Rakuen; le paradis n'existe pas | 100%

Prénom : Rakuen
Nom :


Sexe : Féminin
Âge : 28 ans

Race : Loup & Corneille
Groupe : Hybride Femelle
Rang : Sauvage

Orientation : Gynesexuel

Tu es une personne qui s'emporte, s'énerve facilement. Tu ne préfères avoir par ailleurs aucun supérieur, refusant la domination d'autrui ou bien même de recevoir un quel que soit d'ordre. Tu as un caractère de dominante, tu ne te laisses jamais marcher sur les pieds et fais bien souvent comprendre à autrui que tu ne souhaites pas être dominé quelle que soit la situation.

Tu es par ailleurs une personne très protectrice mais, possessive, la jalousie suivant sa sœur t-elle une maladie. Quand tu estimes que quelque chose ou quelqu'un t'appartiens, tu ne le laisses jamais à autrui. Bien qu'agissant, le plus souvent par intérêt personnel, il t'arrive d'avoir des gestes désintéressés... le seul moment ou tu montres en réalité ce bon fond en toi.

Tu es brusque, toujours à avoir des gestes forts et parfois violents sans t'en rendre réellement compte - il arrive que tu sois douce, mais tu restes une personne à l’ego immense qui ne révèle jamais ton intérêt, ton amour pour une autre personne. Tu es un hybride carnassier ayant cependant le pire des points faibles pour un prédateur. En effet il t'est incapable de tuer le moindre animal sans en vomir à la suite.

Manipulatrice, tu arrives bien souvent à tes fins de façon sournoise et vicieuse. Tu ne le cache pas, tu es une diablesse de la luxure, sadomasochisme; tu aimes profiter des corps qui s'offrent à toi, toujours dominante au-dessus d'une quelconque source de féminité. Tu ne t'attaches cependant pas, n'étant pas intéressé par l'amour... Tu prends possession d'une personne un certain temps puis fini par t'en lasser.

Corps | Paraîtrais-tu androgyne ? il arrive toutefois à ce que l'on te confonde avec le sexe opposé. Tu es cependant née sous le signe de Vénus. Tu as toujours été grande (1m76) avec un corps fin, marqué bien plus par la masculinité que la féminité. Tu abordes une musculature naissante, laissant de côté une poitrine d'a peine 85B et un fessier légèrement bombé. Tu as une peau plutôt claire, marqué de petites cicatrices un peu n'importe où.

Cheveux | Tu as une chevelure plumage corbeau. Des cheveux épais qui descende jusqu'en bas de ton dos. Tu ne les attaches que très rarement, préférant les laisser détachés. Tu as des mèches rebelles, l'une d'elles te barrant le plus souvent l’œil gauche.

Yeux | Des yeux de type caucasien, tu disposes de deux pupilles à la couleur bien particulière. Elles sont dues à l'exotisme de ton hybridation. Deux iris d'un rouge sanglant, dont un regard cependant froid comme la glace. Pour te fondre dans la masse humaine, tu portes des lentilles de couleur marron.

Particularités  | Tu as l'oreille droite percée au lobe, portant une croix pendante à cette dernière. Tu as un tatouage sous le sein droit, une phrase en anglais "I'm searching for a paradise" suivit d'une plume noire. Tu disposes de quelques bijoux; des bagues masculine, une gourmette ainsi qu'une simple chaîne.

Attribues | Tu as deux ailes de corneille, celle-ci ne s'étant cependant jamais développées, laissant seulement deux petites masses de plume au niveau de chaque omoplate. Tu n'as aucune oreille, comme aucune queue mais disposes cependant de long crocs impressionnants. Peu de signe d'hybridation te permettant assez finalement de te confondre dans la masse humaine.


Vestimentaire | Tu as un style vestimentaire à toi. Aimant par-dessus-tout la couleur noire, tu portes que très rarement d'autres couleurs. Tu ne portes que des vêtements masculins, aimant surtout ceux se rapprochant du côté militaire mais surtout impérial... des vêtements rares ont trouvé mais que tu portes cependant sans aucune gêne.

Rakuen; Paradis, Il a toujours été question de toi, de lui, des autres puis de leurs ténèbres mais, qui es-tu ? une enfant au nom ne voulant rien dire. Te souviendrais-tu seulement d'une source même de lumière, l'homme t'ayant bercé dans l'idéal d'un animal courant après un paradis éphémère.

Tu es née de l'idéal d'un scientifique, tu as grandi dans l'idéal d'une société puis lui ; l'homme et le nom qu'il t'avait donné... le début d'une histoire, d'un désespoir ; Le paradis n'existe nulle part. Peut-importe jusqu'où l'on marche, enchaîné aux humains, quelle que soit la distance que l'on parcourrait, il serait loin, toujours plus loin

- Hybride d'exotisme chaotique, c'est ce qui m'avait poussé à t'adopter. Tu étais l'existence même d'une perversion qui ne m'avait jamais été acquise. Je voulais te faire oublier le passé et t'offrir un futur infernal, dans les flammes des limbes d'un paradis éphémère, toi à qui j'avais donné un nom sans lendemain -

Une enfance passée dans l'obscurité, isolée comme seule amie la folie. Sans peine, il t'avait fait oublier qui tu étais - jouant avec toi comme une pâte à modeler ; cette Javel à flot dans un esprit à peine mûrit. Il pouvait faire de toi ce qu'il voulait ; tu avais toujours été sa marionnette désarticulée.

