| | Changes d'attitude ... [P.V Maeko] | |
| Invité | Invité | | | | | Profil : MP : Email : | | ![Changes d'attitude ... [P.V Maeko] Empty](https://2img.net/i/empty.gif) Jeu 24 Mai - 20:45 |
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feat. Maeko
Changes d'attitude ... Mets de l'eau dans ton vin.
OBÉIS-MOI ET
TU POURRAS OBTENIR.
CONTRARIES-MOI
ET TU NE RÉCOLTERAS
QUE MA COLÈRE
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Deux mois déjà, ou peut-être plus, que j'avais "récupéré" Maeko. L'avais-je enlevé ? Oui, certainement, mais elle avait voulu jouer aux plus malines avec moi et avait échoué. A présent, elle ne trônait plus sur la table de pierre. J'avais fini par la mener dans une chambre un peu spéciale, rien que pour elle. Cette dernière avait longuement servi autrefois à Mirabelle. C'était en vérité une salle d'isolement au fin fond du grenier. A la manière d'une cellule, il y avait juste un lit, un lavabo et des toilettes. Aucune fenêtre sur le monde extérieur et de la lumière uniquement, lorsque je m'y rendais. Cela avait souvent le don de rendre fou les sujets mais ça me permettait aussi de ne devenir que leur seul repère, leur seul pilier dans ces moments-là. Même si je ressemblais pour beaucoup plus au Démon qui vivait en moi qu'à une âme charitable à leurs yeux.
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Mais ce jour-là, j'avais décidé d'être un peu plus magnanime envers Maeko. Lui montrer que si elle faisait des efforts, elle pourrait accéder à une certaine forme de liberté non négligeable. En ouvrant la porte, je perçu une forte odeur. Avant cela, l'axolotl devrait prendre une douche. Je ne lui avais accordé cela que quatre ou cinq fois depuis le début de son séjour dans cette salle. J'allais en profiter pour lui montrer de nouvelles choses. Du moins, si elle se montrait soumise et obéissante.
- Maeko, suis-moi. J'ai quelque chose à te montrer qui devrait t'intéresser. Mais avant cela, une douche s'impose.
J'avais depuis peu, ramené un collier de cuir noir, doté d'un cadenas, que j'avais disposé autour du cou de l'hybride. Tous mes esclaves personnels possédaient le même. Je fixais une chaîne à l'anneau du collier de Maeko, avant de l'inciter à me suivre. Une fois à l'étage inférieur, dans mes appartements, je la conduisis jusqu'à la salle de bain. Croisant Rubiel, je lui demandais alors de m'apporter des vêtements propres provenant de ma garde-robe personnelle, pour l'axolotl. Cette dernière se contenterait des miens, puisque nous faisions sensiblement la même taille toutes les deux. Après tout, c'était là un privilège pour elle, en attendant d'avoir ses propres affaires. Une fois dans la salle de bain et les vêtements à disposition, je refermais à clé la porte derrière nous. Je détachais la chaîne et j’ordonnais à mon esclave de se déshabiller et de se laver. Ce n'était pas la première fois que je procédais ainsi. En attendant, je la regardais faire, posant mon regard sanglant et inquisiteur sur son corps et ses gestes.
Je n'avais pas encore pris possession de cette terre hostile, mais cela ne saurait tarder. J'avais été plus occupée à me batailler avec cette écervelée plutôt que de pouvoir profiter de son corps. Je me doutais bien, qu'elle ne devait plus être vierge, souillée par ce serpent visqueux, sournois et dégoûtant, propre à la gente masculine. Une fois que Maeko eut terminé, je me contentais d'inspecter le résultat avant de l'autoriser à s'habiller. Ses anciennes loques terminant leur séjour dans la panière de linge sale. Je refixais ensuite la chaîne au collier de la jeune hybride avant de l'entraîner de nouveau derrière moi, le long du couloir menant aux diverses chambres. Je m'arrêtais devant l'une des nombreuses portes se trouvant non loin de ma propre chambre, puis je l'ouvrais, laissant l'axolotl découvrir un intérieur simple mais suffisamment vaste pour y dormir à plusieurs. Cependant, toutes les chambres étaient individuelles. Un lit double à baldaquin, une grande armoire et une coiffeuse.
- Voici ce qui pourrait devenir prochainement ta propre chambre si tu acceptes enfin de mettre de l'eau dans ton vin. Tu serais libre de la décorer comme tu le souhaiterais. Et tant que tu m'obéirais, que tu exécuterais tes tâches, tu pourrais avoir ce que tu veux, en vêtements ou autres choses. Pour ce qui est des livre,s du moins, si tu sais lire, ils sont à la disposition de chacun dans ma bibliothèque, sous condition d'en prendre soin bien sûr. C'est une immense bibliothèque, il faudrait une vie entière pour lire tous les livres qui composent ma collection.
 Code de Anéa pour N-U |
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Invité | Invité | | | | | Profil : MP : Email : | | Mar 5 Juin - 10:58 |
| Combien de temps avait-elle passé là, dans cette pièce, dans le noir complet ? Ses yeux s'étaient légèrement habituée au noir, elle traversait toujours l'étroite place en tâtonnant mais moins qu'au tout début. Et puis à force, Maeko connaissait cet endroit par cœur. Et le détestait autant qu'elle détestait Kathleen. Elle rêvait de lui faire la peau. C'était d'ailleurs ses rêves qui l'aidaient à tenir...quand les cauchemars ne l'envahissaient pas. Et elle en avait beaucoup, surtout dans un espace clos, privé de toute humidité et livré à elle-même...et son imagination.
Recroquevillée dans un coin, elle fixait le noir absolu, elle fixait dans le vide, son esprit tentant de lui donner des images. Parfois des jolies...parfois des souvenirs douloureux. En plus, elle se sentait affreusement sale. Elle puait et cela ajoutait à son mal-être du moment.
Soudainement, la lumière s'alluma. Par réflexe, elle ferma les yeux et les cligna plusieurs fois, tentant de s'habituer à cette luminosité soudaine. Elle leva ensuite la tête vers son bourreau. Rah cette blancheur caractéristique de cette foutue femme l'éblouissait...comme si un ange venait d'entrer dans sa cellule. Pourtant, elle était tout sauf un ange. Plus un démon.
Elle se leva péniblement et grimaça. Elle n'en pouvait plus de rester ici. Elle laissa Kathleen lui attacher la laisse, seule solution pour sortir de cet endroit, surtout qu'elle lui promettait une douche ! Enfin de l'eau !
Elle suivit alors le mouvement et croisa une hybride qu'elle ne connaissait pas. Rubiel. Qu'est-ce que c'était que cette copie de l'humaine et en plus obéissante ? Elle lui adressa un regard glacial, sensé lui dire de ne pas l'approcher...Mais, elle était épuisée, alors surement que le message ne passerait pas.
Elles arrivèrent enfin à la salle de bain et soupira en entendant l'ordre.
- Alors soyons claire, je n'obéis pas pour ton plaisir mais uniquement parce que j'en ai bien besoin !
Elle se tourna alors dos à cette maudite femme, ne tenant pas à la voir. A voir son regard rouge braqué sur elle. Elle retira rapidement ses habits et se mit sous la douche sans attendre. Sa peau sèche la démangeait énormément. Ce fut un réel soulagement de sentir l'eau couler sur son corps. Elle ferma les yeux, appréciant ce moment, même si le Monstre était derrière elle.
Elle avait tellement eu l'impression de mourir de dessèchement dans cette cellule avec si peu d'eau à disposition ! Mais elle avait refusé de lui dire que son besoin en eau était plus élevé que la moyenne...de peur que cela devienne une torture supplémentaire. Elle en profita pour boire jusqu'à plus soif, même si c'était de l'eau tiède.
