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 Un nouveau jouet...

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Un nouveau jouet... EmptyMar 21 Juin - 23:33
Anonymous
Vladimir se réveilla en sursaut, se dressant d’un coup aux milieux de son grand lit tendant le bras à tâtons vers l’interrupteur pour activer la lampe de chevet. Une fois fait, la pièce fut baignée par la lueur blafarde, forçant le directeur à plisser ses yeux sous l’intensité. Retrouvant rapidement son calme en restant assis au milieu de son lit, reconnaissant sa chambre au centre de dressage. Une vive douleur au cou le fit se contracter, posant sa main à l’ endroit douloureux, orner d’un pansement. Serrant les dents en remettant ses idées en place, Vladimir ce rappela les éléments de cette nuit agité qui avait pourtant si bien commencé…  Mais le pire pour lui s’était passé une fois l’arrivé de ses hommes… La baisse d’adrénaline et la douleur qu’il ressentait pleinement grâce à ce fait lui avait presque fait perdre connaissance. Heureusement, ses gardes du corps pire rapidement soin de lui, ayant maitrisé et attacher très facilement l’hybride responsable de ce foutoire…

Il se souvient du voyage de retour, assit sur la banquette arrière alors qu’on examinait ses blessure et lui portais les premier soins, sentant qu’après la douleur, c’était la fatigue qui se rappelais a son bon souvenir et c’est en peinant à rester éveiller qu’ils arrivèrent tous au centre, se faisant rapidement emmener à l’infirmerie où des soins plus complet lui furent procuré, avant d’être conduit à sa chambre pour une longue nuit de sommeil, ce que lui confirmais son réveille, affichant une heure relativement avancer de l’après-midi… Percutant un détail sensible, le directeur se précipitas vers le téléphone, entrant en communication avec le standard pour savoir le plus rapidement possible ce qu’il était advenus de son agresseuse… A son grand soulagement, Vladimir appris rapidement qu’elle avait été solidement attaché et bâillonné et mise en cellule, en attendant de savoir quoi faire d’elle.

Se sentant soulager de cette nouvelle, l’homme soupira, prenant ensuite congé de la femme au bout du fils avant de s’accorder quelques minutes, flemmardant assis sur le lit. Se décident enfin à en sortir pour se diriger vers la salle de bain, prenant une longue douche après avoir enlever les pansements et bandage qui recouvraient ses blessures. En sortant, l’homme appela une des infirmières du centre pour refaire ses pansements, que ce soit au cou ou à la main. Une fois ceci fait, le directeur commença par s’habiller, enfilant un costume noir, compléter d’une chemise bordeaux et d’une cravate en soie noir orner de fine rayure assortie a sa chemise. Se parfumant délicatement avant de se coiffer, enfilant ses gants don un peu plus difficilement à cause des pansements. Saisissant son téléphone portable en sortant de sa chambre pour se diriger vers la pièce ou était enfermer l’hybride, ordonnant qu’un petit déjeuner copieux lui sois apporter dans la cellule de la créature.

Arrivant devant la porte, Vladimir l’ouvris après avoir vérifié que sa tenue était parfaitement ajusté, aimant les apparences, pénétrant dans la pièce entièrement plonger dans les ténèbres. Allumant rapidement la lumière, faisant ensuite glisser la chaise de sous la table présente dans la cellule, observant la louve au milieux de la pièce, les avant-bras attacher ensemble par une corde alors que de lourde menotte de cuir et d’acier lui entravais les poignets. Le même schéma se reproduisait pour ses jambes, ses cuisses étant liées par une solide corde alors que ses chevilles étaient enchâssées par le même type de lourde menotte de cuir et d’acier, complétant le tableau, une muselière ornait le bas de son visage, réduisant à l’impuissance ses crocs… Prenant la parole à ce moment, voyant que la créature s’agitait légèrement, preuves qu’elle était réveillé.


- Bonjour petite chienne, j’espère que tu as bien dormis, car tu vas avoir besoin de toute ton énergie pour ce qui vas suivre… Messieurs, commençons par la mettre en condition.

A cette dernière phrase, deux personne entraient dans la pièce, semblant agir avec une certaine habitude, prenant deux câble relié à des poulies au plafond pour les attachés aux menottes au poignet de la louve, les séparent en deux avant de faire de même pour les chevilles de la louve, débarrasser depuis belle lurette de ses chaussure comme de ses éventuelle chaussette, la laissant pied nu. Une fois ceci fait, les deux hommes activer des treuils électriques la soulevant du sol lentement. A ce moment, l’un des gardiens coupas les liens, forçant la louve à être debout, bras et jambes écarter sans qu’elle puissent résister, la force implacable des treuils la maintenant dans cette position. A ce moment, la porte s’ouvrit laissant une hybride chat portant un plateau garnis d’un succulent petit déjeuner salé, muffins chaud, bacon, œuf, ect… ainsi qu’un café fumant. Posant le tous sur la table devant Vladimir qui observait le spectacle.

Ignorant pour l’instant le plateau pour saisir une paire de ciseaux, s’approchant de l’hybride immobilisé en crois, ses pied touchant tous juste le sol, lui permettant de soulager quelque peu la tentions sur ses bras. Ignorant complètement les éventuelles paroles et débattement de l’hybride, Vladimir commença à découper le short, remontant de la cuisse gauche lentement, chaque coup de ciseaux le rapprochant doucement de ses hanches…  Une fois son short de jean coupé de bas en haut, le directeur leva les sourcils de surprise… La créature ne portait pas de sous vêtement en bas… laissant de côté cette constations, il recommençât de l’autre côté, laissant rapidement le bout de jean tomber sous la louve. Jetant un coup d’œil rapide, sur le spectacle, toujours en silence, l’homme souleva le sweat et le top en même temps, commencent à les découper ensemble de bas en haut, prenant son temps pour découvrir le corps de son nouveau jouet…

Une fois que les ciseaux eurent atteint le col, sectionnent complétement en deux les vêtements de la louve, Vladimir écartât délicatement les deux morceaux de tissus,  découvrant  avec sourire entendu le torse et les belle courbe de l’hybride, engagent ensuite ses mains sous ce qui restait de ses vêtements,  venant frôler délicatement les hanche de la belle, remontant en douceur sur les coté pour redescendre en suivant la forme de sa poitrine, venant lentement la prendre en main tout en plongeant son regard dans celui de la louve sans cesser d’afficher son sourire allant de pair avec son expression venimeuse… Appréciant un instant le pelotage délicat, passant son pouce sur l’un de ses tetons qu’il titilla sans trop forcer dessus avant de retiré ses mains, reprenant ses ciseaux pour continuer sa besogne comme si de rien n’était. Reprenant sa découpe aux niveaux de ses seins, partant lentement vers ses bras pour terminer de déshabiller la louve, frôlant du métal froid de son outil le délicat corps de la créature. Une fois le poignet atteint, libérant tous le côté droit de son corps au yeux du directeur qui remarqua immédiatement ce que ses main quasiment insensibilisé par ses vielle brulure n’avait pu remarquer, un pansement sale et décollé, rougis de sang partiellement sécher. Le directeur tiqua en voyant ça, laissant échapper dans un soupir…


- Un jouet en bien piteuse état cette chienne…


Disant cela plus pour lui-même qu’à l’attention de sa captive, l’homme choisi de mettre de côté cette blessure pour l’instant, commencent a découpé l’autre manche de la même façon que la première, finissant au bout d’interminable minutes par libéré la louve de ses dernier vêtements. Prenant un peu de recul pour observer la créature dans son ensemble, Vladimir  repris la parole à l’attention de ses assistants du moment :

- Apporter moi de quoi laver et désinfecter cette animal, à l’odeur, son hygiène est plus que douteuse…

Obéissant rapidement en vidant la pièce, les deux gardes laissaient Vladimir et la louve seul… Ce dernier en profita pour s’attabler, prenant son café devenus plus tiède que chaud pour le monter à sa bouche, savourant tranquillement sa boisson sans perdre des yeux la prisonnière nu. Posant sa tasse pour s’attaquer tranquillement à son petit déjeuner, passant des œufs brouillés au bacon, accompagné de muffins, avec un jus d’orange…  Terminant tranquillement son petit déjeuner en sortant un de ses cigares, s’appuyant ostensiblement sur sa chaise pour préparer son cigare, coupant le bout avec son coupe-cigare aiguisé avant de le porter à ses lèvres, l’allumant juste au moment où un chariot avec des sceau, brosse  et autre ustensile. A ce moment, le directeur expira la fumé et se leva, enfilant une blouse en plastique avec un tablier, complétement sa tenue par des gants en latex. A ce moment, un des gardes branchât le tuyau d’eau a un robinet au mure, réglant l’eau a une température douce avant que Vladimir ne  lui fasse signe de lui donner le tuyau. Congédiant ensuite les deux hommes pour s’occuper tranquillement de son nouveau souffre-douleur.

Commencent par tranquillement asperger d’eau le corps nu, Vladimir pris un savon en gel, le faisant un peu mousser dans ses mains avant de les poser délicatement sur les hanche de la captive, commencent a frotter en douceur, remontant le long de ses courbes pour parfaitement nettoyer la louve, évoluant vers  ses bras, les savonnant avec attention. Une fois ceci fait, les mains de Vladimir redescendirent sur son ventre, enlevant le pansement en laissant échapper un petit filet de sang qui se perdit dans les bulles de savon, en colorant certaine d’une couleur rougeâtre sans perturber le moins du monde l’homme affairé à sa tâche.  C’est d’ailleurs à ce moment qu’une des mains du maitre des lieux descendit vers la toison blanche entre les cuisses de l’hybride, commencent par tranquillement savonné cette endroits sensible, profitant de ce moment pour plonger son regard dans celui de sa captive alors que ses doigts poussait un peu plus loin leur nettoyage, jouant un avec légèreté de la situation. Prolongeant ce nettoyage pendant d’interminable minutes, son autre mais passant sur sa poitrine pour la recouvrir de petite bulle de savon en la lavant consciencieusement.

