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 Quand rien ne va en s'arrangeant [Vladimir] [/!\ -18]

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Quand rien ne va en s'arrangeant [Vladimir] [/!\ -18] EmptyDim 9 Oct - 14:03
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Voilà déjà deux semaines qui s'étaient écoulées. La jeune louve fixait le ciel depuis la fenêtre de sa prison tandis qu'autour d'elle, deux enfants jouaient. Elle avait les oreilles basses et le regard perdu, son esprit bien loin dans ses pensées, dans sa résolution qui naissait en creux de sa poitrine. Comment en était-elle arrivée là ?

Elle avait fait la rencontre de Vladimir une nuit. Une nuit maudite à vrai dire. Puis elle avait subi son courroux, retrouvant alors de vieux sentiments enfouis. Elle voulait le voir souffrir. C'était un fait, un but. Elle savait qu'elle ne reviendrait jamais sur ce sentiment désormais ancré en elle. Et pour cela elle se dit qu'il lui faudrait abandonné une part d'elle. Sa part d'amour, de dévouement pour n'avoir aucune attache, aucun contretemps.

Mais la vie est tellement traître avec vous. Alors que vous vous donnez des résolutions, elle vient vous les contrecarrer. Pour Lore ce fut sa rencontre avec Kuro, la servante de son oppresseur. A leur première rencontre rien ne pouvait présager de la suite. Ce n'était qu'une chatte soumise et discrète qui obéissait sans un mot. Lore l'avait suivi jusqu'à un appartement qui semblait être ses quartiers. L'hybride lava sa congénère et s'en occupa avant que la louve ne repère alors une ou plutôt deux odeurs particulières. Celles d'enfants qui semblaient être ses petits. La louve se coucha, l'esprit alors pris d'interrogation.

Le lendemain Kuro quitta les appartement tôt, laissant Lore dans son lit, recroquevillé dans son coin, les yeux déjà ouvert. A peine sa congénère avait-elle claqué la porte que l'hybride s'était levée, retirant sa chemise avant d'aller se mettre dans un coin de la pièce en position fœtale. Elle voulait être seule, tranquille pour pouvoir ruminer sa vengeance. Elle voulait se rapprocher de cet humain afin d’acquérir sa confiance pour mieux le trahir. Comment y parvenir ? Elle ne le savait et resta de longues heures ainsi, cherchant une possibilité tout en pansant ses plaies.

Mais l'heure du repas vint la sortir de ses réflexion et Kuro revint obligeant la louve à devoir offrir un visage neutre et docile. Elle s'habilla enfin et quitta la chambre, rencontrant alors pour la première fois la progéniture de sa congénère. Deux enfants magnifiques qui n'avaient rien de Vladimir. Kuro lui avoua alors que c'était des enfants issu d'un amour entre elle et un autre hybride désormais défunt. Elle demanda aussi à la louve de les surveillait quand elle devait se rendre auprès de son maître. Réticente, la louve accepta à contrecœur, se connaissant assez pour savoir qu'elle s'attacherait forcément à ses petits.

L'après midi et les jours qui suivirent se déroulèrent tranquillement faisant presque oublier à la louve, l'enfer froid qu'elle avait rencontré. Bien qu'elle se montrait distante avec les petits, la joie de vivre et l'innocence de ses derniers adoucissait son coeur et son amertume. Le monstre qu'il avait en tant que maître avait donc une once de bonne âme pour les épargner ? Elle ne l'aurait pas cru pourtant même si ce dernier avait déjà user de ceux sordides à leurs égard pour tuer toute rébellion dans l'esprit de leur mère. Néanmoins même s'ils leurs manquaient des doigts, ils avaient au fond d'eux une douceur et une curiosité à tout épreuve. Ainsi qu'une innocence encore présente et tenace qui la rendait presque envieuse... Cependant la dure réalité allait bientôt lui retomber dessus.

En effet, lors d'une nuit, l'alarme annonçant l'entrée en service de Kuro sonna dans leur chambre, réveillant la louve ainsi que la petite neko qui s'éclipsa rapidement après avoir enfilé sa tenue de service. L'hybride louve, elle se redressa, ressentant une envie pressante. Une fois cette dernière satisfaite, elle ne ressentait plus l'envie de dormir et profita du calme et du silence pour retourner regarder le ciel comme elle le faisait bien souvent. Elle aimait contempler ce lambeau de liberté dans cette prison qui même si elle était plaisante, restait quand même une prison. Elle avait tenté de sortir mais en dehors des balades de deux heures, rien n'était autorisé. Seule Kuro pouvait aller et venir à sa guise. Lore l'enviait pour cela.

Mais au creux de la nuit, fixant ce ciel étoilé, elle repensa aussi à sa vengeance et à ce maitre autoproclamé qu'elle refusait de servir. Malgré ce moment de paix, elle ne pouvait l'oublier, se doutant qu'il reviendrait pour jouer avec son corps et son esprit. Elle devait se tenir prête à l'accueillir. Elle devait se préparer à répliquer. Alors elle retomba dans ses plans, réfléchissant à un moyen de contourner les restrictions, perdant alors la notion de temps.

C'est donc en sursautant qu'elle réagi au retour de sa congénère. La lumière du couloir frappa la pièce quand elle rentra chez elle et Lore tourna son visage vers elle, éblouie par l'éclat soudain. Elle n'eut pas le temps de parler que déjà la neko disparaissait dans la salle de bain, laissant la louve se remettre de sa surprise. Étonnée par ce comportement inhabituel, l'hybride se leva, délaissant sa chaise pour se diriger vers la salle de bain, toquant doucement en demandant à son hôtesse si elle avait besoin d'aide. Ce furent des sanglot qui lui répondirent. La louve sentit alors que quelque chose n'allait pas et entra.

Elle découvrit alors celle qui l'avait aidé dans un piteux état. Sans rien dire, la louve s'approcha d'elle et l'enlaça, sentant alors sa congénère fondre en larme contre elle. Pas un mot ne fut dit. Il n'y eut que le silence et les pleurs. Lore caressant les cheveux souillés de l'hybride en essayant de la soulager de sa peine tandis que la petite créature s'agrippait à elle comme pour ne pas s'effondrer sous le poids de son fardeau. Puis peu à peu les sanglots se calmèrent et ce fut à Lore que revint le rôle d'aider l'hybride à panser ses plaies et à se laver. Kuro prit alors doucement la parole, évitant son regard, lui contant alors sa triste histoire face au visage fermé de la louve.

Tout fut dit et au fur et à mesure, le coeur de la louve déjà bien entamé, finit de fondre pour cette famille. Elle ne pouvait se résoudre à ignorer la détresse de sa congénère qui faisait front depuis déjà deux ans. Comment avait-elle pu tenir aussi longtemps face à lui. Sourire en regardant ses enfants et faire bonne figure en toute circonstance sans n'avoir personne à qui en parler. Ce n'était pas une vie. La louve ne pouvait pas accepter cela. Elle devait les aider.

Elle habilla l'hybride et la coucha avant de la rejoindre dans le lit, l'enlaçant comme elle l'aurait fait avec un des petits après un cauchemars. Elle la sentait trembler contre elle et quand enfin le sommeil la prit, elle l'entendit gémir et sangloter, mouillant la chemise de l'Okami. La louve, elle ne parvint pas à trouver le sommeil, l'esprit trop enragé pour. Finalement cet homme ne méritait aucun respect. Il se jouait de l'amour de cette mère pour lui faire subir les pires sévices. Il ne restait rien à sauver en lui, il n'était qu'une coquille vide. Ressentait-il encore de la douleur au moins ?

Lorelaï cligna des yeux, détournant ses prunelles du ciel pour les poser sur les enfants qui jouaient sur le sol sans se douter du combat qu'affrontait chaque jour leur mère. Elle n'avait aucun répit, aucune trêve. Chaque fois que sonnait cette cloche, elle devait se mettre en marche sans un mot en se doutant du pire. Il fallait que cela cesse et la louve n'y voyait qu'une solution. Mais pour la choisir, elle devait rassembler son courage.

Chaque parcelle de son corps frémissait à l'idée qui était née dans son esprit. Une idée folle et ignoble qui soit la sauverait, soit l'achèverait à petit feu. Elle cherchait son courage et sa détermination, se refusant l'idée de laisser Kuro seule et d'attendre encore ici que Vladimir veuille d'elle comme l'on veut d'une sucrerie.

Décidée, elle se leva enfin, surprenant les petits par ce geste soudain. Elle vint leurs caresser les cheveux et les oreilles avant de les chatouiller, s'amusant de leurs innocence avant de leurs demander d'être sage, Kuro étant dans la cuisine et se dirigea vers la porte. En l'ouvrant elle vit l'un des hommes de Vlad qui la regarda. Elle lui avait déjà un peu parlé, histoire de le tester et de le connaitre un peu pour mieux le manipuler par la suite. Pourtant aujourd'hui elle n'était pas là pour ça. Elle lui demanda de le conduire à son maître. La neko tourna son regard vers elle, surprise mais ne dit rien tandis que l'homme de main affichait lui aussi sa surprise. En effet il était rare qu'un hybride réclame de voir Vladimir de son plein gré.

Après avoir prévenu l'intéressé, il entraina Lore dans les couloirs, lui attachant les mains avec les mêmes sangles que d'ordinaire sans lui mettre cependant une muselière, se contentant d'un collier et d'une laisse pour éviter qu'elle n'attaque Vlad en lui sautant dessus. La louve savait que ce ne serait pas nécessaire mais ne montra aucune résistance face à l'enfilage de ses sécurités. Elle avançait en silence, regardant droit devant elle, se forçant à rester calme malgré une peur grandissante.

Une fois arrivé, il entrèrent dans une pièce richement meublé et décoré que la louve ignora, gardant le regard posé au sol, ne le relevant que pour le poser sur son "maître" qui était assis. Elle sentit tout son être frémir à la fois de rage et de panique. Pourtant elle conserva un visage neutre, décidée et c'est sans un tremblement dans la voix qu'elle prit la parole après l'avoir salué d'une signe de tête.

"Bonjour, je m'excuse de cette entrée importune mais je viens vous soumettre une requête...."


Elle s'arrête inspirant puis expirant doucement, réunissant son courage avant de reprendre en plongeant son regard dans le sien, se voulant forte.

"Je souhaiterais que vous cessiez de torturer et de maltraiter Kuro ainsi que ses petits. Plus de menaces, plus de jeux sordides. En échange de cela..."

Elle ferma les yeux, sentant les mots devenir plus dur à sortir. Elle était en train de signer un pacte avec le diable. Allait-elle y perdre son âme ?

"Vous aurez de moi, tout. Obéissance, dévouement et fidélité. Vous n'aurez plus besoin de muselière, de chaine, de punitions ou de menace pour me contraindre. Tant que Kuro et ses enfants seront hors de votre joug, je me soumettrais à toutes vos envies, aussi folle et malsaines soient-elles."


Ses oreilles s'aplatirent sur son crâne mais sa queue était droite, signe de sa détermination malgré l'horreur qu'elle éprouvait à l'idée de payer de sa personne pour protéger une famille. Pourtant il n'y avait pas que ça. Sauver une famille au détriment de soi n'était pas une fin mais un début. Le début de sa vengeance. En échangeant sa place avec celle de Kuro, elle pouvait peut être obtenir ses libertés. Aller et venir en ces lieux lui permettaient d'en assimiler les recoins, les faiblesses. De plus se rapprocher de Vladimir était aussi un bon moyen pour l'atteindre. Après tout ne dit-on pas qu'il faut être proche de ses amis mais encore plus proche de ses ennemis ? Être dans le lit de ses derniers était-ce être assez proche ? Elle pensait que oui. Et enfin en agissant ainsi, elle pouvait aussi acquérir sa confiance au fil du temps et quand le moment viendrait elle frapperait vite et fort. Et là elle pourrait enfin savourer sa vengeance et assouvir son but. Et rien que ce désir l'aidait à affronter cet homme face à elle.