Elle attrapa ensuite un flacon de shampooing et se mit à frotter sa fine chevelure blanche. Elle passa ensuite à son corps, ne laissant aucune zone de côté mais ne frottait pas. Elle y allait tout en délicatesse pour ne pas écorcher sa peau fragilisée. Elle se rinça et recommença une deuxième fois, ayant l'impression de ne pas être totalement propre.
Une fois satisfaite et sa peau un peu moins sèche, plus hydratée qu'en arrivant, elle éteignit l'eau et se sécha tout aussi délicatement.
Elle laissa Kathleen inspecter le résultat en émettant un simple soupir. Mais au moins, cette dernière n'en profita pas. Elle enfila alors les vêtements mais ne mit aucun pull. Elle était bien mieux en t-shirt, trouvant les pulls ou gilets trop chaud à son goût.
Elle se fit alors à nouveau entrainer jusqu'à une chambre...sa future chambre si elle acceptait les conditions. Ce lit avait l'air plus confortable. Mais pourtant, ce n'était pas tant l'option d'une chambre à elle, confortable et meublée qui la faisait hésité. C'était plus le fait qu'avec cela, elle aurait accès à volonté à de l'eau, des douches, la pluie...et peut-être l'extérieur. Prendre l'air frais. Et cela ne lui ferait pas de mal puisqu'elle était encore plus pâle que d'habitude.
Elle se tourna vers la jeune femme et l'observa longuement.
- Quelles sont les réelles conditions ? Je ne te crois pas quand tu parles seulement d'obéir et d'exécuter les tâches, ça, ça correspond plutôt aux conditions pour garder cette pièce. Qu'est-ce que tu veux réellement pour me laisser avoir accès à cet endroit ?
Elle n'était pas idiote non plus. Et après avoir côtoyé Kayden un bon moment, elle avait appris le fonctionnement des bourreaux. De ces foutus humains qui se croyaient tout permis et qui estimaient que tout leur appartenait...tant qu'ils l'avait décidé. Alors elle voulait savoir. Qu'allait-elle devoir céder voir abandonner pour obtenir le simple fait de vivre dans de bonnes conditions ? Elle la détestait mais se demandait à quoi elle était prête juste pour de l'eau, pas pour cette chambre. |
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Invité | Invité | | | | | Profil : MP : Email : | | Mer 18 Juil - 15:53 |
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- Alors soyons claire, je n'obéis pas pour ton plaisir mais uniquement parce que j'en ai bien besoin !
- C'est justement parce que tu en ressens le besoin que tu obéis et que tu tolères surtout ma présence. Tu ne gagneras pas à ce petit jeu avec moi, Maeko.
Alors que l'axolotl se douchait, profitant ainsi de ses formes qui n'étaient pas négligeable, je remarquais son empressement à aller sous l'eau et à "en profiter", comme à chaque fois précédente. Elle buvait également, même si c'était là de l'eau tiède. J'étais légèrement surprise, c'était la première fois que je la voyais faire cela. Elle avait pourtant toujours eu à boire, du moins suffisamment pour tenir. Mais c'était sûrement son appartenance au milieu aquatique qui lui conférait un probable besoin d'eau plus important. Il faudrait que j'éclaircisse ce mystère.
Une fois dans la chambre dans laquelle je l'avais conduite, mon esclave avait longuement regarder autour d'elle, probablement perdue dans ses réflexion, vu qu'il n'y avait pour le moment que le strict nécessaire. Je n'intervins pas tout de suite, lui laissant un peu le loisir de regarder. Avec le regard, viendrait l'envie ...
- Quelles sont les réelles conditions ? Je ne te crois pas quand tu parles seulement d'obéir et d'exécuter les tâches, ça, ça correspond plutôt aux conditions pour garder cette pièce. Qu'est-ce que tu veux réellement pour me laisser avoir accès à cet endroit ?
- Non Maeko, ça ne marche pas comme ça avec moi. Tu sauras bien assez tôt ce que j'attend de toi, mais pour le moment, contente toi de continuer à me suivre et à bien m'écouter. Le reste ... dépendra de l'attention que j'aurai obtenu de toi.
J'invitais alors l'axolotl à quitter la chambre en tirant légèrement sur sa laisse, refermant la porte derrière nous. Puis je rejoignis l'escalier afin de guider l'hybride jusqu'au rez-de-chaussée. Nous avions bien sûr croisé des Fleurs qui profitaient encore du temps qu'il leur restait. En arrivant près de la porte-fenêtre donnant sur l'extérieur, j'attrapais une veste longue et une ombrelle. Nous étions en fin de journée, mais le soleil n'était pas encore couché. Je ne pouvais permettre ses rayons de caresser ma peau si sensible à ses effets. Une fois prête, j'ouvris la porte et sortis à l'extérieur, sur une immense terrasse qui faisait tout la longueur du Manoir.
- Maeko, voici le reste de ma propriété.
Ce n'était en aucun cas un vulgaire jardin qui s’étalait sous nos pieds, mais un véritable parc de plusieurs centaines d'hectares. La terrasse étaient composée de quelques marches permettant d'accéder au reste du terrain en contrebat. Une fois sur le premier chemin de terre, Maeko ne pourrait manquer l’immense bassin surmonté d'une fontaine au centre, tandis que deux autres sentiers partaient chacun d'un côté de ce dernier. Le chemin partant sur la droite menait directement à un jardin fermé par de hauts murs et l'on pouvait apercevoir au-dessus le toit d'une serre. Celui partant sur la gauche se prolongeait loin sur la propriété, au bout duquel se trouvait un bâtiment de pierre, une écurie abritant quatre boxes et un espace pour entreposer les fourrages. Le reste était un mélange d'une prairie et d'un sous-bois.
- Ça te plaît Maeko ? Il y a de quoi se promener, profiter du beau temps, de la nature coupée du reste, profiter du jardin anglais et de ses fleurs, ainsi que des bois. Tu pourrais également accéder à tout cela. Je t'ai rencontré alors que tu étais assise sur le rebord d'une fontaine, tu semble aimer beaucoup l'eau. Regarde ce bassin, ce serait plaisant si tu avais l'autorisation privilégié de pourvoir t'y rafraîchir ... n'est-ce pas ?
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Invité | Invité | | | | | Profil : MP : Email : | | Jeu 19 Juil - 10:16 |
| Maeko profitait de sa douche, de l'eau qui coulait sur son corps sans répondre à la remarque de Kathleen, mais son regard aurait pu tout dire. Un brin d'affront et de provocation...Nous verrons bien qui gagnera à ce petit jeu. Voila ce qu'ils disaient. Elle avait beau se laisser faire, elle n'en perdait pas sa combativité !
Une fois bien désaltérée et propre, sa peau la tiraillait bien moins même si ce n'était pas suffisant pour combler le manque causer par ces derniers jours. Oui, l'eau était sa drogue à cause de son espèce animale bien trop présente. Elle s'habilla alors et suivit la maîtresse des lieux dans la maison jusqu'à sa future chambre. Elle la fixa alors, surprise de ce qu'elle entendait.
- De toute façon, vous les humains, vous êtes bien tous pareils. Je verrais bien en effet, ce que tu me proposes mais si ça ne me plais pas, tu le sauras bien vite !
Il ne fallait pas rêver, ce n'était pas ces quelques jours d'isolation qui allaient la faire plier. La rendre plus acariâtre certainement, bien que le dessèchement était une torture qui fonctionnait bien sur elle...Assez pour la rendre à l'écoute et potentiellement un peu plus folle à chaque fois. Oui, dans ces cas-là, son esprit s'échappait comme il le pouvait pour oublier ne serait-ce qu'un temps, cette affreuse sensation.
