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 -18 Flash-Back | Que les oiseaux s'envolent... feat. Candide

Hybride F - Sauvage
Hybride F - Sauvage
Rakuen
Age : 34
Localisation : les bois
Emploi/loisirs : combattre dans les arènes
Multi-Compte : Cheyenne & Kaya
Profil : MP : Email :
-18 Flash-Back | Que les oiseaux s'envolent... feat. Candide EmptyJeu 13 Déc - 22:22
Rakuen
Le soleil avait fait place à la lune et l'envie de crier à elle te tenait à cœur. Déjà, tard, tu t'étais éloignée du village des hybrides, cet endroit fort agréable que tu avais rejoint après avoir quitté il y a une semaine de cela, Kali et ses révoltés. Tu semblais t'y plaire ou presque... Tu redoutais à chaque instant que cette liberté, dont tu rêvais, sois bafouée... Toi qui n'aimais recevoir d'ordre de personne. Toutefois, le village comptait d'un chef ; une personne au-dessus de toi... Et cette idée ne t'arrangeait guère.

Le village était une protection et... un amusement. À vrai dire, tu avais récemment trouvé dans les bois, une cabane en ruine... et cette dernière, te donnait déjà le chemin d'un futur à venir... Tu avais été habitué à la solitude et le village ne te manquerait sans doute pas ou... Peut-être bien à cause d'une seule et bonne raison ; les proies. Tu étais avide de luxure et quelques demoiselles avaient déjà eu affaire à tes assauts.

Et justement, tu repensais à cette jeune hybride que tu avais récemment "dévorée", un sourire s'affichant sur tes lèvres par satisfaction. Plongeant l'une de tes mains dans ta poche, tu attrapas alors un paquet de cigarettes ou le paquet présentait de viles images qui pourtant, ne t'effrayait guère. Couvrant le souffle du vent avec l'une de tes mains couvertes de mitaine, c'est le feu d'un vieux briquet trouver à même le sol qui embrassa la flamme de tes poumons assombris de goudrons.

Recrachant la fumer par satisfaction, tu pénétrais alors dans le village où beaucoup de villageois dormaient déjà. Quelque hybride montait la garde et l'odeur du chef du village te laissait entendre que ce dernier, n'était pas bien loin... Tu ne t'attardas cependant pas à ce détail, laissant finalement la cigarette tomber au sol, écrasée sous tes boots de cuir noir.

La langue caressant tes lèvres sèches, tu avanças alors en direction des diverses cabanes, dont celle que tu habitais actuellement, mais... quelque chose de rose ou plutôt une personne à la chevelure rose attira ta profonde attention. Un sourire au coin des lèvres, la faim entre les cuisses tu t'approchas d'autant plus de la jeune "demoiselle", ta vision nocturne te permettant de la voir d'une bien meilleure qualité que ceux possédants qu'une misérable vision diurne.

Elle était plutôt charmante, ses vêtements n'étaient pas vraiment féminins, mais... tu aimais son visage surélevé de petites lunettes. Passant derrière elle t-elle un prédateur, tu passas ta main au-dessus de son épaule, plaquant son corps contre le bois d'une cabane (sans doute la sienne) avant de coller ton propre corps contre le sien. De ton autre main, tu pris son menton entre ton pouce et ton index.

_Salut beauté... tu ne devrais pas traîner aussi tard le soir... qui sait ce qu'il pourrait t'arriver. Prononças-tu en approchant tes lèvres de son oreille, là ou une première léchouille atteint son lobe « Rentrons plutôt chez toi, il fait froid ce soir... hm » tu attrapas l'une de ses poignets dans ta main, humant le parfum de ses cheveux rose.
Invité
Invité
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-18 Flash-Back | Que les oiseaux s'envolent... feat. Candide EmptyVen 14 Déc - 22:58
Anonymous
Que Les Oiseaux S’Envolent...Rencontre Violente, Moments Sauvages
Candide
Rakuen
Encore une fois, tu n’avais pas chômé dans le village, la journée était passée assez vite, même trop vite à ton goût. Tu sortais d’une maison que tu voyais seulement les quelques derniers rayons du soleil te saluer pour laisser la lune faire son entrée dans le grand spectacle d’une journée sur Terre. Alors que tu marchais lentement, tu commençais lentement à faire un léger récapitulatif de ce que tu avais fait aujourd’hui dans le village. Comme chaque matin, tu avais dû faire une expédition, dans les alentours de ce dernier surtout, tu n’allais plus trop vers la ville des hommes.

Il s’agissait d’une mesure temporaire, il semblerait que des rabatteurs soient un peu plus présent pour le coup, il fallait donc éviter les risques inutiles pour le village. Tu avais au moins pu assurer aujourd’hui qu’il n’y avait pas de risque pour faire de l’approvisionnement comme d’habitude. Tu étais assez fier de pouvoir aider les autres ainsi, cela réparait un peu le désagrément que tu causais en venant questionner les autres sur les humains.

Oui, tu venais souvent prendre des témoignages, passant des fois des après-midi à en discuter avec les autres, pour finalement partir sur des débats des fois plus ou moins houleux sur la question. Aujourd’hui avait été plutôt calme, tu avais eu une personne âgée en face de toi, elle ne semblait pas avoir la force de trop lever la voix, ses propos étaient juste sévères de temps en temps, mais tu pouvais discuter plus sereinement, même si elle se montrait un peu borné sur sa vision. Finalement, tu ne lui en portais pas rigueur, car tu l’étais tout autant avec ta vision des plus Utopistes de l’avenir.

Tu sortais la tête de ton petit carnet, venant porter plutôt ton regard vers le ciel, remarquant pleinement l’astre lunaire qui semblait faire une course pour te rattraper, mais il s’agissait simplement de sa route pour s’élever au-dessus de vous tous, encore et encore, jusqu’à la fin de vos jours. Pourtant, tu aimais ce spectacle, il était beau, une légère lueur douce, un moment de nature sublime à regarder, tu pourrais presque te perdre dans les étoiles.

Encore une fois, tu viens te concentrer sur la réalité, donnant un peu plus de rythme à ta marche pour rentrer chez toi, le temps se fait de plus en plus frais, un léger frisson venant se glisser sur ta peau au fur et à mesure. Sur ta route, tu viens saluer les gardes et les quelques villageois encore éveillé, tu connaissais tout le monde, les seuls dont tu pouvais avoir du mal, c’étaient les nouveaux. Cependant, tu faisais un effort hors du commun pour te renseigner sur eux et au moins connaître leur prénom, car oui, comme toi, la plupart n’avaient pas de nom, une sorte de privilège que gardaient les humains.

Alors que tu devais être à une centaine de mètres de ta cabane, tu sentis une pression sur ton corps, te sentant tourner facilement, tel le poids plume que tu étais. Tu sentais alors le bois rude contre ton dos et une surface tendre et un peu chaude te coller contre ton torse. L’identification fut immédiate, tu avais une personne en face de toi, un léger moment de panique venait s’emparer de toi pour se calmer en remarquant qu’il s’agissait d’un ou plutôt d’une compatriote vu le ton de sa voix.

Pendant qu’elle te manipulait, d’une façon plutôt… Sensuelle, c’était le seul mot que tu trouvais à dire dessus, tu essayais de remettre son visage ou plutôt les quelques traits que tu percevais. Tu arrivais finalement à trouver de qui il s’agissait, Rakuen, c’était le nom que tu avais obtenu des villageois, tu n’avais pas encore eu la chance de lui parler. Tu l’écoutais alors faire, les paroles aux creux de ton oreille venant t’arracher un frisson, puis un long soupire que tu n’arrivais pas à retenir.

Tu te laissais encore faire, te disant qu’il devait s’agir de sa façon de saluer, tous les hybrides n’avaient pas la chance d’avoir eu un minimum d’éducation comme toi, elle devait avoir appris à dire bonjour ainsi, tu ne pouvais pas lui en vouloir. De plus, dans ses propos, elle semblait s’inquiéter un peu pour toi et de ta santé, elle ne te donnait donc pas l’impression d’être mauvaise, tu ne pouvais pas juger une personne sur une simple première impression.

Tu devais toi-même faire un effort, pensant alors à la saluer de la même façon qu’elle venait faire. Tu tendais alors ton cou pour porter toi aussi tes lèvres à son oreille, lâchant enfin quelques mots.

“Bonsoir… Rakuen ? Si j’ai bien retenu ton nom des autres… Merci de t’inquiéter pour moi, j’allais justement rentrer chez moi…. Et oui, tu as raison, il fait un peu froid. Du coup, d’accord, allons chez moi, je pourrais t’offrir un thé pour te remercier de ton inquiétude à mon égard”

Tu venais aussi déposer une léchouille sur son lobe, allant même un peu plus loin sans faire exprès. Tu venais te décoller du mur, te portant sur la pointe des pieds, pour aussi respirer le parfum de sa chevelure, tu faisais un jeu d’imitation pour essayer de copier ce que tu pensais être ses coutumes. Le poignet qu’elle tenait, tu faisais en sorte de le dégager pour lui offrir plutôt ta main et l’entraîner sur les derniers mètres menant à chez-toi. Sur le trajet, tu te retournes alors pour te présenter.

“Moi, c’est Candide, je te le dis, vu que je connais ton prénom, haha.”

Et te voilà finalement devant ta cabane, tu viens dégager l’entré pour laisser passer ton invité, même si elle s’était imposé de façon indirecte.

“Et voilà chez moi, tu voudrais quelque chose à consommer ?”
Hybride F - Sauvage
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Rakuen
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-18 Flash-Back | Que les oiseaux s'envolent... feat. Candide EmptySam 15 Déc - 9:59
Rakuen
La proie n'était entre tes griffes et jamais, elle ne pourrait s'en échapper. Mais qui était donc cette demoiselle à la chevelure d'apparence confiserie ? Ses yeux d'or étaient un atout de beauté suprême, comme son apparence de femme frêle et dégustable. Du bout des doigts, tu désirais parcourir ce corps du bout des doigts, y découvrir des montagnes, une forêt, un ruisseau... cette nuit serait la vôtre et quoi qu'elles en disent, tu l'avais décidé ainsi.

_Bonsoir… Rakuen ? Si j’ai bien retenu ton nom des autres… Tu hochas la tête d'affirmation, un petit sourire s'étant logée aux coins de tes lèvres. Merci de t’inquiéter pour moi, j’allais justement rentrer chez moi… Eh oui, tu as raison, il fait un peu froid. Du coup, d’accord, allons chez moi, je pourrais t’offrir un thé pour te remercier de ton inquiétude à mon égard. Prononçait-t-elle, d'une voix qui sonnait pourtant d'un symbole de masculinité.

Le rosalbin après ses paroles résonnant-elle une proie naïve se jetant dans la gueule de son prédateur, approcha ses propres lèvres auprès de ton oreille, son souffle t'arrachant un petit grognement de satisfaction. C'est alors que sa langue, chaude et humide caressa sensuellement ton lobe ne disposant d'aucun bijou. Te mordant la lèvre inférieure, tu prenais alors le geste de l'oiseau pour une invitation acceptée avec désir. Elle n'en avait cependant pas terminé, la faim te venant aux cuisses goulûment. Elle huma ton parfum qui serait désormais ancré en elle pour toujours, se décollant de ton emprise en prenant en main la tienne.

_Moi, c’est candide, je te le dis, vu que je connais ton prénom, haha. Prononçait-t-elle alors que tu hochas la tête affirmativement, te disant que ton prénom avait sans doute déjà fait le tour du village, toi qui serais un prédateur de la luxure.

Candide était un prénom assez mignon, cependant, comme toutes les personnes que tu prenais un jour en chasse, celle-ci aurait un surnom et... sucre candie te semblait approprier. Passant un coup de langue sur tes lèvres asséchées par le froid, tu commenças à suivre la demoiselle, main dans la main, jusqu'à sa cabane. Quelque minute plus tard, vos pénétrâmes à l'intérieur de son chez-soi. T'invitant cordialement, tu refermas la porte derrière vous, te servant de la clef ou du verrou pour bloquer cette dernière.

