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 Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18]

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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyMar 4 Sep - 20:46
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Trois semaines après l'arrivée de Kyoa, tout se met doucement en place à l'appartement. L'hybride a vite pris ses marques et malgré mon régime alimentaire assez stricte, il arrive à me faire de bon petit plats. Je me concentrais sur mon boulot depuis une semaine, je rentrais tard et je partais tôt.

Aujourd'hui j'étais rentrée plus tôt car très honnêtement je me sentais pas bien. J'étais fatiguée et je n'arrivais pas à danser, j'avais donc décidé de rentrer me reposer.

Lorsque j'ouvris la porte de l'appartement, j'appelai Kyoa afin de voir s'il était là. N'ayant aucune réponse de sa part, je me dirigeai vers le frigo pour me prendre une bouteille d'eau. Le vrai qui s'échappait du frigo me faisait du bien et j'en conclus rapidement que j'avais de la fièvre. C'était surement pour cela que je me sentais mal depuis ce matin. Je pris ma bouteille d'eau et tout en buvant une gorgée, je claquai la porte du frigo en me tourna pour enfin voir Kyoa. Je m'adressai alors à lui après avoir bu une bonne gorgée.

"Kyoa...je crois que je suis malade...je vais aller me reposer, tu peux..."

D'un coup mes yeux partirent en arrière et mon souffle se coupa. Mon corps entier s'étala sur le sol. J'avais déjà bien expliqué il y a quelques semaines les soins à me prodiguer, l'injection dans ma cuisse, la ventolier et mon masque pour m'aider à respirer, mais il n'avait encore jamais vu une de mes crises et entre la fatigue et ma fièvre, cette crise était impressionnante.

Mon corps entier se crispa alors que j'étais allongé sur le côté, on entendait bien que je manquais d'air, mes yeux s'étaient remis normalement, mais ms paupières s'était fermé alors que j'agonisais sur le sol de la cuisine sous les yeux de mon hybride qui était ici justement pour m'aider.

Je réussis tout de même à articuler un mot, ou plutôt un nom, celui de l'hybride, un peu comme un appel à l'aide ou un moyen de le faire réagir. La trousse de soin était dans ma chambre je lui avais montré l'endroit il y a quelques jours. Il allait devoir fouiller la mallette de soin et préparer mon injection comme je le lui avais expliqué, puis vu que j'avais eu la bonne idée de me mettre en jean moulant, il allait devoir se battre avec le tissu pour accéder à ma cuisse pour l'injection, puis il allait devoir installer la ventoline dans mon masque et le poser que ma bouche pour que je respire et me calme.




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Dernière édition par Rebecca Ueda le Lun 1 Oct - 13:52, édité 1 fois
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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyMer 5 Sep - 11:16
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Rebecca
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La routine, voilà quelque chose que tu avais à présent, mais une bonne routine, ce n’était pas celle qui venait te comprimer petit à petit et finir par te faire imploser. C’est bénéfique pour toi, tu vivais assez librement, bien plus que les autres hybrides, bien moins qu’un humain. Tu étais dans un appartement, un bel endroit en soit, tu t’y sentais à l’aise maintenant, en ayant pris tes aises. Ta maîtresse aidait bien à cela, elle n’était pas contraignante avec toi et tu pouvais presque agir comme tu l’entendais.

La seule chose qui pouvait encore te perturber, c’était principalement les humains à l’extérieur, malgré la présence d’énormément d’hybride sur l’île, tu avais toujours l’impression d’être ignoré ou considéré comme une bête de foire. Il n’y avait pas d’entre deux, pas de normalité, mais après ces quelques semaines, tu agissais comme eux, les dévisagés ou les ignorer, selon la considération qu’on te portait.

Cependant, tu t’égarais un peu, tu pensais à ta routine, il y a encore quelques secondes. Tu vivais une vie dans le ménage et l'entretien d’une maison sous toutes ses formes. Pourtant, tu aimais ça, tu pouvais te balader comme bon te semble en faisant ce que tu devais faire, tu avais libre cours dans la cuisine, tu retrouvais tes petits plaisirs de ton ancienne vie. Cuisiner à ton rythme pour les autres et toi-même, voilà quelque chose qui arrivait à te détendre.

Pourtant, de temps en temps, tu aimerais avoir quelque chose qui change le déroulement d’une de tes journées, mais tu pensais que cela viendrait avec le temps, tu n’étais que depuis quelques semaines. La seule chose qui te revenait en mémoire et qui sortait de l’ordinaire, c’était la petite formation prodiguée par Rebecca. Tu avais alors appris à t’occuper d’elle en cas de crise, tu avais eu les instructions, rien de véritablement compliqué, il fallait surtout se souvenir du dosage et aussi de l’ordre d'exécution de la procédure.

Finalement, ta journée était bien entamée, mais tu prenais seulement ta douche maintenant. Le ménage avait eu raison de ton état physique, te laissant dans un état poisseux. Tu avais eu l’envie de faire le grand ménage de printemps, mais en plein été. Alors que tu profitais de l’eau chaude, tu entendais la porte s’ouvrir, suivit de la voix de ta maîtresse. Tu accélérais alors la cadence, venant rapidement sortir, pour te sécher et t’habiller, sortant de la salle d’eau en enfilant ton haut.

Oui, tu avais appris à porter un peu plus de vêtements pour éviter des moments gênants pour Rebecca, autant que pour toi, dans votre nouvelle vie commune. Tu écoutais les quelques bruits de maison, pour savoir où ta maîtresse se trouvait, la voyant à présent dans la cuisine. Rapidement, en jetant quelques coups d’œil, tu remarquais que quelque chose n’allait pas. Elle te paraissait bien trop fatiguée, peut-être que cela expliquait son retour aussi tôt.

Alors que tu écoutais Rebecca, tu la vis tomber, restant sur place deux secondes, le temps d’assimiler la chose, tu comprenais bien trop vite que c’était bien plus qu’une maladie. Elle faisait une crise, les yeux légèrement révulsés et le corps ainsi parcouru par les spams. Tu ne perdais pas de temps, tu fonçais en direction de la chambre, prenant quand même le temps qu’il fallait dans la pièce pour prendre le matériel nécessaire, sans rien oublier et prendre des risques inutiles.

Tu revenais dans la cuisine, préparant déjà l’injection, essayant de rester calme au possible, afin d’éviter un dosage faux, une bulle d’air dans le bout de la seringue. Pourtant, tu te confrontais à un problème, son pantalon était des plus gênant, tu ne pouvais la piquer ainsi. Tu pensais à le couper sur le moment, mais il était trop proche de sa peau, sans risquer de la blesser. Il ne te restait qu’une solution, réussir à lui retirer sans la décaler, sa position lui évitant de s’étouffer avec sa propre langue maintenant.

Tu essayais de faire au mieux, tout en étant rapide, tu arrivais à défaire l’ouverture et tirer une partie, afin d’avoir les veines en visuel. Tu venais bloquer la jambe de la demoiselle, respirant lentement jusqu’à faire glisser l’aiguille sous sa peau et laisser rapidement le produit glissé dans son corps. Tu n’attendais pas de voir le produit faire directement effet, tu retirais l’aiguille vide, posant une compresse pour aider la légère zone à cicatriser rapidement.

Tu étais alors content, d’avoir pensé à préparer le masque avant, tu pouvais ainsi de ton autre main, le positionner sur le visage de la jeune femme. Finalement, tu pouvais relâcher la pression sur sa jambe pour assurer au mieux le suivi de la belle. Le traitement semblait commencer à faire effet, il ne te restait plus qu’à attendre qu’elle aille mieux.

Et maintenant que tu avais repris ton calme et que le stress était passé, tu sentais quelques larmes couler. Tes nerfs avaient été mis à rude épreuve en quelques minutes et la panique, ainsi que sa gestion avait réussi à t’atteindre plus que tu ne le pensais. Inconsciemment, l’image de perdre une nouvelle personne importante t’aurait détruit, tu laissais même filer un mot de tes lèvres.

“Rebecca !”
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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyLun 10 Sep - 13:06
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J'étais incapable de dire ce qui se passait. J'étais dans un état semi-absent. Mes crises pouvaient être compliquées à gérer et là très honnêtement j'étais allé trop loin dans mes activités. Mes poumons me faisaient un mal de chien et je manquais d'air au point de perdre connaissance.
La décharge électrique du produit dans ma cuisse aidait déjà mes poumons à se décontracter. Kyoa avait bien appris de ma formation et usait rapidement de ses compétences pour me sauver. Lorsqu'il posa le masque sur mon visage, mon corps se détendit doucement. Je retrouvais mon souffle mais mes yeux ne s'ouvraient toujours pas.

Heureusement j'avais bien expliqué à Kyoa lors de l'apprentissage qu'il se pouvait qu'en cas de crise trop forte que je mette du temps à me réveiller. C'était une sorte de mécanisme d'autodéfense de mon corps, je perdais connaissance dans ces moments-là et il savais qu'il devait appeler mon médecin une fois la crise maitriser afin que mon toubib puisse m'ausculter et vérifier mon état.

Tandis qu'il continuait de me ventiler, mon corps roula sur le dos instinctivement. Mes poumons se gonflaient d'un coup et mes yeux s'ouvrirent avec difficulté. Je posai une main sur la sienne, celle qui tenait mon masque. Je ne pouvais pas encore parler, mais je plantai mon regard dans le sien. c'était le seul moyen que j'avais pour communiquer avec lui sans me fatiguer. J'avais d'énormes poches sous mes yeux, de grosse cernes violette signe de mon état de fatigue dominant. Je tentai un léger sourire pour le rassurer. Puis avec difficulté je fis glisser ma main tremblante dans la poche de ma veste. Je fis tomber sur le sol mon téléphone portable. J'avais appris à Kyoa à l'utiliser, le premier numéro de mon répertoire était celui du médecin. Il fallait qu'il l'appelle.

Quand Kyoa se décida à le faire, je posai ma main sur mon masque et je me ventilai moi-même en laissant Kyoa s'expliquer au téléphone. Quand il eut raccroché, je retirai mon masque. J'avais le souffle cour et la voix un peu rauque. Je murmurai alors avec difficulté.

"Kyoa... J'ai froid"

Je pris doucement son poignet pour le tirer vers moi afin de lui faire comprendre qu'il pouvait me réchauffer par lui-même. J'espérais qu'il comprenne et qu'il me laisse me blottir contre lui afin que je me réchauffe.

J'avais besoin de chaleur à tout prix. Surtout quand mon corps se mit à grelotter de froid. Je pris mon masque afin de le reposer sur mon visage et pouvoir respirer de nouveau sans quitter Kyoa du regard.




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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyMar 11 Sep - 11:11
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Kyoa
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Tu avais réussi à calmer les tremblements de ta main, te focalisant sur ton souffle pour réussir à faire tenir tes nerfs un peu plus longtemps. Tu n’étais pas d’une nature sensible, mais une crise aussi soudaine et la montée d’adrénaline que cette dernière avait provoqué t’avait porté un sacré coup au moral. Rebecca avait parlé de ça si facilement et la procédure pour la maintenir en état ne comportait que quelques éléments, tu avais pensé que cela serait quelque chose de bénin. Tu croyais pouvoir le comparer à une simple baisse de tension ou pire, un petit malaise, mais cela ressemblait bien plus à une crise digne d’un épileptique.

Tu faisais alors de ton mieux pour que ta maîtresse se sente à l’aise, qu’elle essaye de récupérer, il te restait une chose à exécuter, mais pour cela, tu devais avoir accès au téléphone de ta maîtresse. Tu avais une brève pensé, te décrochant un peu de la réalité pour te calmer sur le coup. Il te faudrait demander à la jeune femme le numéro de son médecin, pour l’inscrire dans ton propre téléphone et ne pas toujours compter sur celui de Rebecca. Au vu de la situation, tu vas devoir attendre qu’elle ose montrer un signe d’éveil.

Soudain, tu sens ses muscles venir bouger, comme pour quitter cette sécurité, comme si le danger commençait à s’écarter, c’était un petit soulagement qui se ressentait en toi. Pourtant, tu avais toujours cette boule au ventre et ce petit pincement au cœur. Ton corps se tendait, comme pour attendre une nouvelle réaction, un nouveau comportement de Rebecca. Tu soupirais lentement, comme pour évacuer tout le stress qui semblait s’accumuler en toi. Tu étais pleinement soulagé à présent, ses yeux étaient ouverts, certes, elle transpirait la fatigue et la douleur, mais elle allait s’en sortir.

Si tu te souvenais bien de ses anciennes paroles, ce n’était pas la première fois qu’elle venait à faire une crise, si elles étaient toutes ainsi, tu n’étais pas au bout de tes peines pour le coup. Tu voyais la jeune femme bouger l’un de ses bras, tu ne venais pas l’empêcher d’agir ainsi, elle avait sûrement une bonne raison de faire ça. Le téléphone de Rebecca tombant alors à terre, tu venais le saisir, c’était clairement le feu vert pour communiquer avec son médecin. Ainsi, tu prenais ton temps, voulant te souvenir précisément de l’emplacement du numéro et surtout te calmer pour être claire et lucide devant lui.

Tu quittais un peu à contre coeur le masque de la belle, portant toute ton attention sur les paroles de l’objet carré. Tu passais surtout ton temps à répondre à des questions sur l’état de Rebecca et écoutant ce que tu devais faire. La plupart des actions avaient déjà été réalisées, cela semblait soulager le praticien au bout du fil, il t’ordonnait alors de rester à ses côtés et la surveiller, jusqu’à l’arrivée de ce dernier avec les services appropriés. Tu raccrochais par la suite, venant le déposer près de toi ou Rebecca, afin que vous soyez sûr de réussir à le décrocher en cas de problème.