La jeune femme tira à nouveau sur la laisse. Et franchement, Maeko détestait ce truc, comme si elle n'était qu'un vulgaire animal.
- Est-ce qu'il serait possible de retirer cette foutue laisse ? Je ne vais pas m'échapper, je ne connais pas encore assez bien les lieux pour ça et je ne suis pas assez idiote pour tenter quelque chose alors que tu es là pour m'emmerder.
Oups, peut-être un peu trop franche pour le coup, non ? Mais il faut croire que la douche lui avait fait du bien, assez pour qu'elle redevienne elle-même. Et puis bon, ce n'était que des mots. Aucun geste déplacé ou menaçant, juste quelques paroles...
Elle suivit tout de même le mouvement, observant les personnes qu'elles croisèrent. Des esclaves de l'endroit ? Cela lui redonnait un peu d'énergie. Elle devait lutter, sauver sa peau pour espérer ensuite, sauver celles des autres.
Elles arrivèrent enfin là où le tyran voulait l'emmener. Le jardin. Elle regarda autour d'elle, admirant la terrasse, passant sur la serre, le bois, mais surtout...Surtout, une fontaine ! Un véritable bassin ! Attirée comme un aimant, elle voulut s'y diriger aussitôt. Elle voulait s'y baigner, y rester des jours durant ! Mais la laisse la rappela bien vite à la réalité, l'étranglant quelque peu. Elle grommela avant de se tourner vers Kathleen.
- Je pourrais m'y baigner ? Il est profond ? Est-ce qu'on peut s'approcher ?
Tant pis pour la rébellion, elle attendrait plus tard. Il y avait plus important ! Ce bassin, toute cette eau à portée de main mais pourtant si loin ! Comme si on lui refusait le plus beau cadeau du monde, qu'on lui montrait mais qu'on l'empêchait de le toucher...Elle voulait juste se jeter dans l'eau. Rien d'autre. Ah si, dormir dedans des journées entières ! Voila son premier rêve pour le moment. La fuite et tout le reste, ce serait un autre jour. |
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Invité | Invité | | | | | Profil : MP : Email : | | Sam 21 Juil - 17:05 |
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- De toute façon, vous les humains, vous êtes bien tous pareils. Je verrais bien en effet, ce que tu me proposes mais si ça ne me plais pas, tu le sauras bien vite !
- Ah mais c'est justement l'effet recherché ! Que ce que je te ferai ou t'ordonnerai ne te plaise pas. Crois-tu vraiment que tes probables rébellions m'arrêteront ? Si peu. Je t'ai déjà marqué au fer, une marque que l'on ne pas retirer comme une puce, n'est-ce pas ? Toute ta vie tu la porteras, même si un jour il me prend l'envie de te vendre, tout Togi saura que tu m'as appartenu. Tu as une langue bien pendue, pensant que tu auras le dernier mot, mais pas avec moi ma belle. Même si il m'arrivera de ne pas te répondre par des mots, je le ferai par des gestes. Fais donc attention que je ne te coupe pas la langue pour la déguster ensuite au dîner.
- Est-ce qu'il serait possible de retirer cette foutue laisse ? Je ne vais pas m'échapper, je ne connais pas encore assez bien les lieux pour ça et je ne suis pas assez idiote pour tenter quelque chose alors que tu es là pour m'emmerder. Avait-elle demandé alors que je la conduisais à travers le Manoir en direction du jardin.
- Oh mais il n'y a pas que moi. Au cas où tu ne l'aurais pas encore remarqué, j'ai une "armoire à glace" qui surveille le moindre fait et geste de mes esclave et me rapporte tout ce que j'ai à savoir. De plus, si tu penses à t'enfuir, il se fera un plaisir de te rattraper pour moi et je me ferai un plaisir de t'administrer la "fessée" que tu mériteras. Mais pour le moment, non je n'enlèverai pas cette laisse. C'est ta fidèle compagne jusqu'à ce que je juge bon de te séparer d'elle.
Lorsque nous étions arrivées sur la terrasse et alors que le bassin et sa fontaine s'étendaient sous nos pieds à quelques mètres en contrebas, Maeko y fût immédiatement attirée mais la laisse la rappela à l'ordre, l'étranglant légèrement. Je tenais l'autre bout avec fermeté.
- Je pourrais m'y baigner ? Il est profond ? Est-ce qu'on peut s'approcher ?
- Tu pourras t'y baigner oui et il est d'une bonne profondeur pour un bassin mais au vu de ta grandeur, tu garderas pieds. Pour obtenir cela, il y a un prix. Pour s'en approcher maintenant, il y a aussi un prix. Je suppose que tu veux les connaître ? Je ne te les dirais pas. Tu viens de formuler un premier souhait immédiat et celui-ci te coûtera une chose.
Je levais alors la main et fis un signe à quelqu'un quelque part. Une personne que l'hybride n'avait sans doute pas repéré depuis le début, tout à son admiration pour l'étendue d'eau. Mon vigile s'approcha alors qu'il se tenait dans l'ombre d'un coin de la terrasse. Je lui demandais alors de faire venir nos invités. Tout en l'attendant, je fixais Maeko, un sourire satisfait sur mes lèvres.
Quelques minutes plus tard, la patronne de l'animalerie que je connaissais bien approchait en compagnie d'une femme en uniforme. L'uniforme des rabatteurs. Grâce à une belle somme d'argent que j'avais promis, la femme quadragénaire avait réussi à dégoter l'un d'entre-eux qui intervenait à l'occasion chez elle, pour venir jusqu'ici. Sa mission était simple ...
- Maeko, je pense que tu te souviens de cette femme. Quand à la rabatteuse à ses côtés, elle va te remettre ce que tu as égaré il y a quelques temps.
En effet, la rabatteuse en question était là pour remettre une puce à Maeko. Elle y avait déjà rentrer toutes les anciennes informations qu'elle avait pu retrouver et avait entrer le nom de sa nouvelle propriétaire, en l'occurrence, moi-même. Je fis signe à mon vigile d'entraver fermement l'axolotl que je savais suffisamment rebelle pour se dérober et la mise en place de la puce ne dura pas plus de quelques minutes.
- Tenez pour vos services et votre silence.
Je remis une liasse de billet à la patronne et à la rabatteuse, les congédiant ensuite. Elles seraient raccompagnées à la sortie par mon "gorille". Me retrouvant seule une fois de plus avec Maeko, je la tirais de nouveau par la laisse, la rapprochant du bassin.
- Voici ta récompense, nous nous sommes rapprochées. J'ai une question pour toi à présent ... Qu'es-tu prête à faire à l'instant pour pouvoir accéder à cette source d'eau non négligeable ? Oui, ma très chère Maeko, rien n'est gratuit avec moi. Que feras-tu pour me satisfaire ? N'oublies pas que j'aurai vite fait de te remettre dans ton "cachot" ...
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Invité | Invité | | | | | Profil : MP : Email : | | Mer 25 Juil - 11:15 |
| - Donc, tu vas t'amuser à me pousser dans mes retranchements dès que tu en auras l'occasion pour avoir le plaisir de me punir ? Je vois le genre...
De toute façon, Maeko n'était pas difficile à pousser dans la rébellion. Elle y était déjà naturellement et presque quotidiennement. Bien que là, elle écoutait et apprenait à découvrir sa nouvelle...maîtresse, même si elle avait en horreur ce mot. Néanmoins, elle savait qu'elle allait devoir faire des efforts si elle voulait un peu plus de liberté. La chambre, elle s'en fichait royalement, elle voulait juste la douche...et ce bassin.
