On Diverge ! [Pv: Isako Towika] [Hentai]

Voilà, c’était parfait, la demoiselle entrait dans la conversation, elle ne semblait pas vouloir batifoler plus que toi ou au moins, elle savait jauger la personne en face d’elle. Tu t’installais correctement dans ton siège, ne restant pas droit comme un piquet, mais étant parfaitement assis pour refléter une image bien sérieuse de ta part. Tes mains venant se joindre l’une à l’autre par le bout de tes doigts, tandis que tu croisais une jambe sur l’autre. Il fallait continuer ainsi, reprendre ton naturel pour ne pas laisser paraître quelque chose d’étrange.

Et tu te laissais vite entraîner dans cette dernière, la demoiselle répondant assez vite et au moins pour toi, elle n’était pas concise dans ses réponses. Elle prenait le temps de détailler sa façon de penser, c’était une bonne chose, elle te donnait l’impression de penser par elle-même. Tu bougeais de temps en temps ta jambe, sans pour autant prendre la parole, la demoiselle te posais à son tour des questions, c’était normal et elle avait raison. Tu hochais lentement la tête pour faire comprendre que tu saisissais sa demande, la laissant finir, avant de prendre la parole afin de la renseigner un peu.

« La scène a été peu utilisée, elle était principalement ouverte au personnel et élèves. Cependant, vous n’avez pas à vous en faire pour ce qui concerne le matériel, la scène étant assez récente, le matériel l’est tout autant et ce projet a été proposé en faisant en sorte d’avoir ce qu’il faudrait pour un projet d’une telle ampleur. »

Tu n’avais pas fait de remarque sur la couleur du décor, du rose, beaucoup de rose ? Tu espérais ne pas devoir créer une scène ressemblant à un bonbon ou un stéréotype foireux d’un film de princesse. Tu allais devoir argumenter, car en plein air cela risquait véritablement de faire lumineux et choquant, tellement qu’on ne pourrait peut-être ne plus la voir s’il y a grand soleil. Puis cela ferait un peu tâche avec les autres bâtiments. Tu ne laissais rien paraître cependant.

Alors qu’elle te présentait son album, tu attrapais ce dernier, pour l’observer légèrement et faire face à ta crainte. La demoiselle sur la pochette était le seul élément à ressortir du décor rose à souhait, tu allais devoir prendre parti. Tu avais envie de soupirer, mais tu retenais ce dernier, il fallait rester bon diplomate, tu continuais d’écouter les paroles de la demoiselle. Quand elle finit de confirmer que c’est ce genre de chose qui allait devoir sortir de la scène, tu déposais par la même occasion le CD sur la table, lui laissant le soin de récupérer.

Tu faisais en sorte de reprendre la parole, argumentant en ta faveur, autant pour la réussite de ce projet que pour l’image de ton université, tu ne voulais pas que les environs ressemblent au pays des sucreries.

« Je vois, cependant, je me dois de refuser un tel décor ou du moins une telle abondance de cette simple couleur. Je peux reconnaître que dans une salle fermée, cela soit parfait pour attirer l’attention, mais la scène de l’université est en plein air. Il me semble donc logique qu’une telle couleur, aussi pastelle ferait un peu fade pendant le spectacle. J’aimerais si possible que vous essayez de trouver une couleur à ajouter dedans, quelque chose de plus foncé et attire l’œil pour l’extérieur, je parle de cela dans notre intérêt et le vôtre aussi. Nous voulons que cet évènement soit une réussite non ? »

Cela pouvait paraître un peu sec dans le ton, mais c’était un moyen de faire comprendre que tu étais plus que sérieux sur ce changement et que cela pourrait devenir quelque chose de non-négociable. Tu n’étais pas plus virulent, car elle n’était pas responsable d’une telle chose, il devait s’agir de son équipe marketing, ni plus, ni moins. Tu la fixais alors, la voyant bouger la tête un peu partout dans la pièce, tu commençais donc à t’inquiéter de la possibilité qu’elle tombe sur ce qui ne faut pas ou espérer qu’elle soit trop innocente pour en comprendre le sens.

Tu déglutissais légèrement en écoutant ses nouvelles paroles, tu ne savais pas si les choses étaient honnêtes ou s’il s’agissait d’une remarque pour sous-entendre qu’elle avait compris la présence d’un objet inhabituel. Tu haussais un sourcil à présent, essayant de voir le vrai du faux, s’il agissait du deuxième cas, la demoiselle était plus vicieuse qu’elle ne le montrait. Ce n’était pas la gentille demoiselle aimante envers ses fans, ce n’était pas une princesse de conte de fées, mais plutôt une véritable princesse moderne. Tu ne savais pas véritablement quoi faire, peut-être autant jouer fair-play et faire du rentre-dedans, la prendre au dépourvu, si elle était vraiment innocente et un peu niaise, tu pourrais trouver une excuse sans trop de difficulté.

« Je vous remercie, j’ai fait un effort sur cette dernière, cela étant quelque chose de capital pour moi. J’ai fait en sorte de créer une pièce où j’avais envie de travailler, presque en faire une zone de jeu, d’amusement, les choses sont plus faciles à faire quand le plaisir et l’amusement vont de paire. »

Tu jouais de façon sous-entendu pour cette première réponse, tu essayais de voir à son visage ce qui pourrait correspondre le plus à la situation. Maintenant, il était temps de lui faire un peu de rendre dedans et exposer l’élément incohérent du décor.

« Qu’est-ce qui vous a tapé dans l’œil ? Le tableau venant de France ? Il y a quelques artistes de rue assez impressionnant dans la capitale française. Sinon, il doit s’agir d’une de mes statuettes représentante de la mythologie indienne. Peut-être encore, qu’il s’agit de la cravache présente ici ? Dis moi tout. »

Tu pouvais doucement soupirer dans une telle situation, elle était elle-même enclin à bien vouloir changer son décor et lui apporter un peu de fraîcheur. Elle te demandait même ton avis sur le choix des couleurs, tu ne préférais pas trop t’avancer sur cela pour le moment. Tu voulais déjà avoir l’accord de son équipe et son manageur, puis ensuite, tu les guiderais avec le service de gestion de l’université, c’était eux qui s’occupaient d’organiser cela. Tu imaginais même quelque chose d’intéressant, pourquoi ne pas faire un concours parmi les étudiants en marketing et événementiel ? Ils pourraient proposer un type de décor en incluant le fait qu’il devait y avoir du rose dedans, mais pas en prédominance. Cela pouvait faire une collaboration un peu plus poussée, et même faire du studio d'Isako un partenaire futur de l’université et propulsé certains de tes élèves vers des carrières professionnels.

