La déchirure... De devoir à nouveau se séparer de lui, c'est d'autant plus douloureux lorsque c'est volontaire. Après une dernière étreinte, un dernier baiser, Meiko quittait Sam'... Une fois encore, c'est elle qui s'éloignait de lui, à contre cœur plus que jamais. Cependant, les minutes étaient comptés et pendant tous le trajets, elle se torturait l'esprit. Son coeur était k-o par la séparation mais... En plus elle devait trouver une excuse en béton pour Lukas et espérer échapper à un châtiment.
Surtout... Ne pas se retourner, ne pas se défiler et rentrer chez Sam'. Ce serait une terrible erreur et là, tout serait fichu pour eux. Elle devait rentrer, trouver une excuse, s'inspirer de l'environnement citadin. Son regard doré, stressée, se promenait ici et là... Il y avait des maîtres, des hybrides, des vendeurs, des sans abris et des loubards.... C'est ça !
Meiko. Poursuivait sa route, et passaient devant ces hommes de mauvais genres, qui la sifflait au passage. Elle ne réagit pas, et avançait en direction de la maison de son maître, cependant... Avant d'y être, volontairement, elle déchira sa robe. Pour ses chaussures, le soucie était déjà réglé puisqu'elles avaient trempés dans le vin lors de sa retrouvaille avec Samaël. Tout coïncidait !
La robe... Complétement foutue. Meiko, s'ébouriffait les cheveux et observait le résultat via une vitre. Son maquillage avait déjà prit cher suite au larmes versés précédemment. La neko, fit un sprint final et elle pénétrait dans la demeure, essoufflée, à bout.
_ Lukas ! Lukas !
L'appelait-elle. Comme un miaulement désespérée. Elle ôtait ses ballerines, et les laissaient dans l'entrer pour ne pas tâcher la maison. Puis, dès que l'ombre de Lukas se présentait. Elle se jetait dans ses bras, en véritable comédienne pro'.
_ J'ai été agressé, ils ont prit ton vin, et l'argent ! Pardonne moi pour le retard.
De vrai larmes... Coulaient sur ses joues. Les larmes...
D'une situation difficile.
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Dim 27 Mai - 0:18
Luka avait laissé sa minette se charger d’acheté une bouteille de vin, pendant ce temps il avait préparé du saumon en papillotes, cela plairait très certainement à la féline, friande de produits de la mer. Le souci était que la nuit tombait, étrangement le temps lui paraissait long, il regardait sa montre, cela faisait plus d’une heure que la jeune femme était partie. Manque de chance il ne lui avait pas acheté de téléphone ou tout autre appareil, mais pour aller au coin de la rue cela lui avait paru tout à fait inutile. Il fit donc les quatre cent pas, alla dehors au coin de l’épicerie, elle n’était pas là. Il rentrait et attendait. Puis, alors qu’il décrocha son téléphone dans l’optique de lancer des rabatteurs à sa recherche, la porte s’ouvrit avec fracas.
La jeune femme au pelage soyeux et à la peau de Lys se jetait sur lui, haletante, les cheveux en bataille, l’air affolé, le cœur battant à tout rompre, les vêtements déchirés. Une odeur de vin venue d’elle se répandait dans la pièce. Le bosniaque supportait son poids, la colère froide qui était montée en lui ne faisait que croitre… Il n’avait rien vu sur le chemin, l’avait-on séquestrée ? Il lui caressait la tête, ne disant mot, se voulant rassurant et à l’écoute. Luka se voulait rassurant mais restait sur ses gardes, il était peut-être venu le temps des chaleurs, peut-être n’avait-il pas su voir cela ? Dans tous les cas, il installa la jeune femme confortablement dans le canapé et se dirigea vers les buffet pour se saisir d’un crayon et d’un bloc note pour revenir vers elle, s’installant juste à côté, passant une main rassurante sur la cuisse de la belle.