_Et voilà chez moi, tu voudrais quelque chose à consommer ? Prononçait-t-elle naïvement alors que ton sourire s'élargissait d'autant plus sur tes lèvres. T'approchant d'elle t-elle un prédateur, tu passas tes bras autour de sa taille, l'approchant dangereusement contre toi.

_Mais... c'est toi que j'aimerais consommer ma belle. Susurras-tu au creux de son oreille.

Dégageant sa chevelure d'un doigt, tu déposas tes lèvres contre sa gorge, l'embrassant, laissant tes crocs caresser sa peau frêle de temps à autre. Même avec de la résistance, tu ne la laisserais pas fuir ce soir. Descendant tes bras sous ses fesses, tu la soulevas subitement avant de chercher du regard une couche potentielle. C'est en avançant quelque pas en avant que le sucre candie termina sur son lit.

Tu avais faim et t-elle un prédateur, tu fondis sur elle. Assise sur son bas-ventre, les mains déposées à côté sa tête, la proie ne pouvait désormais plus fuir l’inévitable. Déposant tu s lèvre sur les siennes, tu attrapes ses poignets, les bloquant au-dessus de sa tête, insérant alors avec violence ta langue dans son antre. À la recherche de sa congénère, tu invitas la langue timide de l'hybride rosalbin à danser avec la tienne une valse nuptiale. Forçant le baiser, prenant ses poignets d'une seule main, tu te servie de la deuxième pour passer sous le haut de laine de la demoiselle, remontant le long de sa peau.

Les montagnes n'étaient point. Tu étais perplexe face à cela, ne s'était-elle jamais développée où... est-ce que candide était en réalité un mâle ? Des questions se bousculaient dans ton esprit mais, bien trop excitée, tu ne pouvais t'arrêter pour un détail aussi moindre. Prenant tout de même un téton entre tes doigts, tu t'amusas à le rouler entre tes doigts, venant par la même occasion rompre le baiser pour mordre la lèvre inférieure de l'hybride.

Remontant d'autant plus son haut, tu reculas ton arrière-train sur ses jambes, penchant alors le visage pour venir déposer ta langue sur son ventre, cette dernière parcourant son tronc avec appétit jusqu'à ses deux tétons. Tu l'embrassais, la mordillait, remontant de temps à autre l'embrasser - tu désirais que la chaleur monte et que tout explose de plaisir.
Invité
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-18 Flash-Back | Que les oiseaux s'envolent... feat. Candide EmptySam 15 Déc - 18:56
Anonymous
Que Les Oiseaux S’Envolent...Rencontre Violente, Moments Sauvages
Candide
Rakuen
Ton bassin te faisait tourner vers la jeune femme, du moins, tu disais jeune, mais tu avais du mal à juger de son âge. Si, tu pouvais au moins être sur d’une chose à son sujet, elle faisait bien moins de trente ans, mais tu pensais aussi qu’elle était plus âgée que toi pour le coup. Il fallait dire que tu étais encore jeune, tu avais à peine atteint la majorité selon des critères humains. Tu aurais voulu poser la question, en savoir plus sur elle, mais tu n’avais pas le temps d’exprimer plus de choses de ta bouche.

Encore une fois, la proximité était de mise avec la demoiselle, tu pouvais la sentir te faire encore prisonnier de ses mains, de son corps, ton bassin venant presque joindre le sien. Tu te laissais faire, tu n’étais pas contre un certain rapprochement, tu étais toi-même du genre tactile, mais la jeune femme était bien plus audacieuse que toi pour le coup. Tu penchais alors doucement la tête sous ses propos, un peu surpris pour le coup, tu essayais d'aligner deux idées. Tu ne venais pas penser qu’elle pourrait te manger, du moins cela serait illogique, alors que voulait-elle dire par te consommer ?

Tu sentais sa main quitter le tour de ta taille pour se perdre au bout de l’un de ses comparses dans les méches couleurs princesse qui composent ta chevelure te tirant en arrière les quelques cheveux qui venait tomber sur tes épaules. Voilà qu’elle ne te laisse, encore une fois, pas le temps d’exprimer tes questions, tes envies, tu la sens soudain possessive dans ton cou. Un léger couinement sort de tes lèvres, on ne t’avait jamais fait ce genre de chose, la sensation était nouvelle, mais pas réellement dérangeante, tu pourrais même finir par t’y habituer et aimer ça.

Tu mettais encore cela sur le fait qu’elle pouvait saluer comme ça ou que ce genre de chose devait faire parti de son éducation. Tu ne savais pas trop comment gérer, mais du moment qu’elle ne te faisait pas mal, tu préférais la laissais faire. Dans le fond, c’était agréable, alors aucune raison de s’en priver n’est-ce pas ? Puis, tu pourrais peut-être apprendre d’autre culture en l’observant, à agir ainsi sur ton corps, tu étais preneur de toute expérience.

Ton corps se dressa d’un coup en la sentant, plus exploratrice si tu pouvais le justifier ainsi. Tu la sentais te tenir par ton fessier, puis te soulever, tu te savais poids plume, mais Rakuen possédait une force que tu ne soupçonnais pas pour te lever aussi facilement. Cette fois-ci, tu te laissais faire, un peu par obligation, tu ne pouvais pas te débattre et tu étais curieux de découvrir ce qu’elle voulait faire, tu voyais cela d’un œil bien innocent pour le moment. Tu compris rapidement où tu venais de finir en sentant la douceur de ta couche.

Cependant, tu commençais à être un peu plus inquiet en la voyant se mettre sur ton bassin, c’était comme si elle ne te laissait aucune chance de fuir pour le coup. Tu voulais émettre ta légère inquiétude sur le moment, mais on déroba le moyen d’exprimer ta voix. On t’embrassait, tu étais surpris et tu commençais à te douter que cela ne faisait pas parti d’une de ses coutumes, tu le voyais dans sa façon bestiale d’agir. Tu te sens encore bloqué, comme si on allait abuser de toi et ta vertu…

Tu comprenais enfin ce qui allait arriver, tu ne pensais pas un jour vivre les fameux abus que te décrivaient les autres villageois, sauf que là, ce n’était pas un humain qui faisait ça, mais une hybride, une compatriote. Indirectement, tu avais la preuve que tous les hybrides n’étaient pas des saints, mais tu espérais le découvrir autrement. Tu laissas tomber tes idées pour essayer de bouger un peu, mais tu ne pouvais rien faire contre cela, il y avait une différence de niveau bien trop important pour ton petit corps fragile.

L’offensive de Rakuen était plus violente, tu la sentais s’immiscer en toi avec son membre humide, ta langue venant danser avec elle. Tu essayais de suivre le rythme, ta gentillesse prenant le pas, puis tu n’avais pas le choix. Pourtant, tu ne sais pourquoi tu aimais bien cela, cette sensation que cela venait créer dans ton corps, tu te sentais commencer à manquer un peu d’air, tu n’avais jamais embrassé comme ça avant, tu ne savais pas gérer la situation.

Mais tu n’as pas réellement le temps de te concentrer là-dessus, tu sens la main de la jeune femme passer sur ton corps fin, tu ne sais pas si c’était sa main qui était chaude ou ton corps qui l’était trop, mais ce contact venait t’arracher un frisson. Tu retenais alors un hoquet de surprise en la sentant s’attaquer à ce qui pouvait se comparer à une poitrine féminine, l’un de tes tétons venait se faire malmener. Tu essayais de bouger, mais tu ne pouvais rien faire. C’était étrange, elle faisait des choses étrange à ton corps, pourtant, tu sentais une certaine tension naître dans chaque fibre de ta chair, pour au final te laisser une sensation loin d’être désagréable.

Puis enfin, tu récupérais ton souffle, venant respirer lourdement, haletant un peu, tu sentais une certaine humidité à la commissure de tes lèvres. Tu te sentais chaud, la situation faisait un drôle de cocktail en toi, mais tu devais reprendre tes esprits et peut-être lui demander gentiment de te lâcher. Tu sentais une pression sur tes lèvres, tu avais l’impression d’être le jouet d’un chat ou même d’un chien. Tu n’arrivais pas à reprendre ton souffle pour le coup, comme si on avait coupé court à ton rythme.

En la voyant découvrir ton corps, tu comprenais que tu allais vraiment y passer, tu allais être violé par la jeune femme, pourtant cela semblait moins brutal que les viols dont tu avais entendu parlé. Tu avais souvenir que les agresseurs passaient directement à l’acte, là, tu avais plus l’impression qu’elle prenait le temps de te savourer ? C’était une question étrange, mais tu ne savais pas comment réagir, ton esprit était chamboulé par la tournure des évènements, mais surtout, tu commençais à aimer ça… Tu devais être tordu, bizarre, étrange dans le fond.

Sentir sa langue venait te faire frémir lentement, tu respirais encore plus bruyamment, on dirait une scène étrange, tu te sentais de plus en plus chaud, tu avais comme une envie de tendre tout ton corps pour laisser fuir cette tension. Chaque assaut sur tes petites pointes rosées venaient te faire couiner doucement, pour doucement devenir de long soupir de plaisir, tu n’arrivais pas à te reconnaître pour le coup. Et pour couronner le tout, tes lèvres passaient encore entre celle de Rakuen, comme si elle ne comptait pas te laisser un moment de répit.

Tu te trouvais véritablement étrange lorsque tu commenças à sentir ta hampe se gonfler doucement, faire converger ton sang ailleurs, une drôle de sensation, tu ne pouvais pas accepter de prendre du plaisir dans une telle scène, pourtant, les réactions de ton corps parlait d’elle-même. Sous ce mélange, tu prenais alors une impulsion pour réussir à sortir quelques mots, une voix saccadé du souffle, presque mijaurée et sensuelle.

“Rakuen… Arrête s’il te plait ! Je… Je ne veux pas me faire abuser ! En plus… C’est… C’est ma première… Fois !”
Hybride F - Sauvage
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Rakuen
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-18 Flash-Back | Que les oiseaux s'envolent... feat. Candide EmptyDim 16 Déc - 11:51
Rakuen
La proie paralysée par un soupesons de plaisir, tu t’abandonnas à lui en libérant finalement ses poignets. La chaleur commençait à enivrer vos corps, les draps se froissant sous les assauts tumultueux que tu apportais au perroquet couleur bonbonnière. Tu pouvais ressentir la frustration en elle, comme l'innocence de son âme de par vos échanges de muqueuses.

_Rakuen… Arrête s’il te plaît ! Je… Je ne veux pas me faire abuser ! En plus… C’est… C’est ma première… Fois ! Prononça l'oiseau, te faisant lâcher prise un court instant.

D'un mouvement de hanche, tu redressais ton tronc; toujours assise sur le haut de ses cuisses, un sourire marquant tes lèvres. Tu t'en était douté, Le sucre candi était encore intact de toute corruption, cela était bien un détail qui t'importait peu. Comme la mort, le sexe était inévitable dans la vie d'une personne....  tu en avais la conviction, la virginité de Candide devait t'appartenir ce soir-là.

Heureusement pour le jeune perroquet pubère, ton sadisme ne serait pas cruel à son égard. Sans même lui répondre, tu déposas les mains sur son pull de laine, le remontant doucement jusqu'à le retirer. Que pouvait bien faire la demoiselle à cet instant ? privé de toute force, de tout contrôle du soi. Lançant le pull sur le sol, tu repris ton ascension sur son corps délicat. Déposant tes mains sur ses hanches, tu les remontais doucement le long de son tronc, tes lèvres comme ta langue, découvrant ce terrain inconnu.

