Il Est L'Heure Du Thé ! [Pv: Isako Towika] +18

Alors que tu venais de parler à ta maîtresse, tu gardais les yeux rivés sur elle, voulant suivre le moindre de ses gestes, non par peur, mais par intérêt. Tu voulais essayer de comprendre ses actes, c’était une chose aussi simple. Tu pouvais alors croiser les iris de Dame Isako, pouvant remarquer de la surprise dans son regard, te demandant bien l’origine d’une telle stupéfaction. Tu ne pensais pas avoir posé une question désagréable, il s’agissait peut-être de toi, le fait que tu n’avais pas eu assez de pertinence pour savoir la raison ?

Elle coupe alors court à toutes pensées idiotes de ce genre, tu comprenais alors que dans cette salle, tu pouvais te comporter comme d’habitude, il n’y avait pas de rôle à tenir proprement. Tu baissais quand même tes oreilles et détournais le regard sous l’effet de ton surnom. C’était un mot qui te faisait toujours cet effet-là, une certaine gêne. Le fait aussi qu’elle vienne parler de la récompense jouait un peu, tu connaissais la plupart du temps les récompenses, tu aimais ça. Pourtant, tu trouvais cela étrange et gênant, qu’un être de ta position ait le privilège de recevoir ça, surtout pour une mission aussi banale à ton esprit. Dame Isako te faisait trop d’honneur.

Tu n’avais pas le courage de venir lui répondre, tu obéissais simplement à ses directives, commençant à tirer le meuble à quatre pattes pour t’installer lentement dessus. Tu bougeais lentement, écoutant dans un même temps ta maîtresse. Tu aurais ta réponse, mais tu devais être patient et commander quelque chose, cependant, tu comptais refuser, du moins, c’était ton objectif initial. Encore une fois, Dame Isako te coupa l’herbe sous le pied, t’incitant plus que nécessaire à prendre quelque chose. Tu ne pouvais qu’éprouver de la reconnaissance à son égard de se préoccuper de toi ainsi.

“Je comprends Dame Isako. Je prendrais donc simplement un Russian Earl Grey… Kei m’a dit que ce genre de thé était bon, je vais donc en profiter pour confirmer son jugement.”

La commande fut passé assez rapidement, tu portais ton regard sur le serveur, qu’il ne tente rien d'inapproprié envers ta maîtresse. Une fois de nouveau seule en compagnie de la demoiselle, tu la sentais venir se montrer tactile comme à son habitude. Tu te laissais faire, c’était une preuve d’affection de ta maîtresse, une preuve que tu aimais bien ce genre d’attention. Tu étais simplement un peu paniqué par le fait que si quelqu’un venait à entrer subitement, cela pourrait porter préjudice à la maîtresse.

Tu l’écoutais encore une fois parlé, ayant enfin la réponse que tu attendais, tu comprenais donc ce raisonnement. Tu n’aimerais pas non plus voir ton univers s’écrouler ainsi, tu aimais trop ta vie actuelle pour la voir partir en fumée sur le coup. Tu connaissais aussi les efforts de ta maîtresse pour tenir un tel rôle, cela d’autant plus frustrant de voir de tel effort s’envoler. Tu eus un léger frisson en percevant les tapes sur la porte, tu étais tellement focalisé sur ta maîtresse, que tu n’avais pas entendue la personne s’approcher de la porte, malgré ton ouïe.

Tu laissais donc le serveur déposer les effets nécessaires à votre consommation, puis repartir. L’homme venait juste de quitter la pièce, que tu pouvais déjà voir Dame Isako presque se jeter sur sa boisson. Pour ta part, tu venais la prendre lentement entre tes mains pour porter le liquide lentement à tes lèvres, remarquant qu’il était encore bien trop chaud pour être dégusté pleinement. Tu déposais donc à nouveau la tasse sur la table, pour venir prendre la parole.

“Je comprends à présent Dame Isako, est-ce que cela arrive souvent lors de vos interviews ? Et j’espère sincèrement que personne ne viendra jamais découvrir votre vie privée. Si cela devait arriver un jour, je suis convaincue, que nous vos hybrides ferions le nécessaire pour que cela ne vienne pas s’ébruiter.”

Tu pouvais enfin consommer la boisson, les nuances de vapeurs étant bien moins important qu’au départ. Tu laissais un léger arôme marquer ton palet, pour laisser un arrière plus fort s’imprégner totalement, c’était, en effet, appréciable. Tu reconnaissais encore une fois que Kei avait d’excellent goût, le fait de penser à lui venait te rappeler les mots prononcés par ta maîtresse. Tu trouvais, encore une fois, cela très touchant, tu n’avais pas autant d’estime de toi.

Tu savais aussi que Kei était bien plus doué que toi pour ce genre d’aspect du métier, tu ne pouvais donc pas te trouver convenable pour une telle tâche. Tu étais persuadé que ton ami, aurait trouvé les bons mots pour qu'Isako ne se sente pas aussi exténuée et fatiguée par les propos du journaliste.

“Je tiens à vous remercier de vos propos devant le journaliste. Vos paroles me vont droit au cœur, mais je suis sûr que Kei aurait été un bien meilleur support pour vous aujourd’hui. Je ne suis pas à la hauteur, du moins, je n’ai pas le niveau de votre hybride et de mon supérieur. Je suis aussi reconnaissant de me donner une récompense malgré mon travail de moindre qualité, et je ne vous fuis pas à cause de cette dernière, je suis même assez curieux à son sujet, Dame Isako.”

La première question de ta maîtresse te faisait lentement pencher la tête, la question pouvait se poser en effet. Aux yeux du public, vous deviez apparaître comme des simples collègues de travail, mais toi, tu voyais les choses d’une façon bien différente. Tu trouvais aussi la question de Dame Isako intéressante, car cela voulait dire que vous laissiez penser des choses différentes, même au sein du harem. C’était peut-être votre nature, l’amitié ne devait sans doute pas avoir une forme définie ou la votre n’étais pas dans les standards de l’humanité. Tu prenais alors une nouvelle gorgée du thé pour préparer ta gorge, afin de parler à celle qui te dirige, avec la meilleure voie possible.

“Pour moi, il s’agit d’un ami, même ce que les gens pourraient définir comme un meilleur ami. J’ai beaucoup appris à ses côtés, autant dans le harem que pendant le travail. J’ai même cette prétention de penser que nous avons un lien, une certaine confiance qui nous permet d’être réactif autant sur le terrain pour vous protéger qu’à la maison pour combler vos plus grands désirs. Il faut dire que Kei est très bon à ça, il vous connaît terriblement bien.”

Tu continuais de boire, pendant que Dame Isako venait te parler, t’informant un peu plus sur le métier un peu détestable de journaliste, du moins ceux de cette branche-là. C’étaient des gens sans peu de talent qui aimaient simplement nourrir un besoin stupide. Tu préférais ceux qui prenaient le temps de traiter les informations importantes, car oui, tu aimais lire le journal quand tu avais accès à une source. C’était un moyen pour toi de continuer à lire, et même de te tenir à jour, ne pas paraître trop inculte et discréditer indirectement ta maîtresse.

Les paroles de Dame Isako venaient te mettre un certain baume au cœur, tu étais heureux que l’on vienne reconnaître ta valeur, malgré la petite estime de toi que tu avais. Tu souriais un peu plus, sa dernière phrase ayant eu le don de te faire du bien. Il est vrai qu’en entrant au service de la demoiselle, tu avais drastiquement changé de vie pour le coup. Finalement, tu avais terminé ta boisson, cette dernière était descendu bien trop vite, mais le goût t’avais parfaitement convenu, tu ferais en sorte d’en consommer plus souvent à présent.