« J’aurais bien une idée, mais il me faudrait en parler directement avec votre équipe et votre manager. J’aimerais lancer un possible concours dans l’université, de laisser les sections Marketing et Evénementiel proposer un genre de décor qui pourrait coller. Cela pourrait donner de nouvelles idées pour votre carrière et pour mes élèves. »

Tu aurais aimé continuer sur ce sujet pour détourner ses autres questions et ta contre-attaque, mais tu avais vraiment été trop rentre dedans pour lui donner envie de fuir ce sujet, mais plutôt de s’y intéresser. Tu pensais que lui rentrer ainsi dedans pourrait la faire fuir et changer de sujet, comme pour éviter de jouer sur un terrain miné, mais elle semblerait plus joueuse que tu ne pouvais le penser. Tu allais devoir faire avec ,en fonction de sa réponse, tu ferais encore une nouvelle offensive, quitte à prendre des risques pour gagner l’ascendant sur sa personne.

Encore des sous-entendus, du moins, tu le prenais ainsi, surtout concernant le fait d’avoir des invités, soit tu prenais cela trop au sérieux, soit elle n’osait pas franchir le pas. Tu plissais un peu ton regard, lui faisant comprendre que tu commençais pleinement à comprendre ses paroles et dont le fond tu espérais simplement qu’elle pourrait faire tomber ce masque, pour éviter de vous tourner autour du pot trop longtemps. Tu n’étais pas contre ce petit jeu de chat, quand tu es à égalité avec la personne. Ici, la jeune femme à l’avantage en t’ayant mis dans une position délicate.

Un petit rire, c’est ce que tu avais eu en retour de ton offensive, tu devais être sur la bonne voie, même si cela ne t’arrange pas en soit. Tu n’avais pas de problème en soit de révéler tes penchants, la seule chose était de savoir si elle n’allait pas abuser de cette information sur toi. Tu étais un directeur, tu avais une réputation à tenir et surtout, cela pourrait jouer dans la balance des négociations. Tu réfléchissais lentement à comment retourner les choses à ton avantage, mais au moins, tu pouvais confirmer quelque chose, elle était moins pure qu’elle n’osait le montrer aux yeux de son public.

Tu ne pourrais pas utiliser ça contre elle, comme le fait qu’elle utilise la cravache contre ta personne, la simple raison ? La popularité, c’est un constat assez horrible de se dire qu’une demoiselle aura plus d’impact dans ses propos qu’un homme haut placé comme toi. Cela ne serait perçu sans doute que comme une défense bien maigre. Tu haussais lentement un sourcil en écoutant ses nouvelles paroles et surtout le changement de sa voix, est-ce qu’elle ressentait un certain plaisir, excitation à t’exposer ainsi ou découvrir d’autres choses sur toi ?

Non, c’était autre chose, elle était bien insistante sur la cravache et surtout d’autres éléments de ce genre dans la pièce. Si elle voulait continuer de négocier en son sens, elle ferait mieux de ne pas demander ce genre de chose aussi franchement, plutôt continuer de jouer sur les sous-entendus jusqu’à trouver l’autre élément manquant. Elle jouait clairement, tu le comprenais à son expression, son visage, ses mouvements, elle n’avait pas l’intention d’abuser de cette info contre toi. Tu réfléchissais un peu essayant de comprendre un peu plus ce que tu devais affronter.

Si elle était joueuse autant passer au niveau supérieur pour essayer de l’avoir, la satisfaire. Tu en étais sûr maintenant, elle n’utiliserait pas ce genre de chose contre toi. Elle commençait à trop s’exposer à ton regard, cela pourrait donc lui porter préjudice si l’affaire sortait de ce bureau. Tu pouvais donc reprendre ton rentre-dedans, mais pas pour lui couper l’envie, mais plutôt la satisfaire. Puis, tu étais intrigué par son nouveau comportement, ce dernier était étrange par rapport à son côté innocent, peut-être que la jeune femme était plus pervertie qu’elle ne le montrait pas. Surtout, concernant une cravache, elle devait y voir le côté directement sexuel.

Tu te redresses encore une fois, pour courber l’échine et rapprocher ton visage du sien, un regard aussi joueur que le sien à présent. Il faut bien prendre des risques, surtout avec ce qu’elle avance, elle ne peut pas agir ainsi en étant pure et innocente. La seule chose qui pouvait te décevoir dans ce jeu, ce serait d’avoir à faire à une dominante et non une soumise, cela ne serait donc qu’une simple discussion. Oui, car quitte à jouer maintenant, autant remporter un prix.

“Je pense qu’il est temps de faire tomber les masques, vous n’êtes pas aussi pure que l’image que vous aimez donner aux autres. Je vais être gentleman et le faire tomber en premier.”

Tu étais clair, tu allais jouer franc jeu, de toute façon dans ton cas, elle n’allait pas tarder à découvrir le reste vu son insistance. Autant lui faire baisser sa garde aussi et essayer de t’en tirer à bon compte et en profiter comme tu pouvais. Tu courbais alors l’échine pour passer une main sous la table basse et en ressortir le sous-vêtement de Alyssia. Tu le posais sur cette table et tu laissais la demoiselle le regarder sans problème.

“Voilà la seule autre chose que vous pourrez trouver ici. Il s’agit d’un égard de ma part, quelques minutes avant notre rendez-vous, je m’amusais avec une de mes partenaires et dans une légère précipitation, elle se retrouve sans rien pour cacher ce qu’il y a sous sa jupe et ma cravache est sur le bureau, car j’ai oublié de la ranger. Et si maintenant, vous me disiez pourquoi vous semblez tellement en savoir plus sur la présence de ma cravache ici et surtout, s’il y avait autres choses dans ce bureau ?”

Encore ce même sourire, celui qu’elle faisait au moment où elle cherchait un peu plus de chose dans ton bureau, tu pouvais en être sur la demoiselle était une perverse. Tu écoutais lentement sa question, tu voyais bien que cette question n’avait que pour but de satisfaire son esprit aussi dévergondé que le tien, il n’y avait que toi pour te montrer aussi rentre dedans ou l’esprit jubilant sur la personne en face de toi. Il suffisait simplement de voir comment avait tourné ta relation avec Alyssia, c’était un simple rendez-vous professionnel au début, maintenant, tu te retrouvais à profiter d’elle dès que tu pouvais.

Tu écoutais encore les paroles de la jeune femme, tu retenais un nouveau détail ce n’était pas simplement le fait qu’elle soit perverse, elle l’était jusqu’à la moelle. De plus, elle parlait de tes goûts, elle était donc habituée à ce genre d’accessoire, il ne restait qu’à savoir sa position, car tu ne pliais l’échine devant personne et cela n’allait pas commencer avec une gamine en face de toi. Pourtant, dans le fond, tu espérais qu’elle possède aussi un côté dominant, pour la faire plier, la rendre soumise, petit à petit comme Alyssia. Tu hochais simplement la tête sous ses paroles pour le coup, préférant rester correct dans tes propos, ne voulant rien dévoiler de plus sur l’identité de ta concubine.