_Si c'est la première fois... je serais douce, ne t'en fais pas. Prononças-tu, formant alors des cercles avec ta langue autour de ses tétons durcie par un plaisir incertain.

Jouant avec ses boutons de rose, tu étais finalement remonté après une certaine lassitude sur sa gorge. Ta langue remontant jusqu'à son oreille. Tu croquas alors subitement son lobe, récupérant quelque goutte de sang s'écoulant de sa petite plaie. Te léchant les babines t-elle un prédateur se régalant de sa proie, tu te mises à sourire à Candide, caressant délicatement ses joues rosies. D'un doigt, celui-ci descendit alors dans un frôlement de sa gorge, à sa poitrine pour finir sur son bas-ventre.

Ta main glissant sous son pantalon pour toucher le tissu de son intimité, tu écarquillas alors les yeux en ressentant une bosse durcie de plaisir. Candide était si efféminée que son apparence avait elle-même tromper ton odorat qui désormais était certain de reconnaître les hormones sexuelles mâles.

_Un mâle, voyez-vous ça... Et moi qui pensais que tu étais une jolie petite femelle... mais, peu importe, tu me plais bien avec ton aspect de petite fille fragile. Murmuras-tu à son oreille avant de la lécher sensuellement.

Retirant ta main de son pantalon, tu te redressas davantage pour retirer toi-même ton haut. Terminant en soutiens-gorge, ton tatouage encore rosé de nouveauté était légèrement camouflée par le tissu de dentelle noire. Venant alors à côté de l'oiseau rose, tu retiras son pantalon avant de l'envoyer valser à côté du pull par terre.

Te plaçant alors de sorte à bloquer ses jambes avec les tiennes, tu commenças à embrasser le haut de ses cuisses ainsi que le tissu étirer par la bête désireuse de sortir de sa cage de tissus. Ta main tirant finalement sur ce dernier, le membre de Candide se présenta à toi avec l'envie certaine de tendresse. Souriante, tu désirais cependant jouer ton rôle de sadique en faisant languir l'animal pris au piège. Embrassant et léchant ses testicules, tu caressas du bout des doigts la forêt rose jonchant son plaisir.

Tu pris quelques minutes à l'embrasser, tout en contournant le point culminant de son plaisir. Tu aimais faire languir autrui, les entendre te supplier pour finalement passer à l'acte...

_Je te donne les règles... n'essaye jamais d'être dominant, ou d'essayer de dominer la situation sinon... tu pourrais en avoir mal.

Le moment était finalement venue et sans crier garde, tu pris le membre de Candide dans ta bouche. Le goût était le même pour chacun, un goût à la fois agréable et répugnant mais, tu ne t'attardas pas plus sur ce détail. Faisant des vas et viens sur son membre, tu commenças à pousser d'autant plus loin cette barre de plaisir en toi. Au creux de ta gorge, tu ne grimaças pas, tu étais maîtresse de toute situation et refuserais que qui que ce soit te domine ou prenne le dessus sur ton contrôle. Remontant finalement sur son gland, caressant ses testicules des doigts, tu plongeas le bout de ta langue dans l'urètre du perroquet rose, à l'écoute de la moindre source de plaisir.

Cessant de caresser ses testicules, tu apportas un doigt à ta bouche pour l'humidifier. Suite à cela, tu caressas l'anus de l'animal, le pénétrant avec douceur. C'est alors avec alternance que tu continuas tes vas et viens en lui comme sur son membre qui ne demandait qu'un petit plus avant d'exploser.
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-18 Flash-Back | Que les oiseaux s'envolent... feat. Candide EmptyDim 16 Déc - 22:40
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Candide
Rakuen
Et voilà, tu venais de prononcer quelques mots, mais cela semblait aussi efficace que de souffler sur de la lave, tu avais même plutôt l’impression d’avoir ravivé un brasier. Tu étais à la merci de Rakuen et le fait que tu sois encore vierge de tous vices te donnait l’impression de la motiver encore plus. Cependant, tu ne venais pas insister, comme si dans le fond, tu en espérais plus, il fallait dire que d’un côté ton cerveau étant en panique de t’être fait surprendre et d’expérimenter ça. Pourtant, de l’autre côté, ton corps était excité, tu sentais une agréable position s’emparer de toi, tu étais en plein dilemme, que le plaisir était en train de gagner en soudoyant ton corps vicieusement.

Pendant ce temps-là, ton pull venait te quitter, te mettre de plus en plus à nu devant elle, montrer ton corps à la peau de neige sous son regard brûlant. Tu avais beau avoir les mains libres à présent, tu ne venais pas te défendre, le plaisir commençant à gagner en priorité, mais surtout étant réaliste sur la chose, tu n’aurais pas la force de combattre, même sous l’effet du désespoir, de la survie, tu étais donc comme résigné et prêt à accepter cela, l’évolution de la situation allant dans ce sens-là.

Tu avais beau avoir les mains libres à présent, tu ne venais pas te défendre, le plaisir commençant à gagner en priorité, mais surtout étant réaliste sur la chose, tu n’aurais pas la force de combattre, même sous l’effet du désespoir, de la survie, tu étais donc comme résigné et prêt à accepter cela, l’évolution de la situation allant dans ce sens-là. Et toi, pendant ce temps, tu appréciais, des drôle de frisson plaisant passant dans ton échine, pour sentir encore plus ta hampe se gorger, se dresser, se sentant à l’étroit avec ce tissu sur toi. Tu avais l’impression que la sensibilité de ton corps montait, comme si cette situation de pré-reproduction venait déclencher certaines choses chez toi, te mettant sans doute dans de meilleures dispositions, mais pour qui ? Toi ou la demoiselle ?

Sa langue avait l’effet de t’exciter, continuer sur sa lancée, tu avais l’impression d’être un dépravé de ressentir de l'intérêt pour une chose aussi banale en soit. Tu couinais alors, de douleur cette fois-ci, ton oreille venant se faire malmener, tu voulais souffler ton mécontentement, mais tu n’en avais pas la force, comme si tu n’étais qu’une poupée, un jouet ce soir. C’était dégradant et pourtant, tu aimais ça, sentir ses mains et ses lèvres te parcourir, tu devais vraiment être bizarre comme personne.

Sa main, caressant ton corps du bout des doigts, venait faire monter le rythme de ta respiration, surtout en la voyant s’approcher de l’endroit le plaisir semblait s’accumuler le plus. Puis, tu laissais sortir un râle de plaisir, comme un puissant soulagement pour le coup, elle avait découvert l’état de ta verge de ses doigts, elle avait dû avoir ce qu’elle désirait, t'exciter au point de te rendre prêt, pour abuser encore plus de toi. Pourtant, tu pouvais voir le regard surpris de la demoiselle, comme si tu ne correspondais pas à ses attentes.

Quand elle évoqua le fait que tu étais un mâle, tu venais détourner le visage un peu rougi, un peu honteux, rancunier presque, tu étais mécontent qu’elle veuille abuser de toi au final, car tu étais pour elle une femme et non un homme. Pourtant, le fait que tu venais lui plaire te calmait un peu pour te faire soupirer à nouveau sous l’effet de sa langue, tu étais vraiment trop sensible, comme si ton corps était une zone érogène géante. Tu étais haletant, incapable de reprendre un rythme, tu avais presque l’impression de pouvoir suffoquer à n’importe quel moment.

Tu la voyais alors se mettre elle aussi un peu plus en évidence, dévoilant petit à petit sa tenue d’Eve et il fallait dire que tu étais étrange. Tu allais te faire abuser, dérober ta virginité et voir ainsi le corps de cette louve te faisait pulser ton membre, le gonflant d’une nouvelle salve de sang. Tu n’avais pas le temps d’apprécier plus la vue, que tu te retrouvais sans rien, du moins presque rien, elle te manipulait avec une facilité déconcertante. Tu étais un jouet pour elle et tu te laissais faire, car ton cerveau de piaf dérangé en voulait encore plus dans le fond, tu exprimais une nouvelle facette de toi que tu ne connaissais pas.

Sentir ses embrassades vers ta bête venait attiser encore plus ton brasier interne, tu allais presque finir par devenir impatient dans une telle situation charnelle. Enfin, elle venait exposer ta virilité qui se dressait fièrement, tu détournais le regard un peu honteux, ayant encore du mal à accepter cette situation. Tu la sentais alors gourmande, venant plutôt s’attaquer à ton paquet, venant faire connaître à ton corps une nouvelle fois la sensation de ses lèvres et sa langue, ta verge venant comme frétiller. Tu ne pensais pas que ce genre de chose était possible, il fallait dire que pour toi, tout allait en dehors de ce que tu avais appris sur la reproduction.

Tu sentais comme la boule de plaisir dans le creux de ton bassin grandir petit à petit, comme si les actions de Rakuen étaient la combinaison pour t’apporter ce que la science définissait comme l’orgasme. Tu écoutais à nouveau la fois de la jeune femme, qui commençait à devenir comme hypnotique pour le coup, ton esprit plongeant doucement dans une sorte de brume. Un nouveau râle venait passer entre tes lèvres, un son tout aussi aigu que le reste, ne te donnant aucune crédibilité.

Elle venait de prendre ton membre dans sa bouche, tu avais envie de dire que c’était étrange, mais c’était une chose bizarre des plus stimulantes. La boule semblait sur le point d’exploser, comme si ce simple geste avait eu un effet enivrant sur toi, te faisant totalement basculé dans la débauche. Plus elle allait plus, plus tu prenais de plaisir, mais cela n’était finalement rien comparé au moment où elle vint s’attacher à la partie la plus rosée de ton anatomie. Tu serrais les draps entre tes mains, c’était trop intense, comme si tous les nerfs de ton corps était dans cette zone.

Elle caressait une zone étrange, l’endroit d’où tu venais te soulager, mais tu ne sais pourquoi, c’était bien plus plaisant que le reste, comme si plus les choses sortaient du cadre conventionnel plus tu prenais ton pied. Sa nouvelle action venait t’arracher un cri de plaisir, un vrai, un bien fort, que tu avais essayé de retenir en mettant ta main devant ta bouche. Elle ne passait pas une zone encore étrange, ta fleur de velours et tu aimais ça, la boule de plaisir semblait à la limite de se briser. Tu sentais comme un léger fluide passer par ta verge, sans doute ce qui pouvait être qualifiée de pré-séminal.

“C’est bon… Rakuen… J’en veux plus…”

Tu devenais alors rouge de honte, ton cerveau ayant traduit ton inconscient pour toi, tu venais clairement de lancer une invitation définitive à la jeune femme, tu étais sa chose pour ce soir et qui sait encore. Tu n’avais, cependant plus le temps de te concentrer sur la chose, tu sentais quelque chose arriver. Ton corps venait comme se tendre, tu sentais ton membre pulser à plusieurs reprises et quelques choses passait en toi, comme si tu te soulageais, mais cela était plus court, plus fort. Tu crachais ton nectar entre les lèvres de ta maîtresse du soir.

Tu avais un visage des plus plaisant, un regard de luxure, un air de dévergondé sur tes traits. Tu étais alors conscient que tu venais de remplir la bouche de la demoiselle de ta semence. Tu avais donc un air tordu, te perdant en excuse.

“Je suis navré Rakuen… Je… Je n’ai pas su contrôler ça…”
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Rakuen
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-18 Flash-Back | Que les oiseaux s'envolent... feat. Candide EmptyLun 17 Déc - 14:58
Rakuen
Pour une viole, l'oiseau rose se montrait cependant sage et docile. C'était la première fois et le mâle en lui semblait vouloir s’abandonner à ses pulsions, à son instinct profond de reproduction. Il couinait, râlait... t'arrachant des petits sourires entre tes vont et viens frénétique sur son bâton divin. Toutefois, toute chose avait une fin, et l'explosion de son plaisir eut l'effet de remplir ta gueule encore active. Tu hoquetas de surprise, une goûte de son nectar dégoulinant le long de ta lèvre alors que tu t'étais retiré de lui, la bouche close.