Elle déglutit, l'observant droit dans les yeux, ne voulant pas se montrer hésitante ou peureuse. A quoi bon, elle ne pouvait rebrousser chemin maintenant et puis de toute façon il aurait joué avec elle de toute façon alors autant protéger quelqu'un si elle le pouvait, surtout une mère de famille et ses petits. Kuro avait déjà tant fait. Elle méritait au moins ça... La louve faisait donc front et ne fit preuve de soumission qu'une fois qu'il réagit, sa queue se rabaissant lentement alors que son regard se détournait retournant observer le sol. Le coeur de la louve battait vite, comme toujours en la présence de cet homme comme si le fait d’accélérer pouvait l'aider à affronter ce qui allait venir. Mais comment pouvait-on être prêt à subir ses sévices à chaque fois plus tordues ou étranges ? Il ne semblait vivre que pour ça : faire souffrir.
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Quand rien ne va en s'arrangeant [Vladimir] [/!\ -18] EmptyMer 2 Nov - 20:57
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Vladimir se redressa d’un coup de son grand fauteuil de direction, manquant d’un rien de finir étalé sur son bureau. Le souffle cour, le regard perdu dans la pénombre dans laquelle baignait la pièce, seulement éclairé de la lumière blafarde que projetais la lampe trônant au coin du capharnaüm qu’était actuellement son bureau… Commencent à reprendre ses esprits alors que son regard reconnaissait les lieux, un endroit connu, que le directeur paranoïaque avait fait aménager d’une façon particulière... En effet, malgré qu’il soit situé aux troisièmes étages, aucune fenêtre n’en perçait les murs, la première chose que Vladimir avait faite était de les condamner…  Posant le regard sur l’imposante horloge à balancier qui trônait sur le mur de droite, Vladimir se rendit compte qu’il venait de passer la nuit dans son fauteuil, la bouteille de vodka sévèrement entamé sur son bureau ainsi que le petit verre de cristal renverser a côté ne fit que confirmer ce constat…

Se laissant retomber dans son fauteuil accompagné d’un léger grincement de cuir, le directeur terminait de reprendre ses esprits, terminant de se convaincre que ses rêves n’était que d’habituel cauchemars. Le calme refaisant surface en lui s’invita avec une belle migraine, résultante évidente de sa soirée arrosé. Alors qu’il se massait lentement la tempe, Vladimir se leva, se dirigent vers un buffet où trônait une machine à percolateur. Le léger bruit de l’eau porté à ébullition vient s’ajouter au claquement régulier du balancier de l’horloge alors que son café coulait doucement, l’homme défit sa cravate en mettant un sucre dans la tasse qui se remplissait en douceur d’un liquide noir, embaumant la pièce de la bonne odeur de café fraichement coulée. Une fois la machine arrêté, Vladimir saisi la tasse, tremblant légèrement en claquant des dents, les serrant rapidement pour les calmer… Retournant lentement à son bureau, l’homme déposa sa tasse sur son sous-main encombré avant de s’avachir dans son fauteuil, sortant un petit flacon d’une des poches de sa veste de costume d’un bordeaux sombre… Secouant la petite boite d’argent, le directeur l’ouvrit dans la foulée pour ensuite faire tomber un peu de la poudre blanche qu’il contenait entre son pouce et son indexe, le portant à son nez, aspirant l’héroïne dans un souffle avant de s’écrouler en arrière, observant le plafond de la pièce avec un petit sourire, ses tremblement disparaissant tranquillement alors que toute les sensation désagréable que ressentait l’ancien mafieux s’évanouissait, angoisse, fatigue,  courbature, douleur… Plus rien…  

Emergent un petit moment plus tard, sortis de sa rêverie par la sonnerie du téléphone posé sur son bureau… Se redressant, l’homme le saisie répondant d’une voix pâteuse et endormis… Vladimir  le fit d’ailleurs répéter deux fois ce qu’il lui avait dit… L’hybride qu’il avait capturé après un violent accident de voiture voulait le voir… Etonné après ce qu’elle avait subi il y a… dix jours… Vladimir fut étonné, il n’avait pas vus passer le temps à cause de sa surcharge de travail, n’en dormant quasiment pas en fait, comme son réveil a son bureau le prouvais… Constatant que la créature s’impatientait de le revoir, le directeur accepta sa requête, donnant l’ordre a gardien de l’appartement de la lui ramener comme d’habitude. Réajustant sa chemise noire, Vladimir se leva, allant s’arranger rapidement dans son cabinet de toilette, se recoiffant et rafraichissant le visage, redressant son costume bordeaux en l’époussetant, gardant son col ouvert dénué de cravate avant d’aller se rassoir derrière son bureau.

Peu de temps après, la jeune louve entrais dans la pièce, portant une tenue simple, un jeans classique bleu surmontant une paires de baquette simple, le tous surmonter d’un ample pull à capuche blanc et noir. Autre détail, ses mains était liées ensemble dans son dos. De plus un large collier de cuir ornait son cou, reliant à l’aide d’une laisse l’hybride loup au garde qui l’avait ramené. Vladimir écoutas sa première tirade, répondant poliment à sa première phrase, d’une étonnante politesse par un bonjour calme et polie, lui faisait signe qu’il était tout ouïe sur la requête qu’elle voulait lui soumettre. Prêtant sérieusement l’oreille a ses paroles en portant son café devenu très tiède, souriant avec un petit gloussement en entendant la première partie, qui était-elle pour parler ainsi de sa façon de traiter ses esclaves ? sa propriété ?...  Lui jetant un regard froid par-dessus son café mais sans l’interrompre ni la coupé dans son élan, notant dans un coin les premières répliques qu’il allait lui donner…

Mais la suite de ses paroles le fit s’étrangler avec son café, avalant de travers en reposant la tasse et toussant fortement… Vladimir n’en revenait pas… cette créature venait de lui proposer de devenir… Son animal de compagnie ?... Ou sa servante dévoué corps et âmes ?... et pour quelle raison ?... Sauver une mère et ses enfants qu’elle venait a peine de rencontré ?... La louve avait passé à peine deux semaines avec eux et cella était complètement inconcevable qu’elle veille se sacrifier pour eux, mais Lorelai le regardait d’un air déterminé, ses oreilles était collé a son crane mais son regard en disait long sur sa résolution et sa motivation, comme le reste de sa posture d’ailleurs. A ce moment, Vladimir s’allongea dans son fauteuil, observant la louve qui fixait de nouveau le sol en réfléchissant… Il devait bien l’avouer, Vladimir n’avait jamais eu ce genre de proposition des pleins grés de l’intéressé. Décrochant son téléphone, le directeur appela Kuro dans son appartement, lui ordonnant de venir rapidement dans son bureau. Une fois son téléphone reposer sur son socle, L’homme pris la parole, observant la jeune louve en face de lui :


- Je dois bien l’avouer, tu me surprends… Lorelai je crois bien… Je me demande bien ce qui te permet de croire que tu es en position de demander quoique ce soit ou encore de critiquer mes jeux comme ma façon de traiter mes propriétés… De plus, qui a dit que tu valais autant ? Sache le, Kuro a du faire d’énorme efforts pour obtenir ce qu’elle a aujourd’hui, elle est vraiment devenu ma servante et jouet dévoué,  elle a acquis une certaine expérience, connait mes gouts… C’est uniquement pour tous ses effort acharner que ses deux enfant son encore en vie, sinon j’aurai déjà supprimé l’un des deux petits depuis bien longtemps.

Vladimir disait la strict vérité, au début, l’homme lui avait dit qu’elle pourrait en sauver un du moment qu’elle se montrais servile et docile, mais elle ne pouvait se résoudre a en abandonner un et fit des pied et des mains auprès de son maitre pour gagner le droit de les garder en vie tous les deux… Mais a quel prix, Vladimir se demandait bien jusqu’où avait été les révélation de la petite esclave. C’est d’ailleurs à ce moment que la jeune neko entra dans le bureau de Vladimir, blanche comme un lige et tremblante, jetant un regard apeuré sur Lorelai  avant de se mettre face à son maitre attendant de savoir ce qu’il voulait d’elle…  Elle tremblait visiblement, ne pouvant s’empêcher de lancer un regard en coin vers la louve, probablement apeuré par ce qu’elle avait pus raconté juste avant alors que Vladimir pris la parole :

- Kuro, cette louve veut prendre ta place et me servir en échange de la sécurité de toi et de tes enfants…. Je ne sais pas trop ce que tu lui as fait pour en arriver là mais cela me plais bien…. Mais aussi belle sois-t-elle, cette échange est trop couteux pour être valable, mais je peux vous proposer un compromis, a vous deux… Car c’est avec Kuro que j’ai un accord. Donc si tu le désir, tu peux prendre cette fille avec toi, elle sera sous ta surveillance et responsabilité complète avec les conséquences que cela implique… De plus, vous pourrez vous repartir les taches courante mais comme elle le désire, Lorelai seras celle qui me servira de compagnie ou de jouet...

Vladimir arrêta de parler, terminant de boire son café devenus définitivement froid alors qu’il se levait dans la foulé, retournant a la machine a café pour la remettre en marche et se préparer une nouvelle tasse, reprenant sa tirade en ouvrant le placard du buffet devant lequel il se trouvait, en sortant un collier spécial du beau meuble. Une fois son café couler, l’homme retourna a sa place, posant le collier sur le bureau.

- Vous êtes d’accord ?... Bien, Kuro, met ce collier a Lorelai a la place de celui la…

Vladimir observa la jeune neko s’exécute, hésitant un instant avant de verrouillé le nouveau collier de l’hybride sous le sourire de son maitre qui venait de tremper les lèvres dans son nouveau café brulant…

- Parfait… Sache une chose, ce collier ne peut s’enlever qu’avec une clé spéciale, de plus, il contient un puissant tazer télécommander, au moindre geste suspect, je te paralyse d’une forte série de décharge, je n’ai qu’a presser un bouton de ma télécommande. Tu en auras une d’ailleurs Kuro, pour que tu puisses efficacement jouer ton rôle de chaperons.

A ce moment, Vladimir montras une petite télécommande qu’il  présentât a sa petite soubrette, ordonnant dans la foulé a son homme de main de détacher la louve et de les laisser seul.

- Bien, Kuro, vas chercher un nécessaire de soin, de maquillage, de quoi la mesuré et l’épilé, je tiens à ce que tu correspondes parfaitement à mes gouts pour me servir. Quand à toi Lorelai, déshabille-toi… Complètement… ce genre de frusque ne sied pas a ma nouvelle soubrette personnel…

Observant la demoiselle s’exécuté, Vladimir ne perdit pas une miette du spectacle, attendant avec impatience que Kuro revienne en jouant avec la télécommande du tazer… Ce qui fut rapide, la jeune hybride revenant avec ce que lui avait demandé son maitre.