En voyant ta maîtresse retirer ce qui l’aidait à respirer, tu étais prêt à lui sauter dessus pour lui imposer de nouveau l’appareil sur le visage. Tu fus alors stoppé net par sa voix, autant par le ton de cette dernière, que par les paroles. Cette dernière semblait épuisée, comme si la vie commençait à la quitter lentement, c’était de nouveau la panique, qui te gagnait. Seulement quelques instants, sentir la main de la jeune femme sur ton poignet venait détourner ton attention sur autre chose, que ce sentiment des plus désagréable. Tu sentais que son corps était plus froid que le tien, conséquences du fait que tu te sois activé ou que la crise ait provoqué cette soudaine chute de température ?

La suite des évènements vinrent confirmer l’une des hypothèses, elle tremblait de froid, ce n’était pas bon, tu devais agir en conséquence. Tu brisais rapidement le lien qui vous retenait accroché l’un à l’autre, filant à travers l’appartement pour réussir à trouver ce qui ressemblait le plus à une couverture. Une fois l’espèce de drap en polaire, tu revenais dans la cuisine, couvrant la demoiselle dudit tissu.

Pourtant, cela ne venait pas suffire à calmer les tremblements de ta maîtresse, tu devais trouver autre chose, la couverture mettrais trop de temps à la réchauffer, il fallait lui offrir quelque chose de déjà chaud en soit. Finalement, tu venais retirer ton haut, gardant ton pantalon par respect et pudeur envers ta maîtresse, te glissant sous la couette pour la rejoindre. Tu te collais lentement à elle, venant lui partager ta chaleur corporelle. Tu frissonnais sous le contact de sa peau glacée à présent, mais tu venais l’enlacer de tes bras, faisant toujours en sorte de ne pas gêner ses mouvements et le fait de tenir son masque.

Tu restais ainsi, le temps s’écoulant un peu, tu voulais dire à Rebecca combien tu étais content de ne plus la voir ainsi, mais c’était surtout elle qui avait besoin d’être rassurée, pas toi. Tu repensais à une phrase que ta mère te sortait souvent, quand tu sortais d’une situation pénible ou simplement d’un cauchemar d’enfant. Ta queue, couverte de ton pelage, venait bouger, allant dans la main de ta maîtresse, tu avais compris combien elle aimait caresser cette zone, peut-être que cela viendrait la rassurer.

“Ne t’en fais pas, je suis là maintenant, tout va bien se passer.”

Le temps continuait de passer, toi restant toujours éveillé pour veiller sur Rebecca.
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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyMar 11 Sep - 21:41
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Mon corps était crispé par le froid. Mes muscles me faisaient souffrir atrocement, non pas à cause de ma crise mais à cause du froid qui se répandait dans l'intégralité de mon corps. Kyoa avait compris ce qui se passait et il parcourut l'appartement pour me trouver une couverture. Celle-ci était encore fraiche et ne me réchauffait pas assez vite. Heureusement l'hybride compris vite et après avoir retiré son t shirt il vint se placer contre moi sous la couette. Mon corps ne mit pas longtemps à se réchauffer. La chaleur de son torse m'engloba rapidement et instinctivement j'allai me blottir contre lui tout en continuant de ventiler mon masque . Un silence pesant s'imposait, le seul bruit qu'on entendait était le bruit de ma respiration dans le masque.

Mon corps se décontractait petit à petit et c'était grâce à l'hybride. Si au début je n'appréciais pas le fait qu'on me force à adopter un hybride, je me disais que finalement c'était la meilleure des idées que le médecin avait eue. Kyoa avait complètement chamboulé ma vie depuis son arrivée chez moi. Certes il faisait à manger, il s'occupait de la maison, mais sa présence m'apaisait. La nuit quand je me sentais mal il m'arrivait parfois d'aller dans sa chambre sans qu'il le sache, du moins j'espérais qu'il ne le savait pas et je l'observais pour me sentir en sécurité.

Petit à petit mon corps se réchauffait. Je tremblais moins, la chaleur de Kyoa et son odeur me calmaient et m'apaisait ce qui arrangeait bien des choses. Si une de mes mains tenait mon masque, la seconde elle était posée sur la couette. Lorsqu'une touffe de poils vint caresser ma peau, je compris que Kyoa était inquiet. En général quand il venait me toucher avec son panache, c'est qu'il se sentait mal. Doucement je pris sa queue d'hybride dans ma main pour le rassurer et me rassurer aussi car j'aimais beaucoup la sortir contre moi. Je relevai un peu mon visage quand il s'adressa à moi. Mon regard croisa le sien, il était injecté de sang à cause de la fatigue, mais je tenais bon tout en lui offrant un faible sourire en guise de remerciement.

Je fermai les yeux pour m'endormir doucement dans ses bras. Durant mon sommeil le toubib était arrivé pour m'ausculter. Il avait pu rassurer Kyoa en lui disant qu'il m'avait surement sauvé la vie.
Il lui expliqua alors qu'il allait falloir m'empêcher de quitter mon lit durant vingt quatre heures car je devais me reposer. Il lui donna aussi un médicament à me faire prendre avec de l'eau toute les deux heures et il aida Kyoa à me porter jusqu'à mon lit. Il avait donc fallut me séparer de Kyoa chose que l'hybride n'allait peut-être pas apprécier mais tant pis, il fallait que je sois dans un lit pour me reposer.

Le médecin lui demanda d'aller chercher de l'eau pour que je puisse prendre mon médicament une fois réveillé. Pendant ce temps-là, il m'aida à me déshabiller. Le médecin s'occupait de moi depuis des années alors forcément quand il me déshabillait c'était purement professionnel, il n'avait aucune arrière-pensée bien sur. Une fois en sous-vêtement, il me couvrit de ma couette et se leva en regardant Kyoa qui était surement revenu.

"Je vais devoir y aller. Aux moindres soucis appelle moi. Normalement tout devrait bien se passer, la crise est partis et elle va bien, elle est juste fatiguée"

Il prit mon masque et alla le ranger dans la valise de soin pour ensuite quitter l'appartement et laisser Kyoa seul avec moi.

La couette était fraiche, je me remis à trembler en dormant.





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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyLun 17 Sep - 10:32
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Kyoa
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Toi qui étais pris de panique, mais qui ne le montrais pas à ta maîtresse, tu commençais à la sentir s’en aller. La raison en était simple, elle arrêtait de trembler, pour toi, c’était signe qu’elle allait mieux, qu’elle allait s’en sortir sans problème. Il est vrai qu’au moment de son explication, de sa petite formation, tu avais presque eu envie de faire le malin, te disant que les choses seraient simple. Pourtant, tu reconnaissais maintenant, que tu avais eu une des plus grosses peurs de ta vie. Peut-être que ta peur de l’abandon avait joué aussi. Cependant, ce n’était pas le moment de penser à cela, tu devais rester sur le fait de protéger Rebecca, de faire en sorte qu’elle reste en état, jusqu’à l’arrivée du médecin.

Sentir la main de ta maîtresse sur ton panache venait augmenter cette effet rassurant, tu te sentais un peu égoïste sur le moment, car malgré son état, elle arrivait à te calmer, alors que c’était clairement elle qui avait besoin de repos et d’attention. Tu pouvais le voir, le mal qui la rongeait à travers son regard, mais son sourire t’offrait encore un espoir. Peut-être qu’au final, agir ainsi était aussi un moyen de se rassurer elle-même, se donner la force de résister.

Tu la sentais alors partir, pas dans le mauvais sens du terme, dans le bon. Le marchand de sable semblait se montrer clément, lui offrant le sommeil. Tu avais été un peu inquiet sur le moment, mais le fait qu’elle respire et que son corps reste calme te montrait qu’elle s’écroulait simplement sous la fatigue pour le coup. Tu restais donc à ses côtés, afin de continuer de la réchauffer et surtout d’attendre les personnes aptes à s’occuper de ta maîtresse à présent.

Son médecin débarquait en face, tu brisais alors le lien avec ta maîtresse, lui laissant toute la place nécessaire pour s’occuper au mieux d’elle. Tu prenais quand même soin de regarder ses actions, si tu pouvais lui faciliter la tâche, si d’autres crises devaient arriver, puis cela viendrait aussi te permettre de pouvoir lui sauver au mieux la vie. Tu écoutais ses indications, respirant lentement pour garder au mieux ton calme, retenir les informations et protéger ta maîtresse. Cela te faisait de la peine de devoir ainsi te séparer d’elle, mais c’était pour son bien, tu devais prendre sur toi et faire des efforts à la hauteur du courage de Rebecca.

Tu voyais un peu rouge en voyant ce que faisait le médecin, mais tu comprenais que c’était encore une fois pour son bien. Pour éviter de voir à nouveau ta maîtresse aussi dénudée, tu écouter ses instructions, allant chercher ce qu’il te demandait à chaque fois. Tu pouvais ainsi éviter de rougir pour autre chose que le fait de voir cet homme poser la main sur Rebecca. Le temps passait, laissant finalement le soleil partir voguer à de nouvelles occupations, le médecin ayant enfin fini de tripoter, plutôt traiter la jeune femme.

Les dernières paroles de l’homme ne tombaient pas dans l’oreille d’un sourd, tu les retenais bien. Tu allais veiller sur elle, toute la nuit s’il fallait, ainsi, tu pourrais agir si le moindre problème venait à surgir. Tu restais à côté d’elle sur une chaise, la regardant s’endormir, Morphée ayant décidé de la reprendre dans son monde onirique. Pourtant, tu la voyais encore trembler, le froid semblait la gagner, son lit devait être frais, ce n’était sans doute pas bon pour elle.

Tu devais la réchauffer, mais la solution la plus efficace, c’était toi, tu retirais de nouveau ton haut, te laissant torse nu. Venant alors penser que sans ses vêtements, tu pourrais la réchauffer plus vite, la chaleur pouvant se transmettre plus rapidement. Tu prenais donc aussi la décision de venir retirer ton bas, restant en simple boxer pour le coup. Cependant, tu devrais la réchauffer encore plus et lui tenir chaud toute la nuit au vu de sa condition.

Il fallait aller dans les extrêmes, c’était pour le bien de ta maîtresse, cela serait gênant pour vous deux, mais elle dormait, elle ne verrait rien. Du moins, tu espérais, tu prenais donc le risque, laissant le tissu quitter ton corps, étant dans une tenue d’Adam. Ainsi, tu te glissais sous la couette, lentement, pour ne pas la réveiller, tu te sentais un peu honteux dans le fond, mais tu faisais ça pour Rebecca, puis ainsi, tu te retrouvais dans le même genre de nudité qu’elle.

Tu sentais la fraîcheur des draps sur son corps, comprenant à présent les tremblements de la demoiselle, tu avançais tout de même lentement, ne voulant pas la tirer de cette phase réparatrice pour elle. Te voilà maintenant collé à sa peau, venant l’enlacer dans tes bras doucement, pour la porter vers toi, ne pas lui faire quitter la chaleur de ton corps. Tu te mettais dans une position donnant l’impression de l’entourer d’un cocon. Tu restais éveillé quelques heures, mais finalement, cette position eue raison de toi, t’emportant aussi dans le monde des rêves.
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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyLun 17 Sep - 17:53
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Je dormais profondément malgré la fraicheur de la couette qui faisait trembler mon corps encore faible. J'allais surement mettre des jours à m'en remettre et j'allais aussi devoir prévenir mon boulot que je ne pourrais pas bosser cette semaine.
Mon corps était tellement lourd, j'avais l'impression de m'enfoncer dans le matelas. Je ne savais pas trop ce qui faisait que je me réchauffais, mais d'un coup mon corps se stoppa et le froid cessait de me tourmenter.

Lorsque j'ouvris les yeux, j'eut du mal à les garder ouverts. Le soleil se couchait et forcement j'avais ses rayons en plein dans les yeux. Je tentai alors de comprendre ce qui se passait car je transpirais. Je mourrais de chaud. Je cherchais donc la raison de cette chaleur et je commençais à comprendre quand je vis devant moi une main. En tournant un peut la tête, je compris que derrière moi il y avait Kyoa. Malgré la fatigue, je réussis à me tourner et à me retrouver face à lui. Il dormait et semblait en paix. Je n'avais pas besoin de me rappeler ce qui s'était passé. Mon corps était lourd et mon poumon me faisait légèrement mal. J'avais donc eu une crise à force de ne pas écouter les alertes de mon corps.

Alors que l'hybride commençait à gesticuler, je sentis quelque chose de bizarre. Outre la présence de sa panache, je pus remarquer une autre présence. Je soulevai doucement la couette et roulai des yeux. Il avait osé...bon je n'allais pas lui en vouloir après tout le connaissait il avait surement fait ça pour une bonne raison.

Je ne cherchais pas à comprendre et je me recalai dans mon oreiller attendant qu'il se réveille. Je n'avais plus envie de dormir, mais mon corps refusait de se lever. Je savais déjà ce qui allait arriver si je sortais du lit. J'allais avoir froid, j'allais trembler et j'aurai surement des vertiges.
Lorsque Kyoa ouvrit enfin les yeux, je plongeai mon regard dans le sien prête à le taquiner afin de montrer que j'allais bien. Lorsqu'il fut apte à m'écouter je murmurai d'une voix encore fragile.

