[Yuri/-18]Beaucoup se perdent dans la luxure ... P.V Sushi

- C'est ça, ma petite Sushi, montres-moi ta vraie nature ... Prononça l'humaine alors que je plantais mes petites canines dans sa peau délicate, goûtant pour la première fois; le sang. L'humaine grimaça de douleur, me faisant alors jubiler cependant, son regard sanglant se porta de nouveau sur moi, un sourire maléfique sur ses lèvres « Tu sais ce qu'on dit, ma jolie Sushi ... "Ne mords jamais la main qui te nourrit". Tu comprendras pour les jours à venir ce que ce dicton signifie. Tu me supplieras bientôt de te permettre de manger. Mais en attendant, c'est toi le plat principal. Et tu viens de m'exciter d'avantage. » M'expliquais t-elle avant de faire ruisseler le sang de sa plaie sur mon torse.

L'humaine prit alors en possession l'un de mes tétons dans sa bouche. Je me mise à grimacer en me débattant du mieux que je pouvais, criant encore et encore. Aiden ne m'aiderait pas, personne ne viendrait m'aider... Des larmes commencèrent à perler le long de mes joues, Kathleen était ma maîtresse, mais je ne pouvais pas lui donner ainsi ce que j'avais toujours préservé, ce que ma grand-mère m'avait toujours dit de préserver pour la personne à qui je donnerais mon cour. Le diable disposait de mon âme, mais, mon cœur lui, était encore là ou le démon ne pourrait l'atteindre.

Perdant espoir, la démone se mise à jouer avec mon deuxième téton alors que je restais calme et silencieuse, serrant les dents en essayant de penser à autre chose. Je me mise seulement à réagir quand l'humaine commença sont exploration... Les chevilles entravés, je n'avais aucun moyen de défendre, mon jardin était à la merci des flammes de l'enfer.

- Tu m'as l'air délicieuse mon joli sushi ... Prononça l'humaine, me faisant d'autant plus tressaillir, son doigt ayant frôlé les portes d'un jardin interdit.

- Ta gueule ! Grondais-je en foudroyant l'humaine. Je n'avais pas pour habitude d'être ainsi rebelle mais, il m'arrivait parfois de me lâcher et d'être... vraiment vulgaire.

L'humaine ne l'entendant pas de cette oreille, plaqua fermement mes cuisses, m'arrachant une grimace de douleur. C'est alors qu'elle se mise à lécher ma vulve. Me mordant l'intérieur de la joue, celle-ci se mit rapidement à saigner, mes cuisses remuant, j'asseyais de me dégager cependant... je ne pouvais rien faire et, la chaleur de sa langue ne me laissait pas indifférente, le ruisseau de mon jardin se transformant en torrent.

-N...... Non... émets-je en rougissant, laissant retomber ma tête sur l'oreiller, mes oreilles restant plaquer contre mon crâne. L'humaine continuait son exploration, jouant avec mon bouton de rose puis, pénétrant dans mon antre... Un léger gémissement m'échappa, pris de gêne, je me mise à grogner contre moi-même. C'était tellement chaud... tellement agréable... NON, A QUOI PENSAIT-JE ! Elle était une femme...

- Tu me dis non, mais ton corps lui en redemande ... Sais-tu qu'aujourd'hui je vais te prendre quelque chose que tu ne pourras jamais plus donner à personne d'autre . Je vais te faire devenir une femme. Prononça-t-elle alors en se redressant, attirant subitement mon attention. Je n'étais pas idiote et savais très bien de quoi elle parlait... je m'étais en jeu ma virginité, de qui l'ange ou le démon l'emporterais cette fois ?

- M-Maîtresse s'il vous plait... J-Je... Je me laisserais faire, TOUT... absolument TOUT, sans broncher, sans me défendre mais, par pitié... ne, ne faite pas ça... j-je ne suis pas prête à ça ! Prononçais-je à mon tour, les larmes embuant encore mes yeux. Baiser moi, fouettez-moi mais... ne faite pas ça... Suppliais-je alors à l'humaine.

Kathleen Duke m'avait plongé au plus profond de ses ténèbres. A cet instant même, ma chère grande-mère ne m'aurais reconnue. Des larmes aux coins des yeux, la démone arrêta finalement ses assauts pour se redresser, son sourire maintenant familier ne m’aidant guère à calmer les pulsassions de mon cœur. Cette dernière commença alors à parler; mes chaînes luisaient dans ses paroles; j'étais son esclave mais voilà que la démone parlait de chose que je ne comprenais guère. Les oreilles baissés contre le crâne, je me mise à froncer les sourcils; ma rébellion n'était pas terminés.