- Commence par prendre ses mensurations…

Après cette ordre, Vladimir observa la scène en souriant, notant tranquillement sur un pense bête les chiffre que lui donnait la neko, estiment avec expertise les dimensions de son corps, le directeur pris son téléphone, commandants une tenue de soubrette ainsi qu’un assortiment de sous-vêtements affriolent, soutient gorge de dentelle, corset, redresse seins, porte jarretelle, petit string, culotte fendu,… Ordonnant que tous cela lui sois ramener en plusieurs colorie dans son bureau…

- Bien… en attendant Kuro, installe cette fille sur le fauteuil  en face et commence ta besogne, je veux que ce soit nette, un maillot et aisselles imberbe avant de penser au piercing… Voir quelques tatouages…

S’enfonçant tranquillement dans son siège, le directeur se mis a observer le spectacle, savourant tranquillement son café en jouant avec la télécommande du collier.
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Quand rien ne va en s'arrangeant [Vladimir] [/!\ -18] EmptyVen 4 Nov - 18:25
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La réaction de l'humain à ses paroles la surprit. Il manqua de s'étrangler avec son café et la jeune louve marqua une hésitation, lui laissant le temps de se remettre avant de finir son discours. Avait-elle dit une chose de travers ? L'avait-elle mis en colère ? Elle ne le savait. Certes un peu plus tôt il lui avait offert un regard froid quand elle lui avait parlé de ses jeux sordides mais là en l’occurrence ça ressemblait plus à de la ... surprise. Il faut dire qu'il ne devait pas recevoir ce genre de service tous les jours, surtout de la part d'une hybride trouvée sur le bord de la route avec laquelle il s'était déjà amusé.

Ravalant ses pensées dégoutantes, elle se tut, reposant son regard sur le sol. Étrangement, elle retrouvait sans trop de difficultés ses habitudes d'esclave. Au fond c'était si simple de se soumettre, baisser la tête et attendre puis subir. Elle l'avait déjà vécu pendant des années. Aujourd'hui elle y revenait d'elle-même mue par un désir profond, malsain. Là, le regard rivés sur le sol, ses yeux étaient hors de la vue de son maître et elle pouvait laisser ses émotions transparaitre. Sa peur mêlée à sa détermination. Les oreilles rabattues sur son crâne et sa queue basse, elle semblait offrir une reddition mais son âme elle, frémissait à l'idée de mettre en marche sa vengeance.

Lorelaï n'était pas une créature à prôner la violence, bien au contraire. Elle était fuyante et désirait préserver la paix. Pourtant, quand on l'acculait dans ses retranchements, elle retrouvait ses instincts et se laissait alors guider par ses envies. Cet homme l'avait fait en lui rappelant ses instincts de meute et de chasse. La louve peureuse laissait lentement place à une hybride patiente et tenace. Elle avait un but et elle possédait surtout la hargne pour y parvenir. Tout était question de temps et maintenant qu'elle ne pouvait pas fuir, elle comptait bien le mettre à profit de façon utile.

La voix de l'humain résonna, la sortant de ses réflexion. Il parlait à Kuro et lui demandait de venir avant de finalement s'adresser à elle. L'hybride releva la tête afin de pouvoir poser son regard intriguée sur son interlocuteur. Ainsi donc elle l'avait bel et bien énervée avec ses propos sur ses jeux. Bien que son visage n'affichait aucun sourire, elle ressentit un petit point de fierté à l'avoir agacé. La suite en revanche la fit tiquer malgré elle. Son regard se plissa légèrement quand il lui informa qu'il voulait à la base tuer un des petits de Kuro. Elle déglutit, ne bougeant pas malgré que ses muscles se soient contractés, prêt à se détendre pour l'attaquer. Mais Lore savait que ce n'était ni le moment ni le lieu et se détendit alors que la porte s'ouvrait, faisant entrer la Neko.

L'hybride tourna ses prunelles vers sa congénère qui avançait rapidement en direction de son maitre, lui jettant un coup d'oeil à son tour. Leurs regards se croisèrent et la louve lui fit un léger sourire qui se voulait doux à son égard mais la peur était lisible dans les yeux de son hôtesse. Lore reposa son regard sur l'humain qui reprit la parole, proposant alors un marché à Kuro, lui expliquant la raison de sa présence ici. La jeune louve vit dans les yeux de sa congénère sa surprise en apprenant la proposition de sa colocataire et se tourna vers cette dernière. La louve n'afficha aucune émotion, se voulant le plus neutre possible face à Vladimir. Il fallait qu'elle ne se laisse pas distraire par ses émotions mais elle devait se douter de la surprise de Kuro. En effet la petite neko avait dû sentir le dégout de Lore à l'égard de son maître, donc une telle proposition devait lui paraitre impossible et pourtant...
Alors que Vladimir se levait pour aller se faire un autre café, Kuro s'approcha d'elle et la regarda, inquiète.

"Pourquoi tu fais ça ?"

La louve sentit la suspicion dans la voix de l'hybride chat et posa un regard franc sur elle. Elle devait la convaincre pour atteindre son but, c'était obligé. Même si elle avait envie de lui dire les raisons qui l'animaient, elle savait que c'était trop risqué. Aussi préféra-t-elle cacher certains aspects de son choix.

"Parce que personne ne mérite de vivre ce que tu endures. Tu as tant donné pour tes enfants... Je pense que tu mérites aussi un peu de paix..."


L'hybride posa sa main sur celle de la neko, la serrant doucement avant de la lâcher, gardant ses prunelles posées dans les siennes. Au fond Lore ne mentait pas. Kuro avait subi tant d'horreurs et de souffrances que la louve se demandait comment elle faisait pour tenir debout. Ce petit bout de femme... Elle ressentait un profond respect pour elle et c'était aussi pour la petite neko qu'elle comptait aussi agir. La libérer du joug de ce monstre afin qu'elle puisse enfin vivre sans crainte pour ses petits. L'hybride se détourna de la louve, confirmant d'une petite voix que le marché était accepté.

Lorelaï frémit, sentant que le pas était franchi. Désormais plus de retour en arrière possible, il lui faudrait être patiente. Mais qu'importe, elle était décidée. Elle releva ses yeux vers celui qui se pensait être son maître, attendant la suite dans une posture calme, le regard dénué d'émotion. C'était à la fois si étrange et si familier de retrouver cette posture. Celle du chien docile. Ça lui faisait remonter des souvenirs.... Son ancien maître.... Il avait connu un sort si tragique...

Elle releva le menton, prenant ses cheveux de ses mains liées afin d'aider Kuro à lui retirer le collier de cuir, lui enfilant l'autre qui ne possédait pas de laisse. La louve regarda Vladimir, apercevant son sourire satisfait comme un vieux pervers devant une enfant innocente. Cela la fit doucement sourire, son regard se plissant doucement malgré la peur qui naissait au creux de son ventre. Sourit comme un chien heureux de satisfaire son maitre. Voilà ce qu'on lui avait appris il y a bien longtemps. Alors elle souriait même si elle savait qu'il préférait les cris. De toute façon ils viendraient, tôt ou tard...

Vladimir lui expliqua la surprise que contenait ce collier et la louve en fut même pas surprise. Venant de ce malade, elle se dit qu'il fallait s'attendre aux gadgets les plus tordus. Après tout les colliers électrique servaient déjà pour les chiens alors quoi de plus logique qu'ils en existent pour les hybrides.

"Selon votre désir."

Fut la seule réponse qui sortit de ses lèvres alors qu'il continuait de parler, faisant comprendre à l'hybride que la séance de test commençait dès à présent. Lore s'inclina, calmant le malaise qui montait, laissant sa détermination retrancher ses craintes dans un recoin. Elle ne comptait pas faiblir. Elle se redressa, offrant ses mains à son homme de main qui la détacha, posant sur elle un regard froid où elle perçut son incrédulité. Elle lui fit un sourire aimable alors qu'il se retirait, Kuro en faisant de même pour aller chercher ce que souhaitait Vladimir.

Désormais seuls, La louve observait le sol avant de s'exécuter sans broncher, les oreilles toujours basses. Elle évitait son regard, retirant ses vêtements un par un, les pliant et les posant à même le sol, ne voulant pas salir un des somptueux meubles de son tortionnaire. Elle se sentait retomber dans son adolescence maudite. C'était si étrange. Elle avait l'impression de rouvrir une vieille blessure, ressentant à la fois de l'horreur et de la satisfaction face à ce qu'elle faisait. Se plier aux caprices d'autrui sans rien dire et tuer ses sentiments au fond d'elle. N'être rien d'autre qu'un objet. Ne plus penser à rien d'autre qu'à satisfaire son maître. Elle avait grandi en voulant trouver cette perfection. Cette perfection qui avait fini par la rendre folle. Aujourd'hui elle y revenait. C'était si ironique qu'elle aurait voulu en rire.

Un léger sourire naquit sur ses lèvres alors qu'elle posait le dernier vêtement sur la pile, désormais nue face au regard torve de celui qu'elle voulait éventrer. Elle releva ses prunelles vers lui, indifférente à ses réactions. Il l'avait déjà vu et souillée et il allait sans doute recommencer. Elle avait peur, c'était indéniable. Le sexe avait toujours été une chose qui avait révulsé son ancien maître et c'était là l'une des seule chose qu'il avait épargné à la louve. Mais cet homme ci en revanche ne lui ferait pas de cadeau. Elle le savait mais sa seule question était jusque où.... Jusque où irait-il ?

Kuro revint avec tout le nécessaire et entrepris alors de mesurer la louve qui se laissa faire, obéissant aux demandes de Kuro, l'aidant si nécessaire sans poser un autre regard sur Vlad, agissant comme s'il n'était pas là. L'Ookami avait un peu de mal à supporter le collier mais n'en faisait pas trop cas, relevant parfois la tête pour bouger le collier, n'osant y mettre les doigts de peur que ça passe pour une provocation.

Une fois les mensurations faites, Vladimir passa un coup de fil qui aurait fait hurler de rage Lore si elle l'avait pu. Elle détestait la lingerie. Ses prisons de tissus inutiles et gênantes. Mais pourtant c'était si prévisible venant de cet homme.... Il suffisait de voir Kuro pour se douter de ses goûts douteux , cependant elle ne fit pas étalage de sa pensée, se soumettant encore une fois aux caprices de son "maître". Elle se dirigea vers le fauteuil, hésitant un instant avant de s'assoir dessus, sentant le cuir froid sous ses fesses. Elle posa son regard sur Kuro et y vit un regard d'excuse avant qu'elle ne commence la séance d'épilation.

La louve se souvenait de tout ça même si elle n'avait pas eu à le subir depuis qu'elle avait quitté son premier maître. Elle qui n'était pas spécialement féminine, elle n'avait jamais pris de plaisir à s'occuper de son corps, bien au contraire. Les diktats des hommes sur la pilosité et les normes des femmes sur la beauté l'avaient toujours rebutée et elle se considérée libre de faire ce qu'elle voulait de son corps. Mais aujourd'hui elle mettait ses convictions de côtés, la passant à la trappe au profit de son désir de vengeance. C'est donc en inspirant et en expirant en rythme avec les gestes de Kuro qu'elle subit la séance, non sans laisser quelques larmes de douleurs pointer aux coins de ses yeux vert. Le sang perlait ça et là malgré les gestes quasi professionnelles de l'hybride chat, la peau de la louve n'étant plus habituée à ce genre de traitement.