C’était un point auquel tu tenais conservé un minimum l'identité de tes partenaires, elle savait juste quelque chose sur les dimensions de sa chute de reins et sa croupe, rien qui pourrait lui permettre de l’identifier. Ton dos se courbait sur le côté, te permettant de tenir ton menton entre tes doigts, faire un regard plus perçant et l’écouter un peu plus. Donc, madame aimait s’amuser et ce n’était pas la première fois qu’on lui faisait des avances, quoique certains la voulait sans doute pour le prestige ou avoir la virginité d’une star. Si elle devait passer entre tes doigts, cela serait uniquement pour le jeu, le plaisir de la dominer, tu te fiches de son origine tant qu’elle peut convenir tes besoins.

Tu serrais un peu les dents, tu n’aimais pas l’idée qu’elle ose remettre en tort ton côté dominant, tu pensais transpirer suffisamment cette aura de dominant. Tu ne faisais rien de plus, car tu comprends assez rapidement que cela pouvait être un jeu de sa part pour te taquiner, toucher là où tu pouvais avoir mal. C’est aussi à cela qu’il était possible de voir un bon maître son sang-froid, tu ne devais pas exploser ici, surtout pas. Puis, tu pouvais lui rendre la pareille avec les mots.

Tu te redressais, comme pour imiter sa position, te détendre aussi, mais garder ta présence auprès d’elle. Tu respirais lentement, tu te levais alors de ton siège, pour récupérer la cravache. Cependant, tu ne t’arrêtais pas là, tu ouvrais un tiroir de ton bureau, le compartiment secret pour ranger tes affaires personnelles. Tu pouvais alors en sortir un bandeau, des menottes en cuir, un bâillon, des pinces, un plug, et même un collier avec une laisse. Tu prenais cela pour déposer le tout sur la table basse sous le regard de la demoiselle.

“À votre avis, vous pensez que je n’ai que la cravache comme accessoires ? Vous me prenez pour un débutant misogyne qui veut simplement assouvir sa domination masculine sur les femmes ? Non, je suis un dominant, de ce qui vous attache sur le lit, vous prive de vos sens pour vous noyer sous le plaisir, vous faire supplier d’arrêter de vous offrir autant de plaisir ou à l’inverse de quémander pour recevoir un cadeau de leur maître. Je suis du genre à considérer la soumission et la domination comme un art, tout comme le Shibari, qui est la quintessence de cette beauté sensuelle, pleine de luxure.”

Tu t’installais de nouveau dans ta chaise, plantant ton regard dans le sien, elle voulait jouer, tu allais entrer dans son jeu, sans aucun problème pour ça. Tu avais exposé ton côté dominant, donnant un aperçus de tes qualités en la matière et surtout un avant-goût de ce que tu possédais, elle devait bien comprendre que chez-toi se trouvait bien plus. Pendant que tu la laissais analyser les choses tranquillement, tu essayais toi-même de porter ton propre jugement sur elle.

Tu repassais en tête ses paroles, ses expressions de faciès, tu commençais enfin à mettre le doigt sur quelque chose. Une polyvalente, un cas rare, une personne aimant autant le plaisir de dominer l’autre que de se faire prendre pour un jouet, un simple outil de plaisir. Il suffisait de penser à son propos sur ta cravache ou encore son visage quand tu avais parlé d'Alyssia qui se baladait sans rien pour protéger son intimité. Elle t’intéressait, il fallait le dire, maintenant que le masque était tombé et surtout que tu comprenais parfaitement sa position par rapport à toi, tu avais envie de jouer cartes sur table directement. Les sous-entendus n’étaient pas pour toi, puis si cela ne passerait pas, tu pourrais continuer la conversation sur autre chose.

“Vous êtes intéressantes Isako, vous permettez que je vous appelle ainsi ? Je vais être directe, je pense vous avoir cerner, vous êtes autant une S qu’une M. Je pense que vous vous adaptez en fonction de la personne en face de vous, de vos envies aussi, peut-être même de la confiance. Dans tous cas, il est indubitable que vous aimez autant vous en servir sur les autres que le fait que l’on vous passe la laisse autour du cou. Alors, je vous ferais la proposition suivante, est-ce que vous désirez goûter au plaisir d’être vraiment dominée ?”

Un sourire malin naissait sur son visage, tu ne pouvais qu’espérer qu’elle accepte, malgré son statut. Tu savais très bien qu’il y aurait un contrat avec elle, au vu de sa célébrité, mais tu l’accepterais, car toi aussi, tu avais une réputation à tenir.

L’extase, c’était ce à quoi tu faisais face à présent, elle était totalement captivée par tes objets, montrant un intérêt au plug qui se trouvait dans ton tiroir, il y encore quelques minutes. Heureusement pour elle, tu étais quelqu’un de maniaque, soigné et basé sur l’hygiène, celui-ci était aussi propre qu’un neuf, tu faisais en sorte de l’entretenir et il n’avait pas servi pendant ton petit jeu avec Alyssia. Tu pourrais sans doute lui proposer de l’essayer si elle le voulait, en fonction de la tournure des évènements, si elle acceptait, ton petit contrat en quelque sorte.

L’art du Shibari, voilà quelque chose d’intéressant, il y a bien longtemps que tu n’avais pas pratiqué ce genre de chose, tu maniais toujours aussi bien les nœuds de bases et l’intérêt sur un lit. Pour ce qui était le visuel, tu devais sans doute être un peu rouillé, mais si la jeune femme semblait apprécier cela, tu pourrais tirer un malin plaisir à l’avoir comme partenaire pour te refaire la main sur une telle chose. Tu souriais doucement, retenant un léger rire quand elle te parla de ses photos, tu savais parfaitement quoi lui répondre dans cette situation.

« Oh, voilà une belle attention de votre part, mais je me vois de refuser, je préfère plutôt me créer un souvenir lorsque je le ferais avec vous. »

Oui, de la confiance, tu montrais clairement que tu étais plus que sur de la voir accepter tes conditions ou du moins le fond de ta proposition. C’était ça aussi être un dominant, déborder d’une certaine confiance en soi, pour démontrer à la personne en face que tu pouvais tout contrôler, que tu n’allais pas défaillir devant quoi que se soit. Bien entendu, cela devait s’accompagner de véritables actions et pas seulement des belles paroles, ce qui n’était pas ton cas, heureusement pour elle, la pauvre risquait de rester sur sa faim sinon.

Tu l’écoutais encore te parler, alors c’était bien une polyvalente, tu souriais doucement sous le plaisir qu’elle avait à soumettre. Tu ne pouvais que la comprendre, c’était un plaisir tellement amusant, jouissif, c’étaient les bons mots, tu aimais ça avoir le contrôle toi aussi, tenir tes partenaires dans le creux de ta main. Tu pouvais les soumettre comme bon te semble, les entendre supplier pour avoir quelque chose et ne rien recevoir en retour au final ou l’inverse, les engloutir sous le plaisir pour les voir demander que tout s’arrête.

