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 Il faut assumer ses choix FT Ambroise

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Il faut assumer ses choix  FT Ambroise EmptyMer 17 Oct - 21:36
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Ft. Ambroise
Il faut assumer ses choix
Une nouvelle journée commence et je me dirige vers mon lieu de travail. Je suis plutôt de bonne humeur, mon dernier dressage c’est bien passé, sans véritable problème, ni challenge. Il était de toute façon assez docile, il n’y aura pas de problème avec ses futurs maîtres c’est certain. Mes écouteurs dans les oreilles je me rends doucement vers le bâtiment de dressage.  Quand je commence à croiser mes premiers collègues je range tout et les salue.

Maintenant il est temps d’aller voir ce que me prévois mon planning pour aujourd’hui. Apparemment en milieux de matinée je vais devoir m’occuper d’un asservi qui ne s’est pas bien tenu dans l’animalerie. Encore un humain, pourquoi il ne me donne pas un hybride sauvage, je n’ai pas envie de m’occuper d’humain.

Je vais chercher son dossier pour en apprendre plus sur lui. Un criminel et bah voilà qui va être marrant. Il ne va pas falloir que je le détache ou je risque de me prendre un coup dont je ne vais jamais me relever. Il a été amené ici car il a attaqué un futur maître dans l’animalerie où il avait été placé. En plus il va falloir lui expliquer sa place et le respect du maître. J’espère juste que je ne vais pas mettre des mois à le recadrer celui-là. S'il a été placé en animalerie c’est qu’il n’a pas dû causer beaucoup de soucis.

Je repose le dossier, puis je vais chercher mes affaires avant de me diriger vers la salle où il a été installé. J’y pénètre et découvre ma nouvelle tâche, un homme assez grand et pas désagréable à regarder. Mais avec son passé je ne peux pas me laisser berner, je regarde s’il a bien les poigner attaché par des chaînes puis me dirige vers la table qui est sur le côté de la pièce pour y poser mon matériel.  Je prends la chaise et la pose devant la porte. Je m’y assieds et fixe quelques minutes l’homme avant de prendre la parole.

« On va commencer par les choses habituelles. » Dis-je avec un sourire.

En même temps il faut bien commencer par quelques choses, replacé le contexte est toujours agréable.

« Tu es un asservi, un esclave, le simple jouet du futur maître qui t’aura acheté comme un simple objet. Personne ne va venir t’aider, plus jamais, tu n’es que ce qu’on dit que tu dois être. Jamais tu ne relèveras la main sur ton maître ou un futur maître. »

Enfin quand tu ressortiras d’ici tu ne lèveras plus jamais la main sur un maître. Il n’y a pas de libre arbitre pour un esclave, pas de rédemption non plus. Il faut assumer ses choix.


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Il faut assumer ses choix  FT Ambroise EmptyJeu 18 Oct - 8:03
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Il Faut Assumer Ses ChoixFait Moi Mal !
Ambroise
Justine
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Le décor de l’animalerie avait enfin changé, mais pour un paysage encore moins accueillant pour toi. Une drôle de pièce, c’est l’endroit où tu te trouvais, mais tu étais toujours attaché, tu avais un peu de marge, mais dans le fond, cela ne te laissait pas plus de marge qu’avant. C’était une bien belle arnaque, mais tu te savais ici, non pas pour être libre, mais pour te faire punir à cause de ton comportement. Tu avais un peu exagéré les choses à l’animalerie, un vieux réflexe que tu avais eu, et à cause de ton ancienne vie, tu te trouvais ici.

Tu essayais de te souvenir de tes conversations avec les hybrides et humains dans la même galère que toi, voulant construire une image préventive de ce lieu, le centre de dressage. Tu n’avais que des retours de violences et tortures, remarquant souvent que l'intensité dépendait du caractère de la personne en face. Tu étais alors assez confiant, sur le fait de pouvoir partir assez rapidement de cet endroit pour regagner ta cage miteuse, quel bonheur, cette nouvelle vie, tu avais hâte d’y être. Le temps commençait à te paraître long, assez long pour te faire bâiller et presque te donner envie de dormir.

Dans ta pseudo plongé en sommeil, tu te rappelais la bêtise que tu avais faite, celle de frapper un de ceux ayant le statut de maître. Tu l’avais salement amoché, mais tu n’avais pas réussi à contrôler un vieux réflexe. Un homme au sourire peu scrupuleux était venu pour trouver un nouveau jouet, tu avais fini parmi les sujets qui l’intéressaient, ce dernier s’amusant alors à toucher les autres. Pendant son examen, tu avais laissé ton esprit vagabonder un peu, n’ayant que peu d’intérêt pour la chose.