« Vous dites connaitre la différence entre "baiser" et "faire "l'amour" ? Quand est-il du viole que vous voulez exercés sur moi, maîtresse ? » Après ces quelques mots, la démone repris ses assauts.

Rapidement, de petits cris animaux se firent entendre dans la pièce. Kathleen Commença alors à parcourir mon entre jambe de ses caresses buccales. Remuant le bassin de droite à gauche, j'avais essayé à de nombreuses reprises de refermer les cuisses mais, ceci était impossible à cause des liens qui me tenaient autant les poignets que les chevilles. L'un de ses doigts penetra de mon jardin, je me mise à sursauté en secouant la tête de droite à gauche

« Non... » prononçais-je avant de couiner, tirant à de nombreuse reprise sur mes liens mais, rien ne semblait vouloir faire lâcher prise le démon.

Mon cœur frappant contre ma poitrine, ses vas et viens commencèrent à me rendre toute chose, comme les caresses qu'elle donnait à mon bouton de rose. J'étais humide et, elle se montrait bien plus douce que je ne l'imaginais. Je n'avais aucunement envie d'elle mais, mon corps... réclamais ce qu'il n'avait jamais eu, comme le début d'une dépendance à une drogue.

La tête contre l'oreiller, je me mise à soupirer d'aise, mes hanches réagissant finalement au mouvement de ses assauts. Les yeux finalement ouverts, l’obscurité ne me permit pas de voir le démon en action, ne rien voir était quelque chose d’excitant... que pouvais-je apprendre en sa compagnie. Arrêtant finalement se vas et viens, je me mise à sursauté quand cette dernière entra un deuxième doigt en moi. Grimaçant, je me mise à secouer le bassin, j'étais étroite et le ressentais. Bien qu'humide et ouverte, je restais vierge...

Ma tête retombant sur le côté, la démone continua alors ses assauts, mes hanches suivant finalement son mouvement, mes mains agrippant le peu qu'elles pouvaient. Me mordant la lèvre inférieure, c'est alors que tout explosa à l'intérieur de moi. Dans un cries de jouissance, je retombe sur le lit en sueur, déglutissant. Kathleen, quittant le lit, je me mise à soupirer de soulagement... c'était terminé ?

Mes oreilles dressées sur le haut de mon crâne repéraient alors le bruit de quelqu'un farfouillant... mais, que pouvait bien faire Kathleen dans l'obscurité ? Regardant autour de moi, je ne voyais cependant rien... Tirant sur mes liens pour me redresser, je fus prise de froid, l'humidité de mon entre jambes coulant encore entre mes cuisses et les draps.

Kathleen revint finalement au-dessus de moi, son parfum maintenant familier parcourant mes narines. Mais, c'est quand quelque chose d'humide et froid se frotta sur mon intimité que je me mise à réagir - qu'est-ce qu'elle était en train d'utiliser, de faire ?

« Maitresse, qu'est-ce que vous... » prononçais-je avant de sentir quelque chose de bien plus gros commencer à s'enfoncer en moi « non, arrêtez ! Je vous en supplie ! » criais-je en remuant, ne pouvant malheureusement pas lutter contre l'inévitable.

Plus Kathleen s'enfonçait en moi et plus cela tirait et brûlait. La sensation était désagréable, j'avais l'impression d'être un de ces fameux jouets auquel il fallait mettre des pièces dans les bons trous... un rectangle dans un rond, ça devait être ça... très désagréable. Finalement, quand tout céda je me mise à crier puis couiner, des larmes se m'étant à perler le long de mes yeux alors que mon rythme cardiaque se mis à s'encercler au rythme des coups de reins de l'humaine.

« Arrêtez... ça brûle... ! » prononçais-je en me crispant, la douleur étant douloureuse au début puis, s’estompant au fur et à mesure. La maitresse ne voulant guère, s'arrêter, je me mise à subir... la plus grosse douleur disparue finalement puis, cette petite once de picotement ne me paressa pas désagréable. elle devenait bien plusieurs excitante au fur et à mesure que Kathleen me guidait vers l'autre monde.

Un vibrage se m'étant en route, je me mise à grogner de plaisir, la faible brulure que je ressentais m'attirant finalement à succomber au démon. Dans un crie de jouissance, j'eus beaucoup de mal à retrouver mon oxygène, des larmes encore aux coins des yeux, je n'avais qu'une hâte, que je sorte démon de mon antre maintenant bien plus douloureux.

« ça suffit... stop... s'il vous plaît.... je n'en peux plus... » prononçais-je à bout de forces, remuant le bassin pour indiquer à Kathleen que je ne voulais plus du sex-toy en moi