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Actions des Rabatteurs

Humaine - DW Reine	Eileen L. Allannah	Age : 30 Multi-Compte : Sarika, Kioko, Juna Kavanez, Isako Towika, Hisae, Sarah et Camille Cimedroite

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			Dim 3 Avr - 13:41

Identification des hybrides ▬ 1ère Action

Jusqu'ici, l'identification des hybrides par puce électronique ou tatouage n'était pas obligatoire. C'était le propriétaire qui décidait.

Suite à l'apparition des Révolutionnaires et leurs actions musclés, les Rabatteurs ont décidé de mettre en place l'identification obligatoire des hybrides. Ainsi, chaque hybride à l'adoption devra être muni d'une puce électronique donnant le nom de l'hybride, sa race et son propriétaire avec les coordonnés correspondantes.

Les hybrides toujours en ventes sont donc les premiers à recevoir cette puce par les rabatteurs, suivis par les sujets d'expérimentations et créations toujours dans le laboratoire. Ensuite, il ne reste que les hybrides ayant déjà un maître ou une maîtresse.
Donc, il faut considérer qu'un hybride en vente est déjà identifié par puce électronique et une fois qu'il est acheté, le nom du propriétaire est juste changé par le vendeur.

L'intérêt pour les Rabatteurs, c'est de pouvoir contrôler directement un hybride et savoir s'il appartient à quelqu'un ou s'il est un sauvage voir un Révolutionnaire. Ils sont d'ailleurs munis d'un appareil pouvant lire les puces électroniques dans la nuque des hybrides.
Ainsi, tout hybride contrôlé sans puce électronique sera automatiquement embarqué par les Rabatteurs. S'il appartient à quelqu'un n'ayant pas procédé à l'identification, cette personne devra le prouver, puis payer une amende. A savoir que la peine maximale en cas d’infraction à la règle est une amende de 2 000 000 de yens et un retrait de l'hybride.

Dernière édition par Eileen L. Allannah le Mer 2 Nov - 19:39, édité 2 fois

Humaine - DW Reine	Eileen L. Allannah	Age : 30 Multi-Compte : Sarika, Kioko, Juna Kavanez, Isako Towika, Hisae, Sarah et Camille Cimedroite

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			Mar 28 Fév - 19:23

Dans la nuit du 22 au 23 Juin 2032, l'impensable c'est produit. La dénommée Syolkïr la Rousse aurait été descendue dans un échange à balles réelles alors qu'un groupe de rabatteurs la filait.

Tout a commencé lorsque, avant la nuit du 22, La Rousse et ses hommes de main ont pensé faire une attaque armée -dans le but évident de saccager et de voler- l'un des riches propriétaires de Togi.
En l’occurrence, le propriétaire de l'honorable centre de Dressage : monsieur Vladimir Gribov. Bien heureusement, le service de sécurité de Monsieur Gribov l'a avertit de l'effraction et s'il a put blesser la criminelle dans un acte de défense, cette-dernière parvint tout de même à prendre la fuite !

Il n'en faut pas plus pour que Monsieur Gribov appelle le numéro d'intervention des rabatteurs afin de réaliser une battue.
Réparti en équipe, c'est la forêt des alentours qui est passée au crible. Les talents de chasseurs d'hybrides rabatteurs mit à contribution afin de traquer la félon féline.

« Il fallait une Intervention Rapide » dixit le Chef des Rabatteurs.

Et c'est à quelques heures plus tard, le groupe de révoltés -fatigué et blessé- est encerclé.
Dans l'intervention deux des hybrides accompagnant la Rousse perdent la vie. Deux autres arrivent à fuir, blessés. Quant à leur Chef, elle fuit et est acculée en bordure des rapides de la rivière par l'agent Kyle Crescent et le chien de chasse Iskander.

Si l'agent Crescent affirme avoir riposté en situation extrême, sous les coups de feu adverse, nous restons en droit de nous demander la légitimité de son geste ! Car la chute dans les rapides de la chatte nous laisse sans indice sur leur groupe désormais.

En effet, suite à l'assaut des deux rabatteurs, Syolkïr La Rousse a basculé dans les flots. En ce jour, les forces de l'ordre n'ont toujours pas retrouvé son corps. Sa mort n'est donc que supposée, et l'absence de revendication du groupe dit des "Révolutionnaires" rend le climat plus instable.
Cette action a aussi mise en évidence le fait que ces hybrides ne rigolent pas : et dans leur folie s'en prenne aux honnêtes citoyens de Togi, directement chez eux ! Où est donc la sécurité du peuple ?