Mais voila que Kathleen lui annonçait déjà qu'il y avait un prix pour s'approcher. Et un autre pour pouvoir se baigner. Elle fronça les sourcils, se demandait à quoi elle pensait.
Elle remarqua alors l'homme baraqué qui s'approchait et se raidit aussitôt, s'écartant par réflexe. Elle n'aimait pas vraiment les hommes, vu ce qu'elle avait subi avec eux. Seul Shaka s'était montré doux et patient.
Finalement, le gorille revint avec deux femmes. L'une d'elle, elle la connaissait. Elle avait dévoilé l'absence de puce dans sa nuque. Mais c'était la femme en uniforme de rabatteur qu'elle fixait. Elle fronça les sourcils.
- Ne me touchez pas !
Elle chercha à s'écarter, à s'enfuir, à tirer sur la laisser et à frapper l'homme qui venait de la saisir pour la maintenir. Elle se débattait comme un diable, mais il était plutôt costaud. Trop pour elle et son corps affaibli par l'enfermement dans le grenier.
Elle se retrouva alors à nouveau avec une puce dans la nuque, malgré ses efforts pour qu'ils n'y arrivent pas, malgré son dégoût pour ce simple objet et son avis sur la question.
Elle laissa tomber son front contre le torse du gorille qui ne donnait pas signe de vie sans ordre visiblement. Du coin de l'oeil, elle vit la patronne des lieux remettre de l'argent aux deux femmes. Elle qui s'était tant battue pour sa liberté, voila qu'elle venait de tout perdre à nouveau en quelques instants.
L'homme la relâcha alors et repartit avec les deux autres, la laissant seule avec son tyran. Elle suivit le mouvement jusqu'au bassin et voulut toucher l'eau. Plonger serait l'idéal mais si elle pouvait au moins toucher après un tel calvaire, cela lui ferait du bien...
Mais non, il y avait encore un prix.
Elle leva la tête et posa son regard blanc sur la jeune femme. Elle fronça les sourcils, payer le prix ou retourner au cachot ? Elle émit un soupir, elle avait besoin de se baigner ! Ce n'était pas un simple désir mais un besoin. Elle tenta de tirer un peu sur la laisse, pour pouvoir au moins plonger les doigts dans l'eau mais finit par se raviser.
- Qu'est-ce que tu veux ? Quel est ce prix ? Arrête de jouer avec moi et dis-moi ce que tu veux. Je le ferais.
Elle restait droite et fière malgré ses mots, la fixant sans détour. Elle vendait son âme au diable pour un peu d'eau. Mais elle avait terriblement besoin, sa peau la picotait encore, rien que de savoir qu'elle était proche de se baigner et pourtant si loin...Alors oui, elle était prête à tout. Même donner son corps, même si ce prix lui ferait particulièrement mal. |
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Invité | Invité | | | | | Profil : MP : Email : | | Mer 1 Aoû - 18:20 |
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- Ne me touchez pas !
Maeko avait tenté de se débattre, mais face à ton vigile et surtout à sa carrure impressionnante, il ne lui restait que sa langue pour cracher son venin. Mais elle ne faisait au final que gâcher sa salive pour rien. La puce allait être mise en place et tu devenais donc officiellement et légalement sa maîtresse. Un sourire satisfait s'était attardé alors sur tes lèvres.
Tirer sur la laisse pour tenter d'avoir accès à ne serait-ce qu'un peu d'eau sur sa main ne servait à rien à ta nouvelle esclave. Tu venais de le lui signifier, TOUT aurait un prix et à tes yeux pour le moment, elle avait bien trop de dettes. Mais tu devais l'amadouer un peu, histoire de t'assurer un minimum d'obéissance.
- Qu'est-ce que tu veux ? Quel est ce prix ? Arrête de jouer avec moi et dis-moi ce que tu veux. Je le ferais.
Tu tiras alors violemment sur sa laisse pour la ramener contre toi et l'éloigner du bassin qui lui semblerait pourtant si proche. Tu posas ta main sur sa joue, la faisant descendre lentement et dans une caresse sur sa gorge. Tu la pressas alors légèrement.
- Je viens de te poser deux questions et tu tournes autour du pot. Il ne me semble pas que tu sois idiote pourtant ? Je vais cependant t’offrir une "fleur". Je ne vais pas te dire ce que j'attend de toi pour que tu puisses accéder à cette eau, mais je vais te le montrer. Tu auras ainsi une idée à l'avenir de ce que j'attend de toi et ... de ce corps offert ...
Tu t'emparas alors des lèvres de Maeko pour l'embrasser. Pas de baiser pieux, non, un baiser langoureux, pressé et quelque peu douloureux lorsque tu lui mordis la langue à sang. Ah ! Ce petit goût métallique ! Tu ne t'en lassais pas.
- Pour cette fois-ci, je ne te ferais pas payer ton insolence et cet accès au bassin trop cher, mais dis-toi bien que tu me dois déjà beaucoup et que toute ta vie dénuée d'intérêt ne suffira pas à la rembourser ta dette. Pour cela ... tu me céderas bientôt tout, ton corps, ton âme, tes espoirs et même ta propre vie.
Tu relâchas alors la pression exercée sur le collier et la laisse pour la laisser atteindre le rebord du bassin et suffisamment pour y plonger sa main. Tu la laissas faire un moment, silencieuse, l'observant et léchant ta lèvre supérieur où c'était attardé un peu de son sang. Tu repris ensuite d'une voix doucereuse.
- Alors Maeko ? As-tu trouvé ce que tu ferais pour me satisfaire ? N'oublies pas que tu devras également participer aux tâches quotidiennes de mes appartements si tu acceptes de coopérer bien entendu. Il est évident que tu ne sortiras de ton "cachot" que sous cette condition. Ainsi, je me demande à quoi tu es bonne à part en tant que danseuse exotique ?
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Invité | Invité | | | | | Profil : MP : Email : | | Dim 12 Aoû - 10:05 |
| Maeko désirait juste pouvoir s'approcher de cette fontaine, y plonger la main...s'y mettre totalement et dormir plusieurs heures tout au fond. Oui, ce serait tellement bien ! Tellement agréable ! Tellement réconfortant et réparateur également ! Mais non, cette foutue femme continuait de jouer avec ses désirs, ses besoins mêmes en lui donnant un prix...sans même lui dire ce qu'il était.
Elle posa sur elle un regard glacial. Non, elle n'était pas idiote et préférait aller droit au but, sans donner directement...inutile de lui donner plus que prévu, ce ne serait pas profitable. Mais Kathleen s'approcha alors et leurs lèvres se rencontrèrent. Elle se crispa, serrant les poings et tenta de n'être qu'une simple poupée ne ressentant rien...Ce qui était loin d'être facile pour elle. Surtout lorsqu'elle sentit des dents mordre sa langue, ce qui lui tira une légère plainte, surprise.
- Je vois que tu es bien comme tout les autres humains en fait. Aucune originalité, n'est-ce pas ? Pourquoi désirez-vous toujours de coucher avec ce qui vous entoure ?
Sa question ne nécessitait pas vraiment de réponse, c'était plus un constat déplorable de l’humanité. Elle l'écouta alors expliquer que sa dette était énorme. Quelle dette ? Pourquoi ?
- Une dette ? Pour quelle raison ? Tu m'as enfermé là bas pendant une éternité, en quoi ça donne une dette ça ?
Mais bon, elle avait enfin le droit de s'approcher du bassin ! Ce qu'elle fit sans se prier. Elle se laissa tomber au bord et approcha sa main de l'eau, la caressant du bout des doigts. La dernière fois qu'elle avait pu le faire, elle était encore une hybride libre...maintenant, elle appartenait à cette saleté d'humaine sans réel espoir d'échappatoire. Anastasya, son amie, n'avait aucune chance de savoir qu'elle était là...Elle se retrouvait donc encore seule. Comme d'habitude. Il fallait juste trouver un moyen de lui échapper, recommencer à zéro...Mais pour l'instant, elle avait besoin de s'hydrater.