Tu n’avais plus le temps de penser autant, ta maîtresse venait attirer toute ton attention à sa personne, tu pouvais sentir ses doigts sur ta peau légèrement ébène. Tu pouvais plonger ton regard dans le sien, ce que tu ne fis pas longtemps, par respect envers elle, cela était trop irrespectueux de la dévorer ainsi du regard. Tes oreilles venaient alors lentement se coucher, tu avais un peu honte d’avoir essayé de réclamer un cadeau plus vite qu’il ne devait arriver et surtout la demoiselle venait encore exposer ces quelques côtés défectueux de toi.

Son inventivité venait te surprendre, encore une fois, tu ne semblais pas avoir la capacité de t’adapter, du moins pas assez, elle arrivait à toujours te prendre par ton angle mort. Tu profitais de ce moment, suivant simplement le rythme guidé par ta maîtresse, ne sachant pas si tu pouvais prendre les commandes sur le moment. Tu sentais alors un léger mouvement, ta peau étant sensible, tu ne savais pas si ta maîtresse avait fait exprès ou un simplement mouvement de sa part. Puis, le doute n’était plus là, tu connaissais au moins ta demoiselle pour ce genre de penchant.

Tu restais un peu penaud devant tant d’attention de la part de ta maîtresse, elle avait encore réussi à se jouer de toi, te prendre par surprise. Te mettre face à tes envies et t’offrir un avant-goût, c’était bien sa signature, tu avais les oreilles légèrement baisées et le regard un peu fuyant. Cependant, tu ne pouvais garder cette attitude bien longtemps, tu te retrouvais à présent, à servir d’oreiller. Et encore une fois, elle tirait de toi des têtes que seule elle pouvait te faire avoir, sa question te donnait quelques rougeurs, surtout posé dans ce genre de lieu.

Pendant que tu pensais sérieusement à la question de Dame Isako, tu suivais le mouvement qu’elle indiquait à ta main, venant lentement passer sur son ventre, comme si tu continuais l’acte pour aller dans son sens. Tu la caressais, voir même la massais, c’était une action pleine de douceur et de bonnes intentions à son égard. C’était la seule chose pure du moment, ton esprit vagabondant trop loin, surtout après le petit avant goût du cadeau qu’elle venait de te faire. Elle t’avait demandé, mais tu ne savais pas si cela était une bonne idée de venir exposer ainsi, une de tes envies à toi, c’était un peu contradictoire avec ta fonction.

Pourtant, tu ne pouvais désobéir à ta maîtresse, tu venais alors dire d’une voix un peu faible, que seul pourrait entendre, comme s’il s’agissait d’une confidence de la plus haute importance.

“Je...J’aimerais bien tenter avec les yeux bandés...Ou simplement pouvoir vous embrasser à nouveau, Maîtresse !”

Tu étais encore plus rouge, un peu de honte, tu étais simplement sa chose, tu ne savais pas s’il était vraiment possible d’exposer ainsi tes envies et surtout les voir combler par Dame Isako. Puis, comme pour essayer de réparer la faute que tu pensais commettre, tu viens relancer la balle.

“Et vous maîtresse, qu’est-ce que vous désirez, de ma personne en ce lieu ?”

Pour essayer de rester concentré et éviter que tes rougeurs viennent prendre un peu trop de place sur ton visage. Tu repenses à ses mots concernant ton amitié avec Kei, mais cela fût encore pire, car il ne s’agissait que de compliment à ton égard, autant de siens que ceux que Kei semble lui avoir confié de ta personne. Ton visage était rouge, mais non de gêne, plus d’appréciation d’un tel moment, autant la sensation du corps de la demoiselle sur tes genoux que les propos de Dame Isako. Et comme à son habitude, ta maîtresse avait entièrement remarqué que ton état n’était pas normal du tout.

Et voilà, elle venait encore enfoncer le clou, lentement, mais sûrement, le plus improbable, c’est qu’elle mettait le doigt sur quelque chose. Elle n’avait pas tort, tu aimais sa compagnie et sa proximité, voilà pourquoi tu venais rougir sous ses actions. Tu prenais donc le temps de respirer un peu sur le coup, il fallait te calmer, tu devais être digne pour elle et aussi si quelqu’un finissait par rentrer dans la pièce. Alors que tu pensais enfin pouvoir garder un peu de ta contenance, tu n’avais pas vu le nouvel assaut de ta maîtresse.

Elle retournait contre toi tes paroles, te faisant passer pour le débrayer de l’histoire, mais tu ne pouvais pas réellement te défendre dans une telle situation. Ta maîtresse avait toujours le dernier mot, c’était une obligation et ce qu’elle disait devait être fait. L’autre raison, c’était qu’elle n’avait pas tort, mais cela concernait tous les membres du Harem. Chacun d’entre vous aimiez les traitements de la maîtresse ou peut-être que c’était simple toi qui ressentait ça. Ton esprit venait s’embrumer alors sous toutes ces pensées un peu mal placées.

Encore une fois, tu ne pouvais rien faire, tu dansais dans la main de Dame Isako, elle savait parfaitement comment mener la danse avec ton esprit et ton corps. Tu n’avais plus aucun endroit où fuir à présent, tu devais plonger ton regard dans les iris de ta maîtresse. Tu pouvais voir son air sûr d’elle, joueur, captivant, elle avait encore gagné cette partie, ce jeu que tu n’avais jamais réussi à remporter. Un léger frisson venait s’emparer de toi, presque imperceptible, le contact de sa peau contre la tienne, la différence de température, aussi le fait qu’une personne de son gabarit pouvait faire ce qu’elle désirait de toi. C’était suffisant pour arracher cette sensation dans ton échine.

Tu hochais simplement la tête à ses paroles, tu ne te sentais pas le cœur à répondre, tu sentais qu’un simple mouvement de visage suffirait, tu avais peur de ruiner l’ambiance présente en ce moment. Encore une fois, tes lèvres n’étaient plus tiennes, leur donnant simplement le mouvement à suivre, pour convenir à ta maîtresse, un vrai miroir dans cette danse. Puis lorsque vint la langue de ta maîtresse, tu faisais danser la tienne, y mettant même un peu du tien, en faisant toi-même un léger assaut que tu venais réfréner, pour ne pas briser les pulsions de ta maîtresse.

Tu pouvais le voir, l’air de ta maîtresse, ce sourire quand elle était pleinement satisfaite, cela suffisait à te combler, même si elle jouait gentiment avec toi. Tu étais simplement heureux de la voir ainsi, c’était peut-être suffisant à ton bonheur. Tu sentais encore les dessins invisibles que faisait la jeune femme sur ta peau, venant alors retourner dans sa position d’origines, comme si de rien n’était au final. Tu prenais juste un peu la parole pour répondre à sa question, le visage à nouveau détourné.

“J’ai beaucoup aimé Dame Isako, je vous remercie de cette attention à mon égard… Je me sens comblé.”

Tu pensais sincèrement tes paroles, tu avais aimé ça, ta maîtresse avait simplement prit le temps pour toi, de répondre à tes envies, ta demande, comme si tu étais sa priorité sur le moment. C’était plaisant, mais un peu grisant, car cela ne collait pas avec ton rôle de garde du corps, c’était à elle d’être comblée et non ta personne. Alors qu’elle venait te parler à nouveau, tu poses, avec une certaine volonté, le regard sur elle. Sa question différait un peu du reste, du moins dans son contexte, il était clair que sur le moment, il n’y avait aucune ambiguïté.