Entre temps, une personne entra, déposant simplement ce qu'avait commandé le directeur avant de repartir sans un regard pour ce qui se passait dans la pièce. Lorelaï, elle gardait la tête basse, concentrée sur les geste de sa congénère, histoire de pouvoir les répéter plus tard, désireuse de s'occuper de son corps elle-même. Mais alors elle eut quelques questions et voulant faire bonne figure, elle releva ses prunelles en direction du directeur des lieux, attendant qu'il lui fasse signe de prendre la paroles.

"Je souhaiterais savoir si vous avez des recommandations ou des attentes particulières à mon égards que Kuro ne saurait pas. Je compte l’interroger sur ce que vous attendez de vos hybrides mais je souhaiterais aussi savoir s'il y a des particularités que vous auriez à mon égard concernant mes limites de déplacements ou autre étant donné que notre marché est récent."


La jeune louve avait parlé sur un ton neutre et calme. Elle ne faisait aucun étalage de ses expressions, enfilant sa vieille peau d'esclave. On sentait seulement une légère interrogation comme si elle ressentait de l'importance à bien faire pour son tortionnaire alors que Kuro en finissait, rangeant le matériel, laissant enfin la peau de la louve tranquille et douloureuse.

L'Ookami se releva, se reculant afin que son persécuteur puisse admirer le travail de son hybride, hésitant même à aller à côté de lui pour qu'il puisse toucher mais comme il n'en fit nulle demande elle attendit la suite. Il réclama alors qu'elle essaye les vêtements qu'il venait de lui commander et l'hybride acquiesça, se dirigeant vers la pile, choisissant ce qu'il voulait voir en premier aidé par Kuro qui lui montra comment enfiler les tenues. La louve semblait absorber par ce flot d'informations, redressant les oreilles, curieuse malgré le dégout que lui inspirait les dits-vêtements.

Puis elle les enfila, prenant son temps pour éviter de les abîmer, l'air gênée. C'était surement la première émotions qu'elle laissait paraître. Elle agissait de façon hésitante, oubliant presque le regard de l'humain sur elle. Cependant une fois la tenue mise, elle fit à nouveau table rase des sentiments, reprenant un air neutre en s'avançant devant le bureau, se mettant face à son maître, tournoyant dans sa tenue comme l'aurait fait une poupée et s'inclina, se pliant à ses caprices. S'il voulait la voir prendre des poses, elle s'exécutait. S'il voulait la voir plus près, elle s'approchait. Elle le laissait agir et faire, se contentant simplement de frémir quand elle voyait ses mains bouger, baissant les yeux comme la bonne petite hybride docile qu'elle voulait être.

Mais elle avait du mal. Si elle pouvait supporter son regard avec une certaine nonchalance, ses mains en revanche ne lui faisaient pas la même chose. Elle se souvenait de ses deux membres torturés et écœurants et l'idée de les sentir sur elle la faisaient frémir de dégoût. Mais elle refoulait son horreur, gardant la tête basse et les oreilles couchés, voulant éviter d'attiser son désir d'un regard apeuré. Attendre que l'orage passe. C'était le mieux à faire même si elle s'autorisa une dernière réplique :

"Cela vous convient-il ?"
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Quand rien ne va en s'arrangeant [Vladimir] [/!\ -18] EmptyMar 29 Nov - 20:11
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Vladimir était détendu dans son fauteuil de direction, faisant craquer ses doigts en observant la belle louve se mettre à nu, observant son corps délicatement musclé alors qu’elle s’effeuillait lentement, appréciant ses formes sous un nouvel angle avec un petit sourire en coin. La créature offrait un splendide spectacle à son nouveau maitre, faisant preuve d’une grande soumission et politesse envers lui, osant a peine relever les yeux sur lui… Cela asticotait beaucoup la curiosité de l’homme… Et oui, car dans son esprits, il était incapable d’imaginer ce qui avait bien pus lui passer par la tête pour passer aussi rapidement d’une hybride sauvage et rebelle, lui envoyant de sévère pique, faisant mouche en prime… Pour lui, les quelques petite chose qu’il lui avait faite justifiait difficilement ce revirement aussi radical et soudain… Ce qui l’intriguait encore plus était son sourire, un sourire discret qui n’allait pas à une créature agissant sous le coup de la peur… Pour beaucoup, ce n’était qu’un détail insignifiant mais pour Vladimir, c’était un avertissement… Voir presque une menace… L’homme n’aurai pas réagis de cette façon face un regard ou une expression transpirant la haine, la peur, la panique… Mais là, quand il croisa ce regard vert comme le sien, il ne vit pas ce qu’il y voyait le plus souvent dans celui de Kuro… De la peur… De l’inquiétude… Un mélange subtil entre la résignation de son sort, la terreur que lui inspirait son maitre et sa détermination a protégé sa seul bouffé d’espoir et de bonheur, ses deux enfants…

Vladimir rendais ce sourire a la louve, ne laissant rien paraitre de ses doutes et interrogations, remarquant ses mouvement de cou, prouvant qu’elle n’avait pas l’habitude de porter ce genre d’accessoire, ceux du centre y était tellement habitué qu’il ne le remarquait même plus… Le directeur se délecta de la scène suivante, la louve est une créature splendide, c’est indéniable, et la voir ainsi lover sur le fauteuil de cuir, les jambes écarter avant que Kuro ne commence a suivre ses ordres, étalant la cire pour ensuite l’arracher d’un coup sec, précis… Répétant l’opération pendant de longue minutes, faisant haleter l’hybride  alors que de petite grimace de douleur déformais ses beau trais, allant jusqu’à faire perler quelque larmes de douleur au coin de ses yeux… A ce moment, Vladimir ne pus s’empêcher de jeter un regard vraiment salace a la créature, un regard qui ne laissait planer aucun doute sur ses penser malsaine, accentuer par le rapide et discret mouvement de sa langue sur ses lèvres… Ce moment semblât passer en une petite seconde pour l’homme, faisant de nouveau craquer ses mains en saisissant sa tasse de café, c’était une des petites joies de ses vielle blessures, ses mains émettait souvent d’horrible craquement au moindre petit mouvement…

Une fois la séance d’épilation terminé, l’esclave seulement vêtus de son collier se relevas, jetant un regard appelant Vladimir, qui lui fit simplement signe de parler, écoutant ensuite sa tirade… Qui fit réfléchir le directeur silencieusement, plissant légèrement les yeux… Cette femme semblait trop… Pro… Vladimir avait vraiment l’impression d’avoir une employée modèle devant les yeux… Et cela l’intriguai… de plus en plus… Plissant les yeux, l’homme claqua de la langue en lui répondant d’une façon neutre, ne laissant aune émotion transpiré de lui…

- Ton collier contient également un laisser passer… Il te permettra de déverrouillé les portes que tu peux ouvrir, se limitant au quartier de Kuro ainsi que les miens si je valide ton entré, au cuisine et air de service. Cette accréditation peut être étendue pour certain cas spéciaux, mais jamais tu pourras vagabonder sans but précis… Et ce que j’attende de mes hybrides… Simplement une soumission totale doublée d’une obéissance aveugle… Mais comme tu es ma dernière acquisition, je pense que je te solliciterais plus… J’ai déjà quelques idées d’ailleurs…

A la fin de cette réponse sans équivoque, la belle se présentât devant lui, lui dévoilant sans pudeur le résultat, qui malgré les rougeurs et petite goutte de sang était impeccable, faisant faire un petit sourire discret que Vladimir agrémentât d’un rapide passage de sa langue, cette créature était définitivement alléchante… D’ailleurs, la beauté devant lui semblait attendre une demande, une demande que Vladimir devinait mais qu’il ne formula pas… Pour deux raison, la première et la plus évidente, c’est que ses mains aurait beau la caresser, jamais elles ne pourraient sentir la douceur de sa peau alors à quoi bon… De plus, la paranoïa du directeur lui dictait de ne pas la laisser s’approcher dans ce genre de condition… A ce moment, l’humain pris la parole, donnant ses directives a sa poupée…

- Bien… Tu as un corps vraiment splendide Lorelai… Mais quoi de mieux qu’une belle arde robe pour la mettre en valeur… Choisis des ensemble de sous-vêtements complet, soutient gorge, porte jarretelle, bas, culotte fend ou rien si tu le préfère… commence donc par cela, enfile différent ensemble et fait un petit tour devant moi pour me montrer ce que cela donne sur toi…

A ce moment, la belle acquiesça, se dirigeant vers la pile de lingerie.. A ce moment, le petit spectacle qu’offrit la louve à Vladimir le ravis, car elle sembla s’absorber complètement à sa tâche, comme si elle oubliait sa présence, dressant ses oreilles vers ce qui l’intéressait et éveillais sa curiosité… L’homme se délecta de ce spectacle, de ses expressions, de ses mouvements d’oreille, chacune de ses petites mimiques… Rapidement, elle enfila une première tenue aidée par Kuro… Commencent pas laisse la neko lui attacher autour de la taille le délicat porte jarretelle de dentelle noir agrémenter de petit nœud blanc garnis chacun d’une rose de soie rosé…  s’ajustant à la perfection sur ses hanches… La soubrette lui présenta la petite culote fendu assortie, lui faisant passer chacune de ses jambe pour ensuite la faire remonter le long de ses douce forme pour venir la calé sous le premier sous vêtement de dentelle, le plaçant a la perfection avant de présenter a la louve debout devant son maitre le premier bas noir agrémenter heu aussi de petit ruban blanc au dos, le faisant remonter jusqu’à habiller ses belles cuisses, attachant laissant encore la petite chatte attacher les bas au porte jarretelles, épousant les forme de ses fesses avec délicatesse…Vin ensuite le soutient gorge, d’une dentelle noir quasi transparente, agrémenter lui aussi de petit nœud blanc surmonter de la rose de soie rosé, mettant en valeur ses formes affriolante dans cette tenue provocante…  Vladimir observa  ensuite la louve montré son corps ainsi sublimé, tournant lentement sous les ordres de Vladimir, qui lui ordonna de prendre plusieurs pose, se cambrant d’une façon tellement excitante que malgré son visage impassible, l’homme eu un mal de chien à garder le contrôle, sentant son membre commencer à durcir, heureusement complétement cacher par son bureau de direction… A ce moment, le directeur en profitant pour prendre plusieurs photos d’elle avec son smartphone, se faisant un nouveau dossier pour la belle dans son téléphone.