Finissant par cesser, passant à ses cuisses musclé qu’il parcouru en les savonnant un moment interminable, en profitant également pour bien peloté ses fesses, prenant de nouveau le tuyau sans prêter la moindre attention à ses paroles ou éventuelle insulte, rincent abondamment en laissant ses mains se promener de nouveau sur son corps enfin propre. Prenant un shampoing, le faisant également mousser un instant dans ses mains avant de passer dans le dos de la louve pour commencer par lui shampouiner la tête, lui massant le crane avec une certaine énergie, générant de nouveau une mousse abondante. Une fois ceci fait, le directeur s’attaqua a la dernière partie de son corps qu’il n’avait pas encore touché, sa queue, la saisissant d’un geste pour la shampouiner a son tour, la frottant en douceur, s’attardant particulièrement à en nettoyer la basse en la frottant un peu finissant par caresser le poil soyeux de la créature. Ayant complètement terminer le nettoyage, Vladimir rinça une dernière fois la louve, prenant une serviette pour la sécher a la perfection, en profitant une fois de plus pour profiter d’elle avant de se placer face à sa créature, observant avec un sourire qu’il venait de regarnir de son cigare posé un instant avant sur la table, le rallumant après s’être débarrasser de ses gant en latex et du reste de sa tenue en plastique. Prenant un nouveau pansement, ainsi qu’un désinfectant, l’homme passa le produit sur la blessure, la désinfectant consciencieusement avant d’y appliquer un nouveau pansement, partant vers la porte en expulsant la fumé de son cigare avant de tourner la tête vers l’hybride, lui lançant un regard noir et charger de sous-entendu rehausser par un sourire malsain, lui jetant dans un souffle :


- Bien, maintenant que tu es présentable, voyons ce que je vais faire de toi petite chienne…
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Un nouveau jouet... EmptyMer 22 Juin - 10:02
Anonymous
La nuit avait été agitée. Très agitée.... Pour ne pas dire brutale. Elle se souvenait de peu de choses au final si ce n'est le début du cauchemars, le reste se noyant dans un film flou où douleur et haine ressortait tel une réminiscence globale de la soirée. Pourtant les rares souvenirs qui lui venaient à l'esprit était le regard de cet inconnu et sa main déplacé ainsi que sa colère, violente et irrationnelle. Elle savait qu'elle avait pris des coups, son corps était là pour le lui rappeler. Déjà elle sentait son front qui devait être joliment enflé vu la pression qu'elle ressentait à ce niveau. Mais le pire devait être ses oreilles qui bourdonnaient suite à la série de coup reçu au crâne. Le reste de son corps la lançait et elle toussa en grimaçant, la poitrine douloureuse.

Cependant elle serra les dents, décidée à s'en accommoder et remua un peu. Cela faisait quelques minutes, pour ne pas dire une bonne demi-heure qu'elle était éveillée, n'osant pas bouger de peur de réveiller ses blessures, gardant ses forces. Mais là elle sentait un besoin pressant se faire et envisageait de trouver l'endroit adéquat. Elle sentit alors les liens qui la tenaient, la faisant un peu plus émerger de la guimauve dans laquelle son esprit se trouvait. Elle remua encore pour définir l'efficacité de ses liens ainsi que la liberté offerte et se laissa retomber en soupirant constatant qu'elle n'en avait aucune...

La jeune hybride ferma alors les yeux, essayant de recoller les morceaux de sa mémoire devenue défaillante grâce aux bons soins du psychopathe de la veille. Elle se concentrait et peu à peu ça lui revenait, plus désagréable qu'elle ne l'aurait pensé et pourtant... Pourquoi était-elle donc là ? En avait-il pas eu assez à la tabasser à la limite de l'inconscience ? Ça ne semblait pas être le cas. La louve eut alors la désagréable sensation que le pire restait à venir mais étrangement elle accueillait cette idée avec un calme étrange. Il faut dire que son esprit n'était toujours pas très éveillé.

Elle resta ainsi encore quelques heures lui sembla-t-il, son envie se faisant toujours plus pressante à mesure que le temps passait tandis que la faim vint gentiment la taquiner malgré qu'elle eut manger de trop au repas de la veille et ça, grâce à Mirabel qu'elle remercia mentalement. Puis elle repensa alors à Kyle et soudain une peur la secoua en repensant au papier qu'il lui avait donné. Elle se redressa d'un cou et la douleur revint à elle aussi sec mais l'hybride l'ignora, se tortillant pour mieux atteindre ses poches. Elle parvint à les fouiller, manquant presque de se déboiter l'épaule mais ne trouva rien. Avait-il trouver les papiers ? A ses pensées, une boule se forma dans son ventre et elle chercha à nouveau dans ses souvenirs.

La bagarre puis les renforts et finalement sa défaite. Elle se souvenait avoir été balancé dans une cage à l'arrière de ce qui semblait être un gros véhicule. Les voiles noirs de l'inconscience l'avaient enveloppé un moment puis elle était revenue à elle le temps du trajet. Elle se souvint avoir eu le même réflexe que plus tôt et avoir récupérer le mot de Kyle, le serrant entre ses doigts comme pour se donner de l'espoir, lisant les inscriptions qu'il avait noté avec hâte avant d'avaler le morceau de papier alors qu'un garde la voyait faire et intervenait, la menaçant. Elle avait avalé la preuve et ouvert la bouche et l'homme l'avait frappé avec son arme, renvoyant la louve dans les bras de Morphée.

Rouvrant les yeux, elle se sentit rassurée car même si elle n'avait pas pu en faire de même avec Mirabel, Kyle, lui au moins était sauvé. Un sourire se dessina sur son visage alors que des larmes de soulagement s’échappèrent de ses yeux. Maintenant elle devait désormais faire front à la calamité qui l'attendait. Elle serra donc les dents, repoussant pour la énième fois son envie pressante et bougea à nouveau, tentant tant bien que mal de détendre ses membres douloureux et engourdis par ses liens. Elle faisait des mouvements lents et ouvrit la bouche, mâchant sa salive, sentant le goût du sang dans sa bouche, espérant intérieurement que c'était celui de son agresseur et l'avala avant de se frotter le visage sur son épaule, chassant les dernières brumes qui étaient dans son esprit.

Elle entendit alors un bruit de pas et elle se figea, à l'écoute. Les pas cessèrent et un cliquetis se fit puis enfin la lumière pénétra la pièce, déchirant la nuit dans laquelle se trouvait la louve qui se recroquevilla un peu, protégeant ses prunelles sensibles. La lumière se fit alors complètement et elle resta immobile, attendant patiemment que ses yeux s'adaptent, ses oreilles suivant les bruits qui lui parvenaient, essayant d'identifier la distance et le nombre de personnes présente. Puis une fois ses yeux prêt, elle se redressa, quittant sa position fœtale pour une position assise bien moins pitoyable, se permettant un regard autour d'elle. Il n'y avait rien hormis une table ainsi qu'une chaise et le monstre de la veille. L'hybride le toisa en silence, n'appréciant guère son petit air de satisfaction. Elle l'écouta, oubliant pour un temps son envie, se demandant ce qu'il sous entendait par là.

A peine eut-elle le temps de formuler sa pensée que déjà deux hommes entraient dans la pièce, se dirigeant dans sa direction. La jeune fille eut le réflexe de coucher les oreilles en grondant, sa queue filant entre ses jambes alors qu'une peur sourde montait en elle. Que comptait-il lui faire ? Alors qu'on la saisissait, elle se débattit, essayant de frapper sans trop de réussite ses larbins, grondant comme un animal acculé. Puis ils enclenchèrent des poulies et les yeux de la louves suivirent les sons puis, les liens qui remontaient vers le plafond et elle se débattit de plus belle, paniquée, ne comprenant pas ce qui se passait. Cette fois elle poussait des cris en forçant sur ses liens en vain et se figea alors, comprenant l'inéluctable. Ses muscles se relâchèrent alors et son corps s'affaissa, laissant les machines faire leur office. Elle se faisait plus aucun bruit désormais, regardant son tortionnaire en silence, attendant la suite des sévices.

Physiquement elle semblait avoir abandonnée la partie, ses oreilles étaient basses et sa queue restait entre ses jambes. Elle était craintive ou tout du moins soumise pour le moment, comprenant qu'elle n'avait aucune possibilité de résistance de toute façon. C'est à ce moment qu'une hybride entra et la louve posa son regard sur elle, la suivant des yeux en silence, l'observant passer à côté de l'homme pour déposer le repas sur la table avant de s'éclipser tout aussi discrètement. Aucun mot ne fut énoncé et le regard de la louve revint lentement sur le sadique, le voyant alors prendre une paire de ciseaux, se dirigeant ensuite dans sa direction. Lorelaï sentit la peur la prendre une nouvelle fois et elle s'imagina une foule de scénario mais ouvrit simplement la bouche pour dire :

"Attendez ! Je.. j'ai besoin de ..."

Et se tut, ne pouvant achever sa phrase, sentant le métal se glisser lentement entre son short et elle, regardant avec horreur ce qu'il était en train de faire à ses vêtements. Elle se rebiffa, retrouvant un regain d'énergie devant sa désinvolture, grondant en se débattant. Mais là encore, les liens semblaient inébranlable et elle fut contrainte de le voir réduire ses vêtements à l'état de guenilles inutilisables, la laissant par ailleurs le bas dénué de vêtement. Elle aperçut alors de la surprise sur ses traits et fronça des sourcils, ne comprenant pas pourquoi ça l'étonnait autant de voir sa hanche gauche. Elle baissa les yeux, ne comprenant toujours pas puis les remonta et le vit reprendre son œuvre comme si de rien n'était. Lorelaï ne disait rien, comprenant que de toute façon, aucune de ses paroles quelles qu'elles soient ne seraient prises en compte par cet énergumène, aussi se contentait-elle de faire la planche, le laissant s'amuser à réduire ses maigres biens en charpies.

Mais arrivant en haut de son col, libérant son buste de sa prison de tissus, l'humain s'autorisa un sourire qui fit grogner la louve. Elle sentit alors deux mains venir frôler ses formes et ses oreilles se plaquèrent sur son crâne tandis qu'un grognement plus rauque et menaçant s'échappait de ses lèvres. Un frisson la parcourut toute entière et ses prunelles devinrent deux tête d'épingles sous le coups de sa rage croissante. D'où se permettait-il de la toucher ainsi ?! Ne se rappelait-il pas sa mise en garde ?! Si surement... Alors il la testait ? A moins qu'il ne se fichait tout simplement de son avis.... La dernière possibilité semblait la plus probable vu comment il ignorait sa réaction. Mais alors qu'il posait sa main sur son seins, le grondement de la louve s'étrangla de surprise et le regard de l'impudent se posa dans le sien. La louve se reprit, serrant les dents de rage, le fusillant du regard. Elle essayait de ne pas se laisser aller à sa rage, sachant que ça ne ferait que le satisfaire d'avantage et lâcha avec mépris :

"Alors tu t'éclates à tripoter des hybrides qui pourraient avoir l'âge de tes gosses ? Faut dire qu'il doit te rester que ça à faire vu comment tu es..."

Elle déglutit, cherchant à voir si elle l'avait blessé, désirant le piquer à un endroit sensible, histoire qu'elle ne soit pas la seule à se sentir sale mais malheureusement il ignora sa réplique, détournant son intérêt de ses seins. Lore sentit alors ses muscles se relâcher une nouvelle fois en sentant les mains inquisitrices qui s'en allaient, reprenant leur basse besogne. L'hybride essayait de conservait son calme mais c'était difficile. Si sa nudité ne la gênait en rien, le sentir ainsi la toucher avait le don de la mettre hors d'elle. Elle n'autorisait personne, PERSONNE à la toucher sans sa permission ! Et pourtant lui se le permettait, usant de la force comme seul moyen possible. Mais qu'importe. Elle rangeait cela dans un coin, attendant une ouverture pour se venger.

Une fois qu'il eut fini sa découpe elle sentit son regard la parcourir et s'arrêter sur sa plaie par balle. L'hybride l'avait presque oublié entre leur bagarre et ses blessures plus récentes. Cependant la plaie semblait s'être légèrement rouverte et le pansement décollé laissait voir la marque de la balle et les chairs en partie cicatrisées qui la refermaient, le tout rouge et non infecté malgré les saletés qui s'y était glissés lors de leur altercation. L'homme s'autorisa un commentaire et la louve fut offusquée et répliqua du tac au tac :

"Héééé quand on tabasse un hybride sans raison, ça serait bien de fermer sa gueule sur l'état dans lequel on le retrouve ! pôv con !"