Puis soudain, tu avais sentis une main te toucher le cul, une petite surprise sur le moment, heureusement que tu avais les pieds libres pour agir, tu vins te retourner et décocher un sacré coup de pied à l’homme, levant assez la jambe pour venir lui éclater son entre-jambe. C’est au moment de frapper que tu remarquas ta stupidité, tu aurais mieux fait de rester concentrer sur le sujet et tu serais encore en train de profiter de tes talents de contorsionniste dans la cage.

Un bruit se fit alors entendre, tu relevais la tête subitement, comme si ce simple son avait eu assez d’impact pour te revigorer l’esprit. Tu pouvais alors remarquer la présence nouvelle d’une demoiselle, assez jeune d’apparence, plus que toi en tout cas. Tu arrivais à reconnaître en elle des traits familier, peut-être était-elle un peu japonaise comme toi, cela pourrait être amusant, tu pourrais essayer sur la corde du nationalisme, mais l’idée quitta vite ton esprit. Si elle était ici, elle devait sans doute être celle qui allait s’occuper de toi, tu ne pouvais pas jouer de tes larmes de crocodile devant quelqu’un qui vient te frapper.

Tu la suis uniquement du regard, tu comptais faire profil bas jusqu’à ce qu’elle prenne la parole, tu verrais bien comment te jouer de la situation. Et si tu venais à prendre des coups, cela ne serait pas les premiers, tu avais connu bien pire, mais peut-être que tu viendrais découvrir un nouveau seuil de tolérance dans ce milieu. Tu tournais tes poignets,ces derniers étant un peu engourdis, puis tu avais souvent des tics quand tu commençais à réfléchir. Tes yeux ne quittaient pas la jeune femme lorsqu’elle vint s’asseoir en face de toi, mais avec une certaine distance.

Au moins, elle était prudente, elle devait avoir l’habitude de faire ça, car il devait y avoir des gens beaucoup moins calme que toi dans le fond, des excitée qui devaient clamer haut et fort qu’ils étaient libres, quelle connerie quand même. Tu haussas un léger sourcil sous ses propos, tu pensais que la torture allait commencer, mais au final non, elle venait juste te faire une morale. Tu avais l’impression d’avoir une inquisitrice en face de toi, mais tu te voyais mal venir lui dire de but en blanc que tu t’en foutais. Pour le moment, elle te semblait assez inoffensive pour le moment, mais il faut toujours se méfier des apparences.

Tu venais répondre à son sourire, par la même chose, montrant une partie de toi enjoué, comme si tu étais en colonie de vacances et non dans un centre de torture. Tu hochais la tête sous ses propos, avant de venir t'éclaircir la gorge, pour prendre la parole.

“Vous avez raison, j’ai manqué de contrôle et j’ai encore un peu de difficulté à totalement intégré mon rôle de sous-merde, mais je fais des efforts, juste une bribe de mon ancienne vie qui est ressorti. Mais je vous promets, que je fais et ferais des efforts dans le futur. Vous savez quoi, le prochain qui vient me mettre la main au cul, pour me faire pardonner, je me mets à genoux et je le suce. Histoire aussi d’équilibrer mon karma.”

Tu continuais de sourire, mais ce dernier était un peu plus provocateur sur le moment, tu devais tester les limites de la demoiselle, savoir ta marge de manoeuvre, puis tu lui montrais que tu pouvais être plus cynique avec les mots, plus que violent avec ton corps. Tu faisais craquer les os de tes bras en prenant un appuie, signe que tu manquais d’effort physique, tu avais vraiment envie de te dégourdir quelque part, mais pas ici, quoi que la demoiselle serait parfaite pour te remettre dans une bonne condition.

“Après, je pense qu’il faudrait m’entraîner à me faire toucher le cul ou même partout ailleurs, je pense que l’on devrait travailler sur ce point-là. Du coup, je vous attends, mon corps est tout à vous… Oh, mais quel imbécile je fais, j’ai oublié de me présenter, moi, c’est Ambroise. Vous avez vu, même en étant un esclave, je garde le classe avec mon prénom. Et vous demoiselle qu’elle est votre prénom, que j’ai le privilège de le crier dans les prochaines minutes ?”