Tu venais alors remettre ta main sur son ventre, reprenant les lentes caresses, comme si rien n’avait changé depuis sa dernière question, celle qui avait amené à savourer les lèvres de la jeune femme. Puis, comme un léger instinct, une envie de la rassurer sur tes intentions et sentiments pour cet instant, tu passais lentement ta main libre sur sa joue, comme pour reproduire sa façon de faire.

“Oui, Dame Isako, j’aime ce moment actuellement, je serais ravie de pouvoir revivre à nouveau ce genre de journée en votre compagnie.”

Tu continuais alors de lui porter tes douces attentions, pensant encore une fois au bien de ta maîtresse et voulant essayer d’être prévoyant, tu posais une question qui te permettrait peut-être de te préparer pour la suite des évènements.

“Maîtresse, qu’avez-vous prévu pour la suite de cette journée ? Je pense que venir s’endormir sur mes genoux ne soit pas une bonne chose pour votre image.”

Tu te retiens de soupirer, par égard pour ta maîtresse et surtout que ce dernier concernait ta propre personne. Tu disais être comblé, mais tu savais que cela n’allait pas s’arrêter ainsi et surtout, tu serais plus qu’heureux de recevoir autant d’attention de la part de Dame Isako. Et ton soupir, aurait été de plaisir, l’idée de pouvoir encore avoir un peu de son attention te faisait plaisir. Tu savais que d’autres partageaient les mêmes plaisirs que toi, tu acceptais cela, mais tu ne dirais jamais non au fait de pouvoir avoir ce genre de situation à ton avantage, elle était tout pour toi.

Elle était celle t’ayant permis d’avoir ce genre de vie à présent, celle qui faisait que tu avais pu avoir un ami, une famille en soit. Elle t’avait offert plus, de ce fait, ton corps et ton âme lui était dédié. Tu laissais donc place à un sourire, plutôt que de montrer un air soupirant à la Dame, il fallait que tu montres ton plaisir devant ses paroles. Ainsi, tu aurais donc la chance de pouvoir profiter d’elle à nouveau ? Et même s’il y avait du monde présent, cela la rendrait heureuse, tu serais donc comblé de la même façon. Puis, la voir avec des projets était motivants, de voir que sa carrière ne venait pas manger tout son temps.

Tu émets quand même une réserve en sachant que tout ce beau monde pourrait être présent dans ce genre de lieu. Au vu de la personnalité de chacun, Kei et toi auriez du travail pour surveiller chaque membres du Harem et surtout, cela pourrait attirer l’œil.

“L’idée est des plus plaisantes Maîtresse, mais si vous désirez voir tous les membres de votre Harem dans une même pièce, il faudrait peut-être planifier cela comme il faut ou choisir un endroit plus sélectif pour éviter que des rumeurs circulent. Cela pourrait vous porter préjudice. Kei m’a toujours dit que des rumeurs pouvaient se faire passer pour une vérité, même si dans votre cas, cela est véritable.”

Tu apprenais donc la suite du programme, tu voulais encore soupirer, tu ne pourrais pas profiter un peu plus de ta maîtresse au final, tu devais replonger encore une fois dans ton rôle. Tu ferais ce qu’il faut, tu le faisais bien lors des concerts et tu ne voulais pas décevoir ton seul ami. Il serait idiot de ruiner deux choses si précieuses pour toi, sous une simple envie, peut-être même un caprice. Tu laissais cela à ta maîtresse, elle savait si bien les faire et recevoir ce qu’elle désirait en échange.

Tu réfléchis à sa proposition, il est vrai que tu aurais besoin de changer quelques tenues dans ta garde-robe, certaines abîmé lors des concerts ou simplement par les envies furieuses de Dame Isako. Il serait donc bon aussi de rentabiliser ce précieux temps pour vos besoins à tous les deux. Puis, dans tous les cas, tu pourrais passer encore du temps en compagnie de celle à qui tu as dédié ta vie.

“Je ne dirais pas non de faire les boutiques avec vous. J’aurais besoin de racheter quelques tenues, surtout des hauts, j’en ai perdu certains récemment. Je vous laisse donc me dire quand vous désirez partir pour faire vos achats ?”

Tu la sentais se relever, c’était peut-être le signal pour votre départ, mais tu retiras rapidement cette idée de ta tête. Tu sens encore ta présence sur ta cuisse, ton regard ne venant pas la quitter pour l’observer finir de consommer sa boisson. Il est vrai que ta maîtresse, elle n’avait pas encore fini sa collation pour le moment, tu étais assez rapide sur ce genre de chose. C’était surtout un moyen pour toi de pouvoir ensuite tourner ton esprit vers des choses que tu considérais plus passionnantes.

La suite venait encore te faire croire que tu devais partir, mais tu fus encore une fois stoppé bien net dans ta réflexion et tes mouvements par la même occasion. La demoiselle était sur toi, dans une position des plus suggestive, surtout venant de la part de Dame Isako. Ce n’était pas la première fois que cela arrivait et tu savais que cela avait rapidement laissé place à de nouvelles positions. Tu venais déglutir un peu, cela était risqué, mais cela pouvait être plaisant, pourtant, cela était surprenant, avoir la possibilité d’être surprise, peut-être que c’étaient les tendances de ta maîtresse pour le coup.

Et voilà, tu sentais son corps se faire plus présent sur ta peau, ton corps, venant te montrer sa présence et possiblement le désir qui l’animait. Tu sentais un frisson naître dans le bas de ton dos pour remonter lentement le long de ton échine, venant exploser dans ton corps sous ses propos, ses attentions sur ton oreille. Elle savait comment créer l’émoi chez toi, l’envie et le désir. Tu devenais rouge sur le moment, redevenant aussi teinté que tout à l’heure.

Tu possèdes un regard fuyant sur le début, avant de te concentrer sur la situation, les ordres de ta maîtresse sont absolus et tu ne serais pas contre ce genre de surprise au final. Tu ne bouges pas ton corps, ce n’est pas à toi de prendre de telle initiative, sans pour autant savoir si cela était plus qu’une question, mais une invitation. Tu réfléchis alors, te disant qu’en tant que remplaçant de Kei, tu devrais peut-être essayer de faire un dixième de ce qu’il fait, essayer de prévoir plus, d’essayer de devenir plus aux envies de ta maîtresse. Tu laisses ton esprit vagabonder, voulant faire une proposition, sans pour autant le mettre comme un ordre, ce n’était pas le cas.

“Je le ferais Dame Isako, je viendrais vous combler, répondre à vos attentes, de faire en sorte de jouer sur le fil, d’éviter de se faire prendre tout en répondant à vos envies. Je me pose simplement une question Maîtresse. Si vous avez ce genre d’envie à présent, peut-être tenter quelque chose à votre niveau, plus osé, les boutiques et leurs cabines feraient un bon défi, je pense.”

Tu faisais une proposition, espérant aller dans le sens de ses envies de moments, essayant sans doute d’endosser un rôle qui n’était pas le tient et qui ne devait pas te convenir.

Voilà une chose bien ironique pour un loup, mais tu venais de tomber dans la gueule de ce dernier. Le fait d’avoir laissé parler tes pulsions, puis te faire guider par les propos de ta maîtresse, t’avait amené à mettre de l’huile sur le feu, réveiller la bête qui dormait en elle. Tu avais simplement oublié de prendre quelque chose en compte, l’appétit de Dame Isako et surtout la façon dont tu devrais faire pour réussir à éteindre sa voix. Il est vrai que tu n’avais pas à penser à ça quand tu étais dans la maison, c’était votre espace à tous, un lieu où tout pouvait se dérouler, pour le plaisir de tous.