"Je peux savoir ce que tu fais nu dans mon lit? Tu profites des pauvres humaines sans défense? c'est malsain mon loup"

Malgré la fragilité de ma voix il entendait surement que je plaisantais surtout que j'avais un petit sourire qui était dessiné sur mon visage. D'ailleurs s'il tentait de rétorquer je posai ma main sur son bras en le rassurant.

"Je plaisantais. Merci d'avoir été là. Tu m'as sauvé la vie Kyoa"

Kyoa avait beau depuis l'adoption jouer le gros dur, j'avais vite ciblé sa personnalité, notamment quand il était venu dormir avec moi après ce films d'horreur.
Je ne bougeais pas de ma place afin de me reposer, mais cela ne m'empêchait pas de parler. Je levai avec difficulté mon bras et je passai ma main sur son front pour écarter quelques cheveux blancs de son visage. Je murmurai de ma voix un peu enroué.

"Comment tu te sens? tu as le droit d'avoir eu peur tu sais...je sais que mes crises peuvent faire peurs. Tu as très bien géré et je suis fière de toi tu sais?"




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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyMar 18 Sep - 14:29
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Kyoa
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Ton sommeil n’avait ni bon, ni mauvais, un long couloir noir, sans rêve ni cauchemar, pourtant, tu sentais le temps passé, comme si ce dernier ne voulait pas totalement te laisser aller. Peut-être qu'inconsciemment, tu étais dans ce sommeil, cette phase de transe pour garder tes sens en éveil et essayer de réagir au plus vite. Tu avais alors l’impression de tanguer, d’être secoué. Tu quittais alors lentement ton sommeil, ouvrant les yeux, essayant de chercher un brin de lumière pour venir éclairer ton univers, voir un peu mieux.

La première chose que tu venais croiser était le regard de ta maîtresse, tu mettais du temps à t’en rendre compte sur le moment. Pourtant, ta mémoire revenait, te rappelant que tu étais aussi couvert qu’un enfant à la naissance. Tu aurais rougi, si Rebecca n’avait pas pris la peine de te taquiner, tu ne savais pas quoi dire, quoi répondre, car dans le fond, c’est vrai que ton action pouvait paraître malsaine. Tu détournais lentement ton regard, ayant presque envie de fuir du lit, aussi vite que tu l’avais rejoint.

Tu sentais alors sa main sur la tienne, regardant à nouveau son visage pour mieux comprendre ce que ses traits venaient exposer. Tu percevais alors qu’il s’agissait d’une plaisanterie, tu avais envie de lui dire que cela n’était pas très amusant, mais tu ne laissais rien franchir tes lèvres. Les mots de remerciement de la belle avaient réussi à calmer toute ardeur vengeresse. À présent, tu venais rougir sous l’impact de ses mots, ces quelques paroles étouffaient en toi toute inquiétude et venaient te donner un pincement au cœur, mais ce dernier était des plus agréables à entendre pour le coup.

Sa main, se posant sur ton front, ne faisait rien pour arranger ce sentiment, tu étais plus qu’heureux qu’elle soit saine et sauf, tu te rendais compte que sa disparition aurait vraiment eu l’effet le plus néfaste sur ta personne. Tu voulais rester avec elle, le plus longtemps possible, profiter de sa compagnie, de son caractère, ses taquineries, sa simple présence était la meilleure chose depuis un bon bout de temps. Tu écoutais à nouveau ses paroles, écartant encore une fois ton regard du sien, elle avait raison.

Pourtant, tu ne voulais pas lui dire maintenant, puis pourquoi pas. Elle avait su être là quand il le fallait, même dès le premier jour, lorsque tu avais eu peur. Inconsciemment, tu resserrais ton étreinte autour d’elle, tu plongeais tes iris dans ses prunelles, prenant un peu plus d’assurance pour une fois, laissant vraiment croire que tu avais du caractère et une âme de leader.

“Bien sûr que j’étais inquiet, qui ne le serais pas en voyant une personne importante à ses yeux être dans un tel état ? Si tu n’avais pas survécu, je ne serais pas ce que je serais devenue, alors ne me fait plus jamais peur ainsi, d’accord ?”

Tu t’étais rapproché d’elle, il n’y avait que quelques centimètres entre vous à présent. Finalement, tu brisais lentement le lien entre vous, tu devais faire en sorte qu’elle se soigne et pour ça, elle devait aussi se nourrir pour avoir de quoi se remettre en état. Tu te tournais pour ne pas qu’elle te voit dans ta tenue d’Adam, pas une nouvelle fois en tout cas. Tu remettais ton boxer, suivi du jean déchiré que tu portais tout à l’heure, ainsi, tu quittais la couverture chaude et la douce présence de ta maîtresse.

“Je vais te cuisiner quelque chose pour te faire du bien ! N’oublie pas de prendre ton médicament.”

Tu partais à présent en cuisine, sortant de quoi lui préparer un bon repas, tu comptais lui servir un risotto cuit dans un bouillon de légumes, recouvert de parmesan. Tu préparais des pousses de soja que tu déposais sur le risotto. Tu faisais de même avec du Tofu, le cuisinant comme s’il s’agissait de tranche de porc fine. Le plat était préparé, tu avais prévu des choses consistantes, mais que son estomac pourrait digérer facilement.

En t’armant d’une cuillère, tu filais à nouveau dans la chambre, prenant la chaise dont tu t’étais servi pour rester à ses côtés. Tu t’installais vers elle, remplissant la cuillère du risotto et tendant la cuillère vers elle.

“Allez, ouvre la bouche, je vais te nourrir, tu ne dois pas faire trop d’effort pour le moment.”
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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyMar 18 Sep - 15:25
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Mes paroles étaient plus que sincères. Si au début adopter Kyoa était plus un fardeau, je me rendais compte maintenant que l'avoir à mes côtés était important. D'un, il m'avait sauvé la vie, de deux... Kyoa avait totalement sa place dans cette maison et je ne me voyais pas retourner seul sans lui. Il faisait partie de ma vie maintenant et j'étais responsable de lui, alors oui je me souciais de son état.

Je sentais ses bras se serrer autour de moi. Il planta son regard dans le mien. Allait-il se confier à moi? J'avais vraiment envie de savoir comment il se sentait. Mais ce qui me faisait sourire avec discrétion c'était le fait qu'il tentait de changer de visage. Il avait envie de montrer qu'il avait du caractère. Sa carapace se reformait autour de lui.

Ses paroles étaient des plus agréable et petit à petit il se rapprochait de moi. Je ne bougeais pas d'un millimètre. Tout simplement parce que mon corps ne le pouvait plus mais aussi parce que la chaleur de Kyoa me fait du bien. Néanmoins il rompit le lien et sans trop le montrer j'étais déçu. Il me tourna le dos pour se rhabiller et ensuite sortir du lit. Je m'étendis un peu sous la couette afin de capter un peu plus de chaleur grâce à la place encore chaude de l'hybride.

Il m'annonça alors qu'il allait me cuisiner quelque chose. j'aurais pu lui dire que ce n'était pas la peine, que je n'avais pas trop faim. Mais je me doutais que le toubib avait mis les choses au clair avec Kyoa. J'acquiesçai alors d'un signe de tête et je le laissai aller en cuisine.

Allongée sur le dos je tentais de retrouver mes forces en silence. Rapidement une douce odeur monta jusqu'à ma chambre. Finalement j'allais avoir faim car ça sentait très bon.
Kyoa revint et prit place sur une chaise à coté du lit. Lorsqu'il tendit la cuillère vers moi je lui lançai un regard surpris et je lui lançai d'une voix calme.

"Tu plaisantes?"

Il devait surement être surpris par mon répondant, mais tant pis. Je me redressai pour m'assoir dans le lit en collant mon dos à la tête de lit. La couette tomba au niveau de mon nombril m'affichant alors le buste encore habillé de mon soutien-gorge. Je posai ma main sur celle de Kyoa qui tenait la cuillère et je fis en sorte qu'il pose la cuillère dans le bol.
Puis sans le quitter du regard je pris doucement le bol chaud et le posai sur mes jambes en répondant.

"Je sais encore me nourrir seule"

Je n'aimais pas qu'on m'infantilise et ça Kyoa le savait que trop bien. Je pouvais comprendre qu'il veille sur moi, mais il y avait des limites quand même. Je lui fis tout de même un petit sourire en commençant à manger doucement pour ne pas me bruler. Puis je lui murmurai.

"C'est très bon Kyoa merci"

Je me penchai un peu pour aller déposer mes lèvres sur sa joue avec douceur en guise de remerciement. Puis je lui proposai.

"Je doute pouvoir quitter ce lit durant deux jours. Tu veux dormir avec moi ? tu te sentiras surement mieux avec moi à tes côtés non?"





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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyMer 19 Sep - 13:27
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Rebecca
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Tu restais dans une position digne de celle du Penseur, attendant que Rebecca daigne ouvrir ses lèvres pour accepter la cuillère tendue. Pourtant, il n’en fut rien, elle te lançait simplement une petite réplique, comme pour te dire que le fait de la prendre pour une enfant était inutile. Tu redressais un peu ton dos sous sa phrase, la regardant faire, tu n’allais pas aller contre son jugement, elle était ta maîtresse et surtout, il fallait éviter le stress ou tout autre sentiment négatif. Tu ne voulais pas qu’elle recommence à faire une crise, alors qu’elle venait juste de sortir de la dernière.

Tu avais simplement repris le réflexe de lorsque tu t’occupais de ta famille, tu avais encore un peu ton côté protecteur sur le moment. Tu étais alors obligé de venir détourner le regard de la jeune femme, la trouvant bien trop irrésistible dans cette tenue, cela la rendait bien trop sensuelle, malgré son état de malade. Car oui, comme elle te l’avait appris, tu t’étais renseigné sur la sexualité et dans le fond, tu considérais la jeune femme comme un de tes fantasmes actuelles, même si tu ne saisissais pas encore pleinement la signification de ce mot à présent.

Tu te faisais un peu manipuler, te laissant plutôt guider au final, tu n’allais pas opposer de résistance à la jeune femme, tu n’en avais vraiment pas l’envie. Petit à petit, tu retournais ton regard vers elle, pour la surveiller et voir son état. Tu espérais que sa mobilité t’aide à estimer combien de temps, elle devrait encore rester coincer sous cet épais tissu. Tu écoutais encore une fois la demoiselle, la voyant en bien meilleur état qu’hier, ce qui était plus que rassurant, elle semblait pleine d’énergie à présent.

P
ourtant, ce n’était toujours pas la Rebecca actuelle, il lui faudrait peut-être un peu plus de repos que prévu sur le coup. Tu gardais un air sérieux, jusqu’à finalement venir te détendre un peu, lorsqu’elle te complimenta sur ton repas. Tu connaissais tes talents en cuisine, mais recevoir un compliment de sa part était toujours aussi agréable pour ta personne. Finalement, elle arrivait à t’arracher à nouveau quelques teintes rouges sur les joues, elle savait presque briser ta carapace à chaque fois, comme elle le voulait.

Tu retrouvais ton comportement habituelle assez rapidement, elle arrivait vraiment à te calmer lorsque tu commençais à avoir des craintes. Ses nouveaux phrasés arrivaient à tes oreilles, haussant alors un sourcil sur le moment. Sa proposition te faisait plaisir, même si un peu étrange, certes cela t’avait chamboulé, mais tu allais mieux dans le fond, c’était elle qui était mal. Peut-être que dans le fond, c’était elle qui voulait que tu restes à ses côtés.

Tu étais prêt à venir la taquiner sur le moment, mais pour une fois, tu décidais de réfléchir un peu et de jouer le jeu de l’âme sensible. Tu la laissais finir son repas tranquillement, jouant un peu plus l’homme gêné, prenant ton panache entre tes mains pour accentuer cela. Finalement, tu laissais sortir d’une petite voix timide d’entre tes lèvres sur le moment.

“Je… Je veux bien oui, je te remercie de me laisser dormir encore une fois avec toi, malgré ton état. Merci Rebecca, tu es la meilleure !”

Tu continuais de jouer le jeu, venant lui rendre son agréable bisou de tout à l’heure, en faisant de même sur la joue qui était le plus tendu vers toi. Tu venais ensuite tendrement l’enlacer déposer à nouveau ton panache sur sa jambe.
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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyMer 19 Sep - 22:32
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Kyoa et moi avions un point en commun. Notre fierté. Je venais de proposer à l'hybride de dormir avec moi pour qu'il se sente mieux. J'avais tellement de fierté que je n'arrivais pas à admettre que c'était moi qui avais besoin de sa présence. Après une crise j'avais ce besoin de tendresse, d'attention... Un peu comme quand on est môme et qu'on se blesse. On a besoin du câlin de maman. Sauf que moi j'avais surtout ce besoin qu'on s'occupe de moi. Peu importe du rôle de la personne.
Je terminais doucement mon bol pour ensuite le déposer sur la table de nuit. Lorsque je tournai la tête vers Kyoa, je fus surprise de le voir en mode timide. Il était rarement comme ça et je commençais à me demander si cela n'avait pas un rapport avec ma crise.
La voix de l'hybride résonna alors qu'il taquinait son panache nerveusement. J'étais surprise et je ne réagissais pas du tout Kyoa pu du coup poser ses lèvres sur ma joue et m'enlacer tendrement. Je le laissai faire, puis je murmurai doucement.