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Il faut assumer ses choix  FT Ambroise EmptyJeu 1 Nov - 11:05
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Ft. Ambroise
Il faut assumer ses choix
L’asservie en face de moi répond à mon sourire, ce qui me fait jubiler même si je ne le devrais pas. Il ne doit pas être passé dans une de ces salles dans le passé, sinon il ne prendrait pas autant de plaisir à être attaché. Je le laisse parler seul dans son coin des paroles vides. Elles auraient bien plus d’impact s’il n’était pas attaché ici. Il essaye de faire le fier, faisant une blague ?  Après s’il aime sucer il fait bien ce qu’il veut. Je  peux m’empêcher de rire à son monologue. L’homme fier aime bien se mettre à genoux apparemment.

Son sourire change pour devenir plus provocant, il fait craquer ses os comme pour me faire peur. Ce n’est pas le plus grand, costaud, dure que j’ai eu en face de moi. Ce n'est surement pas lui qui va me faire peur, en plus il est accroché et ne peut pas m’atteindre d’où il est. Je reste tout de même vigilante on ne peut jamais savoir ce qui va se passer.

Après son deuxième monologue je me lève, avance de deux pas et m’arrête. Un sourire aux lèvres je prends la parole.

« Ambroise ? Ce n’est pas un peu gentillet comme prénom ? » Dis-je en rigolant.

S’il veut que je m’occupe de son corps il aura ce qu’il veut. Il est plutôt pas mal, ça me gêne de devoir l’abimer. C’est seulement sa seule qualité pour être vendue à un maître. Il devrait bien s’amuser avec son corps.

J’essaye de calmer l’électricité qui commence à se déverser dans mon corps  mais je sais ce qui va se passer dans peu de temps. Mes yeux commencent à se vider et une nouvelle lueur commence à les éclairer quand je m’adresse de nouveau à lui.

« Si tu veux que je m’occupe de ton corps, j’en serais enchanté. »

Ma main glisse doucement et sensuellement sous ma robe, j’empoigne mon fouet et lorsque celui-ci viens s’abattre sur son entre jambes mon rire éclate dans la salle. Alors que son corps se plie par réflexe, j’en profite pour faire le tour de la salle et tourne la manivelle qui est reliée à ses chaînes. Ses bras se soulèvent peu à peu, son corps se tend et seulement sa pointe des pieds touche le sol.

Je me dirige vers la table où mes affaires y sont posées. J’attrape un couteau et me rapproche doucement d’Ambroise, en jouant avec ce jouet. Je pose le bout de mon couteau sur sa gorge et descend doucement sans le couper. Quand l’objet arrive jusqu’à son nombril, je le regarde d’une manière provocante.

« Je peux m’en occuper définitivement si tu le veux. »


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Il faut assumer ses choix  FT Ambroise EmptySam 3 Nov - 17:43
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Ambroise
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Tu restais immobile, il fallait dire que tu n’avais pas de meilleures possibilités non plus. Cela te permettait au moins d’uniquement te concentrer sur les mouvements de la jeune femme, tourner les ressources de ton corps, vers une seule chose, ta cervelle. Tu la voyais donc venir vers toi, sachant pertinemment que ce n’était pas pour te relâcher et surtout venir répondre favorablement à ton invitation à s’envoyer en l’air. Elle s’arrête non loin de toi, tu profites donc de ce moment pour dévorer de tes iris les traits de son visage, réussir à traduire ses intentions, pouvoir essayer de t’adapter.

Tu vois à son sourire que tes paroles ont au moins eu l’effet de lui tirer une certaine bonne humeur, mais de quel genre ? Si elle était là, elle pouvait très bien trouver cela ironique et surtout, elle devait être de ceux pouvant torturer les autres. Tu savais au moins que tu t’en sortirais vivant et à peu près avec tout ce qui te compose. Tu hausses un léger sourcil quand elle parle de ton prénom, c’était ça qui venait évoquer ce joli sourire de diablesse ? Tu pouvais au moins rebondir dessus, pour essayer de montrer que tu avais toujours ta contenance.

“Que voulez-vous, je dois bien montrer que j’ai un côté doux quand même.”