Tu avais alors une pensé pour Kei, il devait gérer souvent ce genre de chose, car tu te doutais bien, à présent, que ta maîtresse ne devait pas être à son premier coup d’essai. Pourtant, tu n’avais plus le choix à présent, tu avais tenue des propos, émis une promesse, tu devais assumer les conséquences. Tu avais encore un peu de temps pour réfléchir à comment gérer le caractère expressif de ta maîtresse, tu aurais aimé demander à Kei, mais tu savais que si tu venais faire cela, il serait plus inquiet qu’autres choses. Il te faudrait faire de ton mieux et montrer qu’il pouvait avoir l’esprit tranquille quand déjà, il n’allait pas bien physiquement.

Alors que tu voulais laisser ton esprit s’échapper pour réussir à avoir des pistes d’idées, tu n’eus pas le temps d’aller bien loin que l’on venait te voler tes lèvres. Tu avais à peine le temps de suivre le rythme, les pulsions de Dame Isako, il semblerait que ta proposition ait fait bien plus d’effet que tu ne l’aurais pensé. Tu découvrais encore une nouvelle facette de celle à qui tu donnais ta vie, elle devait sans doute apprécier ce genre de plaisir qui venait changer de ce qu’elle avait dans le Harem.

Tu pouvais enfin reprendre doucement ton souffle, la voyant se remettre en état, elle avait raison, il ne fallait pas laisser de soupçon, tu venais alors faire de même. Tu touchais surtout le haut de ta tenue et tes cheveux, tu étais de nouveau présentable, pour ne pas faire de déshonneur à ta maîtresse. Sa phrase indiquait clairement qu’il fallait de nouveau plonger dans le monde des stars dans lequel Dame Isako semblait pleinement vivre. Alors que tu faisais le trajet arrière pour retourner dans la voiture, tu restais droit et noble devant elle, ne venant pas dire un mot, car tu n’avais pas assez de connaissances dans le domaine et surtout, tu savais quelle était ta place.

Le temps passa un peu lentement pour toi, c’était tout à fait normal quand tu ne connaissais pas les choses qui t’entoure, mais tu ne laissais rien paraître devant ta maîtresse. Une fois libéré de cette nouvelle obligation, tu pouvais monter avec elle dans le véhicule, venant faire la route vers les boutiques. Tu étais installé à côté d’elle pendant le trajet, croisant son regard pour voir la flamme que tu avais allumé avec tes paroles, venant stresser un peu. Tu ne doutais pas du fait de pouvoir faire plaisir à ta maîtresse, tu étais simplement tendu au fait de pouvoir le gérer, dans ce nouvel environnement.

Tu quittais, suite à ses indications la voiture avec elle, venant plonger dans la boutique. Tu écoutais avec beaucoup d’attention et un sourire tendre sur les lèvres ses paroles. Tu étais heureux de voir que comme toujours, elle ne comptait pas pour ses hybrides, malgré sa sévérité, elle savait vous couvrir de toutes sortes d’attention. Pourtant, tu ne pouvais t’empêcher de faire attention à ce que tu venais choisir, c’était aussi ta façon de la remercier de ce qu’elle avait fait, faisait et ferai pour toi. Tu avais pris une nouvelle tenue, un trois pièce pour essayer d’être le plus présentable, pensant tout de même à choisir les chemises qui venaient te manquer dans cette histoire. Tu cédas quand même en voyant une belle ceinture, ainsi qu’une cravate allant bien avec l’une des chemises choisies.

Tu rejoignais celle qui te tenais en laisse d’une certaine façon, pour finalement te faire entraîner dans une des cabines, les choses allaient peut-être arriver plus que prévues. Tu n’aurais pas le temps de prévoir plus que ce que tu avais pus imaginer. Pourtant, le temps ne semblait pas encore prévoir une effusion de cri et de plaisir, pour qui, tu ne savais pas, mais elle semblait plus calme que prévu. Finalement, tu vins penser au fait, qu’elle devait encore vouloir jouer un peu avec toi, c’était sa façon de faire et tu étais le parfait sujet, au vu de tes réactions.

Tu obéissais rapidement à ses directives, venant même placer tes mains sur tes yeux, comme un enfant ou afin de donner plus de sécurité à sa demande. Tu attendais patiemment, te demandant bien ce qu’elle comptait faire, même si tu commençais à avoir une petite idée de ce qui pourrait arriver. Alors que tu avais son feu vert à présent, tu pouvais voir ta maîtresse dans une tenu différente, elle avait fait un essayage ? Tu trouvais cela étrange qu’elle te demande de fermer les yeux justes pour se changer, elle qui prenait un malin plaisir à se balader sans rien dans le logement.

Tu la trouvais mignonne sur le moment, cela lui allait très bien, mais tu pensais qu’elle serait peut-être plus joueuse que ça. Tu venais te mettre une petite baffe mentale, elle avait tellement été subtile ou non dans ses actions, que tu étais presque quémandeur de ses actions à présent. Tu souriais comme à ton habitude, un air léger sur tes traits pour lui répondre.

“Vous êtes très mignonnes comme ça Maîtresse. Vous comptez porter cet ensemble pour une interview ?”

Ton sourire devint un peu plus nerveux sous sa façon de dire les choses, tu étais donc sur à présent qu’elle comptait bien jouer avec toi, jusqu’à obtenir ce que tu lui avais promis. Cela ne serait pas une chose difficile, tu étais trop doux et surtout trop dévoué à elle pour lui refuser ce qu’elle désire aussi longtemps. Alors que tu pouvais voir ses mouvements, ton regard se porta sur le tissu qui venait se lever, tu commençais vouloir savoir ce qu’elle comptait te montrer, étant tout de même curieux par rapport à ses jeux, même si cela te faisait avoir toujours autant de rouge sur le visage.

Tu pouvais alors voir l’intérieur des cuisses de ta maîtresse et surtout remarquer que le sous-vêtement ne cachait pas grande chose de par sa forme et son côté transparent. Tu passais vermeille, la tension d’un tel lieu jouait sur toi. Elle semblait avoir trouvé une bonne façon de te mettre dans l’ambiance à présent, tu étais presque impatient au final de venir lui offrir ce que tu avais promis. Tu pouvais aussi admirer la croupe de Dame Isako, venant commencer à faire monter une certaine chaleur en toi, comme si l’endroit te provoquait plus de plaisir, l’adrénaline sûrement.

En la voyant s’avancer telle une lionne prête à se jeter sur son repas, tu voyais son regard brûlant de désir, tu avais réveillé une chose que tu allais peut-être regretter ou au contraire aimer plus que de raison, tu ne pouvais savoir sans goûter n’est-ce pas ? C’est quand elle vint te parler alors de ta récompense que tu commençais à perdre le flot, te disant que cela n’allait pas avec les envies dans son regard. Encore une fois, elle pensait à toi, même si tu te doutais que la récompense devait lui convenir aussi pour te la prodiguer ainsi.

Tes lèvres venaient se faire happer par les siennes, tu te laissais faire, ne voulant pas résister autant par ordre que par envie à présent. Tu pouvais sentir tes vêtements se faire retirer, un peu plus en douceur que les autres fois, tu n’aurais donc pas à reprendre une nouvelle chemise dans cette histoire. Tu frémissais, retenant un gémissement en sentant ses lèvres sur ta peau déjà chaude. Tu la voyais alors à genoux, tu n’avais pas eu que peu de chance de la voir ainsi, la plupart du temps, tu te retrouvais allongé avec elle.