Ensuite, Lorelai se débrouilla seul pour les suivante, prenant des pose toujours aussi sexy et excitante pour son maitre dans des tenus aux matières et forme varié, que ce soit des ensemble accompagner de redresse sein, de push up, de petit soutient gorge pigeonnant lui mettant vraiment en valeur ses seins, au forme délicate, vraiment splendide complètent à merveille les culote fendu, string et porte jarretelle, assortie en teinte et matière, rouge, blanc, bleu, violine, jaune, dentelle soie, satin,… un vrai ballet don Vladimir pris soin d’immortalisé les plus… Attirante… dans son portable avant de l’observer essayer d’autre accessoire, passant au corset, l’enserrant en accentuant sa taille fine et délicate… puis différent serre taille, corset sein nu, ou avec différente haut, lui faisant ensuite assortir a différente tenue… Robe, jupe pantalon a pince… chemisier, petit haut… un vrai défiler de mode qui excitait grandement Vladimir… Finissant par celui qu’il lui ordonnât de garder pour le moment… le premier ensemble de sous vêtement qu’elle avait porté, complété de bas blanc a l’élastique recouvert de fine dentelle, un chemisier a froufrou de soie blanche complété d’une robe noir, laissant sa poitrine couverte du chemiser libre, un tablier attacher autour de ses hanche par-dessus, maintenus par un serre taille noir enchâssant délicatement sa taille… Oui, cette tenue lui allais a merveille… Surtout compléter des froufrous blanc entouré de rubans noirs a ses poignets, de son serre tête de maid également agrémenté de ses rubans noirs et de ses petits talons blancs… Oui, Vladimir la trouvais splendide comme cela, attendant un petit instant que sa gaule termine de redescendre en buvant la fin de son café devenus froid alors qu’elle lui demandait si cela lui convenais…


- Oui, c’est parfait Lorelai maint…

A ce moment, la sonnerie du téléphone retentis, Vladimir décrocha le combiné, répondant a la voix masculine lui décrivant quelques problèmes à régler dans certaine cellule du centre de reproduction, voulant son approbation… Son rictus de contrariété se transforma bien vite en un sourire malsain observant la louve avant de dire à son interlocuteur qu’il allait arriver se charger du problème, se levant tranquillement en faisant craquer une fois de plus ses mains, se mettant devant la louve paré de ses nouveau atout, tendant sa main droite pour venir caresser la joue de la soubrette, jouant toujours avec la télécommande de son collier électrique de son autre main… Mais a ce moment, Vladimir perçu une légère crispation dans la mâchoire de la louve, malgré le peu de sensation qu’elle pouvait avoir, l’homme n’était pas aveugle, il avait bien vus son aversion pour sa personne… Enfin, il en doutait, puisqu’elle arrivait bien à le regarder en général… Mais là… Etrangement, elle n’avait pas réussis à se contrôler totalement ce coup-ci… Vladimir se demandait pourquoi, mais ne laissa rien paraitre, reprenant la parole pour ordonner à la louve de lui ouvrir la porte et de le suivre avec Kuro…

Arpentant un long couloir menant à un ascenseur, les deux soubrettes sur ses talons, le suivant silencieusement a environ trois mètres, comme la maniaquerie de leur maitre l’appréciait. Appelant l’ascenseur a avant de monter dedans, retournant vers la surface pour ensuite sortir du bâtiment central, sortant a l’air libre pour se diriger à travers les longues allées grillagé et surmonté de barbelé acéré vers l’aile du centre réserver à la reproduction intensive, d’un pas tranquille en appréciant l’air frais de la saison. Une fois arrivé à destination, un homme de la sécurité l’attendait, lui tendant un gros dossier qu’il commença à feuilleter, observant le petit problème que lui avait décrit le garde au téléphone, entrant dans le bâtiment sans lever le nez de son dossier en prenant la parole…


- Aimes-tu les enfants Lorelai ?... Car tu te trouves probablement dans le lieu qui en compte le plus sur cette ile, le centre de reproduction, où beaucoup d’être telle que toi voie le jour de manière naturelle… D’ailleurs, cela me fait penser…

A ce moment, Vladimir s’arrêta, marquant sa page dans son dossier pour se retourner vers les deux soubrettes, prenant un visage souriant et sans une once de malice, reprenant la parole en posant ce regard étrangement doux et bienveillant sur la jeune neko au côté de la louve…

- Félicitation Kuro, d’après tes dernières analyses de sang, tu es enceinte…  Et très probablement de moi…

A ces mots, la jeune femme devint blanche comme un linge, tremblant de tous son être en enserrant nerveusement son ventre… Cette nouvelle l’horrifiait au plus haut point, s’écroulant sur ses genoux en fixant le sol sous le regard de son maitre qui jouait encore avec la petite télécommande du collier de Lorelai…

- Aide la Lorelai, je pense que cette nouvelle l’as quelques peut secouer… En fait, je compter l’invité dans ma chambre ce soir pour lui annoncer, mais avec notre marcher, je ne peux plus le faire… Emmène-là voir un des vetos au bout du couloir en lui disant qu’il faut qu’elle passe d’autre examen pour que sa grossesse se passe dans les meilleures conditions… Ensuite, revient moi, j’ai d’autre chose à faire ici…

Laissant la louve exécuté ses ordres, toujours prés a déclencher le collier électrique, Vladimir repris sa lecture en attendant, jetant par moment un petit coup d’œil sur les deux femelles qui s’éloignais dans le couloir border uniquement de salle de maternité ou des dizaine de bébé dormais dans leur petit lit et de salle d’examen ou d’accouchement… Apres de longue minute où l’homme lu son dossier, Lorelai revint a lui et sans prêter la moindre attention à ses éventuelles émotion l’ordonna de le suivre, se dirigeant vers un ascenseur qui les emmena en sous-sol, apres un court couloir, ils débouchaient tous les deux sur une large pièce ou planais une odeur fétide… celle de la chaire, de la pourriture et de la mort mélanger en un cocktail purement répugnant… A ce moment Vladimir repris la parole…

- Observe bien ce qui va se passer maintenant, car c’est une des fins possibles pour toi ou un de tes trois petits protéger…

Avancent vers une série d’une douzaine de cage, chacune contenant une femelle hybride nue, toute âgées d’une trentaine d’années et semblant en bonne santé, mais portant de nombreux stigmates de grosses répétés.

- Te voici dans la salle de recyclage, c’est ici que nous nous débarrassons des produit hors d’usage et invendable comme ses créatures… Même si parfois, on peut leur accorder une nouvelle vie... Bien… Toi… Suis moi ma jolie…

A ses mots, Vladimir ouvris la cage de la créature. L’hybride vache au ventre, cuisse et poitrine marbré d’innombrable vergeture très prononcé, particulièrement déformé par les variations corporelle qu’elle avait subies dans sa courte vie regarda vers lui d’un regard inquiet mais obtempéra après une petite hésitation, allant se positionner au côté de la soubrette comme l’y invitait son maitre, avec une docilité qui semblait naturelle chez elle. Vladimir se dirigea vers une passerelle qui surplombait un énorme broyeur industriel dans lequel des hommes jetait des corps mort, ceux des précédentes occupante des cages qu’il venait de laisser derrière eux, un par un, attendant que le mastodonte de métal finisse sa besogne en un sinistre bruit de chair et d’os broyer sans pitié. L’homme s’arrêta, posant son dossier sur le pupitre de contrôle, laissant les deux hybride a environ quatre mètre derrière lui, toujours sur la passerelle, leur laissant tous le loisir d’observer le spectacle macabre pendant une petite vingtaine de minute, s’allumant un cigare en appréciant le son que faisait le broyeur en terminant de feuilleter son dossier, affichant un rictus par moment… Terminant sa lecture, l’homme referma le dossier, saisissant le téléphone fixe proche de lui pour passer un coup de fil, donnant ses instructions avant de retourner vers ses deux esclaves, reprenant la parole.

- Bien, j’ai pu voir quelle était le problème, nous allons le résoudre de ce pas, retournons a l’ascenseur.

Une fois ses paroles dite sur un ton calme, couvrant a peine le bruit ambient, l’humain fit signe de sa main ganté au deux hybrides de rebrousser chemin, les laissant partir devant en leur demandant de rappeler l’ascenseur. Une fois dans celui-ci, Vladimir passa son passe de sécurité sur le lecteur, faisant s’illuminer le panneau de control. Appuyant sur celui du RDC, l’ascenseur s’ébranla rapidement, ramenant le trio a la surface. Une fois celle-ci atteinte, l’homme repris sa marche se dirigeant vers l’extérieur du bâtiment, en faisant tranquillement le tour pour aller vers la grille extérieur du centre.

Une fois la grille atteinte, composé d’un chemin de ronde entouré d’un double grillage ceinturant tous le complexe Vladimir repris la parole en franchissant la grille lourdement protéger, toujours accompagner des deux hybrides.


- Voilà, nous venons de franchir la principale clôture du centre de dressage… Après, il n’y a qu’un no man’s land de pelouse qui oscille entre six cent et sept cent mètres avant d’atteindre un mur recouvert de barbelée…

A ses mots, le directeur demanda à la vachette qui grelotai légèrement, étant toujours simplement vêtus de son collier, lui donnant une carte magnétique…

- Voilà, cette carte fonctionnera encore dix minutes … C’est le temps que tu as pour atteindre la porte qui se trouve là-bas et gagner ta liberté… Maintenant court… enfuit toi aussi vite que possible, car les sécurités son encore en place…

La créature se mit à trembler, devenant blanche comme un linge en essayant de balbutier quelque chose… Pour couper court à son hésitation, le directeur saisie la kalachnikov du garde proche de la porte et tire trois balles au pied de la pauvre créature paniqué qui pris ses jambe a son coup, courant aussi vite qu’elle le pouvait en titubant par moment… Rendant son arme au soldat, Vladimir souriait en enlevant son cigare de sa bouche, sortant son téléphone de sa poche pour appeler un numéro enregistré…

- Vous êtes prêt ?… Lâchez-les !…

A ses mots, un sifflement retentis, un sifflement très aigu que seul ceux avec une oreille sensible pouvait entendre… Et c’est dans les minute qui survires qu’une meute d’une douzaine de grand chiens surgis, courant a toute vitesse vers la vachette qui tentais tant bien que mal d’ s’enfuir, porter tant bien que mal par ses jambes peu habituer à ce genre d’exercices… Et ce qui devait arriver arriva… Un premier chien la rattrapa, lui sautant sur le dos pour la faire tomber avant de commencer à lacéré ses chairs a grand coup de crocs… Rapidement suivie par un deuxième… Un troisième… un quatrième… Rapidement, submerger, hurlant, tentant de se débattre comme le pouvais alors que les animaux affamé la dépeçais vive en se bâfrant de sa chair et de ses entrailles, finissant par lui arracher un membre pour qu’un groupe de trois chiens se sépare du reste de la meute pour l’attaque, ses crie se transformant en un gargarisme sanguinaire alors que son sang entrait dans ses poumons percer et sa gorge lacéré… avant que la mort ne vienne la délivré de son sort…

A ce moment, Vladimir repris la parole, sans quitté des yeux le spectacle…


- Vois-tu ma belle, certain commençais à couver l’idée qu’il était possible de s’échapper d’ici… A se rebeller… je pense que ce petit spectacle vas en calmer plus d’un tu ne crois pas ?...

A ses mots, Vladimir se tourna vers Lorelai, lui souriant d’un air malsain en se dirigeant vers l’intérieur du centre…

- Retournons voir où en est Kuro… A moins que tu ne veuille tenter ta chance, tu peux toi aussi tenter de rejoindre la porte la bas…. Mais sache que tes chances d’y arriver son nul…

Une fois ses paroles dite, Vladimir ris dans sa barbe en retournant vers le bâtiment qu’il venait de quitté…
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Quand rien ne va en s'arrangeant [Vladimir] [/!\ -18] EmptyDim 4 Déc - 22:43
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Malgré la distance elle sentait son regard malsain sur elle, courant sur sa peau, suivant ses courbes, s'arrêtant parfois avant de reprendre alors que sa langue venait humidifier ses lèvres étirées en un sourire satisfait. Il semblait se délecter de la vue sans aucune gêne. Un habitué de la chose sans aucun doute... Il devait avoir effeuillé plus d'une femme au cours de sa vie, consentante ou non ; alors la louve se demandait ce qu'il pouvait encore aimer dans ce genre d'activité.