La rebelle s'était autorisée une insulte en passant même si ce n'était pas dans ses habitudes. De toute façon tout ça n'était pas dans ses habitudes au final alors pourquoi s'en priver ?!? Elle lui jeta un regard cinglant, fronçant des sourcils, les oreilles toujours plaquées sur sa tête, s'attendant à recevoir un retour tout aussi frappant que la veille. Cependant le sadique ne semblait pas encore d'humeur et reprit son travail, mettant surement de côté chacune des amabilités de l'hybride pour les lui resservir plus tard.

Une fois sa besogne achevée, il se recula et l'observa, lâchant un commentaire à ses sbires restés dans un coin de la pièce, silencieux et immobiles comme deux statues de cire. Lore les vit alors s'activer, ne prenant même pas la peine de relever l'insulte, se disant que Mirabel se serait sentie outrée de savoir qu'en une soirée, sa douche s'était révélée inutile. L'hybride se contentait de regarder les deux créatures soumises à leurs maitres s'agiter pour le satisfaire et elle se demandait combien ils étaient payés pour être aussi docile que des chiens. Elle trouvait cela presque comique si elle n'avait pas cette angoisse au fond d'elle qui lui disait : tu finiras comme eux si tu te casses pas vite fait d'ici ma fille. Elle les regarda alors sortir, laissant retomber le silence entre les deux créatures restantes dans la pièce. Lore le regarda s'assoir et commencer son repas. Elle l'observait faire en silence, sentant son estomac qui s'agitait et soupira, détournant ses prunelles du déjeuner de l'inconnu pour observer sa prison et ses liens qu'elle testa un peu avant de mâcher sa salive se souvenant alors qu'elle avait envie d'uriner depuis son réveil. Elle osa relever le regard, se demandant si c'était correct de demander à un homme à table si elle pouvait aller uriner, surtout en pleine séance de... de quoi en faite... Torture ? A dire vrai elle n'avait pas souffert. Elle s'était juste sentie mise à nue et tripoter sans ménagement mais alors quoi au final... Elle n'aurait su le dire. Enfin bref, elle doutait que ce soit approprié dans de telles circonstances surtout qu'elle s'attendait à ce qu'il lui sorte "Pisse par terre, chienne.". Aussi referma-t-elle poliment sa bouche, se demandant quand est-ce qu'il aurait fini sa séance de fétichisme bizarre et assez flippante.

Alors qu'elle était perdue dans ses pensées, les deux types revinrent et elle eut presque l'impression de les voir remuer de la queue, attendant leurs friandises et elle eut un sourire crispé, l'estomac toujours noué malgré ses pensées comiques. Il fallait bien se détendre comme on pouvait dans ce genre de situation... Elle les vit s'activait alors que le sadique délaissait son cigare à l'odeur désagréable pour enfiler une tenue qui lui donnait des allures de ménagère qui la fit à nouveau sourire. Mais son sourire fut de courte durée quand les deux hommes sortirent, les laissant à nouveau seuls. Elle ravala sa salive avec difficulté, son sourire disparaissant alors que son corps se crispaient de nouveau en le voyant approcher.

Elle vit qu'il dirigeait le jet en sa direction et sentit l'eau sur sa peau, chassant le reste de son pansement au flanc, se crispant de plus belle, peu habituée à se laver ainsi, détournant la tête pour protéger son nez et sa bouche, ne comprenant pas sa façon de faire. Il la mouilla puis elle sentit la pression disparaitre et se tourna pour voir ce qu'il faisait. La suite n'augurait rien de bon car il s'approcha d'elle et commença à la laver. La surprise était lisible sur ses traits. Ses yeux le regardaient faire sans qu'un son ne parviennent à sortir de sa bouche entrouverte. Pourtant son esprit, lui hurlait des insulte à tour de bras ! Si Vladimir avait pu l'entendre il en aurait eu mal à la tête.  Mais ce n'était pas le cas et la louve se retrouvait là, figé de stupeur, se laissant gentiment faire par ce pervers.

Pourtant ses gestes étaient doux, presque attentionnés et c'était surement ça qui la surprenait le plus. Elle ne comprenait pas ses agissements actuels alors que la veille il l'avait si gentiment rouée de coups sans raison. Là il s'activait à sa tâche avec détachement et elle se demandait presque si c'était un homme. En effet il ne réagissait pour ainsi dire peu voir pas à son corps, la jaugeant plus comme une jument prête à aller à un concours qu'à une femme. Peut-être était-il gay ?  Et pourtant elle se rappelait de sa main sur sa cuisse et eut du mal à y croire. Elle sentit alors son flanc la piquer et baissa les yeux le voyant enlever les restes de son pansement avant de commencer à laver la blessure. Lore fit une légère grimace qui se transforma en colère en sentant l'une des mains de l'homme descendre entre ses jambes. Un nouveau frisson la parcourut et instinctivement elle essaya de serrer ses cuisses et cette partie encore inexplorée, sentant le regard de l’effronté venir chercher le sien, à la recherche d'une réaction. La louve lui lança un regard noir. Il n'allait quand même pas s'attendre à ce qu'elle lui ouvre gentiment les cuisses quand même ?! Elle gronda et il insista, lui faisant ravaler son grondement le transformant en un gémissement plaintif. Elle ferma les yeux dans l'espoir d'échapper à cette main baladeuse et se crispa encore plus en tremblant, priant pour qu'il s'arrête là. Elle ne voulait pas qu'il aille plus loin mais pourtant il insista encore un peu comme pour savourer cette faille qu'il venait de trouver. Mais elle rouvrit les paupières et lui fit à nouveau face, sentant un ultime appel de son corps et lança simplement à l'intention du dévergondé, le regard cinglant.

"Pardon mais j'en ai envie depuis mon réveil... Vous ne m'avez pas laissé le temps de vous prévenir..."

Et elle lui urina gentiment dessus, se disant  que de toute façon après ce qu'il venait de lui faire, la pire punition pour un tel acte serait qu'il la prenne complètement. Mais désormais elle savait que ce serait inévitable, surtout après avoir vu son regard. Il ne lui ferait aucun cadeau et si ses mains étaient douces, ce n'était que pour mieux lui faire mal par la suite. Elle sentait que cet homme devait se repaître de la souffrance des autres et par ce simple geste, elle voulait lui faire comprendre qu'elle pouvait certes subir ses pressions, mais qu'elle gardait néanmoins une liberté d'agir, aussi infime soit-elle. Elle soutint son regard avec le peu de courage qui lui restait, le tout mêlé à la peur de voir le visage de son tortionnaire se transformer sous le coups de la colère. En même temps elle avait honte d'agir ainsi, ayant l'impression d'être un animal incapable de s'exprimer autrement qu'en urinant sur la personne qui lui faisait peur. Ça lui soulevait le cœur mais elle s'accrocha malgré tout et il retira sa main tandis qu'elle se détendait enfin, continuant de trembler malgré tout.

Le calvaire ne se termina pas pour autant et se prolongea même. La louve eut l'impression qu'il fit durer la toilette, caressant ses fesses, les tripotant en passant, lavant ses jambes et le bas de son corps avant de rincer le tout, faisant courir une nouvelle fois ses mains sur elle. La louve faisait front de son mieux, essayant de conserver le peu de dignité qui lui restait, se sentant bien plus sale qu'au début de la toilette. Elle le regardait faire, surveillant ses gestes, s'attendant à un coup en traître qui ne vint pas.
Puis il passa dans son dos, hors de sa vue et elle se cambrait pour essayer d'échapper à ses mains qui couraient sur elle. Le fait de ne pas le voir lui donnait des frissons à chaque fois qu'il levait ses mains pour les reposer ailleurs sans prévenir. Elle se sentait à sa merci et rentra sa queue entre ses jambes, craignant le pire dans cette position. Il lui lava la tête et en d'autres occasions, l'hybride aurait pu y prendre plaisir si elle n'avait pas aussi peur de subir quelques sévices que ce soit. Elle avait donc les oreilles collées à sa tête, ne facilitant en rien la toilette mais ne fit aucun mouvement, se contentant de garder la tête rentrée dans ses épaules, prenant son mal en patience.
Ensuite ses mains passèrent à sa queue et Lore força pour la laisser rentrer entre ses jambes mais il n'en fut rien et l'humain commença à la laver. Il commença alors à frotter la base et la louve se cambra en poussant un gémissement accompagné d'un jappement comme si elle avait mal. Elle essaya de dégager sa queue de ses mains indélicates et gronda d'un court instant, l'homme ignorant ses réactions. Elle sentait son corps réagir et se crispa une nouvelle fois, essayant de calmer ses pulsions animales. Elle ne voulait en aucun cas réagir à cause de cet homme !  Il la dégoûtait ! Elle serra les dents, se concentrant sur sa rage, ignorant tant bien que mal les réactions de son corps. Dès qu'il lâcha sa queue, elle la fourra instinctivement contre elle, rentré entre ses jambes, lui lançant un regard humide et haineux.

Il devait bien rire ce sale sadique à la voir ainsi... Ça elle n'en doutait pas une seconde mais elle se refusait à lui faire le plaisir de gémir sous ses caresses ou de lui en demander plus. Elle le toisait, reprenant son souffle, se détendant un peu, profitant du rinçage pour calmer les palpitations de son coeur. Elle se sentait exténuée par cette toilette éprouvante. Elle se rendait compte qu'il n'avait pas besoin de la rouer de coups pour lui faire mal. Elle se sentait sale et honteuse, réduite à uriner sur un homme pour le faire reculer. Elle se sentait pitoyable et malgré tout elle lui faisait encore face, peur et colère mêlé en un cocktail de haine qui lui était tout spécialement réservé.

Il la sécha et lui refit un pansement dans un silence lourd, la louve reprenant peu à peu contenance, calmant sa poitrine qui se soulevait à une cadence élevé pour une créature au repos, conservant ses prunelles posés sur le regard de l'homme, s'affairant à sa tâche sans lui porter plus d'intérêt que ça. Elle le méprisait et pourtant, elle conservait ses prunelles sur lui, cherchant une faille, aussi infime soit-elle pour mieux le blesser. Elle voulait lui faire mal, lui rendre la monnaie de sa pièce mais rien, rien ne se présentait à elle...