Tu pouvais donc soupirer doucement de soulagement, elle se laissait aussi dominer et tu affichais un sourire presque enfantin devant ses paroles. Elle n’avait pas trouvé beaucoup de partenaires capable de lui faire vivre une véritable expérience de soumise, c’était bien entendu ce que tu traduisais d’une telle phrase. Tu apprenais aussi, qu’elle aimait jouer avec ses hybrides, voilà une chose que vous aviez en commun de plus. Ton regard ne la quittait pas tandis qu’elle posait l’objet que tu avais sorti sur la table. Ta question précédente planait encore dans l’air, tu n’attendais que sa réponse pour peut-être sauter de joie ou devoir terminer cette après-midi, sur une simple discussion.

Voilà, enfin, elle en venait au sujet le plus intéressant de cette conversation, la possible occasion de dépasser les mots et laisser parler les corps. Elle faisait part de ses convictions, elle voulait te tester ? Tu n’allais pas la décevoir, ce n’était pas parce qu’il y a encore une heure, tu t’amusais que tu n’étais pas capable de remettre le couvert avec une demoiselle. Tu allais te faire un petit plaisir de lui faire comprendre ce que cela signifiait dominer, elle voulait subir, tu allais laisser parler toutes tes pulsions sadique avec elle. Il n’était pas question de faire preuve de douceur, ni de considération.

Tu allais répondre avec un grand oui, mais tu fus stoppé, ou du moins, tu t’arrêtais, voyant dans le coin de la pièce son hybride bouger et soupirer. Tu l’avais presque oublié celui-ci, tu étais pris dans le petit jeu avec la jeune femme. Tu le voyais approcher, sortir du papier de l’un de ses poches, mais surtout, tu remarquais très vite en lisant les premiers symboles, il s’agissait d’un contrat. Elle voulait véritablement te faire signer quelque chose de papier ? Quoi qu'elle n’avait pas tort, au vu de sa carrière, sa pureté était plus importante, toi, tu pouvais te contenter d’un accord oral, car lorsque tu dominais la personne, tu essayais de faire pareil avec son esprit.

Une nouvelle provocation pour toi, maintenant, il restait à savoir si tu allais y répondre ou non, tel était la question. Et tu décidais que non, simplement lui offrir un regard plein de luxure, d’une flamme passionné et surtout d’un air qui commençait déjà à la dévorer, lui faire comprendre qu’elle ne serait plus qu’un jouet, une fois que tu aurais apposé ta signature sur ce contrat. Tu prenais quand même le temps de le lire, de faire attention à la tournure des phrases, de lire les petites lignes, celui-ci était classique, dans une relation de dominant et soumise.

Cela était normal et naturel pour toi de ne pas venir évoquer vos échanges, autant pour ta vie privée que pour la sienne, mais elle tenait à y mettre sur papier, c’était son plein droit. Une fois que tu eus le plaisir d’avoir bien lu les choses, tu te levais encore une fois, pour t’approcher du bureau et te saisir de ton stylo noir et or, apposant ta signature sur les différents parties, ainsi que parapher chaque feuille. Tu donnais ce dernier à Isako, la regardant avec un grand sourire.

« Maintenant, nous pouvons commencer et je sais parfaitement par quoi débuter avec vous. »

Tu courbais l’échine, pour te saisir du plug anal, le montrant parfaitement au regard de la jeune femme, elles semblaient beaucoup l’aimer, tu allais lui offrir, aussi sauvagement que tu le pouvais. Tu lui laissais alors le temps de faire sortir son hybride, ce dernier n’allait pas rester ainsi, du plus tu n’étais pas fan du voyeurisme, sauf si cela pouvait servir de torture pour l’un des partis. Une fois qu’il fut sorti, tu plantais ton regard dans celui de la demoiselle.

« Je peux laisser parler chaque pulsion de mon être à présent. »

Ce n’était pas une remarque pour elle, mais pour toi, un signal pour dire à la bête de sortir. Sans aucune douceur, tu prenais Isako par sa chevelure, la forçant à relever son visage vers toi, te permettant de t’emparer de ses lèvres pour échanger un baiser avec elle, long, passionné, sauvage. Tu voulais profiter de ses lèvres encore pures pour le moment, avant de la corrompre complètement prochainement. Une fois, cela fait, tu la tenais toujours par ses cheveux, approchant le plug de ses lèvres, elle le voulait en elle, elle devait le préparer comme il faut, le rendre aussi luisant et glissant que possible.

« Suce à présent. »

Un ordre, tu allais abandonner toute façon de parler poliment, de distinction, tu n’étais plus un gentleman, tu étais un maître à présent et elle ta soumise pour le reste de la journée.

La demoiselle était une jeune fille bien obéissante, mais tu voyais à son visage qu’elle n’avait pas l’habitude de ce genre de chose. Pauvre demoiselle, elle n’avait jamais connu l’expérience d’un réel dominant, celui qui force l’admiration et l’obéissance rien qu’à la voix. Et elle le faisait, docilement, puis d’une façon plus joueuse, son regard le montrait totalement et tu aimais ça. C’était excitant de croiser son regard, sa façon de faire, comme si elle te vendait un avant-goût de ses qualités dans un lit. Tu adorais ça pour une autre raison, le fait de pouvoir bientôt lui faire perdre cet air confiant et la surprendre par ton expertise.


Les choses sont amusantes et tu peux sentir ton cerveau traduire plus que nécessaire les stimuli visuel en face de toi, ta verge se gorgeant déjà doucement de sang, t’offrant ce qui peut-être comparé à une demi-molle. Cela sera suffisant pour t’occuper de la jeune femme, tu comptes lui offrir pleins de chose dans les instants à venir. Tandis que tu lui fais lentement sucer ce petit plug, de ta main libre, tu fais déjà sauter son soutien-gorge, lui laissant tout de même son haut pour le moment. Tu préfères te concentrer un peu plus bas n’ayant pas de mal à libérer l’accès à son intimité au vu de sa tenue, sans rien abîmé, tu ne pouvais pas la laisser repartir d’ici avec des traces sur ces vêtements, cela serait mal vu et non-conforme à votre contrat.


Tu forçais un peu plus les choses, la forçant à garder entièrement le plug en bouche, te libérant une deuxième main, tu lui faisais un baillons à sucer goulûment, surtout qu’elle devait se douter où l’objet allait terminer prochainement. Tu ne perdais pas ton temps encore une fois, tu venais défaire ta cravate, tu avais des menottes, mais tu préférais les garder pour d’autres choses bien entendues. Avec ça, tu profitais de sa position assise pour lui attacher les mains dans le dos, la privant de mouvement, tu faisais un nœud doux qui ne viendrait pas marquer sa peau avec la matière de ta cravate.


Cependant, tu ne comptais pas t’arrêter là, tu commençais à défaire ton pantalon, ouvrant les boutons de ce dernier, retirant la ceinture et exposant par la suite ta hampe au regard de la jeune femme. Pourquoi enlever ta ceinture ? Pour en faire une laisse artisanale, tu voulais montrer que tu avais toujours de la ressources et de l’imagination avec toi. Tu passais alors cette bande de cuir autour de son cou et tu tirais dessus pour faire pression, la forcer à comprendre qu’elle était une pure soumise à présent. Tu lui enlevais le plug des lèvres, le laissant de côté pour le moment et venant t’installer sur le fauteuil en face d’elle.