_Je suis navré Rakuen… Je… Je n’ai pas su contrôler ça… Prononças le jeune oiseau, gêné d'avoir explosé ainsi.

La giclée de nectar fut si épaisse que tu eus du mal à l'avaler. Candide s'était simplement abandonné à son plaisir... et aucunement l'idée de lui faire payer "ça" t'était venue à l'esprit. Apportant un doigt à tes lèvres, ta gorge finit à dissiper tout le liquide, ce dernier réchauffant ta trachée devenue sèche. C'est sensuellement que tu te mises à lecher tes lèvres, t'approchant de candide pour l'embrasser, partageant son nectar encore quelque peu dissipé dans ta bouche.

_Délicieux... tu te redressas pour t'asseoir sur le lit, laissant le jeune oiseau reprendre ses esprits ainsi que son souffle. savoure ton moment de répit mon sucre candi car... je n'en ai pas terminé avec toi. Annonças-tu en souriant, te redressant alors.

Devant lui, tu commenças alors à dégrafer ton soutiens-gorge, ton tatouage désormais visible à ses yeux. Le bruit métallique de l'anneau de ta ceinture, le claquement du cuir sur ta cuisse, tout cela en observant l'oiseau qui devait encore vouloir de ce plaisir que toi seul savait offrir. Ton pantalon à terre comme le reste de tu'es vêtement, tu finis par retirer ta culotte, cette dernière humidifier de ton propre nectar. La laissant glisser le long de tes jambes, tu t'approchas alors une nouvelle fois de l'oiseau.

Assise à ses côtés, tu pris alors son membre dans ta main, recommençant à le stimuler se va et viens assez lent. Tu ne te risquais point à toucher le gland, ne voulant pas le faire exploser si vite une nouvelle fois. Approchant tes lèvres de sa gorge, tu recommençant à déposer des baisers dans son cou, puis sur ses oreilles, sans jamais accélérer le mouvement de sa masturbation.

_Met toi à quatre pattes. Ordonnas-tu à l'oiseau rose, lâchant son bâton de plaisir le temps qu'il se positionne.

Une fois positionne-t-elle un animal, tu viens déposer ton pubis contre son arrière-train, le stimulant de mouvement doux. Passant finalement une main sous son ventre, tu reprenant en ta possession son sexe, continuant de le masturber alors quand te retenant à lui de ta poitrine contre son dos, tu te mises à caresser ses ailes, elle aussi n'ayant jamais grandi.

_À ce que je vois, tes ailes n'ont jamais éclos, elles non plus... nous avons un point en commun mon sucre candi. Prononças-tu en continuant de caresser ses petites plumes.

Finalement, tout en continuant de le branler, tu apportas un doigt humidifié par ton nectar de plaisir à son anus, là où tu commenças à le pénétrer plus profondément, faisant des mouvements de hanches, des vas et viens au mouvement de ta pénétration.

Quelque minute plus tard, tu sentis Candide prêt à reprendre du service. Lâchant alors tout orifice de plaisir, tu lui donnas une claque sur le cul, lui demandant de se coucher sur le dos. Te positionnant alors au-dessus de lui, c'est avec douceur que tu frottas ton intimité trempée contre son pénis, te redressant finalement pour t’empaler sur lui. Assise, tu déposas tes mains sur son torse de gamins puberté, mouvementant tes coups de hanche avec acharnement. Te mordant la lèvre inférieure, la chaleur t'inondait, ton vagin frétillant de plaisir alors que ton clitoris criait famine.

Te penchant sur lui, ton blotti alors ton visage contre son cou que tu te mises à mordiller, frottant ton bouton de rose en éclosion contre son propre pubis, alors que ton être s'empalait toujours plus profondément, toujours plus violemment avec lui.

_Déchaînes-toi gamin... remplit-moi. Murmuras-tu à son oreille avant de la mordre à sang
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-18 Flash-Back | Que les oiseaux s'envolent... feat. Candide EmptyLun 17 Déc - 19:23
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Tu étais étrange, petit piaf, tu te sentais honteux, non pas de te faire abuser impunément, mais d’avoir déverser ainsi, la représentation de ton plaisir. Tu sombrais tellement dans le plaisir en découvrant une facette bien soumise de toi, que tu venais demander pardon pour ton incapacité lors de cette première fois. Ta compassion et ton idéalisme utopiste devaient jouer pour beaucoup aussi, mais là, tu étais l’incarnation même de la soumission et l’obéissance, une marionnette que l’on pouvait manipuler comme bon leur semble. Tu pouvais voir un peu de ta semence couler hors de sa bouche te sentant encore plus navré de ce que tu venais lui faire.

Alors même que tu avais jouis, tu sentais toujours cette boule tendu en toi, comme si elle avait réveillé quelque chose, que tu aurais à présent du mal à contrôler pour de bons. Tu ne le savais pas encore, mais Rakuen venait de créer un être qui était bon à se perdre dans le charnel. Tu parvenais tout de même à reprendre un peu ton souffle, comme si ce qui t’empêchait de respirer était parti avec l’orgasme, tu continuais tout de même de planter ton regard dans celui de la demoiselle.

Lorsqu’elle te décrocha des mots sur la qualité de ton breuvage, tu venais détourner le regard, encore plus honteux que l’on vienne te féliciter pour ça. Cependant, tu prenais plaisir à ce genre de compliment, tu n’arrivais pas à décrire ce genre de sentiment dans ta poitrine, elle te faisait vraiment des choses assez horribles et pourtant, tu y prenais plaisir. Puis enfin, tu respirais à nouveau calmement, mais le reste de ton corps ne l’étais pas, tu ne savais pas comment te comporter pour la suite, tu allais simplement continuer de subir au final.

Alors que tu sentais ton membre venir doucement perdre de sa vigueur, ce cheminement se stoppa net en observant les actions de Rakuen. Tu pouvais la voir se mettre dans la plus simple des tenues comme toi. Tu venais déglutir devant un tel spectacle, pendant quelques instants, tu admirais un cadeau de la nature, le corps humain, le corps féminin et pendant ces quelques secondes, tu ne pouvais que penser qu’elle était belle et élégante. Puis une légère douleur dans ton membre, alors que celui-ci venait à remonter, comme un tiraillement dans ta chaire.

Et comme pour aider ta hampe, tu pouvais la sentir, celle qui abusait de ton corps et de ton âme prendre ceci entre ses doigts et jouer dessus. Tu soupirais à nouveau, pas sous ce plaisir un peu douloureux, mais plus sur ses actions dans ton cou, zone toujours sensible pour toi. Tu ne sais pas pourquoi tu aimais aussi ce genre d’action, elle était plus douce que tout à l’heure, mais c’était plaisant d’être ainsi traité au final. Quel genre de créature perverse étais-tu pour aimer te faire violer et surtout ne pas réagir, tu te trouvais encore plus bizarre, mais tu finissais par oublier sur la boule de plaisir venant grandir.

Tu pouvais entendre son ordre, tu devais prendre la position d’une bête, pourquoi donc ? En plus, elle venait stopper ses attentions de violeuse sur ton corps. Pourtant, tu ne pouvais pas refuser, ni ne voulais, tu venais alors le faire un peu réticent pour le coup. La curiosité et la peur étaient tes directrices pour le coup, puis ce fut le plaisir en sentant sa peau chaude contre la tienne tout aussi brûlante. Enfin, un long soupire de plaisir sous sa main venant s’emparer de ta verge à nouveau, c’était étrange, mais agréable comme position. Quelque chose de doux venait se coller sur ton dos comme se répandre doucement, tu comprenais alors qu’il s’agissait de sa poitrine au vu de sa position.

Alors qu’elle te parlait en touchant tes ailes, tu venais cracher un râle de plaisir, tes excroissances de plumes étaient sensibles dis donc, cela te faisait de l’effet. Tellement, que ton membre venant se gonfler d’un coup sous l’impulsion de sang, venant te tirailler dans ton gland, zone encore plus sensible pour le moment. Tu la sentais venir à nouveau dans ton anus, jouant dans ta fleur de velours comme bon lui semble, tu avais l’impression que son corps venait suivre le mouvement de son doigt. Cela te gavait encore de plaisir et de douleur, ta verge palpitant à présent, gardant sa stature, mais le passage sanguin était douloureux.

Et te voilà haletant de nouveau, telle une frêle princesse à la merci du grand méchant loup. La honte venait te gaver de plaisir, tu commençais à comprendre, tu te plaisais de ce genre de moment honteux, tu étais ce genre de gens débridé, sans vergogne. Tu en voulais encore plus, tu avais presque envie de te faire suppliant en la sentant arrêter de t’humilier ainsi. Ton corps se cambra en sentant la claque sur ton fessier, tu aurais dû couiner pour la douleur, mais au contraire, tu avais aimé ça, tu désirais qu’elle recommence. Tu suivais le reste des instructions, venant t’allonger à nouveau, la voyant te surplomber comme au début. Toi qui avais peur d’elle à ce moment-là ; tu ne sais pas pourquoi, tu la trouvais sublime, une image de déesse en tête.

Tu perds alors ton souffle, tes lèvres venant s’entrouvrir comme pour laisser partir un son, mais rien qui parvenait à s’enfuir pour exprimer le plaisir qui parvenait à toi. C’était chaud, serré, agréable, comme un cocon, tu n’avais jamais senti ce genre de chose avec personne. C’était parce que c’était ta première fois ou juste car c’était Rakuen. Et la suite fût encore plus grisante, elle bougeait sur toi, ta verge venant presque palpiter un coup sur deux, te faisant mal, mais te délectant d’un immense plaisir. Tu sens alors le reste de son corps sur toi, prenant plaisir à sentir cela sur toi.

Puis tu entendais ses paroles, c’était une demande, un ordre ? Tu ne savais pas, mais tu étais curieux à présent, comme si le plaisir venait bloquer certaines fonctions essentielles de ton corps. Tu couinais, ton oreille venant subir un affront, pourtant, tu sentais les traits de ton visage se plier pour traduire du plaisir. Dans cette position, tu venais alors simplement déposer tes lèvres dans son cou, essayant de reproduire les baisers qu’elle avait fait plutôt.

Finalement, tu bougeais enfin tes mains, pour les poser sur les formes les plus rondes et accessibles, son fessier, tu posais doucement, allant à tatillons. Et tu les bougeais, comme pour masser, caresser cette zone, la découvrant à ton tour. En te mouvant, tu approchais de sa propre fleur, pensant alors que si toi, tu prenais plaisir par ici, cela devait faire la même chose pour elle. Vos corps avaient beaucoup de similitudes, tu te souvenais alors que son doigt n’était pas rêche, elle avait dû faire quelque chose pour le rendre plus glissant. Tu venais alors faire la seule idée qui te venait à l’esprit, glisser ton doigt entre tes lèvres pour l’humidifier et venir doucement forcer l’entrée en elle.

“Comme… Comme ça ? Est-ce que je fais bien les choses ?”

Tu n’arrivais plus à parler pour le coup, le plaisir devenant de plus en plus grand, tu n’allais pas tarder à craquer encore une fois.
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-18 Flash-Back | Que les oiseaux s'envolent... feat. Candide EmptyMar 18 Déc - 9:46
Rakuen
Les vas en viens de plus en plus frénétique, tu te mises à te mordre la lèvre inférieure, ton visage rougi de plaisir caché par la chevelure bonbonnière de ton partenaire. Tu grognais de plaisir à son oreille, des gémissements s'échappant de temps à autre alors que tu le mordais davantage comme le punir d'avoir entendu ton être pris tant de plaisir avec lui.

L'oiseau rose se risquait finalement à suivre ton éducation, venant déposer ses lèvres contre ton cou. Tu te mises à grogner légèrement mais, n'eut aucun mouvement violent, trop occupé à ressentir les nerfs gonflés de son bâton divin contre tes parois devenue sensible.