C’est alors qu’il lui demanda sur une voix plus grave et rocailleuse qu’a l’habitude, sur un ton calme mais qui laissait transparaitre une colère brûlante enfoui sous une épaisse couche de glace impénétrable, il fallait qu’elle lui dise, qu’elle lui raconte point par point ce qui s’était passé, combien étaient ses agresseurs, à quoi ils ressemblaient et où la scène s’était déroulée, le bosniaque enverrait alors une équipe à leur trousse : on ne touche pas à sa propriété :
- Très bien Meiko, nous allons faire le point, tu as mis beaucoup de temps, plus d’une heure alors que cela aurait très certainement pu prendre une demie heure, je ne t’en veut pas, mais il est hors de question que l’on s’en prenne à mes biens, qu’on les agresse et qu’on les abimes sans mon autorisation. Ils devront répondre de leurs actes, et pour cela tu vas m'aider ma belle.
Il ponctua les derniers mots en passant son pousse sur les joues de la félines, essuyant délicatement ses joues rouges, couvertes de larmes. Elle avait le regard humide, triste, on pouvait y lire un mélange de peur et de tristesse, tout était bien réel, et l’homme ne pouvait que le constater. Il continua sur un ton presque professoral, tout en appuyant la pointe de son stylo sur le petit calepin, il n’avait pas prit le temps de lui préparer une boisson chaude et réconfortante, pour le moment il fallait prendre les informations telles qu’elles lui apparaissaient :
- Tu vas tout me décrire précisément : Combien étaient-ils ? Est-ce que c’était des hybrides ou des humains ? A quoi ils ressemblaient ? Comment étaient-ils habillés ? Où est-ce que cela s’est passé ? T’ont-ils emmenée dans une rue ou séquestrée ? Quelles agressions as –tu subi ? Y a-t-il des témoins ? Tu me fera feras une description exacte des rues que tu as emprunté, nous irons y faire un tour ensemble à la recherche d’un indice.
Il n’évoquait ni l'ordeur de l'alcool, ni l’argent dérobé. Dans tous les cas il se chargerait de faire analyser les caméras de surveillance du magasin. Il irait interroger le vendeur pour savoir qui aurait pu la suivre après son achat. L’homme se tenait à l’écoute, prêt à boire les moindres paroles de l’hybride.
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Lun 4 Juin - 21:03
Une main... Celle de Lukas, qui passe sur sa tête, qui se veut réconfortante dans une attitude d'écoute et d'attention. Si seulement il savait, que ce n'est pas la sienne qu'elle souhaite... Ça serait surtout la fin de tout. Cependant, pour l'heure, Meiko s'en contentait très bien et continuait son petit show, en parfaite maîtrise. Elle hoquetait sous les sanglots, et doucement, elle se calmait peu à peu car au fond d'elle... Elle sentait la colère de Lukas, comme une bombe à retardement. Les félins sentent ce genre de non verbal, et le corps de Meiko, pourrait trembler sous la colère de ce dernier.
Avec un calme olympien. Qui cachait un typhon force 5, très probablement... Lukas reprit, sa main sur la cuisse de cette dernière.
- Très bien Meiko, nous allons faire le point, tu as mis beaucoup de temps, plus d’une heure alors que cela aurait très certainement pu prendre une demie heure, je ne t’en veut pas, mais il est hors de question que l’on s’en prenne à mes biens, qu’on les agresse et qu’on les abimes sans mon autorisation. Ils devront répondre de leurs actes, et pour cela tu vas m'aider ma belle.