"J'espère pour toi que le côté hybride timide ce n'est pas pour ma crise...car très honnêtement je préfère ton petit caractère"

Ma voix était de nouveau faible. Le fait d'être assise me fatiguait, comme quoi il allait me falloir du temps pour me remettre de cette crise. Je me dégageai de ses bras pour m'allonger sur le côté afin de pouvoir le regarder. Je lui proposai alors.

"Si tu veux tu peux aller chercher mon ordinateur portable...on va se mettre une série en bruit de fond"

Normalement je n'y avais pas trop le droit car le sucre n'était pas la meilleure solution après une crise, mais je sortis mes petits yeux de chatons en murmurant.

"Et tu sais dans le placard j'ai des cookies...tu veux bien m'amener un paquet? allez steu plaît j'en ai très envie"

Je savais très bien que le toubib avait dû lui dire que je devais éviter les sucreries après une crise, mais je savais aussi que Kyoa avait du mal à me refuser ce que je réclamais de cette façon. Je fis un petit sourire tendre espérant qu'il accepte de me ramener mes gâteaux. J'ajoutai d'ailleurs.

"Avec un grand thé...comme ça je m'hydrate. T'as vu je fais attention à moi. Aller s'il te plaît je te laisserais en manger"

Je fais une petite moue triste prête à tout pour avoir ce que je voulais. Je ne pouvais certes pas me lever ou marcher, mais malgré ma faible voix je pouvais encore être une vraie chieuse et limite faire un caprice.



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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyVen 21 Sep - 8:06
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Kyoa
Rebecca
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Tu écoutais les paroles de la demoiselle, tu étais surpris, elle préférait te savoir avec un caractère râleur, essayant d’être le chef ? C’était surprenant, mais cela te faisait plaisir, elle t’appréciait comme tu étais, tu lui souriais alors de tout ton être, c’était pour une toi, une sorte de preuve d’amour. Pas celui qui semble apparaître dans les films, mais quelque chose de fort qui venait se tisser entre vous, tu avais l’impression que pour elle aussi, ta disparition pourrait causer des problèmes.

Tu sentais ton entrave venir se briser, le corps de ta maîtresse semblait un peu plus lourd, comme si elle avait du mal à supporter son propre poids à présent. Tu la laissais faire, tu aurais voulu continuer cette douce accolade, mais sa santé passait bien avant tes envies pour le coup. Tu l’écoutais alors, elle voulait son ordinateur portable, tu trouvais cet objet bien pratique, mais tu avais encore tu mal à t’en servir, tu devrais donc laisser Rebecca user de ses doigts de fée dessus, malgré son état.

Alors que tu posais tes mains sur tes genoux, prêt à prendre appui pour chercher le dit objet, tu croisais les prunelles de la demoiselle. Tu connaissais ce regard, elle l’avait déjà usé plusieurs fois sur toi, tu ne pouvais rien refuser quand elle faisait ça. Cela en devenait déconcertant, vous viviez seulement depuis quelques semaines ensemble et elle savait déjà frapper là où les choses faisaient mal. Elle voulait du sucre, tu savais de son médecin que son alimentation devait rester saine, mais tu ne pouvais pas lui dire non.

Sa dernière phrase venait alors faire dresser tes oreilles, elle jouait sur la corde sensible en plus, disant qu’elle faisait bien attention. Tu montrais donc à nouveau un air de grognon comme tu savais les faire, même dans cet état, elle arrivait à garder son côté de princesse emmerdeuse et toi, tu resterais le gentil prince charmant qui vient l’aider. Tu te levais d’un coup, laissant parler ta partie râleuse en toi.

“Okay, okay, je vais te chercher ça, c’est bon, mais arrête avec ce regard, c’est trop facile sinon aussi. Je reviens, fait moi une place dans le lit en attendant !”

Tu sortais alors vivement de la chambre, comme le petit fougueux que tu étais. Une fois que tu eus passé le bas de la porte, tu souriais doucement. Elle avait réussi en un tour de bras à faire ressortir le toi habituel, à détruire de façon définitive toutes traces de peur. Tu préparais alors le thé, repensant à ces quelques semaines passé avec elle, au changement dans ton univers et sans doute dans le sien.

Dans le fond, tu pouvais dresser un bon tableau de ta vie en sa compagnie, tu n’avais à te plaindre de rien, car même ses caprices, tu les faisais de bon cœur à présent. Tu te préparais aussi un thé, venant placer les cookies dans une assiette, celas serait plus pratique, si vous deviez manger à deux. Tu fis de ce fait, deux aller-retour dans la chambre, le premier pour apporter les cookies et l’ordinateur, laissant le temps à ta maîtresse de le préparer.

Tu retournais alors en cuisine pour récupérer les thés qui avaient eu le temps de finir d’infuser, tu revenais alors, les déposant de chaque côté du lit pour vous deux. Ce fut, cette fois sans aucune hésitation, que tu retirais ton bas, restant en boxer, pour rejoindre la jeune femme sous les draps, venant presque te coller à elle de façon instinctive. Tu observais alors cette scène, la trouvant étrangement normal et surtout réconfortante, tu laissais alors l’émotion du moment, ce sentiment de plénitude parler.

“Dis moi Rebecca, tu me promets qu’on restera toujours ainsi ?”
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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyDim 23 Sep - 16:11
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Je savais toujours avec qui je pouvais avoir le droit de faire des caprices. Mon frère cédait toujours et c'était le seul, mais maintenant il y avait Kyoa aussi et encore il avait de la chance ce n'était pas un caprice compliqué, juste des cookies. Kyoa quitta ma chambre en me demandant d'arrêter avec cette moue et surtout de lui laisser de la place dans le lit. Je roulai des yeux et m'allongeai de nouveau sur le dos durant l'absence de Kyoa pour reposer mon corps encore faible.
Je fermais les yeux quelques secondes pour les réeouvrir quand les bruits de pas de l'hybride résonnaient dans les escaliers de ma chambre.

Je récupérais mon Pc que j'ouvris pour chercher un film ou une série qui ne ferait pas peur à Kyoa. Il repartit dans la cuisine et quand je pus trouver un film qui s'appelle le seigneur des anneaux, j'installai le Pc sur un banc décoratif au pied du mon lit et je m'allongeai de nouveau quand Kyoa revint chargé avec le thé. Il posa une tasse de chaque côté du lit et comme souvent il se déshabilla en retirant son bas. Je n'étais plus choqué par son comportement et encore là il avait gardé son boxer ce qui me fit sourire. Kyoa n'avait aucune pudeur et je commençais à m'y faire. Je le laissai donc entrer dans le lit sans un mot et je lançai le film. Instinctivement il vint se blottir contre moi et je passai mon bras dans son dos pour le garder contre moi. Je répondis ensuite à sa question.

"Je t'ai adopté...ce n'est pas pour te mettre à la rue, donc oui on restera comme ça."

Je posai ma tête contre la sienne en observant le film. Je savais pas trop quoi dire, je sentais qu'il était tendu, ma crise l'avait surement perturbé plus qu'il ne le pensait. Je voulais donc l'aider un peu. Je posai mes lèvres sur sa tempe et je murmurai.

"Allez détend toi Kyoa, je vais bien et je vais m'en sortir grâce à toi. Tu n'as plus de raison de t'inquiéter"

Je descendis ma main le long de son bras pour prendre sa main et entremêler mes doigts avec les siens tout en regardant le film. Je rassurai l'hybride en lui expliquant que le film était un truc de fantastique et qu'il ne risquait pas d'avoir peur car rien n'était réel et que le monde en question n'existait pas du tout.


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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyLun 24 Sep - 16:11
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La réponse de ta maîtresse lui convenait parfaitement, c’était typiquement son caractère, une femme forte ou du moins, une femme qui savait ce qu’elle voulait. Elle te donnait souvent l’impression d’avancer sans aucune hésitation dans la vie, même ses crises semblaient être un détail quand on la regardait au final. Tu venais sourire, lentement, presque tendrement, cela te convenait, car tu savais qu’elle ne viendrait pas t’abandonner, te laisser dans un coin. Pourtant, il y avait encore des choses qui trottaient dans ton esprit, mais cela venait de toi, tu ne voyais que cette hypothèse-là sur le coup.

Tu sentais à présent, le corps de Rebecca se faire plus présent sur toi, tu aimais, encore une fois, cette sensation, ce sentiment que cela apportait. Ce n’était pas comme le premier jour, un plaisir étrange mélangé avec une certaine gêne, découverte ou encore inexpérience. Tu étais maintenant habitué à ce genre d’attention, tu les appréciais simplement comme elle venait, cela semblait même mieux qu’auparavant, tu devais le reconnaître, mais tu ne lui dirais pas.

Un frisson venait parcourir ton échine, le comportement de la jeune femme était toujours aussi taquin, pourtant celui-ci n’avait pas pour but de venir piquer quelque chose qui pouvait te faire grincer les dents. Non, elle gardait cette façon de taquiner pour se montrer douce compréhensive, voilà, ça, c’était une sensation nouvelle, ce sentiment de gêne et plaisir qui venait naître à nouveau dans ton esprit et ton corps. Elle te rassurait encore, peut-être qu’elle te pensait inquiet, donc tu devais créer de l’inquiétude chez elle, ce n’était pas malin de ta part vu son état, mais comme elle le disait, elle semblait aller bien mieux pour le coup.

Tu étais bien, apaisé, encore plus quand tu la sentais prendre les devants en quelque sorte, voilà encore une fois une sensation qui venait te marquer pour le coup. Ton cœur battait rapidement, pourtant ta respiration était des plus calmes pour l’instant. Ton esprit était entièrement limpide, tu ne paniquais pas, loin de là, ses actions avaient même l’effet inverse, tu ne connaissais pas ce genre de sentiment.

Enfin, tu portais l’attention aux explications de Rebecca, elle essayait à nouveau de te rassurer, mais sur un autre point cette fois-ci, le contenu du film. Tu te concentrais alors dessus, du moins, tu essayais, ton cerveau en revenait toujours à ta maîtresse. Tu passais alors de l’un à l’autre, réfléchissant sur toi-même et cette légère sensation de malaise qui t’étais resté, il y a encore quelques minutes. Tu suivais aussi les quelques dialogues intéressant ou plutôt pertinent pour toi.

Tu en retenais la peur du départ, le sentiment d’aventure, le fait de faire le premier pas, les conflits des grandes décision, le poids du passé ou encore les sentiments d’amour. Le temps passait, tu finissais par venir porter la tête de ta maîtresse, sur ton torse, l’invitant à se coller un peu plus à toi. L’on pourrait croire qu’il s’agissait d’un acte ayant pour but de la réconforter, la réalité était différente. C’était pour toi que tu agissais, tu voulais sentir un peu plus sa présence, sa vie circuler en elle, tu la désirais presque, tu la voulais pour toi sur le moment, car c’était bien toi qui étais à ses côtés pour le moment, le meilleur et le pire.

Le temps passait dans le silence, la nuit avançant encore plus, il se faisait de plus en plus tard, si elle venait à s’endormir après le film, elle dormirait sans doute jusqu’à midi. Et finalement, ce fut la fin de cette épopée, tu espérais qu’il existait une suite, cela ne pouvait se finir ainsi, même si tu avais suivi du coin de l’œil, cela était suffisamment bien fait pour donner envie de connaître la suite de l’histoire. Ce moment t’avait aussi permis de mettre un doigt sur le malaise qui naissait en toi, tu avais une solution pour le confirmer, mais pour ça, tu devrais te montrer audacieux, tu devrais te montrer comme ta maîtresse.

Tu venais alors lentement te décoller d’elle, un air serein sur le visage à présent, assuré, prêt à faire ce qu’il fallait pour enfin mettre à plat tous les sentiments que cette crise avait chamboulé dans ton esprit.

“Je vais aller ranger l’ordinateur et les tasses, tu as besoin de dormir, on pourra regarder la suite demain, j’ai bien aimé et j’aimerais en connaître la suite.”

Tu faisais comme tu avais dit, tu t’occupais de transformer la pièce en une chambre et non une salle de cinéma improvisé. Alors que tu débarrassais, tu rassemblais les derniers fragments de courage qu’il te manquait, alors que tu revenais, comme si tu allais te coucher avec elle. Tu prenais plutôt appuie sur le lit, pour t’approcher d’elle, faisant ce que tu n’aurais pas eu le courage, il y a quelques semaines avant.

Tu déposais tes lèvres, sur celle de ta maîtresse, qui ne devait pas s’attendre à cela, tu laissais cet instant durer ce qu’il fallait, du moins ce qui te plaisait. Tu mettais alors fin à cela, trouvant que la chose était plus agréable que ce que tu aurais imaginé. Tu reposais tes pieds sur le sol, regardant avec ce même regard Rebecca.

“Je pense que je devrais donc dormir dans ma chambre ce soir. Dors bien Rebecca !”

Tu te retournais près à partir, ta maîtresse avait encore le temps pour te retenir, te rattraper, tu assumerais la conséquence de tes actes, mais tu étais assuré à présent et fier de ton acte.
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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyVen 28 Sep - 10:16
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D'extérieur je faisais tout pour être forte. Je refusais qu'ont me vois comme une petite chose fragile. Mais je savais très bien au fond que j'étais faible et fragile. Ma réponse à sa question était donc quelque chose de totalement lié à ma carapace.