C’était excitant de pouvoir l’observer ainsi, cela ne faisait qu’augmenter ton désir, venant gorger lentement ta hampe, alors qu’elle n’avait encore rien commencé réellement sur ton corps. Tu n’eus pas le temps de soupirer plus que tu te retrouvais presque dans la plus simple des tenues. Ta verge venait se gonfler rapidement en sentant sa main, comme un réflexe, une traduction du désir qu’elle avait créé chez toi. Tu te mordais la lèvre, ne pouvant que difficilement retenir soupires qui passaient par tes lèvres sur le moment. Tu respirais plus fortement, elle était véritablement une bête.

Tu portais même ta main devant tes lèvres, c’est elle que tu devais empêcher de vous faire avoir, mais elle était tellement dans l’action rapide que tu ne pouvais contenir le plaisir venant grimper en flèche. Tu étais rouge à présent, mais terriblement excité par ta maîtresse et ses actions, pourtant, c’était à elle de recevoir et non toi, même si elle disait te récompenser pour ton comportement. Tu ne pouvais échapper à son regard, tu sentais comme des pulsions bestiales remonter aussi en toi, tu voulais te lâcher, mais ta conscience te permettait de garder. Tu avais envie de venir appuyer sur l’arrière de sa tête pour la sentir pleinement te prendre, sentir ses lèvres te gâter dans leur totalité. Finalement, tu cédais un peu, même si intérieurement, tu t’en voudrais de faire ça, ta main glissait dans la chevelure de ta maîtresse, venant lentement appuyer sur l’arrière pour petit à petit l’amener à prendre un peu plus de ta hampe.

Ton souffle devenait un peu plus lourd, ta verge venant palpiter sous l’afflux important et rapide de sang, c’était enivrant comme façon de faire. Comme tu le craignais, tu allais prendre goût à ce genre de traitement. Pourtant, ton esprit de dévotion te laissait sortir quelques mots.

“Maîtresse, laissez-moi vous offrir aussi. C’est à vous de recevoir et je vous ai promis quelque chose ! Puis, il sera plus facile d’être discret, si je viens vous porter.”

Tu étais rouge de dire ainsi les choses, alors que des gens pourraient venir t’entendre et surtout de venir indirectement dire à ta maîtresse te laisser faire et diriger les choses.

Ton regard venait croiser celui de ta maîtresse, tu espérais que tes mots seraient assez bien tourné pour venir la faire céder et que tu viennes toi aussi la combler, comme tu en avais l’habitude. Même, si tu devais te l’avouer, cette façon de faire n’avait rien d’habituel, tu voyais ta maîtresse dans une position plus soumise, alors que c’était souvent toi dans ce rôle de celui qui se fait diriger. Pourtant, tu ne semblais pas perdu inconsciemment, tu semblais même pouvoir t’épanouir dans ce côté de contrôle, comme si ton côté loup ressortait, le besoin de contrôler, l’instinct pour diriger les autres.

Alors quand la demoiselle décida de ne pas suivre ta demande, tu ne pouvais qu’éprouver du plaisir en la voyant savourer un peu plus ta hampe pour le coup. Tu retenais un long soupire de plaisir, voulant éviter d’attirer l’attention dans la cabine. Une deuxième main vint se joindre dans la chevelure de Dame Isako, comme pour l’initier encore plus à prendre, rencontrer sa gorge de ta hampe. Tu sentais quelques muscles se tendre dans ton corps, ton membre venait palpiter encore plus, elle allait réussir à te faire venir aussi rapidement.

Tu t’en voudrais de prendre ton pied sans elle, mais en même tu ne désirais que ça de venir sentir une vague de plaisir. Au final, elle réussit, tu connaissais les talents de ta maîtresse, tu savais que tu viendrais céder sous ses assauts. Tu te sentais alors pulser, vivant la première fois ce genre d’expérience avec elle, tu finissais souvent autrement en sa compagnie. Tu venais la découvrir sous un nouveau jour qui semblait plaire à une partie de toi au final, tu y prenais autant de plaisir que les autres fois, peut-être même plus.

Alors que tu essayais de prendre ton souffle sous cette explosion de plaisir qui avait réussi à te couper la respiration, tu pouvais voir Dame Isako se relever pour savourer ce que tu lui avais offert, un peu gêné, mais en même temps de nouveau excité par une telle situation. Il fallait croire que vivre de nouvelle chose était des plus stimulantes pour un loup tel que toi. Ton regard commençait à s’allumer de la même braise que ta maîtresse, il te faudrait quelques minutes, mais tu serais prêt à remettre le couvert en sa compagnie.

Tu hochais la tête sous ses propos, le souffle encore trop court pour le couper à nouveau pour répondre de vive voix, puis tu ne voulais pas attirer l’attention encore une fois. Si tu étais dans le Harem, tu n’aurais pas eu de gêne dans cette nouvelle situation, de voir débarquer les autres membres du Harem. Tu venais de perdre ta vigueur, mais en la voyant ainsi, tu étais sur de là récupérer assez rapidement pour enfin lui offrir ce que tu avais promis et que ta maîtresse semblait vraiment désireuse de recevoir aussi.

Tu te faisais manipuler à nouveau pour le coup, la laissant faire, il s’agissait de ta maîtresse et surtout, tu n’avais pas reçu de signe pour laisser parler tes pulsions, comme quand elle était à genoux pour le moment. Tu te décollais d’un des murs de la cabine en la sentant prendre un peu plus d’emprise sur toi. Tu pouvais alors la sentir se lier comme tu lui avais conseillé, tu devais donner le meilleur de temps, même si cela n’était pas possible pour le moment. Tu prenais donc le temps de l’écouter, venant déglutir doucement en l’écoutant, tu pouvais donc vraiment laisser parler ces nouvelles pulsions.

Tu respirais profondément, laissant ta conscience choisir ses actions, tu penchais alors vers l’invitation de ta maîtresse et le petit diable qui venait naître en toi. Tu t’emparais alors de ses lèvres pour le coup, laissant ton être donner le rythme, conduire l’échange comme tu le désirais. Ta langue allant chercher celle de Dame Isako, l'entrainant dans une salsa rapide, presque torride. Après ce baiser un peu sauvage, tu pouvais sentir sa poitrine caresser ton torse, malgré le voile de tissu transparent, tu sentais les détails de ses formes.

Tu glissais alors une de tes mains pour défaire ce qui retenait son soutien-gorge, venant décoller son buste du tien pour courber l’échine. Tes mains venaient alors soutenir sa croupe, la porter, pour mettre à vos deux corps de bouger un peu plus en rythme. Tu laissais ta langue sortir le bout de son nez pour laper lentement les boutons rosés de ta maîtresse. Ton membre humide sortait un peu plus pour tourner autour, venant dessiner les formes de ses auréoles, passant de l’un à l’autre.

Ta hampe venait doucement se gonfler sous cette nouvelle situation, elle gagnait de plus en plus de sa vigueur des dernières minutes passé entre les lèvres de celle à qui tu offrais ta vie. Tu bougeais alors son bassin sur cette dernière pour venir montrer à ta maîtresse que tu ne l’oubliais pas, que tu comptais lui donner ton cadeau d’ici quelques minutes. Tes ongles se plantaient alors dans la peau de pêche de son fessier, la marquant un peu, ne regrettant pas ce geste sous tes impulsions animales, tu aimais même ça de la marquer un peu, tu te découvrais un peu plus dans ce moment étrange.

Tu continues de laisser ta bête parler, comprenant peut-être pourquoi ta maîtresse aimait avoir le contrôle, tes crocs remplaçaient ta langue sur ses tétons venant les mordre doucement, ne voulant pas provoquer de douleur, mais du plaisir. Enfin, ta hampe était prête pour entrer en ta maîtresse, tu la soulevais doucement en la portant, la relâchant d’une main, comptant sur elle pour se tenir quelques secondes. Tu guidais de ta main libre ton membre en elle, caressant à nouveau sa fente, pour la pénétrer simplement de ton gland pour le coup.