La féline. Levait son visage vers son ange salvateur, elle buvait ses paroles comme si elle avait été réelement victime de cette attaque. Suspendu à ses lèvres, qui tremblaient encore de temps à autres, elle écoutait le plan, les questions de ce dernier et se voulait plus que coopérante pour trouver les pseudos scélérats et les faire payer. Lorsqu'il passait son pouce sur sa joue, elle appuyait son visage contre la main de ce dernier, encore en quête d'un quelconque réconfort. - Tu vas tout me décrire précisément : Combien étaient-ils ? Est-ce que c’était des hybrides ou des humains ? A quoi ils ressemblaient ? Comment étaient-ils habillés ? Où est-ce que cela s’est passé ? T’ont-ils emmenée dans une rue ou séquestrée ? Quelles agressions as –tu subi ? Y a-t-il des témoins ? Tu me fera feras une description exacte des rues que tu as emprunté, nous irons y faire un tour ensemble à la recherche d’un indice.
Waaaaw !! Beaucoup que questions d'un coup et la féline s'y perdait un peu... Il avait l'habitude des interrogatoires, en voilà la preuve. Meiko, toujours dans son rôle de comédienne, fit mine de chercher dans son esprit et surtout, elle montait son petit scénario en pur improvisation. Déjà, être hésitante et pas trop sûre, car elle est sous le choc... Sortir un speech en béton, trop détaillé, ce serait comme récité une poésie, ce n'est pas naturelle du tout et encore moins crédible.
Alors... Elle ramenait ses bras contre elle, se mordillant nerveusement les lèvres, fouillant dans sa mémoire...
_ Ils étaient... Trois, je crois... Il y en avait un avec des ailes, et l'autre avec des crocs mais... Mais je n'ai pas vraiment eu le temps de les identifiés, ça s'est passé si vite, bouhouhou !
Et voilà... On est repartie pour un petit tour de larmes, Meiko se sentait si inutile, si impuissante... Si manipulatrice.
_ Ce n'était pas loin de la cave à vin où vous m'envoyez, à deux rues. Ils m'ont ... Ils m'ont presque sautés dessus et comme sous le choc, j'ai quand même essayé de garder la bouteille, mais je n'ai pas su, et elle est tombé par terre.. Ils ont prit le reste d'argent que j'avais, parce qu'ils ont dit qu'ils ne repartiraient pas les mains vides !! J'ai eu tellement peur ! Alors, je leurs ai tout donné, ou... Ou ils m'ont tout prit, je ne sais plus, ils me tenaient les bras et c'est aller si vite.
Détaillait-elle... Sans plus. Le troisième élément restera un mystère, rester dans le flou, c'est s'assurer de ne pas s'embourber dans une affirmation... Ensuite, pour le décor... Rares sont les victimes qui font attention aux détails pendant ces terribles instants. Dire la rue, oui, mais en détail... Non. Meiko, revenait se lover auprès de son maître, en quête d'attention et de réconfort.
_ Ne partez pas, j'aurais trop peur pour vous.
Demandait-elle. Du fond de son coeur. Et il y avait enfin une pointe de vérité... Elle ne voulait pas qu'il parte, en quête de ces pseudos agresseurs.
Imaginaires.
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Dim 17 Juin - 19:54
Luka écoutait attentivement la minette qui paraissait être en état de choc, elle pleurait, cherchait ses mots,.Il notait tout ce qu’elle lui relatait avec soin et précision, tendant l’oreille tandis que le bruit du craquement sur le papier se faisait presque tout autant entendre que la plainte de la belle neko aux yeux d’or bordés de perles de chagrin. En même temps, il réfléchissait plus ou moins à la suite des évènements, gardant tout de même un plus grand calme possible devant elle malgré ses muscles tendus.
L’humain prenait en compte le fait que les hommes lui tenaient les bras, elle aurait très certainement quelques traces de cela d’ici quelques heures, il l’emmènerait chez le vétérinaire pour faire constater les dégâts, tant physiques que psychiques et envisageait également un entretien chez un psychiatre animalier dans l'optique de l'aider à se relever de tout cela. A la fin de son récit, l’homme caressa l’oreille de la féline d’un air rassurant tout en gardant sa colère en lui. Il fallait mettre le grapin sur les concernés. Il prit rapidement son téléphone et appela un ami qui travaillait pour les forces de l’ordre de Togi, et d’une voix neutre, presque froide, marquant sa colère qu'il dissimulait fébrilement et il demanda :
- Bonjour Kei, j’aurais besoin de toi pour une urgence s’il te plait. Peux-tu aller chercher les vidéosurveillances de la fameuse cave à vin qui se trouve non loin de chez moi et où nous sommes allés ensemble s’il te plait ? Dis moi si tu y vois une bande de trois hybrides, un avec des ailes, un autre avec des grands crocs, et l’autre on ignore son identité.