Il s'éloigna et elle soupira, se détendant enfin complètement, fermant les yeux, le laissant admirer son œuvre. Elle aurait pu lâcher une réplique cinglante mais elle n'en avait pas le courage, ayant déjà le goût de la défaite en bouche. Elle préférait le laisser sur sa victoire, le laissant se gonfler d'orgueil pour mieux le blesser plus tard. Elle se contenta de le regarder en silence, l’œil las et pourtant encore assez hargneux pour soutenir son regard venimeux de prédateur. Elle savait que la suite ne serait aucunement plaisante mais qu'importe. Pour le moment il allait sortir, la laissant panser ses plaies que ses mains avaient laissés sur son âme. Elle n'avait besoin que de ça. Une fois seule, elle pourrait pleurer sans craindre son regard ni son sourire. Elle n'avait besoin que de ça pour l'instant...
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Un nouveau jouet... EmptyMar 26 Juil - 0:56
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Vladimir la toisait, observant la louve nu devant lui en réfléchissant a ce qu’il allait en faire maintenant qu’elle était propre et agréable a regarder. Prenant une nouvelle bouffée de son cigare, il laissa les minutes s’égrainer, prenant son temps pour réfléchir à ce qu’il allait faire par la suite. A ce moment, les paroles de la petite chienne lui revinrent… Ressassant sa première tirade alors qu’il se dirigeait vers la table, enlevant d’abord sa veste, la posant avec une grande délicatesse sur le dossier de la chaise, défaisant ensuite sa cravate, la faisant rejoindre sa veste tout en libérant deux boutons du haut de sa chemise. Le directeur ouvrit son col, dévoilant le pansement qui ornait la morsure faite par la créature en face de lui, dévoilant aussi une partie de son torse, orner également de plusieurs traces d’ancienne cicatrices et brulures lézardant son corps. Toisant ensuite la chienne avec un regard vide, enlevant ses gants, en dévoilant ses mains brulé et meurtrie, faisant plus penser a des parodies tellement elles étaient abimé, la crème hydratante blanchâtre les recouvrant accentuant encore leur aspect peut avenant… Prenant la parole, l’homme se dirigea vers l’hybride d’un pas décidé.

- Tu penses que ça ‘’m’éclate ‘’ comme tu le dit de toucher et posséder une créature telle que toi, au corps jeune et beau ? C’est indéniable que ce sera plus agréable à toucher que ce qui reste du mien, comme tu pourras le juger par toi-même…


S’étant rapprocher de la créature en parlant, Vladimir frôla la hanche de Lorelai, glissant sa mains sur sa peau la glissant lentement jusque sur ses fesses avant de la peloter avec force, laissant une trace de crème et de peau morte sur sa peau propre et sèche là où la peau rugueuse et abimé du directeur passait, laissant une sensation probablement peut ragoutante…

- Et en fait… tu n’as pas complètement tord… même si je ne ressens quasiment rien d’un contacte comme celui-ci, puisque les terminaisons nerveuse de mes main son quasiment détruite…  Je dois bien l’avouer que posséder une créature aussi belle es un plaisir pour moi… surtout si je peux en plus la détruire a loisir… Car en vengeance pour avoir détruit un de mes précieux jouets, tu le remplaceras…. Jusqu’à ce que je me lasse… ou que tu casse…

A ce moment Vladimir lâcha prise, se retournant vers le chariot qui supportait le nécessaire de lavage. Saisissant une paire de boule quies qu’il mis dans ses oreilles tout en tournant le dos a l’hybride en lui cachant ce qu’il faisait, prenant un stylo pour noter sur le bloc note un petit mot tout en saisissant un autre objet sur la table, se retournant en prenant bien garde de le cacher derrière son dos, revenant avec un sourire vers la chienne après avoir poser son cigare dans le cendrier. Une fois de nouveau face a elle, il passa sa main dans son dos, l’enlacent en saisissant ses cheveux pour la forcer à pencher la tete en arriére passant sa langue sur son omoplate avant de venir lui souffler a l’oreille :

- Au fait… Les vilaine chienne qui pisse sur leur maitre, ont les punit sévèrement ici…

Sortant son autre main de derrière son dos, Vladimir remonta la cuisse de la créature, la frôlant simplement du bout d’un de ses doigts jusqu’à son entre jambe, écartant en douceur ses lèvres intime, laissant probablement l’objet en métal froid la frôler par moment, complétement hors de sa vus par la position que le directeur imposait a son jouet. Embrassent avec douceur le cou de la louve, son souffle chaud accompagnant ensuite sa langue dans son jeu alors que ses doigts écartai encore plus ses lèvres intimes, venant saisir son clitoris pour le titiller entre son pouce et son indexe un instant…

D’un coup, arrêtant son petit jeu entre les cuisses de la créature, remontant la grosse agrafeuse  de métal que le directeur cachait a la vus de la chienne, saisissant la partie de son anatomie qu’il titillait quelque seconde avant avec cet outil, le resserrant lentement mais avec poigne, écrasent le petit bout de chaire si sensible de l’anatomie féminine dans les mâchoire d’acier glacé de l’agrafeuse. Dans un claquement caractéristique, l’outil plantas les deux pointe d’acier de l’agrafe dans la chaire de la créature la transperçant avec une horrible facilité avant de rencontré l’autre mâchoire de l’agrafeuse, repliant les deux pointe sur elle-même, martyrisant de nouveau le petit clitoris de l’hybride sous le sourire de Vladimir, qui pris a un malin plaisir a prolonger de longue seconde la pression sur l’agrafeuse avant de relâcher, reculant d’un pas en observant son œuvre, un peu de sang perlant de l’endroit meurtrie.

Laissant tomber son agrafeuse, Vladimir fit un sourire radieux a la chienne, s’avancent pour l’enlacer avec douceur, comme on le ferait avec un enfant s’étant fait mal, une étreinte sans la moindre once de malveillance ou de perversité, plaquant en douceur ses mains dans son dos avant de lui murmurer a l’oreille sur le même ton qu’un amant a sa conquête …


- Là, làà… C’est fini… C’est fini, tu as eu ta petite punition pour cet affront ainsi que ses paroles déplacer, c’est à présent oublier ma belle…  Continuons sur de bonne base car je te le promets, je ne serais pas aussi clément la prochaine fois que tu seras désobéissante ou effronté…

Continuant d’enlacer l’hybride tel un père consolant sa fille encore un petit moment avant de la lâcher avec délicatesse, retournant tranquillement vers le chariot, commencent sans empressement à chercher un objet dessus.  C’est avec un petit sourire qu’il retrouvât sa petite boite en cuir, l’ouvrant tranquillement pour en dévoiler le contenu, une seringue de verre et plusieurs petites fioles avec des étiquettes manuscrites, les frôlant de ses doigts avant d’en prendre une, plantant la seringue dedans pour tranquillement la remplir du liquide translucide. Une fois ceci fait, Vladimir redirigea ver la chienne, observant un peut les conséquences de sa punition sur elle, du sang perlant doucement le long de ses cuisses. Un petit sourire aux lèvres, l’homme tapota sur le bras de la créature, faisant ressortir ses veines avant d’y planter la seringue et d’en vider lentement le contenus dans son organisme, faisant ensuite quelque pas pour la reposer délicatement, ignorant complètement ses plaintes ou demande éventuelle. Fouillant rapidement dans la poche de sa veste posé sur la chaise, en sortant un petit flacon ouvrager en argent, Vladimir l’ouvrit d’un geste pour en verser une petite partie de son contenu entre son pouce et son indexe, se couvrant d’une petite poudre blanche que l’homme portât à son nez, aspirant la cocaïne d’un coup en observant, reniflant légèrement avant de prendre la parole, portant de nouveau ses yeux sur son jouet alors que ses pupille commençais déjà a se dilaté a cause de la drogue…

- Biiiiiien… Il est temps de vraiment commencer ma jolie… Ce que je viens de t’injecter est une drogue bien particulière… en plus de provoquer une certaine dépendance, elle provoque une paralysie quasi-total…  Mais je pense qu’il va d’abord falloir te retiré ça…

Saisissant l’agrafe plantée dans le clitoris de la chienne, Vladimir entrepris de la défaire, saisissant entre ses ongles  déformer les pattes de l’agrafe, les redressant lentement, parvenant après plusieurs seconde voir minute a libéré la créature du bout de métal. Patientant un moment, entreprenant diverse  caresse sur la chienne, laissant passer largement plus de temps qu’il n’en faut pour que la drogue fasse éffet…

Une fois parfaitement sur que la créature était paralysé, dépassant de loin par prudence la posologie habituel de la substance. Laissant glisser ses mains le long du corps de l’hybride, Vladimir détachât les chaines de l’hybride, lui laissant les bracelets de cuir au poignet comme au cheville, la laissant choir dans ses bras, l’enlacent a nouveau alors que la poupée sans force qu’était devenus la chienne s’écroulait sous son propre poids, la mettant d’un geste ample sur son épaule avant de quitté la pièce, en profitant une nouvelle fois pour lui mettre une belle mains au fesse de plus. Arpentant tranquillement les couloirs pour se rendre a un ascenseur, l’appelant et montant dedans, sortant au passage une clés qu’il glissa dans une serrure parmi les bouton de l’ascenseur, enclenchant le mouvement de l’appareil, qui plongea profondément dans les sous-sols du centre. Une fois arrêter la porte s’ouvris sur un couloir faiblement éclairé, que Vladimir parcouru d’un pas sur en sillant un petit air, s’arrêtant devant une porte ayant un verrouillage par carte magnétique. Passant son badge qui ouvrit la porte dans un bip caractéristique, laissant un air froid et charger d’une odeur caractéristique de mort.

Entrant dans la morgue, Vladimir referma derrière lui la porte, déposant son fardant sur un brancard présent dans la pièce avant d’allumer la lumière. Une fois que la lumière  blafarde des néons ce stabilisa, dévoilant le reste de la pièce au deux personne, deux murs couverts  de tiroir d’acier pour les corps, une étrange  table d’auscultation trônais au centre de la salle au carrelage blanc, particulièrement large et doté d’une… pseudo literie, un matelas, des oreillers… et un cadavre délicatement installé dedans… Celui d’une hybride au corne asse imposante, doté d’un corps plantureux mais livide au regard mort ponté dans la direction de Lorelai… Se dirigeant vers la morte, Vladimir ouvris un des tiroirs d’acier blanc de la pièce avant de la prendre en douceur dans ses bras, déposant un délicat baiser sur sa joue livide en lui parlant…


- Désolé ma jolie, mais dans l’instant, ce n’est pas toi qui profitera de mes faveurs…

Déposant doucement le cadavre dans son casier, l’y installant avec douceur  avant de le refermer. Reportant son attention sur Lorelai, Vladimir la soulevas en douceur, allant l’installer sur le pseudo lit en lui parlant d’une voix douce…

- Car c’est toi ma belle qui a attiré mon intérêt… Je pense que l’on vas bien s’amuse tous les deux et un jour, un de ses tiroirs seras le tiens…

Enlevant ses chaussures, Vladimir s’assit sur le lit à côté de l’hybride, défaisant la muselière pour venir l’embrasser sur ses lèvres figé, sa main glissant en douceur sur le ventre de la pauvre créature alors qu’elle descendait tranquillement…
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Un nouveau jouet... EmptyMar 26 Juil - 18:51
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La louve pensait enfin avoir le droit à un moment de répit qui, finalement ne vint pas. L'humain dont elle ignorait encore le nom l'observa, semblant réfléchir à la suite du programme et elle le dévisageait en retour.
Il était dur de décrire le regard que la jeune femme offrait en cet instant. Elle se sentait épuisée et lasse mais malgré cela elle faisait encore front, restant les prunelles plantés sur lui, ne détournant pas le regard. Était-ce par défi ? A moins que ce ne fut par crainte .... Au final cela ne changeait rien aux faits. Elle touchait à peine le sol et sentait ses membres qui commençaient à lui faire mal, l'alternance entre contraction, moment de paix puis stress n'aidant pas les muscles. Pourtant son visage n'affichait pas les douleurs qu'elle éprouvait, se gardant bien d'offrir le spectacle de sa souffrance à ce sadique.