Tu la portais de nouveau à pleine main, commençant à oublier sur le moment que tu étais dans une cabine avec elle, grisé encore une fois par cette nouveauté. Tu voulais te montrer sauvage, laisser parler cette pulsion, la liberté qu’elle venait t’offrir. Tu venais alors la faire glisser brusquement sur le reste de ta hampe, venant lier au maximum vos bassins, un étrange mélange entre sensuel et sauvage. Tu voulais jouer le rôle de la dominance jusqu’au bout, regardant ta maîtresse dans ses pupilles, essayant de prendre le même genre d’intonation qu’elle pouvait prendre avec toi et les autres, relâchant alors ses boutons rosés.

“Essayez de garder le silence, sinon je devrais vous aider à le garder !”

Tu sentais ton cœur battre à s’en rompre sur le coup, tu ne pensais pas lui parler ainsi un jour, tu espérais simplement qu’elle ne t’en voudrait pas. Tu venais alors la coller contre l’une des parois pour avoir un appui avant de rendre cela plus rude pour vous deux. Tu venais alors onduler son bassin pour jouer, la bougeant alors de tes mains, pour créer ce mouvement. Tu commençais donc à prendre ainsi ta maîtresse, venant à nouveau perdre tes lèvres et tes crocs sur ses tétons.

Toi qui avais dit que tu viendrais l’empêcher de faire du bruit, tu semblais plutôt vouloir le contraire, car ton action n’avait pas pour but de lui couper le souffle loin de là. Tu y prenais même un malin plaisir, d’essayer de faire en sorte qu’elle vienne se forcer elle-même à retenir le bruit qu’elle faisait. Heureusement pour toi, l’ordre que tu venais de donner à ta maîtresse était bien pris, c’était même comme un appel à l’invitation. Et tu allais y répondre, tu commençais à te complaire dans cette situation, tu voulais aller plus loin, savoir jusqu’où tu pouvais prendre ton pied en soumettant ta maîtresse, en venant la dominer.

Voilà une pensée qui ne t’aurait pas traversé l’esprit, mais l’enchaînement des évènements t’amenais à prendre ce rôle, un statut qui venait te convaincre au final. Ta maîtresse venait lâcher des paroles qui mettaient peut-être le doigt sur quelque chose, tu avais peut-être ce genre de pulsion en toi. Pourtant, tu faisais en sorte de te retenir de trop la marquer, il s’agissait de préserver son image. Alors une idée te vint, tu te doutais bien que personne ne pourrait voir la poitrine de Dame Isako, tu pouvais donc la marquer ici, laisser une marque dessus.

Sans pour autant répondre à son invitation, sa demande, sa supplication, tu venais relâcher ses boutons rosés que tes lèvres venaient caresser. Tu laissais plutôt tes crocs passer sur ses monts en eux même, venant doucement planter tes crocs dans l’un de ses seins, comme pour garder appuie. Tes lèvres venant alors se refermer dessus et faire une aspiration, pour essayer de laisser une trace violacée, tu n’avais jamais fait ça auparavant. Après avoir porté cette attention presque possessive sur son corps, tu venais retourner sur ses tétons pour profiter de la dureté de ses derniers pour faire danser furieusement ta langue autour et passer dessus de temps en temps.

Te voilà alors venant céder à son invitation, mais tu ne bougeais pas toi, tu comptais lui imposer le mouvement de son corps. Tu la soulevais lentement pour la laisser tomber presque aussi brusquement que pour la pénétration sur ton membre. Tu venais continuer ainsi, accélérant un peu le mouvement, tu lui donnais ce qu’elle désirait, mais sans te bouger toi, comme si tu l’utilisais un peu comme un objet. Tu ne savais pas réellement si cela viendrait lui plaire, mais tu continuais dans cette idée-là de domination, aimant la voir ainsi descendre sur ta hampe.

Tu quittais alors sa poitrine pour venir l’embrasser, éviter au final qu’elle vienne un peu trop pousser la chansonnette. Il ne fallait pas que ce moment de plaisir, devienne une situation humiliante pour Dame Isako. Tu continuais donc de bouger ainsi ses mains venant saisir un peu plus son fessier au fil des mouvements, approchant de sa fleur de velours, pour simplement caresser cette zone du bout des doigts, ne prenant pas les devants pour pénétrer ainsi celle qui tenait ta vie entre ses doigts. Cependant, tu comprenais que tu étais dans un rôle de dominant, tu devais donc décider de ce qui allait se passer, de plus cela semblait plaire aussi à ta maîtresse.

Tu appuyais alors lentement pour laisser passer un de tes doigts en sa fleur étroite, essayer de lui offrir plus de plaisir, sans savoir si cela pourrait lui convenir, c’était un risque à prendre. De toute façon, tu savais que Dame Isako viendrait reprendre les rennes, si cela n’allait pas. Alors que tu continuais de la faire bouger sur ton membre, tu relâchais ses lèvres,après l’avoir longuement embrassé. Tu te portais alors vers son oreille pour lui souffler quelques mots, espérant toujours bien plongé dans ton nouveau rôle.

“Dame Isako, si vous en voulez plus, il faut le demander gentiment, je ne peux rien savoir, si vous ne venez pas me supplier comme tout à l’heure.”

Tu étais un petit nouveau dans le monde de la domination, mais tu étais motivé, presque passionné par ce moment. En même temps, qui ne le serait pas en entendant sa maîtresse venir te demander plus, tu ne pouvais pas résister à ce genre d’invitation. Voilà en vérité la malice dans ta relation avec elle, tu avais toi-même succombé, commencé à adorer ce genre de moment. Tu te sentais bien dans cette nouvelle vie, ce nouveau rôle, c’était quelque chose que tu ne voudrais laisser pour rien au monde, tu avais trouvé ton chez-toi, sur beaucoup de points.

Tu sentais à présent les paroles de ta maîtresse venir pénétrer ton esprit, tu n’avais qu’une envie à présent, venir la plaquer contre l’une des parois et laisser parler la sauvagerie à travers les mouvements de ton bassin. Pourtant, tu ne venais pas le faire, tu voulais être encore meilleur, jouer encore plus ce rôle qui semblait plaire à ta maîtresse dans ce lieu, tu pourrais peut-être te renseigner pour le jouer encore mieux les prochaines fois. Tu sentais alors le corps de ta maîtresse venir guider l’une de tes mains pour te faire prendre sa fleur de velours un peu plus fortement, t’offrant encore une fois une nouvelle invitation.

Ton membre palpitait, comme pour montrer ton envie, ton impatience, mais tu ne pouvais pas tout brûler, tu ne voulais pas, tu voulais lui offrir plaisir sur plaisir pour le coup, puis tu aimais la voir ainsi, devenir demandeuse, comme toi quand tu es sous son joug. Tu aimais ce rôle, tu le prendrais de temps en temps avec plaisir, car la dominance de ta maîtresse viendrait forcément te manquer au fil du temps. En relevant ton regard, tu pouvais voir celui de ta maîtresse, tu ne l’avais jamais vu ainsi, c’était nouveau et excitant.

Peut-être qu’elle-même ne s’était jamais vu ainsi, tu aimerais lui montrer cela… Mais tu pouvais, il y avait un miroir, tu pouvais faire ce genre de chose, cela serait un peu sportif le temps de le faire, pourtant, tu pourrais sans doute la combler ainsi. Tu venais alors t’arrêter, stopper tous les mouvements de ton bassin, lui retirant même ta hampe de ses lèvres gourmandes. Ton doigt aussi quittait sa fleur de velours. Tes mains venaient glisser sur ses jambes pour en défaire l’étreinte, tu embrassais rapidement Dame Isako.

