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 Irrésistible envie d'être prisonnière du chat... [PV Mashi/ -18/Hentai]

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Irrésistible envie d'être prisonnière du chat... [PV Mashi/ -18/Hentai] EmptyLun 3 Sep - 18:34
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Il se redressait alors que la teinte rosée des joues tachetées de la jeune femme s’estompait petit à petit pour redevenir plus écarlate, poussant un petit bruit de surprise lorsqu’il la rallongea, il était vraiment beau, que ce soit les traits de son visage, ou même son corps. Pourquoi n’avait-elle pas remarqué cela plus tôt ? Il la surplombait totalement tandis qu’elle ne bougeait pas d’un poil, impressionnée par cette posture dans laquelle il se trouvait. Un frisson la prenait lorsqu’elle senti le souffle et le murmure de l’homme à son oreille, ce frisson était mélangé de plusieurs sensations, tant la flatterie qu’une petite pointe de peur à l’idée d’une correction. Il frôlait ses lèvres, elle fit un petit bruit presque imperceptible, ses joues la chauffait alors qu’elle l’écoutait sagement. La jeune femme finissait par répondre à son preux chevalier sur une voix très douce, reprenant ses esprits :

- Je suis ravie de l’entendre. Je vais mieux merci beaucoup, difficile de ne pas aller bien après douze heures.

Il repartait peu de temps après alors que la belle comprenait de son regard qu’elle devait rester ici. Elle se contentait de s’adosser à une pile de coussin dans le but de se redresser un peu. Elle n’avait plus sommeil à présent. Le tunisien revenait quelques instants plus tard vêtu d’un tablier, Nour le trouvait attachant comme ça, il avait cuisiné pour elle, quel beau cadeau, il était très généreux, enfin, du point de vue de la danseuse, sans compter qu’il lui donnait la becquée. De nouveau, son visage devint écarlate alors que son ventre grondait grâce à l’odeur délicieuse qui lui caressait les narines. Elle mangeait sans attendre, sentant rapidement un regain d’énergie supplémentaire, un bon petit bouillon chaud était quelque chose de rassurant. Tout s’était passé dans le silence, seulement quelques échanges par le regard, le sien étant toujours aussi docile.

Quelques instants plus tard, elle lui demandait la permission de se doucher, il l’aidait à accéder à la salle de bain dans laquelle la belle prit sa douche seule, un instant pour elle, pour se retrouver, pour réfléchir à la façon  dont elle pourrait  le servir au mieux, elle angoissait un peu à l’idée de mal faire les choses mais chassait rapidement cette idée de son esprit. Un fois ses cheveux et son corps propres, la jeune femme se sécha puis elle prit l’initiative de désinfecter et mettre un pansement sous ses pieds. Elle laissait la brûlure à l’air libre et demandait à celui qu’elle pensait être le seul auquel pouvoir se raccrocher si elle pouvait s’habiller, ce dernier ne refusa pas. Elle en profitait pour mettre de la belle lingerie, pas de bas mais quelque chose de très simple, un petit string très léger en dentelle noire, pas de soutien-gorge et pour seul habit un t-shirt blanc assez large, laissant tout juste entrevoir son fessier élégant. Sa tenue était d’un grand confort, la brûlure n’était pas effleurée par le tissu et elle ne se souciait pas énormément de cette légère nudité.

Insidieusement, alors que la jeune femme avait terminé de se préparée, elle put s’apercevoir que quelque chose la troublait subitement. Elle ignorait cette chaleur qui lui montait aux joues, qui la faisait frissonner. Elle allait vers le maître des lieux et lui proposait un café, qu’elle se serait empressé de préparer s’il l’accepter pour venir le rejoindre dans le canapé. Que faire à présent, elle rougissait, son souffle devenait chaud comme une envie furieuse de faire quelques jeux avec lui. Etait-ce de le voir ainsi qui lui faisait cet effet ? Difficile de se retenir, la seule chose qu’elle voyait à faire était de se cacher et de se délivrer toute seule de ce mauvais pas. Elle se dirigeait alors vers sa chambre, passant sa main sur son entrejambe, sentant une humidité anormale, poussant un petit gémissement de quelques secondes, se légèrement courbant en avant, choquée de sa propre réaction. Il était hors de question qu’elle importune le maître avec ça, il fallait qu’elle s’isole au plus vite…
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Irrésistible envie d'être prisonnière du chat... [PV Mashi/ -18/Hentai] EmptyMar 4 Sep - 10:46
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Irrésistible Envie D'Être Prisonnière Du ChatQue Le Jeu Continue
Mashiro
Shinsen
Nour
La voilà encore bien obéissante à ton égard, une bonne chose, tu avais simplement l’impression de venir enchaîner les bonnes nouvelles avec ton esclave fraîchement mis à jour. Oui, au final l’humain ressemblait beaucoup à une machine quand on savait comme pirater une cervelle. Tu prenais ton temps, lui faisant surtout manger le bouillon en premier lieu, encore une raison logique derrière cette action. La jeune femme n’avait rien dans le vendre, il fallait éviter les complications et surtout permettre à la dose d’aphrodisiaque d’agir rapidement.

Il fallait dire que tu n’avais pas encore testé ce produit, donc ta petite Nour était une testeuse, encore une victime de tes envies bizarre, mais les choses pourraient se passer bien mieux que tu ne le pensais, du moins tu l’espérais. Il faut souvent battre le fer quand ce dernier est chaud. Alors que tu t’étais perdu dans tes réflexions, la belle d’Orient avait finit le bon repas que tu avais pris le temps de lui préparer, avec tous l’amour que tu pouvais lui donner, en tant que maître. C’était sans doute son point de vue sur la situation, comme si le fait que tu l’es torturer était un simple rêve dont tu l’avais tiré.

Tu voyais la jeune femme émettre une demande, cela n’était pas surprenant, surtout qu’il s’agissait de sa propre hygiène, c’était un besoin naturel chez l’être humain, même si certains semblaient en être dépourvu. Tu étais quand même content de voir que Nour garder ses principes humains classique, elle semblait moins abîmé que tu ne l’espérais, du moins pas d’une façon gênante pour toi.

Ainsi, tu l’accompagnais pour se laver, lui laissant tout de même son intimité pour le moment, il fallait graver l’image en son esprit, qu’elle pouvait encore avoir une sorte de bulle, d’intimité pour elle. Il fallait à présent te montrer comme un maître que l’on servait pour des bonnes raisons, par exemple ta tendresse envers elle, ta prévenance. Il fallait graver dans ses souvenirs qu’elle avait été punis pour la simple et unique raison que son comportement avait amené cela.

Tu la laissais alors seul, tu ne pouvais pas toujours rester coller à elle, il fallait qu’elle vienne d’elle-même, comme un animal cherchant son maître, un endroit paisible où rester tranquille. Tu respirais lentement, tu étais bien trop pressé des fois, tu voulais que les choses ailles plus vite, tu aimais quand les évènements s’enchainaient. Pourtant, tu ne pouvais pas trop en demander, tu venais déjà de t’amuser en la torturant pendant plusieurs jours. Le ciel serait généreux en t’offrant une nouvelle chance, mais tu étais un survivant, un élu, tu ne pouvais que réussir à avoir ce que tu désirais.

Alors que tu faisais de ton mieux pour contenir tes pulsions, tu voyais ta belle esclave exotique se montrer à nouveau à toi. Tu ne sais pas si cela était fait exprès, mais la jeune femme était tout ce qu’il y a de plus excitant. Son léger t-shirt ne laissant doucement imaginer ses formes et son bas des plus simple ne couvrant pas grand chose, tu avais l’impression que l’on te donnait un signal pour lui sauter dessus. Voilà que l’on te mettais à l’épreuve, peut-être que pour une fois, on voulais savoir si tu étais capable de te retenir, de mériter plus que ça en montrant quelques qualités comme la patience.

On te proposait un café, tu acceptais, cela l’éloignerais de ton regard quelques minutes, histoire de réfléchir à ce que tu voulais faire. Tu regardais l’heure, le médicament aurait déjà dû faire effet, peut-être avais-tu mal dosé le précipité, tu aurais dû augmenter la dose pour avoir un effet fulgurant. Tu recevais ton café, venant apprécier l’arôme, être servi docilement, voilà un bon plaisir. Pourtant, il manquait quelque chose, où était ton esclave, elle aurait dû rester à côté de toi de son plein gré, ce n’était pas normal.

Tu laissais de côté ton café, allant t’amuser à naviguer dans le couloir pour venir rejoindre la chambre de ta belle d’Orient. Cependant, tu n’en eus pas le besoin, tu voyais ton esclave courber son échine dos à toi, ses mains allant vers un endroit que tu arrivais à déterminer facilement. Finalement, ton produit avait eu plus d’effet que prévu, ce n’était pas une épreuve de dieu, mais un cadeau.

Tu t’avançais comme à ton habitude à pas de loup, arrivant derrière la jeune femme, faisant pression sur son épaule pour la tourner dos au mur et la coller contre ce dernier, ne lui laissant aucune chance de partir. Tu la regardais dans les yeux, un air doux dans les yeux et un tendre sourire sur les lèvres. Une de tes mains venaient lentement caresser ses chances, pour glisser sur sa cuisse et remonter par l’intérieur, caressant la jeune femme à travers le tissu.

“Nour, tu sais que tu peux tout me dire. Si tu as ce genre de besoin, tu dois m’en parler pour que je t’aide à te sentir mieux. Laisse moi faire à présent.”

Tu bougeais tes mains pour venir faire glisser le long de ses jambes, le bas en dentelle, le faisant glisser jusqu’à ses pieds. Ainsi, tes comparses venaient alors directement caresser la jeune femme, lentement, puis avec un peu plus de vivacité. Tu venais te faire un peu plus sensuel pour la stimuler lentement, déposant alors tes lèvres dans son cou pour la couvrir de baiser, puis d’une légère morsure, lui rappelant quand même sa position. Tu ne venais pas t’arrêter là, ta main libre se posant sur l’un de ses seins, celui qui ne venait pas surplomber la brûlure, la caressant lentement.

Tu ne laissais pas le temps à l’esclave de répondre quoi que se soit, simplement de venir apprécier la situation. Pour continuer de la perturber un peu, tu te mettais à genoux, toi son maître, tu étais plus bas qu’elle. La forçant à écarter lentement les jambes, tu jouais de tes doigts pour mettre à jour son bouton de plaisir, venant faire danser sa langue contre. Pour ce qui était de tes doigts, tu faisais entrer un premier compagnon en elle, puis un second, continuant ainsi, lentement, comme au début.

Tu venais alors accélérer les mouvements, les courbant lentement pour mieux découvrir la jeune femme. Tu continuais ainsi, essayer de trouver chaque zone, pratique ou attention qui pourrait la faire flancher. Finalement, tu arrivais à lui offrir le plaisir qu’elle voulait tant, tu continuais de la titiller un peu, le temps de son orgasme, te retirant alors d’elle. Tu redressais ton corps, la regardant avec une tendresse folle.

“Tu devrais te sentir mieux ainsi, si tu as encore ce genre de besoin, dis le moi, je viendrais t’aider à te soulager. Maintenant, j’ai ton délicieux café qui m’attend.”

Tu partais alors, venant te reposer sur le canapé du salon, finissant ton café, ayant hâte de voir le développement de cette histoire.