Le souffle saccadé, tu te mises à ralentir le mouvement alors que l'animal puberté déposait finalement ses mains sur ta croupe. Déposant une léchouille contre sa joue, c'est avec certitude que tu devinais les attentions du jeune Candide. Souriant de provocation, tu te mises à le regarder du coin de l’œil. Humidifiant l'un de ses doigts, tu sentis rapidement ce dernier se perdre dans un tout autre orifice; orifice qui chez toi, déclenchait bien trop souvent l'explosion du siècle.

_Comme… Comme ça ? Est-ce que je fais bien les choses ? Prononças t-il, sa voix tremblante de plaisir

Remontant légèrement le bassin pour lui permettre de mettre son doigt bien plus loin, tu commenças alors à t'exciter comme une furie sur son bâton de plaisir qui avait déjà reçu bien des vices.

Tes vas et viens était rapide, fort, violent... ton clitoris ne faisant que de se frotter contre lui et le haut de son ventre. Ton plaisir était certain, et c'est en ressentant un jet emmenant de Candide que tu lâchas prise. Tes griffes se refermant sur ses épaules, tu te mises à gémir dans un grognement rauque, retombant essoufflée sur lui comme une baleine échouée , les palpitations de ton être contre son intimité.

C'est quelques secondes après avoir repris ton souffle, que tu te retiras de l'oiseau, te redressant à la rechercher d'un bouteille d'eau. C'est sans demander l'avis au propriétaire que tu te servis avant d'attraper ta veste au sol, récupérant à l'intérieur de la poche, ton paquet de cigarettes ainsi que ton briquet. Attrapant une chaise, tu déposas ton postérieur dessus, les cuisses écarter à la vue du jeune garçon désormais plus très "rose". Allumant le bâton orange et blanc, de la fumer s'échappas assez rapidement dans la pièce, la parfumant d'une odeur qui t'était familière.


_Viens là mon sucre candi... prononças-tu en lui faisant un signe de doigt, tirant d'autant plus sur ta cigarette. Une fois le jeune homme en face de toi, tu te mises à le regarder de bas en haut. Baisse-toi... encore... Une fois assez baissé, tu attrapas violemment les cheveux roses du jeune piaf, lui mettant le nez face à ton intimité. Lèche maintenant... Ordonnas-tu, ta main toujours agrippée dans ses cheveux.

Te repositionnant contre ta chaise, tu écartas les cuisses pour lui laisser davantage de passage. Tu le regardais comme un esclave à qui on avait ordonné un acte sexuel à son maître. Tu étais là, fière comme toujours à tirer sur cette cigarette que tu avais désirée dès la fin de vos ébats.
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-18 Flash-Back | Que les oiseaux s'envolent... feat. Candide EmptyMar 18 Déc - 13:23
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Candide
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Tu n’avais aucune réponse pour le moment, mais tu pensais que les mouvements de son corps étaient un élément pour confirmer cela. La façon dont elle bougeait venait t’apporter encore plus de sensation, tu te sentais aussi enfoncé ton doigt en son anus avec plus de facilité et surtout plus loin, comme si sa fleur venait avaler goulûment ton doigt. Tu en étais presque heureux de la voir ainsi prendre aussi du plaisir, de venir satisfaire celle qui pouvait abuser de ton corps à présent. Étrange créature que tu étais, mais tu ne t’inquiétais plus de cette situation, tu décidais simplement de suivre ce rythme à présent, commençant à prendre uniquement du plaisir de cette forme de torture charnelle.

Le bassin de la demoiselle bougeait de plus en plus, tu continuais de bouger ton doigt en elle, caressant sa croupe, mais tu avais du mal à te retenir. Tes gémissements devenaient de plus en plus fort, comme tout à l’heure, tu sentais que tu allais bientôt craquer, souffrir, exploser de plaisir. Et ironiquement, alors que tu avais peur tout à l’heure, tu n’attendais que ça à présent, sentir à nouveau cette douleur plaisante de te sentir te vider. Tu avais aussi assimilé que cela ne venait pas gêner Rakuen que tu te vides ainsi en elle, cela semblait même le contraire. Tu étais donc comme soulagé, soulagé d’être violé et d’aimer ça.

Tu craquais de nouveau, te sentant palpiter, encore plus fort que tout à l’heure, tu pulsais, tu crachais ton nectar de vie entre les lèvres intimes de la jeune femme. Cela te faisait souffrir, ce n’était pas insoutenable, mais cela était douloureux par rapport à tout à l’heure, pourtant, tu prenais un pied pas possible, comme si cette jouissance venait t’exciter pour un futur round. Et même en mordant ta lèvre, tu n’arrivais pas à retenir un cri de plaisir. Soudain, tu sentais Rakuen se laisser aller sur toi, te serrer encore plus fort, c’était étrange, elle palpitait comme ta verge. Peut-être qu'elle aussi pouvait ressentir les mêmes vagues de plaisir que toi ? C’était sans doute ça, surtout qu’elle avait le même genre de visage que toi à présent.

Tu essayais une nouvelle fois de reprendre ton souffle, comme tout à l’heure, le poids de la jeune femme quittait à présent ton corps, tu la regardais sans véritablement bouger, tu étais à plat pour le coup. Tu te demandais ce qu’il allait arriver maintenant. Tu finis par te redresser sur le lit pour l’observer un peu plus, profitant pour la regarder, admirant son corps. Tu la trouvais toujours belle, tu étais vraiment dérangé, devenir admiratif, attiré par celle qui venait simplement de te violer deux fois et que tu avais laissé faire avec plaisir au final.

Elle était assise maintenant, elle était proche, mais loin aussi, un entre deux. Tu écoutais son ordre, venant le faire docilement, avançant doucement pour laisser ton corps ne pas te faire trop souffrir. Tu n’avais plus aucune réticence, une fois à sa hauteur, ou même plus haut au vu de sa position assise, tu l’écoutes encore. Tu terminais à présent à genoux presque en face-à-face avec son bassin, tu portais ton regard de ses yeux, à ses seins et à l’intérieur de ses cuisses. Tu voulais parler, mais tu n’en avais aucunement le temps, tu te faisais attraper les cheveux, et presque coller à ses lèvres intimes, pouvant humer son parfum le plus intimes. Son ordre était clair et tu venais l’exécuter.

Ta langue sortait alors timidement d’entre tes lèvres, passer sur sa fente ruisselante avec une certaine timidité. Petit à petit, tu venais la faire sortir un peu plus, passant d’abord du bout de la langue, puis de tout son long. En passant dessus, tu comprends que tu peux écarter un peu ses lèvres pour la savourer un peu plus, ce que tu viens faire. En remontant vers la naissance de ses lèvres, tu vois que la demoiselle réagit différemment, en bien, elle semble prendre plus de plaisir. Tu te concentres sur cette zone sentant une boule tendue, gonflée, presque palpitante de temps en temps. Une de tes mains vient alors vers cette zone, ta curiosité prenant le dessus, découvrant cette fameuse boule.

Ton membre humide se concentre de nouveau dessus, venant l’entourer lentement principalement. Tu vois que tu délaisses tout de même le reste de son corps, tu penses alors au fait de venir découvrir de nouveau son anus de l’un de tes doigts. Tu fais pendant ce temps-là un petit rapprochement entre le fait que ta verge était dans son jardin secret et le fait que tu avais pénétré sa fleur de tes comparses. Tandis qu’une de tes mains gardait son bouton visible, ta langue la couvrant de ton attention, tu bougeais ton autre main pour faire pression avec ton pouce et glisser finalement celui-ci en elle.

Tu le sortais alors, ayant trouvé comment la pénétrer, tu venais donc mouiller deux de tes doigts de ta salive, tu voulais découvrir de nouvelle chose, surtout au vu de sa réaction quand tu pris sa fente étroite. Tu mettais donc à nouveau un pouce en elle et tu forçais lentement le passage de son anus d’un premier doigt, rapidement accompagné du deuxième en elle. Tu venais bouger ainsi, faisant de simple mouvement au début, puis des mouvements ondulé, courbant tes doigts et finalement des actions circulaires.

Cela semblait faire son effet, tu sentais Rakuen palpiter de nouveau et surtout son comportement accélérait, les actions dans tes cheveux se faisaient sentir encore plus. Tu relevais alors ton regard vers elle, la regardant droit dans ses yeux pendant que tu léchais son clitoris. Tu l’abandonnais au final, pour lui décrocher quelques mots.

“J’ai été bon Rakuen ? Est-ce que j’ai le droit à une récompense ?”
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-18 Flash-Back | Que les oiseaux s'envolent... feat. Candide EmptyMar 1 Jan - 10:25
Rakuen
L'animal ailé à quatre pattes devant ce jardin d'éden, c'est avec violence qu'il y fit face. Tu avais donné un ordre, ta main empoignant toujours cette masse de cheveux couleur bonbonnière. C'est alors avec timidité, puis avec détermination que l'oiseau rose entamait ses ordres. Te mordant la lèvre inférieure, ton regard sanglant ne l'avait pas quitté. Tu t'étais mise à serrer, encore et encore ses cheveux jusqu'à relacer la pression dans une caresse. Tu étais à l'aise et, quand le jeune sucre candi rencontra ton clitoris de ses caresses buccales, un soupires de plaisir commença à s'échappa de tes lèvres.

Le sucre candi semblait pourtant avoir appris bien des choses en quelques heures... une viole qui s'était finalement fini en cours de pratique sexuelle. Des grognements de plaisir retentissant dans la pièce, tu écartas d'autant plus les cuisses quand l'oiseau rose s'invita une nouvelle fois en toi. Il était doué et retenait bien des choses... Il cherchait à se placer, à bien faire... et tu le laissais, apprendre de lui-même à faire plaisir à une femme, à cette femme que tu étais et qui le dominait.

Rapidement, un doigt entra en toi. C'est en te mordant la lèvre inférieure à sang que le plaisir commença à monter. Un doigt pénétrant ce lieu de culte, un deuxième l'accompagnait en te faisant rejeter la tête en arrière. Cette pointe de plaisir mêlée a cette pointe de douleur... tu ne pouvais résister et un gémissement bien audible indiqua à l'intéresser que tout cela fût parfait.

Tu agrippais alors une nouvelle fois ses cheveux, ressentant ce plaisir qu'il te procurait aussi bien de l'extérieur que de l'intérieur. Tout était à son comble mais, il commença à parler.

_J’ai été bon Rakuen . Est-ce que j’ai le droit à une récompense ? Prononça-t-il

_Est-ce que je t'ai autorisé à t'arrêter ?! Prononças-tu sèchement dans un grognement, empoignant d'autant plus sa chevelure pour la coller à ton intimé. Ferme là et continue

Tout en commençant des mouvements de bassin réguliers, tu invitais le jeune oiseau à continuer ce qu'il avait commencé. Il était pris au piège comme tout ceux où tu avais une fois "baisé". C'est quand il recommença à faire son travail que tu te relâchas quelque peu, laissant ta longue chevelure tomber en cascade à arrière de la chaise, cambrer à gémir de plaisir. Ta cigarette n'avait pas elle-même plus lieux d'être, tu la gardais entre tes doigts, celles-ci se consument d'elles-mêmes.

C'est bien quelques instants plus tard, prise de tout orifice que tu t’abandonnas à ton plaisir, jouissante sous ses assauts. Reprenant ton souffle, ta main empoignant toujours les cheveux de l'oiseau, tu estimais que les tendresses étaient désormais terminées. Le reculant brutalement, c'est limite si celui-ci ne fut pas jeté à terre avec quelques cheveux roses en moins.