Elle retira ses chaussures et plongea ses pieds dans l'eau. La fraicheur lui fit un bien fou, tout comme cette sensation enivrante sur sa peau ! Elle avait tellement envie de se laisser glisser jusqu'au fond !
Mais encore une fois, la voix de sa tortionnaire s'éleva, lui rappelant sa nouvelle situation. Elle leva les yeux vers elle, nullement gênée de se retrouver plus bas qu'elle. Elle ne voyait pas cela comme une image d'infériorité.
- Et quelles sont les tâches quotidiennes ? Le ménage et la bouffe ? Si c'est ça, tu as choisi la mauvaise hybride. Kayden ne m'a appris qu'à danser. Pour le reste, j'ai d'autres compétences mais je doute que tu les trouves utiles puisque ça sert surtout en tant qu'hybride libre. Ça faisait des années que j'étais ce que vous appelez une sauvage.
Pour une fois, elle parlait un peu d'elle et était parfaitement honnête. Inutile de mentir sur de telles "compétences" de toute façon. Elle ne savait pas faire le repas ou le ménage, elle ne connaissait même pas la majorité des ustensiles pour cela. Non, elle vivait du vol de sa nourriture avant d'être capturée et achetée par Kayden. Et lui, il n'y avait pas vu d'intérêt. Tout ce qui comptait, c'était la nouveauté qu'elle apporterait au bar, pas le reste. Alors, effectivement, elle avait peu de compétences que les humains jugeaient utiles.
- Pour le reste, tu parles sans cesse de prix à payer. Si tu veux mon corps, prends-le. Tu ne seras pas la première, surement pas la dernière, mais j'ai une condition à émettre à ce propos. Si tu me touches, je refuse qu'un tas de tes clients le fassent. Qu'on soit bien claires, je l'ai assez fait à l'Exoticana et je n'ai aucune envie que des inconnus me tripotent de nouveau. J'aurais bien assez à faire avec toi.
Elle n'avait aucune hésitation dans ses propos. Vendre son corps pour survivre...Voila ce que ses journées de captivités auprès de Kayden lui avaient appris. Et pourtant, elle n'avait jamais accepté, ne s'était jamais laissée faire...Elle s'était toujours débattue, refusant qu'il la touche. Peut-être qu'une humaine serait moins cruelle là-dessus ?
- J'ai aussi deux autres conditions, tu supportes mal le soleil à ce que je vois, nous sommes deux. Alors ne te sers pas de ça sur moi, les rayons du soleil, la forte lumière ou chaleur...sinon, je te promets que tu peux dire adieu à toute coopération de ma part. Et laisse moi un accès total à l'eau, que ce soit la douche ou ce bassin. C'est tout ce que je demande.
Il y avait un début n'est-ce pas ? Une proposition de contrat en quelque sorte pour coopérer même si Maeko savait qu'elle s'en mordrait peut-être les doigts plus tard. Mais tant pis, elle devait négocier pour ne plus avoir cette impression de dessèchement des plus désagréables. La pire torture à ses yeux. A tel point que les autres douleurs physiques n'étaient rien à côté pour elle. |
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Invité | Invité | | | | | Profil : MP : Email : | | Lun 8 Oct - 10:56 |
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L'axolotl avait émis une légère plainte lorsque tu lui avais mordu la langue, ce petit son t'avait émoustillé, exactement ce que tu voulais. Cette hybride aux allures sauvage et revêche, se voyait obligée de fléchir face à tes actions quelque peu violente, mais ce n'était rien encore, tu étais plutôt "gentille" pour l'heure.
- Je vois que tu es bien comme tout les autres humains en fait. Aucune originalité, n'est-ce pas ? Pourquoi désirez-vous toujours de coucher avec ce qui vous entoure ?
Ta main partit sans aucun détour et sans prévenir. La claque fût cinglante et résonna dans cette partie du jardin. Tu n'y avais pas été de main morte et la joue de l'hybride commençait déjà à rougir, présentant également la trace de tes doigts sur sa peau si claire. Ton sang n'avait fait qu'un tour, que l'on te compare aux autres ne te plaisait pas du tout, tu étais unique, tu étais parfaite en tout point. Et si tu le pouvais, tu asservirais le monde entier pour que tous soient à tes pieds. Mais il faudrait du temps pour cela, beaucoup de temps et ... un plan. Tu avais porté ta main sur la gorge de l'axolotl et tu la serras doucement entre tes doigts longs et fins.
- Ne me compare jamais à ces déchets, tu as compris ? De plus, tu n'as pas encore compris qui j'étais apparemment. Ton corps m'intéresse oui, pourquoi pas un peu de plaisir au passage, mais mon plaisir ne naîtra pas grâce au tiens, mais plutôt grâce à la souffrance que je te ferai endurer.
Lorsque tu avais évoqué la "dette" de Maeko, cette dernière ne comprit pas la teneur de tes propos. Elle mentionna son enfermement, mais cet interlude n'avait rien de coûteux, c'est à présent qu'elle aurait peut-être accès à une chambre privée, à des repas complets, à des vêtements, des objets pour son usage personnel qu'elle commencerait à te coûter cher et pour ça, elle devrait faire d'énormes sacrifices. Mais pour l'heure, tu ne rentrerais pas dans les détails.
- Après tout, je ne te demande pas de comprendre ta "dette", mais je ne m'inquiète pas, tu la remboursera en temps et en heure ...
Tu avais ensuite autorisé l'axolotl à accéder au bassin de la fontaine puisque tu venais de lui faire payer son dû. Tu l'observas s'approcher de l'eau comme d'un salut et finir par plonger ses pieds dedans. Tu ne lui laissas pas beaucoup de temps de tranquillité, tu ne la lâcherait pas de si tôt.
- Et quelles sont les tâches quotidiennes ? Le ménage et la bouffe ? Si c'est ça, tu as choisi la mauvaise hybride. Kayden ne m'a appris qu'à danser. Pour le reste, j'ai d'autres compétences mais je doute que tu les trouves utiles puisque ça sert surtout en tant qu'hybride libre. Ça faisait des années que j'étais ce que vous appelez une sauvage.
- Et bien, je suis curieuse tu vois, de connaître ces "compétences" dont tu parles et si tu ne me le dis pas de toi-même ... j'obtiendrai ses informations par la force. Ensuite, le ménage, la cuisine, ça s'apprend et tu travailleras comme tous les autres, mais j’avoue que le fait que tu sois capable de danser m'intéresse un peu plus ...
Il est vrai que ce ne serait pas négligeable d'avoir une danseuse exotique pour satisfaire certains plaisir de tes clients. Une petite friandise en plus qui pourrait te rapporter gros au final. Tu étais tout à ta réflexion lorsque Maeko interrompit le fil de tes pensées.
- Pour le reste, tu parles sans cesse de prix à payer. Si tu veux mon corps, prends-le. Tu ne seras pas la première, surement pas la dernière, mais j'ai une condition à émettre à ce propos. Si tu me touches, je refuse qu'un tas de tes clients le fassent. Qu'on soit bien claires, je l'ai assez fait à l'Exoticana et je n'ai aucune envie que des inconnus me tripotent de nouveau. J'aurais bien assez à faire avec toi.