Après un long moment de réflexion, le maître des lieux s'anima enfin, se dirigeant vers sa chaise et commença à se déshabiller, ce qui fit relever les oreilles de l'hybride, surprise. Elle redoutait la raison de cette action et au fur et à mesure que les couches s'en allaient, ses oreilles retombaient. Elle le regardait faire en silence, sachant que ses mots ne l'atteignaient pas à priori. En revanche elle commença à se débattre légèrement, relevant les yeux pour tester une nouvelle fois ses liens qui ne semblèrent pas décidés à la lâcher et elle cessa ce qu'elle faisait en entendant du bruit dans la direction de l'humain. Délaissant son observation de ses chaînes, l'intérêt de la louve se porta sur le sadique qui finalement avait conservé le plus gros de ses vêtements, soulageant quelque peu la jeune louve.

Cependant la première chose qu'elle vit fut ses mains. Hideuse et monstrueuse, voilà ce qui lui vint à l'esprit quand elle les découvrit. Voilà donc la raison de ses gants. en effet avec de telles mains, il devait dégoûter plus d'une femme car question drague, ça ne devait pas être très ragoutant... Son regard parcourut l'humain et elle vit qu'elle lui avait laissé un souvenir vu le pansement ornant son cou et cela la fit légèrement sourire. L'idée qu'il ait une blessure de sa part laissait un goût de satisfaction à la jeune hybride, qui pourtant n'était pas du genre à aimer faire mal à autrui. Cependant pour cet énergumène, elle s'autorisait à éprouver une certaine joie vu à quel point il était ignoble et écœurant. Elle toisa son regard vide et enfin il prit la parole, commençant à avancer vers elle. La louve coucha les oreilles en grondant, peu désireuse de le sentir à nouveau sur son corps, découvrant ses dents pourtant inefficaces à cause de la muselière.
Elle lança simplement sur un ton glacial un réplique à sa provocation.

"Tu ne me possèdes en aucun cas et quant à tes mains, tu peux te les garder, je m'en passerais sans soucis comme le reste de ta personne."

Elle fourra sa queue entre ses jambes et serra ses dernières en grondant alors qu'il commençait à la toucher. Elle serra les dents, le fixant froidement, sentant son palpitant qui s'emballait une nouvelle fois au contact de ce corps étranger sur sa peau. Elle eut un haut le coeur en sentant ses mains sur elle et frémit au passage de ses dernières. Elle ne disait mot, laissant un grondement sourd sortir de sa bouche, lourds de menaces. Comme elle regrettait de ne pas lui avoir arraché sa main la veille... Elle déglutit et se tut, continuant de le fixer avec hargne.

Il reprit la parole et elle ne l'écoutait que d'une oreille, son esprit étant bien trop à cran pour se concentrer sur sa voix. Malgré tout elle perçut la menace et son grondement se tut alors qu'elle réalisait qu'il comptait la garder. Ainsi donc son calvaire semblait prévu pour durer jusqu'à ce qu'elle trouve une faille ? Elle s'en était doutée mais l'entendre de sa bouche avait le mérite de la calmer. Elle se détendit, ignorant alors ses mains qu'elle haïssait, réfléchissant dès à présent à un moyen de quitter cet homme et de lui faire payer ses sévices. Mais pour le moment elle désirait une chose.

"Ainsi donc tu te prends pour mon maître. Et à qui dois-je obéissance ? As-tu un nom ou dois-je te trouver un quolibet à la hauteur de ton esprit déséquilibré ?"


Elle se retint de lui lancer un surnom cinglant ayant pour rapport ses mains car elle avait clairement perçu son regard quand il les lui avait présentées. Il semblait les regretter et les haïr mais la louve n'avait aucune peine à son égard. Après tout pourquoi en aurait-elle pour son bourreau ? Elle le regarda s'éloigner d'elle, se dirigeant vers son chariot, fourrageant dedans. il enfila ce qui semblait être des boules quies et continua de fourrager sur son plateau. Lore ne distingua pas ce qu'il prit vu qu'il le cachait dans son dos mais elle coucha les oreilles, sentant le piège venir mais ne pouvant l'éviter, elle se contenta de le regarder venir à elle, tout sourire.

Il l'enlaça et ce contact la répugna de plus belle. Elle tentait de se reculer en se débattant tout en grondant afin de repousser l'intrus. Une prise se fit dans ses cheveux et la louve fit résistance en couinant de douleur, espérant bien lui faire mal en lui faisant front. Mais la poigne de l'humain était encore bonne pour son âge et finalement elle fut contrainte de plier, sentant sa langue venir jouer avec sa peau. Des larmes de rages emplirent ses yeux et elle aboya, faisant des sursauts pour le faire reculer, essayant de le frapper malgré l'étreinte et ses liens. Son regard était attisé par la rage et le dégout. Cependant intérieurement, la louve mourrait de peur et de haine. Elle se refusait de servir un nouvel humain aussi abjecte et pourtant elle ne voulait pas finir "casser". Elle ne savait que faire et n'avait pas assez de temps pour y penser.

La voix de l'humain se fit soupir au creux de son oreille et le regard de la belle teigne vira dans sa direction alors qu'elle cessait d'aboyer et de gronder, lui lançant un regard acide. Elle respirait rapidement et son coeur ne semblait pas décidé à redescendre de sa folle course. Elle tremblait littéralement, sa queue serrant ses parties de plus belle quand une main se posa  sur sa cuisse, remontant lentement vers son intimité. Les yeux de la louve se plissèrent pour le fixer et elle répliqua :

"Et comment puni-t-on les hommes sans correction dans ton genre ? Aurais-je un jour le droit de te punir pour ton comportement déplacé ?"

Elle soutint son regard jusqu'à ce qu'il aille retourner jouer avec sa peau. Alors elle fixa le plafond en serrant les dents, essayant d'ignorer le jeu auquel s'adonnait ce monstre avec son corps. Pourtant elle sentait une chose froide l'effleurer par moment mais elle ne parvenait pas à l'identifier et dans sa position elle ne pouvait voir ce que c'était. Cependant ce qu'elle sentait et reconnaissait sans mal, c'était ses mains rugueuses sur son intimité. Elle serra un peu plus les dents et continua de plaquer sa queue pour gêner ses mouvements tout en contractant ses cuisses pour lui bloquer le passage du mieux qu'elle pouvait. Elle ne pouvait rien faire d'autre en dehors de se débattre, le sentant commencer à jouer avec son petit bout de chaire, la faisant gémir de colère et de peur.

La jeune louve aurait tant voulu être plus courageuse que ça. Pouvoir faire front sans un cri et sans peur... Mais elle avait connu un sadique et se rendait compte que cet homme dépassait celui qu'elle avait connu. Il n'usait pas des mêmes bassesses et ne savait donc à quoi s'attendre en dehors d'un viol probable voir même de plusieurs... Mais soudain elle sentit alors le métal froid sur ses parties puis vint alors une douleurs violente qui la fit hurler de douleur, son corps se crispant d'un coups, cessant alors tout mouvement.
Son esprit se vida de ses pensées, seule subsistait cet éclat violent qui lui déchirait l'entre jambe et qu'elle évacuait en un cri déchirant qui s'éteignit après de longues secondes alors que l'humain se reculait pour admirer son œuvre.

La louve, elle, se laissa retomber mollement, le corps secouée de tremblements, les yeux emplis de larmes de douleur. Elle ne réalisait pas encore, restant amorphe alors que son bourreau revenait vers elle en l'enlaçant, lui murmurant d'une voix douce des paroles réconfortantes. Lore ne tiqua pas, encore sous le choc. Son clitoris était le centre d'un brasier qui remontait jusqu'à son ventre, pulsant au rythme des battements de son coeur qui semblait s'être calmé.

Peu à peu elle reprit contenance, cessant de pleurer. Était-ce la douceur de l'humain qui l'y aider ou cette conviction au fond d'elle que rester ainsi ne l'aiderait en rien ? Peut être un peu des deux. Elle ressentait un profond abattement et ne dit rien, lui jetant un regard humide et douloureux. La haine avait disparu de ses yeux mais son coeur lui, en était emplis. Ses prunelles émeraudes lui offrait cependant une once de dégoût à son égard. D'autre part elle venait de comprendre que l'humain était sensible à ses piques d'où cette sanction particulièrement atroce. Il semblait être le genre d'homme qui aimait qu'on le caresse dans le sens du poil. Peu à peu elle brossait son portrait. Un humain violent, colérique et sadique. Il semblait aimer jouer avec les hybrides de bien des manières mais quelles étaient ses limites à ses sévices, là était toute la question...

Il se détacha enfin d'elle après qu'elle eut retrouver son calme. Elle ne pleurait plus et ne se débattait plus en le sentant contre elle. Elle se contenta de fermer les yeux, les oreilles basses, la queue tombante, abandonnée à son sort, ignorant presque son bourreau alors qu'il s'éloignait d'après les bruits de ses pas. Elle en profita alors pour laisser son esprit dérivé loin de la douleur comme elle avait appris à le faire avec son précédent maître. Elle devait le remercier pour lui avoir offert cet atout qui serait sans doute bénéfique face à ce monstre. Elle essayait alors de repousser la douleur, serrant les dents, inspirant et expirant doucement, ne ressentant plus qu'une pulsation et une chaleur ténu en ce lieu si fragile.
Alors elle perçut les pas revenir vers elle et rouvrit les paupières, affichant un air las à l'humain. Elle ne tiqua pas en voyant la seringue et ne fit aucun mouvement pour se débattre comme si elle n'espérait plus de victoire en ce lieu. Y'avait-il eu une victoire pour elle au moins ? Peut-être mais rien de concluant au final...

Une fois la piqûre faite, il s'éloigna et chercha un objet dans sa veste qui, après quelques secondes de recherche se révéla être un flacon. La louve l'observa faire, se doutant de ce que c'était même si elle n'en avait jamais vu auparavant. Alors qu'il prenait sa dose elle sentait son corps qui l'abandonnait peu à peu. Son corps s'affaissa  alors que Sexy Hands  reprenait la parole, le regard dilaté par sa drogue. La louve tiqua sur le mot dépendance et lâcha alors d'une voix où se mêlait incompréhension et horreur.

"Paralysie quasi-totale ? comment ça ?!"

Elle tenta de bouger mais son corps semblait ignorer ses demandes alors que l'humain venait vers elle, la libérant enfin de sa prison. La liberté lui tendait les bras et son corps lui était aux abonnés absents. Elle frémissait de colère et de désespoir. Aurait-elle donc un moment de liberté entre ces mains ?! Elle était désormais qu'une poupée de chaire contre cet homme. Elle aurait été morte que ça n'aurait pas été bien différent... Il la mit sur son épaule et s'ensuivit une tranquille descente aux enfers sur un air guilleret chanté par l'humain. La situation aurait pu la faire rire si elle n'avait pas cette violent envie de vomir tellement elle était dégoûtée et apeurée.