C'est en ramassant tes vêtements au sol que rapidement, tu fus habillée comme à ton arrivée. Ta veste sur tes épaules, ta casquette sur la tête et, une nouvelle cigarette en bouche. Tu te mises cependant à l’embrasure de la porte, laissant la fumer toxique s'échappa à l'extérieur. C'est bien quelques minutes après que tu t'intéressas une nouvelle fois à l'oiseau rose.

_Habilles-toi, nous avons besoin d'un bain... prononças-tu en relevant les yeux en direction de la lune. Si tu es sage, tu auras une récompense. Ajoutas-tu en sortant finalement à l'extérieur, t'adossant contre la cabane jusqu'à que Candide arrive.
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-18 Flash-Back | Que les oiseaux s'envolent... feat. Candide EmptyLun 7 Jan - 9:06
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Candide
Rakuen
Toi qui pensais avoir été un bon garçon, une personne capable de la satisfaire et surtout envieux d’obtenir une récompense pour tes actions. Elle commençait lentement à te pervertir, de façon discrète, tu n’allais pas devenir un être sautant sur les autres selon tes envies. Pourtant, il était clair qu’une fois dans ce genre de situation, tu allais te laisser entraîner facilement et guider par ses pulsions nouvelles et plaisantes. Ta candeur, ton acceptation se jouait de toi, transformant cette motivation utopiste en une carapace pour cacher quelques noirceurs en toi, un voile pour te protéger du monde au final.

Tu réalisais alors que tu avais peut-être commencé à avoir trop confiance en toi, penser qu’au final la demoiselle était gentille dans le fond. À présent que tu n’allais plus dans son sens sur le moment, tu sentais la raideur qu’elle avait exprimé plus tôt. Ton visage découvrait encore ses lèvres les plus intimes, tu manquais presque ta respiration en te sentant aussi proche de sa peau, comme si son plaisir serait la cause de ton trépas. Le corps de la jeune femme bougeait à présent, il ne fallait pas plus à ta personne pour assimiler qu’il y avait encore du travail pour ta langue et tes doigts.

Tu revenais donc à tes gestes de bases, ta langue venant découvrir de nouveau le bouton qui trônait au-dessus de ses lèvres, tes doigts s’occupaient justement de ces dernières, glissant deux doigts en elle. Sa fleur de velours repassait entre tes comparses manquant encore d’expérience. Ainsi, tu la comblais comme avant, bougeant plus rapidement, tu voulais qu’elle soit fier de toi pour le coup, que tu rattrapes ton erreur. Car oui, tu pensais que si elle avait parlé ainsi à ta personne, c’était que tu avais mal fait, que tu ne lui avait pas donné assez de plaisir, alors qu’elle t’en avait offert deux vagues.

Le fait d’avoir ta crinière rose libre, te permettait de comprendre que tu avais bien repris le travail, maintenant, il ne te restait qu’à attendre que l’ordre d’arrêt vienne d’elle-même. Tu allais te retenir de prendre quelques initiatives à son égard, tu étais encore inexpérimenté, tu devais continuer d’apprendre. Tu retenais donc que ce n’est pas ainsi qu’elle allait atteindre le seuil du plaisir, tu analyserais ses réactions pour avoir des indicateurs de son orgasme.

Au final, tu les avais, les mouvements de son corps changeaient, sa voix exprimait clairement les choses, même ses zones érogènes te donnaient presque l’impression de palpiter quand elle atteignit le fameux septième ciel. Au fond de toi, tu étais un homme fier, tu espérais aussi recevoir ta fameuse récompense. Pourtant, tu ne reçus rien, tu étais même jeté en arrière. Tu ne savais pas quoi penser, tu faisais mal, tu payais, c’était normal, mais là, tu avais correctement, alors pourquoi encore de la violence à ton égard ? Peut-être qu’elle n’était pas si tendre dans le fond, tu n’étais sans doute qu’un objet de son plaisir.

Tu la regardais faire, du simple coin de l’œil, ne bougeant pas, comme si tu étais devenue une poupée de porcelaine. Tu attendais la suite pour comprendre ce que tu pourrais faire, tu avais une mauvaise impression en voyant cette dernière s’habillait. Tu avais comme l’impression que les choses allaient s’arrêter là, une partie de toi était comme soulagé, l’autre désirait continuer de découvrir ce genre de plaisir. Tu étais encore partagé, entre peur et luxure, une drôle de sensation qui arrivait à t’arracher un frisson.

Tu prenais tout de même une initiative, le froid commençant à peser sur ton corps, ainsi tu te retrouvais avec certains de tes vêtements sur le corps, tu restais tout de même torse-nu, tu n’en avais pas le temps. Celle qui avait corrompu ton corps t’adressait enfin quelques mots. Elle te parlait de prendre un bain, tu étais d’accord, tu pourrais le faire chez toi, tu avais le moyen de profiter d’un peu d’eau, mais elle semblait avoir encore autre chose en tête. Surtout, que tu étais prêt à la suivre de nouveau, pour la simple raison qu’elle te parlait enfin de récompense, tu aurais peut-être ce que tu méritais.

Cela te donnait quand même une réflexion, ne sachant toujours pas comment voir et penser de la demoiselle, tu restais sceptique, pourtant, elle semblait enfin vouloir t’offrir tes plaisirs. Alors qu’elle sortait, tu prenais les vêtements restant pour te couvrir complètement. La tension sexuelle était descendue, mais tu avais une boule dans le ventre, comme une frustration, comme si tu n’en avais pas assez pour le coup. Tu étais donc guidé par deux sensations, le plaisir futur et la peur présente. Tu la rejoignais donc rapidement dehors, la suivant sur le trajet. Tu avais du mal à percevoir toutes les formes extérieurs, mais tu comprenais assez rapidement en voyant quelques éléments. Tu allais au lac, elle voulait prendre un bain là-bas ? Cela risquait d’être assez froid pour le coup, mais si cela te permettait d’avoir du plaisir, tu le ferais, surtout que cela pouvait être court au final.

Une fois sur les lieux, tu n’attendais pas longtemps avant de te retrouver nu et plonger petit à petit dans l’eau, qui comme tu l’attendais t’arrachais un long frisson et un soupire. Tu n’avais pas attendu les paroles de la jeune femme pour prendre les devants, pensant que cette fois-ci, tu ne serais pas dans l’erreur, c’est bien elle qui avait parlé de bain.

“Tu viens Rakuen ? Elle n’est pas si froide que ça.”
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-18 Flash-Back | Que les oiseaux s'envolent... feat. Candide EmptyVen 1 Fév - 20:54
Rakuen
La fumer s'envolant dans l'obscurité éclairée de ses rayons lunaires, tu avais guidé l'oiseau rose jusqu'au lac. À cette époque de l'année, l'eau devait-être froide, tu en étais même certaine. Pourtant, rien ne semblait t’interrompre. Tu étais habitué à ce mode de vie après-tout. C'est une fois en face du Lac que le sucre candi n'attendit pas, retirant alors ses vêtements avant de se jeter à l'eau. Le dos contre le tronc d'un vieil arbre, tu repris en bouche une nouvelle cigarette, observant le piaf barboter-t-elle un enfant dans l'eau.

_Tu viens Rakuen ? Elle n’est pas si froide que ça. Prononças alors le jeune homme, t'es doigts retirant la cigarette que tu retenais jusqu'à présent entre t'es lèvres. La fumer s'échappant une nouvelle fois en direction de l'astre, c'est en s'approchant de Candide que tu t'accroupis vers lui.

_Me prendrais-tu pour une idiote ? Prononças-tu d'une voix sèche et sèvres avant de te redresser soudainement, écrasant ton mégot de cigarette contre un rocher et le laissant au-dessus de celui-ci.L'eau froide n'est rien... Tu soupiras alors, désespéré, mais désormais, Candide pouvait découvrir ton réel visage... toujours cependant camouflée de ce masque invisible à tous.

Retirant à ton tour tes vêtements, c'est sans aucune grimace que tu pénétras dans l'eau comme-ci cette dernière était à une température idéale. Tu ne laissais paraître aucune faiblesse et encore moins en présence d'un jeune hybride que tu avais baisé pour la première fois en cette magnifique soirée. Rentrant totalement dans l'eau, c'est en cherchant appuis contre le rebord que tu laissas ton dos retenir ton dos, tes orteils semonçant dans la terre là où tu avais finalement pied.

_C'est agréable... soupiras-tu d'aises avant de fermer les yeux, laissant t'es genoux se plier jusqu'à que l'eau atteindre ton menton, puis ta bouche... laissant simplement ton nez hors de l'eau. Ta chevelure d'ébène caressant l'eau, ton regard sanglant se déposa sur l'hybride rose.

Il avait été une proie facile et tu ne pouvais cependant pas dire "l’apprécier", il avait été un bon garçon et une récompense lui était due. Dans un raclement de gorge, tu te redressas alors jusqu'à venir jusqu'à lui. Dans son dos, tu déposas tes mains sur ses hanches, les faisant glisser jusqu'à son ventre, ton menton déposant sur son épaule. Une léchouille sur l'oreille, tu le mordis une nouvelle fois à sang, récolant le liquide aux lueurs de tes yeux.

_Qu'est-ce que tu aimerais comme récompense ... ? Murmuras-tu à son oreille avant de te dégager de lui, le goût métallique de son sang encore présent sur ton palet. Tu ne comptais pas revoir cet hybride... bien décider à quitter le village. Cette soirée-là serait sans doute la dernière et pourtant, tu ne voulais pas prévenir cet hybride de tes attentions...Voulant garder ton départ secret. Choisie bien ce que tu veux... tu n'auras qu'une récompense, pas deux, ni trois... qu'une ! Mais-je bien fait comprendre ? Rajoutas-tu en contournant Candide pour venir en face de lui Ne demande pas à me dominer, c'est hors de question
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-18 Flash-Back | Que les oiseaux s'envolent... feat. Candide EmptyMar 5 Fév - 14:35
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Candide
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Ton regard ne quittait pas la demoiselle, tu attendais de voir sa réaction ne sachant pas si elle serait brutale ou simplement brute de décoffrage comme au début. Tu ne savais plus vraiment à quoi t’attendre avec elle, tu préférais donc tenir des propos sans risque, comme cette conversation qui pouvait être comparé à la pluie et le beau temps. Tu la voyais s’approcher, la faible lueur de la cigarette et la fumée qui se dégageait d’elle donnait une version encore plus impressionnante de la demoiselle, de celle qui commençait à te formater sur certains point.

Tu l’écoutais, il semblerait que la demoiselle soit insensible à ce genre de situation, elle devait peut-être ça à ses origines animales ou sans doute par l’habitude, tu ne savais pas et tu étais sûr que la demoiselle ne répondra pas à ta question, te disant sans doute qu’il était débile de vouloir savoir. Heureusement pour toi, il semble que tu aies eus le bon comportement en plongeant dans l’eau, car ta dominatrice faisant de même pour plonger sans sourciller dans l’eau froide.

Quant à toi, tu bougeais à nouveau, pour te réchauffer lentement et garder ton corps à une bonne température, la chaleur de l’ébat précédant ayant encore un effet sur ton organisme. En la voyant couvrir une bonne partie de son corps de l’eau, tu essayais de suivre le pas pour ne pas l’offusquer et t’immerger jusqu’au cou et remonter légèrement pour que tes épaules soient à hauteur. Au moins, là, tu commençais à supporter cette eau aussi froide.

Tandis que la demoiselle semblait profiter de l’eau comme il lui semble, pour toi, tu reprenais tes mouvements, afin de maintenir la chaleur et surtout essayer d’effacer les quelques courbatures qui commençaient à naître dans ton corps, un peu partout. Tu n’osais pas reprendre la parole, préférant attendre le premier pas de la part de la jeune femme. Tu frémis doucement en la sentant soudain se coller à toi, te surprendre comme elle l’avait fait dès les premiers moments de votre rencontre, cette femme était une énigme à elle toute seule.