- Oh, mais ça tombe bien, parce que de toute façon, tout le monde le sait, mes esclaves personnels n'appartiennent qu'à moi et personne n'a le droit de poser ne serait-ce qu'un doigt sur eux, encore moins les femmes. Je ne tiens pas à ce qu'un serpent visqueux vienne les souiller, à ce dernier, je n'hésiterai pas à lui ôter ses précieux bijoux ... Généralement, j'y prend beaucoup de plaisir. Voir le désespoir dans leurs yeux lorsqu'ils se rendent compte qu'ils ne pourront plus la fourrer n'importe où ... C'est une si grande satisfaction. Et si tu te demandes si c'est déjà arrivé, la réponse est oui, bien évidement et le plus amusant, c'est lorsque j'en ai donné à manger à mon chien à l'époque. Ce qui me rappelle que je devrait en reprendre un ... depuis le temps que le dernier est mort.
- J'ai aussi deux autres conditions, tu supportes mal le soleil à ce que je vois, nous sommes deux. Alors ne te sers pas de ça sur moi, les rayons du soleil, la forte lumière ou chaleur...sinon, je te promets que tu peux dire adieu à toute coopération de ma part. Et laisse moi un accès total à l'eau, que ce soit la douche ou ce bassin. C'est tout ce que je demande.
- Tu es bien exigeante en effet. Comme je te l'ai dit plus tôt, si tu coopères, tu auras accès à la chambre et la salle de bain bien évidemment, j'aime la propreté et les bonnes odeurs, la bonne tenue aussi. Tu auras donc de nouveaux vêtements. Tu pourras les choisir à ta guise, mais tu devras présenter des tenues légères lors de tes danses et ... pas question de te montrer totalement nue. Tu es à moi, uniquement à MOI. Tes danses se limiteront donc à tes sous-vêtements. Cela émoustillera suffisamment leur sens pour leur donner envie de passer au dessert avec une de mes Fleurs. Et tu auras un vigile pour surveiller ta salle, ainsi, tu n'auras pas d'inquiétude à avoir ...
Tu te penchas au-dessus de Maeko et glissas sans ménagement et sans hésitation une main dans son haut, attrapant un sein pour le caresser à ta guise.
- Sois une gentille fille bien docile ... et il ne t'arrivera rien de malencontreux. Mais je te préviens que si jamais je te vois ou que j'apprend que tu as été une fois avec un membre de la gente masculine, ici ou en dehors, non seulement à lui je lui ferai passer l'envie de baiser n'importe qui,mais à toi, je te ferai passer un très mauvais moment ... Pour appuyer tes dires, tu attrapas l'un des piercings et le tourna violemment. Par contre pour moi, ce sera jouissif ... Tu léchas alors l'une des oreilles de ta nouvelle esclave avant de la lâcher et de te redresser. J'espère que le message a été clair ?
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Invité | Invité | | | | | Profil : MP : Email : | | Jeu 11 Oct - 12:02 |
| A peine Maeko avait comparé Kathleen aux autres humains qu'une main s'était levée. La claque cinglante avait laissé une trace rouge sur sa joue et son regard brûlait de haine, alors que ses doigts venaient masser la peau endolorie. Elle la fixa alors, ne tenant pas à cacher ce qu'elle ressentait pour cette femme alors qu'elle lui expliquait ce qu'elle comptait faire...La faire souffrir pour son propre plaisir. Ben voyons. Et ça se voulait original ?
- Ça ne change rien à mon avis. Tu crois vraiment que Kayden se préoccupait de mon plaisir quand il me plantait sa verge ? Tu crois sincèrement qu'il s'intéressait à mon ressenti quand il avait envie de quelque chose ? Donc, je le redis, tu es bien comme tous les autres. Oh peut-être avec un soupçon de cruauté supplémentaire, mais ça ne m'étonne même pas. Tu es bien une foutue humaine.
Quand elle se lâchait, toute sa vulgarité refaisait surface même si elle pouvait faire bien pire. Elle n'avait pas vraiment de filtre entre ses pensées et ses mots. Sa nouvelle maitresse allait donc pouvoir l'apprendre.
Les pieds dans l'eau, elle tentait de profiter de ce moment malgré la voix de sa nouvelle tortionnaire qui ne cessait de parler.
- Non, je ne ferais ni ménage ni cuisine, sauf si tu n'as pas peur que je puisse t'empoisonner. Ton jardin regorge de charmantes plantes, es-tu sure que je ne trouverais pas de quoi te tuer ?
Maeko était plus dans l'action, agir, se venger, pas vraiment dans l'élaboration d'un tel plan mais la menace pouvait très bien fonctionner. Après tout, elles en étaient à marchander le contrat...même si elle n'était pas en position de le faire. Cela ne l'empêchait pas de tenter. Surtout si cette femme était plus intéressée par le fait de la voir danser...Une autre possibilité de la menacer, non ?
Mais voila que cette folle lui annonçait ce qui arriverait si un homme la touchait. Elle eut une grimace de dégoût en imaginant la scène. Folle et cruelle. Voila deux adjectifs qui lui correspondaient à la perfection ! Et si elle adoptait un chien, elle s'en méfierait grandement.
Mais les conditions pour la danse lui convenaient parfaitement.
- Je vois. Sous-vêtement, vigile...ça me convient parfaitement. Parce que de toute façon, je n'aurais aucune hésitation à frapper ou mordre celui qui osera me toucher.
Elle pouvait parfois se montrer très...sauvage dans son comportement. Peut-être très animale mais après tout, elle agissait comme elle pouvait pour se défendre. Surtout avec l'éducation qu'elle avait reçu. Mais le fait de danser sensuellement sans se dévêtir totalement pouvait être envisageable, surtout si aucun de ces clients ne la touchent par la suite...Un bon point pour la convaincre de travailler.
Une main se glissa alors sous son haut, la tirant de ses pensées. Elle se raidit en la sentant saisir l'un de ses seins. Kathleen ne savait pas être douce, alors mise à part de la méfiance et un corps raide, elle ne put obtenir aucune réaction.
Elle écouta la menace, les mains crispées sur le rebord de la piscine. Lorsque sa maîtresse tourna violemment le piercing, elle tenta de la faire lâcher prise. Une de ses main saisit son propre sein pour tenter de le protéger et l'autre le poignet de la femme. C'était douloureux, la plainte qui lui avait échappé en était une preuve...Ainsi que son visage encore plus blanc que d'habitude. Elle n'aimait vraiment pas ces foutues choses plantées dans sa poitrine !
Finalement, Kathleen retira sa main d'elle-même la libérant et Maeko tenta de faire passer la douleur en massant son téton bien endolori.
- Il n'y a aucun risque, je ne ressens aucun désir pour le corps des autres. Hommes ou femmes.
Ayant été violée plus d'une fois, elle n'avait jamais compris l'intérêt de coucher avec quelqu'un...Jusqu'à ce que Shaka entre dans sa vie. Et encore, même s'il avait été doux et tendre à chaque fois, qu'il lui avait donné du plaisir...Ce n'était jamais elle qui avait commencé chaque jeu, elle n'avait fait que suivre. Surtout pour lui faire plaisir à chaque fois. Elle chassa bien vite l'image de cet homme en secouant la tête, elle ne le reverrait jamais de toute façon. Autant oublier sa seule source de bien-être lorsqu'elle était à l'Exoticana.
Elle finit par lever les yeux vers sa tortionnaire.
- Bon, as-tu encore d'autres choses à me montrer ou tu vas enfin me foutre la paix ?
Comment pouvait-elle profiter du bassin avec ce monstre à ses côtés ? Elle avait une telle envie de plonger, de se positionner tout au fond, et d'y rester des heures et des heures. Seule avec elle-même. Seule avec les bruits sourds du fond de l'eau. |
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Invité | Invité | | | | | Profil : MP : Email : | | Lun 5 Nov - 13:12 |
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- Non, je ne ferais ni ménage ni cuisine, sauf si tu n'as pas peur que je puisse t'empoisonner. Ton jardin regorge de charmantes plantes, es-tu sure que je ne trouverais pas de quoi te tuer ?