Dernière édition par Mashiro Shinsen le Mar 4 Sep - 14:52, édité 1 fois
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Irrésistible envie d'être prisonnière du chat... [PV Mashi/ -18/Hentai] EmptyMar 4 Sep - 13:33
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Une mains chaude et ferme se déposait sur son épaule, Nour sursauta accompagné d’un petit gémissement, un regard surpris se plongeait dans celui de son maître. Son regard de miel était bienveillant, la jeune femme se dit qu’il n’y avait aucune inquiétude à se faire même si la honte montait à ses joues devenues écarlates. L’ordre était clair, elle devait se laisser faire et pourtant elle se sentait infiniment redevable. Elle répondait sur un ton qui ne pouvait cacher son excitation :

- Oui maître…

Des frissons s’emparaient de son corps, plissant les yeux, tirant de petits gémissements étouffés et retenus. C’était comme si son corps s’embrasait tout à coup, lui donnant la chair de poule sous les douces caresses qui couraient le long de son corps dont le string s’était échappé jusqu’à ses chevilles. Elle se cambrait puis se courbait sous les caresses insolentes, le souffle chaud, rapide et incontrôlable. Le baiser mais surtout la morsure l’excitait davantage, poussant un gémissement un peu plus fort, voulant presque l’encourager à y aller plus fort. Elle se mordait la lèvre inférieure lorsque la grande main chaude se posa sur son sein, penchait sa tête en arrière lorsque l’homme descendait lui écartant les jambes avec douceur tandis qu’elle obéissait naturellement sans plus un mot. Son petit jeu avec sa langue si délicate contre son bouton de rose qui perlait d’envie lui arracha un gémissement si fort qu’elle en mit ses mains contre sa bouche, ses jambes tremblantes, il fallait que quelque chose s’introduise dans l’endroit chaud qui n’attendait que cela. Le moment ne fut pas long puisque le prince d’orient y aventurait un premier doigt, lui tirant un râle de soulagement, puis un deuxième qui la faisait se courber en avant. Son visage était marqué par les sensations multiples qu’elle ressentait, impossible de se contenir. Le moment durait le temps nécessaire à ce que l’orgasme arrive, la délivrance, le soulagement, la belle reprenait sa respiration lentement, elle s’égarait dans ses pensées, pourquoi tant de douceur ? Elle n’avait pourtant rien fait méritant telle récompense. Il fallait qu’elle lui offre quelque chose qui soit à la hauteur de ce qu’il lui avait apporté.

Il retournait boire son café, même si elle avait déjà atteint l’orgasme, rien ne lui empêchait de poursuivre quoi que ce soit. Elle allait simplement dans les toilettes pour essuyer un peu ce qui avait glissé le long de l’intérieur de ses cuisses. Elle aurait bien rincé à l’eau claire mais elle ne devait pas s’absenter trop longtemps. La jeune femme revenait auprès de son prince de maître, qui terminait son café avec beaucoup de tranquillité. Elle allumait la télévision sur une chaine de radio assez moderne qui diffusait des chansons sur un thème à la fois dansant et séducteur, des sons assez frais et enivrants. Elle avait remis son bas pour une petite prestation improvisée comme elle savait le faire. Il était bien dommage qu’elle ne puisse pas bouger comme elle le souhaitait à cause de ses pieds mais elle ferait un effort. Pas besoin de le lui dire, il devinerait assez facilement que ce qu’elle lui préparait était gage de remercîment.

La brune aux yeux émeraudes et dont le regard se faisait séducteur, sensuel et brûlant, passait ses doigts fins dans ses cheveux, plongeant ses yeux dans ceux de son maître, assis là, paisible, elle se mettait à danser comme avant, bougeant ses courbes avec harmonie, se rapprochant et se reculant de l’homme pour enfin enlever ce t-shirt avec lenteur, comme pour laisser du suspens. Elle dévoilait ainsi sa jolie poitrine stimulée un peu plus tôt. Elle continuait sa danse, jouant de ses courbes, de son regard et parfois même de ses cheveux. Puis ce fut autour de son petit morceau de dentelle de prendre de le large avec grâce et sensualité, alors qu’elle lui montrait ses fesses galbées d’assez près. Enfin, comme un chat minaudant, elle se courbait vers lui, il pouvait observer ses attributs, sa poitrine, son bassin, ses hanches, son corps tout entier. Elle ne le laissait pas le toucher, tout vient à point à qui sait attendre… Plus la danse avançait, plus elle s’approchait de lui, de près, de très près, lui frôlant l’entrejambe de ses fesses nues tout en lui lançant un regard séduisant. Elle jouait encore et toujours de ce pouvoir de séduction puis elle finit par s’approcher tout doucement de son oreille pour lui murmurer dans un souffle léger :

- Puis-je me permettre de vous servir comme je le veux … ?

Elle n’attendit pas très longtemps pour s’agenouiller devant lui, l’excitation remontait rapidement, ses pommettes devenues roses, elle espérait bien faire. La belle qui ne le regardait plus dans les yeux, se concentra sur une partie bien plus intime et réservée. Elle partait à l’aventure en détachant le pantalon du prince pour y ressortir cette partie devenue rigide, envieuse espérait-elle. Elle y approchait presque timidement ses lèvres, comme un revirement de situation, son regard docile et soumis. Elle passait sa langue sur le morceau de chair raidit, puis elle l’introduit dans sa bouche pour entamer un vas et vient d’abord lent puis un peu plus rapide, une de ses mains venant effleurer puis caresser pour enfin masser les testicules de l’homme dans le but d’ajouter davantage de plaisir. Pendant ce temps, l’envie montait en elle, allait-il le percevoir ? Elle gémissait un peu son rythme cardiaque augmentant sous l’effet du désir, elle se sentait soudainement égoïste, elle s’arrêta une seconde pour demander dans un souffle discret, soucieuse du confort de l’homme qui la dominait :

- Cela vous plait-il … ? Elle ajoutait avant de reprendre, Je suis toute à vous, maître, toute entière…

Sans savoir pourquoi, le fait de lui avoir avoué ce qu’elle ressentait faisait grimper un peu plus la température, entre ses jambes, tout devenait humide, prêt à réclamer…

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Irrésistible envie d'être prisonnière du chat... [PV Mashi/ -18/Hentai] EmptyMar 4 Sep - 14:50
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Irrésistible Envie D'Être Prisonnière du Chat...Que Le Jeu Continue
Mashiro
Shinsen
Nour
Tu étais satisfait, mais en même temps tendu, tu avais dû faire preuve d’une certaine résistance pour ne pas lui sauter dessus et laisser encore une fois, la bête qui était en toi répandre ses pulsions sur le corps déjà entaché de Nour. Son corps était déjà des plus attirants, mais la voir ainsi, soumise, fragile sous le plaisir avait de quoi exciter n’importe qui, mais surtout toi.

Tu prenais donc le temps de consommer ton café, le sentant même refroidir, mais tu devais tourner ton attention sur un autre sujet, le tourner vers quelque chose pour calmer ta propre excitation. Tu n’étais pas loin de ressentir la pression de ton bas sur ta verge, si cette dernière avait finit de se gorger de sang. Le fait de te tourner vers ta respiration t’aidais à reprendre le contrôle de chaque cellule de ton corps. Il fallait savoir profiter des choses pour les faire durer plus longtemps.

Soudain, la belle d’Orient venait alors de rentrer dans ton champs de vision, tu posais lentement ta tasse, tandis qu’elle semblait prendre place, comme la bonne soumise qu’elle était. Sa tenue n’avait pas changé, la rendant toujours aussi désirable, encore plus après ce que tu venais de lui faire dans le couloir. Tu suivais ses mouvements, sans rien dire, tant que cela n’allait pas te chagriner, tu n’avais rien à lui dire. Tu avais vivre en société, tant que tu en étais au commande.

La musique venait alors prendre possession de la pièce, te faisant lentement hausser un sourcil, étrange choix de la part de la jeune femme. Puis tes mains se crispèrent en la voyant agir ainsi, elle se faisait encore plus tentatrice. Tu avais oublié son passé de danseuse, mais elle te le rappelait avec brio, ce n’était même plus une simple danse, c’est une séance de plaisir visuel. Du strip-tease, c’était le mot qui correspondait le mieux, il manquait simplement une bar pour en faire du pole dance.

Te voilà de nouveau dans une situation délicate, ton corps se sent lentement envahir par la chaleur, ton membre venant être aussi réactif, se dressant et faisant pression pour te provoquer une légère douleur. Tu avais peur d’halluciner au début, mais non, elle s’approchait bien de toi au fur et à mesure qu’elle dansait dans la pièce où le son venait à résonner sur chaque parois. Tu voyais qu’elle gardait un esprit un peu moins soumis dans la sexualité, à moins qu’elle se montre aussi audacieuse pour se faire pardonner.

C’était agréable, délicieux, mais tu voulais t’emparer de son corps à pleine main pour la savourer encore plus, te délecter de ses soupires, de ses mouvements, de ses expression, chaque chose en la jeune femme étant tiens maintenant. Puis sa phrase venait te tendre un nouvel espoir, que le jeu se déroule alors plus à ton goût. Tu la voyais reprendre une position qui te convenait un peu plus, celle de soumise, celle où elle était inférieure à toi, qu’elle n’était là que pour te servir docilement.

Tu ne disais rien, la laissant faire, lui montrant par ton membre exhibé et dressé qu’elle avait réussi à te convaincre, se faire pardonner d’une certaine façon. Tu soupirais doucement de plaisir en sentant ses caresses, tu la trouvais douée, attentionnée dans ses gestes. Elle savait y faire avec les hommes, mais à présent, tu serais le seul homme à pouvoir la toucher, tu allais la former pour qu’elle soit encore plus plaisante à ton goûts. Pourtant, cela venait s’arrêter un peu, mais sa phrase était charmante, même vu son caractère aventurière depuis quelques minutes, elle n’oubliait pas son rôle de soumise.

Tu souriais simplement, venant lui lâcher un long gémissement de plaisir, ta façon de la remercier. Finalement, tu ne pouvais t’empêcher d’avoir envie de jouer avec elle, la surprendre, lui montrer que tu aurais toujours le contrôle, que tu aimais les choses plus rudes dans la sexualité. Tu bougeais une de tes mains, la glissant dans sa chevelure, la saisissant fortement. Lorsqu’elle prenait un peu plus en bouche ton membre, tu venais appuyer sur l’arrière de sa tête, la forçant à prendre soudainement toutes ta verge, jusqu’à la base.

Tu la tirais lentement en arrière, lui laissant un petit instant de répit et lui imposant de nouveau, répétant alors l’opération pour en tirer du plaisir. Puis, tu la tirais totalement en arrière, lui retirant ton membre, ton sourire était plus joueur, sans laisser paraître le sadisme qui pouvait vivre en toi. Tu lâchais enfin sa chevelure, venant glisser ta main le long de son visage et caresser son menton. Tu ramenais son visage à toi, la laisser venir juste en suivant le mouvement de ta main. Tu étais taquin, venant mordre sa lèvre lentement et soudain l’embrasser avec passion et fougue, comme si tu voulais encore la remercier un peu.

Tu la laissais encore un peu debout, caressant lentement son intimité, remarquant son état à nouveau incontrôlable. Tu lançais un regard surpris à la jeune femme, sans pour autant répondre. Tu la faisais s’asseoir sur le début de ton bassin, ta verge se collant à ton fessier.