Tu coupes alors toutes envie de continuer de parler, tu préfères fixer les changements que tu vois apparaître chez elle. Tu peux alors voir un regard que tu connais terriblement bien, celui du plaisir, de l’adrénaline, de ressentir une agréable satisfaction dans quelque chose qui apparaît immorale pour les autres. Et tu sais très bien qui va recevoir les penchants étranges de la demoiselle, c’est toi et ton petit corps de criminelle, tu ne pourras pas échapper à la punition. Tu pensais alors en jouer, encaisser un maximum, mais aller dans le sens de la jeune femme, c’était le premier divertissement depuis bien longtemps.

Tu comprenais trop bien que ses paroles avaient un sens bien profond, légèrement différent de ta façon de voir. Tu pensais plutôt chouchouter ton corps, par venir le marquer du passage de la jeune femme. Tu continues de la regarder, sachant aussi que passer sa main sous ses vêtements n’étaient pas non plus pour retirer le tissu qui couvrait trop bien son corps. Tu as seulement que quelques secondes pour comprendre qu’elle s’amuse à sortir un fouet pour le faire claquer sur toi. Tu mordais l’intérieur de ta joue pour retenir un cri, tu n’étais pas sensible à la douleur, du moins pas facilement, mais tu saisissais enfin le sens du mot casse-couilles.

Son assaut était bas, mais cela allait bien dans le sens de ta demande, tu avais juste provoqué une grande sadique, à toi de rentrer dans le rôle d’un soumis. Tu espérais avoir retenu les traits de ton visage pour ne pas montrer à quel point, tu avais souffert du coup sur tes bijoux de famille. Tu avais plié l’échine, tirant sur tes liens au maximum, mais cela restait plus un réflexe, cela devait le rester à tes yeux.

C’est à ce moment-là que tu n’eus plus le temps de réfléchir calmement, tu te faisais tirer, comme si on allait t’écarteler. Tu reposais à présent sur la pointe de tes pieds, tu savais que tu te plaignais d’être contorsionné dans les cages, mais cette méthode était peut-être un peu trop drastique pour toi. Il n’y avait pas de demi-mesure avec la jeune femme, dont tu ne connaissais pas le nom.

Tu profites à présent de son léger recul pour réfléchir à ce que tu pouvais faire, ce n’était pas la position la plus agréable, mais tu pouvais en jouer un peu sur elle. Si tu venais à rentrer dans son jeu, cela pourrait avoir deux fins possibles. La première qui serait la plus cool pour toi, elle est troublée par le fait que la punition apparaisse pour du plaisir. Sinon, la deuxième consiste dans le fait qu’elle prenne elle aussi du plaisir à trouver un partenaire qui aime ses traitements et en profite encore plus. Tu aurais été sur un lit, le deuxième scénario t’aurait beaucoup plus, là, tu avais surtout peur de te retrouver sans ton mythique service trois pièces.

Il fallait prendre le risque, tu ne pouvais pas juste tenir tête et continuer à blaguer, tu venais bien de voir le résultat, il fallait juste la brosser dans le sens du poil à ta façon. Tu finis donc par faire ton choix, pile au moment où elle revient vers toi, armé de ce qui pourrait te marquer à vie. Pourtant, tu avais l’habitude de ce genre d’objet, tu en avais reçu un bon paquet, dans les côtés surtout, les couteaux, voilà une belle petite saloperie. Tu te retenais de paniquer un peu ne le voyant descendre de plus en plus bas, tu comprenais rapidement qu’elle voulait vraiment s’attaquer à ta virilité, c'était vraiment bas, mais tu pouvais comprendre une telle jalousie à l’égard de tes attributs. Tu arrivais presque à te faire rire, malgré la situation.

Au moment où la belle sadique te parlait, tu pouvais voir la provocation et le plaisir qu’elle ressentait. Tu commençais donc ta nouvelle stratégie, venant respirer lentement pour imiter son regard, faire du mimétisme, appliquer sur tes traits, son petit sourire. Copier les autres avait un don d’appréciation d’un point de vue psychologique, tu voulais appuyer ce côté-là auprès d’elle.

“Définitivement ? Tu le pourrais ? Ah… Mais non, tu ne peux pas, tu dois me rendre dans un état potable. Tu le pourrais, si j’étais entièrement à toi. J’aimerais tellement voir ça, ce que tu pourrais me faire si j’étais uniquement pour ta personne. Tu pourrais me donner encore plus de plaisir, venir faire trembler mon âme, c’est tellement dommage que tu n’en es pas le droit. Je voulais encore voir ce regard, ce sourire, cette façon de me frapper, tu me plais bien, tu sais ?”