L'hybride axolotl était en train de te pousser à bout. Tu avais froncé les sourcils et t'étais retenue d'une réprimande physique pour lui faire comprendre où était sa place dans ta maison. tu te contentas juste de répondre froidement et d'un air agacé.
- Tu feras ce que je te dirais de faire, ou bien tu préfères peut-être retourner au cachot ? Sans eau à ta disposition ?
Maintenant que tu connaissais la principale faiblesse de Maeko tu ne te gênerais pas pour en user en guise de chantage non négociable. Ah elle aimait te provoquer et se rebeller ? Nous verrons bien si elle tiendras encore d'ici quelques mois et punitions.
- Je vois. Sous-vêtement, vigile...ça me convient parfaitement. Parce que de toute façon, je n'aurais aucune hésitation à frapper ou mordre celui qui osera me toucher.
- J'y compte bien, cependant ... Je préfère que tu laisses mon vigile gérer la situation, ou bien moi-même. Aucune de mes Fleurs ou de mes hybrides personnelles ne doit blesser un de mes clients, c'est la règle. Cela entraînerait des complications, surtout pour toi si tu venais à te montrer un peu trop violente ou rebelle.
Par la suite, tu avais bien fais comprendre, notamment par ton geste, à ton esclave tes conditions pour qu'elle évite de batifoler à droite ou à gauche. Elle était à TOI après tout, ton hybride personnelle avec laquelle tu pourrais t'amuser quand tu le désirerais. Lorsque tu avais lâché l'anneau accroché au téton de Maeko, cette dernière l'avait instinctivement massé, prouvant la douleur que tu avais occasionné. Parfait, 'était l'effet que tu avais escompté.
- Il n'y a aucun risque, je ne ressens aucun désir pour le corps des autres. Hommes ou femmes.
- De toute façon, tu es une esclave, qui se soucie de ton désir ? C'est justement ça le meilleur. Mais tu peux facilement te laisser influencer et ça ... équivaudrait à une belle punition. Tu en viendras à regretter le perçage de tes malheureux petits bouts roses.
- Bon, as-tu encore d'autres choses à me montrer ou tu vas enfin me foutre la paix ?
Tu attrapas les cheveux de l'axolotl avant de les tirer en arrière violemment. Ta colère froide était palpable et ton Démon remuait furieusement pour pouvoir jouer à son tour.
- Parles-moi autrement à l'avenir Maeko, je ne suis ni de ta famille, ni ta copine. je suis TA maîtresse et tu me dois le respect. Que tu le veuilles ou non, tu apprendras à te soumettre à mon autorité.
Toujours en tenant sa chevelure, tu la tiras hors de portée du bassin qu'elle avait mis tant de mal à atteindre jusque là. Tu la maintenais à présent contre toi, son corps à ta merci juste grâce à la douleur que tu lui assainissait.
- Vas-y, hais-moi tant que tu le peux, mais tu seras quand même MA propriété, mon jouet. Si je veux que tu te baignes tu te baigneras, si je veux que tu souffres, tu souffriras, si je veux ton corps, je l'aurai. Alors mieux vaut pour toi que tu te montres un peu plus magnanime.
Tu léchas ta lèvre supérieure avant de mordre violemment son cou, jusqu'à ce que tu sentes ce petit goût métallique si plaisant. Quelques petites gouttes de sang perlait le long de ta petite morsure infligée. Bien sûr, ça n'avais rien d'une morsure animale avec des crocs, mais la marque était belle et bien présente et y resterait au moins quelques temps avant de disparaître complètement.
- Ton sang d'axolotl te permet de régénérer tes tissus rapidement et de cicatriser plus vite que la normale. J'aime ça, je vais pouvoir m'en donner à cœur joie avec toi. Chaque fois qu'une de tes blessures disparaîtra je t'en infligerai une nouvelle, jusqu'à ce que tu finisses par te plier à moi ... tout comme Mirabelle avant toi ... Hum, je sens que je vais beaucoup m'amuser ... vraiment beaucoup.
Tu finis par lâcher la chevelure de Maeko en la poussant brusquement pour qu'elle tombe sur le sol lourdement.
- Maintenant tu peux aller te baigner, mais dès que je t'appellerai, tu accoueras pour venir me satisfaire. Et tiens toi prête pour ce soir 21h, tu commenceras aussitôt ton show et hors de question de cacher cette marque. Je vais juger personnellement de tes performances dans ce domaine. Tâches de satisfaire mes clients et tu seras récompensée. Ce soir, je ne vais pas te lâcher du regard.
Tu fixas un moment ses yeux, y plongeant ton regard vermeille. Puis tu te retournas, prenant la direction du Manoir et de tes appartements. Tu allais ensuite te caler dans ta bibliothèque afin de lire un peu pour étouffer la présence trop pesante du Démon en toi.
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Invité | Invité | | | | | Profil : MP : Email : | | Lun 12 Nov - 12:01 |
| Alors que Maeko provoquait quelque peu...bon beaucoup Kathleen, celle-ci utilisa sa principale faiblesse comme menace. Elle leva les yeux vers elle, fronçant les sourcils, un regard assassin droit sur elle.
- Je n'ai aucune envie de remonter là-haut, mais si tu me prives d'eau, c'est à tes risques et périls. Morte, je ne te servirais à rien.
Et morte, elle ne pourrait plus profiter de la vie. Logique certes mais même en appartenant à une saleté d'humaine, elle comptait bien vivre, profiter, s'amuser...
Néanmoins, par la suite, la discussion par rapport à son futur travail l'arrangeait d'un côté. Aucun inconnu ne la tripoterait comme à l'Exoticana. C'était rassurant quand même. Mais elle ne devait pas s'attaquer aux clients qui tenteraient de la toucher. Elle soupira, connaissant très bien les risques.
- Au pire, un séjour au centre, ce sera peut-être des vacances par rapport à toi !
Un sourire moqueur étira ses lèvres. Et pourtant, elle en doutait sérieusement de cette hypothèse. C'était juste pour se moquer gentiment...enfin, clairement la provoquer en fait. Elle était ainsi, à tester les limites et l'imagination de son propriétaire actuel. Elle avait fait pareil avec Kayden et l'avait parfois regretté.
Mais il n'était plus question de cet homme désormais. Elle avait bien assez à faire avec cette folle qui réagissait à chacune de ses piques. Là-dessus au moins, elle était gagnante. Quoique...
- C'est bien ce que je déteste chez vous, les humains. Vous vous croyez tellement supérieurs ! Mais un jour, quelqu'un vous prouvera que c'est faux, que vous n'êtes rien que des êtres misérables ! Que de la merde sur laquelle on marchera un jour !
A peine avait-elle fini de parler que sa charmante maîtresse lui attrapa les cheveux et la tira en arrière. Adieu cher bassin ! Elle ne chercha pas à se débattre, ni à l'aider. Elle se laissait trainer, les bras croisés. Puisqu'elle n'avait pas la force de se libérer, elle comptait bien l'ennuyer autrement même si son cuir chevelu lui faisait mal.
Elle se retrouva rapidement plaquée contre elle, et son corps se raidit automatiquement, n'aimant pas du tout ce contact. Elle la fixa pourtant, droit dans les yeux.
- Tu peux toujours rêver. Fais-moi mal autant que tu veux, jamais je ne t'obéirais ! Jamais je ne me soumettrai à toi ! Je ne suis pas ton jouet, je ne suis pas un jouet tout court !