Son correspondant, très coopératif lui demanda cependant quelle était la raison de cette demande si urgente et de si haute importance, Luka prit une bouffée de cigarette qu’il recracha assez rapidement sous l’effet de la nervosité et il reprit très calmement :
- On a agressé mon hybride et volé mon argent, si tu peux avoir celles de l’entrée du grand centre commercial aussi s’il te plait ce serait super, ils y sont peut-être allés. Le mieux, si tu les trouve, serait d'envoyer des rabatteurs. Je te remercie vraiment. Merci excellente journée à toi.
Après cela il se tourna vers sa minette aux yeux gonflés de larmes et il l’invita à poser sa tête sur ses genoux, lui caressant doucement les cheveux, il ne voulait pas qu’elle ressente sa colère froide qui grondait en lui. Il déposa le plaid sur elle et lui dit d’une voix calme, contrôlant son ressenti, essayant d'être aussi bienveillant que possible malgré la situation : - Que t’ont il fait d’autre ? T'ont-il séquestrée ? Menacée de tout raconter ou intimidée ? Les avais tu déjà croisés par ici ?
Il reprit son carnet, tout en caressant continuellement la tête de la belle étendue sur lui… Il espérait qu'elle ne se soit pas fait chahuter davantage car il était déjà empli de fureur et de rage tandis qu'il grattait le plus d'informations possible pour parvenir à ses fins : trouver et torturer ses tortionnaires imaginaires...
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Ven 22 Juin - 20:09
Du réconfort... Meiko, n'avait écouté que d'une oreille distraite les paroles de son maître, qui semblait plus intéressé par les pseudos malfrats que par l'état de la belle. Elle s'en vexait. La neko, ne voulait que réconfort, attention... Au lieu de ça, elle fut relayé au second plan et interrogé froidement. Lukas était furieux, qu'on ai touché à son "bien", Meiko le remarquait à son grand regret... Après le coup de fil de ce dernier, le maître semblait reprendre contenance et à nouveau, il se pré-occupait de la victime. Elle déposait sa tête sur les genoux de ce dernier, docilement. - Que t’ont il fait d’autre ? T'ont-il séquestrée ? Menacée de tout raconter ou intimidée ? Les avais tu déjà croisés par ici ? _ Non...
Soufflait-elle simplement.
_ Je ne les connais pas... Ils m'ont juste prit la bouteille, mais comme je me suis débattue, elle s'est brisée et ils ont prit l'argent restant.
Se répétait-elle. Se cramponnant si fort à cette version, qu'elle passerait pour vraie... Elle mettait tellement de conviction dans son récit, son état de choc était si perceptible, on lui aurait cédé le Seigneur sans concession à cette dernière. Heureusement, les mains de Lukas, savaient apaiser l'état d'âme troublé de la victime. Sur les vidéos, on la verrait... Insouciante, achetant un beau rouge au nom du Russe et puis... Elle est repartie aussi simplement. C'est tout ce qu'il y aurait de son passage en ville.
On dit... Que le cœur d'une femme est remplit de secrets, et ces retrouvailles avec Samaël, en feront partie. La neko, redressait son visage vers son maître, qui était toujours contrarié.
_ N'êtes vous pas heureux de me revoir entière ? Cela ne vous suffit pas ? La ville... Est remplit de criminelle, humains, hybrides... C'est pour ça que les rabatteurs existent, en plus de la police, non ?
