chose venant d'une personne qui se couche-tôt d'habitude. Mes paupières avaient du mal à rester à leur place.
- Aaarg j'ai du mal …
Se met à clignotés des yeux, se donne des petits frappes avec mes deux mains de chaque côté du visage.
- ALLLEEEER DEBOUT, j'ai dormis la moitié de la matinée, tiens faire du sport va peut-être m'aider ! Au parc, ça serait génial ! Les gens travaillent à l'heure-là !.
Sors de mon lit avec les cheveux en pétard, me dirige dans le dressing, choisis une tenue de sport, chaud car on est en hiver et je ne veux absolument pas tomber malade. Aussi, sans me déranger dans mes mouvements. Je veux être libre et j'aime ça.
D'ailleurs, avant de faire du sport, le petit-déjeune est le bienvenu, c'est très important de manger avant de faire des efforts. En cuisine, je me prépare un thé à la menthe, avec deux morceaux de pain dont je couvre avec du beurre doux. Prends une gorgée du thé. :
"Oulllleee, c'est chaud.. Je suis vraiment bête.. En reposant rapidement le thé sur la table.
Pendant ce temps, je déguste le reste de mon plat, en finissant les deux morceaux, je reprends le thé pour le boire, il était encore chaud ceci dit pas aussi brulant qu'au début donc çà passe.

En ayant tout finis, je pars pour faire ce que j'avais à faire. Pas besoin de détail sur ça n'est-ce pas. Juste courir au parc. Vers 12 h 10, je rentre chez moi pour manger, des légumes, je ne voulais pas reprendre tout ce que j'avais perdu.

Toute transpirante, prends la décision de prendre une douche , je pue littéralement et c'est insupportable de mon nez.Sortant de la salle de bain, je retourne encore dans mon dressing pour m'habiller normalement. J'adore cette pièce-là des fois j'y vais 2 à 3 fois par jours. Je prends vite une robe, un collant noir, des chaussures noirs, une écharpe d'hiver et un gros manteau.

Toute prête, rien à faire, je regarde mon téléphone pour voir l'heure, il indique 13 heure. Mon manageur vient me chercher vers 14 heure 30.
-Il me reste 1 heure 30 à rien faire…. En soupirant.
-Tiens, je vais pouvoir commencer un nouveau livre !
Je vais dans le salon, dans cette pièce, il y a un meuble rempli de livres. En regardant les étagères et en mettant mon index sur mon menton.
-Lequel ? Il y a trop de choix… Bon aller, je choisis au pif.
Je prends le premier qui arrive sous mon coude, en lisant le résumé, ça parle d'une princesse qui devient pauvre et je vais découvrir dans l'histoire comment elle va le supporter.
-Oooh intéressant ! En souriant.
S'installe dans le canapé, à fond dans le récit, ne voit plus l'heure tournée.
-Ding dong.
Sursaute à la sonnette, déjà, il faut que j'y aille au shooting. Je fonce, je me donne à fond pour faire des belles photos et pour la pub. Le parfum sent super bon, c'est une vanille genre sucré, je pourrai limiter le manger ce parfum. À la fin, tout le monde me salue et me remercie pour ma participation.
-Tu veux que je te ramène chez toi Luann ?
-Hmm, tu peux m'emmener au parc, s'il te plait ?
-Oui bien sûr.
Il me déposa gentiment devant le parc en souriant puis rajoute :
-Ta bien travaillé, t'es en week-end.
-Merci, oui, bonne soirée.

Me retourne vers le lieu, la voiture à mon dos. Marche tranquillement sur le trajet du parc. Pleins de parents avec leurs enfants. La joie, je dis "bonjour" à tous le monde, adultes et enfants. Ils me connaissent tous car je joue très souvent avec eux. (Avec les enfants, hein !)
On joue à la balle, à la corde à sauter, enfin la liste est longue donc on va s'arrêter là.
Quand le soleil se couche, les parents décident de partir, les enfants suivent leurs mamans ou papas/ voir les 2 réunit.
Les lumières des lanternes s'activent, je m'installe sur un banc, pose une cuisse l'une sur l'autre en gros les jambes croisées, sors mon bouquin et se met à lire. Je bouffe ce livre avec tendresse et acharnement , je veux savoir la suite. Au fil du livre , je me met à parler toute seule, j'étais librement dans ma bulle. Je me mis à pleurer, à rigoler, je ressentais pleins d'émotion...