Tu venais alors lécher tes lèvres, accentuant ton côté maso un peu détraqué envers sa personne, tu essayais même de bouger le bassin, comme pour lui dire de continuer, d’oser faire ce qu’il fallait pour te maltraiter, du moins qu’elle est le courage d’aller à l’encontre des ordres de ses supérieurs. Tu pouvais aussi jouer sur sa profession et ses pulsions, t’amuser du contraste entre les deux.

“Au fait, je ne connais toujours pas ton prénom, j’aimerais pouvoir l’hurler quand tu vas me faire mal, te montrer comment tu me gâtes aujourd’hui !”

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Il faut assumer ses choix  FT Ambroise EmptySam 15 Déc - 17:38
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Ft. Ambroise
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Un côté doux ? Il essaye de cacher ce qu’il est vraiment avec son prénom ? C’est assez amusant. C’est dommage qu’il soit violent et provocateur, il pourrait plaire à pas mal de maîtres s’il restait tranquille. Il est pas mal et plutôt costaud. Et ça se confirme lorsque mon coup s’abat sur son entre-jambe. Il n’y a même pas un cri qui sort de lui rien pour me satisfaire plus. Même si son corps qui ce tort montre bien que ça ne lui a pas fait plaisir.

Son corps se tend sous l’action des chaînes qui bouge. Une fois bien installé je peux reprendre mes actions. Mon couteau récupéré, je le glisse doucement sur son corps, j’attends encore une de ces répliques qui va me permettre de le mettre à terre. Et je n’ai pas à attendre très longtemps avant que son monologue arrive. Un petit rire m’échappe.

C’est vrai que si je l’abime trop je risque d’avoir de sérieux problèmes. Mais d’un autre côté, s’il reste violent, ils ne pourront pas le vendre et son attribut masculin ne changera rien à ça. Il a beau être beau gosse, il reste qu’un asservi, il doit obéir et c’est tout. Puis il pourra toujours être vendu à un homme, il se fera prendre et c’est tout. Je vois qu’il a l’habitude de se servir de son corps. Il a les mêmes réactions qu’une trainé.

« Tu n’as toujours pas besoin de connaître mon prénom. Une trainé à qui ont ne peux pas faire confiance ne m’intéresse pas. » Dis-je en rigolant.

Je commence à enlever le bouton de son pantalon et je descends doucement sa braguette, tout en le regardant dans les yeux.

« C’est vrai que je ne dois pas trop t’abimer mais un accident et vite arrivé tu sais. »

Je baisse doucement son pantalon, et approche mon couteau de son sous-vêtement. Je le coupe doucement, appuyant assez fort pour faire une coupure juste à côté de sa virilité. Puis je me recule et me dirige vers la table en rigolant.

« Mais ça ne serait pas assez marrant et avec ton passé ça ne te calmerait pas non plus. Je n’ai pas envie de faire de toi un combattant eunuque. »

Je pose mon couteau et regarde le matériel que j’ai amené avec moi. Me demandant ce qui pourrait vraiment le faire plier le moment venu. Il faut que je réfléchisse, si c’est moi qui lui fais quoi que ce soit, il en sera vraiment trop heureux. Si c’est les hommes qui le dérangent vraiment, devrais-je ramener un de mes collègues ? Ce serait la meilleure solution je pense. Voyons comment il se comporte.

« Tu sais que tu ne vas pas forcément être acheté par une femme, il va falloir que tu t’habitues à être touché par un homme sans te défendre. »


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Il faut assumer ses choix  FT Ambroise EmptyDim 16 Déc - 9:52
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Toi qui pensais pouvoir discuter avec elle sur un ton un peu plus calme, peut-être plus polie, tu la voyais te répondre d’une façon un peu rude, même pour ton petit cœur de nounours en guimauve. Pour être plus sérieux, tu n’étais pas blessé par ses propos, tu savais ce que tu valais sur la confiance, tu n’avais pas besoin de le prouver à une demoiselle que tu connaissais à peine et surtout pas une qui pourrait te trancher le sexe tel un saucisson que l’on offre pour l’apéro. Et puis, tu savais que tu aurais été une formidable traînée, une pute royale même, tu connaissais tes compétences dans ce domaine-là.