Il t'appelait sa bête noire ; celle à laquelle il confiait ses perversions de macabrerie la nuit, ses journées s'étant toujours déroulées comme celle d'un homme de normalité. Tu vivais dans son underground, ayant oublié au fil des années, la beauté du monde réel.

- Ce que j'aimais par-dessus tout était de lui donner de jeunes animaux à torturer. Ma bête noire, tant de plaisir qu'elle me procurait. Les plaisirs charnels n'étaient rien à côté de ce qu'elle pouvait me faire ressentir. Leurs cris, les savoir dans mes enfers, sans paradis pour les sauver. Ils étaient blessés, torturés, tués puis mangés... Rakuen était mon paradis, celle qui m'offrait ce que l'état me refuserait -

Tu avais toujours détesté faire cela. Mais, toi qui était affamée, l'homme arrivait toujours à ses fins. Tu avais cette source de nourriture devant toi, mais, toujours avait-il fallu que l'animal souffre avant cela. Tu en étais devenue malade, et bien que d'origine carnivore, tuer des animaux était devenu pour toi un pur traumatisme.

- ô mon paradis, pourquoi fallait-il que cela se termine ainsi ? toi qui jusqu'à maintenant avais été ma poupée de chiffon, l'enfant soumis, laissait place à une femme au caractère bien plus que résistant à toutes les attaques que tu avais déjà subi... mais que faire ? mon paradis commençait à se faire éphémère et pour la garder, je devais me montrer rusé... -

Tes ailes ne s'étaient jamais développées et pourtant, l'homme désirait tout de même t'en priver. Il te voyait t'envoler alors que sous terre depuis des années, tu n'avais jamais rien connu d'autre que l'obscurité, pour seule lumière de simple chandeliers  allumés. Il avait essayé, puis échoué. Ton esprit avait mûri bien que délavé par ses flots de cruauté. Tu avais fini d'être son paradis, tu avais fini de courir après son paradis... il était temps pour toi de le chercher.

- Rakuen, mon paradis est devenu incontrôlable et plus d'une fois, cette dernière avait essayé de me faire payer. Il n'y avait plus rien à faire, je l'avais perdu... elle qui m'avait procuré tant de plaisir, mon cœur était brisé. Cher Journal, pourquoi cela devait-il se finir ainsi ? -

Des heures, des jours, des semaines... Combien de temps, s'était-ils écoulés sans qu'aucune nuit son visage ne vienne te déranger ? Tu venais de puiser dans les dernières réserves qu'il t'avait laissé... Et tu te demandais s'il avait fini par se lasser... Ou compris cette haine grandissant en toi à l'encontre de l'espèce humaine.

Tu avais toujours été le paradis qu'il n'avait jamais eu, et voilà que le manque commençait à se faire. Il n'avait pas pu se retenir, étais-tu toujours vivante ? T'avait-il laissé assez de nourriture pour survivre ? Lui, qui avait pourtant tiré un trait sur toi... quel imbécile avait-il été en ouvrant cette porte alors que tu l'attendais la faim au ventre...

« Envole-toi... ENVOLE-TOI ! » Avait-il crié alors que cette porte jusqu'à maintenant fermée s'ouvrait enfin à toi. Tu étais libre... Après tellement d'années, passé sous terre sans n'avoir jamais vu l’extérieur, ayant oublié ton passé.

Nous étions en Automne 2032 et comme pour une première fois, le soleil te brûla. L'adaptation à l'extérieur avait été difficile - tu avais cependant eu la chance de ne pas terminer aveugle après tant d'année sous terre. Dans cette nature que tu ne connaissais pas, tu t'étais laissée guidée par ton instinct canin... La détresse était pourtant là, mais elle te trouva... la belle anaconda.

T'apprenant à vivre, tu étais resté à ses côtés presque une année avant de finalement la quitter elle et ses troupes. Les révoltés avaient des idéaux, des lois, qui parfois ne passaient pas. Tu avais vécu beaucoup trop d'années en solitaire, et même un passage au village des hybrides n'avait duré que quelques semaines avant que tu ne t'isoles dans la profondeur des bois. Tu avais rénové une ruine de bois, en ayant fait ton chez-toi. Tu divaguais alors entre bois et ville.

Ayant eu les mêmes particularités que Kali, celle-ci t'avait appris à te fondre dans la masse humaine... Tu avais alors trouvé comme seul moyen de gagner de l'argent ; les arènes lambda, peu connues, ou tu te donnais en spectacle à des humains avides de combat, sans donner ta vie au combat. Là ou tu pouvais être toi-même, une hybride.

Prénom/Pseudo : Sushi
Âge :20 ans
Fille, garçon ou autre ? Fille
Avatar utilisé : Oda Nobunaga de Fate grand/order
Question  : Tchek
Réponse à la question :