Pourtant malgré ce regard et ses pensées, la louve affichait un air neutre, le regard baissé. Elle se sentait étrangement à sa place. C'était à la fois rassurant et révoltant de se dire que malgré sa rébellion contre son premier maître, une vie de dressage ne s'oublie pas comme ça. Bien malgré elle, l'envie de plaire et de satisfaire une personne unique à ses yeux semblait toujours être ancré en elle, comme pour mieux la ramener à sa condition d'esclave. Et ce n'était pas la partie satisfaite de la situation qui allait s'en plaindre. Après tout suivre les ordres sans réfléchir, quoi de plus facile ? Tuer tout en soi pour se centrer uniquement sur les désirs de la personne qu'on sert. Voilà là une autre façon d'être heureux non ?

NON.

La louve en elle hurlait. Jamais elle ne serait l'objet qu'elle avait été. Jamais elle ne se donnerait à nouveau corps et âme pour un humain qui la méprise ou qui la trahirait sans aucun scrupule. Vaut mieux être seule que mal accompagnée, voila le crédo de cette part d'elle qui désirait ardemment retrouver sa liberté. Franchir le mur d'enceinte de cette prison après avoir appris à ce fou ce qu'il en coûte de s'en prendre aux hybrides, voilà son désir le plus cher. Le punir, sauver Kuro, voilà pourquoi elle acceptait de ployer l'échine.

Mais ces deux pans d'elle se confrontaient dans son esprit malgré son air serein, neutre alors qu'elle obéissait à ses demandes, faisant ses essayages, chassant ses pensées  pour offrir à son tortionnaire les poses et les regards qu'il désirait. Voilà là un jeu qu'elle maitrisait de par l'un des nombreux métiers exercés au cours  de son errance. Pour le coup, elle se fit une joie de lui offrir un regard provocateur, se cambrant, voyant un léger tic se faire sur son visage aussi impassible qu'un scientifique devant son cobaye. Pourtant elle savait reconnaitre un homme qui se sentait à l'étroit en bas. Elle eut un rire intérieur devant la réussite de sa provocation.

Mais si elle riait ce n'était pas que de joie. Elle savait qu'elle allait bientôt subir les pires supplices qui soient. Était-ce une façon pour elle de décompresser ? Surement. Cependant ce n'était peut être pas la meilleur façon de faire en provoquant l'homme qui tenait désormais sa vie au creux d'une télécommande et qui lui avait un offert un sourire et un regard empli de sous entendus malsains un peu plus tôt mais bon que voulez-vous, devant l'angoisse, chacun a sa façon de réagir... Lore n'avait jamais été doué pour contrôler sa peur ou ses angoisses. Après tout pourquoi fuyait-elle plutôt que d'affronter autrui ? Il était donc logique qu'elle soit aussi instable face à une situation qui lui faisait peur.

Mais d'un autre côté elle avait une haine grandissante pour cet humain. C'était la seconde fois qu'elle le voyait et pourtant elle ne pouvait s'empêcher d'être écœurée par ses mains, son air suffisant, ses postures hautaines et ses regards torves. Il n'était qu'un sale prétentieux condescendant et si elle avait pu, elle lui aurait craché à la figure. Pourtant elle n'en fit rien, soupirant doucement, évacuant sa colère grandissante alors qu'elle enfilait la tenue qu'il avait choisi.

Ça aussi c'était une torture. Ce tissus fin, fragile.... Une horreur. Et puis ses accessoires, quels intérêts franchement ?! Elle avait les oreilles basses, ce qui pouvait passer pour un signe de soumissions mais qui n'était rien d'autre que de l'agacement. Elle se mordit les lèvres, essayant d'éviter d'abîmer les bas ou quoi que ce soit d'autre, se sachant maladroite avec ce genre de vêtements. Les humains avaient vraiment des passions étranges avec ses vulgaires bouts de tissus. Ça servait à couvrir la peau pour éviter d'avoir froid mais les esprits lubriques avaient trouvés tant d'autres utilités... C'en était pitoyable... Elle acheva sa tenue, nouant le dernier nœud avant de se tourner vers l'humain, posant son regard sur lui, redressant ses oreilles, lui demandant si le résultat lui convenait même si elle en avait foutrement rien à faire de son avis et que si ça dépendait d’elle, elle aurait arraché ses fripes pour remettre son bon vieux jean et pull, paix à leurs âmes....

Alors que l'humain prenait la parole il fut interrompu par le téléphone. Il y répondit alors que la louve restait planté debout, figé comme une poupée inanimée, le regard posé au sol, attendant qu'il lui parle à nouveau pour relever les yeux. Cependant elle entendit l'humain dire qu'il allait s'occuper lui-même du soucis et la louve releva les yeux, se demandant alors si la séance avec lui était enfin fini grâce à un petit miracle. Allait-elle enfin pouvoir quitter la pièce ? Cela repoussait-il les réjouissances à venir en compagnie de ce sadique ? Elle l'espérait.

Alors qu'il raccrochait, elle l'observait, curieuse. Le voyant poser son regard sur elle, elle recoucha ses oreilles, ne voulant pas lui donner une idée malsaine de plus et baissa les yeux. Elle entendit alors le craquement significatifs de ses mains alors qu'il se levait, venant vers elle et Kuro. Lore n'osait relever les yeux. Ce n'est qu'une fois qu'il s'arrêta près d'elle qu'elle se permit de relever un peu la tête sans pour autant oser croiser son regard, fixant son torse, rentrant sa queue entre ses jambes en conservant un visage neutre malgré sa peur croissante.

Mais ce ne fut qu'une main qui se posa sur sa joue. Une main gantée qui cachait l'horreur de sa peau brûlée. L'odeur de la crème vient chatouiller son nez fin et elle se crispa, se souvenant où étaient aller ces mains des jours auparavant. Elle se retint de le repousser, sentant un frisson remonter sa colonne vertébrale. L'avait-il vu, sa réaction ? Si c'était le cas, il ne dit rien et la louve n'eut pas le courage de croiser son regard pour tenter de le deviner.

Enfin il quitta la pièce et Kuro s'approcha d'elle lui faisant signe de venir, tuant le faible espoir de paix alors qu'elle suivait le mouvement en silence. Elle observait les alentours, profitant d'être derrière l'homme pour le regarder. Sa carrure, ses cheveux, ses épaules. Elle ne pouvait l'admettre mais il avait dû être bel homme même si aujourd'hui les années se lisaient sur son visage et son corps. A cette pensées, des souvenirs remontèrent et elle secoua la tête, les chassant avant de frémir, se trouvant sotte. Manquait plus qu'elle le trouve beau ! Vraiment ! Elle plissa du nez et préféra regarder les alentours en repensant à ce qu'il lui avait dit plus tôt. Ainsi elle ne pourrait pas explorer les bâtiments comme elle l'avait espéré. Voilà là un poids gênant cependant ce n'était qu'un détail qu'elle analyserait plus tard. Déjà cette sortie était un point positif, lui permettant de passer par des lieux inconnus.

La louve était curieuse mais conservait sa peau de servante docile, observant les lieux sans paraitre trop intéressée. Ils prirent l'ascenseur et la louve sentit qu'ils montaient, comprenant alors qu'il avait besoin de cet engin pour quitter les lieux et de ce fait, le pass serait nécessaire. Elle le rangea dans un coin de sa tête pour plus tard, intriguée de découvrir où il allait. Ils quittèrent le bâtiment principal et la louve huma l'air frais, frémissant de plaisir. Retrouver enfin l'extérieur lui donnait la sensation de renaître et ce, malgré les grillages et les barbelés qui les enfermaient encore. Elle observa les lieux une nouvelles fois, mémorisant autant de choses qu'elle le pouvait, de plus en plus intriguée en voyant qu'ils se dirigeaient vers un grand bâtiment plus loin où l'un de ses hommes l'attendait avec un dossier qu'il remit au sadique.

Entrant dans la bâtisse, la louve entendit des cris de femmes et des pleurs d'enfants et comprit avant même qu'il ne lui parle qu'elle se trouvait dans une maternité. L'hybride coucha ses oreilles et observa les lieux, regardant les enfants qui jouait ou suivaient des cours puis, devant les paroles de l'homme, elle se tourna vers lui en hésitant à répondre mais devant la suite, elle se tut, constatant que ce n'était qu'une question rhétorique. Bien cela l'arrangeait car elle devait admettre que si elle appréciait les petits de Kuro, elle n'avait jamais fréquenter d'enfants avant donc c'était assez difficile à dire.

Elle écoutait ses paroles et se stoppa net alors qu'il se tournait pour leur faire face, affichant un visage doux qui inquiéta la louve surtout quand ce dernier se posa sur sa congénère. La louve se crispa et ses oreilles se couchèrent. Était-il en train de la tester ? Surement car en entendant ses paroles, elle manqua de l'attaquer, ses muscles se crispant, tendant la louve comme un élastique. Le bâtard pensa-t-elle. Il savait que Kuro était enceinte mais il avait attendu de clore le marché avant de leur annoncer. La louve hurlait des insultes au fond d'elle mais sa colère s'envola en voyant la détresse de Kuro et elle fut en un clin d'oeil près d'elle, la soutenant, la sentant froide et tremblante.

*Calme toi ... allez calme toi !*

Se répétait-elle alors que le maître poursuivait, amusé par la scène qui se déroulait devant ses yeux. La louve avait agi bien avant son consentement et à dire vrai elle se foutait de ces ordres en cet instant, uniquement concentrée sur la neko qu'elle aidait à relever avec douceur. Cependant elle se plia à ce qu'il voulait, se disant que s'éloigner de ce con ne serait pas un mal pour la neko et s'exécuta guidant sa congénère avec douceur, allant à son rythme en la rassurant d'une voix douce, inquiète par son état. Après tout elle comprenait sa détresse. Porter le fruit de ses tortures avec ce salaud, il y avait de quoi se foutre en l'air.

Pourtant elle ne savait que faire pour l'aider. Après tout c'était le corps de Kuro et si Lore savait ce qu'elle ferait dans sa situation, elle se disait que la neko avait pas forcément les mêmes envie qu'elle. Ainsi elle ne préféra rien dire ou conseillé, l'écoutant simplement, la serrant contre elle ou la rassurant si sa congénère le demandait. La louve était là pour la soutenir et le faisait du mieux qu'elle pouvait, attendant patiemment qu'un médecin la prenne en main pour revenir vers son pseudo "maître", le fusillant du regard une dernière fois avant de baisser la tête, ruminant son envie de lui arracher les parties.

Vladimir repartit et la louve hésita à le suivre sans Kuro. Cependant elle se décida bien vite, se disant que sans Kuro, elle n'avait aucun droit à être seule ici et rattrapa l'homme en se replaçant comme au débat, à trois mètre de lui. Ils prirent une nouvelle fois l'ascenseur mais cette fois, quittant ce lieu de vie pour rentrer dans un autre, bien moins enjoué.

En effet à peine les portes s'ouvrirent-elles que Lore plissa son nez en sentant l'odeur nauséabonde qui embaumait le lieu. Un charnier, voilà ce qu'elle sentait et elle manqua presque de vomir sur l'humain, ayant un haut le coeur. Frôlant la catastrophe, elle ravala sa bile et emboita le pas de l'humain en frémissant alors qu'il prenait la parole. La louve observa son dos et coucha une nouvelle fois les oreilles, son regard se faisant dur et froid, détaché. Elle sentait la menace sous-jacente mais ravalait ses propres paroles aussi menaçante qu'elle avait envie de lui cracher à la figure, se contentant de regarder ce lieu de mort d'un air glacial, offrant à Vladimir un visage aussi implacable que le sien s'il venait à la regarder.