Soudain, ils semblèrent enfin arriver là où le désirait l'humain et alors qu'il entrait dans la pièce, la louve perçut une odeur qui la fit pousser une infime plainte animale. Elle voyait pleins de portes de métal et se doutait de ce qu'elles renfermaient. Alors qu'une furieuse envie de fuir la prenait, ce fut à ce moment là que la Momie la posa sur ce qui semblait être une civière ou un truc du genre. La louve put enfin observer la pièce sous un meilleur angle et dieu sait qu'elle le regretta en découvrant un cadavre posé sur une table ou plutôt un genre de lit mortuaire. Elle ravala une plainte, comprenant désormais où était la limite de son tortionnaire. Elle sentit de nouvelles larmes poindre à ses yeux et les ferma, n'osant en regarder plus.

Elle l'entendit cependant parler à la morte et perçut ses bruits de pas ainsi que le bruit d'une porte qu'on ouvre puis qu'on ferme en plus d'un son de tiroir métallique. La jeune hybride s'imaginait déjà à la place de sa congénère, fixant le plafond de ses yeux blancs mais pourtant son heure ne semblait pas encore venue... à moins que...
Il revint vers elle et elle rouvrit les yeux, terrifiée, sentant sa bouche trop molle pour parler pour le moment. Il la prit et la posa à la place de la morte et la louve sentit un frisson secouer sa peau déjà parcouru par la chair de poule. Il faut dire que l'air était plus frais qu'en haut et qu'ici l'ambiance était bien moins plaisante. L'hybride regrettait presque ses entraves et la pièce qu'ils venaient de quitter. Cependant elle ne pouvait le dire, même si son regard devait suffire à le comprendre.

Elle vit alors son agresseur qui retirait ses chaussures, s'asseyant auprès d'elle. Elle sentait le poids de ce dernier auprès d'elle mais ne pouvait agir malgré son esprit qui lui ordonnait de faire quelque chose. Elle ne pouvait que le regarder faire, la libérant de sa dernière entrave puis se penchant lentement vers elle, venant déposer un baiser sur ses lèvres chaudes au coeur de ce linceul glaciale et l'hybride ferma les yeux, horrifiée d'être inerte.
Elle sentait la main de l'humain sur son ventre qui descendait peu à peu alors que le coeur de la louve s'emballait à nouveau comme sa respiration malgré l'injection. Son corps ressentait mais ne pouvait réagir. Qu'y avait-il de pire que ça ? Ne rien pouvoir faire et se contenter d'attendre que l'orage passe. C'était le pire des supplices pour elle. Pourtant elle ne pouvait rien y faire. Elle ne se sentait pas capable de parler, ne pouvant que pousser des plaintes et des gémissements ou des grondements sourds. Aussi ferma-t-elle simplement les yeux, priant pour que le supplice ne s'éternise pas.
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Un nouveau jouet... EmptyDim 2 Oct - 13:38
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Vladimir était tranquillement installer dans son grand fauteuil Louis XV, sa tête posé en arrière et les yeux mi-clos, un petit sourire de satisfaction au lèvre alors  qu’il faisait tourner dans son grand verre a vin en cristal un vin rouge sombre, presque noir…  Sa tenue négligé contrastait nettement avec ses habitude, un pantalon a pince enfilé a la vas vite, ses gants et une chemise au col largement ouvert, en fait, seul la moitie basse du vêtement était boutonné laissant entrevoir son torse torturé par les vielle blessure le recouvrant. Portant à sa bouche le verre en rêvassant a sa folle journée, l’horloge indiquant déjà que l’heure du diner approchais grand pas d’une sonnerie caractéristique de ses vielle mécaniques à balancier des siècles passés alors que sa mains libre se glissait doucement dans le panier pour chien a côté de lui, venant caresser une tête garnis de cheveux blanc. La louve a qui appartenais cette chevelure était d’ailleurs dans un triste état, museler et les membres solidement attacher, couverte de fluide blanchâtre et de sang par endroits, plus ou moins sécher par ailleurs, tout en dégagent une forte odeur de luxure consommé…

Et c’est en repensant a ce qui était arrivé à l’hybride que Vladimir passa la suite du temps… L’homme avait commencé en douceur pourtant, enlacent contre lui le corps inerte en descendant tranquillement sa main le long du ventre de la belle en lui roulant une pelle, passant en douceur sa langue dans sa bouche, jouant avec celle de la louve inerte un instant. Quant a sa main, elle arrivât au niveau de ses hanches, frôlant la douce peau de l’hybride qui contrastait violement avec celle torturé de sa main qui passa sur ses fesses, que leur étreinte de plus en plus intime lui permettait aisément d’atteindre, les caressant un instant avant de carrément les saisir, les pelotant  avec une envie palpable d’aller plus loin. Cessant son baiser en étreignant de plus belle le corps de la belle, Vladimir redit a haute vois dans un chuchotement ce qu’il avait soufflé au creux de l’oreille de la louve au moment où sa mains s’était aventuré sur la base de sa queue...


- … Prenons plaisir ensemble… car cela risque de duré ma jolie…

Vladimir souris reprenant une gorgé de vin avant de se remémoré la suite des caresses, le long moment passer à titiller la base de sa queue pendant que sa langue explorait le nouveau jouet du directeur, passant de son cou, a une de ses oreilles, la mordillant une seconde avant de redescendre, alors qu’il maintenait la louve drogué sur le flanc… Claquant de la langue, l’homme se rappela avec délectation la sensation de ses tétons qui réagissait à ses sucions et coup de langue, devenant rapidement deux petit bout de chaire dresser… Un autre détail plaisant lui revint en mémoire, une douce musique qu’il n’avait pas l’habitude d’entendre dans sa salle de jeux, celui du cœur palpitant de la belle hybride, qui battait à un rythme soutenus pour une créature immobile. Vladimir souris en se rappelant l’excitation qu’il avait ressentis a ce moment… Dans ses souvenirs, c’est à ce moment qu’il a commencé à se dévêtir plus avant… Il était rare qu’il le fasse d’ailleurs, n’appréciant pas montre ses cicatrices… Mais là, l’envie était plus forte et c’est nu qu’il était revenu enlacer la chienne qu’il avait momentanément paralysé.

Ses vielles cicatrice et brulure, certes, largement moins marquer que celle ornant ses mains, était rêche et rugueuse comparé à la douce peau de la créature dans ses bras, l’étreignant en posant sa tête sur son épaule, laissant ses mains se promener d’abord sur son dos, ensuite Vladimir se souvient d’avoir saisis ses fesses et commencer a frotter le bas ventre de la chienne sur  son membre en érection, sentant une forte envie monter en lui… L’homme se remémora qu’il avait continué ainsi un moment, profitant de la douce odeur, la chaleur et douceur que dégageait la jeune créature. C’est avec un grand sourire que Vladimir se remémora la suite, sa main venant frôler les formes de la louve ne contrebas alors que la vue de la louve dans la morgue lui revenait… Allonger sur le dos, complètement offerte a son tortionnaire qui la surplombais alors que ses long cheveux noir détacher venait caresser ses formes a chacun de ses mouvement, contrastant avec les poil blanc de la louve. C’est dans cette position qu’il se présentât devant son intimité, venant la prendre lentement d’assaut en la maintenant par les hanches. Le maitre des lieux se remémora avec délectation cette sensation, pénétrant lentement et profondément, restant dans cette position un instant avant d’imposé des vas et vient a son jouet tout en commençant a laisser un instinct plus primaire prendre le dessus…

Accélérant le rythme, mordant, griffant, léchant par moment le corps qu’il possédait sans retenus. Par la suite, l’homme s’était retiré un instant, maculant dans un premier orgasme l’hybride de son sperme sans parvenir a se calmer pour autant ni a perdre sa vigueur…  Par la suite, le directeur avait retourner  et enlacer contre lui sa poupée de chaire, serrant fermement la louve contre lui en lui chuchotant quelques mots…


- Premier round… J’espère que tu es prête pour la suite…

A ce moment, l’homme vient lui mordre le cou, juste asse pur qu’un peu de sang s’écoule de la morsure alors qu’une de ses mains guida son membre qui n’avais pas perdu en dureté entre les cuisses de la pauvre chienne. La pénétrant une nouvelle fois, il se remis a la prendre sans la moindre  douceur, laissant ses mains parcourir son corps, la pelotant avec  force  en finissant en une levrette violente où les fesses de l’hybride venait percuté ses hanche dans un claquement caractéristique a un rythme élevé. Vladimir était incapable de se rappeler combien de temps il avait tenus, probablement longtemps avant de prendre un pied fou en elle, la remplissant de son liquide chaud… La seul chose dont il était certain par la suite, c’est que la drogue l’avait empêché de ressentir la moindre fatigue comme de débander et qu’il avait continué son viole encore un très long moment, venant sur elle encore plusieurs fois…  La seul chose dont il était certain dans le tourbillon de souvenir embrumé par la drogue et le plaisir c’est la façon dont il avait terminé…  Tenant  fermement par les cheveux la tête de la chienne qu’il avait agenouiller au sol, il se rappela clairement qu’il lui avait fait faire une parodie de fellation, se branlant dans sa bouche en la forçant gouter au mélange de fluide intime des deux protagoniste ainsi qu’a un peu de sang avant de venir une dernière fois, dans un petit râle, maculant la gorge, la bouche comme le visage de sa soumise.  Restant immobile quelque seconde lorsqu’ une sonnerie retentis, signalant a l’homme qu’il lui restait plus tres longtemps avant que son jouet ne puisse commencer a bouger… Mais avant de faire quoi que ce soit, il se pencha pour mettre sa bouche au niveau de son oreille et lui chuchoté quelque mot d’une vois douce…

- Comme tu as pu le constater, je te possède entièrement ma jolie… Et moi, Vladimir Gribov suis ton maitre et tu resteras mon objet jusqu’à ce que je me lasse ou que tu casse…

Vladimir se souvint qu’ensuite il se mit à rire, sa vois froide résonant dans la pièce. Il hésitât ensuite un instant, allant dans un des casiers pour en sortir de lourde contrainte de cuir et attacher chaque membre inferieur et supérieur de la louve ensemble, l’immobilisant complétement au sol avant de juste enfilé quelque habit.

La suite es asse simple même si l’esprit embrumer de Vladimir ne pouvait être précis, il avait emmené jusqu’à l’ascenseur Lorelei, ou ce qu’elle était devenus, et avait rejoint Kuro qui l’y attendait, se faisant aider dans sa tâche par la jeune hybride pour s’installer dans un salon sécurisé avec la jeune louve dans un panier a ses coté… Laissant la soirée avancer, le maitre des lieux fini son verre de vin, posant délicatement le verre sur la table alors que sa main quittait la pauvre créature. Se levant en prenant la parole.