-Maiiis pourquoiii ? Elle peut faire ça autrement !
-Arrg il manigance quelque chose celui la ...
-Ne le suit pas ! il va se passé quelque chose !
-Comment peut-t-on faire ça à une princesse... non à une fille... c'est épouvantable.

Ne sortant pas du livre , une main se dirige dans ma poche pour prendre un mouchoir pour essuyer mes larmes. Mon maquillage avait dégouliné, je pouvais le sentir je devais être moche mais je m'en foutais royalement.

lumos maxima

Dernière édition par Luann E. Allannah le Mar 11 Déc - 1:46, édité 1 fois

Hybride F - Sauvage	Rakuen	Age : 34 Localisation : les bois Emploi/loisirs : combattre dans les arènes Multi-Compte : Cheyenne & Kaya

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			Sam 8 Déc - 18:40

La foule acclamait la victoire qui t'avait été promise. Leur crient te transperçaient les tympans, comme la sueur et le spot de lumière te barrant le regard, faisant de toi une aveugle de passage. D'abord une grimace, puis un sourire, les bras levés au ciel comme pour atteindre ce paradis qui n'était point. Encore une soirée où peu de participant avait été à la hauteur d'une certaine attente. Une simple griffure te barrant le dessous de l’œil, des vêtements de fortune déchirer... c'est tout ce qu'il t'était arrivé. Mais qu'attendais-tu ? Toi, qui avais le choix... n'avais-tu pas assez souffert dans la vie pour rechercher d'autant plus de souffrance auprès d'autrui...

Quittant le devant de la scène de poussière, tu retournais chercher ce que tu avais gagné de droit. D'un air satisfait, cette masse de billets entre les doigts, tu retournais auprès de que ce l'on pouvait nommer des vestiaires. Repoussant tes cheveux plumage corbeau en arrière, c'est rapidement que tu fus de noir de la tête aux pieds. Réajustant tes mitaines d'un cuir sombre, tu entrais alors en conflit avec le froid de ce mois de novembre.

Un groupe d'hommes à tes arrières semblaient te convoiter, aussi bien que tu changeas tes propres plans. Depuis ces quelques années, beaucoup d'entre eux savaient qu'aucune chaînes ne t'était liée... Tu combattais par propre intérêt et n'avait aucunement envie d'appartenir à qui que ce soit...

Les hommes pouvaient se permettre de vous asservir à leur bon plaisir mais, pourquoi vous... race quelque peu supérieure, ne pouviez-vous pas tout simplement reprendre vos droits. Baissant la tête, aucune lentille était là pour te protéger d'un quelconque rabatteur. Changeant de direction pour finalement atterrir dans le parc, tu étais certaine que les hommes des arènes ne viendraient pas te chercher dans un t-elle endroit.

Dans un soupiré de soulagement, tu récupéras au fin fond de ta poche droite un paquet de cigarettes. Ouvrant délicatement le paquet, tu récupéras une cigarette entre tes lèvres, te servant d'un briquet pour l'allumé. Rapidement, tes poumons firent inonder et ta gorge brûler de cette sensation devenue si commune.

Le dos contre la surface duveteuse d'un vieil arbre habité d'un couple d’écureilles curieux, tu me mises à regarder le ciel étoiler. La lune était pleine ce soir-là, et tu sentais dans tes gênes le besoin de t'exprimer d'une certaine façon. Laissant les rayons de la lune te caresser la peau, l'odeur distinct d'une humaine t'attira. Il commençait à se faire tard et chaque enfant étaient rentrer chez eux... pourtant, elle était là.