Je restais proche de Kyoa durant tout le film. Nos doigts étaient entremêlés et sans un mot j'observais ce film que j'aimais beaucoup. J'oubliais souvent qu'il ne connaissait rien en ce qui concernait les liens entre deux personnes et pour être honnête moi non plus j'y connaissais rien car hormis quelques plans cul je ne m'étais jamais posé la question sur un quelconque attachement.
Pendant le film je réfléchissais un peu. J'appréciais beaucoup Kyoa et même plus qu'envers un simple animal. Je commençais donc à me demander si je le considérais comme un animal domestique ou bien un ami...un ami proche. Mes pensées furent coupées quand il porta ma tête contre son torse. Il était dur, chaud et...mince c'était agréable en fait. En y réfléchissant bien je n'avais jamais regardé de film avec un homme...autre que mon frère avant qu'il ne m'abandonne. Et c'était assez agréable. Je profitais donc de ce moment de calme et contre toute attente, je n'avais plus de douleur dans la poitrine. En général j'avais ces douleurs durant deux ou trois jours à cause du traumatisme que la crise provoquait à mes organes, mais là... C'était comme ci Kyoa avait tout effacé avec sa chaleur.
Lorsque le générique apparut, je sentis Kyoa gesticuler pour mettre fin à ce moment. À contre cœur je me redressai pour m'assoir et je l'écoutais parler. Je répondis tout simplement.

"Il y a encore deux films. On regardera demain si tu veux. Je ne bouge pas de la maison de toute façon"

Je laissais L'hybride tout ranger. Pendant ce temps j'envoyais un SMS à un mec que je devais voir le lendemain. Je lui expliquais que j'avais un empêchement et qu'on remettait ça à plus tard.
Je tournai la tête en posant mon téléphone quand je sentis un poids sur le matelas. Je tombai alors nez à nez avec un Kyoa très proche de moi. Je plantai mon regard dans le sien sans un mot. Je me demandais ce qu'il allait faire.

La chaleur de ses lèvres se posait sur les miennes à ma grande surprise. En temps normal je l'aurais repoussé, mais pour être honnête cet acte plein d'audace me faisait plaisir.
Encore une fois l'inexpérience de Kyoa se faisait ressentir mais c'était assez mignon. Je ne lui laissai pas le temps de se tourner pour se sauver. Il eut à peine fini sa phrase que je l'agrippai par le bras en le fixant.

Un silence pesant flottait entre nous deux. Au bout de quelques secondes, je posai ma main sur sa joue tendrement. Puis j'approchai mes lèvres en murmurant.

"Mignon comme bisous...mais je crois qu'il est temps que tu connaisses ton premier vrai baisé"

Je savais très bien que c'était son premier. Il m'en avait parlé au début de notre rencontre. Il n'avait jamais eu de rapprochement avec des humaines et vu le petit bisou qu'il venait de m'offrir, j'étais sur de ce que je disais.

Je serrais un peut mes doigts sur son bras en approchant mon visage en silence sans le quitter du regard. Dans un premier temps je frôlai ses lèvres et s'il venait à brusquer le baiser je lui ferai signe du doigt d'attendre en murmurant.

"Laisse-moi faire."

Une nouvelle fois je frôlai ses lèvres. Ma main remonta le long de sa joue jusqu'à aller derrière sa tête pour passer mes doigts dans ses longues mèches blanches. Mon autre main elle continuait de s'agripper à son bras. Je collais doucement mes lèvres aux siennes pour lui offrir le ne même baiser qu'il m'avait offert. Puis ensuite doucement je passai ma langue entre ses lèvres l'incitant à me laisser le passage. Lorsqu'il se décida, je laissai ma langue s'immiscer entre ses lèvres afin d'aller danser avec sa jumelle. Je me permettais de mener la danse avec douceur durant un moment. Une fois le baiser terminé, je laissai Kyoa reprendre sa respiration. Néanmoins je ne reculais pas. Je posai mon front contre le sien en le fixant tout en gardant mes mains en place. Puis je murmurai.

"Alors? Tu veux toujours dormir dans ta chambre?"

S'il répondait oui, je le relâcherais et le laisserais aller dans sa chambre. Dans le cas contraire, je lui offrirais exactement le même baiser en l'attirant un peu dans le lit afin de retrouver sa douce chaleur.


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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyDim 30 Sep - 19:17
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Tu pensais pouvoir partir, garder ta fierté et ta peur au creux de ton ventre. Oui, tu étais fier d’avoir pu faire preuve ainsi d’audace, mais tu avais peur des conséquences, de venir briser ce qui avait réussi à se construire avec elle. Pourtant, tu ne pouvais aller contre ce flot qui te prenait aux tripes, la voir ainsi te faisais prendre conscience de certaines choses. Tu étais attaché à Rebecca, peut-être pas de la façon dont tu voulais, tu désirais la protéger, être là pour elle, peut-être même être le seul pour elle. Tu ne savais pas encore mettre de mots sur ce sentiment, mais tu avais agi sous ce dernier, tu te doutais bien que tu avais fait les choses de façon un peu enfantine ou inexpérimenté, mais tu faisais à ta façon, avec tes propres moyens.

Du moins, les choses auraient dû finir ainsi pour toi, tu n’avais pas le temps de prendre la sauvette, Rebecca faisait preuve d’une rapidité et vivacité assez surprenante, malgré son titre de malade pour le moment. Tu n’avais d’autre choix que de venir affronter le regard de ta maîtresse, tu t’attendais à tout sauf à sa réaction. Tu ne voyais aucune colère dans son regard, mais le silence commençait à devenir pesant pour toi, tu ne savais pas sur quels pieds danser pour le coup.

Puis les choses vinrent alors changer, tu sentais la main de ta maîtresse sur ta joue puis ses paroles venaient enflammer un peu ton esprit. La distance entre vous commençait à se réduire, mais pour une fois, ce n’était pas toi qui avais contrôlé cette dernière. Tu ne bougeais pas réellement, préférant être spectateur et subir pour ce nouveau round avec elle, cela te faisait penser, que tu n’aurais sans doute jamais l’ascendant avec Rebecca, tu serais toujours celui que l’on prend à revers.

Pourtant, si c’était pour elle, cela ne venait pas te déranger, tu trouvais même le jeu amusant, tu voulais alors essayer de te surpasser, montrer que tu pouvais comprendre, apprendre rapidement. La chaleur de la main de la demoiselle avait une sensation plaisante, elle te confortait encore dans l’idée qu’elle allait mieux et surtout sentir ainsi sa présence te faisait un bien fou, une sorte de plaisir naissant dans le bas de ton dos. Tu appréciais encore une fois le contact de ses lèvres, le trouvant plus appuyé que le tien, elle avait bien plus confiance que toi.

Tu sentais alors quelque chose, sa langue appuyer contre tes lèvres, comme si elle désirait passer, tu venais alors entrouvrir tes lèvres, pour la laisser filer. Tu comprenais alors qu’elle dansait avec la tienne, te forçant ainsi à bouger aussi ta langue, suivant son rythme, apprenant cela. La sensation était nouvelle et étrange, pourtant, tu ne pouvais réfuter son côté plaisant, tu partageais ce genre de chose avec elle, pour toi, c’était particulier et unique, c’était la première personne à pouvoir recevoir cela de toi. Le baiser venait alors prendre fin, tu reprenais lentement ton souffle, tu avais été tellement surpris, puis concentrer à imprégner cette sensation, que tu en avais oublié de respirer.

Pendant qu’elle collait son front au tien, tu plongeais tes iris dans ses prunelles, tu la dévorais du regard à présent, comme tu ne l’avais jamais fait. Tu avais l’impression de la découvrir à nouveau, remarquant des détails que tu n’avais jamais vu ou pris le temps de voir. Même ainsi, elle restait belle pour toi, plus belle que le peu d’humaines que tu avais eu la chance de voir pour le coup. Sa phrase eue l’effet d’un coup au cœur, venant te faire regretter tes propos, elle jouait encore avec toi, mais tu l’avais cherché sur le coup à vouloir fuir comme si tu avais commis un crime. Tu te sentais alors prêt à continuer, tu en voulais encore plus, puis tu voulais lui montrer que tu pouvais toi aussi embrasser comme il faut à présent.

“Non… J’ai envie de rester près de toi !”

Tu avais encore une fois, à peine eu le temps de finir ta phrase que tu la sentais venir t’embrasser à nouveau, maintenant que tu savais faire, tu pouvais suivre le rythme de son baiser son problème, tu venais alors te glisser lentement sous la couette, du moins il te suffisait simplement de remettre la couverture sur ton corps presque nu à présent. Le baiser prenait à nouveau fin, tu étais au chaud avec elle, mais tu ne voulais pas abandonner l’idée de lui montrer de quoi tu étais capable.

Tu faisais en sorte de la dominer, alors que tu te sentais allonger avec elle, venant la surplomber pour le coup. Tes yeux allaient encore à sa rencontre, lui montrant sans doute, la possible détermination qui venait s’emparer de toi. Puis, tu copiais sa façon d’embrasser, venant appuyer un peu plus ton baiser, allant chercher à ton tour sa langue, mais tu ne faisais pas une danse aussi exaltante avec la sienne, tu la taquinais plutôt en allant simplement chercher le bout, tournant autour, l’invitant à rejoindre le jeu à son tour. Tu essayais, mais ça te plaisait de faire ce genre de chose.

Encore une fois, tu mettais fin à l’échange, laissant une pulsion t'habiter pour le coup, tu voyais son cou dégager, tu venais alors poser tes lèvres dans le creux de ce dernier, mais surtout venir laisser tes crocs doucement savourer la peau de ta maîtresse. Alors que tu comprenais ce que tu faisais, tu te sentais rougir un peu, relevant le regard, pour observer encore ta maîtresse. Tu venais alors dire sur un ton peu assuré pour une fois.

“Je… Je dois faire quoi ensuite ?”
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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyLun 1 Oct - 12:04
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La réponse de Kyoa ne se fit pas attendre. J'aurais été surprise de l'entendre me dire qu'il me préférait son lit. Je ne dirais rien, mais j'avais bien remarqué l'attachement que l'hybride avait pour moi. Et pour être honnête j'étais aussi très attachée à lui. Mais comme souvent j'avais peur de l'engagement et de l'inconnu aussi car pour moi, un hybride et une humaine c'était...contre nature. Je me voyais mal dire à Kyoa qu'il était à moitie animal et que je ne voulais pas de lui. Déjà parce que d'un ça le blesserait. Et de deux c'était faux car malgré sa différence, quelque chose en lui attirait mon attention. Mais il me faudrait surement encore du temps pour que j'arrive à m'exprimer sur mes sentiments. Comme souvent je préférais les enterrer et ne rien dire.

Le second baisé que j'offris à l'hybride eut une nouvelle tournure. Kyoa apprenait et vite et c'était assez intéressant car cette fois il ne restait pas inactif. Au contraire quand ma langue vint frôler la sienne, celle-ci s'activa rapidement aussi . Petit à petit je le laissais prendre les rênes. Petit à petit sa chaleur revenait caresser mon corps. Il avait repris sa place sous la couette pour me réchauffer. Il n'y avait aucune pudeur entre nous, comme si nous avions grandi ensemble alors qu'il était avec moi dans cet appartement depuis moins d'un mois. Mon corps vêtu uniquement d'une culotte noire et d'un soutien gorge noir, je pouvais sentir le tissu de son boxer caresser mes cuisses et sa peau douce et chaude frotter mon ventre. Par moments je sentais son panache hybride caresser mes jambes ce qui me plaisait beaucoup. C'était le côté doux de Kyoa alors qu'il tentait déjà de me dominer en me surplombant.

Placer sous lui je savourais ce baiser que nous contrôlions à deux. Lorsque ce baisé se stoppa. Je pus croiser les yeux de l'hybride. Je lui offrais un petit sourire histoire de lui montrer qu'il ne faisait rien de mal. Puis cette fois-ci ce fut lui qui m'offrit un baiser.

Une fois ce nouvel échange terminé, je me demandais ce qu'il allait faire. Si je devais lui montrer et surtout si mon état me permettait un peut de fantaisie ou si nous allions justes devoir nous embrasser. Mais Kyoa prit l'initiative à ma grande surprise de s'occuper de mon coup.

Surprise par la présence de ses lèvres dans le creux de mon coup, je laissai échapper un long soupire de bien-être. Je sentais le souffle de l'hybride dans mon coup créant un long frison dans mon corps. Je passai alors une main sur le côté de son visage pour aller caresser ensuite l'arrière de sa tête avec douceur. Autour de moi tout s'effaçait et il n'y avait que Kyoa et moi. Lorsque Kyoa releva la tête pour croiser mon regard, je sentis un malaise en lui. Je l'écoutais me parler et je lui affichai un petit regard complice. Je le rassurai doucement.

"Tu te débrouillais bien... Je doute que mon état me permette trop d'émotions"


Je me redressai un peu pour m'assoir tout en le laissant au-dessus. Puis doucement je posai mes lèvres sur les siennes quelques secondes. Puis j'éloignai mon visage de quelques centimètres et je posai ma main sur son torse sans le quitter du regard. Je lui appris alors quelques trucs.

"Certaines partis du corps sont plus sensibles que d'autres. Et en général chez les hommes et les femmes ce sont les mêmes"

Il pouvait sentir dans ma voix que je ne le rabaissais pas. Je tentais juste de lui expliquer afin que plus tard il sache quoi faire. Dans un profond silence et toujours sans le lâcher du regard, je passai ma main sur ses pectoraux, taquinant quelques secondes un des tétons de l'hybride. Je m'attardais quelques secondes dessus, puis je descendis ma main sur son ventre sous forme de douces caresses tout en observant ses réactions. Puis je posai ma main à plat sur son boxer découvrant son état au passage. Je murmurai alors.