“Nour, si tu veux qu’on aille plus loin, il faut le dire, le demander, le supplier. Ne fait pas tout passer pour mon bien, reconnaît que toi tu veux que je vienne te faire l’amour. Allez dis le haut et fort Nour, sinon…”

Tu faisais alors claqué son fessier sous le coup de ta main, venant laisser une trace rouge, sur la peau bronzé de la belle.

“Je viendrais taquiner ton corps jusqu’à ce que tu reconnaisse que tu me désir et que dans le fond, tu rêves de ça.”

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Irrésistible envie d'être prisonnière du chat... [PV Mashi/ -18/Hentai] EmptyMar 4 Sep - 17:19
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Durant son exercice, la jeune femme pu sentir les doigts de l’homme se glisser lentement dans ses cheveux pour ensuite exercer une prise assez forte, un petit gémissement partagé entre douleur légère et surprise raisonner dans la pièce, un autre petit bruit de surprise qui lui donnait un haut le cœur, il la poussait à aller jusqu’au bout. Docilement elle se laissait faire laissant un filet de bave apparaître au fur et à mesure, retenant sa respiration, la reprenant lorsqu’il la tirait. Il avait continué un peu son jeu la faisant toussoter de temps à autre mais toujours docile, se laissant faire jusqu’au bout sans la moindre résistance puisque de toutes manières, l’excitation restait à son comble. Chaque action que le prince d’orient entreprenait était source de plaisir, l’attraper de la sorte par le menton la faisait rosir, elle suivait, toujours avec autant de soumission, que ce soit dans sa façon de faire que dans son regard. Il s’emparait de sa lèvre, la mordillant, elle gémissait d’envie, son souffle s’accélérant. Son corps s’embrasait de nouveau, son cœur battant à toute allure lorsqu’elle senti un baiser passionné lui être offert. Etait-il en train de récompenser sa loyauté ?

Ses mains prodigieuses venaient la rendre folle, retenant des gémissements autant qu’elle le pouvait, plaçant à nouveau ses mains devant sa bouche, se courbant légèrement, elle ne résisterait pas longtemps à la folie. Elle devinait qu’il avait senti son désir intense par le petit liquide d’envie qui sortait de son entrejambe. Elle voyait dans son regard qu’il avait l’air surpris, peut-être était-ce de l’ampleur de l’effet qu’il lui faisait ? La brune suivait son invitation, s’asseyant sur lui, sentant la hampe durcie contre son fessier, cela l’excitait un peu plus, ses muscles se raidissaient, elle se cambrait en avant. Ce fut la réplique provocante de l’homme qui acheva de faire palpiter son cœur, ce n’était pas un amour qu’elle éprouvait pour lui mais quelque chose de très différent, quelque chose qui correspondait davantage à un attachement infini mêlé à la crainte, l’envie de se donner toute entière pour lui, quoi qu’il en coute. La fessée la fit se cambrer outrageusement, à tel point que l’objet de son désir se retrouvait à caresser et effleurer la petite fleur douce qui se situait entre ses fesses, elle rougit de plus belle, savourant ce moment stimulant en secret… ou presque tellement son expression la trahissait.

La menace était de taille, elle venait alors timidement, collant légèrement sa poitrine contre le torse de l’homme, elle voulait lui avouer son désir, mais elle était devenue trop timide alors que lui, était bien généreux vis-à-vis de son statut, il devenait dans son esprit son bienfaiteur. La jeune femme commença alors à répondre tout bas, timidement, comme si ce qu’elle allait dire était quelque chose de tabou :

- Je… je ne veux pas abuser de votre générosité mais…Je vous en prie… s’il vous plait…faites-le… Elle se rendait compte tout à coup qu’elle n’obéissait pas au mot près, il lui avait demandé de le dire haut et fort, elle se reprenait, se redressant un peu et dit d’une voix plus claire mais timide, Je… désolée de ma conduite, je… je vous en prie, par pitié, emparez-vous de moi, faites-moi vôtre s’il vous plait.

Son regard était à présent rempli de honte, comment pouvait-elle en exiger autant de lui ? Elle mettait soudainement sa main sur son visage, écarlate, se redressant puis elle reprenait tout bas :

- Je suis égoïste… je ne mérite pas…

Elle avait le sentiment de ne pas être parfaite et commençait à culpabiliser, pourtant, elle avait une envie folle malgré la honte qui la rongeait…

- Faites tout ce qui vous plaira, je ne saurais comment vous remercier autrement….
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Irrésistible envie d'être prisonnière du chat... [PV Mashi/ -18/Hentai] EmptyMar 4 Sep - 19:45
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Mashiro
Shinsen
Nour
Ton sourire ne pouvait disparaître devant une telle expression, la jeune femme semblait prendre son pied, peut-être était-elle maso au plus profond d’elle. Tu pourrais t’amuser à le savoir rapidement vu la tournure des choses, si elle demandait clairement, tu pourrais t’amuser à profiter de son corps assez souvent. Tu comptais continuer de t’amuser avec son corps et la drogue, afin de lui faire avoir envie souvent, qu’elle vienne réclamer ton corps pour se satisfaire, qu’elle se sente redevable et toujours aussi obéissante pour oser te demander de la satisfaire.

Tu sens alors son corps se presser contre toi, ses formes venir se prélasser contre tes muscles, la sensation est délicate et sensuelle, tu sens ton membre venir palpiter, comme pour essayer de se gonfler encore plus de sang qu’il ne le pouvait. Tu posais avidement tes mains sur son fessier, venant le palper avec plaisir et envie, tu pouvais continuer de la taquiner jusqu’à ce qu’elle ose avouer. Soudain, tu l’entendais alors marmonner quelques choses, tu comprenais quelques mots, mais cela ne respectait ton ordre.

Alors que tu préparais ta main pour venir fesser la jeune femme, celle-ci te surprit un peu en venant redresser son corps, faisant doucement danser ses formes prêt de toi, un vrai plaisir pour les yeux. Tu n’en espérais pas tant, tu l’avais complètement soumise à ton bon vouloir, tu pourrais sans doute lui demander la chose la plus obscène qu’elle viendrait le faire, sans rechigner.

Tu pouvais alors contempler sa réaction, la voir honteuse d’une telle demande, tu passais alors furtivement ta langue sur tes lèvres, c’était une scène que tu aimerais souvent revoir, ton esclave suppliant d’être prise, demandant que tu viennes la corrompre encore plus. Tu allais répondre à sa demande, la faire tienne sur tous les points, elle ne pourrait se passer de toi sur aucun domaine. Tu montrais un tendre sourire, un air fier d’elle, comme si tu en faisais la prunelle de tes yeux.

Tes mains glissaient de son fessier à ses hanches pour la redresser un peu, faisant caresser ton corps par ta verge, la faisant surplomber cette dernière. Tu guidais alors d’une main ton membre et de l’autre ton esclave, pour venir saluer son jardin secret de ton membre. Ainsi, tu lui offrais simplement, le bout, ton gland, la faisant lentement glisser, comme si tu allais faire preuve de douceur avec sa personne, pour une fois.

“Je suis très fier de toi, Nour ! Je vais t’offrir ce que tu m’as demandé !”

Te, voilà saisissant fermement la demoiselle par les hanches, ton membre saluant déjà bien son entrée. Soudain, tu venais la faire s’empaler sur ta verge dressée, lui imposant dans une certaine sauvagerie ce qu’elle voulait recevoir de toi. Tu montrais un air plus excité par la situation aussi, la jeune femme était au-dessus, mais tu allais la commander, la dominer. Tu viens alors claquer sa croupe, venant marquer son autre fesse, tandis que ta main libre s’amusait à caresser l’un des seins de la belle.

“Allez Nour, montre moi comme tu bouges ton corps à présent. À chaque claque sur ton fessier, tu viendras augmenter la cadence. Et aussi, tu as déjà eu la chance d’avoir un orgasme, donc tu dois me faire jouir avant que toi, tu ais le privilège de jouir une deuxième fois, sinon tu sais ce qui se passe pas vrai ?”

Tu claquais à nouveau sa croupe, pour la motiver encore plus.
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Irrésistible envie d'être prisonnière du chat... [PV Mashi/ -18/Hentai] EmptyMar 4 Sep - 20:21
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C’était comme si la jeune femme avait donné le bon mot de passe pour l’ouverture d’une porte secrète. Elle contenait son soulagement, se sentant toujours égoïste, comme si elle était une femme avide d’attention et de ce type de soin que l’homme pouvait lui apporter. La belle se laissait faire, pour ne pas changer à ses habitudes. Il la guidait, elle commençait réellement à aimer ça, il lui avait complètement retourné le cerveau et elle ne l’avait même pas remarqué, comme si elle avait oublié quel genre de femme elle était par le passé. Retenant son souffle, gémissant de façon très étouffée, la jeune femme senti rapidement la chose dont elle était désireuse se rapprocher de l’entrée du fruit défendu, y entrer quelques peu, sans aggressivité, la délivrance approchait. Elle rougissait à la réponse de son maitre, c’était comme s’il la comblait de compliments, elle était une bonne esclave et elle comptait continuer ainsi pour qu’il soit toujours fier d’elle et de son comportement.

La brune poussa un gémissement de soulagement lorsqu’elle se senti brutalement enfourchée contre le sexe de l’homme, son souffle était chaud comme le reste de son corps. Elle se cambrait sous la nouvelle fessée, poussant un tout petit cri aiguë. Pendant qu’elle se mettait progressivement en mouvement, la jeune femme écouta les ordres qu’elle devrait respecter, le plus gros défi était de le faire jouir avant elle, que faire ? Elle savait qu’elle était déjà au comble de la folie, qu’elle jouirai rapidement, elle sentait déjà le sang circuler dans son bouton de rose tellement l’excitation avait atteint son paroxisme, il lui en faudrait donc peu. Elle approuva simplement avec un petit mot prononcé tout bas, comme timide, toujours sur le ton de la soumission :

- Oui…oui maître.