- Il faut que j’aille me reposer... Kuro… Prend soin de cette chienne, prend la dans tes quartier pour l’instant et explique lui les règle de la maison… sur ceux… A demain…

Une fois ses mot dit, Vladimir se dirigea vers sa chambre en titubant, la drogue ne faisant plus vraiment effet et la fatigue reprenant clairement le dessus en plus des courbatures…
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Un nouveau jouet... EmptyMar 4 Oct - 19:45
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Le froid la saisissait peu à peu mais pourtant rien n'avait d'importance que ce qu'elle sentait là, maintenant devant elle. Ses mains, sa peau chaude contre la sienne qui frissonnait. Son regard posé sur elle, dilaté par la drogue et l'excitation qui semblait la souiller et la pénétrer. Son odeur qui envahissait ses narines, se mêlant à celle de la morgue en un cocktail écœurant. Tous les signes étaient là et pourtant le cerveau de la louve les refusait en bloc. Non elle ne voulait pas ! Elle ne pouvait rester ainsi, figée comme une statue !  Il fallait qu'elle se défende ! Il le fallait !

Mais rien ne bougeait en elle, rien qu'un flot d'émotion. Colère, peur, haine, désespoir se mélangeait dans ses prunelles d'émeraude au fur et à mesure que l'humain l'explorait. Elle se haïssait de ne pouvoir bouger et réagir, ne devenant qu'un jouet inerte, mort. Mort, vraiment ? Non, son coeur était encore là pour hurler, tambourinant sa cage de chair pour tenter de s'enfuir. La louve ferma les yeux priant pour perdre conscience et ne plus avoir à le sentir la tenir contre lui. Son corps continuait de frissonner, tremblant aussi par moment de façon imperceptible. Qu'y avait-il de pire que ça ? Savoir qu'on allait être souillé par un salaud sans n'avoir aucune chance face à lui ? Qu'y avait-il de plus frustrant que ça ? L'orgueil de l'hybride partait en morceau à mesure qu'il avançait, susurrant à son oreille son désir de faire durer le moment entre eux.

La peur s'insinuait en elle, lui faisant oublier la douleur qui la lançait ici et là et elle rouvrit les yeux pour le voir se pencher sur elle, l'embrassant, la caressant avec une douceur odieuse, repoussante. Elle sentait son odeur à travers ses vêtements et son parfums suave. Une odeur d'homme avec des notes de sueur légères qui venait caresser son nez, s’immisçant en elle, marquant son esprit et son âme. Une odeur agréable qui aurait pu la mettre en confiance si elle ne venait pas de cet énergumène. Elle poussa un gémissement, fermant les yeux en sentant sa main venir chercher la base de sa queue. Son corps réagissait bien malgré elle et la louve ne pouvait que se détester d'être si sensible. Elle aurait tant voulu rester de marbre face à ses mains, face à lui. Mais si on lui avait appris à endurer la douleur, on ne lui avait jamais appris à subir le plaisir. Ce plaisir qui venait d'un monstre était la pire des punitions, la pire des tortures.

Elle aurait voulu se débattre mais elle ne pouvait que pleurer de désespoir et de rage devant l'inévitable, la peur au ventre. Comment cet homme pouvait-il être ainsi ? N'y avait-il pas des limites à l'horreur humaine ? Pourquoi ? Qu'avait-elle donc fait qui puisse mériter une telle chose ? Qu'est-ce qui passait dans sa tête pour agir ainsi ? Et surtout pour y prendre autant de plaisir ? Elle ferma les yeux, ne laissant que ses larmes en guise de cadeau pour ce monstre, essayant de laisser son corps où il était, préférant se créer une bulle rassurante au creux de son esprit. Mais c'était si dur. Elle le sentait, ici, là... Un gémissement sortit de ses lèvres et elle serra les paupières, essayant de se concentrer, matérialisant sa maitresse sur le voile noir. Sa si précieuse maitresse qui vint dans son halo de lumière, ses traits s'étirant en un sourire bienveillant. La voir, là dans un tel moment n'ajouta qu'à sa peine. Elle aurait tant voulu la serrer contre elle et la laisser lui caresser les cheveux en la rassurant de sa voix douce. Sa maîtresse qui s'était éteinte, lui redonnant sa liberté en l'abandonnant à la solitude. Elle se tenait là et sa voix résonna en elle en un écho lointain, revenant d'une époque révolue.

"Allons Lore, tous les hommes ne sont pas des monstres, ne soit pas si catégorique. Un jour tu trouveras celui qui saura t'éveiller et te rendre meilleure tu verras."

La louve poussa un jappement plaintif et l'image passa pour laisser place à celle de Kyle. Le jeune humain était assis et lui souriait de son air tendre et doux. Elle se souvenait de son odeur rassurante et de sa voix chaude. Elle se laissait envahir par ce souvenir qu'elle aimait et qui lui offrait un peu de courage et d'amour. Était-ce une bonne chose de faire de lui son phare dans la nuit ? Elle en doutait mais elle n'avait rien d'autre en cet instant que lui. Lui pour se superposer à cet autre homme qui la touchait sans qu'elle ne le désire et qui aller la prendre sans qu'elle ne puisse rien y faire.

Elle se concentra sur l'image de ce rabatteur au regard inquiet alors qu'elle lui disait que tout irait bien pour elle. Il avait eu tellement raison de lui dire d'être prudente.... Si elle avait su, si elle avait écouté cet humain qui lui avait offert un foyer et qui devait surement l'attendre... Mais l'attendait-il vraiment ? Pouvait-elle se fier à lui ?  Elle déglutit et l'image frémit, l’abandonnant alors qu'elle rouvrait les yeux, sentant son inquiétude revenir à la charge alors qu'elle sentait les lèvres de l'humain sur elle. Elle sentait sa respiration s'emballer et retenait ses gémissements dans sa gorges sans parvenir à détacher son regard de l'humain qui prenait possession d'elle.

*Kyle pourquoi n'était-ce pas toi ? Pourquoi était-ce lui qui allait me prendre ce que j'avais protégé pendant toutes ses années ? C'était la seule chose que j'avais pu sauver de mon premier maître et c'était un monstre pire que lui qui allait se l'approprier ! Pourquoi la vie était-elle si injuste ! ? Pourquoi !?*

Le sentir contre elle la révulsait et le voir y prendre en plus du plaisir lui retournait le cœur. Les hommes étaient vraiment des chiens en rut, tout juste bon à être castré ! Ha si elle pouvait bouger ! Elle lui aurait arraché les parties pour les lui fourrer dans la bouche avant de lui arracher la gorge de ses crocs. Son regard fixait cet homme avec hargne alors que son souffle se raccourcissait tandis qu'il la provoquait de plus belle. Sa langue se baladait comme une larve hideuse et bientôt il se déshabilla et se frotta contre elle comme un animal. Il avait si peu de respect pour les hybrides mais se rendait-il compte qu'il était pire qu'eux ? Jamais la louve n'avait vu d'hybride se comporter ainsi ! Elle préféra refermer les yeux, se forçant à ne pas pleurer une nouvelle fois d'impuissance.

Mais le pire restait à venir et bientôt elle le sentit se détacher d'elle et elle ouvrit les yeux pour le voir alors la prendre. La première chose qu'elle sentit fut de la douleur, de l'horreur. Un cri dissonant s'échappa de ses lèvres et elle ne put détacher ses prunelles figés par l’effroi et le dégout de cette scène qui la marquerait sans doute à vie. Elle sentait en elle son âme se briser devant l'ignominie humaine. Elle se sentait seule, impuissante, détruite, souillée par ce monstre sans nom. Elle le regarda faire, perdant un morceau d'espoir à chacun de ses coups de reins, faisant place à une évidence ignoble : elle ne pouvait rien faire. Rien si ce n'est attendre.

Son regard sembla s'éteindre et lentement des larmes s'écoulèrent de ses joues alors qu'un vide immense naissait au fond d'elle. La haine, le déni puis la peur et enfin l'acceptation de sa condition. Il la tenait à sa merci, ne lui laissant nul échappatoire. Il lui fallait attendre, prendre sur elle. Elle ne voulait pas se rendre, pas encore. Elle voulait juste fermer les yeux et oublier. Le laisser se satisfaire comme le monstre qu'il était puis un soir où il se croirait en sécurité elle viendrait le frapper comme la prédatrice qu'elle était au fond d'elle.

Le vide se faisait et le plaisir montait peu à peu autant du à son corps soumis au coups de bassin de cet homme qu'à une envie encore plus malsaine qui naissait en elle. L'envie de tuer, l'envie de sang. Voilà ce qui éveillait l'exitation de l'hybride. Elle ferma les yeux, s'imaginant en train d'étriper l'homme qui la prenait en cet instant, gémissant à l'idée de voir son visage tordu par la peur, frémissant en imaginant son air ahuri en sentant ses mains plongeant dans ses entrailles. Lore prenait du plaisir en visionnant son bourreau devenir sa victime .

Finalement elle ne voulait pas oublier. Non ! Chacun de ses coups, chacune de ses viles caresses, elle voulait les inscrire en elle. Elle voulait les garder comme si sa peau en avait été brûlé puis, quand ce jour promis viendrait, elle les lui rendrait en tortures et en souffrance. Elle transformerait cet homme en ce monstre qu'il était. Elle voulait le défigurer, le marquer à son tour. Elle ne voulait plus fuir comme elle l'avait fait pour son premier maître car fuir ne lui avait rien apporter ! Rien si ce n'est la rencontre de cet autre monstre... Non il n'y avait pas de possibilité de fuite avec les hommes. Il fallait juste les punir, tous, un par un. Il fallait se mettre à leur niveau et devenir soi même un monstre.

Pendant le temps qui suivit elle le laissa faire, soumise par la drogue, le regardant comme l'on regarde un insecte, observant ses traits, son plaisir quand l'angle y était propice. Sinon elle fixait un point en laissant jouer son imagination, ressentant l'humain et gémissant sous ses coups, sentant son entrejambe lui faire peu à peu mal à mesure que l'acte s'éternisait. Mais qu'importe, elle encaissait sans japper de douleur, éprouvant presque du plaisir dans la douleur, se sentant vivante, se disant que son corps réagissait enfin correctement.

Puis ce fut enfin la fin, la louve fut contrainte de se soumettre une dernière fois, à genoux devant ce mâle sans envergure, sentant peu à peu ses membres lui revenir. Elle releva légèrement la tête et avala en silence, profitant que la drogue soit moins présente dans son organisme pour passer sa langue sur son sexe en l'observant. Remarquerait-il ce détail ?

*c'est le début de ma vengeance très cher "maître". Savoure la, prend-y du plaisir car je ferais tout pour que ce soit le prélude de ta mort.*

Puis elle l'écouta déblatérer, immobile tel le jouet qu'il attendait. La prendre faisait-il de lui son maître ? Haaa que les humains sont sots ! Si tu savais à quel point elle te méprisait, tu ragerais. L'hybride fixait les portes de la morgue, se demandant combien des siennes y étaient stockées, servant de sex toys au taré qui la tenait. Avait-elle peur de finir comme elles ? Oui et non. Elle avait surtout peur de ne pas pouvoir se venger avant. Désormais c'était tout ce qui importait. Kyle n'avait pas pu la sauver et personne d'autre ne le pouvait de toute façon. Elle était déjà morte. On lui avait déjà tout pris. Désormais elle voulait juste rendre leurs monnaie à tous ses salopards. Tout et même peut être des suppléments si elle le pouvait. Il lui fallait désormais juste trouver un moyen.