"Dans cet ordre...et plus tu prends ton temps sur chaque partie, plus le corps se prépare et plus la fin sera bonne"

Mon visage alla se cacher dans son coup afin de déposer quelques baisés dans le creux de son coup lui prouvant que ce qu'il avait fait juste avant était une bonne chose. Ma main resta sur son boxer et je murmurai à son oreille entre deux baisés.

"Mais je t'avoue que ça va être dure pour moi de te dire non... Et puis de toute façon je me sens un peu mieux surtout dans ce lit...avec toi"



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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyLun 1 Oct - 13:46
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Kyoa
Rebecca
Ueda
Tu croisais le regard de ta maîtresse, tu comprenais alors que ton assaut, ton instinct avait été une bonne piste. Sa petite phrase avait eu l’effet escompté, tu sentais ton ego gonflé légèrement sur le coup, tu retiendrais alors qu’il faudrait faire à nouveau cette petite attention. Pourtant, tu étais un peu déçu, les choses semblaient bien commencées, mais tu te souvenais alors de son état, tu ne pourrais peut-être pas tester plus avec elle. Tu voulais aller plus loin, venir la découvrir encore plus, apprendre avec elle pour le moment, c’était plaisant, tu sentais une chaleur naître à nouveau dans le bas de tes reins.

Tu restais au-dessus d’elle, venant lui laisser la place de se redresser, étant presque à ta hauteur au final, tu plongeais ton regard dans ses iris, la dévorant encore une fois, la désirant encore plus. Tu te rappelais ce qu’elle t’avait expliqué et le peu que tu avais découvert sur internet. Tu voulais parler, lui exprimer comme tu pouvais, tes sentiments, ce que tu désirais, mais tu n’en eu pas le temps, elle kidnappait tes lèvres. Tu la laissais faire avec plaisir, savourant cet énième baiser en compagnie de Rebecca. Puis, tu devais les voir repartir, abandonner sa peau rosée, un frisson venant s’emparer de toi, en sentant sa main se poser sur ton torse.

Tu l’écoutais, tu avais l’impression de suivre un cours, mais pour une fois, il s’agissait bien d’une leçon que tu ferais en sorte de retenir. Tu comprenais donc qu’une fois que tu connaîtrais tes propres zones érogènes, tu pourrais venir appliquer la même chose sur ta partenaire. Tu essayais de te rappeler le peu de film pornographique que tu avais vu, tu étais tombé sur ce genre de chose en essayant d’en apprendre plus. Tu voulais te souvenir de comment, l’homme avait réussi à donner du plaisir à la femme, mais quelque chose te troublait dans ces fragments de mémoire. Le peu que tu avais fait avec Rebecca, semblait plus vulgaire dans ce genre de chose, tu venais un peu oublier ça, préférant rester dans le sensuel avec ta maîtresse.

Les caresses sur ton torse étaient douces, tu mélangeais alors cela avec ton imagination, un peu trop fertile pour le coup et tu sentais déjà ton membre venir lentement se gonfler. Cela te rappelait alors ton premier jour avec elle, mais cette fois-ci le contexte était totalement différent. Tu n’avais pas honte, du moins pas sous les caresses de ta maîtresse. En la sentant venir stimuler sur l’un de tes tétons, tu sentais la chaleur dans le bas de tes reins grandir, venir gorger de sang ta verge. Indirectement, ton souffle devenait de plus en plus lourd, comme si quelque chose en toi n’allait pas tarder à sortir.

Le reste des caresses faisaient leur travail venant finir de donner à ton membre sa forme final, lentement, mais sûrement. Ce fut le coup final en sentant sa main sur le tissu couvrant ton organe, tu le sentais palpiter, comme si tu recevais une agréable décharge. Tu te concentrais alors sur les paroles de Rebecca, afin de rester présent dans cette réalité, tu avais presque peur de perdre la tête, tu n’avais jamais fait ça et tu trouvais la chose terriblement grisante pour le coup. Finalement, tu la sentais venir se perdre à son tour dans ton cou, tu trouvais ça appréciable, tu comprenais alors pourquoi ton assaut de tout à l’heure était une bonne chose pour elle.

Son dernier phrasé vint comme allumer une flamme en toi, une volonté nouvelle, elle qui avait calmer doucement tes ardeurs tout à l’heure, elle te donnait à présent un feu vert. Tu voulais lui montrer que cette simple leçon suffirait pour te donner les bases, tu voulais lui montrer que tu pouvais être au même niveau des hommes qu’elle avait connu. Tu avais l’impression de mettre ta fierté en jeu sur le moment. Tu la regardais dans les yeux, illuminés d’une flamme de désir et volonté. Tu posais une de tes mains sur sa nuque et l’autre sur ses hanches, tu lui retirais ton cou de tes lèvres, pour lui offrir les tiennes plutôt. Tu rendais ton baiser plus fougueux, venant imposer ton rythme dans la danse de vos langues, te montrant plus audacieux, comme si tu comptais t’emparer d’elle, entièrement.

Tout en gardant ta main sur sa nuque, tu venais remonter ta main sur ses hanches, les plaçant derrière ce qui retenait sa poitrine, le retirant avec simplement deux doigts. Tu remerciais le fait d’avoir dû apprendre à tes sœurs à s’habiller, il y a quelques années. Tu te perdais ensuite dans son cou, venant la couvrir de baiser, la mordillant doucement, avant de planter un peu plus fermement tes crocs, comme si ton côté animal venait reprendre le dessus sur tout ce qui faisait de toi un être humain à la base.
Tu continuais à essayer de prendre le contrôle, lui retirant ton corps en décollant ses mains pour faire lentement glisser le soutien-gorge, libérant les seins de la demoiselle. Tu venais retirer tes lèvres de son cou pour regarder ses seins, tu déglutissais alors sous la vue de ses formes. Tu reprenais alors ton courage à deux mains, portant ces dernières sur sa poitrine. Tu caressais lentement ses formes, mettant alors un peu plus de vigueur, lorsque tu te sentais en confiance. Puis, encore par instinct, tu venais jouer de ta langue et tes lèvres sur les boutons rosés qui semblaient tendus à présent. Ta langue venait laper lentement cette zone, en faisant le tour, avant de venir lentement entourer ces derniers, comme pour faire pression et succion, tu laissais même tes crocs jouer dessus.

Tu la couchais même pour la dominer pleinement, laissant tes mains en appuies sur le matelas, jouant simplement de ta bouche sur ses tétons, allant même oser mordre les seins eux-mêmes, tu te laissais aller à ton côté loup. C’était peut-être ça qui venait réellement te différencier de l’homme, tu avais le meilleur de tes deux races. Tu venais continuer alors, venant glisser une de tes mains sur son ventre, arrivant sur son bas noir, caressant alors ensuite, l’intérieur de ses cuisses, pour remonter lentement sur sa fente couverte. Tu passais tes doigts pour la caresser, lentement, mais tu voulais sentir directement sa peau, découvrant par toucher et sensation cette partie d’elle.

Tu avais donc l’audace de glisser tes doigts comparse sous le tissu, venait découvrir les formes de son jardin secret. Tu déplaçais tes doigts le long de ses lèvres intimes, mais tu avais du mal à savoir comment la caresser précisément. Tu faisais encore preuve d’audace alors, te glissant sous la couette, faisant alors glisser son bas, sans lui demander son avis. Tu semblais vouloir faire comme tu l’entendais pour le moment, un peu orgueilleux sur le moment. Tu arrivais alors à lui retirer de façon définitive sa culotte, continuais de lui imposer tes envies, tu avais un peu quitté ta dominance sur le coup.

Tu venais écarter par tes caresses ses cuisses, lentement, avec douceur, comme elle l’avait fait en te caressant. Puis, tu venais soulever ses jambes, les faisant reposer sur tes épaules, ainsi, tu pouvais alors regarder sa fente, son intimité, la découvrir de façon plus intime, comme tu n’avais jamais vu une femme. Tes doigts venaient alors lentement la caresser, te permettant enfin de s’avoir ce que tu faisais, tu les écartais même lentement. En voyant ainsi la chose, tu laissais encore ta langue venir savourer la peau de la demoiselle, pouvant presque avoir son nectar.

Tu continuais, ton côté animal dictant cette pulsion, cette envie de savourer la demoiselle par tes lèvres, ta langue et tes crocs. Tu la dévorais presque en la lapant ainsi, venant alors sentir que tu pouvais immiscer cette dernière, tu forçais un peu plus, te sentant pénétrer un peu la jeune femme. Tu ne savais pas si cela était réellement bon, mais tu avais du mal à te contrôler à présent, tu voulais découvrir encore plus, ta curiosité et ton plaisir prenant le dessus.
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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyLun 1 Oct - 15:26
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J'avais apparemment réussi à le mettre en confiance. Il posa une main sur mon coup et une sur ma hanche. Il fit en sorte que je quitte son coup pour retrouver une nouvelle fois ses lèvres qui petit à petit devenaient moins novices. Ce baisé fut bien plus audacieux que les précédents et c'était Kyoa qui menait la danse ce qui ne me déplaisait pas du tout au contraire.
Sa main sur ma hanche remontait jusqu'à mon soutien gorge qu'il n'eut aucun mal à défaire. Ses baisers dans mon coup me faisaient frissonner et quand il se permit de me mordiller le coup, je ne pus retenir un petit souffle d'envie.

Kyoa allait passer un cap. Il se retrouvait face à ma poitrine et à en juger par son regard il en avait vu très peu. Finalement l'hybride écouta son instinct et doucement je pouvais sentir ses mains sur ma poitrine. Ses gestes et doux et malgré son manque d'expérience il semblait assez sur de lui. Je n'avais pas vraiment eu le temps de me poser des questions, Kyoa venait de prendre un grand niveau d'assurance. Rapidement ses mains laissaient la place à ses lèvres et sa langue, voir même à ses crocs ce qui me fit légèrement gémir de surprise. Je passais mes doigts dans ses longs cheveux blancs alors que ma respiration s'accélérait déjà. Ma surprise fut encore plus grande quand lorsque le loup prit le dessus en m'allongeant sur le matelas. Je relevais une jambe afin de plié mon genou tandis que je me détendais de plus en plus sous les assauts du jeune homme.

J'avais connu beaucoup d'hommes ma vie mais là...c'était très déstabilisant, j'avais un homme face à moi mais il avait un côté bestial...que j'aimais beaucoup. On sentait que chez lui c'était inné alors que chez les humains, c'était un côté travaillé et donc pas naturel. Alors c'était ça la différence entre coucher avec un hybride et coucher avec un humain?

Je ne pus répondre à la question que je me posais intérieurement. Je fermais mes yeux alors que la main qui n'avait plus rien d'innocent de l'hybride descendait le long de mon ventre. Instinctivement je le rentrais et quand sa main passa à l'intérieur de mes cuisses, je ne pus retenir un bref murmure. Je venais de murmurer son prénom afin de l'encourager.

Ses doigts exploraient mes jambes, puis c'est le tissu de ma culotte qu'il frôlait et il pouvait sentir la chaleur et l'excitation qui s'en dégageait. J'avais face à moi un tout autre Kyoa, il semblait bien plus sur de lui et il écoutait son instinct ce qui était un bon point.

Tout s'enchaina très rapidement. Pour le coups il avait un peu oublié mon cours mais d'un côté ce n'était pas plus mal. Je n'étais pas en état de subir quelque chose de trop long puisque mon corps était encore fatigué. Et Kyoa se débrouillait si bien que le temps de cette union n'avait que peut d'importance au final.

Rapidement ses doigts arrivaient à dompter mon plaisir. Mon corps réagissait à chacun de ses gestes, comme si le Maître ce soir c'était l'hybride. En très peu de temps je me retrouvais sans vêtement, j'étais totalement nue sous cet hybride qui prenais âprement très à cœur sa mission.
J'étais plus que surprise par l'audace de l'hybride. Kyoa trouva le moyen d'avoir un total accès à mon intimité et donc peut-être mieux comprendre son utilisation.

Kyoa usa alors de sa langue sur moi m'arrachant de nombreux gémissements. La position n'était certes pas la plus glamour pour une première fois, mais ce qui était sur c'est que cette position donnait des ailes à l'hybride.

"Kyo..."

Je n'arrivais même pas à prononcer la totalité de son nom tant mon esprit se perdait dans un flot de sensation. J'entrais dans un état second. Cette vague de plaisir me fatiguait encore plus, mais je voulais continuer. Quelque part au fond de moi je voulais que Kyoa ait cette première fois avec moi. Ne me demandais pas pourquoi je n'avais aucune réponse très honnêtement.

La langue de Kyoa stoppa continuaient ses caresses qui faisaient presque trembler mon corps d'envie. Au fond de moi j'oubliais mes idées reçues. J'avais toujours trouvé dégoutant ces humaines qui couchaient avec des hybrides, c'était comme si on le faisait avec un animal mais au final je devenaient l'une d'elles...ce genre de fille qui couchait avec son hybride et contre toute attente c'était...meilleur...bien meilleur qu'avec un humain. Du moins pour le moment.

Je laissais Kyoa prendre les devants. Je n'étais certes pas en forme, mais si à l'avenir nous devrions recommencer il aurait le droit à une Becca bien plus énergétique. J'égarais doucement mes doigts dans ses longs cheveux l'encourageant dans ses caresses.