Tu passais alors ta langue sur tes lèvres, comme pour l’imiter lorsqu’elle voulait quelque chose, ainsi, tu attaquais son oreille pour lui souffler quelques mots.

“Laissez moi faire maîtresse !”

Un peu autoritaire à présent, tu commençais à assimiler les fondements de ton rôle, t’inspirant beaucoup du caractère taquin et dominant que pouvait avoir la demoiselle, elle était ta base, ton modèle pour ce genre de jeu. Tu la retournais alors, pour coller son dos contre ton torse et surtout relever ses jambes, exposé sa poitrine et son intimité à la vue du miroir. Tu te mettais bien en face de ce dernier, venant profiter de votre ébat précédent pour offrir à nouveau ton membre à ta maîtresse d’une façon assez rude, l’obligeant à retenir elle-même le soupire.

Puis, comme pour répondre à sa demande, c’est toi qui venais bouger ton bassin, faisant aussi quelques mouvements avec son corps, pour offrir de nouveau angle ou des va-et-vient plus court, mais rude au possible. Tu devenais sauvage, avec une certaine vélocité dans tes mouvements, tes lèvres venaient se perdre dans son cou, venant la marquer au final, laisser une trace de ton passage. Tu griffais même son fessier, montrant clairement à tous que tu étais passé sur la maîtresse. Tu portais une nouvelle atteinte à ses oreilles, lui soufflant des mots plus dominant, changeant un peu ton vocabulaire, essayant de prendre pleinement le poste de maître pendant ce moment, tu osais même la tutoyer, toi qui n’avait jamais fait ça.

“Regarde Isako, regarde comment je te fais l’amour, comment je te prends, comment je te baise. Puis regarde la tête que tu fais, aussi dépravé alors que ton hybride…”

Tu avais un arrêt, c’était étrange de faire ça, pourtant, tu étais excité de parler ainsi à ta maîtresse, tu comprenais pourquoi elle aimait aussi dominer au final. Tu reprends alors ta phrase.

“Une dépravé, une perverse aimant se faire prendre par son hybride dans ce genre de lieu… Et si tu venais te caresser pour montrer encore plus ce côté-là de toi, Isako !”

La tension se faisait présente dans ton corps, pourtant le plaisir de cette nouvelle découverte venait totalement l’effacer, faire passer cela pour quelque chose de totalement insignifiant pour ta personne. Tu n’aurais jamais cru dans ton existence venir dominer Dame Isako, pourtant, tu venais le faire et l’un comme l’autre vous preniez du plaisir à plonger dans cette nouvelle étiquette. Tu pouvoir voir ta maîtresse agir sous ses ordres, cela était motivant de voir qu’elle prenait véritablement autant de plaisir et surtout qu’elle se pliait aussi à certains de tes désirs bizarres.

Sans perdre de ta vigueur, tu venais alors faire bouger avec beaucoup d’ardeur ton bassin, tu te montrais tout aussi féroce qu’avant. Tu laissais simplement un côté plus rude se faire présent, son corps venant presque s’empaler quand tu venais la faire redescendre, pour lui donner encore plus cette sensation d’objet, que cette fois-ci, c’était elle qui te servait pour ton plaisir. Tu désirais vraiment marquer la différence des rôles pour une fois. Alors qu’elle venait te supplier, tu renforçais la prise sur son fessier, ondulant le bassin, tu cherchais son point le plus sensible que tu avais fini par découvrir à force de passer entre ses draps.

Ton souffle devenait de plus en plus lourd pour le moment, le plaisir devenait de plus en plus grand, il était différent, pourtant, il viendrait se dévoiler sous le même jour à ta maîtresse. Pour une fois, tu ne voulais pas céder avant le premier devant ses envies, essayer de jouer le dominant jusqu’au bout, la faire plier une première fois, essayer de lui faire croire que tu pouvais lui donner plus de plaisir ainsi. Cependant, cela serait dur, tu sentais ta verge commencer à palpiter petit à petit, signe que tu n’allais pas tarder à céder face au corps de Dame Isako.

Puis, comme une délivrance, tu venais te stopper, non pas parce que tu venais jouir en elle, mais parce que le corps de ta maîtresse venant se resserrer, palpiter sur ton membre gorgé de sang. Et voilà, tu l’avais fait céder, tu ne bougeais plus de peur de venir la suivre dans cette montée au septième ciel, mais surtout pour ne pas la faire crier encore plus. Cet orgasme devait être dur à contenir pour elle, c’était excitant de voir son visage ainsi rouge et déformé par le plaisir, dans ce miroir. Tu n’avais jamais vu un visage pareille sur les traits de Dame Isako.

Finalement, tu ne résistais plus à l’envie, tu bougeais à nouveau en elle après son orgasme, au risque de perdre ta vigueur. Tu voulais profiter de son corps aussi sensible, à fleur de peau pour la faire jouer de ses cris, la voir forcer encore plus afin de retenir le plaisir que tu lui donnais. Afin de contenir tes propres soupirs, tu posais tes crocs dans son cou, venant la marquer d’une morsure éphémère, mais cela était plaisant de pouvoir montrer ta fidélité, ton appréciation de Dame Isako à travers ce moyen. Ta hampe tressautait presque, tu n’allais pas tarder à profiter toi aussi de l’orgasme.

Tu te stoppais à nouveau, tu devais tenir le rythme pour satisfaire les plaisirs de ta maîtresse, tu venais te douter que cette cabine ne serait pas suffisante pour calmer ses pulsions libidineuses aussi importante. Tu retirais ta verge d’entre ses lèvres gonflé de désir, venant simuler quelques mouvements contre sa paroi, caressant son bouton d’amour à ton tour, mais ce n’était pas cela que tu lui réservais, tu avais une tout autre idée, tout aussi soumissive que les autres.

Tu venais faire basculer le corps de ta maîtresse, usant encore de ta force et ta carrure à ton avantage, ainsi elle se retrouvait tête vers le bas. Cependant, elle allait rencontrer rapidement ta verge à quelques centimètres de ses lèvres. Quant à toi, tu pouvais admirer ses lèvres intimes que tu venais saluer rapidement de ta langue, tes doigts se mouvant plutôt sur sa croupe pour passer un doigt, encore une fois dans sa fleur de velours. Elle t’avait fait comprendre que tu pouvais profiter d’elle par ici, tu comptais donc la préparer pour ce moment. Tu devais lui donner un ordre, tu avais presque failli oublier, tu décidais alors d’être précis et autoritaire, puis c’était surtout un moyen de ne pas flancher devant cette nouvelle position.

“Suce !”

C’était comme la voir à nouveau comme un objet, mais surtout lui dire que tu avais cette vision d’elle pour le moment, puis comme pour étouffer une certaine gêne, tu perdais ta langue sur sa fente ruisselante, ta langue entrant en elle pour combler le vide laissé par ta verge.

Une certaine symbiose venait à naître entre vous, comme si les rôles à présent définis et assumée se mêlaient à la perfection. Ta maîtresse passait ses jambes autour de ta nuque, t’aidant dans cette position un peu à risque, pourtant que tu trouvais excitante au possible. Ta langue n’avait pas perdu son temps elle, faisant en sorte de s’infiltrer entre les lèvres de Dame Isako pour la combler à nouveau et offrir ce que ta verge ne pouvait pas faire. Tu te concentrais sur l’entrée, quelques mouvements circulaires accompagnant le tout, pour onduler un peu plus, remuant avec une certaine énergie.