Le jeu avait commencé, les claques tombaient sur son fessier, s’abattant les unes après les autres, lui arrachant toujours plus de gémissement tandis qu’entre ses jambes, la cyprine ruisselait comme jamais elle n’aurait pu l’imaginer, il l’avait ensorcelée. Sa cadence accélérait et son plaisir grimpait jusqu’à l’orgasme… avant lui bien entendu, elle ne savait pas retenir cela, était-ce même possible ? Son corps se contractait, elle semblait rougir de nouveau, elle était mal à l’aise, très mal à l’aise alors que son souffle qui s’était fait plus court reprenait lentement un rythme normal. Elle se confondait à présent en excuses se redressant, elle aura bien désiré continuer encore cette partie, joué les prolongations pour étancher sa soif interminable :

- J-je … je … pardon maître… sa voix devenait toute petite, je… je vais arranger cela…

Elle ne lui laissai pas le temps de réagir, elle redescendait déjà entre ses jambes, docile, puis elle attrapa la verge à pleine bouche, elle avait compris ce qu’il aimait le plus dans cette pratique, elle avait décidé d’aller et venir aussi rapidement que possible en allant toujours jusqu’au bout, quoi qu’il en coute. C’était comme si elle se flagellait, la posture et la pratique refaisaient monter en elle une excitation incontrôlable, par moments, elle gémissait, toussait mais continuait encore et toujours, attendant que le coup de massue ne lui tombe dessus, se faisant déjà du mal sans l’aide de son maître, sans même qu’il ne la touche alors que chaque parcelle de son corps n’attendait que cela, sa sensibilité ayant été augmenté à son maximum, son corps frissonnant de toute part, sa poitrine ferme, tendue, les mamelons dressés. Sa bouche se resserrait encore et toujours sur la désirable chose, la bave commençait à abonder le long de cette dernière, son pantalon était sans doute bon pour un lavage, il y en avait vraiment beaucoup…. Heureusement qu’il n’y avait pas de moquette non plus puisque le sol était déjà humide du fluide qui s’y était répandu…. Pourvu qu’il ne voit pas cela !
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Irrésistible envie d'être prisonnière du chat... [PV Mashi/ -18/Hentai] EmptyMar 4 Sep - 22:38
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Nour
Alors que tu voyais la demoiselle montrer les beaux mouvements de son bassin, tu te demandais, si la drogue était réellement fautive, car elle était bien trop excitée pour la dose que tu avais mise. Peut-être que dans le fond la jeune femme était simplement une demoiselle qui avait besoin de se libérer ou qui aimait ça, la luxure. Tu n’allais pas t’en plaindre, loin de là, tu avais un grand appétit toi aussi, si Nour pouvait te suffire, tu continuerais d’abuser d’elle avec plaisir.

Sa réponse lançait alors le rythme de tes claques, d’abord lent pour faire grimper le plaisir et admirer son corps, puis le plaisir et l’envie venait t’amener à assener plus de coup sur son fessier. Tu l’invitais à donner le meilleur d’elle-même, de presque de laisser tomber sur ton membre pour te satisfaire. Dans le fond, tu voulais qu’elle vienne jouir avant toi, qu’elle se sente aller longtemps avant que toi, tu es la chance de libérer ta semence en elle. Tu voulais la punir, car tu pourrais l’emmener dans un univers particulier, ton univers, arriver à lui faire associer la punition au plaisir.

Ainsi, punition ou simple moment charnel, tout serait sujet à un bon moment pour elle, l’objectif final était de la pousser à faire autre chose que ton ordre pour recevoir une punition. Cela serait ton Saint-Graal, ta madeleine de Proust. En attendant, tu profites de la vue de son corps bougeant pour toi, son corps changeant sous les ordres et le plaisir que tu lui donnais. Ton membre était toujours aussi dressé, venant palpiter de temps en temps sous l’afflux de sang.

Finalement, le monde semblait encore répondre à ta demande, la jeune femme cédait, avec brio. Elle se laissait aller au plaisir dans les bruits, les contractions et les expressions, son orgasme avait eu l’effet de t’offrir plus de plaisir. Pourtant, ce n’étaient pas les conditions de votre contrat, tu allais devoir sévir, puis tu n’en fis rien pour le moment. Ton esclave avait déjà compris son erreur et essayait de la réparer, quelle douce attention, mais cela ne serait pas suffisant, tu comptais la punir autrement pour lui donner une bonne leçon.

Tu écartais un peu les jambes, la laissant prendre place et venir saisir entre ses lèvres l’entièreté de ton membre, elle comprenait ce que tu voulais. Au moins, elle avait retenue ça, le plaisir venait stagner, elle pouvait maintenant cette douce sensation, mais rien ne remplaçait le confort de son jardin secret. Tu venais amorcer le début de ta punition. Ta main glissait à nouveau dans sa chevelure, comme quand tu lui avais appris à avaler comme il faut le membre qui était le tien.

Cette fois-ci, tu venais la maintenir lorsqu’elle avala complètement ton pénis, la retenant, la forçant à garder cette position, inscrivant cette sensation dans sa mémoire et ses cellules. Voilà une bien meilleure sensation, mais tu comptais te sentir bien, dans peu de temps encore. Tu relâchais après avoir tenu la jeune femme, pendant une trentaine de secondes, lui retirant de la bouche ton membre.

Sa chevelure quittait ta main pour glisser sous son menton à nouveau et la relever. Tu pouvais admirer l’état de ses cuisses, elle était excitée comme une puce, c’était impressionnant, tu comptais lui montrer à nouveau sa place. Tes doigts caressaient son intimité, venant se couvrir rapidement de la cyprine de la jeune femme, puis ta main sur son menton la forçait à venir de nouveau à genoux.

“Regarde dans quel état sont mes doigts Nour, tu vas nettoyer cela avec ta bouche !”

Ainsi, tu collais tes doigts à ses lèvres, la faisant nettoyer comme elle aurait titiller ton membre, comme elle avait jouer sur ta verge tout à l’heure. Une fois cette petite mise en bouche exécutée, tu plongeais un regard neutre dans ses iris.

“Va dans ta chambre ! Je veux que tu sois à quatre pattes et ton fessier tendu vers la porte, je veux que ce soit la première que je vois quand je te rejoindrais !”

Tu la laissais alors partir, te relevant à ton tour, laissant ce qui te servait de pantalon tomber sur le sol. Tes pas te menèrent vers ta chambre, récupérant de quoi t’amuser avec la jeune femme. La situation allait devenir intéressante, tu descendais de nouveau au rez-de-chaussée, entrant dans la chambre de ton esclave, voyant une scène bien délicieuse devant tes yeux.

T’approchant d’elle, tu laissais tomber les différents accessoires sur le lit, saisissant les menottes en cuir noir. Tu tirais le bras de Nour dans son dos, lui faisant plié le coude et répétant l’action avec l’autre. Son buste s’écrasant dans le lit, le moelleux du matelas ne lui ayant pas fait mal. Tu reliais alors les deux bras par les menottes, la mettant dans une position soumise et excitante rien qu’à la vue de cette dernière.

“Ne t’en fais pas Nour, ce n’est pour te faire mal, c’est simplement une pratique que j’aime et te voir ainsi, fait grimper l’excitation de ton maître !”

Tu reprenais tes activités, sans rien dire, sortant simplement du lubrifiant, tu ne le chauffais pas entre tes mains pour le coup, cela devait quand même ressembler à une punition sur certains point. Ainsi, tu caressais l’anus de la jeune femme de l’un de tes doigts pour la préparer lentement, la détendre en lui laissant le temps de comprendre ce qui allait venir. Puis phalange par phalange, laissant le temps s’écouler, tu glissais un seul doigt en sa fleur ronde.

Ainsi, tu la caressais, venant plier, courber ton doigt pour l’habituer, essayer de trouver des zones sensibles en elle. Lorsque tu l’as senti prêt, tu glissais aussi lentement qu’au début, un deuxième doigt, accompagnant la nouvelle entrée du premier. Tu lui laissais le temps de s'habituer, profitant alors de ses réactions, de jubiler du fait que tu allais maintenant la formater physiquement.

Tu jouais ainsi, pendant plusieurs minutes, des dizaines de minutes, cette vue te permettait de garder ton érection. Finalement, tu décidais de passer à un petit jouet sympathique, un plug long, mais peu large, laissant la jeune femme passer encore une étape. Au final, tu jouais avec son corps pendant une trentaine de minutes au total, usant aussi de boule de geisha. Nour te semblait plus que prête, mais tu voulais encore jouer avec sa conscience.

Plaçant fièrement ta verge entre ses fesses, tu bougeais ainsi, simulant un acte, tenant fermement la belle d’Orient par les hanches.

“Allez Nour, dis moi ce que je vais te faire ! Et demande moi de le faire !”
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Irrésistible envie d'être prisonnière du chat... [PV Mashi/ -18/Hentai] EmptyMer 5 Sep - 13:08
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La jeune femme remarquait que pour le moment, l’homme acceptait le revirement de situation, qu’il profitait, cela lui faisait plaisir, la rassurait quant aux libertés qu’elle pouvait prendre pour lui apporter quelques sensations agréables, pour le servir comme elle le pouvait, comme elle le semblait bon. La brune sentait une fois de plus les doigts de son maître faire irruption dans ses cheveux et, dans un gémissement de surprise, lui donnant un haut le cœur, elle senti qu’elle était bloquée jusqu’à la base du membre de l’homme, impossible de respirer, impossible de résister, sa docilité ayant pris le dessus sur sa propre volonté, elle plissait les yeux, quelques petits larmes venant s’incruster sur ses joues, il finissait par la libérer, tandis qu’elle reprenait son souffle comme après avait plongé longtemps dans une piscine, prisonnière de cet apnée forcée. En revanche, rien n’avait changé concernant son excitation qu’elle-même n’arrivait pas à comprendre, elle restait vorace.

Elle suivait toujours avec autant d’obéissance, le mouvement qu’il lui imposait, se redressant d’abord, sa remarque la fit rougir et frissonner alors que ses jambes tremblaient de désir, elle s’exécutait, une fois de plus, avec sensualité et avec envie, redescendant, sa position était indécente. Les traits de son visage ne pouvant en aucun cas dissimuler ce qu’elle ressentait sur le moment, ce que le traitement qu’elle subissait la faisait brûler. Elle répondait ensuite à sa demande sans un mot, tout allait étrangement vite, une fois arrivée, elle laissa la porte ouverte et s’installa, son fessier rebondis bien en évidence, le dos courbé tel un chat en train de s’étirer, se faisant la plus désirable possible.

Lorsqu’il revint avec un attirail assez particulier, typiquement sm, le jeune femme écarquilla d’abord les yeux, il y eu une peur fulgurante sur son visage, elle se laissait faire mais était totalement contractée, raide, effrayée. Ce fut lorsqu’elle reçu quelques explications que la belle d’orient compris qu’il n’y avait rien à craindre, rien qui soit douloureux, pas de torture insupportable… à moins que cela ne soit une autre forme de torture, bien plus délicieuse, qu’elle pourrait presque réclamer. Rapidement, son excitation reprit le dessus, elle gémissait sous les caresses, les doigts de fée et l’habilité de son maître lui plaisait grandement. Tout était lent mais envoutant, son lieu intime et protégé ruisselant d’envie qui s’écoulait le long de ses cuisses, quelques gouttes s’échappant même sur le dessus de lit. Ses petits gémissements couraient dans la pièce, raisonnant comme une mélodie. Son visage grimaçait de plaisir.

Ce fut au tour d’un délicieux jouet de s’aventurer au cœur de l’anneau de velours, la jeune femme poussait un long souffle, les jambes déjà tremblante, il la malmenait et elle aimait ça plus que tout. Tout s’enchaînait durant cette longue trentaine de minutes qui la faisait languir, les boules de geisha n’étaient pas suffisantes pour son appétit. Il fallait à nouveau qu’elle réclame alors qu’elle se cambra un peu plus sous le traitement délicieusement pervers, son visage écarlate, outrageusement envieux adressait un regard suppliant à son maître :

- S’il vous plait… s’il vous plait… emparez-vous de moi… avec autant de vigueur qu’il vous plaira.