Commentait-elle. Avant de tendre la main pour attraper un mouchoir en papier et y sécher ses larmes.
_ Vous savez, je ne suis pas qu'un bien qui vous appartiens... J'ai des sentiments et si vous mettiez un peu cette agression de côté pour vous occuper de moi, ça me ferait bien plus plaisir. C'est... vexant de savoir que des criminels, sont plus intéressant que moi.
Fit-elle remarquer. Cependant, elle le savait... Au fond d'elle, elle n'est qu'un animal à ses yeux, un chien en plus mignon, peut-être. Pour lui, ramener des criminels, sans doute que ça lui amènerait une jolie prime. Jamais il ne la verrait et considérerais en égal. Meiko, la décoration de la maison, celle qui ronronne, miaule de temps en temps, fait des caprices... Mais ailleurs...Elle est vu différemment et appréciée tout autrement.
Pour son grand plaisir.
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Sam 23 Juin - 19:26
La féline au pelage de soie répétait inlassablement le même récit à son maître qui gardait l’oreille ouverte. Elle était bouleversée, choquée, en quête de réconfort qu’elle ne parvenait visiblement pas à trouver en lui. Il était vrai qu’il l’avait traitée comme un bien, mais après-tout, n’était-ce point le cas ? Il l’avait achetée et elle devait le servir gratuitement et sans rien attendre en retour, elle était son esclave, donc par définition, son bien. Il n’en restait pas moins touché par ses paroles, cela voulait dire qu’elle était déçue de lui, c’était quelque chose de bien dommage, Il reposait alors son calepin et son stylo à côté de lui avec précaution, il glissait ensuite sa main à présent libre entre les cheveux doux de la belle pour la caresser paisiblement, il massait également son épaule fine comme pour la rassurer tandis qu’il soupirait légèrement pour relâcher la pression.
Après ce long soupir et une fois que la jeune neko eu déballé tout ce qu’elle avait sur le cœur avec la plus grande honnêteté qui soit, le dresseur qui avait eu le cœur légèrement attendri par le pouvoir charmeur de la féline, lui répondit dans un murmure doux, se voulant rassurant, pour la consoler et lui montrer qu’elle n’était en effet pas qu’un simple bien mais un être sentient qui méritait donc une attention toute particulière :
- J’ai peut-être manqué de tact Meiko, mais un crime ne doit pas rester impuni, il te devront des excuses et ils seront sanctionnés, je n’abandonnerais pas les poursuites sauf si cela peut t’aider à te reconstruire.
Bien entendu, il ne comptait pas laisser cela impuni, mais pour le coup, un mensonge qui serve de pansement pourrait toujours être utile, il ne laisserait pas courir des criminels en pleine nature c’était totalement hors de question, seulement il espérait au moins qu’ils passent sur l’une des caméras dans le but de les identifier plus facilement et éventuellement lancer un avis de recherche avec leurs photos. Rien ne l’empêchait donc de tenir Meiko loin de tout ce tumulte. Il reprenait ensuite sur un ton presque paternel :
- Nous irons faire constater les blessures au centre, il te faudra également un soutien psychologique, je t’emmènerais voir un psy tu veux bien ?
C’était une chose importante pour se reconstruire, même une seule séance pourrait l’aider à affronter cela. Il ne voulait pas la voir faire des crises de panique en pleine nuit, ou en plein jour, qu’elle soit affolée pour peu ou qu’elle se tienne à l’affut du moindre bruit ou du moindre évènement, l’homme voulait donc éviter à tout prix tout stress poste traumatique. Le bosniaque caressait le dos de sa féline puis la prenait comme une princesse pour se lever avec elle et dit doucement :
- En attendant tu vas prendre un bon bain chaud pour te délasser un peu de tout cela, tu veux ?