Voir la souffrance des autres avait toujours été dure pour elle mais elle pouvait dresser une barrière entre elle et les autres si sa haine était assez grande et là en l’occurrence, la menace de Vlad venait de chasser sa peur au profit d'une rage contenue et froide. Il cherchait clairement à la tester et à la provoquer. Voulait-il la voir céder, se désarmé face à lui et trembler de peur ? Et bien il allait être déçu pour le moment car elle s'y refusait. Elle déglutit et inspira profondément avançant entre les cages où se terraient des hybrides marquées par des grossesses répétés. Elle les ignorait, suivant l'humain en silence, le laissant lui expliquer à quoi servait ce lieu immonde.

Devant eux se trouvait une machine qui faisait un bruit du diable et Vladimir emprunta une passerelle qui la surplombait, s'arrêtant alors comme pour offrir au deux hybrides le temps d'admirer la scène innommable qui se passait plus bas. En effet des hommes balançaient des hybrides dans la machine, les broyant peu à peu alors que certains étaient encore vivants, hurlant, se débattant pour échapper au piège mortel. La louve saisit la barre de sécurité, fermant les yeux, s’imprégnant du métal froid en sentant des larmes naitre au coin de ses yeux. Il n'y avait pas de mots assez fort pour exprimer ce qu'elle ressentait en cette instant. Elle aurait souhaité devenir un monstre et détruire cette machine du diable et ses monstres qui se faisaient encore appeler homme. Elle aurait voulu bondir sur lui et le balancer dans cette machine pour mieux faire disparaitre ce sale petit sourire de merde qu'il avait sur le visage. Voilà ce qu'elle aurait voulu.

Mais elle restait là, rouvrant les yeux, sentant l'horreur de ce lieu s'immiscer en elle. Jamais elle n'oublierait, jamais elle ne pardonnerait. Chaque parcelle de son corps semblait touché par l'ignominie de l'Homme et quant elle lâcha la rambarde pour suivre à nouveau l'humain, elle chassa ses larmes sans un mot, le visage fermé. Que lui réservait-il encore ? Il semblait s'amuser à lui montrer les plus noirs côtés de son monde. Sa morgue et maintenant ça ... y'avait-il encore pire ?

Ils quittèrent ce lieu de mort et la louve fut ravie de retrouver l'air frais de l'extérieur. Cependant elle ne comprenait pas la raison de leur présence ici surtout avec cette hybride vache qui semblait destiné à la mort. La suite se fit alors qu'elle s'était immobilisée à côté de l'humain, figée alors que la brise soulevait légèrement sa robe, dévoilant ses jarretelles sans qu'elle ne fasse quoi que ce soit pour l'éviter, attendant la suite.

Vladimir reprit la parole, expliquant ce qui se trouvait plus loin et peu à peu, la louve comprit la raison de leur présence et surtout de celle de la vachette. Elle ne fit rien en le voyant la forcer à fuir et n'eut aucun mouvement face à la scène qui se déroula devant elle. Elle se tenait juste là, absente, détachée de cette nouvelle preuve de violence et de haine gratuite, comprenant une fois de plus l'absence de coeur de son tortionnaire.

Lui semblait satisfait de ce tour de force et le regardait avec satisfaction, lui expliquant qu'il voulait calmer les esprits qui s'échauffaient plus bas tout en lui posant une énième question qui devait se vouloir rhétorique. Cependant cette fois, elle ouvrit la bouche pour répliquer sur un ton froid et détachée, regardant elle aussi le sordide spectacle qui se passait devant eux.

"Je doute que cette mascarade les calme, bien au contraire. Simuler une pseudo fuite par le directeur, voilà là un moyen d'encourager les plus hargneux alors qu'il aurait suffit de les laisser s'enfuir de façon contrôlé avant de les abattre pour calmer les moins courageux tout en supprimant les plus téméraires..."

Elle tourna son visage glaciale vers lui, plongeant son regard dans le sien en ajoutant sur un ton moins sec.

"Mais c'est vous l'humain alors vous y avez sans nul doute déjà pensé, suis-je bête...."

Elle détourna son regard du sien, conservant sa mine neutre et même si son ton était aussi détaché et calme que son visage, Vlad pouvait se demander si elle ne se foutait pas de sa tronche en lui lançant cette dernière remarque. Elle regarda une dernière fois les chiens qui se repaissaient de ce qui avait été une congénère puis emboita le pas de Vladimir pour la énième fois alors qu'il se permettait un sous entendus auquel elle répondit à nouveau.

"Je n'ai aucun intérêt à quitter ses lieux. Mais merci de vous en inquiéter."

En effet, désormais elle n'avait aucune envie de le laisser en vie. Cet homme était un véritable danger pour toute la communauté hybride, elle le sentait au fond d'elle et pour l'atteindre elle se sentait prête à tout, même au pire. Maintenant il lui fallait trouver la force de le faire et de franchir ce point de non retour, cette fine barrière entre le désir et la réalité. S'endurcir et s'insensibiliser à l'horreur du monde mais pour ça, elle n'avait pas d'inquiétude, elle était en compagnie du meilleur des instructeurs...
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Quand rien ne va en s'arrangeant [Vladimir] [/!\ -18] EmptyLun 20 Fév - 23:56
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Vladimir observais la louves depuis le début, discrètement, avec un plaisir aussi malsain que rigoureux… Notant chacune de ses mimiques… Celle où elle l’avait regardé avec curiosité après son coup de fil, l’humain ne savait pas si elle s’en rendait compte, mais sa nouvelle soubrette pouvait être si expressive par moment…  C’était asse flagrant parfois, car malgré son comportement soumis, baissant les yeux, couchant les oreilles, cachant sa queue entre ses cuisses, limite rentrant légèrement la tête dans ses épaules en sa présence, il lui arrivait parfois de redresser le regard lorsque son nouveau maitre ne la regardais pas directement. Dans ses moments, ses oreilles de louve retrouvent vie, donnant des indications sur ses sentiments du moment… Vladimir avait pour habitude d’observer par les reflets dans la glace de l’horloge, le miroir,…. Egalement, Vladimir pouvais accéder a certaine camera en Bluetooth sur son téléphone, lui permettant de jeter un œil sur son nouveau jouet…

Mais quand l’humain la regardais directement, l’hybride restait tête basse, la belle soubrette n’osait même pas relever complétement son jolie minois pour le regarder, fixant au mieux son torse… Mais le plus intéressant, c’était sa réaction à sa caresse… Une crispation… Un frisson…  Heureusement finalement qu’elle ne regardait pas l’homme dans les yeux à ce moment, son regard lui aurais renvoyé une joie malsaine, une joie provoqué par la peur de la soubrette, car il sentait que la louve le craignais, qu’une crainte qu’elle peinait à maitriser… Et il allait l’accentuer… Le directeur voulait que sa propriété le craigne, qu’elle tremble en sa présence, qu’elle appréhende la moindre petite faute car la punition serais le pire des calvaires…

Le premier test révéla cela, à l’annonce de la maternité de Kuro, la louve se tendit comme un élastique, fusillant un instant Vladimir du regard, au point qu’il avait failli appuyer sur le bouton télécommandant le tazer présent dans son collier mais heureusement, elle s’était porter au secours de sa collègue, obéissant finalement aux ordres en l’emmenant se faire ausculté. La louve revient peu de temps après, osant le fusiller une demi-seconde du regard avant de re baissé les yeux… Amusant…  Et la suite l’était encore plus d’après les souvenir de l’humain… La louve avait fait une moue de dégout en entrant dans la grande salle, détectant rapidement le subtil mélange d’odeur que renfermais le lieu, allant jusqu’à lui donné un haut le cœur, Vladimir failli faire un pas de côté, pensant qu’elle allait rendre son dernier repas mais elle réussit a se maitriser, laissant tous loisir au directeur d’observer la suite des évènements. Et oui, car même si elle était resté stoïque devant les ancienne reproductrices hors d’usage dans leurs cages, la vus de leur destin, dans l’énorme broyeur l’avait bien atteint lui, la faisant se crisper de toute ses force sur la passerelle, apercevant de petite larme brillé au coin de son œil alors qu’elle se crispait comme une folle sur la rambarde… Oui, c’est cela que voulais le directeur…. Qu’elle ait peur, qu’elle connaisse parfaitement le sort qui peut lui tomber dessus à tous moment comme a tous ceux qu’elle côtoie… Un destin tragique et horrible mais bien présent….

Vladimir avait fait exprès de laisse a sa soubrette tous le loisir d’observer le petit spectacle  qui se passait dans le sous-sol de recyclage, la belle ne l’avais pas déçus, sa réaction était splendide et permis à Vladimir de passer a l’étape suivante. La louve voulais paraitre forte, cela se voyait a la façon dont elle repris sa place derrière son maitre, essuyant ses petite larme au passage.  La suite fut aussi amusante pour l’humain, l’hybride loup restant stoïque devant ce spectacle, ne prenant même pas la peine d’empêcher le vent de soulever la sa robe, dévoilant un jolie spectacle au personne présente, elle ne réagit absolument pas  au petit spectacle qu’avait donnée le directeur, gardant son air figée, comme si le précèdent spectacle l’avait rendu de marbre…  Qu’a cela ne tienne, Vladimir continuai d’agir… Jusqu’à ce que la louves prenne la parole pour la première fois depuis qu’elle avait quitté le bureau…  Lorelai venait de sortir une remarque pertinente, avec une méthode différente qui serait surement efficace. Vladimir nota cette remarque, mais il avait agis de la sorte également pour la faire réagir, mais surtout, pour que les pensionnaires se méfie d’un piège bien moins redoutable que ce qu’il n’y paraissait, car les chiens ne peuvent pas être lâché aussi facilement après un fuyard, le vrai but de cette mise en scène était qu’il échafaude un plan pour les évité alors qu’ils avaient peu de chance au final que ce soit leur destin, les éventuelles fuyard avait largement plus a craindre des sniper et des champs de mine antipersonnel, désactivé dans la zone a ce moment, mais cela, la louve l’ignorait.