Elle n’osait pas l’avouer, mais au fond d’elle, cette position de soumise l’excitait, les contentions qui la retenait prisonnière la faisait frissonner, tous ses sens étaient en eveil total, comme si la moindre des caresses était multipliée par un nombre incalculable. Elle attendait qu’il soit à l’entrée pour s’y enfoncer d’elle-même dans un léger mouvement de recul, elle y allait d’abord doucement puis tout fut avalé. Elle accélérait la cadence, le regard avide mais toujours très docile, prête à obéir à la moindre injonction qui lui serait donnée. Rapidement, elle se laissait faire, parfois s’enfonçant au plus profond dans un claquement sonore. Elle jouissait de manière lente et diffuse, son corps pris de frissons, elle s’excusait d’être si demandeuse, de jouir à nouveau avant lui, de dégouliner d’indécence entre deux claquements, elle ne voulait pas que cela s’arrête :

- Pardon… maître… je suis…

Un cri de plaisir se fit entendre. Elle était horrible, terriblement égoïste alors qu’elle voulait tant lui donner, peut-être le comprendrait-il ? Peut-être la savait-il déjà à quel point la belle était prête à tout pour lui, elle l’espérait. Elle ferait tout pour être meilleure à l’avenir, il passait en priorité, le problème était qu’elle ne pouvait contrôler son plaisir, ce qu’il lui apportait était une sensation bien trop forte pour que son corps n’y résiste.



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Irrésistible envie d'être prisonnière du chat... [PV Mashi/ -18/Hentai] EmptyMer 5 Sep - 15:17
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Nour
Tu l’entendais supplier de nouveau, un moment toujours délicieux, tu disais la punir, car elle n’avait pas réussi à te donner suffisamment de plaisir, mais dans le fond, son appétit et sa réaction venait totalement satisfaire la bête qui vivait en toi. Tu en voulais même plus, la voir s'effondrer sous le plaisir, la voir réclamer, dire oui à toutes tes envies, aussi tordues soit-elle. Tu bougeais, reculant lentement ton bassin pour saluer sa fleur contracté du bout de ton membre.

Alors que tu comptais bouger tes hanches pour laisser la demoiselle découvrir ton membre en son sein, la gourmandise de cette dernière venait prendre le dessus. Elle réclamait, prenait d’elle-même, un plaisir que tu te réservais. Tu la sentais comprimer ta verge, avaler goulûment ton membre, voyant la jeune femme le faire disparaître. Tu frémissais lentement sous la superbe sensation que t’offrais sa petite fleur. Tu bougeais alors, venant reprendre le contrôle, ta position de dominant.

Ton bassin bougeait, lentement, profitant du plaisir et laisser ton esclave s’habituer, mais il ne te fallut pas longtemps pour laisser la bête, que tu pensais contrôler sur le moment surgir à nouveau. Ainsi, tu te montrais plus sauvage, brutale dans tes actions, venant faire claquer autant ton bassin contre son fessier, que ta main sur sa croupe. C’était plaisant, mais la demoiselle venait encore de commettre l'irréparable, se laisser aller encore une fois au plaisir. Tu pensais justement que la prendre, mais la belle d’Orient se montrait bien plus perverse que tu n’aurais jamais espéré.

Tu ne pouvais laisser passer cela, pourtant, tu ne voulais pas arrêter ton propre plaisir pour le moment, tu décidais de rendre la chose plus brutale. Tu t’amusais alors à laisser sa main regagner à nouveau la chevelure de la belle, la plaquant contre le lit ainsi. Tu relevais tes jambes pour venir la brutaliser un peu plus, elle s’était adaptée à toi en son anus, elle devrait supporter un peu plus d’entrain. Tu continuais, ainsi, ayant envie de jouer un peu plus avec son corps et ses sensations, si la belle voulait du plaisir, tu allais la noyer dessous.

Tu relâchais la pression sur son crâne, venant alors défaire ses liens, les laissant tomber sur le lit. De tes mains, tu venais saisir ses poignets, tirant ses bras en arrière et la forcer à redresser son buste, la force et la tension devrait se faire ressentir. Cependant, tu venais calmer ton rythme, te montrant juste rude et brutal, reculant lentement ton bassin, pour revenir en elle sèchement et d’un puissant coup de bassin. Tu jouais ainsi, encore quelques minutes, puis au final, tu ressortais la laissant retomber sur le lit.

“Tu veux jouir, Nour ? D’accord, ton maître va te donner ce que tu veux, soit prête pour la suite, je vais me lâcher un peu !”

Tu la retournais sur le dos, voyant alors son corps déformé par le plaisir, recouvert par quelques fluides, tu la trouvais encore plus excitante ainsi. Avant de reprendre le jeu, tu ne résistais pas à l’envi de venir l’embrasser, d’abord fugace, puis plus long, venant saluer sa langue de la tienne. Tu te redressais alors, venant lui offrir de nouveau ton membre en sa fleur étroite, étant moins doux qu’à la première pénétration. Tu restais immobile en elle, saisissant ses mains à nouveau pour attacher ses dernières entre elle et la tenir par les maillons.

Comme s’il s’agissait des rênes d’une monture, tu t’en servais d’appui pour venir mouvoir ton bassin, relevant la croupe de la belle d’un simple coussin. Tu ne voulais pas t’arrêter à de simples va et vient, tu posais alors ta main libre d’un de ses seins. La douceur ne faisait plus vraiment parti de ton vocabulaire, prenant pleinement le fragment de sa poitrine entre tes mains, tu poursuivais alors en jouant de tes doigts sur l’un des tétons dressé. Enfin, tu le pinçais, tirais même, tu ponctuais tes mouvements d’un peu de sadisme cruelle.

Finalement, tu te détachais de son sein, caressant un autre bouton rosé, celui que tu t’étais amusé à taquiner de ta langue, il y a une bonne heure à présent. Soudain, une idée de génie passa dans ton esprit de tordu, tu venais prendre le dernier objet qui traînait sur le lit et qui n’avait pas encore eu la chance d’être utilisé. Une version plastique d’un sexe masculin, tu caressais le jardin de la belle avec, le faisant rapidement glisser en sa fente. Petit bonus pour elle, ce dernier vibrait, tu allumais alors cette superbe fonction, faisant grimper la roulette au maximum.

Ton regard se plantait dans le sien, voyant son regard aussi distordu par le plaisir que devait être le tient dans ce genre de circonstances. Une pulsion malsaine passait de ton esprit à ta main de nouveau libre, tu la faisais glisser sur sa poitrine pour caresser sa gorge. Tu resserrais alors la pression sur ce qui liait sa tête et son buste. Tu appuyais, venant l’étrangler, tu aimais ce genre de sensation, avoir tellement de pouvoir et contrôle en même temps sur quelqu’un.

Puis tu lâchais les maillons de ces menottes, venant caresser fortement son bouton d’amour, venant plutôt montrer encore de la bestialité, plutôt que de la douceur sur un tel appendice.

“Alors Nour ! Tu aimes ça n’est ce pas ? Allez aboie comme la chienne que tu es !”
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Irrésistible envie d'être prisonnière du chat... [PV Mashi/ -18/Hentai] EmptyMer 5 Sep - 18:48
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Une sensation de contraction, elle étouffait légèrement sous cet appui brutale, la tête enfoncée dans le moelleux du lit. La cadence et l’intensité augmentaient tandis que ses gémissements se faisaient plus silencieux alors même que le plaisir était à son comble. Rien ne lui faisait reprendre ses esprits, elle était conditionnée, devenu d’une perversité sans égal, la décadence s’emparait d’elle petit à petit, l’entraînant dans les lymbes de la luxure. C’était lorsqu’il avait décidé de faire des aller-retour plus sauvages mais moins cadencés en lui tirant les bras en arrière, tirant quelque peu sur ses articulations qui ne la faisaient pas souffrir, que la jeune femme qui ne partait pas en avant uniquement grâce à la poigne de l’homme, commença à pousser quelques cris de plaisir.

La jeune femme finissait par retomber sur le lit, s’écrasant, reprenant son souffle comme si elle avait couru un marathon, une petite pause de quelques secondes seulement puisqu’elle se retrouvait détachée et retournée sur le dos pour se retrouver de nouveau attachée. Elle était prise par la honte, sachant qu’il pourrait voir son visage si expressif, s’ajoute à cela ce qu’il venait de lui dire qui ajoutait un air encore plus honteux, elle le trouvait à l’écoute, généreux, elle s’attachait à lui, elle devait le servir pour lui rendre ce qu’il lui offrait. Le baiser la rendit folle, lui donnant des fourmis dans tout le corps, elle éprouvait un sentiment de fidélité immense alors qu’il lui faisait un magnifique cadeau pensant que la danse reprenait, accompagnée de petits sons aiguës.

C’était à sa poitrine que le prédateur s’attaquait à présent, un petit son de douleur accompagné d’une grimace se fit entendre, les téton meurtri et brutalisé mélangeait douleur et plaisir, c’était un délice qui la faisait doucement perdre pieds alors qu’elle se cambrait. Son dos se fit rond tout à coups lorsqu’il passait au bouton de rose en alerte, c’était trop, beaucoup trop, un cri raisonna dans la pièce, le plaisir était à son comble, c’était une sensation trop forte, presque brutale mais elle se laissait faire avec toujours autant de docilité.  Rapidement délivrée, un phallus factice venait s’insérer dans son jardin secret sans aucun problème, il n’attendait que de pouvoir accueillir quelque chose qui vienne la soulager. La sensation doublée avec le plaisir que son maître avait pris en étant encré en elle avait doublé, triplé même. Les sensations étaient décuplées, de nouveau, son corps se cambrait, menaçant presque de se briser en deux.  Petit à petit, la main à la peau douce et chaude de l’homme venait se promener pour terminer sa balade sur sa gorge, elle relevait instinctivement la  tête, qu’il ait plus d’aisance pour effectuer son étreinte. La belle perdait le souffle, son corps frissonnant, ses sens toujours plus aiguisés, ses yeux se révulsant sous le traitement infligé. Son regard était particulièrement emplit de désir et de servitude, des larmes coulaient petit à petit, loin d’être signe de douleur, bien au contraire…

La torture repris lorsque la belle d’orient senti les doigts prodigieux du prince venir avec brutalité stimuler et solliciter le petit morceau de chair tendre. Elle se courbait en avant, gémissant, se tordant, c’était de la folie pure. Il se moquait d’elle, l’ordre donné la stimulait, chaque ordre était délicieux à entendre malgré tout. Elle gémissait, glapissait plus qu’elle n’aboyait et sortait un petit :

-Aouf… quelques secondes passèrent, Maître…

Elle l’appelait comme ça, sans raison apparente, plongeant ses yeux verts et brumeux dans les siens, elle aurait aimé lui demander ce qu’elle pouvait faire pour lui mais elle perdait son souffle, prisonnière de sa main et de son pouvoir de persuasion, son emprise gravée jusque sur ses côtes. Elle mordait sa lèvre jusqu’au sang, ses yeux se révulsant, son visage rouge, elle ne paniquait pas, trop confiante, sa vie était entre les mains de cette brute qui lui apportait tant de choses qu’elle n’avait jamais faites malgré le contexte malsain. Il n’allait pas la tuer, c’était impossible, même si elle commençait petit à petit, à perdre la connexion avec la réalité, déjà partie bien loin….
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Irrésistible envie d'être prisonnière du chat... [PV Mashi/ -18/Hentai] EmptyJeu 6 Sep - 22:02
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Mashiro
Shinsen
Nour
Tu assistais à un spectacle des plus magnifiques, voyant la demoiselle montrer un visage qui te donnait des frissons de plaisir à travers tout le corps. Tu continuais de te mouvoir en elle, la sentais encore plus contractée depuis que tu jouais de tes vices sur son corps. Tu voulais la voir encore sombrer, laisser le plaisir guider son corps, la déformer pour la modeler encore, la voir venir te réclamer ce genre de traitement, tu la voulais à tes pieds pour l’éternité. Tu avais réussi à faire d’elle, ta plus belle création.