Tu tirais sur la laisse de cuir, pour la forcer à se lever et s’approcher de toi, tu continuais cette pression pour lui faire courber l’échine et se mettre en perpendiculaire à toi. Te laissant l’accès à son intimité ou sa rose des vents. Ton regard en disait long sur la situation, de ta main libre pour le moment, tu appuyais alors sur son nez pour la forcer à ouvrir de nouveau la bouche, et dès que ces lèvres s’ouvrirent pour reprendre son souffle, la ceinture faisait pression sur elle pour l’attirer vers ta verge et la glisser complètement entre ses lèvres. Au vu de ton état d’éveil, elle pouvait tout prendre en bouche et la sentir grandir pleinement dans sa bouche.


Tu relâchais son nez à présent et tu abattais cette paume libre sur sa croupe, pour lui faire comprendre ce qu’elle devait faire à présent.


« Tu semblais vouloir sucer ça, alors fait le à présent Chienne !»


Tu utilisais des petits mots doux de ce genre de jeu, à voir si cela pouvait lui faire plaisir, tu étais friand de ce genre de propos, c’était aussi un moyen de soumettre la personne, aller un peu plus loin pour la mettre dans son rôle. Pendant qu’elle jouait donc avec ton membre, tu glissais lentement ta main sur sa chute de reins et son fessier, caressant avec vivacité ses lèvres les plus intimes. Tu ne faisais pas durer ces caresses, tu courrais après quelque chose, son nectar lubrique, tu glissais alors, un doigt, puis rapidement un second, pour le faire naître, couler, afin d’en lubrifier tes doigts.


Tu jouais ainsi, tirant de temps en temps sur la laisse pour la faire avaler un peu plus ta verge, surtout lorsque celle-ci était entièrement dressée, pour lui faire subir des prises en profondeur. Tu lui montrais ce que tu aimais et que son corps n’était à présent qu’un jouet, un défouloir pour tes pulsions sadiques. Maintenant que tes doigts étaient couvert de sa cyprine, tu les portais plus haut, sur sa rose des vents, t’en servant pour la caresser, la préparer et t’immiscer d’un doigt en elle, annonçant à son corps que l’objet finirait bientôt ici. Tu continuais ainsi, jusqu’à faire des va-et-vient facile en son anus, signe qu’elle pouvait supporter facilement le petit plug qu’elle semblait apprécier.


Tu le reprenais alors, profitant encore de cette fellation qu’elle te prodiguait bien docilement. Tu jouais encore de son corps, passant le plug sur son intimité pour le lubrifier lui aussi, forçant même un peu, pour le faire sentir entre ses lèvres. Puis tu remontes lentement, appuyant contre sa rose, pour le faire rentrer petit à petit, contraster un peu avec ta brutalité, mais lui faire sentir ce plaisir centimètre, par centimètre en elle. Et voilà, l’objet était bien en place en elle à présent, tu préparais ce lieu pour les derniers moments de cette première séance.


Ta main remontait alors le long de son dos, pour venir défaire les liens qui entravaient son corps. Ainsi, tu allais pouvoir passer à un nouvel exercice pour cette jeune femme n’ayant pas encore eu le temps de profiter d’un véritable dominant. Tu tirais sur la laisse pour lui faire lâcher ta hampe, l’empêchant de jouer à présent. Tu te redressais de ton fauteuil, usant de ta main libre pour appuyer sur la nuque de la demoiselle et la mettre à genoux. Et dès à présent, tu faisais pression sur la ceinture, comme pour la tirer vers toi, comme si tu promenais un animal.


« Allez ma Chienne, il est temps de te promener un peu et de rentrer dans ton rôle »


Tu l’entraînes alors dans cette situation, la forçant à se déplacer à quatre pattes pour te suivre et lui faisant faire un petit tour du bureau. Tu attrapes même la cravache au vol, la faisant s’abattre sur son fessier pendant cet exercice. Finalement, tu décides de passer à autre chose, courbant l’échine et tirant sur la laisse une énième fois pour porter son visage à ta hauteur et la regarder dans les yeux.


« À présent, tu vas poser ton fessier sur ce bureau et écarter les cuisses comme une bonne esclave et je compte sur toi, pour te faire suffisamment invitante pour que je diène te faire jouir. »

Les hostilités allaient vraiment commencer dès à présent, il était temps de la faire jouir bien docilement.

La star était bien plus docile que ce que tu t’attendais à avoir, c’était une bonne chose, elle semblait bien plus docile que prévu. Toi qui avais peur que son côté dominant ressorte un peu, tu n’avais rien à craindre pour le moment. Tu l’écoutais simplement faire, commençant déjà à réfléchir à ce que tu allais lui faire pour ainsi lui donner un orgasme dans cette position. Cela ne serait pas compliqué, tu voulais simplement jouer la carte de l’efficacité et surtout du sadisme. Tu devais lui faire bonne impression, pour la voir à nouveau, afin de répéter ces quelques séances en sa compagnie.

Tu devais reconnaître qu’il était totalement excitant de pouvoir soumettre une demoiselle avec une telle image et surtout sur qui énormément d’hommes fantasmaient. Tu étais entrain de souiller leurs rêves, l’envie de la prendre. Tu avais donc une motivation plus que nécessaire pour la faire plier, l’entendre te supplier surtout et lui donner l’envie de venir te voir quand elle désire subir la passion et la luxure d’un véritable dominant. Pendant que tu réfléchissais, tu portais ton regard sur elle, la voyant faire les choses comme il fallait, elle faisait même encore mieux.

C’est dans sa posture que tu trouvais l’effet de son côté dominant, elle savait comment stimuler les pulsions qui t’animent. Tu pouvais aussi voir qu’elle était tout aussi excité que toi pour ce moment. Tu ne pouvais pas la laisser ainsi, ne pas profiter d’un homme véritable. Tu allais devoir sortir ton arme secrète, le seul objet que tu le lui avais pas présenté, mais surtout qu’aucune femme n’avait eu la chance de sentir sur son corps. Tu devais simplement la laisser continuer pour le moment. Tu répondais simplement à sa prestation d’un simple sourire narquois, la quittant du regard pour récupérer les quelques objets intéressant sur la table.

Elle allait enfin profiter pleinement d’un véritable collier, cela serait plus utile, quand tu voudrais faire une strangulation plus diffusée, mais durable sur le temps. Tu avais récupéré d’autres choses, mais il était temps de retourner vers la jeune femme, la nouvelle soumise faisant partie de ton tableau de chasse à présent. En étant proche d’elle, tu montrais un air plus candide, comme si tu étais bienveillant, alors que tu avais déjà commencé à plus que la souiller, mais cela ne devait pas être sa première expérience du genre, vu son excitation et son regard plus que remplie de Luxure.