Il montait les escaliers avec précaution et laissait la jeune femme s’asseoir sur le tabouret de la salle de bain pendant qu’il faisait couler l’eau chaude y ajoutant du bain moussant et des boules de bain faisant en sorte à ce qu’elle soit le plus à l’aise possible. Il détacha la fermeture à glissière qui était dans le dos de sa robe désormais transformée en haillons et la laissa terminer de se déshabiller seule pour récupérer ses vêtement dans l’optique de les mettre à la poubelle, il n’y avait rien d’exploitable là-dessus.
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Mer 27 Juin - 22:37
Vider son sac... Meiko venait de le faire, du moins, en grande partie. Son égocentrisme félin ayant reprit le dessus, il était intolérable que des pseudos agresseurs lui volent l'attention de Lukas. Cependant, ne pas donner d'importance, un minimum, ça serait bien étrange "Oui, bon ok on m'a agressé... On va manger une frite ?". Non, ça ne se passerait pas comme ça, notre neko comédienne s'en donnait à cœur joie, malgré tout. Cependant... Au fond d'elle, tout au fond... La part qui est tout de même attachée à Lukas, et reconnaissante envers lui désapprouvait ce qu'il se passait "Il te fait confiance, te nourrit, te loge et toi... Tu lui ment". Cependant, à ça, une foule d'autre mini Meiko fusille du regard cette pseudo conscience et alors, contre argumente à coup de "Oui, mais Sam' nous aimes vraiment LUI ! On est pas une décoration, une esclave à ses yeux, ni une pute de luxe" blablabla... Petit débat intérieur qu'elle mènera plus tard.
- J’ai peut-être manqué de tact Meiko, mais un crime ne doit pas rester impuni, il te devront des excuses et ils seront sanctionnés, je n’abandonnerais pas les poursuites sauf si cela peut t’aider à te reconstruire.
Hmm... Abandonner les poursuites ? Qu'il continue donc... Ça ne mènera nul part de toute façon et combien même c'est une neko égoïste et amoureuse... Jamais, elle ne souhaiterais le mal de Lukas et encore moins, elle l'enverrait dans un repère de verreux, même si elle est convaincue de son efficacité, de son professionnalisme... L'idée qu'il soit blessé, lui déplaisait tout simplement. En tout cas, l'ambiance était repassé plus douce et calme... Les oreilles tendus vers lui, Lukas reprit.
- Nous irons faire constater les blessures au centre, il te faudra également un soutien psychologique, je t’emmènerais voir un psy tu veux bien ? _ Si tu veux, même si je ne sais pas si il consulte pour les hybrides.
Se demandait-elle. Meiko, voulait bien prendre une séance si ça soulageait la conscience de son maître. Lukas, saisit ensuite sa féline après une caresse dans son dos. La féline, se laissait faire, soumise à ses gestes et son attention.
- En attendant tu vas prendre un bon bain chaud pour te délasser un peu de tout cela, tu veux ?
Son ronronnement. Se fit plus intense. L'idée de se prélasser dans de l'eau chaude, après tout ce tumulte, pourquoi pas ? C'était même une excellente idée.
_ Très bonne idée. Je pourrais me décrasser de leurs sales pattes.
Appuyait-elle. Ayant toujours une passion pour prendre soin d'elle jusqu'au bout des griffes. Dans la salle de bain, Lukas ne fit pas les choses à moitié tandis qu'elle se péparait. Bain moussin, produits de bonne qualité à sa disposition, boules parfumé... Déjà, la neko se détendit avant même de pénétrer dans l'eau. Il lui donnait un dernier coup de main pour défaire sa robe et sans plus de cérémonie, la féline pénétrait dans l'eau en gémissant de bien être. Lukas, avait quitté la pièce avec la robe fichue...
Quel affaire... Meiko prit une profonde inspiration, et rapidement... Une multitude de questions la prenait d'assaut. Comment revoir Sam' ? Comment imaginer un possible avenir ? Comment... S'y prendre avec Lukas ? L'accepterait-il seulement ? Et tant d'autres...