Oh, il n’était plus l’heure de te jeter des fleurs, il semble que la demoiselle soit gourmande pour le coup, tu pouvais la comprendre en même temps, toutes les femmes étaient ainsi avec toi. C’est que tu aurais bien voulu lui lancer, mais elle faisait quand même parti de la catégorie des femmes qui pourraient vraiment te priver du plaisir de sentir à nouveau une érection matinale ou de savourer les soupires d’une femme. Donc tant qu’elle aurait ce couteau proche de ta hampe, tu comptais faire profil bas, tu savais quand la fermer pour le coup.

Tu faisais soudain un grand sourire en la voyant parler d’accident, tu avais une folle du même calibre que toi en face, c’était drôle et flippant, car tu connaissais tes limites, c’est-à-dire pas grand chose, alors elle pourrait sans doute faire ça, sans éprouver aucun remord ou même les conséquences de sa hiérarchie. C’était quand même rude de contenir ton côté taquin, cela venait presque à renier une partie de toi, même pendant quelques minutes, un travail digne d’un moine bouddhiste. Oh, tu aimais l’idée du couteau pour t’enlever sauvagement ton boxer, mais tu appréciais moins l’idée que cela n’enlève pas tout et te laisse une belle marque.

Cela te faisait un peu mal, mais moins que le coup dans ta future descendance, ici, il s’agissait surtout de l’attaque des premières peaux, une douleur sur la coupure, non sur le long terme. Cependant, tu pouvais sentir un léger filet de sang s’écouler rapidement le long du tissu et ta jambe. Tu écoutais sa remarque en venant te mordre la lèvre, tu ne devais pas céder aux remarques débiles, mais c’était tellement tentant de la voir sortir de ses gonds, lui mettre en face du nez qu’elle ne voulait qu’une chose, te faire mal, plutôt que vraiment te dresser. Tu soupirais doucement en la voyant quitter le couteau, tu pourrais alors faire le fier à nouveau, elle n’avait plus ce moyen de pression sur toi.

Tu pouvais la voir chercher autre chose, tu avais presque envie de lui dire de prendre une cravache, mais tu n’avais pas le temps, pour une fois que ce n’était pas une menace qui venait te clouer le bec, tu étais presque dessus. Tu gonflais un peu les joues, tel un gamin pour montrer ton mécontentement. Sa remarque te paraissait logique pour le coup, tu le savais très bien, tu étais même plus préparé à te faire acheter par un homme, tu n’étais pas contre ça, c’est juste que tu avais réagi, car il fallait dire que tu ne t’attendais pas à te faire toucher le cul, puis, il s’agissait d’un vieux réflexe. Par contre, tu étais content, elle te tendait une perche pour être de nouveau provoquant.

“Oh, mais je peux accepter qu’un homme me touche, je n’étais juste pas prêt à cela, je ne m’attendais pas à ce que l’on veut savourer mon sublime corps dans un lieu aussi public. Je suis un peu pudique dans le fond, mais pour vous, je peux tout dévoiler si vous le voulez.”

Tu faisais un grand sourire, avec un regard, presque invitant, voulant lui faire croire dur comme fer à tes propos, tu venais gigoter le bassin, venant te faire encore plus provoquant et aller dans son sens de traînée, autant jouer son jeu jusqu’au bout. Puis, tu repensais à ses paroles, le fait qu’elle parle de t’habituer à être touché par un homme, voulait peut-être dire qu’un de ses collègues allaient venir, ce qui serait logique vu ses propos et tes réactions à son égard.

“Je crois que je viens de comprendre, vous voulez qu’un collègue s’occupe de moi ? Je ne dirais pas non vous savez, puis s’il me touche là où je pense, je serais totalement prêt et au garde-à-vous quand vous reviendrez, je pourrais donc être prêt à déguster, uniquement pour vous bien sûr. Sinon, vous pouvez rester, je ne suis pas contre des plans à plusieurs, après tout, je suis une bonne pute, n’est-ce pas ce que vous avez dis Maîtresse ?”

Et voilà, tu laissais un visage plus provoquant sortir, mais tu lui faisais comprendre que tu étais paré à n’importe quels problèmes qu’elle pourrait te poser, sauf peut-être te faire couper la verge, là se serait rude comme pratique. Finalement, tu décidais de lui tendre une petite perche, un petit amusement.

“Vous savez, je suis un peu provocateur, mais une fois soumis, je suis le plus obéissant des chiens. Et vu qu’ici la dresseuse de bête, c’est vous, il n’y a qu’à me dresser, comme ça, je serais votre soumis et je vous obéirez bien gentiment, comme un bon toutou. Alors, une envie de relever le défi ?”
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