Elle avait cette chose... de sa chevelure argentée te rappelant la lune et de ses yeux d'un bleu envoûtant. Elle était tout ce que tu n'avais jamais vu. Tu étais avec elle, un yin et un yang n'ayant jamais coexisté. De ton regard sanglant, tu l'observais longuement en recrachant cette fumer de tes poumons... puis, tu te souvenais de cette question existentielle, pourquoi eux... et non vous ? Ta langue caressant tes canines, c'est d'un pas certains que tu t'approchas alors de la petite chose, son odeur enivrant déjà tes narines.

C'est en s'approchant d'elle que tu remarquas que cette dernière était bruyante, ses yeux empourprés de larmes... elle pleurait ? Tu te mises à sourire très légèrement. Tu aimais les jeunes femmes fragile et pleine de compassions... soit, cette dernière pleurait sans doute d'une histoire dramatique dans un simple livre mais, tu lui trouvais un certain charme ainsi.

_Eh bien, qu'est-ce qu'une petite chose comme toi fait ici en pleine soirée ? Prononças-tu d'une voix grave et certaine, en prenant place à ses côtés sur le banc, gardant la tête basse et le regard contre le sol.

Tirant un nouveau bouffer de fumer. Tu aurais voulu lui prendre le menton entre tes doigts et lui essuyer ses larmes mais, tu ne voulais pas qu'elle devine de suite qui tu étais réellement... toi qui ressemblais tellement aux humains et où seule tes yeux et tes crocs te trahissait.

Le livre, si intenses niveaux émotions, des larmes continuent à couler le long de mes joues. Sans sentir ou apercevoir qu'une dame m'interpelle pendant ma lecture d'une voix grave et certaine "_Eh bien, qu'est-ce qu'une petite chose comme toi fait ici en pleine soirée ?" "Qui vient me déranger pendant ma lecture ?" Dit-t-elle dans ses pensées. En sortant le mouchoir de ma poche, je m'essuie avec délicatement. Je finis la page que j'avais déjà entamée avant de lui répondre, car ne pas finir serait un gâchis phénoménal. Au bout de quelques secondes, je ferme mon livre en mettant un marque-page à la page suivante.
- Désolée, mon livre est très intéressant, mais je m'arrête là pour ce soir. En rangeant le livre dans mon sac.
- Ici ? Je bouquinée un livre et vous ? En restant calme et regarde le paysage en face de moi.
- Vous êtes venue pour quelle raison ? Vous m'avez vu pleurer donc vous avez eu pitié de mon sort ?
- Sinon pourquoi ici et non un autre endroit ? C'est assez simple, c'est proche de chez moi et c'est calme à l'heure-là. En continuant à répondre à sa question.

Tournant mon corps vers la dame qui était déjà positionnée à côté de moi sur le banc. "Depuis quand elle est ici…" Remarquant assez vite que le visage de cette personne était vers le sol et non dans ma direction "Étrange..", la seule chose qu'elle faisait, c'était de fumer sa cigarette.
-Ça va ? Tu ne te sens pas bien ? Se met à paniquer.
-Tu veux que je t'emmène à l'hôpital ?
-Aaah mon maquillage à couler ? Je ne suis pas belle à regarder ?
-Désolée, je me permets ! Fronce les sourcils.

Même devant ce genre de situation ma voix augmentée jamais, ce n'était pas mon tempérament de crier. Prends l'initiative de diriger mes deux mains vers son visage, au toucher de sa peau, je m'arrêtai d'un coup. "Merde, je fous quoi là au juste ? Depuis quand je fais ça ? Ce n'est pas si désagréable de la toucher… Je me permets de voir que je ne suis moins une trouillarde , je fais des efforts et je paye le prix."
Reprends mes mouvements où je mettais arrêter, mes mains toujours sur elle. Qui le banc en me mettant à genoux près d'elle, ferme les yeux, puis met mon visage près du sien sans pression. Colle mon front à son front pour voir sa température. Que dal, je me sens mal d'avoir fait ça, elle devait rien comprendre à ce qui lui arrivée.
-C'est froid…

lumos maxima

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Tu t'étais lancé dans une partie de chasse exaltante, toi, prédatrice ayant pris en chasse une jeune proie niaise. C'est en inspirant une nouvelle bouffée sur la cigarette que tes poumons se mirent à te brûler, réchauffant ta poitrine prise par le froid de décembre. Tu avais alors lancé ta première phrase d'approche envers la pure et douce demoiselle. Cette dernière ne prit pas la peine de te répondre dans les secondes, prise par son univers de page encrée. Tu étais pourtant resté calme et observant le sol, inspirant et expirant la fumer de tes lèvres quelque peu coupés par l'arène.