Mais ce fus ses deux réponses suivante qui firent sourire l’humain, une première tirade, dite sur un ton plus doux, comme si elle se rendait compte que l’esclave qu’elle était dépassait les limite de son statut… Et c’est les remerciements qu’elle lui adressa a sa proposition qui finir de faire craquer le directeur, qui éclatât d’un rire sonore, malsain se retournant vers la soubrette, la dépassant largement en carrure et en hauteur plongeant son regard vert émeraude dans celui de la louve sans s’arrête de rire, laissant sa main se diriger vers le jolie minois de la créature, ses mouvements faisant horriblement craquer les articulations de la dite main avant qu’elle ne frôle son menton, remontant le long de la douce peau recouvrant sa mâchoire pour remonter là où, si elle était humaine, se serait trouvé son oreille, redescendant ensuite sur la joue de la louve alors qu’il cessait de rire, inspirant une latte sur son cigare avant de le retiré de ses lèvres de sa main gauche, forçant la louve a le regarder droit dans les yeux alors qu’il prenait la parole, expirant la fumé de son cigare en même temps…


- C’est peut être vrais Lorelai… J’y ai peut-être déjà pensée, mais j’apprécie que tu prennes la peine de me rappeler ce genre de chose, je t’y encourage même, cela m’amusera beaucoup…

Sans laisser le temps à la soubrette de répondre a son maitre, celui-ci se baissa, venant délicatement déposé ses lèvres sur les siennes, embrassant pendant de longue secondes la louve qui restait avec peu de réaction, les lèvres close et le corps stoïque… peut être tremblais-t-elle, mais sa main quasiment insensible ne pouvait le sentir et c’est sans enlever sa main de sa joue que Vladimir se redressa légèrement, faisant passer son visage le long du sien pour atteindre son oreille de louve, serrant légèrement sont cigare ainsi que la télécommande de son collier dans sa main gauche, ressentant un léger stress a présenté son cou aussi proche de la gueule, même si il était prêt a déclencher le tazer de son collier a la moindre amorce de mouvement suspect… Mais c’est d’une voie douce et assuré que l’humain lui chuchota quelque tirade a l’oreille…

- … Si tu tiens à notre accord ma jolie, tu as intérêt a te montré un peu plus… Démonstrative…

Ses mots dit, Vladimir passa un furtif coup de langue sur l’oreille à laquelle il venait de souffler ses mot, retournant vers les lèvres de la louve pour les frôlé de nouveau avec délicatesses, ses yeux mi-clos observant ceux de la louve en attendant de voir sa réaction a ses mots…
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Quand rien ne va en s'arrangeant [Vladimir] [/!\ -18] EmptyDim 26 Fév - 12:28
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Quand rien ne va en s'arrangeant


Feat. Vladimir Gribov




ou ça en gif...:

Toute cette mascarade, ce test grandeur nature la faisait frémir d'une colère froide et sourde. Elle aurait voulu hurler et bondir sur l'énergumène qu'il était pour lui arracher la gorge de ses crocs et pourtant... Rien. Elle n'avait rien fait pour lui montrer la grandeur de son dégoût à son égard ni même pour protéger les siens qui souffraient mille supplices pour le bon plaisir du monstre qui les détenait.

Elle se tenait là, alors que le vent caressait ses jambes nues, soulevant sa robe sans qu'elle ne la retienne. Elle imprimait en elle chacun des cris de la malheureuse qui mourrait devant ses yeux, observant la scène sans une larme malgré son désir de se détourner de ce carnage. Mais si elle le faisait, qui resterait-il pour se souvenir de cet acte et pour ressentir de la peine ? Personne. Alors elle subissait en silence, attendant que sa voix se meurt, noyé dans son propre sang ou sa gorge déchiquetée par les chiens qui sait.

Puis l'humain reprit vie, prenant la parole, amusé par ce résultat, s'en retournant en direction du bâtiment qu'ils avaient quitté plus tôt, sortant Lore de sa léthargie. Elle lui répondit, bien décidé à lui faire sentir son dégoût de la situation mais d'une façon plus que sous entendu via un style simple : l'ironie. Elle se disait qu'il devait y être sensible vu le nombre d'ennemis qu'il devait avoir avec un tel comportement, et qu'il comprendrait donc le message sous-jacent.

Pourtant cet homme ne devait pas avoir les compétences pour l'appréhender vu sa réaction plus que surprenante, ce qui étonna la louve persuadée que son QI devait quand même être assez élevé pour ça . Et bien non, ça n'en avait pas l'air, voilà déjà un point qui lui permettrait de dire le fond de sa pensée sans qu'il ne puisse réellement le comprendre qui sait. Mais pour le moment elle s'était figée, laissant cette pensée filer comme tout le reste, sa peur montant d'un cran quand il se tourna vers elle en riant, se bidonnant presque de ses paroles.

Qu'avait-elle dit de si drôle ? Elle le regardait, un peu apeurée de cette folie soudaine et des conséquences qu'elle pourrait engendrer. Une main se leva vers son visage et malgré un frisson de peur et l'envie de fuir, elle se retint de les assouvir, laissant ce membre disgracieux la toucher, l'odeur de la crème venant aussitôt lui faire remonter des souvenirs peu plaisants. Ses oreilles s’aplatirent, disparaissant dans ses cheveux et sa peau frissonna de plus belle au passage de ce moignon brûlé caché sous son gant.  Elle le laissait faire, penchant la tête sur le côté comme pour lui offrir plus de matière à caresser alors qu'en fait, elle souhaitait juste échapper à la main d'une façon douce et peu expressive, détournant le regard de l'homme comme gênée.

Mais ce n'était pas ce qu'il voulait et la pression qu'elle ressentit la força à plier. Il voulait un face à face, elle le sentait, mais elle espérait le fuir le plus longtemps possible avant de lui offrir ce qu'il voulait. Alors il fallut qu'il expire la fumée de son cigare vers elle pour qu'elle daigne enfin céder à son souhait, tournant lentement son visage vers le sien, le rapprochant de ce dernier par ce simple geste, croisant enfin son regard de ses prunelles d'un vert d'eau atypique où se mélangeait à la fois peur et dégoût.

Puis le son de sa voix, douce et amusé résonna, confirmant ses doutes quand au manque de second degré du maitre des lieux. Sincèrement était-il assez con pour la croire ? Il lui semblait que oui mais c'était si étrange, si tordu qu'elle parvenait à peine à y croire, son regard affichant sa surprise pendant une fraction de seconde avant qu'elle lui réponde du tac-au-tac d'une voix neutre.

"Si tel est... "

Ironie, ironie ma bonne amie, je sens que l'on va vite devenir proches pensa la louve. Si c'était une chose à laquelle elle pouvait s'accrocher pourquoi pas. Entre ça et le silence, elle arriverait peut être à trouver un bon compromis non ? Mais à peine eut-elle le temps de commencer sa phrase que Vladimir la coupa dans son élan, brisant sa répartie, laissant la surprise et la peur remonter d'un coup en même temps que ses souvenirs de sa première nuit à son service.

La morgue. Ses lèvres sur elle. Elle s'immobilisa, figée par la craindre de revivre ce moment une nouvelle fois. Elle ne voulait rien lui offrir de plus, RIEN ! Elle déglutit, fermant les yeux en serrant ses paupières comme si cela pouvait la sauver et de nouveaux frissons parcoururent son corps désormais glacé par la crainte. Puis elle le sentit se détacher d'elle, stoppant ce chaste baiser pour remonter vers son oreille, la laissant voir son cou à découvert et même offert. Elle entrouvrit la bouche avec la furieuse envie de le mordre, son souffle venant caresser la peau de l'humain sans que ce dernier ne puisse voir son envie dans ses yeux.

Une nouvelle fois la voix de l'humain vint la sortir de ses pensées, menaçante malgré son ton doucereux. Elle ne fit pas cas du geste d'attention du sadique, espérant qu'il s'étouffe avec son pelage et le sentit se mouvoir pour revenir face à elle, découvrant désormais un regard froid où la peur s'était envolée. Il voulait qu'elle agisse ? Bien. Il allait être servi !

Elle releva son regard pour croiser celui de cet homme qu'elle méprisait au plus haut point, glacé et un sourire narquois s'étirant sur ses lèvres. Mais elle se souvenait qu'il tenait une arme dans sa main et qu'il n'hésiterait pas à s'en servir. Aussi, prit-elle lentement vie. Ses mains vinrent chercher la nuque de l'humain, se posant d'abords doucement sur son torse alors qu'elle déglutissait refoulant son envie de lui cracher à la figure pour les faire remonter vers sa peau découverte où une semaine avant elle l'avait mordu sans ménagement.

Elle restait figée, ses lèvres effleurant celles de l'humain et elle se mit même sur la pointe des pieds pour frotter son nez au sien alors que ses mains enlaçait doucement sa nuque, allant chercher ses cheveux alors qu'enfin elle prenait la parole.

"Navré de vous avoir déçu mais je pensais que vous préfériez les partenaires inertes."

Son regard esquiva un instant celui de l'humain, se baissant pour se cacher avec ses cils, ne voulant pas qu'il voit le défi de ses mots dans ses yeux, sa paroles étant restées douces et susurrées pour mieux le tromper. Peut être prendrait-il ce mouvement pour de la timidité qui sait.... Puis elle vint déposer des baisers légers sur ses lèvres, fermant les yeux comme pour se protéger de ses propres gestes, agissant comme elle l'aurait fait quand elle était danseuse : avec beaucoup de distance émotionnelle.

Elle savait que dans son désir de meurtre, elle allait devoir abandonner ce qu'elle était sur l'hôtel de la débâcle et de l'immoralité. Elle allait devoir tuer en elle tout ce qu'elle était pour pouvoir anéantir ce salaud et ce simple baiser en était la seconde étape, le première étant la mort de l'hybride devant ses yeux. Même si cela la révulsait elle devrait se soumettre à tout et au pire. Dire adieu à l'amour ou à la confiance ou même à l'empathie. Ainsi elle pourrait enfin le satisfaire et l'atteindre ou, tout du moins, l'espérait-elle.

Puis elle l'embrassa enfin, les yeux fermées, comme si elle se donnait pleinement, embrassant cet homme qu'elle haïssait comme elle l'aurait fait avec celui qu'elle aimait. Ses lèvres s’entrouvrirent, sa langue venant caresser les lèvres de l'humain avec douceur plus qu'avec passion comme si elle le cherchait et le testait. Puis lentement la douceur laissa place à plus de témérité, ses mains l'agrippant comme si elle en voulait plus de sa part, son corps se rapprochant du sien, s'y collant, son visage se tendant vers celui du pervers. Et alors qu'il commençait à s'échauffer et à y répondre, elle recula son visage et agrippa sa lèvre entre ses dents, serrant doucement, rouvrant alors les yeux pour les poser sur lui, joueuse. Il voulait plus de démonstration ? Bien. Elle sourit et le mordit sans pour autant chercher à percer sa chair, voulant juste qu'il se rappelle de quoi elle était capable avec sa bouche, du meilleur comme du pire, passant sa langue sur ce morceau de chair, sachant que s'il l’électrocutait, il se prendrait aussi la décharge et le relâcha doucement  avant d'embrasser cette lèvre qu'elle avait un peu malmenée en parlant d'une voix douce.

"Ma démonstration vous convient-elle ?"

Elle cessa alors de se coller à lui, ses mains libérant sa nuque de sa prise passionné pour le relâcher et redescendre vers son torse, entamant un mouvement pour se reculer se préparant à le stopper si Vladimir ne l'entendait pas de cette oreille. Elle passa sa langue sur ses lèvres, détournant son visage du sien en prenant la parole, son regard joueur disparaissant pour retomber dans une posture soumise et figée comme si l'homme n'avait pas eu affaire à la même hybride. Elle eut alors une pensée pour Kyle et bizarrement elle aurait voulu lui offrir le même baiser à lui et lui seul. Mais la vie était une conasse et elle se dit qu'il serait mieux pour elle de l'oublier. Après tout comment pourrait-il aimer une louve comme elle ?

Elle soupira, attendant de voir la sentence et la réaction de l'humain. Après tout elle lui avait obéit. Elle s'était montrée démonstrative non ? Après il n'avait pas ajouté qu'il fallait que ça lui plaise.... Et puis l'idée de le mordre l'amusait alors elle avait cédé à cette pulsion même si elle devait avouer que sa gorge aurait été une prise bien plus drôle. Mais tenter ça maintenant aurait été de la folie. Il aurait surement pris ce geste pour une agression là où elle voulait en faire un jeu. Mais bon dans son genre il devait préféré mordre plutôt qu'être mordu car après tout, c'est ça les préférences des tarés non ?


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Quand rien ne va en s'arrangeant [Vladimir] [/!\ -18] EmptySam 11 Mar - 20:30
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