Tu devais cependant reconnaître, que le début de son action ressemblait à une étreinte plutôt qu’une agression ou un viol. Et voilà, un nouveau frisson suivi d’un couinement, elle avait attaqué ta gorge, t’offrant douleur pour l’instant présent. Une sensation de froid, puis de chaleur te donnait l’impression de ruisseler sur ton cou, comme si tu saignais. Au final, ce n’était pas qu’une impression, elle avait réussi à avoir jusqu’à ton sang avec sa morsure.

Ses paroles arrivèrent encore à tes oreilles, te faisant porter ta main à ton cou lorsqu’elle vient te quitter. Tu avais le droit à quelque chose, c’était bien, tu n’attendais que ça, mais que choisir. Elle te faisait alors comprendre de ne pas être trop gourmand avec elle, cela, tu l’avais compris déjà seul. Elle te rappelait aussi de ne pas vouloir la dominer, tu ne comptais pas le faire, car déjà, elle t’inspirait la crainte à présent, mais aussi, car tu manquais beaucoup trop d’expérience pour prétendre à ça.

Tu relevais doucement ton regard vers elle lorsqu’elle te fit face, la chose que tu désirais était assez simple, la seule expérience que tu n’avais pas encore pu avoir avec elle, comprenant qu’elle y prendrait du plaisir et tu pourrais satisfaire ta curiosité. Tu détournais les yeux à présent, un peu gêné de devoir demander ce genre de chose au final, tu préférais quand elle prenait les devant et te guidait.

“Euh… Hum… J’aimerais passer par tes fesses. Tu semblais adorer quand j’ai caressé et mis mon doigt par ici lorsque l’on a fait ça tout à l’heure. Je suis donc curieux de savoir ce que cela peut donner comme plaisir pour toi, si je passe par là… et aussi ce que moi je peux ressentir.”

Tu l’avais dit, tu espérais simplement qu’elle voudrait bien que tu viennes faire ça, et ne pas avoir une nouvelle colère froide de sa part.


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-18 Flash-Back | Que les oiseaux s'envolent... feat. Candide EmptyVen 8 Fév - 14:56
Rakuen
C'est face à face que l'ultimatum était lancé. Pour le sucre Candi, les plaisirs prendraient bientôt fin. Il devait choisir, sans se douter que demain, n'existerait pas. Sur toute, tu les conquêtes, aucune n'avait jamais réussi à te convaincre à une seconde fois. Tu étais ainsi, guère accessible. Tu n'avais jamais cherché l'attachement avec autrui, simplement le plaisir... Gynesexuelle, Candide avait été ce genre d'exception que tu n'oublierais jamais... ce jeune homme à l'apparence féminine, ce que ton désir sexuelle aimé tout autant.

Finalement, ouvrant le bec, le perroquet rosalbin s'exprima. Ton regard n'ayant jamais quitté le sien, tu compris assez rapidement les désirs profonds du sucre candi; une sodomie. Tu lui avais alors jusque-là, donné toute expérience charnelle et celle-ci, restait l'unique expérience pour lui. Et c'est à croire que le Perroquet deviendrais bientôt un professionnel dans la matière.

_Eh bien... le plaisir s'est installé en toi t-elle un parasite. Prononças-tu en approchant alors tes lèvres de son oreille, ton corps musclé rentrant bientôt en contact avec celui du perroquet. Si une sodomie est ce que tu souhaites... tu l'obtiendras mais, pour le moment... Laisse-moi profiter de l'eau et des rayons lunaires. Admis-tu avant de reculer brusquement de Candide.

Tu ressentais sont désire, ses envies... et sadiquement, tu choisissais d'attendre. Dans un soupir d'aise, tu t'étais alors déposé contre la surface âpre d'un rocher. Le corps baignant dans l'eau, ton museau, lui, restait en tête-à-tête avec le ciel. Tu aimais la lune pour le bien qu'elle te procurait et sont inaccessibilité, intimement, elle te ressemblait.

Ton corps commençant à frisonner, tu ouvris les yeux pour observer les alentours. Il n'y avait pas un chat... Le faire ici ou ailleurs, il n'y avait aucune importance. Te redressant, tu t'approchais alors enfin de Candide pour le prendre dans t'es bras, la chaleur revenant de vos corps l'un contre l'autre. T'es mains glissant jusqu'a son entre-cuisse, t'es lèvres se mirent à embrasser son dos, remontant jusqu'à sa nuque.

_Maintenant que tu n'es plus un bébé, excite-moi... le passage risque d'être difficile avec ton gros gabarit. Murmuras-tu à son oreille avant de prendre possession de son membre dans ta main droite, venant masser ses testicules de l'autre.

Tu n'avais pas pour habitude de coucher avec beaucoup de mâles... pour la simple raison que la plupart avaient une apparence virile, une apparence que tu n'aimais absolument pas. La sodomie, tu l'aimais... mais Candide bien portant, aurait sans doute quelque difficulté à passer sans lubrifiant, il devrait te faire mouiller un maximum... lubrifiant naturel.

Le lâchant finalement de tous côtés, tu sortis de l'eau avant de t'asseoir sur l'herbe éclairée du clair de lune. Ouvrant les bras, tu invitais alors Candide à venir contre-toi. Maintenant, il devait savoir ce que tu aimais... tu attendais de voir, pour mieux le punir en cas d'échec.
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-18 Flash-Back | Que les oiseaux s'envolent... feat. Candide EmptyLun 11 Fév - 22:15
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Candide
Rakuen
Le visage de Rakuen ne semblait pas changer, tu ne pouvais donc pas savoir si ta proposition lui convenait ou lui déplaisait. Tu avais du mal à jauger cette personne dans le fond, pourtant, tu voulais continuer de la fréquenter, elle t’avait appris quelque chose que tu n’avais encore jamais eu la chance de pouvoir tester. Et dieu sait que ta curiosité est comme une source de motivation pour toi, puis il fallait croire que le plaisir avait commencé à parasiter ton cerveau.

Soudain, tu ouvrais doucement les lèvres, montrant un air un peu surpris, ses paroles te donnaient l’impression qu’elle arrivait à lire dans ton esprit ou peut-être qu’elle était arrivée à la même conclusion que toi. Sa nouvelle proximité t’arrachait un nouveau frisson, malgré l’eau froide du lieu, son corps restait chaud et te donnait presque l’impression d’être rassurante, malgré son comportement autoritaire voir blessant par moment. Tu retenais un léger soupir en apprenant que tu allais devoir te faire patient, tu agissais ainsi, heureux d’apprendre que tu allais obtenir ce que tu désirais, faisant aussi en sorte de retenir le nom.

Par politesse, tu ne restais pas près d’elle pour ne pas la déranger dans son moment de détente, tu préférais continuer à réchauffer ton corps et contempler toi aussi la lune. L’astre était grandissant, peut-être une illusion d’optique, vu que tu ne portais plus tes lunettes dans ce bassin d’eau clair. Tandis que tu te permettais de profiter du seul astre éclairant l’endroit, tu réfléchissais au fait d’en apprendre plus sur la sexualité. Tu devrais sans doute fouiller un peu la bibliothèque ou même trouver de nouveau partenaire, à moins que Rakuen veuille encore de toi.

Tu sentais qu’elle profitait des autres sans s’attacher, cela se voyait dans sa façon de traiter les autres et aussi le fait que c’était bien une des premières fois que tu pouvais la voir dans le village. Elle devait être d’une nature solitaire, tu ne pourrais donc pas toujours lui demander de faire ce genre de chose avec ta personne. Tout d’un coup, on te sortait de ta légère réflexion, la principale intéressé se faisait sentir contre ton dos, te couvrant de douce attention sur le moment. Tu frissonnais pleinement, soupirant même bruyamment pris de surprise. Cela n’allait pas en s’arrangeant quand la demoiselle s’intéressa à ton appendice génital.

Ces paroles t’apportaient des rougeurs incontrôlées, car tu aimais l’idée de pouvoir profiter encore d’elle et aussi que ces derniers propos étaient des compliments et que tu devais être au-dessus de ce qu’elle avait rencontré ou au moins dans le haut du classement. Se faire flatter ainsi, gonflait ton ego de petit piaf juvénile. Elle s’écartait encore de toi, tu n’aimais pas ça, car à chaque fois qu’elle te faisait cela, tu comprenais de plus en plus qu’elle avait réussi à avoir une emprise sur ton esprit.

Quand elle t’invita à la rejoindre, tu ne te fis pas prier longtemps, étant même presque à courir pour profiter encore une fois de son corps. Cette position, tu la comprenais très bien, tu devais t’occuper d’elle, lui donner entière satisfaction. Une fois à sa hauteur, tu te retenais de l’embrasser, tu ne devais pas faire ça, c’est elle qui devait te donner ce genre d’affection, toi ton but était de lui donner du plaisir. Tu réfléchissais alors à comment la stimuler pour que cela soit plus facile, si cela avait été plus haut, tu aurais pus profiter de ce liquide qu’elle fabriquait.

C’était la solution sans doute, tu devrais peut-être jouer de tes doigts en elle pour récupérer ce liquide et l’appliquer plus bas ? Tu devrais essayer, espérant que cela pourrait plaire à ta nouvelle maîtresse. Très rapidement, tu te glissais jusqu’à l’intérieur de ces cuisses, sortant ton membre humide pour venir passer vers la zone gonflant sous le plaisir. Tu n’en connaissais pas le nom, mais tu avais remarqué l’effet sur Rakuen. Tu passais donc ta langue, lapant la zone de souvenir, tes doigts allant directement caresser ses lèvres les plus intimes.

Pendant que tu t’occupais d’elle, tu repensais alors à l’effet de ta langue en elle et de tes doigts en son anus, peut-être que cet endroit était bien plus semblable à son intimité que tu ne le pensais. Alors une idée te venait à l’esprit. Tu quittais son bouton d’amour, commençant doucement à lui faire découvrir deux de tes doigts, les gardant bien droit, avant de les courber, comme pour essayer de récupérer sa cyprine. Tu avais encore une main libre, écartant doucement sa croupe pour te laisser l’accès à sa rose de velours. Tu étais un peu réticent, mais si tu pouvais donner du plaisir à la demoiselle, tu le ferais avec amour. Ta langue sortait de nouveau pour laper, caresser, lécher cette zone. Ton regard remontait vers Rakuen, voulant savoir à travers le message de tes prunelles, si tu faisais bien les choses pour elle. Tu forçais un peu plus de ta langue, comme pour pénétrer l’endroit, tes doigts bougeant de plus en plus vite en elle, s’appuyant le long de ses parois.

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Rakuen
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-18 Flash-Back | Que les oiseaux s'envolent... feat. Candide EmptyMar 12 Fév - 17:24
Rakuen
L'oiseau rose désormais à ton niveau, tu t'étais mise à sourire de façon ironique, ton regard sanglant caressant le siens, à travers les rayons lunaires. Le sucre Candi, loin d'être un idiot avait connu ces deux parcelles faisant de toi, la seule et l'unique Rakuen. Un masque de douceur pour un visage bestiale... La proie qu'il était ne pouvait désormais qu’obéir et trembler face à toi et cet instinct qui ne demandait qu'à écraser la bête à plume.

Ton corps caressant la surface duveteuse de l'herbe, ce sont les cuisses écartées que tu laissais désormais libre accès au rosalbin. Tes paupières te plongeant dans les ténèbres, ce n'est désormais que des sens que ton corps jugerait des capacités de Candide.

A priori, l'oiseau s'était lancé, peu hésitant. Son souffle sur ton intimité, c'est avec délectation que tu ressentie son membre humide se déposer sur ton bouton de rose en quasi-éclosion. Un grognement de plaisir s'envolant au gré du vent, c'est en attrapant la chevelure rose de l'animal à plume que ce dernier commença à caresser ton jardin d’Éden avec douceur.