La demoiselle s'excusa finalement de ne t'avoir pas répondu, refermant le livre que tu ne pris même pas la peine de regarder. Tu hochas légèrement la tête comme signe d'approbation. Elle se mise alors à parler, racontant le simple fait d'être là pour pouvoir lire. Le parc était calme à cette heure et tu comprenais pourquoi l'humaine s'était attardée ici... Finalement, la belle jeune femme te posa d'une certaine manière, la même question.

_J'avais envie de venir ici... Prononças-tu avant de jeter ta cigarette par terre, l'écrasant avec ton pied. Finalement, tu te mises à rire quand la demoiselle prononça à son tour « Vous m'avez vu pleurer donc vous avez eu pitié de mon sort ? » Secouant légèrement la tête de droite à gauche, le sourire ne pouvait quitter tes lèvres ; cette humaine était vraiment niaise, mais vraiment mignonne.

_Il était amusant de te voir remuer et pleurer pour de simples pags, tu m'as intrigué, c'est bien vrai. Avouas-tu en fermant les yeux, la tête toujours dirigée vers le sol de poussière.

L'endroit était calme et tout comme toi, la demoiselle en profitait doucement. Attrapant une deuxième cigarette dans ton paquet, tu la gardas cependant entre tes doigts, jouant bêtement avec cette dernière. Cette humaine te plaisait dans un sens... Elle était la proie facile que tu désirais tant. Tu voulais que tout commence... Ici et maintenant. L'asservissement des hybrides était révolu et tu voulais commencer à forger le monde à ta manière avec cette petite chose dont tu ne connaissais pas encore le nom.

_Ça va ? Tu ne te sens pas bien ? Prononças-alors la jeune demoiselle, te faisant hausser un sourcil. Tu veux que je t'emmène à l'hôpital ... ? Aaah mon maquillage à couler ? Je ne suis pas belle à regarder ? Continua t-elle de lancer, t'agressant de ses paroles, t'arrachant un rire à peine audible.

_Qu'est-ce que tu racon... Commenças-tu à prononcer quand les mains de la demoiselle vinrent à te toucher. Tu fus surprise mais gardas ton calme, aucun grognement ne sortant de ta bouche. Tu ne te sentais pas en danger avec elle... et trouvais ses gestes agréables, elle était tellement mignonne derrière son visage de poupée de porcelaine. Toutefois... elle ne serait qu'une esclave, ton esclave.

Entrouvrant légèrement les yeux, tu la vis alors se déplacer, déposant ton front contre le tien comme pour prendre la fièvre que tu n'avais pas. Rougissant subitement, tu déposas tes mains sur ses épaules, la reculant brusquement de toi. Tes yeux sanglants dans la profondeur de ses saphirs, la jeune humaine pouvaient maintenant se douter de la vérité... tu étais un hybride. Entrouvrant la bouche, tes crocs la menaçaient. Tu te redressas alors subitement, passant un bras autour de sa taille pour la rapprocher contre toi. Humidifiant ton pouce avec ta langue, tu passas alors ce dernier en dessous de son œil, là ou son maquillage avait coulé.

_Au contraire, tu me plaît petite humaine... Prononças-tu alors dans un susurre à son oreille, venant mordiller son lobe sans lâcher prise sur ton étreinte... elle était entre tes griffes désormais et bientôt, elle serait tienne corps et âme.