Elle obéissait, venant répondre au moindre de tes ordres, tu pouvais pousser les choses encore plus loin, tu le savais, mais tu devrais te montrer patient. Elle serait bientôt à sa limite et toi aussi. Tu le sentais, tu n’aurais plus besoin de drogue, cette dernière avait simplement réveillé la bête en elle, celle qui pouvait satisfaire la tienne.

Enfin, tu relâchais la pression sur son cou, venant plutôt étreinte l’un de ses seins, continuant de jouer avec ses boutons rosés quel que soit leur emplacement. Apportant à chacun un traitement différent, l’un se faisant malmener par pression et torsion, l’autre recevait simplement des caresses, venant découvrir chaque parcelle de cette zone dressé de plaisir pour toi.

Ton souffle devenait un peu plus court, haletant presque, tu avais tellement été pris dans ce jeu, ce plaisir insensé que tu n’avais pas senti toi-même ta propre limite s’approcher. Tu redressais alors l’échine, tenant la jeune femme à bout de bras. Tu lançais tes dernières forces dans la bataille, venant être une bête, sauvage te concentrant uniquement sur toi.

Tu voyais danser le corps de la belle sous tes actions, ses formes faire des flottements, son visage déformé par le plaisir et son corps se plier sous tes assauts. Tu continuais, tu entendais seulement ta respiration, celle-ci devenant aussi rapide que les palpitations de sang à travers ta verge. Finalement, tu te sentais exploser de plaisir, te stoppant dans un dernier mouvement, faisant claquer ton bassin contre son fessier avec force. Ton membre pulsait, venant libérer son nectar en ton esclave, tu recommençais alors à bouger pour laisser les quelques dernières bribes de cette euphorie partir.

Tu reprenais le contrôle de ton esprit tordu, le laissant diriger à nouveau tes actions. Tu venais libérer la fleur étroite de la belle de ton membre, et aussi défaire ses liens de cuir. Tu courbais alors le dos, lui offrant un baiser tendre et sensuel, tu jouais une sorte d’amoureux transi bizarre. Cela devrait avoir son effet sur la belle. Tu t’écroulais à ses côtés, venant tendre un bras pour la coller contre toi et lui offrir une douce étreinte et pour finir le tout, tu lui donnais l’impression d’oublier son erreur.

“Tu as été fantastique Nour, la meilleure !”

Tu la serrais un peu plus contre toi, venant l’embrasser à nouveau, il fallait jouer sur la carte des sentiments, stimuler tout ce qui pouvait apporter bonheur et réconfort. De plus, l’amour est un sentiment digne d’une drogue, tu pourrais l’utiliser encore plus. Tu mettais finalement fin à ce tendre moment, te redressant, étant couvert de sueur et dans un état digne d’un marathonien. Tu tendais alors une main à Nour, un sourire tendre au possible.

“Viens, allons prendre une douche ensemble !”

Tu la redressais alors, venant la traîner dans la douche à l’Italienne qui composait ta maison. Tu la collais contre toi, pour la faire passer derrière le panneau de verre. L’eau venait couler rapidement sur vous deux, tu continuais de jouer un rôle digne d’une comédie romantique. Ainsi, tu passais ta main sur sa nuque et lui dérobais à nouveau ses lèvres, venant la toucher lentement, sensuellement, avec douceur, ne laissant pas paraître tes pulsions sexuelles.

Tu continuais ainsi donnant un décor de vapeur et de douceur après ce moment bestial, pourtant, tu ne pouvais laisser passer une chance pareille, laisser les choses rester aussi douces et enduis de guimauve. Tu portais tes lèvres à l’oreille de Nour pour mordre doucement celle-ci et venir lui souffler doucement, sensuellement une demande, un ordre bien déguisé.

“Ma belle d’Orient, pourrais-tu nettoyer ce avec quoi tu as joué tout à l’heure et me montrer à nouveau la beauté de tes lèvres dessus ?”
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Irrésistible envie d'être prisonnière du chat... [PV Mashi/ -18/Hentai] EmptyDim 9 Sep - 21:36
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Le rythme de leur danse était de plus en plus intense et rapide, ils allaient bientôt arriver au bouquet final… L’homme avait fini par atteindre l’objectif qu’elle avait souhaité, elle sentait que quelque chose d’autre s’était introduit en elle, comme une salve alors qu’il recommençait à bouger pour terminer les choses en douceur. Il se retirait et devenait tendre comme elle l’aimait. Elle se laissait détacher en ne le quittant pas du regard, il était envoutant, elle n’arrivait pas à s’en défaire, c’était comme s’il avait pris le contrôle de son esprit. Elle le voyait s’approcher pour l’embrasser, une chaleur douce s’emparait d’elle, rien d’excitant mais plutôt quelque chose de confortable, réconfortant, comme la meilleure des récompenses, elle rougissait de cet honneur qu’il lui faisait alors qu’il la serrai tout contre elle tandis qu’elle fermait les yeux. Ce moment était reposant d’autant plus qu’il ajoutait une petite phrase qui encourageait la jeune femme dans ses démarches, s’il aimait cela, elle se chargerait de le servir à sa convenance. Elle le remerciait tout doucement, profitant du calme, paisible, cet étreinte et ce baiser qui lui donnait le sentiment d’avoir une grande valeur à ses yeux, de compter, elle lui appartenait, il était sa source de réconfort, son seul refuge…

Après ce moment de calme et de tranquillité, elle se laissait inviter jusqu’à la douche qu’il allumait et dont la buée, comme un nuage de douceur, s’emparait de la pièce. Le maître venait chuchoter un ordre précis à son esclave servile, un frisson parcourait le corps de cette dernière, la chaleur montait de nouveau, son oreille mordillée lui tirait un petit gémissement, elle s’exécuterait avec grand plaisir non seulement parce qu’elle avait pris goût à recevoir des ordres pendant l’acte, mais aussi et surtout parce qu’elle lui était dévouée corps et âme. Cette âme qui appartenait au diable désormais sans qu’elle n’ait voulu la lui vendre… Sans même lui répondre verbalement, seulement d’un regard et d’un souffle envieux, elle amorçait une décente lente et douce, caressant son torse du bout des ongles avec beaucoup de précaution, la belle se retrouvait enfin à genoux, plaçant ses cheveux en arrière…

Ses mains venaient chercher son morceau de chaire durcie, elle le léchait pour commencer, puis elle le pris en bouche, du bout des lèvres pour commencer pour finalement en prendre la totalité. Elle faisait comme il aimait tout en s’occupant des deux appendices ronds, elle les stimulait de ses doigts de fée. La jeune femme exerçait les vas et viens qu’il lui avait appris plus tôt et qu’il aimait temps. Le rythme évoluait, quelques toussotements, quelques haut-le-cœur parfois mais rien ne devait l’empêcher de faire plaisir au maître qui avait été si généreux avec elle. Pendant ce temps, la jeune femme cachait avec grand peine des gémissements d’excitation, son corps s’embrasait de nouveau face à la situation tandis qu’entre ses jambes coulait un doux fleuve de d’envie. Elle rougissait et, avec automatisme, comme si elle voulait être sa prisonnière, elle replaçait ses bras dans son dos, à la manière dont ils avaient été attachés un peu plus tôt.

La jeune femme ne disait rien, ne dévoilait pas ce qu’elle ressentait, sa bouche ne devait en aucun cas quitter le membre délicieux pour ne pas interrompre le plaisir de l’homme. Elle y mettait tout son cœur et en même temps elle s’excitait toute seule, partagée entre le désir qu’il la soulage et la honte de cette envie de luxure. Au fur et à mesure que son travail fait avec plaisir avançait, le flux coulait le long de ses cuisses. La bave également lui sortait de la bouche pour se coller contre son torse, entre ses seins, alors qu’elle restait parfois plusieurs secondes à la base, revenant parfois en arrière pour reprendre son souffle. Et, toujours les bras dans le dos, elle venait de temps à autre s’attaquer à une autre partie plus ronde pour revenir dévorer la hampe toute entière. Elle ne se ménageait pas alors que son désir se faisait de plus en plus fort jusqu’à pousser un gémissement distinct, elle aurait aimé demander, quémander et réclamer. Elle s’arrêtait une seconde pour émettre un nouveau gémissement d’envie, elle rougissait et dit timidement ;

- Je… maître… je…

Elle avait le souffle court, souillée par les diverses secrétions, il ne fallait pas abuser de lui, ce n’était pas raisonnable.

Option 1 ;
Spoiler:

Option 2 :

Spoiler:

Option 3 : regroupement 1 et 2
Spoiler:
e…
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Irrésistible envie d'être prisonnière du chat... [PV Mashi/ -18/Hentai] EmptyLun 10 Sep - 14:33
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Mashiro
Shinsen
Nour
Tu n’attendais rien de Nour ou plutôt, tu n’avais pas besoin de mot de sa part, seulement des actions, des actes qui viendrait montrer sa soumission à toi, son maître, sa raison de vivre. Que c’était doux d’avoir à prononcé de simple mot pour voir tes souhaits se réaliser, le summum serait de n’avoir à dire, qu’elle comprenne, qu’elle agisse en sachant que ses actions viendraient te combler de bonheur. Cela serait le rêve, mais il te faudrait du temps pour l’inciter à agir de concert.

Ton corps frissonnait déjà d’avance, prêt à recevoir les traitements de la Belle d’Orient, elle apprenait vite, bien trop vite des fois. Pourtant, cela ne venait pas te gêner, bien au contraire, maintenant que tu l’avais sous ton contrôle, tu pouvais lui enseigner ce que toi, tu voulais. Ainsi, elle deviendrait l’objet de plaisir et de servitude le plus aboutie que tu aurais à réussir à avoir.

Tu sentais la poigne de la demoiselle effleurer ta peau pour finalement sentir sa langue découvrir un peu plus ta verge dressée par elle, pour elle et ton plaisir bien entendu. Ton membre palpite sous le nouvel afflux de sang, donnant l’impression de toujours vouloir se gonfler, mais forçant déjà à son maximum. Tu sentais la douceur de la jeune femme, les lèvres glissant son ton membre, venant alors l’engloutir dans son intégralité. Elle avait retenu que tu aimais voir et ressentir ainsi ta partenaire, c’était ta façon de déguster ainsi les talents en langue de la belle.

Tu plongeais alors ton regard dans le sien, puis sur le reste de son corps, venant savourer pleinement cette posture de soumission. Elle se rabaissait elle-même pour venir t’offrir seulement à toi du plaisir. Pourtant, tu le savais qu’elle devait prendre son pied, elle avait déjà agi ainsi, avant que les choses ne viennent déraper. Tu sembles lui avoir donné envie de prendre du plaisir dans la soumission, presque l’humiliation de soi. Tu jubilais, autant sous le plaisir qu’elle arrivait à donner par sa technique brillante, que par le fait qu’elle n’aurait jamais fait ainsi avant ton éducation.