C'est en rompant le contact avec ton bouton de rose que ce dernier plongea finalement ses doigts en toi, les courbant légérement ; mais qu'était-il en train de faire ainsi ? Te mordant l'intérieur de la joue, le ressentant, tu ouvris finalement les paupières, redressant le visage pour l'observer, lui et ses idées pour ton bon plaisir. Relâchant sa chevelure, c'est alors que l'animal t'arracha un sourire satisfait.

Hésitant, mais désireux de bien des plaisirs, le sucre Candi s'en était donc allez à caresser de son membre humide une toute autre source de plaisir... C'est alors que tu croisais le regarde de Candide, ce dernier appuyant sa langue à ton entrée alors que ses doigts, loin d'êtres inactifs commençaient à t'essouffler de plaisir.

_Bien... tu es un bon garçon, continue ainsi... Prononças-tu avant de laisser ta tête retomber en arrière, sa joue caressant la surface de l'herbe alors que tes paupières te plongeant une nouvelle fois dans l'obscurité.

Tout cela était plaisant, bien trop plaisant. L'oiseau avait atteint l'une de tes zones érogènes la plus en éveille et à même de produire cette source de nectar dont tu avais besoin pour la suite de vos ébats. Son membre humide caressant ton entré et la pourfendant avec désir... Ton être se resserrant ainsi sur lui, comme pour le posséder, le garder à jamais. Tout cela, ainsi suivi de ses mouvements de poignet te harcelant de coup aussi violent les uns que les autres. Tu n'allais plus suivre... l'oiseau si prenait bien trop à merveille, tu étais à la fois contente et déçu... la punition ne tomberais jamais.

_Stop, arrête. Prononças-tu avant d'ouvrir tes paupières, regardant l'oiseau froidement avant de sourire. Tu lui avais sans doute fait peur pendant un instant mais... bientôt, il se douterait que ses actes n'étaient que bon.

Te redressant, tu plaquas alors le jeune homme contre l'herbe, venant au-dessus de lui avec envie. Tes cheveux tombant en cascade sur ton épaule, tu approchas tes lèvres des siennes, les effleurant avant de les mordiller légèrement. Ta langue jonchant alors son corps jusqu'à son membre, tu pris ce dernier en bouche. Choyé de caresse buccale, son sexe ne pouvait désormais que crier famine. Tes crocs frôlant son bâton, ce dernier quitta finalement ta bouche avant de se faire caresser dans de doux va en viens entre tes mains expertes.

C'est en ayant tout deux atteint le stade d'harmonie que tu t'assise sur le membre de candide, dos à lui. Te frottant ainsi à lui tu relevas ensuite l'arrière-train en lui jetant un regard satisfait.

_Fait toi plaisir... Annonças-tu alors, attendant de recevoir Candide en toi une nouvelle fois.
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-18 Flash-Back | Que les oiseaux s'envolent... feat. Candide EmptyJeu 14 Fév - 7:44
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Candide
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Une récompense, c’est ainsi que tu percevais les paroles de Rakuen, tu faisais bien les choses, tu apprenais bien et on te récompensait pour ça. On venait même féliciter ton imagination qui semblait plaire à la jeune femme. Dans cette position, tu ne pouvais pas sourire, mais la demoiselle pouvait voir à ton regard que tu étais pleinement satisfait par ses paroles. Tu allais donc de concert avec de telles paroles pour ta personne, ta langue sortait un peu plus pour forcer le passage de sa rose des vents. Tu t’aidais de tes doigts pour en pénétrer les prémices, ces derniers remontant donc caresser son bouton d’amour.

Autre chose te récompensait pour tes efforts, son liquide, il commençait à couler, plus que la dernière fois, c’était ton impression, il fallait dire que tu y portais toute ton attention cette fois-ci. Tes doigts avaient accéléré la cadence, tu te sentais de plus en plus confiant, euphorique de maîtriser cet art, alors qu’il y a encore une heure, tu te laissais faire, sans comprendre grand chose.

Pourtant, tu venais t’arrêter net, un mouvement sec d’appréhension par rapport à la demoiselle. Elle venait de te donner un ordre, sec, précis, tu obéissais, mais vu le ton, tu avais l’impression d’avoir commis une erreur, une bêtise, que tu allais payer à présent. Ton regard apeuré cherchait celui de Rakuen, tu devais dissiper cette légère boule au ventre qui commençait à te prendre. Son air froid n’était pas à cela, cependant la voir sourire arrivait à te calmer, elle semblait plus agréable ainsi, te faisant penser qu’elle t’avait sans doute stoppé pour une autre raison.

Tu te reculais lentement, retirant ton visage de l’intérieur de ses cuisses et tu laissais la maîtresse du moment faire ce qu’elle désirait de toi. Tu n’osais pas prendre plus d’initiatives, à moins qu’elle n’en vienne te donner l’ordre. Un petit couinement passait alors par tes lèvres, tu te retrouvais sur le sol, elle te plaquait, ses mains de chaque côté de ton corps. Même dans cette position, tu pouvais observer le corps parfait de la jeune femme, il s’agissait du premier que tu voyais, il était normal de le trouver sans défaut ou peut-être que c’était réellement le cas.

Toi qui pensais pouvoir recevoir un baiser de la jeune femme, elle jouait simplement du contact de tes lèvres, mordillant cette peau aussi rose que ta chevelure. Tu frémissais alors de sentir encore une fois sa langue, son corps marquer ta peau, ta chair. C’était plaisant, malgré son côté bestial de tout à l’heure, elle était douce sur le coup et tu trouvais cela tout aussi charmant et plaisant. Tu ne pensais pas qu’un peu de douceur pouvait aussi provoquer de l’excitation.

Voir celle qui te servait de maîtresse, dans cette position où tu pouvais avoir l’impression de dominer, user de ses lèvres pour te prodiguer mille et un plaisir, tu soupirais en boucle. Tu étais sensible après autant d’expérience et surtout pour tes premières. Il ne fallait pas longtemps pour que ta hampe se gonfle complètement et soit à la limite de palpiter, montrant clairement qu’elle était prête pour la suite, qu’elle n’attendait même que cela. La pression sur ce dernier se faisait sentir, une présence plus rugueuse, mais jouant parfaitement de ta sensibilité actuelle.

Tu finissais même par lâcher un petit couinement de plaisir, tu donnais l’impression d’être un être sans défense face à elle, alors qu’il y a quelques minutes, tu arrivais précisément à la faire gémir de plaisir à son tour. Ton corps restait immobile en voyant cette femme qui te servait de déesse pour ce soir, s’asseoir sur toi, bouger pour te faire devenir presque impatient. Tu donnais l’impression de ne pas pouvoir être rassasié, comme si tu avais attendu trop longtemps pour découvrir les bras du plaisir.

Finalement, tu observes ce que tu avais demandé, ce que l’on t’avait promis comme récompense et surtout une invitation. On t’autorisait vraiment à faire descendre ta maîtresse sur ta verge, tu avais le droit de la guider toi-même, alors que tu n’avais aucune expérience ? Tu déglutissais un peu, posant ta main sur sa croupe pour écarter l’accès à son anus. Tu la faisais descendre lentement jusqu’à ce que l’extrémité rosé de ton membre tendu touche sa rose.

Tu appuyais alors lentement, comprenant bien vite, que tu devais tenir ta verge pour la guider pleinement et ne pas la sentir se briser sous une pénétration plus rude, plus forte que la première. Tu faisais ainsi lentement, n’ayant pas envie d’avoir des réprimandes de ta maîtresse. Voilà, tu sentais ce dernier commencer à la pénétrer lentement, une fois la première partie passé, tu posais tes mains sur ses hanches, comme pour continuer de la guider, puis à mis chemin, tu décidais de faire un peu plus d’effort. Elle t’avait laissé la guider, à toi de lui montrer que tu savais être reconnaissant.

Tes coudes de chaque côté de ton corps, le seul contact avec Rakuen étant ta hampe en sa rose. Tu bougeais alors ton bassin vers le haut, terminant ainsi de la pénétrer entièrement de ta verge. Puis tu descendais et ainsi, tu répétais les va-et-vient pour elle. Bougeant lentement, pour aller de plus en plus vite au fur et à mesure, pouvant la laisser apprécier cela, sans avoir à trop bouger. Pourtant, ton souffle devenait un peu plus court, tu n’étais pas le meilleur en sport et encore moins avec ta condition frêle. Tu t’arrêtais lentement, disant fébrilement à ta maîtresse.

“Voilà… Vous pouvez profiter pleinement de moi à présent Maîtresse…”
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-18 Flash-Back | Que les oiseaux s'envolent... feat. Candide EmptyLun 4 Mar - 16:25
Rakuen
La fin approchait à grand pas et tu t'apprêtais à offrir le bouquet final de cette soirée. D'un doux grognement, tu avais laissé le sucre candie prendre le contrôle un petit instant. Loin de toi l'envie de lui laisser pleinement domination, tu étais restée au-dessus de lui, l'excitation explosant abondamment. Le bout de son plaisir rejoignant bientôt ton entre, tu te mises à grogner d'autant plus, tes ongles pénétrant la peau délicate de l'oiseau rose. Finalement, guidant son bâton en toi, c'est rapidement que tu le sentis en toi. De cette pointe de douleur et de cette pointe de plaisir, tu en étais pleinement satisfaite.

L'oiseau prenant totalement possession de ton antre, tu t'étais mordu la lèvre inférieure en fermant les yeux. Il s'était alors installé convenablement, vos corps ne se touchant presque que par l'extrémité de vos appareils reproducteurs. Donnant bientôt de petit vas et viens, ton plaisir était aux aguets. Que demander de plus ? Tu gémissais, t'en mordant presque à sang l’intérieur de la bouche. Le petit oiseau était pourtant frêle et bientôt, ses coups de reins furent quasi inexistant.

_Voilà… Vous pouvez profiter pleinement de moi à présent Maîtresse… Prononças t-il, t'arrachant un petit sourire de satisfaction.

L'oiseau avait beau être frêle et désormais à bout de souffle, mais... l'entendre t'appeler maîtresse t'excitait d'avantage. Hochant la tête, tu avais approché ton visage du siens, sa langue caressant sa gorge avant de la prendre sauvagement. Tes mains sur ses pectoraux, tes crocs enlaçaient sa peau délicate, la marquant de quelque goutte parlante. Mais se rendait-il compte de la douleur ? Ton bassin caressant frénétiquement son membre. Tu continuais tes vas et viens, aussi violent les uns que les autres. Tu t'en aurais arraché l'intérieur tellement, le plaisir était des plus merveilleux.

Cependant, tout comme Candide, vos réserves étaient toute deux sur le point de se rompre. Et c'est en s'entant son doux nectar s'échapper en toi qu'un hurlement bestial de jouissant t'échappa. Ton corps tombant rapidement sur celui du jeune homme, tu repris ton souffle assez rapidement, te dégageant de son pilier. Ton anus inondé, tu t'étais placée au-dessus de sa tête, ne lui laissant aucun autre choix que de lécher cette partie qu'il venait de prendre possession.

_Bon garçon, tu peux te reposer maintenant... Prononças-tu avant de te redresser, attrapant tes vêtements pour ensuite prendre possession d'une cigarette.

La fumer s'envolant au grès du vent, tu avais regardé une dernière fois le jeune oiseau avant de partir doucement, sans dire quoi que ce soit. Après une t-elle expérience, l'oiseau viendrait sans doute te retrouver pour recommencer, mais... tu n'en avais pas l'envie. Tu étais ainsi, à profiter d'une personne une soir et de la rejeter le lendemain. Sur le point de quitter le village, tu savais que Candide ne te retrouverait plus... et même si ce dernier venait à frapper chez toi, tu le repousserais avec ardeurs - Tu n'avais pas envie d'attache, ton seule désire était de trouver le paradis...
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