La personne à côté de moi n'arrête pas de sortir des cigarettes, une par une, c'est un pompier ou c'est comment ? Non mais genre elle en finit avec une qu'elle en ressort une autre. C'est mauvais pour la santé en plus ! Peut-être que je devrai lui dire…

Ceci dit, le problème n'était pas là ! Elle ne me regarde toujours pas, d'habitude les gens me sautent dessus dès qu'ils me voient, pour me parler ou avoir des autographes. Je suis assez connue quand même. Elle ne doit pas me connaitre, c'est pour ça, peut-être qu'elle ne lit pas les magazines… Mes fans payeraient tellement cher pour avoir SA place. Passons, j'ai l'impression de devenir narcissique en agissant de cette manière-là Non mais ho ! Le sang monte super, vite à la tête. Déjà, pourquoi penser au travail, pendant des moments pareils. Je sais, c'est une étrangère, voilà qui est simple à comprendre.

Reprenons donc dans mon élan, j'étais à son niveau, mon front contre le sien. Elle n'avait rien, c'est rassurant d'une certaine manière. C'était la première fois que je faisais ça. C'est plutôt gênant. Elle me repoussa brusquement sans ménagement, j'ouvrai les yeux en grand pendant ses mouvements. Je pouvais apercevoir alors ses yeux. Ils étaient dans un rouge, couleur sang. Ils sont beaux ses yeux… Elle ouvra aussi sa bouche, des crocs pouvaient y sortir. Sous le choc, je ne savais plus comment réagir, est-ce que cela me perturbe vraiment ? Comment faire pour le savoir vraiment ? Elle ne va rien me faire ? Pourquoi je suis restée aussi tard ?.. Des pensées aussi négatives surgissent, secours un peu la tête de gauche à droite "Depuis quand je pense de cette manière-là" Oups, c'est sortie tout seule de ma bouche, mais… Je fou quoi de faire ça sérieusement. D'un coup, je sens un doigt nettoyer mon maquillage en dessous de l'œil. Elle faisait ça avec gentillesse…

_Au contraire, tu me plaît petite humaine.. À mon oreille. En étant toute gênée qu'elle me mordille mon lobe, je réalise enfin que je suis dans son emprise. "M-Mais… Il ne faut pas faire ça à n'importe qui..Et puis j-je suis une fille" En bégayant. Essaye de me sortir de là en reculant mon corps avec douceur sans qu'elle ne le remarque. Avec de la chance, elle ne va rien sentir, surtout avec ce qu'elle porte comme vêtements.
"Je sais ! T'essayes des choses pour le faire plus tard à ton partenaire ?" Dite en faisant un faux sourire.

lumos maxima

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Tes mains sur ses hanches, tu semblais sentir sa peau délicate sous tes doigts mal grès les couches de tissu la protégeant du froid. Son odeur était-elle les baies des bois; doux et délicats. Ta langue caressant tes lèvres puis son lobe, la demoiselle était la chèvre de monsieur Seguin, naïve, qui ne tarderait pas à succomber de ses bêtises. Pourquoi te plaisait-elle autant... cette petite humaine. Il ennuie était sans doute la raison de cette folie. Elle était la première "humaine" à laquelle tu t'attaquais... et tu semblais y prendre plaisir; elle n'était pas hybride, juste les chaînes t'empêchant de pouvoir t'envoler, toi et tu les congénères.

_M-Mais… Il ne faut pas faire ça à n'importe qui... Et puis, j-je suis une fille. Prononças t-elle de sa voix bégayant et tremblante. Tu te mordis alors la lèvre inférieur à sang, plongeant une nouvelle fois ton museau contre sa chevelure d'argent.

La brebis se met alors à reculer avec douceur et avec un sourire sur les lèvres, tu te mises à la laisser faire; tu la savais de toute manière "piégée". Elle recule encore et encore quand finalement vos deux corps se quittent avec regret. Sa pupille sanglante ne la quitte plus, ses paroles ravivant un rire ironique dans ton esprit.

_Qu'importe le sexe... tu es juste une pro... commenças-tu à prononcer quand la jeune demoiselle à l'odeur de baies te coupa subitement la parole.