Un léger soupir sortait de tes lèvres, elle t’offrait une nouvelle vue savoureuse, se mettant elle-même dans une position bien soumise. Tu la sentais prendre de plus en plus ton membre, le gardant ainsi quelques secondes, pas autant que lorsque ta poigne la tenait bien fermement. Tu ne venais pas lui en tenir rigueur, elle s’imposait d’elle-même de vouloir engloutir ta verge, de t’offrir le plus grand plaisir. Même, en prenant son pied, elle voulait que ton plaisir soit prioritaire, tu voulais la récompenser pour cette noble action de sa part.

Pourtant, tu la sentais s’arrêter, venir relâcher ta hampe, ton regard se pose à nouveau sur le visage de ta soumise. Tu la vois fébrile, rougissante et l’air suppliant, sa voix parvient jusqu’à tes oreilles, puis finalement rien, elle ne continue par ses paroles. Tu souffles de nouveau ton désir, ressentant tout le plaisir que peut te procurer sa bouche. Tu hésites, la laisser te finir ainsi ou venir enfin profiter de son jardin secret, plaisir que tu t’étais coupé pour l’initier au plaisir de sa fleur serré.

Et voilà, la pression sur ton membre venait à disparaître de nouveau, tu plongeais encore une fois tes yeux de miel dans les émeraudes de ton esclave. Finalement, elle semble vouloir plus, elle se montre encore égoïste, ce fut une bonne nouvelle. Tu pouvais faire passer ton envie de la prendre sauvagement, de lui faire l’amour comme personne avant toi n’avait osé sur elle, comme s’il s’agissait de sa demande. Tu la rendrais redevable, honteuse de te demander de lui donner du plaisir et pas l’inverse.

Son cou tendu te donnait des envies, peut-être qu’elle avait aimé ça, de sentir la mort et le plaisir de mélanger, tu allais lui offrir avec plaisir, car toi, tu jubilais sous la sensation de contrôle ultime. Tu courbais le dos, venant tendre la main pour alors enlacer doucement le cou de la jeune femme. Puis, tu laissais ta force passer par chaque fibre de ton corps, jusqu’à glisser dans ta main pour serrer la demoiselle, elle aurait sûrement la trace de chacun de tes doigts sur le cou. Tu la tenais ainsi, pendant quelques secondes, la tirant alors pour la forcer à se remettre sur ses jambes, la mettant presque à ton niveau.

Toujours en la tenant fermement par son cou, tu la plaquais contre le mur de la douche, la douceur venant encore de disparaître de ton vocabulaire. Tu ne comptais pas lui offrir son jouet tout de suite, tu t’amusais plutôt à la caresser de tes doigts sur les différents boutons roses de son corps, ses tétons et son clitoris y passait. Tu frôlais même sa fente humide, caressant simplement l’entré de sa fleur.

Enfin, tu relâchais son cou, venant glisser tes mains sur la croupe qui était tienne à présent, décollant son bassin de contre le mur, la faisant courber selon tes envies. Tu la portais ainsi, lui faisant glisser ses jambes autour de sa taille pour être son seul soutien, même physiquement. La tenant ainsi, tu caressais son jardin secret de ton membre, lui lançant un regard pour lui faire comprendre ton envie. Elle captait ton ordre, venant guider ton membre le temps de franchir de son extrémité, l’entrée de sa fente dégoulinante de nectar.

À peine venais-tu de la pénétrer que tu laissais libre cours à ta bête, venant pulser avec ton bassin pour presque marteler la jeune femme. Elle voulait de la violence, tu lui en donnerais, tu forçais, laissant chaque cellule de ton corps fournir toute l’énergie qu’il te reste. Tu laissais tes crocs venir saluer les boutons rosés de sa poitrine, passant lentement ta langue comme pour la stimuler lentement, puis finalement les mordres, laissant encore une fois la créature noire en toi, prendre le contrôle.

Tu forçais encore plus, la collant un peu plus contre le mur, lâchant une de tes mains pour venir l’appliquer sur la gorge de Nour, venant la couvrir, l’écraser comme si tu comptais lui retirer la vie. Tu ne tenais pas longtemps, la position étant épuisante pour toi et le fait de vouloir combler l’Orientale était une épreuve supplémentaire. Tu t’arrêtais lentement, venant lui laisser poser le pied-à-terre.

“Tourne toi !”

Alors qu'elle te tournais le dos, tu posais ta main sur sa nuque, lui faisant courber le dos, t’offrant fièrement son fessier. Tu la prenais de nouveau ainsi, venant glisser ta main sur son bouton d’amour, la caressant lentement, avant de remonter sur sa gorge. Tu lui imposais à présent tes deux mains, lui faisant encore plus ressentir le frisson mortel du plaisir, tu bougeais avec vivacité, venant alors pimenter la situation en te stoppant net.

“Nour, bouge-toi-même,, je ne vais pas toujours tout faire !”
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Irrésistible envie d'être prisonnière du chat... [PV Mashi/ -18/Hentai] EmptyLun 10 Sep - 20:10
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La jeune femme fermait doucement les yeux, elle voulait pousser un soupir de soulagement mais rien ne sortait, gardant cette excitation en elle, la refoulant, l’empêchant de sortir, elle montait, encore et encore, la pression qu’il exerçait était un véritable délice. La brune suivait le mouvement qui l’entrainait à se redresser, ses pieds étaient à deux doigts de quitter le sol, elle avait rouvert les yeux, son regard émeraude soumis à celui d’or de l’homme qui la maintenait prisonnière de sa main comme de son emprise psychique. Elle se sentait soudain plaquée au carrelage mural de la douche, il était tiède, réchauffé par l’eau qui coulait encore. Il allait la rendre dingue, sa voix était étouffée par la grande main puissante qui la maintenait fermement, son corps était exalté, brûlant, enflammé plus qu’elle ne l’aurait cru mais elle avait déjà réclamé, il la faisait languir, était-ce pour la punir de cette avarice ?

La main s’en allait, relâchant son étreinte pendant que la belle d’orient se sentait soulevée, cambrée contre le mur, sa poitrine généreusement offerte au regard du maître, cette poitrine avec laquelle il avait joué à peine quelques minutes plus tôt. Le feu vert lui était ensuite donné, il avait tout aussi envie d’elle, sa main le guidait, le laissant franchir à nouveau les portes de l’endroit interdit et pourtant si demandeur. Elle accentuait la cambrure, le seuil avait été franchi avec beaucoup d’ardeur, elle aimait cela, c’était ce qu’elle attendait et à présent, elle se laissait porter dans ce tourbillon de plaisir infini. Sa voix courrait sur les murs, raisonnant dans la pièce, elle se libérait de son plaisir gardé muet trop longtemps, des larmes apparaissaient au coin de ses yeux, comment être assez reconnaissante de ce moment intime et puissant ? Une morsure venait lui arracher un cri aiguë, synonyme de son appréciation vis-à-vis de ce mélange malsain entre le plaisir et la douleur. Plus la cadence se faisait agressive, plus la belle resserrait ses jambes autour du bassin puissant du prince. Il l’étranglait encore, elle était à deux doigts de jouir, avant lui, encore…

L’apesanteur cessait, tout était devenu plus doux, elle redescendait sur terre, il lui intimait de se tourner, ce qui fut fait sans attendre, avec toujours autant de docilité, presque dans la douceur, elle se laissait offrir à lui. Sa main sur sa nuque la poussait à se courber, les fesses soigneusement présentée, ces fesses rondes, galbées, devaient lui offrir une vue splendide, elle espérait le combler autant que possible, apèrs-tout, il la comblait déjà tant, que ce soit par le traitement physique auquel elle avait pris goût, ou encore à ses ordres simples, donnés comme on le fait à un animal en plein dressage.

Il revenait à la charge, elle gémissait puis un nouvel ordre se fit entendre, elle s’exécutait immédiatement, non sans mal, cette posture n’était pas évidente pour se mouvoir, elle s’aidait de ses avant-bras qu’elle avait collé contre le mur et commençait à faire en sorte à ce que la danse soit si vive que l’on puisse entendre son fessier percuter la base de l’homme dans un claquement particulier. Elle voulait le satisfaire puisqu’après-tout, il était vrai qu’il n’allait pas tout faire, donner toute son energie, elle culpabilisait un peu malgré le plaisir qu’il avait éveillé en elle, timidement elle répondait entre deux gémissements qu’elle essayait d’étouffer :

-Oui maître… pardon… je vais …. M’améliorer…

Pour lui, elle devait être le meilleure, la plus offerte, elle donnait tout ce qu’elle avait dans son corps pour lui offrir une cadence effrénée, rapide, allant au plus profond de son jardin, non seulement pour lui, qu’il savoure le fait que sa hampe entre toute entière, mais pour elle aussi, petite égoïste honteuse qu’elle était, avide de sexe sur l’instant. Une nouvelle envie la prenait après avoir joui une nouvelle fois, son corps pris de contractions, elle était en train de le supplier de la pardonner :

- Je… je voudrai me faire pardonner…Comment puis-je ?

Elle saurait mais pour le moment, le premier orifice conquis, la fleur de velours réclamait son reste, il le lui fallait, de sa main, elle le guidait sur le seuil, laissant glisser le sexe recouvert du fluide charnel de la belle vers cette petite entrée, elle s’enfonçait seule, doucement, tout doucement, petit à petit, pour, une fois de plus, tout aspirer et commencer un nouveau jeu, une nouvelle partie. Elle bougeait, encore et encore, rapidement, vigoureusement, avec comme l’envie de réclamer cette violence qui la rendait folle. Elle criait encore et toujours, sa petite fleur dévorant toujours plus la totalité du morceau de chair qui s’y avanturait.
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Irrésistible envie d'être prisonnière du chat... [PV Mashi/ -18/Hentai] EmptyMar 11 Sep - 15:22
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Mashiro
Shinsen
Nour
Tu sentais la jeune femme jubiler, prendre autant de plaisir, voir même plus que toi sur le moment. Il était aisé de se mouvoir en elle, son ruissellement en devenait presque abondant au vu de la situation. À présent, tu n’avais plus besoin de bouger, elle se montrait fougueuse, rapide, faisant preuve d’autant de sauvagerie que toi. Malgré le fait que tu venais tenir sa trachée, elle donnait le meilleur d’elle-même, te forçant à mettre de la force dans ton bassin pour ne pas reculer à chacun de ses coups de rien, venant claquer avec bruit contre ton bassin.

Ton membre venait à disparaître sous les mouvements ardents de son bassin, ce dernier palpitant sous l’afflux du plaisir traduit par son sang. Tu relâchais de temps en temps la gorge de ton esclave, pour lui laisser récupérer de l’air, venant à nouveau l’en priver pour la motiver à toujours aller plus loin. Il semblerait que tes motivations portent leur fruit, car tu le sens, son bassin se stoppant lentement et son jardin secret venant presque entrelacer ta verge au vu de son orgasme.

Encore une fois, elle prend son pied avant toi, mais tu ne lui en tenais plus rigueur, elle savait se faire pardonner, de la meilleure des façons. Tu n’avais déjà plus besoin d’agir, de la réprimander, elle venait se punir elle-même, comme si les punitions que tu voulais lui donner la comblaient autant que de mouvoir ton bassin pour lui offrir ta hampe. Tu la voyais, retirer ta verge de sa fente, la libérer de son antre chaleureux. Elle venait t’en offrir une encore plus accueillante, sa petite fleur cédait à nouveau sous la pression que lui exerçait la jeune femme.