Tu passais le collier autour de ton cou, pouvant prendre en main une meilleure laisse et l’attirer à toi, la faisant courber l’échine pendant qu’elle profitait elle-même de ses doigts. Tu jouais de cela justement, tu tenais sa main et c’est toi qui lui indiquais le rythme, tu la doigtais avec ses propres appendices, tu lui montrais simplement le rythme que toi, tu aimais. Tu en profitais pour l’embrasser aussi, faisant danser ta langue avec la sienne, lentement, puis avec fougue, voulant surtout lui faire perdre son souffle, pour rendre cet étranglement encore plus délicieux pour une perverse masochiste comme elle.

Une fois ce moment passé, tu faisais le tour de ton bureau, pour te retrouver dans son dos, tu pouvais ainsi tirer sur la chaîne pour faire coucher la jeune femme sur le meuble de bois. Ainsi, tout son corps était exposé pour toi. Tu allais lui montrer qu’entre tes mains, elle n’était à présent plus qu’un jouet dont tu allais prendre plaisir à éduquer à ton plaisir les plus tordu. Tu devrais cependant te contenter de tes jouets ici présent avec toi dans ce bureau, mais cela mettait en éveil ta créativité, voilà un bon exercice. Tu ne restais pas dans ta zone de confort et tu allais montrer ton expérience sur un corps aussi juvénile pour toi.

“Vous êtes une bonne soumise, vous savez comment exciter les hommes, dommage que vous soyez toutes aussi excité par ce genre de chose. Vous êtes vraiment une idole bien salope.”

Tu appuyais sur son nez, pour lui forcer à ouvrir grand la bouche, tu glissais alors lentement ta queue dans sa bouche, au vu de sa position et sa tête en arrière. Tu lâchais son organe respiratoire, pour la sentir ainsi moins suceuse sur ta queue, pour te laisser mouvoir ton bassin afin de te prodiguer une fellation en usant de ses lèvres comme d’un simple jouet. Maintenant qu’elle avait le regard flouté par ton bassin et ta hampe, tu pouvais jouer de son corps, sans qu’elle ne remarque tous tes tours, elle ne pourrait que le sentir.

Tu avais une main libre à présent, tu prenais donc les pinces tétons que tu possédais, les deux étant reliés par une chaîne, elle ne pouvait donc entendre que le bruit de métal se mouvant. Tu réglais ces dernières, sur une pression assez forte, voulant montrer ton sadisme et pouvant la marquer sur cette zone, ces fans ne viendraient jamais regarder là. Tu les appliquais un à un, lentement, qu’elle sente cette puissante pression se faire sur son corps. Une fois ces derniers bien installés, tu prends la chaîne entre tes doigts pour tirer dessus et faire lâcher prise aux pinces, qu’elle découvre un nouveau genre de douleur.

Tu recommences alors à les mettre pour simplement tirer dessus, sans trop forcer, comme pour t’offrir de nouvelle prise pour profiter de son corps. Tu la regardais continuer de se doigter, tu lâchais alors la laisse qui te donnait force pour lui faire sentir ton membre en elle. Tu pouvais donc passer à ses deux mains, une partie de chaque menotte de cuir, mais cela ne s’arrêtait pas ainsi, tu la forçais à arrêter de se doigter en tirant sur le lien entre les deux menottes. Une fois ramené vers sa gorge, tu retirais ce lien pour accrocher chaque menotte au collier ,ce dernier étant prévu pour ça, d’un anneau de chaque côté. Ainsi, elle ne pouvait subir que ta queue et tes envies sur son corps.

Tu sors alors ton arme secrète, deux objets pour être précis, un oeuf vibrant, ainsi qu’un wand. Les vibrations et la grande complémentarité de ses objets permettaient de faire des ravages. Tu prenais alors l’oeuf vibrant pour le glisser lentement entre les lèvres de la jeune femme, le poussant à sa limite, laissant la tige ressortir. Puis, tu appuyais sur la télécommande pour faire vibrer l’intérieur de son corps, sans aucune douceur, tu mettais cela au maximum en elle.

“Soit prête petite Chienne, car vient maintenant le moment le plus intéressant pour moi, celui où tu vas me supplier de continuer, pour finalement pleurer et me demander d’arrêter.”

Le wand était entre tes mains, tu activais aussi ce dernier au paroxysme de sa force, pour le coller d’un coup contre le clitoris de ta nouvelle soumise, voulant simplement observer sa réaction, la sentir bouger, convulser sur ce bureau, ta verge entre les lèvres.

C’était plus qu’efficace, tu n’avais que cela à dire, cela avait de le mérite d’être claire. La demoiselle était déjà bien excitée et soumise, mais là le résultat était rapide. Tu pouvais la voir fuir, se coller, chercher le plaisir, comme ne pas vouloir le laisser exploser. Tu connaissais cet objet et il te faisait avoir un long rictus satisfait à chaque fois que tu l’utilisais. En tout cas, elle tenait plus longtemps que tu ne l’avais espéré, elle devait avoir l’habitude de s’amuser ou jouir souvent de base. Cependant, tu savais qu’elle n’allait pas tarder à craquer avec cela, elle mouillait déjà beaucoup et son air avant que tu viennes glisser ta verge entre ses lèvres la trahissait clairement.

Et voilà, tu pouvais enfin la voir jouir, elle le faisait comme une bonne soumise, avoir une demoiselle expressive était une excellente chose. Tu la laissais retomber, mais sans pour autant lui donner de répit, essayant de coller à nouveau le wand contre son intimité. Pourtant, elle refermait les cuisses, ce qui ne venait pas du tout te plaire, tu allais jouer cela différemment. Le wand venait se couper pour se poser sur la table l’oeuf vibrant restait toujours en elle. Tu portais ta main sur ta ceinture que tu avais utilisée un peu plus tôt pour faire ta laisse improvisée.

Tu lâchais même ta vraie laisse, pour soulever son bassin et passer cette dernière sous sa taille. Tu pouvais maintenant la serrer, un cran avant que cela se bloque sur sa taille. D’une main, tu écartais à présent ses cuisses et de l’autre, tu glissais le wand dans l’interstice entre sa peau et le cuir. Tu pouvais bloquer le wand ainsi, le collant à nouveau contre son clitoris, ses jambes ne pouvant plus lui empêcher d’y avoir accès. Puis tu activais à nouveau les vibrations, à la force maximale, avant de relâcher ses cuisses et la laisser essayer de se débattre à présent pour le retirer, ce qui était impossible.