Kathleen avait réussi à détruire la patience de Maeko qui s'énervait tout autant contre elle. Donnant-donnant et pourtant...l'hybride savait qu'elle serait celle à plus souffrir au final. Tant pis. Elle assumait pleinement. Et voila, les dents de l'humaine s'enfoncèrent dans son cou. Heureusement qu'elle n'avait pas de véritables crocs ! Maeko tenta de la repousser, de toutes ses forces, de se débattre, pour se libérer de son emprise.
- Lâche-moi ! Monstre !
La sentence tomba rapidement par la suite. Une nouvelle blessure dès que l'ancienne serait cicatrisé. Et vu ses facultés à guérir plus vite que la moyenne, elle aurait peu de répit. Et Maeko avait un peu peur que ce tyran teste tout cela. Elle espérait que cela n'irait pas plus loin que la morsure...mais son instinct lui disait que c'était peine perdue.
En attendant, elle était enfin libre puisqu'elle était éjectée au sol. Elle leva les yeux vers elle, vers ce monstre qui dictait le programme de la soirée. Elle se contenta de lui montrer son majeur avant de s'éloigner à toute vitesse. A force de cotoyer les humains, on apprenait tellement de charmantes choses.
Pourtant, à 21 heures pile, elle était prête, habillée et attendait pour passer sur scène. Entre ses souvenirs avec Kayden et son séjour au grenier, elle savait qu'il valait mieux danser pour avoir la paix après. Surtout si personne ne la touchait et que cela lui offrait une relative tranquillité.
Elle soupira, n'en ayant aucune envie. Au démarrage de la musique, elle monta alors sur scène et se mit à danser. Elle appliquait à la lettre ce que son ancien maître lui avait appris pour rendre fou de désir les mâles qui observaient. Son regard lui, envoyait des éclairs, meurtriers. Personne ne le remarquait, trop subjugué par ses mouvements et son corps exotique...Sauf peut-être un ou deux mais cela semblait leur plaire.
Et si Kathleen le voyait ? Elle s'en fichait royalement. Lorsque la musique s'arrêta, elle était encore en sous-vêtements comme prévu même si elle avait du se rappeler en cours de route de s'arrêter là. Peu habituée au final. Elle avait bien vu un client se faire éjecter, lui qui avait tendu le bras vers elle...les humains avaient du mal avec l'interdit.
A la fin de la soirée, tentant d'oublier les danses effectuées, elle se réfugia dans la salle de bain, se lavant, se récurant même pour retirer tout reste de ce qui s'était passé. Rien que les regard désireux suffisaient à la dégoûter à ce point.
Elle s'enferma ensuite dans sa chambre, habillée d'un short et d'un t-shirt. Elle était assise sur le rebord de la fenêtre, à tenter de penser à autre chose, le regard perdu dans les étoiles, les bras serrés contre sa poitrine. |
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Invité | Invité | | | | | Profil : MP : Email : | | Dim 25 Nov - 9:25 |
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- Morte, je ne te servirais à rien.
Lorsque l'axolotl avait prononcé ces quelques mots, ton rire avait résonné dans ce coin du jardin où vous vous trouviez. Un rire presque démoniaque en vérité. Une fois que tu t'étais un minimum calmée, tu lui avais répondu.
- Tu te crois irremplaçable ma chérie ? Tu m'amuses beaucoup. Mais désolée de te décevoir, une hybride de perdue, dix de retrouvée.
Par la suite, la conversation en était venue au rôle que tiendrait Maeko, de la façon dont ça se déroulerait et comment elle devrait se tenir face à tes clients. Cette fois-ci, sa remarque t'avait fortement déplu, car c'était te sous-estimée ...
- Au pire, un séjour au centre, ce sera peut-être des vacances par rapport à toi !
- Le centre de dressage ? Tu te fous de moi ? Ce sont des incompétents qui ne savent même pas dresser un esclave correctement. Ils sont payés à en faire le moins possible et à bâcler leur travail. Non, je préfère de loin faire mon propre dressage, donc tu peux oublier tes petites "vacances". D'ailleurs, c'est un privilège qui t'est interdit.
Un nouvel affrontement venait de commencer entre vous, cette tête de mule te défiait encore. Soit, ton démon à l'intérieur de toi se délectait déjà des punitions à venir pour lui faire payer son insolence. Elle avait la langue bien pendue cette hybride, mais si elle continuait ainsi, elle allait finir par la perdre. Une idée qui t'avait déjà traversé l'esprit plus d'une fois, mais tu ne l'avais jamais menacé à ce sujet. Ce serait la surprise le jour où tu ne LE retiendrais plus ...
Tu avais fini par la lâcher et par quitter le jardin. Tu avais d'autres choses à faire avant l'ouverture du Moonlight Garden, notamment te pencher sur le cas de Aiden et de sa "promotion". Bientôt, lorsque sa fidélité et surtout sa sincérité te sera totalement acquise, tu te servirais de lui contre Maeko et toutes les autres hybrides qui chercheraient à te défier de la sorte.
Le soir venu, l'axolotl était fin prête et à l'heure. C'était déjà ça. Après t'être assurée de cela et d'avoir donner l'ordre à ton gorille de ne pas la lâcher du regard et d'empêcher tes clients de lui sauter dessus, tu avais pendant un bon moment accueilli ta clientèle puis fait le tour des pièces maîtresses. Les hommes te répugnaient, ils étaient au final des animaux qui ne savaient pas se contrôler. Si écœurants, si sales ... Mais l'avantage, c'était qu'ils étaient tous idiots et donnaient leur argent pour quelque chose de futile. Et au final, tu t'amusais bien de leur bêtise bestiale. Ils ressemblaient tous à des chiens à qui on aurait apporté de la pâté, remuant leur queue répugnante. Si tu l'avais pu, ça ferait longtemps que tu les leur aurais privé. Mais ces imbéciles te rapportaient beaucoup d'argent, alors pourquoi s'en priver ?
Dans la nuit, tu avais fini par aller constater les atouts de ton esclave. Tu avais appris qu'un client avait tenté de l’atteindre et c'était ainsi fait éjecté sans sommation. La règle était pourtant simple, ne pas toucher à TES esclaves personnels. La marque au fer rouge servait pourtant à le signifier, mais apparemment, certains "chiens" étaient incapables de se contenir. Tu te postas dans un coin de la pièce,observant l'axolotl se mouvoir. Elle était douée, il n'y avait pas à dire. Tous s'excitaient, la queue dressée, la dévorant du regard. Elle éveillait parfaitement leur sens et à tour de rôle, ils finissaient tous par quitter la pièce à la recherche d'une "Fleur" pour se soulager. Tellement répugnant ... Voilà pourquoi tu refusais qu'ils touchent tes esclaves personnelles. Tu avais bien remarqué les regards furieux de Maeko mais puisque ce côté farouche semblait plaire encore plus à ces êtres stupides, tu n'en ferait pas cas. Après trois ou quatre danses à la regarder faire, tu avais quitté la pièce pour poursuivre ta soirée.
Au petit matin, alors que tes derniers clients quittaient enfin ton établissement, tu obtins un rapport détaillé de ton vigile au sujet de l'axolotl et de sa prestation tout au long de la nuit. Une nuit qui avait dû lui paraître longue. Tu avais ensuite rejoint ton bureau afin de t'occuper des recettes du jour. Ce n'est qu'une heure après la fermeture du Moonlight Garden, que tu étais remontée dans tes appartements. Destination principale, la chambre de Maeko. Cette matinée-là, elle serait à toi, qu'elle le veuille ou non. En entrant dans sa chambre, tu lui fis bien comprendre ce que tu attendais d'elle et une fois les volets fermés, il n'y avait plus eu d’échappatoire pour elle ...
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