_Je sais ! T'essaye des choses pour le faire plus tard à ton partenaire. Dit-elle, son sourire de jeune fille naïve sur les lèvres. Haussant un sourcil, tu te mises à lui sourire à ton tour.

Tu étais tombé sur une proie bien facile à dévorer... la vie avait-elle enfin décidé de te montrer la voie de ce paradis auquel tu tenais tant ? Elle n'était qu'une humaine, une esclave à laquelle tu voulais profiter... tout semblait être de ton côté.

_Je pense connaitre bien plus de chose que toi à "ce" sujet... je n'ai pas de partenaire, désormais, il n'est question que de toi et... moi. Prononças-tu en t'approchant rapidement d'elle, attrapant son poignet avec violence.

La poussant contre un arbre, tu attrapas subitement ses deux poignets, les bloquant au dessus de sa tête. Dominant la demoiselle de la taille, le prédateur en toi ne faisait que de jubiler. Tes lèvres se déposant sur sa gorge, tu remontas ainsi avec douceur jusqu'à son oreille, la mordillant alors subitement.

_Tu es ma proie petite chose, et personne ne viendras à ton secours... grognas-tu au creux de son oreille. Bienvenue dans mon Paradis. prononças-tu une dernière fois avant de marquer une certaine pression au niveau de son cou, lui faisant perdre subitement connaissance.

La demoiselle dans tes bras, tu te mises alors à la porter sur ton dos, traversant les rues et ruelles sans aucune once de soupçons de qui que ce soit. C'est en levant les yeux vers un panneau publicitaire que tu la reconnaissais. La demoiselle à l'odeur de baie, elle et sa naïveté était au plan de l'échelle humaine . Souriant d'autant plus sadiquement, tu avanças alors à travers la ville, plongeant finalement dans la profondeur des bois.

Je voulais m'enfuir de cette personne, elle qui était trop proche, trop dominante. Je me suis sentie pas à ma place prés d'elle. Comment les choses ont pu terminer de cette manière ? Je me préoccupe trop des gens. Trop de trop, tue le trop.
Je vais mourir à cause d'elle ou elle va juste abuser de moi et partir ? Je serai souillé encore plus qu'avant.
Je ne veux pas re avoir ce que j'ai eu par le passé, Eileen à l'aide…À, mais attends, .. Ah oui, les gens appellent ça avoir du plaisir quand 2 personnes vont l'amour… Malheureusement, je ne connais pas ça sauf la destruction de moi, de mon corps, ce qui concerne ce sujet.

"M-Mais… Il ne faut pas faire ça à n'importe qui..Et puis j-je suis une fille"
_Qu'importe le sexe... Tu es juste une pro...
Elle est donc "bi", elle s'en fou royalement du sexe de son partenaire du moment qu'elle domine.. Au moins une chose qui est sur, elle est clair dans son jeu, dans ces manières, je comprends parfaitement cela.

_Je pense connaitre bien plus de chose que toi à "ce" sujet... je n'ai pas de partenaire, désormais, il n'est question que de toi et... moi. En s'approchant de moi et en attrapant mon poignet.
"J'imagine surtout bien que tu fais ça avec n'importe qui, et avec la première que tu croises sur tes chemins."

D'un coup, je sens une douleur à mon dos, bien évidemment cette hybride m'a pousser contre un arbre.
Je ne pouvais toujours rien faire qu'elle me prends mes 2 poignets pour les mettre au-dessus de ma tête.
Ses lèvres étaient sur mon corps à faire des choses étrange, pas normal pour moi en tout cas.
Mon corps commence à être bizarre, je n'arrive pas à mettre de mot dessus, la sensation n'était pas désagréable ceci-dit. Cette hybride à cru que j'allais me laisser faire. Je regarde attentivement ce qu'elle faisait en souriant.
J'essaye donc de bouger mon corps de gauche à droite pour la gêner. C'est mon corps, il m'appartient, et non à elle.
Je ne faisais pas attention à ce qu'elle m'avait dit sauf à ça : -Bienvenue dans mon Paradis.-
Cette phrase était la dernière avant de tomber directement et définitivement entre ses mains, perdre connaissance.

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