Tu pouvais reprendre une nouvelle activité plus plaisante pour toi, tu tenais la laisse fermement d’une main et la chaîne des pinces de l’autre. Maintenant, tu allais te montrer encore plus sadique et brutal avec elle. Tu avais deux points d’appui pour aller encore plus vite dans ses lèvres, comme si tu prenais réellement son intimité. Forçant sur son cou et ses tétons, tu te déchaînais, la forçant à enchaîner gorge profonde sur gorge profonde, lui laissant ce qu’il faut d’air pour respirer tranquillement. Tu forces ainsi, pour la voir jouir une deuxième fois, retirant alors ta verge de ses lèvres, ton membre ayant doucement commencé à palpiter. Tu laissais la salive de la jeune femme tomber sur son visage.

Ainsi, tu arrêtais le wand de façon définitive, le retirant aussi par la même occasion, la libérant de cet enfer. Tu plongeais ton regard en elle, pour voir son air couvert d’extase. Toujours face à elle, tu viens la faire tourner sur elle-même, les pinces et les tétons s’écrasant sur le bureau, devant donner de nouvelle sensation, mais lui offrant une position encore plus chienne qu’avant.

“Tu as été une magnifique suce queue et encore un peu, tu aurais été un vide couille formidable, mais je préfère plutôt te transformer en futur sac à foutre.”

Tu passais derrière elle à présent, tenant toujours la laisse, il ne manquait plus que le fait de la prendre pour la satisfaire, mais tu n’allais pas utiliser de sa fente, tu préférais laisser l’oeuf l'insatisfaire. Tu prenais plutôt du lubrifiant pour en ajouter à la salive de la demoiselle. Tu prends lentement le temps de retirer le plus entre ses fesses à présent, pour voir sa rose des vents déjà bien écartés. En tenant la laisse, tu ouvres bien son fessier d’une main et tu glisses lentement ta hampe en son anus. Tu t’enfonces petit à petit jusqu’à faire coller ton bassin à son fessier.

Une fois bien ancré en elle, tu saisis la cravache que tu avais laissée sur le bureau, elle allait servir encore une fois aujourd’hui. Tu faisais claquer ce dernier sur la croupe de la star. Tu bougeais lentement ton bassin en elle, prenant le temps de la laisser s’habituer à ce moment. À chaque retour, tu faisais claquer ses fesses encore une fois. Puis au final, tu pouvais te défouler en elle, allant de plus en plus sauvagement en elle, faisant encore jouer la cravache sur ses fesses, personne ne risquait d’y voir quelque chose. Tu jouais même avec la tension du fait qu’elle pouvait crier. Cela pourrait alerter les gens autour du bureau, c’était à elle de préserver ses mauvais côtés en laissant personne entendre ce genre de chose.

Ta pression sur la laisse devait lui donner l’impression d’être étranglé à présent, tandis que de l’autre côté, tu étais brutal faisant claquer en plus de la cravache ton bassin contre sa croupe et tes bourses contre ses lèvres intimes. Tu joues alors un petit jeu avec elle, jusqu’où prenait-elle des risques, où sa perversité se stoppait ?

“Isako, aboie pour moi, joue la Chienne jusqu’au bout !”

Mais ce n’était pas assez, il t’en fallait encore plus, pousser le vice jusqu’au bout. Tu devais jouer avec le contrat, tu posais la cravache pour saisir ton téléphone dans ta poche, passant rapidement sur l’option caméra de ce dernier.

“Et si je te filmais comme la chienne que tu es véritablement ? Que je garde cela uniquement pour moi et que je t’envoie ceci ? Que je te montrer comment on te vois quand on peut profiter d’une pute aussi célèbre que toi ?”

Tu dominais, tu avais la situation entre tes mains et tu aimais cela. La demoiselle venait obéir aux moindres de tes ordres. Faire aboyer une demoiselle qui était aimée et admirée par autant de monde, c’était le pied total. Tu imaginais tous ses fans qui l’adoraient presque au point de devenir malsain, la voir entrain de faire la chienne pour un homme comme toi qui était encore un illustre inconnu, il y a seulement une petite heure. Cet élan venait rendre les coups de cravache sur son fessier plus important, tu allais la marquer, personne ne verrait son fessier sur la scène, tu pouvais donc l’abîmer sur cette zone-là.

Tu souriais encore plus en voyant qu’elle venait accepter ta proposition, tu allais pouvoir profiter de son corps d’une autre façon, en le mettant sous le feu des caméras. Tu prenais donc ton téléphone qui traînait dans l’une de tes poches. Tu n’avais pas de bon matériel, mais tu viendrais faire avec, c’était simplement histoire de pimenter les choses. Vu sa position, on ne pouvait voir que sa chevelure et sa nuque. Tu pouvais donc la filmer dans cette position et en tirer quelque chose de fortement stimulant. Tu faisais en sorte de dégager ses mains pour la suite des évènements.

Ta main se posait alors dans sa chevelure pour la tenir fermement et la faire remonter légèrement, afin de la sortir du cadre, pouvant cacher ainsi son anonymat. Tu devenais plus brutal en elle, commençant à lancer la caméra pour la filmer dans cette position de chienne. Tu ondulais pour frapper vers les parois de son intimité, sa beauté intérieure.

« Allez aboie encore sale chienne ! »

Tu lui faisais prononcer quelques bruits, pour immortaliser le moment, tu savais que de simples aboiements ne pourraient pas être reconnus par des fans, si un jour cette vidéo venait à t’échapper, ce que tu ne comptais pas faire pour le moins du monde. Tandis que tu la filmais, tu avais une idée en tête, un petit projet qui était entrain de germe, quelque chose d’amusant à faire avec elle. Tu faisais durer la vidéo encore quelques instants, avant de passer à un autre acte de la situation. Tu te retirais d’elle, sans vraiment de douceur au vu de ce que tu venais de faire en sa rose des vents. Tu pouvais donc lâcher sa nuque et reculer ton téléphone pour filmer, te concentrer sur le bas de son dos et sa croupe. Tu claquais d’un coup ses fesses, pour lui donner un nouvel ordre.

« Écarte bien tes fesses Sac à foutre ! »

Encore des insultes pour l’exciter, mais aussi éviter de dire son prénom, c’était un moyen de garder encore une fois son anonymat. Alors qu’elle venait à obéir, tu caresser son anus de tes doigts, pour te porter un peu plus bas, sur une zone que tu avais délaissée, ses lèvres les plus intimes. Tu les caressais fortement, venant les remplir par autre chose qu’un œuf à présent, tes doigts, afin de la stimuler encore un peu. Tu exposais sur ton appareil, la fente de la star du moment, tu le faisais descendre pour même capturer sa cyprine s’écoulant lentement et aussi son bouton d’amour qui pouvait être visible quand tu tendais sa peau pour dévoiler les choses.

Tu mettais fin à la vidéo, déposant l’appareil devant la demoiselle, pour lui passer le film que tu venais de faire, tout en continuant de faire jouer tes doigts en elle. Tu plaçais même ton pouce en son anus, pour la remplir à ta façon de ses deux orifices. Tu voulais qu’elle puisse voir comment elle rendait bien sur la simple caméra d’un téléphone. Une fois, cette dernière finit, tu venais souffler quelques idées à son oreille.