Alors qu'il la soulevait pour quitter ce lieu macabre, elle ferma les yeux, le laissant faire, prise par une lourdeur peu commune. Tant de stress, tant de peur et de haine en si peu de temps. Elle était morte intérieurement. Mais elle ne voulait pas rester apathique, défaitiste. Se soumettre ? JAMAIS ! PLUS JAMAIS ! Il la pensait réellement soumise ? Grand bien lui fasse, ça lui permettrait de souffler et c'est ce qu'elle fit quand le sommeil la prit.

Ce fut une main qui la réveilla. Une main douce, chaleureuse qui lui fit presque croire qu'elle avait vécu un cauchemars. Mais l'odeur vint lui rappeler la triste vérité. Puis ses liens, lourds, intransigeants et enfin elle vit une hybride face à elle. Elle resta immobile, se laissant caresser sans bouger, les oreilles tombantes de chaque côté de son crâne. Elle se sentait sale, puante mais qu'importe. Elle écouta l'homme qui se leva et partit. Puis son regard se posa sur la petite hybride et enfin la louve daigna à bouger un peu, se redressant pour se mettre à genoux, sans détacher son regard vide de la chatte, prenant enfin la parole.

"Alors que fait-on maintenant ?"

La louve baissa ses yeux sur elle, sentant un haut le coeur la secouer à la vue de son corps souillé et frémit, fermant les yeux pour reprendre contenance. Qu'il était était dur d'être un salaud quand même. Mais elle était décidée à rester sur cette voie. De toute façon elle n'avait pas le choix si elle voulait garder sa tête. Elle savait qu'elle n'allait pas plier face à lui. Il en était hors de question. Mais pour le moment elle devait le faire croire. Se soumettre pour mieux le décevoir. Et pour se mettre le fou dans la poche il fallait déjà y coller ceux qui lui obéissaient, aussi innocent soient-ils. Aussi garda-t-elle une pose soumise, les épaules tombante, la queue basse, le regard vide. Il ne fallait donner aucun soupçon à qui que ce fut, même à ses congénères. Elle regarda la chatte, attendant une réaction de sa part, prête à la suivre en silence.

Elle ne voulait rien savoir d'elle car à quoi bon connaitre ses congénères quand l'on savait comment ils finiraient ? Froid et silencieux dans une boite de métal au sous sol ? Non elle avait déjà assez souffert face à lui, alors lui laisser une porte pour la blesser d'avantage via autrui n'était pas un luxe qu'elle pouvait se permettre. Elle avançait donc en silence, ne voulant pas lui parler, se contentant juste de lui fournir son prénom et de retenir le sien. Kuro. En dehors de ça elle observait les lieux, les gens, mémorisant ces derniers afin de mieux se repérer en cas de fuite ou simplement au cas où elle aurait à parcourir ses couloirs seule pour aller satisfaire son "maître".
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Un nouveau jouet... EmptyMer 5 Oct - 17:14
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Dans un coin de la pièce, Kuro attendait, ressemblant à une statut. Elle se faisait la plus discrète possible pour ne pas attirer l'attention de son maitre. Elle préférait qu'il s'intéresse à cette louve, au moins, elle ne subissait rien ou très peu pendant ce temps...ce qui signifiait que ses enfants étaient encore plus à l'abri. Le regard au sol, elle ne voulait surtout pas croiser celui de Vladimir, ni même celui de l'autre hybride.

Elle se souvenait parfaitement de l'arrivée de ces deux là, l'hybride sentait mauvais mais elle n'avait fait aucune remarque. Elle s'était contentée d'aider son maître à amener la chienne comme il disait, dans un salon sécurisé. Mais elle n'arrivait pas à oublier cette affreuse odeur, mélange de luxure, de peur...et puis, la peau de la louve collait à force d'être recouverte de substances.

Soudainement, la voix du maître se fit entendre. Elle leva la tête et hocha la tête.

- Bien maître !

Sa voix tremblotait un peu, comme souvent quand elle lui répondait. Elle le regarda quitter la salle avant de s'approcher de la louve, qui se redressait enfin. La jeune chatte la regarda de haut en bas, un bain ! Il lui fallait un bain ! Il fallait qu'elle soit impeccable pour le moment où Vladimir voudrait à nouveau jouer.

- On va commencer par un bain...

Kuro s'approcha et aida la louve à se relever puis à avancer. Elle l'emmena hors de la pièce, jusqu'à la salle de bain, l'aidant à entrer dans la baignoire. Il y aurait du boulot pour la rendre comme neuve, mais il était hors de question que la dénommée Lorelaï se repose réellement dans cet état.
Elle commença alors à préparer le bain, sans un mot, le plus silencieusement possible comme à son habitude. L'eau chaude remplissait petit à petit la baignoire alors qu'elle récupérait un gant de toilette, du gel douche et un shampooing. Elle s'agenouilla ensuite à côté de la baignoire, prit le jet d'eau et arrosa la tête de Lorelaï avant de commencer à lui laver les cheveux. Elle frottait tout en prodiguant un doux massage. Elle agissait par automatisme.

Une fois les cheveux fait, elle passa aux oreilles sur lesquelles elle passa un bon moment, voulant les rendre incroyablement douce ! La queue eut droit au même traitement. Pour la suite, elle récupéra le gant de toilette qu'elle aspergea de gel douche et frotta le corps de la louve...sourde aux potentielles réclamations. Elle passait partout, frottant sans se ménager. Elle voulait absolument faire partir tout ce qui lui collait à la peau...quitte à faire rougir cette fameuse peau.
Une fois qu'elle fut satisfaite après être passé partout, elle se releva.

- Je vais chercher un vêtement...

Kuro laissa donc Lorelaï dans le bain pour aller lui chercher une chemise de nuit. Quelque chose qui mettait bien en valeur les formes et ne cachait pas vraiment mais au moins, la louve aurait quelque chose sur le dos. Armé d'une serviette dans une main, et la nuisette dans l'autre, elle attendait que la nouvelle chienne de son maître sorte du bain.
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Un nouveau jouet... EmptyMer 5 Oct - 18:11
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La jeune louve empestait l'odeur de l'humain mais essayait de ne pas en faire cas. Cependant c'était difficile quand elle vit le visage dégouté de sa congénère. Sentait-elle donc si fort que ça ? Lore se le demandait mais elle préféra ne pas la questionner, après tout elle avait passé une bonne partie de la journée à subir des sévices alors l'odeur on s'y fait à la fin... comme quoi on peut s'habituer au pire...
Elle se laissa donc faire par sa congénère, appréciant quand même son aide vu la douleur qu'elle ressentait aux jambes et au bas ventre. Mais le pire c'était cette impression qu'il était encore en elle. Elle espérait sincèrement que ça allait passer car pour marcher c'était assez étrange... Elle déglutis et entreprit de marcher afin d'oublier cette sensation désagréable.

Où allaient-elles ainsi ? L'hybride allait-elle la remettre dans sa cage ainsi ? Elle ne le savait pas et au fond, elle s'en fichait. Se savoir déjà dans une autre pièce que cet énergumène lui allait déjà parfaitement bien. Mais ce fut dans une salle de bain qu'elle fut amenée. Elle regarda sa congénère et fut libérée de ses entraves, attendant la suite des événements. En l’occurrence, elle devait déplaire au fin museau de la chatte vu qu'elle dut aller dans la baignoire pour y subir une nouvelle toilette. La louve se retint à se battre contre l'hybride, se sentant trop faible pour cela, et puis à quoi bon faire une scène face à une esclave qui pourrait s'en plaindre à son maître ou qui pourrait subir son courroux ?

Aucunes esclandres ne vint donc troubler la toilette de l'hybride qui aida la neko sans rompre le silence qui s'étaient posé entre elles. La jeune louve appréciait même cet absence de parole ou de pitié. Aucun regard de travers ni aucun jugement, juste agir... Elle appréciait cela et fut presque triste que la toilette se termine. Elle observa sa congénère se relever et partir un moment tandis que la louve essorait ses cheveux et sa queue de ses mains, s'ébrouant un peu avant d'observer les lieux, sage.

Kuro revint alors et Lorelaï quitta enfin le bain en prenant la serviette des mains de la chatte en remerciant cette dernière avant d'entreprendre de se sécher. Elle s'appliqua bien, savourant le fait de faire enfin quelque chose seule sans avoir d'autres mains sur elle. Reprenant un peu d'entrain, elle demanda même à sa congénère :

"Excuse moi mais puis-je avoir un peu de nourriture, je n'ai pas mangé depuis un moment.... Ou me dire où je peux en trouver et j'irais voir ce qu'il en est ?"

L'idée de partir seule à la découverte de ces lieux la tentaient mais Kuro lui coupa bien vite l'herbe sous le pied et la devança en laissant sa chemise de nuit sur un meuble avant de s'éclipser à nouveau pour aller lui chercher de quoi lui remplir le ventre. Lore fit la moue mais ne contesta pas, préférant garder pour elle son orgueil. Elle savait ce que ça coutait ici d'avoir de la répartie alors autant se taire.... Elle acheva donc de s’essuyer puis enfila la chemise de nuit, profitant d'être seule pour afficher son dégoût envers le vêtement. Sérieux comment des femmes pouvaient porter ce genre de chose qui ne servait strictement à rien. Ça ne cachait rien et ça n'avait même pas le mérite d'être chaud... Autant être nue dans ses conditions... En plus avec sa maladresse, la louve craignait de déchirer le fin tissu quoique c'était une idée si elle voulait se débarrasser de cette chose... A voir... Elle plissa du nez mais en entendant un bruit de pas, elle se crispa et baissa la tête, ne tenant pas à afficher quelque expression que ce soit si c'était l'autre fou. Cependant ce n'était que Kuro qui revenait et l'hybride se détendit un peu, la suivant à nouveau en prenant la nourriture qu'elle lui tendait sans afficher la moindre réaction, se contentant de manger en silence, écoutant les possibles remarques ou conseils de sa congénère. Cependant alors qu'elle arrivait dans une espèce de salon, une odeur lui parvint ou plutôt deux. La louve posa ses yeux sur la jeune femme et son visage se fit interrogatif.

"Tu as des petits ?"

La surprise étaient visible dans les prunelles de la louve mais elle n'osait pas vraiment y croire. Comment cette hybride pouvait-elle avoir des petits avec un tel maître et surtout était-ce les "siens" ? A l'idée que la pauvre chatte ait subi les mêmes sévices qu'elle, la louve sentit son coeur se serrer. Surtout quand elle envisagea l'idée d'avoir des petits de cet énergumène. Elle déglutit, attendant la réponse de la neko puis continua de la suivre jusqu'à une chambre où elle s'allongea, la tête pleine de questions et surtout avec une boule au ventre à l'idée d'être un jour pleine de "Lui". C'est sur ces idées noires que l'hybride s'endormit assez rapidement cependant. Il faut dire que la veille et la journée n'avait pas été des plus plaisante et que la suite serait même sans doute pire alors autant prendre des forces là où l'on pouvait. Après tout elle avait un nouveau but à peaufiner et pour cela il lui faudrait toutes ses capacités.
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