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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyLun 1 Oct - 16:27
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Kyoa
Rebecca
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Ton ego venait grandir aussi vite, que ton plaisir, tu continuais de jouer de ta langue, tu avais appris à t’en servir en embrassant Rebecca et le fait de savoir la bouger semblait marcher lorsque tu entrais en elle. Ses réactions, ses bruits, sa voix et son nectar venaient te galvaniser, tu continuais de bouger ta langue en elle. Découvrant alors par le toucher, ses parois, les formes de sa beauté intérieure, tes doigts continuant alors de maintenir ses lèvres ouvertes pour te faciliter l’accès. Tu restais ainsi, cependant, une idée venait te traverser l’esprit dans ton apprentissage des choses de la vie.

Tu venais retirer lentement ton membre humide de sa fente, venant alors lentement y remplacer par un de tes doigts. Tu pouvais ainsi aller plus loin en elle, c’était ton majeur qui venait découvrir Rebecca cette fois-ci. Tu bougeais doucement, puis un peu plus vite en voyant peu de résistance se faire sentir, tu essayais, tu pouvais sans doute faire des erreurs, mais tu continuais, venant finalement en glisser un deuxième, la curiosité venait l’emporter au final sur la situation. Tu les bougeais un peu plus vite en elle, les faisant même courber, dans le fond cela ressemblait à un jeu, mais tu prenais un réel plaisir à entendre la voix de ta maîtresse, la voir ainsi réagir à ce que tu venais lui faire.

Ton autre main venait comme masser le tour de son jardin secret, faisant le tour de ses lèvres, elle t’avait dit que les hommes et les femmes possédaient plusieurs zones érogènes, tu devais essayer de les découvrir un peu plus. Tandis que tu la massais, tu voyais un petit appendice faire son apparition en tirant légèrement sur le dessus de ses lèvres. Tu venais alors passer son pouce lentement pour le stimuler, espérant qu’il s’agissait d’une zone sensible, sinon tu aurais l’air d’un idiot, alors que les choses semblaient se passer bien se passer. Tu décidais alors de venir passer ta langue dessus, le petit bouton semblant réagir à tes caresses.

Ainsi, tu te retrouvais à bouger deux de tes doigts en son intimité, les courbant, essayant de découvrir les moindre recoin de son être, ta langue passait sur le petit bouton rosé que tu avais découvert et ton autre main caressait ses cuisses pour ne pas rester inactive. Tu sentais le plaisir grandir encore plus en toi, prendre totalement possession de ton bassin, ton membre venait palpiter, te faisant presque mal, sur le moment. Tu avais envie aussi de recevoir du plaisir, de découvrir un peu plus de ses sensations.

Tu te stoppes au final, venant arrêter de caresser la demoiselle, retirant lentement tes doigts et te redressant lentement, laissant la demoiselle te voir à nouveau, et lui retirant au passage ses mains de tes cheveux. Sans rien dire, tu venais descendre ton boxer, libérant ton membre tendu, dressé pour et par la demoiselle. Tu la regardais, ton regard humide, empli de luxure et de désir, comme si le fait de t’éveiller à la sexualité avait libéré quelque chose en toi. Tu montrais enfin une véritable facette dominant, comme si on venait de libérer ta véritable nature.

“Rebecca, j’ai envie que tu me fasses du bien !”

Dans le fond, tu n’avais pas envie qu’elle vienne dire oui ou non, juste continuer de vous faire du bien, comme si un simple regard suffisait à vous comprendre l’un de l’autre. Pourtant, vu son état, tu comprenais qu’elle ne devait pas bouger, du moins pas beaucoup, c’était à toi de t’adapter pour elle. Pour le moment, tu venais l’embrasser à nouveau, laissant un peu d’humanité parler à travers toi, le baiser devenant plus sauvage au cours de ce dernier.

Alors que le baiser était sous ton contrôle, ton rythme, tu venais réfléchir à comment avoir du plaisir et lui en donner, elle t’avait dis de stimuler les zones au maximum, il fallait donc continuer ainsi, avant de passer à l’étape suivante. Tu te rappelais alors une position que tu avais vue dans un des fameux films que l’ordinateur avait mis sur ta route. Pourtant, tu ne voulais pas faire ainsi, tu ne trouvais pas la position fortement reluisante, tu voulais quelque chose te correspondant un peu plus, le jeu du début était parfaitement à ton goût pour le moment.

Tu la dominais encore, venant lui offrir une nouvelle fois tes lèvres, pour un baiser plus court que les précédents, tu continuais de la surplomber. Tu passais ensuite dans le creux de son cou, déposant tes lèvres, tes crocs, selon tes envies. Une de tes mains venait alors tendre tous les muscles de ton bras pour venir de nouveau caresser ses lèvres les plus intimes, sans pour autant lui offrir plus, de simple caresses, attendant alors le reste, comme si tu espérais encore qu'elle vienne répondre favorablement à ta demande, ton ordre, tu ne savais pas véritablement ce que tu avais voulu faire ressentir sur le moment. 
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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyLun 8 Oct - 11:40
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Depuis le début Kyoa s'était montré assez curieux sur la chose. J'avais fait ce qu'il fallait pour lui expliquer les choses et notamment le fait qu'il ne devait jamais forcer quelqu'un. Mais au final je n'avais pas vraiment pris le temps de lui expliquer la technique.
Apparemment l'hybride n'avait pas vraiment besoin de cours. Avait-il trouvé où se renseigner? apparemment oui.

Petit à petit j'abandonnais mon corps. Ma crise m'avait mis à l'épreuve, mais Kyoa par ses attentions arrivaient à me faire oublier ce qu'il m'était arrivé il y a pu. Je ne serais pas trop expliqué ce que faisait Kyoa, le plaisir était si intense au fond de moi que j'en venais à m'évader de ce corps malade. Chaque geste de l'hybride me détendait de plus en plus et forcement au moment où Kyoa cessa son traitement , la frustration se mit à m'envahir. Mais soyons honnête ce que nous nous apprêtons à faire est un acte de partage et il était normal que mon loup me réclame un peut d'attention.
J'allais lui répondre quand ses lèvres se collaient aux miennes. Cette douce chaleur remonta de nouveau en moi. Je n'aurais jamais pensé qu'un baiser me ferait cet effet, mais je me refusais à gâcher ce moment avec de multiples questions existentielles.

Tandis que Kyoa stoppait le baiser pour aller explorer mon coup avec envie, sa main retournait taquiner mon intimité. Je me mordais la lèvre inférieure en gémissant un peu. Je me décidai ensuite à répondre à sa demande. Je retirais doucement la main de Kyoa de mon intimité et je murmurai doucement .

"Il est temps que je m'occupe un peu de toi Kyoa"

Ma voix était douce et protectrice malgré mon état encore un peu faible. Ma main se posa sur son torse et doucement je l'invitais à s'allonger sur le dos. Il était temps que je me bouge un peu, tant pis pour ma fatigue, je me reposerais après et puis mon poumon ne me faisait plus mal alors je ne risquais pas de nouvelle crise.

En attendant qu'il s'allonge je lui offris un petit cadeau. Mon visage plongé dans le creux de son coup, je pris une petite parcelle de sa peau entre ma bouche et doucement j'aspirais sa peau la mordillant un peut au passage afin de lui laisser une jolie trace violette. C'était un peut une sorte de marquage de territoire et peut-être aussi une façon de dire " ho regardez je suis la première à lui faire ça" mais de toute façon qui le comprendrait à part moi?

Mes lèvres remontaient doucement jusqu'à son oreille et je lui murmurai

"Détends toi, tu t'en sors super bien"


Je commençais à bien cerner Kyoa et flatter son ego lui faisait toujours du bien et l'aidait à sortir de sa zone de confort.

Je prenais mon temps pour faire descendre mes lèvres le long de son coup, de son torse jusqu'à frôler sa virilité du bout des lèvres. Je pris tout mon temps pour le taquiner par des petits bisous sur sa verge palpitante. Puis sans prévenir, ma bouche prit possession de son membre alors que mes mains s'agrippaient à ses cuisses. Concentré sur le plaisir de l'hybride, j'usais de mes mains pour le contenir sur le matelas alors que ma langue jouait sur sa virilité couplée à mes lèvres.
Je stoppai tout lorsque je sentis Kyoa au bord du plaisir. Cela allait surement être frustrant pour lui.
Mais il ne m'en voudrait surement pas longtemps.

Après avoir quitté son intimité, je retournai à ses lèvres pour l'embrasser avec un peu plus de fougueux malgré mon état de fatigue. Sans trop brusquer l'hybride, je me mis à cheval sur lui laissant nos intimités se frôler l'un contre l'autre durant quelques secondes.
Lorsque le moment arriva, Kyoa se retrouva en moi grâce à mon aide. J'estimais que c'était la position la plus simple pour la première fois du jeune homme. J'allais pouvoir lui faire découvrir ce qui allait changer sa vie .



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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyLun 8 Oct - 16:24
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Kyoa
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Tu te faisais finalement stopper, tu avais alors peur d’avoir été trop entreprenant ou d’avoir réclamé peut-être trop de chose. Puis, sa phrase, ses mots venaient te rassurer encore une fois, elle avait vraiment le don de calmer tes esprits à foison. Sa main, le contact de sa peau venait t’arracher un long frisson de plaisir, venant dresser tes oreilles et ton panache. Tu te laissais guider, faisant en sorte qu’elle n’est pas trop à forcer pour te faire faire ce qu’elle désirait. Tu te retrouvais alors sur le dos, perdant ta dominance, mais sachant que c’était un prix agréable à payer pour la suite des évènements.

Pendant que tu te couchais, tu venais lâcher un petit couinement, non de douleur, mais plus de surprise, ce dernier devenant un soupir de plaisir. Tu ne le voyais pas encore, mais elle t’avait marqué, comme si elle voulait que toi aussi, tu sois sa chose, sauf qu’elle savait le montrer aux autres. Tu étais totalement allongé, retrouvant un peu la Rebecca qui avait du caractère alors qu’elle te dominait sur le moment. Est-ce que tu lui avais donné la même impression quand tu te tenais au-dessus d’elle, il y a encore quelques instants ?

Ton ego venait gonfler sur le coup, tu t’en sortais bien, pour un débutant, tu avais réussi à décrocher les compliments de ta maîtresse, alors qu’elle avait dû rencontrer des hommes bien plus expérimentés que toi. Tu feras encore mieux pour les prochaines fois, tu irais te renseigner pour mieux connaître le corps de ta maîtresse, du moins en théorie. Chaque assaut des lèvres de ta maîtresse, avait le don de te laisser sortir un souffle de plaisir, un petit bruit, jamais, au grand jamais ton corps avait été stimulé de la sorte. Tu regrettais presque de ne pas avoir connu ça avant, mais tu étais heureux de partager ça avec ta maîtresse, tes regrets venait s’envoler.

Ton membre venait palpiter sous chaque contact avec la peau rosée de ses lèvres, tu avais l’impression qu’elle te taquinait, l’inverse de toi qui y allait sauvagement, franchement, tu étais dans la découverte, la curiosité pure, aucune malice dans tes gestes. Pourtant, si toi, tu étais sauvage, tu appréciais ce comportement différent, il collait parfaitement à ta maîtresse. Tu venais alors lâcher un long soupire de plaisir en sentant ses lèvres entourer ton membre, la sensation était des plus agréables, sentir ainsi sa bouche engloutir ton membre, le stimuler de cette façon, cela n’avait rien à voir avec le peu de plaisir solitaire que tu avais pu tester.

Tu pourrais rapidement devenir accro à cette sensation, tu faisais en sorte de te contrôler, ta maîtresse allait t’arracher la jouissance beaucoup plus rapidement que ce que tu pensais. C’était peut-être ça la différence entre toi et les autres hommes de sa vie. Ils devaient savoir gérer ou au moins être habitué au plaisir, peut-être moins sensible que toi, tu avais peur de venir trop vite, du moins pas assez vite pour satisfaire Rebecca. Tu t’en voudrais si tel était le cas. Les choses allaient de plus en plus vite, tu allais craquer, ton esprit commençait à se couvrir de la brume de la jouissance, puis rien, plus rien. Tu stagnais sur le moment, comme si on avait arrêté les choses, cela en était presque douloureux, tu sentais ton membre au bout de la rupture, ton plaisir étant tombé comme un soufflé.

Elle avait osé de taquiner ainsi ? Ou peut-être qu’elle avait autre chose en tête pour toi, car tu n’avais pas réussi à lui offrir d’orgasme, tu avais oublié pendant quelques instants, le plaisir de ta maîtresse, pour ne penser qu’au tien. Cela t’avait un peu remis les idées en place pour le coup. Tu n’avais pas le temps de dire que tu voulais aussi lui donner du plaisir, qu’elle venait dérober tes lèvres, elle se montrait audacieuse, tu comprenais alors que tu ne pourrais pas toujours avoir le contrôle, c’était sans doute le fait que tu sois un débutant qui l’avait motivé à te laisser avoir le contrôle dans les débuts.

Tu n’eus pas le temps de comprendre ce qui t’arrivait, qu’un nouveau râle de plaisir venait sortir de tes lèvres, tes oreilles étant dressées, montrant ta surprise et ton plaisir. C’était encore mieux que la bouche de la demoiselle, c’était donc ça de découvrir l’autre ? De faire l’amour ? Non, cela devait être encore mieux, elle n’avait même pas bougé, elle t’avait simplement fait pénétrer son jardin le plus intime, tu sentais ton membre palpiter sur le moment, tu ne savais pas s’il voulait se gorger de sang ou venir faire sortir le nectar de ton plaisir.