Tu avais pu libérer une main grâce à cette position, qui avait rapidement décidé de s'infiltrer en sa fleur de velours, d’un seul comparse. Un lent mouvement au départ, qui devenait de plus en plus rapide, tu venais simplement courber ton doigt pour appuyer contre ses parois et surtout venir la préparer lentement pour le deuxième compagnon. Ce dernier vint plus vite que prévu, pour la simple et unique raison que tu voulais donner subitement autant de plaisir à ta maîtresse. Elle venait t’avaler d’un coup, comme si ton ordre n’était que le signal qu’elle attendait pour se jeter comme une bête sur ta hampe.

Le fait de perdre sa langue dans sa fleur te permettait d’étouffer les soupires de plaisir qu’elle venait te donner, ton souffle venant s’étaler sur ses lèvres les plus intimes. En son anus, tu continuais les mêmes mouvements qu’au départ, tu la préparais toujours et toujours, prenant plus de temps à présent, n’allant pas lui imposer un troisième doigt aussi vite, même si l’envie te démangeait plus qu’autre chose. Le bassin de ta maîtresse était entrain de satisfaire un certain égo, elle bougeait comme pour en demander plus, tu te sentais alors obligé de la faire languir un peu, ne venant rien changer, c’était bien toi le dominant à présent non ?

Tu eus un mouvement d’arrêt en percevant la voix qui venait de surgir de derrière les rideaux, tu étais légèrement en stress en te demandant comment ta maîtresse allait gérer cela. Pourtant, tu ne sais pas pourquoi ton membre palpitait encore, tu étais excité par une telle situation. Alors que ta maîtresse venait répondre de sa voix chargée en sensualité, tu bougeais un peu plus rapidement ta langue en elle, tu forçais même doucement le passage d’un troisième doigt en sa fleur de velours. Tu avais alors l’impression de partager ce goût, ce plaisir du risque, ta maîtresse était bien plus ruisselante à présent, elle était même plus active. Ta verge venait encore tressauter, tu n’allais pas tarder à passer dans une face d’extase, mais tu devais encore offrir plein de choses à ta maîtresse.

Tu retirais tes doigts de sa fleur, lui dérobant aussi son jouet en venant la poser à terre, dos à toi. Tu n’allais pas la faire patienter trop longtemps non plus, tu plaquais sa poitrine contre le miroir de la cabine, venant d’une main écarter son fessier et de l’autre guider ta verge pour profiter de ton travail pour commencer lentement à t’immiscer en son anus. Elle t’avait clairement invité, tu n’avais pas envie de rater un tel évènement, tu prenais tout de même ton temps, pour la laisser apprécier chaque centimètre de toi.

Alors qu’il ne restait que la base à faire entrer, tu donnais un rude coup de bassin pour lui offrir cette fin et surtout la forcer à se mettre sur la pointe des pieds au vu de la différence de gabarit. Tu la décollais lentement du mur, faisant courber son échine, tes doigts venaient rapidement caresser son intimité, pour faire glisser deux doigts en elle, en cadeau de ton membre en elle. Ta paume se collait sur son bouton d’amour, faisant courber tes doigts en elle, pour stimuler l’intégralité de son jardin secret.

Ton autre main la tenait par les hanches pour le moment, tu réfléchissais alors à une phrase à lui dire, cherchant quelque chose qui pourrait la stimuler et faire de même avec toi. Tu retirais alors d’un coup tes comparses d’elle, pour les remplacer par ceux de ton autre main. Ce couvert de son nectar venait rapidement se porter aux lèvres de ta maîtresse, venant bloquer ainsi certains sons et lui faisant sucer tes doigts, la rendant encore plus perverse. Tu baissais alors ta tête pour venir lui souffler quelques mots à l’oreille.

“Isako, dans le fond, tu préfères être traitée… Baisée comme une chienne, non ?”

À ce même moment, ton bassin se faisait plus rude, tu avais fait en sorte de te tenir dos au rideau, cachant ainsi la carrure de ta maîtresse, pouvant la prendre aussi sauvagement et la sentir aussi serré sur toi.

La position était une excellente couverture pour vous deux, le seul problème restait encore les gémissements de la jeune femme, il était dur de la contenir ainsi. Tes doigts entre ses lèvres avaient le bon effet, tu pouvais la contenir ainsi. Tu avais continué dans ton rôle, ayant parlé à ta maîtresse comme tu ne l’aurais jamais fait, mais c’était grisant, plaisant, mais tu avais toujours du respect pour elle. Tu savais bien qu’il s’agissait d’un moment intime, un jeu de rôle entre vous, qui semblait vous convenir.

Maintenant que tu bougeais, ta verge ne tardait pas à palpiter de nouveau, l’anus de Dame Isako était toujours aussi serré et elle contractait presque au moment le plus parfait pour stimuler les points les plus sensibles de ta hampe. Même si tu dominais, elle savait gérer ton plaisir comme personne, tu mordais ta lèvre pour ne pas laisser partir un soupire de plaisir, surpris par une telle façon de satisfaire ta propre personne. Tu ne la contrôlais plus à présent, elle bougeait d’elle-même son bassin, comme si elle en voulait encore plus, peut-être que l’excitation était encore plus importante pour elle.

Tu te cambrais encore une fois, tirant ta partenaire un peu plus vers toi, la faisant arquer en opposition à toi. Tu lui retirais tes doigts pour lui faire tourner la tête et lui offrir tes lèvres, continuant de l’embrasser pour étouffer ses gémissements. Tu en perdais le souffle, mais c’était le jeu et tu aimais les lèvres de ta maîtresse, tes doigts libre glissait rapidement pour remplacer les doigts inférieurs. Ainsi ceux lubrifier par les lèvres de ta maîtresse glissait en elle, deux comparses, ta paume se collant sur son bouton de plaisir que tu pouvais stimuler en même temps que les caresses en sa beauté intérieur.

Ta main libre se jouait de ses seins à présent, stimulant toutes les zones de son corps, tu désirais lui offrir un autre orgasme, avant que tu ne viennes toi-même jouir en elle. Tu donnais un peu plus de force à ta chute de reins, tu laissais la force parler un peu plus à présent, combattant les contractions de fessier de Dame Isako, tu voulais continuer de jouer ce jeu, l’écarter un peu plus pour la remplir de plaisir, toujours et encore. Ton souffle devient de plus en plus lourd, continuant tout de même de l’embrasser, dansant avec sa langue pour le moment.

Ton membre palpite encore et encore, tu vas bientôt céder en elle, tu donnes alors les derniers coups de reins les plus brutaux possible pour ta personne. Tu te sens alors céder, t’arrêtant sur un mouvement de bassin pour te laisser pulser ton nectar dans sa fleur de velours. Comme pour profiter encore de ta vigueur, tu lui offres encore quelques aller retours profitant de ta vigueur gonflant ta hampe. Tu t’arrêtes alors à nouveau, reprenant lentement ton souffle pour glisser doucement hors d’elle, retirant petit à petit tes mains de chaque zones érogènes sur son corps.

Toujours dans ton rôle de dominant, tu viens la retourner face à toi, un peu brutal peut-être, mais tu peux lui faire face. Tu l’embrasses encore et encore, savourant ce dernier moment, avant de glisser à nouveau dans ta position d’hybride dévoué à Dame Isako. Tu lui laisses un peu d’espace pour refuser, souriant grandement et prenant le temps de remettre tes vêtements un peu froissés à présent.

“J’espère avoir pu tenir ma promesse Dame Isako. Il ne faudrait pas prendre plus de risques ici, nous pouvons simplement continuer cela à la maison, dans un environnement où crier ne sera pas interdit ?”