« Vu la petite pute que tu es, je suis convaincu qu’en te mettant une perruque, des lentilles et d’autres accessoires, tu ferais une belle actrice porno. Devenir la reine des idoles et l’étoile montante de la pornographie. Cela serait tentant non ? »

Tu voulais jouer sur son côté pervers et exhibition, faire ce genre d’expérience avec elle, pour profiter au maximum de sa personne sur le moment. Tu verrais bien comment se passe les choses par la suite. Maintenant que tu avais planté une petite graine en son esprit, tu pouvais passer à autre chose. Tu prenais le verre d’eau sur la table, pour le verser sur ton membre et t’emparer d’un vêtement à terre pour l’essuyer, une façon de nettoyer ta hampe, pour passer par une autre zone. Tu écartais une de ses lèvres de ton pouce pour entrer en elle, sans vergogne, faisant résonner tout son corps d’un coup de ta verge en elle. Tu reprenais la laisse entre tes mains, pour l’étrangler de nouveau et la reprendre comme un animal.

Tu étais toujours aussi sauvage, même plus, ses lèvres étant plus accueillantes et faîtes pour se faire pilonner ainsi. À présent que tu avais récupéré une main libre, tu glissais ton pouce en sa fente, pour appuyer contre la zone gonflée de son intimité et lui faire ressentir un peu plus les choses, laissant son cul rouge se reposer un peu de ta maltraitance à son égard.

« Au fait, j’ai le droit de finir en toi ou je dois recouvrir ta petite gueule de salope de semence ? »

Tu posais la question, n’ayant plus souvenir d’avoir abordé la chose dans le contrat au vu de l’excitation qui affluait en toi, cela grisait un peu ton esprit. Puis, tu pouvais sentir ton membre palpiter, tu n’allais pas tarder à pouvoir décharger ton nectar et ta jouissance sur elle ou en sa beauté intérieure.

Tu n’avais pas eu de réponse concernant ta proposition, c’était assez normal, il fallait le dire. Vous étiez encore des inconnues l’un pour l’autre, mais tu allais faire en sorte que vous approfondissiez cette relation entre vous. Tu ne pouvais pas laisser partir une demoiselle aussi perverse, permissive et surtout soumise à toi, tu prenais un pied comme tu n’avais pas pris depuis bien longtemps. Tandis que tu étais en train de la prendre sauvagement, sentant le plaisir monter de plus en plus, tu entendais le fait que tu pouvais entièrement abuser de son corps, sauf de son visage. Tu avais alors une idée de ce que tu allais faire avec elle, encore un moyen pour immortaliser les choses.

Maintenant qu’elle avait les mains libres, tu allais la plier à tes envies, tu relâchais la laisse pour t’emparer de ses poignets et la tirer ainsi, la courber. Tu pouvais donc décoller légèrement son buste du bureau, pour être encore plus vigoureux en elle et faire balancer ses seins en fonction de tes vas et viens sauvage. Le plaisir montait de plus en plus en toi, tu n’allais pas tarder à venir, car oui, tu sentais que ta petite chienne de l’instant avait aussi un orgasme qui la traversait. Il t’était un peu plus difficile de te mouvoir en elle pendant quelques secondes, mais tu n’abandonnais pas, profitant encore une fois de sa terrible sensibilité durant ces moments-là.

Ton souffle devenait de plus en plus soutenu pour le moment, tu avais la légère impression de suffoquer un peu, mais l’adrénaline t’aidait à garder le cap. Ce mélange était même grisant pour dire la vérité, tu en voulais encore plus, surtout qu’une tension se faisait naissante dans le creux de tes reins. Puis finalement, tu venais, tu te sentais arriver. Ta queue sortait rapidement de son intérieur pour se poser sur son fessier, couvrant ce dernier de ton nectar, faisant de même avec la naissance de son dos. Elle était rouge de par sa peau maltraitée et tachetée de blanc de par ta semence.

Pendant que tu inspirais lentement pour calmer ton cœur, tu reprenais ton téléphone, pour prendre une photo de son postérieur aussi immaculé à présent. C’était une chose intéressante, puis personne ne pourrait reconnaître un tel fessier. Tu pouvais donc faire ce cliché dans aucun problème, une fois terminé, tu faisais claquer d’un coup sa croupe, avant de glisser ta main vers sa légère fente, pour taper contre de façon assez soutenue, lui rappeler que tu pouvais être encore plus sadique et tortionnaire en sa présence.

Tu avais à peine fait ceci, que tu tirais sur la laisse pour l’étrangler encore un peu et la forcer à quitter le bureau, pour tomber à genoux sur le sol. Tu ralentissais la chute, en provoquant une plus grande strangulation, une fois à terre, tu relâchais doucement l’étreinte autour de sa gorge, pour tirer dans ta direction, la mettre nez à nez avec ta verge. Tu appuyais sur ton nez pour glisser ta queue dans ses lèvres, celle-ci perdant en dureté.

« Allez nettoie cela Isako ! »

Tu utilisais son nom à présent, le jeu arrivant à son terme et il fallait varier les plaisirs de temps en temps, ne pas toujours user de mots aussi charmants à longueur de journée. Tu profitais de ce nettoyage de sa part, puis tu lui retirais son jouet pour le moment. Tu courbais l’échine pour retirer le collier autour de son cou et la libérer pour cette séance. Tu commençais même à ranger un peu les choses, laissant de côté ce qui devait être nettoyées, puis d’autres non. En retombant sur le plug anal, encore lubrifier de l’ancienne mouille de la jeune femme, une idée te venait en tête. Tu ne lui avais pas donné l’ordre de bouger, tu la retrouvais donc encore à genoux.

Tu appuyais donc sur sa nuque, pour lui coller la tête vers le sol, laissant un doigt tendu sur ton autre main pour te diriger vers son anus et le doigter gentiment, pour qu’il reste encore tendu. Par la suite, tu glissais de nouveau le plug en sa rose des vents, tu allais lui laisser ce petit jouet pour le reste de la journée, la bille à l’intérieur aurait son petit effet sur sa personne.

« Voilà, un petit cadeau en plus de tes fesses rouges et blanches, garde ceci pour la journée. Tu peux te rhabiller, mais sans nettoyer ma semence, tu vas la garder aussi collé à ton corps. »

Maintenant, elle avait le droit de redevenir la star qu’elle était et essayé de retrouver un peu de sa contenance après ce que tu venais de lui faire. Tu prenais le temps de t’habiller de nouveau aussi, restant quand même quelques minutes avec la chemise ouverte. Tu préférais d’abord ranger le matériel avant de te remettre dans ton rôle de Directeur de l’université. Tout était à peu près en ordre à présent et tu pouvais retourner sur ton fauteuil, gardant ton côté dominant en regardant la jeune femme, avec un petit air sadique sur les lèvres et dans les yeux.

« Dis-moi, as-tu aimé mes performances en tant que dominant et maître ? »