Puis, tu la sentais, tu ressentais les mouvements de ta maîtresse, cela te faisait soupirer de plaisir, tu étais presque à crier de plaisir, mais tu te retenais, tu sentais que cela serait un moyen pour ta maîtresse de te taquiner. Tu devais avoir le visage déformé par le plaisir, elle devait sans doute sans réjouir, tu aimais ça, c’était une sensation pour laquelle, tu pourrais faire des pieds et des mains pour l’avoir à nouveau. Pourtant, il te manquait quelque chose, tu n’aimais pas être aussi inactif, tu avais aimé aussi quand tu venais t’occuper de la demoiselle, tu comptais faire de même, surtout vu la position.

Tu te redressais sur tes coudes, puis tes mains pour te retrouver presque au même niveau de Rebecca, tu étais à la hauteur de son cou. Tu la mordais, c’était ta façon de faire, tu ne pouvais la pincer, mais tu pouvais laisser tes crocs, montrant à tous qu’une bête possédait la dame à présent, qu’une bête avait la chance de partager un moment avec cette sublime femme. Finalement, tu laissais son cou, venant à nouveau passer ta langue sur sa poitrine, tournant autour de ses tétons, pour venir jouer de tes lèvres dessus.

Tes mains ne pouvaient stimuler sa fente, ton membre étant déjà en elle, mais tu voulais l’aider à faire les mouvements, elle devait être fatiguée. Tu avais retrouvé une partie de ta forme physique depuis qu’elle t’avait sorti de l’animalerie. Tu posais alors tes mains sur son fessier, venant la caresser, les saisissant à pleine main, tu devais la griffer un peu sur le début. Tu la soulevais alors, venant la faire descendre à nouveau, comme si tu lui montrais que tu pouvais prendre le contrôle, qu’elle pouvait se reposer et te laisser faire, te laisser manipuler son corps pour ce moment de partage à deux.

Tu t'amusais alors à mordre ses formes, sa poitrine, gentiment, tu ne comptais pas la marquer autant que ses formes, mais bien lui rappeler que tu étais un loup, une bête, que tu savais te défendre dans le fond. Ton membre palpitait, au final, tu ne pourrais pas tenir aussi longtemps que voulu. Tu faisais alors accélérer le rythme de tes va-et-vient avec son corps, espérant que cela vienne lui apportant autant de plaisir que toi.
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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyVen 12 Oct - 12:25
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Tout allait si vite mais cela ne me gênait pas, je n'étais pas le genre de fille à prendre mon temps. Enfin c'est ce que je pensais car je devais avoué que cette douceur était assez plaisante. Peut-être parce que c'était Kyoa? de toute façon ce n'était pas le moment d'en parler ni de se poser des questions.

Je pouvais sentir en moi les palpitations du membre envieux de l'hybride. Il aimait ça et c'était assez flatteur de ma part.
Doucement mes hanches commençaient à onduler . J'entamais une petite danse lascive sur lui tout en le dévorant des yeux sans m'en rendre compte. Le visage de l'hybride se déformait de plaisir, il se retenait de hurler et cela m'amusait, d'ailleurs je m'étais mis un challenge...réussir à le faire gémir bien plus fort que ce qu'il pense.

Kyoa se redressa sur ses mains et vint me dévorer le coup avec passion. Il avait donc compris qu'il pouvait aussi participer à ce petit jeu et j'allais surement le flatter sans faire exprès car je venais de gémir de surprise sous ses crocs. Voilà ce que j'avais oubliée, ses crocs...je ne couchais pas avec un homme, je couchais avec une demi-bête. Chose qui jusqu'à maintenant me répugnait. Sauf que là...j'en avais envie, je me surprenais moi-même à avoir envie d'un hybride.

Mes mains s'engouffraient dans ses longs cheveux lorsqu'il vint jouer avec ma poitrine. Sa langue il y a encore quelques minutes innocentes était devenu des plus experte. Ses mains agrippaient mes fesses me griffant au passage. J'étais contente de ne pas danser en tenue légère, personne ne verrait les marques qu'il était en train de laisser sur mon corps. Mes doigts se resserraient dans ses cheveux alors que je me collais de plus en plus contre lui en gémissant son prénom d'une voix de plus en plus suppliante.

Au fond de moi je le remerciais, il usait de sa force pour m'aider dans les va et Vien. Même si j'allais mieux je restais un peu fatigué et j'avais besoin d'aide tout de même.
Le membre de l'hybride palpitait de plus en plus, était-il proche de sa jouissance? Il était donc temps pour moi je le libérais de la tension de son plaisir. Je sentais ses griffes pénétrer ma peau ce qui me faisait de plus en plus gémir. Essoufflée j'articulais avec difficulté à son oreille après m'être penché un peu plus contre lui.

"K... Kyoa continus...va au bout de tout"

Une de mes mains quitta ses longs cheveux pour descendre le long de son dos jusqu'à sa queue hybride que je pris entre mes doigts, comme il l'aimait tant.
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Allongée sur le dos et essoufflée je reprenais mes esprits après ce moment . Je n'avais encore jamais ressenti quelque chose de si passionné et pourtant j'avais été dans pas mal de lits et les hommes étaient toujours motivés et fougueux mais là...je commençais à me demander si c'était le côté animal de Kyoa qui m'avait excité, le fait d'avoir surfé sur quelque chose de contre nature. Je soupirai de bien-être et sans trop m'en rendre compte, je me blottis contre Kyoa pour poser ma tête sur son torse. Bien décidé à garder mes idées, mes questions et mon ressentis pour moi, je mis en place ma carapace et lui annonça.

"Pas mal pour une première fois. Te voilà un homme mon cher Kyoa"




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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyLun 15 Oct - 11:11
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Kyoa
Rebecca
Ueda
Tu ne pouvais plus retenir les gémissements de plaisir, ton souffle était tellement lourd que tu étais obligé de reprendre ton souffle, laissant les sons sortir par le même moment. Il s’agissait peut-être de ton côté animal, mais tu couinais légèrement, en plus de soupirer de plaisir. Tes doigts restaient sur la croupe de la demoiselle, venant planter un peu plus tes ongles dans sa peau, comme pour laisser sortir sous différentes formes le plaisir qu’elle arrivait à te donner. Tu la faisais bouger de plus en plus vite, venant faire de ton mieux pour lui donner le plus de plaisir, réussir aussi à contrôler le tien, tu ne voulais pas céder avant qu’elle ne cède elle aussi.

Les propres soupirs de la demoiselle, ses gémissements venaient te motiver, tu sentais comme une poussée d’adrénaline en plus de l’excitation du moment. C’était des plus plaisant, tu sentais ton ego encore gonflé, réussir à la faire gémir ainsi, alors que tu étais un pur débutant. Tu venais même à penser que tu pourrais être à présent le seul à pouvoir la satisfaire, tu étais son hybride et tu pouvais toujours être présent, si elle venait à le désirer. Tu voyais déjà les choses en grand et très loin, mais tu n’y pouvais rien, le flot de plaisir et sentiment te brouillait un peu l’esprit.

Tu sentais la chaleur de la demoiselle, te montrant qu’elle était vivante, qu’elle prenait autant de plaisir que toi dans cette situation. Tu pouvais sentir ses mains passer dans tes mèches, comme si votre corps ne faisait plus qu’un avec elle. Le plaisir montait alors d’un coup, elle venait d’attraper ton panache, tu avais l’impression qu’elle te disait qu’elle aussi pouvait garder le contrôle, qu’elle pouvait te faire du plaisir de différent façon, appliquant sa première leçon, apprendre à connaître le corps de l’autre.

Tu ne voulais pas te laisser faire, surtout après ses paroles, tu devais donner le meilleur de toi, tu avais une idée, mais tu n’étais pas sûr de toi. Pourtant, tu venais le faire, laisser tes pulsions te guider, plutôt que ta raison. Tu basculais, venant mettre la demoiselle sur le dos, restant doux, ne venant pas la brusquer, mais à présent, tu étais le dominant, du moins dans cette position. Tu pouvais voir le corps de Rebecca dans une nouvelle position, une vue que tu gravais dans ton esprit.

Tu venais avec passion l’embrasser, faisant durer ce moment, donnant un peu d’angle dans les mouvements de ton bassin, le faisant inconsciemment, uniquement grâce à ta nouvelle position. Tu te faisais encore plus proche d’elle, perdant tes crocs un peu partout sur sa chaire, marquant son cou, ses formes, même son épaule, ta bête prenait le dessus. Ton bassin lui devenait plus rude, comme si le fait qu’elle soit allongée, te permettait de donner tout ce que tu avais, laisser toutes tes forces dirigées pour le plaisir de ta maîtresse et le tien.

Finalement, tu ne pouvais plus te passer de ses lèvres, venant l’embrasser avec passion, laissant ton souffle devenir encore plus haletant. Ton membre palpitait encore plus, comme s’il frappait le temps qu’il te restait avant de succomber. Puis, tu succombais, t’arrêtant dans un dernier coup de bassin, le plaisir venant presque contracter chacun de tes muscles. Tu sentais ton nectar sortir, ton membre venant pulser comme jamais, pour venir l’offrir à ta maîtresse. Tu laissais un râle de soupir traverser tes lèvres à ce moment-là, tu recommençais à donner quelques coups de reins, comme pour laisser le plaisir finir de quitter ton corps, toute l’énergie venait te quitter pour la demoiselle.

Tu te retirais lentement de Rebecca, venant t’écrouler à ses côtés, reprenant ta respiration comme tu le pouvais sur le moment. Tu sentais alors ta maîtresse venir se coller à toi, tu passais alors ton bras autour d’elle, comme pour la garder auprès d’elle. Tu aimais aussi ce moment de tendresse, comme s’il venait te combler encore, venir perdurer à sa façon le moment que vous veniez de partager. Tu reprenais enfin ton souffle en écoutant ses paroles, venant te faire hausser un sourcil pour le coup. Tu trouvais ça petite pique mal sorti vu sa réaction ou peut-être que Rebecca était du genre expressive au lit, mais tu avais du mal à croire ça.

“Pas mal ? C’est toi qui m’as demandé de continuer, je pense que j’étais bon non ?...”

Tu remarquais alors un peu ta stupidité, tu étais un peu trop vaniteux pour le moment, tu détournais le regard quelques instants, afin de remettre un peu les idées au clair. Puis, tu te laissais guider par tes premières pulsions, venant l’embrasser à nouveau, jouant avec sa langue comme elle t’avait appris, tu ne voulais pas relancer la machine, juste laisser parler, ce qui t’animait, par des actes. Tu mettais alors fin à l’embrassade, plongeant tes iris dans ses prunelles.

“En tout cas, toi, tu as été formidable, malgré ton état, je ne pensais pas que cela pouvait être aussi bon ! Bon… Que veux-tu faire ? Tu veux peut-être te reposer non ? Cela a dû être fatiguant pour toi non ?”
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Kyoa l'aide soignant [Kyoa] [+18] EmptyLun 15 Oct - 14:41
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Kyoa et son ego. Ma petite pique venait surement de toucher sa virilité et cela m'amusait. J'aurais pu aussi lui dire la vérité, lui dire qu'il m'avait fait connaitre un des plus beaux orgasmes, mais ce n'était pas mon genre.

Avant j'étais expressive, je me confiais et je n'hésitais pas à dire ce que je ressentais. Puis mon frère m'a abandonné et là j'ai créé ma carapace. Depuis je ne dis plus à personne ce que je ressens au fond de moi. Alors non Kyoa je ne dirais pas ce que tu rêves d'entendre et je ne parlerais pas des effets que tu as sur moi quand tu me regardes, quand tu me dévores des yeux...
Allongée contre lui, la tête sur son torse je lui répondis amuser.

"On verra la prochaine fois si y a une prochaine fois...je suis sur que tu peux être encore plus...passionné mon loup"

Kyo ne relança pas le débat, à la place j'eus un baiser empli de fougue et de passion. Mince je n'avais pas l'habitude de cela, en général je me sauvais de chez le mec pour justement éviter ce genre de situation, mais là...j'en venais presque à gémir de plaisir sous ce baiser langoureux. Mes mains se crispaient sur son torse alors que je savourais ce moment. Lorsqu'il mit fin à ce moment, je gonflai un peut mes joue de frustration mais je ne disais rien écoutant ce qu'il était en train de me dire.
Je roulai des yeux, un profond soupire agacé se fit entendre et je posai ma main humide sur la bouche de Kyoa. Je soutenais son regard, puis je murmurai de ma voix fatiguée.

"Je veux que tu te taises... Quand deux êtres fond ce qu'on a fait, ils aiment avoir du calme alors pitié tais-toi Kyoa et profite de ce qu'on a fait"

Je retirais doucement la paume de ma main de ses lèvres, la laissant glisser le long de sa bouche, de sa gorge, puis de son torse sans le quitter du regard. Mes lèvres se posaient une nouvelle fois sur les siennes durant quelques longues secondes. Lorsque je mis fin à ce moment, je posai une nouvelle fois ma tête contre son torse laissant Morphée nous emmener au pays des songes.
Mes journées allaient être longues, je devais garder le lit deux jours car bien sûr m'être envoyé en l'air avec Kyoa n'avait pas amélioré mon état.



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