À nouveau, elle engloutissait ta hampe, venant bouger comme toi lorsque tu avais profité de sa fleur quelques minutes plus tôt. Une idée te passait par la tête, pour te jouer d’elle, de son corps et encore la faire crier, elle gaspillait son souffle, son précieux air à exprimer le plaisir qu’elle prenait par ton corps et tes gestes. Finalement, tu venais la libérer, lui donner la possibilité d’inspirer avant le prochain round, pour occuper tes mains, tu faisais claquer sa croupe sous la force de tes paumes. Tu te laissais aller un peu, venant planter tes ongles dans sa chair, griffant sa chute de reins et son dos, la marquant plus que nécessaire de ton passage sur elle.

Puis, tu la tenais de nouveau par la nuque, la forçant à s’arrêter, venant reprendre le contrôle des mouvements de bassin pour orchestrer le plaisir. De ta main libre, tu venais guider ton membre pour quitter sa fleur, laissant l’eau chaude venir caresser ce membre gorgé de sang. Tu claquais les fesses de Nour pendant ce moment à vide, venant alors saisir ton membre et lui faire savourer à nouveau sa présence en sa fente ruisselante. Tu bougeais avec sauvagerie en elle, faisant claquer ton bassin contre sa croupe, avec autant de force qu’elle.

Soudain, tu lui retirais à nouveau son cadeau, claquant son fessier et t'insérant à nouveau en sa fleur serré. Tu répétais ainsi ce genre de situation, passant de l’un à l’autre, après avoir profité de l’étreinte d’une de ses fleurs. Tu faisais durer le plaisir, ces petites pauses te permettant de tenir plus longtemps que d’habitude, tu exerçais une pression sur sa nuque et claque sur sa chute de reins, te comblant autant de plaisir qu’elle.

Finalement, tu te sentais venir, ton membre étant à la limite de pulser, tu te retirais de façon définitive, voulant lui offrir ton nectar de vie d’une autre manière que la précédente. Tu venais alors donner ton ordre, avec une certaine autorité.

“À genoux, devant moi maintenant !”

Tu souriais de plaisir, la voyant répondre à ta demande dans l’immédiat, elle comprenait aussi ce que tu cherchais à faire. Tu plaçais ta main sous son menton pour lui faire lentement relever le visage, lui jetant un regard voulant tout dire, tu la voyais ouvrir doucement la bouche, comme pour recevoir sa pitance. Tu terminais alors d’apporter le plaisir que tu cherchais encore une fois, ta main se mouvant comme son bassin sur ta hampe plutôt.

Le plaisir devint alors culminant pour toi, tu te sentais venir, partir. Ta verge venant pulser plusieurs jets de ta semence sur le visage de belle d’Orient. Un large sourire se voyait sur ton visage en regardant ainsi ta soumise. Tu respirais fortement, le plaisir ayant accéléré ton rythme cardiaque sur le moment, tu plongeais tes iris dans les prunelles de Nour.

“Relève-toi à présent ! Et lave toi avec moi !”
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Irrésistible envie d'être prisonnière du chat... [PV Mashi/ -18/Hentai] EmptyMar 11 Sep - 21:12
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Alors qu’elle se sentait libre de pouvoir reprendre de l’air si précieux dans ses poumons, la jeune femme émit pour un fois un petit gémissement de douleur, il plantait ses ongles dans sa chaire, elle n’aimais pas tellement cela pour une fois mais il avait le contrôle, elle n’avait rien à dire et se laissait faire, et puis, d’un autre côté, cela l’aidait à situer le plaisir qu’elle réussissait à offrir à son maître, ce n’était donc pas une mauvaise chose, même si l’indicateur piquait un peu et lui causait quelques crispations qui se dissipaient rapidement pour retrouver à nouveau le plaisir malsain. Les fessées étaient toujours aussi délicieuse tout comme leur son mélodieux.

Elle était maintenant contrainte de s’arrêter, fit une moue surprise, que se passait-il ? était-elle punie une nouvelle fois ? L’idée était excitante mais elle ne voulait pas offenser son maitre davantage, et puis, elle arrivait en bout de course malgré tout. Il revenait s’installer dans le jardin du fruit défendu qui ruisselait, il était sauvage et allait à un rythme élevé tandis que la jeune femme criait encore, ses jambes tremblantes, à bout mais l’homme lui avait réservé une petite surprise qui la fit crier cette fois ci, il alternait les plaisirs, la belle d’orient n’avait jamais fait cela, elle découvrait, sauvagement, dans cette douche, ensevelie sous le plaisir interminable qu’elle ressentait et qui la faisait trembler comme une feuille. Elle profitait, sa respiration tantôt coupée, tantôt libre. Elle jouissait encore, pourtant elle n’attendait que cela qu’il puisse arriver lui aussi à son orgasme. Il s’arrêtait de nouveau, la belle suivi l’ordre avec toujours autant de plaisir et se laissait guider avec docilité, tant dans les actes que dans le regard, elle aimait cela, qui l’eut cru. Gracieusement, servilement et pourtant rapidement, la jeune femme se mettait à genoux, jambes complètement repliées, fesses sur les talons, les cuisses écartées, comme toujours offertes.

Elle sentait sa main pleine d’emprise et pourtant si douce venir sous son menton pour le relever, ses yeux émeraude au regard dévoué se perdaient dans le regard de miel qui lui laissait facilement entendre ce qu’elle avait à faire, comme un animal relié à son maître, elle comprenait immédiatement et agissait, ouvrant la bouche, prête à recevoir le doux éclat de plaisir de celui auquel elle donnerait sa vie. Sa hampe finissait enfin par déverser sa semence sur son visage, sur le bord de ses lèvres, dans sa bouche même, une position qu’elle n’aurait jamais accepté de quiconque auparavant. Elle fermait la bouche doucement après être assurée qu’il eut terminé. Le gout n’était pas trop salé, peut-être même plutôt acide, rien de dérangeant contrairement à d’autres, ceci dit, c’était à lui que devait revenir le plus de plaisir, elle ferait donc tout pour le satisfaire.

La brune se relevait, le sourire qu’avait affiché Mashiro était une grande récompense, gage qu’elle avait réussi à le combler, au minimum du moins. Elle songeait à toujours faire mieux, toujours dépasser et repousser ses limites pour lui, jusqu’à ce qu’il n’y en ai plus. Elle l’avait rendu heureux sur le coup, elle rendait un sourire, paradoxalement à cette brutalité et cette avidité, cette soumission extrême, elle affichait un sourire d’une très grande douceur, ne répondant rien, ne voulant pas gacher ce moment de bien être, elle se lavait puis lui lavait le dos, s’y collait un instant avec douceur, sans force, puis elle allait chercher une serviette pour le maître, lui tendant pour l’avoir dès la sortie de douche pour en saisir une à son tour.

A présent sèche, la jeune femme remettait son t-shirt et un sous-vêtement propre, une petite culotte très échancrée qui mettait son fessier et ses hanches en valeur malgré le t-shirt assez large. Sans demander, elle lui préparait un thé, s’il y en avait c’est qu’il aimait ça, elle s’en faisait un également pour l’accompagner et prenait de petits gâteaux sablés qu’elle disposait dans une petite coupelle, apportant le tout sur un petit plateau qui traînait par là. La télé était allumée, elle le rejoignait dans le canapé puis le regardait avec ce même regard à la fois aimant et soumis et lui dit doucement, comme le calme après la tempête :

- Je.. je me suis permise.

Elle buvait son thé avec lui devant la télé et finissait par s’assoupir, la tête sur ses genoux, paisiblement sans même s’en rendre compte, elle n’avait pas résisté au marchand de sable qui l’avait emportée dans de beaux rêves lointains…
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Irrésistible envie d'être prisonnière du chat... [PV Mashi/ -18/Hentai] EmptyMer 12 Sep - 9:41
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Irrésistible Envie D'Être Prisonnière du Chat...Que Le Jeu Continue
Mashiro
Shinsen
Nour
Comme si rien ne, c’était passé, tu reprenais ta douche en compagnie de ta belle d’Orient, tu l’as laissé t’apporter les quelques touches d’attention qui lui passait par la tête. C’était agréable, ce genre de petits détails offert par ton esclave. Voilà un autre avantage a bien dressé une humaine ou une hybride, tu pouvais en tirer toutes sortes de choses. Cependant, comparé au moment de luxure que vous veniez de passer, tu ne lui rendais pas la pareille, il était toujours bon de lui rappeler sa place d’esclave et non de concubine du roi.

Son comportement te confortait encore dans l’idée que tu avais réussi non seulement à réduire son esprit sous ta domination, mais cela semblait de même avec son cœur. Tu aimais ça, provoquer une espèce de syndrome de Stockholm chez tes victimes, tu pouvais les user un peu plus jusqu’à la moelle. En une semaine, tu l’avais réduite de femme forte avec un sacré caractère à une docile petite chienne à ton service et dévoué corps et âme à ta cause.

Tu sortais de la douche, Nour ayant pris les devant pour te rendre la sortie plus agréable, une véritable servante, tu te séchais, venant te vêtir aussi simplement qu’elle. Tu portais un long boxer, moulant et dessinant les muscles de tes cuisses. Tu portais ensuite, un haut, en col v, tout aussi moulant que le boxer. Tu pouvais te permettre des tenues aussi légère vu votre relation à présente, tu avais ce droit de prendre une tenue plus décontractée.

Une fois prêt, tu retournais sur l’étage inférieur, découvrant la nouvelle tenu de ta belle, un haut assez large, mais laissant suffisamment deviner les formes que la nature lui a doté. Son bas était différent, mais la mettait tout aussi en valeur que l’ancien bout de tissu, que tu avais pris un malin plaisir à faire voler. Tu retournais sur le canapé trônant dans le grand salon, les muscles de ton corps étaient à bout, tu t’en étais donné à cœur joie avec Nour. Son état ne devait pas être mieux, vu les quelques séquelles que tu lui avais laissé par la torture et la luxure.

Tu la voyais te rejoindre, ayant pensé à te fournir une collation, tu avais beau être un monstre à l’aura noir, tu pouvais aimer ce genre de moment, un peu de tendresse ne fait jamais de mal à personne. Tu la remerciais d’un sourire à la suite de ses propos, la laissant s’installer à côté et savourer avec toi le thé. Le temps passait dans le silence, même si celui-ci fut coupé rapidement par le sommeil de la belle, son souffle venant taper un léger rythme reposant.

Ta main se posait sur la tête de la jeune femme, la laissant se reposer sur tes genoux, elle l’avait mérité en quelque sorte, tu savais récompenser tes esclaves quand elles travaillent bien. Tu caressais sa chevelure, laissant couler quelques mots qu’elle ne pourrait sans doute pas entendre dans son sommeil.

“Je suis fier de toi Nour ! J’espère que tu continueras à me servir avec autant de dévotion par la suite !”

Tu commençais toi aussi à ressentir le poids des derniers jours et surtout l’effet des évènements de cette journée. La jeune femme semblait avoir un sommeil de plomb, tes quelques mouvements ne semblaient pas la réveiller pour le coup. Tu prenais donc le choix de lui offrir un petit cadeau qui devrait avoir son effet au réveil, la transportant alors comme une princesse, tu la conduisais à l’étage. Ainsi, tu la laissais dormir dans ton lit, sous ta couette, le lieu de repos de son nouveau maître. Tu te glissais à ses côtés, venant sombrer rapidement dans les bras de Morphée.
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